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27 janvier

Journée de la mémoire
HOLOCAUSTE

Le terme Holocauste fait référence à


l'extermination que l'Allemagne nazie et ses
alliés ont menée contre les Juifs. Cet
événement a commencé en 1933 avec la
ségrégation des Juifs dans les camps de
concentration. À partir de 1941, les Allemands
ont commencé à éliminer physiquement les
Juifs par des massacres de masse dans les
camps de concentration.

L'holocauste est défini par le terme Shoah,


qui signifie «catastrophe».
POURQUOI SE SOUVENIR D’UNE HISTOIRE AUSSI TRISTE?

À Auschwitz, l'un des camps de concentration les plus terribles, une pierre anonyme a été trouvée, où
avec un clou un prisonnier a écrit "Qui saura jamais ce qui m'est arrivé ici?". On ne sait pas qui il était,
on sait juste qu'il était une personne et qu'il a beaucoup souffert.

Il est donc très important de se souvenir de toutes ces victimes.


POURQUOI LE 27 JANVIER?

De nombreux États ont institué une «journée du souvenir».

L'Italie, avec une loi de 2000, a choisi cette date car le camp d'extermination d'Auschwitz a été libéré le
27 janvier 1945.
JE SUIS MÉMOIRE

Depuis de nombreuses années, des survivants


racontent leur propre histoire.

- Sami Modiano
- Liliana Segre
- Giorgio Ajò
- Tatiana e Andra Bucci
La journée de la mémoire dans notre école

Aujourd'hui, 27 janvier 2021, notre lycée Francesco Scaduto avec madame le proviseur prof. Carmen
Tripoli et les professeurs Maria di Chiara et Domenico Aiello, a eu la chance d'avoir comme invité sur
Facebook en direct, l'écrivain Mario Calivà qui a présenté son livre ''Le leggi razziali e l’Ottobre del 1943’’,
et Giorgio Ajò, membre de la communauté juive de Rome et témoin de la rafle du ghetto de Rome le 16
Octobre 1943, qui raconte sa propre histoire.

C'était un projet très intéressant qui nous a fait comprendre de ne jamais oublier toute l'horreur
que ces innocents ont vécu.
MARIO CALIVÀ ET SON LIVRE

Mario Calivà vit à Piana degli Albanesi et il est


auteur de nouvelles en arbëreshe et en italien.

Son livre ‘’Le leggi razziali e l’Ottobre del 1943’’


raconte les témoignages de Juifs romains qui ont
survécu aux persécutions en raison des lois raciales
de 1938. L'auteur reconstitue quelques épisodes du
moment historique, par exemple la vie quotidienne et
privée des familles juives.
GIORGIO AJÓ

Giorgio Ajò n'avait qu'un an lorsque les lois raciales furent appliquées qui ont privé les juifs de leur liberté.
Ajò dit que à cause de ces lois, les Juifs ne pouvaient pas aller à l'école, ne pouvaient pas s'asseoir sur
un banc de parc ou étaient expulsés du travail comme cela était arrivé à ses parents. Avant la rafle nazie
du 16 octobre 1943, Ajò et sa mère ont déménagé chez des amis à Pérouse tandis que son père restait à
Rome se cachant chez Raffaello Tani qui vivait au deuxième étage de l'immeuble. Après la persécution
nazie du premier, troisième et quatrième étage, le père d'Ajò rejoignit la famille à Pérouse. Avec
l'occupation allemande, ils n'étaient plus en sécurité et donc les Ajò ont déménagé à Agello. Le 20 juin
1944, il y a eu la libération de Pérouse et Giorgio Ajò et sa famille sont revenus à Rome sur un camion de
la Brigade juive.
Pensées sur la Shoah

- ‘’L’holocauste est une page du Livre de l’Humanité dont nous n’aurons jamais à enlever le signet de la mémoire’’(Primo Levi)

Alessandra Nicosia 3BL

- ‘’Ce qui s'est passé ne peut pas être annulé, mais il peut être empêché de se reproduire’’(Anne Frank )

Carola Manicotto 3BL

- ‘’La mémoire est nécessaire, il faut s’en souvenir car les choses oubliées peuvent revenir: c’est le testament que Primo Levi
nous a laissé’’(Mario Rigoni Stern)

Greta Balistreri 3BL

- ‘’Je dois dire que l’expérience d’Auschwitz a été telle pour moi qu’elle a balayé tout reste de l’éducation religieuse que j’ai eu
aussi. Il y a Auschwitz, donc il ne peut pas y avoir de Dieu. Je ne trouve pas de solution au dilemme. Je la cherche, mais je ne
la trouve pas’’(Primo Levi )

Elisa Morici 3BL


CAROLA MANICOTTO 3BL

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