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1. Service Funèbre
2. Service Divin Sans Actes Sacramentels
3. Office Conduit Par une Personne Non Investie D’un Ministre
4. Le Service de Dédicace (inauguration)
5. Le Service de déconsécration
6. Service Nuptial***cfr séminaire de septembre
7. ***Le Service Divin En Faveur Des Défunts***cfr séminaire d’octobre
Si des fidèles sont malades et ne peuvent pas assister au service divin, une visite pastorale peut
se faire à domicile ou à l’hôpital. La procédure comporte les mêmes éléments qu’un service
divin, à l’exception de la « prédication » (rappel de quelques pensées évoquées au cours du
service divin précédent) qui a lieu avant la prière introductive.
L’ordre est le suivant :
• « Allocution » Exposition de quelques pensées du dernier service divin
• Invocation de la Trinité divine
• Prière introductive
• Prière du « Notre Père »
• Absolution
• Prière d’actions de grâces
• Ouverture visible d’un objet renfermant les hosties
• Consécration des hosties
• Célébration de la sainte cène
• Prière et bénédiction finales
(Si la célébration complète de la sainte cène n’est pas possible, on peut se servir d’hosties
consacrées auparavant et distribuées après la prière introductive qui, dans ce cas, sera
immédiatement suivie de l’absolution).
1. SERVICE FUNEBRE
Étant donné que nos services funèbres sont suivis, non seulement par des membres de l’Église
néo-apostolique, mais aussi par des membres d’autres dénominations religieuses, l’officiant
veillera à se comporter et à officier d’une manière digne, en vue d’éviter tout heurt et toute
offense.
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Le service funèbre s’adresse non pas au mort, mais aux vivants et est censé de leur procurer du
réconfort
Vous devez vous en tenir à la vérité et éviter de prononcer la moindre parole blessante ;
NB : les ministres ont toute l’attitude d’expliquer les enfants de Dieu ou la famille endeuillée
l’importance de l’offrande avant le service funèbre.
Au cimetière, le cercueil est placé sur la tombe la chorale chante et dont le déroulement est
le suivant :
Une fois ces choses faites, tout est remis au porte-parole de la famille qui procédera à d’autres
annonces concernant la disposition des couronnes mortuaires et les interventions d’autres
personnes.
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« À présent, je restitue le corps corruptible à la terre, par ces paroles : Que la terre retourne à
la terre, la poussière à la poussière, la cendre à la cendre. Quant à l’âme et à l’esprit, je les
recommande à l’amour de Jésus-Christ qui les gardera en vue de la résurrection à la vie
éternelle. »
« L’Éternel gardera ton départ et ton arrivée, dès maintenant et à jamais. Amen » (cf. Psaume
121 : 8).
2. LE SERVICE DE DEDICACE
Service divin avec consécration d’une église ou d’un lieu de célébration. Si une église (un lieu de
célébration) est utilisée de manière permanente à des fins cultuelles et si l’autel y est installé à
demeure, il conviendra de procéder à sa dédicace. Celle-ci peut avoir lieu aux horaires réguliers
des services divins ou en dehors et est généralement présidée par l’apôtre ou l’évêque en charge
de la région d’implantation. L’apôtre peut aussi déléguer la consécration à d’autres ministres
sacerdotaux.
Le déroulement d’un service de dédicace suit la liturgie du service divin ; on y procède donc à
la célébration de la sainte cène.
Après l’introduction trinitaire et la prière introductive, suivent des pièces liturgiques
complémentaires.
■ Lecture de la parole biblique (si elle n’a pas été lue après la prière introductive. L’assemblée se
lève.)
■ Suite du déroulement de la liturgie du service divin.
4. LE SERVICE DE DECONSECRATION
Service divin avec déconsécration d’une église ou d’un lieu de célébration Les églises et lieux de
célébration consacrés qui ne sont plus dédiés à l’usage cultuel doivent être déconsacrés.
Cette déconsécration a lieu dans le cadre d’un service divin. Ce dernier service divin sera célébré,
en règle générale, par l’apôtre ou celui-ci peut déléguer la déconsécration à d’autres ministres
sacerdotaux.
Avant la prière finale, le conducteur de la communauté ou un autre ministre peut lire des extraits
de la chronique, en rappelant les dates essentielles de l’histoire de la communauté ainsi que les
services divins exceptionnels et les actes saillants qui y ont eu lieu. On pourra, de surcroît, faire
état de la célébration régulière de la sainte cène, des baptêmes et des saints-scellés dispensés en
ce lieu ou encore des ordinations qui y ont été effectuées.
Au début ou à la fin de la lecture de la chronique, l’officiant devrait remercier les fidèles de leur
collaboration dans les domaines les plus variés et de leur esprit de sacrifice.
Intervient alors la prière finale qui devra comporter les éléments suivants :
Suit alors la déconsécration du lieu de célébration, à peu près en les termes suivants :
« Au nom de Dieu, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, je déconsacre ce lieu. Désormais, il ne sera
plus le lieu de manifestation de l’Esprit-Saint. Que la paix de Dieu accompagne la communauté
sur son cheminement futur. Amen. »
La déconsécration se fait sous forme d’une prière, sans geste de bénédiction, et est
immédiatement suivie par la bénédiction finale et le triple « Amen ».
En fonction des usages régionaux, des ministres pourront, après la contribution musicale
finale, transporter la bible (symbole de la parole de Dieu) et les ustensiles de la sainte cène
(symbole des sacrements) hors de la salle de célébration.