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SIMULATION NUMERIQUE ET CONTROLE DE LA

TREMPE SUPERFICIELLE DES ACIERS PAR


LASER CO2
D. Kechemair, E. Luneville

To cite this version:


D. Kechemair, E. Luneville. SIMULATION NUMERIQUE ET CONTROLE DE LA TREMPE SU-
PERFICIELLE DES ACIERS PAR LASER CO2. Journal de Physique Colloques, 1987, 48 (C7),
pp.C7-77-C7-83. <10.1051/jphyscol:1987712>. <jpa-00226937>

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JOURNAL DE PHYSIQUE
Colloque C7, supplément au n°12, Tome 48, décembre 1987 C7-77

SIMULATION NUMERIQUE ET CONTROLE DE LA TREMPE SUPERFICIELLE DES


ACIERS PAR LASER C02

D. KECHEMAIR et E. LUNEVILLE*

Etablissement Technique Central de l'Armement, CTME/OP,


16 bis. Avenue Prleur-de-la-Côte-d'Or, F-94114 Arcuell Cedex,
France
'Ecole Nationale Supérieure des Techniques Avancées, Groupe
Hydrodynamique Navale, Chemin de la Hunlère, Batterie de
l'Yvette, F-91120 Palalseau, France

Abstract

A computing software has been developed to describe the C02-laser surface hardening
of steels. Under the assumptions that the laser energy is spread onto the surface,
being afterwards absorbed by conduction, and that the martensitic transformation
occurs without free interface, we solve the non-linear unsteady conduction equation
with a two-dimensional finite element method. The influences of non-linearities of
the material and laser energy distribution in the spot are pointed out. To obtain a
deeper or more homogeneous hardened zone, we study the control of thermic cycles,
using an optimisation of the laser energy distribution. We show some experimental .
results (temperature measurements by thermocouples) which qualitatively agree with
the numerical results.

I) INTRODUCTION

Le souci d'améliorer à terme la productivité des installations industrielles de


durcissement superficiel par laser conduit à mener un programme de recherche
"amont" visant à mieux comprendre la dynamique de l'interaction laser/matière . La
modélisation du phénomène, pourvu qu'elle soit validée expérimentalement, est
nécessaire pour réduire les coûts d'essais préliminaires, améliorer la
reproductibilité, proposer des méthodes de contrôle en temps réel. Le laboratoire
laser de l'E.T.C.A dispose de plusieurs lasers C02 (lkW CILAS, 5kW SPECTRA-PHYSICS
et 22kW UTRC) utilisables sur plusieurs postes de travail. L'un de ces postes est
consacré à ces études "amont".
Après avoir brièvement rappelé le principe de la trempe martensitique des
aciers, nous présentons les diverses hypothèses d'ordre métallurgique et portant
sur l'interaction laser/matière qui nous ont permis d'aboutir à un modèle ne
faisant intervenir que l'équation non-linéaire de la chaleur. On caractérise alors
la phase martensitique à l'aide de critères issus des cycles thermiques qu'on
simule numériquement par une méthode d'éléments finis dont nous exposons quelques
résultats marquants. Nous consacrons la dernière partie de notre communication à
une étude originale de contrôle de la zone trempée en optimisant la répartition
d'énergie dans le faisceau laser. Les techniques mises en oeuvre à cette occasion
débouchent sur des résultats confirmés par les premières mesures expérimentales.

E) UN MODELE DE LA TREMPE SUPERFICIELLE DES ACIERS PAR LASER

Le principe de durcissement d'un acier par trempe martensitique réside dans la


création d'une solution sursaturée en carbone dans le Fer a . Les atomes de
carbone en surnombre créent de multiples micro-contraintes qui font obstacle à la
mobilité des dislocations ; ces atomes de carbone proviennent des carbures de fer

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphyscol:1987712


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(FE3C) dissouds dans la phase austénitique formée à haute température. La


Martensite, phase hors-équilibre à température ambiante, se forme au
refroidissement par cisaillement ( à la vitesse des ondes élastiques) sans
changement de composition. 11 s'ensuit qu'à l'échelle macroscopique, on peut
traiter uniquement l'aspect thermique de la transformation, sans interface
solide/solide.
D'autre part le rayonnement laser à X=10.6pm ne pénètre pas dans le métal
au-delà de 100nm. A l'échelle des profondeurs thermiquement affectées (%lmm), on
considèrera que le dépôt d'énergie a lieu en surface ; le terme de source
apparaîtra dans la condition à la limite.

D'où l'expression du modèle thermique utilisé :

I la température T(M,t) est solution de l'équation :


aT
p(T)Cp (T)- - div(k(~).*) = 0 sur R x ]O,T[
at
aT
(A) -k(T)= = -m(T)E(Y,t) + a (T)[T~-T:] + h ( ~ )(T-Te) sur 10,~[
an
aT
-k(T)= = (T)[T~-T~]
+ h(T) (T-Te) sur Tfx ]O,T[
T(M.0) = To(M) sur R

où les notations sont les suivantes :


- t désigne le temps et T la durée total du processus.
- R est la pièce à traiter de surface T = FeuTf où reet Tf sont respectivement les
surfaces éclairée et non-éclairée par le laser , M est un point courant de 0 , Y un
+
point générique de ï' et n désigne la normale extérieure à T.
- T(M,t) désigne la température de la pièce au point M à l'instant t, T, et Te
respectivement les températures initiale et extérieure de la pièce.
- p(T),Cp(T) et k(T) sont respectivement la masse volumique,la capacité calorifique
à pression constante et la conductivité thermique du matériau traité.
- m(T) est le coefficient d'absorption à 1 0 . 6 ~ en incidence normale, &(T)
l'émissivité hémisphérique totale (pertes par rayonnement), h(T) le coefficient de
pertes par convection et u désigne la constante de Stefan-Boltzmann.
- E(Y,t) est la densité d'énergie déposée par le laser au point Y à l'instant t;
cette fonction dépend de la vitesse de déplacement du laser.

Trois paramètres sont critiques lors du processus de la création de martensite :


la température atteinte T doit dépasser le point AC3(formation d'austénite)
sans atteindre toutefois la température de fusion,
le temps passé au-dessus de AC3 doit être suffisant pour laisser les atomes
de carbone diffuser dans l'austénite (homogénéisation),
* la vitesse de refroidissement moyenne v: (T, ,Tl températures de fin et de
début de formation de martensite) doit être assez importante pour éviter le
retour à l'équilibre(formation de perlite par exemple).

A partir des cycles thermiques qu'a subis le matériau, on peut donner une
caractérisation simplifiée de la zone trempée. On dit qu'un point M a été trempé si

i) m(M) = Mes { t E ]O,T[, T(M,t) > AC3 } > rc


7,
est le temps critique à passer au-dessus du point AC3, les temps r1 et r2
étant respectivement donnés par le plus grand instant (resp. le plus petit)
vérifiant la relation T(M,r,)=T, (resp. T(M,r2)=T2). V, est la vitesse critique de
trempe.
L'obtention de valeurs précises des propriétés thermophysiques de l'acier
étudié (35NCD16) est un problème délicat ; les valeurs proposées dans la
littérature présentent d'importantes dispersions [l] et sont obtenues dans des
conditions d'équilibre, très loin des conditions de formation de la martensite.
Citons en particulier le problème du coefficient d'absorption, fonction de la
température, ayant fait l'objet d'études spécifiques 121 pour les métaux non
recouverts de revêtement absorbant, Au cours de l'étude de l'influence des
non-linéarités des coefficients thermodynamiques. on cherche tout particulièrement
à cerner l'influence du pic important que présente la capacité calorifique à la
température de Curie ( E 1000K).Signalons de plus que les paramètres AC3,V,,r,,T1 et
T, sont généralement mal connus dans des processus aussi rapides.
Dans la perspective d'une comparaison des températures calculées par le
modèle (4et mesurées en cours de traitement, la configuration expérimentale
adoptée consiste à tremper des éprouvettes (75~8xlomm)à l'aide d'un faisceau
homogénéisé (10xlOmm) dans un kaléidoscope. Les températures sont mesurées en
surface par pyromètrie infrarouge et dans le volume de la pièce par des
thermocouples chromel-alumel de diamètre .5mm. soudés au fond de trous borgnes
percés parallèlement à la surface éclairée par le laser.

III) SIMULATION NUMERIQUE DE LA TREMPE SUPERFICIELLE DES ACIERS PAR LASER

Le problème (A) a fait l'objet d'études théoriques ( [ 3 ] . [ 4 ] ) , On montre en


particulier que ce probleuie admet une solution - la question de l'unicité reste
ouverte -, la principale difficulté se situant dans la non-monotonie de la
condition limite non-linéaire portant sur Te. Dans le cas où le domaine R est une
demi-bande du plan (plaque semi-infinie) et où le faisceau laser se déplace a
vitesse constante, on montre que le problème admet un régime établi asymptotique,
qui est solution d'un modèle stationnaire (3') dans le repère lié au faisceau (le
terme pc.ûT/ût est remplacé par le terme de transport -pcv.ûT/ûx. v étant la
vitesse de déplacement du laser et x la direction de déplacement, voir fig.1). Les
estimations asymptotiques montrent que le régime établi s'installe de façon
exponentielle et celà d'autant plus vite que la tache laser est petite et que la
vitesse est grande. Dans le cas d'une plaque longue devant la taille du spot on
aura quasiment un régime établi. On a étudié des schémas d'approximation numériques
des modèles non-linéaires (A) et (Y) fondés sur des méthodes d'éléments finis
bidimensionnels, les non-linéarités étant traitées par la méthode d'interpolation
polynomiale par morceau ( [ 5 ] ) . Pour le problème d'évolution on utilise une
discrétisation par une &méthode et pour le problème stationnaire on se ramène à un
domaine borné aussi petit que l'on veut (contenant le faisceau) par la méthode des
éléments finis localisés ([6]).
Nous présentons dans ce qui suit quelques résultats significatifs extraits
d'un rapport plus détaillé ([7]).

Mise en évidence du régime btabti : la figure 2.a représente l'évolution au


cours du temps de la différence entre les températures calculées par le modèle (4
et celles obtenues par le modèle stationnaire (3. Pour un temps d'interaction de
3s (vitesse du faisceau 4mm/s), l'écart reste inférieur à 85'C pour une température
maximale atteinte de 1245'C. Cet écart se réduit à 47" lorsque le pas de temps est
divisé par deux. Les écarts les plus importants se situent aux bords de la tache
laser où les variations d'éclairement brutales nécéssitent des discrétisations en
espace très fines. Les zones de régime transitoire sont limitées à environ lcm à
chaque extrémité de l'éprouvette, comme le montre la figure 2.b. Ces résultats
démontrent clairement que ion peutéviter dans la plupart des cas d'utiliser le
modéle instationnaire (4, long et côuteux en exploitation numérique. 11 faut
toutefois signaler que l'utilisation de la méthode des éléments finis localisés
pour le modéle ( 3 s'est avérée primordiale (on peut observer des écarts de
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plusieurs centaines de degrés lorsqu'elle n'est pas utilisée).


Influence des non-tinéarités : on a surtout relevé une influence de la
non-linéarité de la capacité calorifique sur les courbes de vitesse de chauffage
en fonction du temps à différentes profondeurs (fig.3a). On note dans le cas
non-linéaire la présence d'une remontée des courbes au cours du passage du
faisceau. Cet effet se décale progressivement avec la profondeur, on ne l'observe
pas dans le cas linéaire5 (coefficients moyennés). Des mesures expérimentales
confirment cette tendance (fig.3b). La conductivité thermique étant quasiment
constante pour l'acier 35NCD16, ne provoque pas d'effets non-linéaires notables.
Influence de ta répartition d'énergie dans te faisceau : on confirme le rôle
essentiel, maintes fois mis en évidence, joué par ce paramètre.
Compte tenu de la grande sensibilité du modèle vis à vis de ce dernier
paramètre, nous nous sommes tout naturellement proposés de contrôler le processus
de trempe par laser en jouant sur ce paramètre.

Ill) CONTROLE OPTIMAL DE LA ZONE TREMPEE

Plusieurs choix sont possibles en ce qui concerne la définition d'une zone trempée
optimale. L'optimalité peut être d'ordre économique, c'est le cas lorsque l'on
cherche à minimiser le temps ou le coût énergétique d'un traitement, d'ordre
qualitatif si l'on veut par exemple fabriquer une martensite plus homogène ou à
plus grande profondeur. De même, différentes commandes peuvent être envisagées : la
vitesse de déplacement, la puissance, la répartition d'énergie du faisceau laser.
Dans cette communication, nous présentons des résultats concernant la la
détermination de la répartition optimale d'énergie qui minimise le coût énergétique
tout en réalisant une trempe à une profondeur donnée. Il ne s'agit pas ici d'un
contrôle en temps réel (l'asservissement d'un système optique est difficilement
réalisable pour le moment), la répartition d'énergie est fixée au cours du
traitement mais inconnue.
On s'est placé dans une situation bidimensionnelle, cas de la plaque
semi-infinie dans la direction x afin d'utiliser le modèle stationnaire (Y).Le
probl6me de contrôle se met sous la forme mathématique suivante :

Trouver la fonction E(Y) sur r,

I qui minimise l'énergie J(E) =

i) O S E(Y) S Emax
,r
J'e
E(Y)dlY sous les contraintes
en tout point Y de re
ii) T(M) S T, en tout point M de R
iii) T(M) >, AC3 en tout point M d'une partie w de 0

w est définie par [O,v.~,lx[O,pJ où p désigne la profondeur de trempe désirée. La


contrainte iii) correspond bien au critère m(M) 2 7 , défini au paragraphe II)
d'après la définition du régime établi (x=v.t). Nous avons dans un premier temps
négligé le critère portant sur les vitesses de refroissement, particulièrement
difficile à prendre en compte numériquement (détermination des instants T, et T , ) .
Il faut toutefois remarquer que dans le cas d'un acier auto-trempant, ce critère
n'est pas très critique.
Sous cette forme simplifiée, le problème (%) soulève des difficultés de
nature théorique et numérique dues aux contraintes ponctuelles portant sur l'état
((ii) et (iii)). On utilise des techniques de dualité pour les résoudre : calcul
sous-différentiel et algorithme d'uzawa. Dans le cas linéaire. le problème (Z)
apparait sous forme discrète comme un simplexe, ce qui facilite singulièrement les
résolutions numériques.
Nous présentons un résultat significatif de calcul de répartition optimale de
l'énergie dans la tache laser (fig.4a). La répartition obtenue correspond assez
bien à l'intuition que l'on peut en avoir. Le premier pic s'identifie à l'énergie
nécessaire pour atteindre la température critique AC3, les deux suivants de moindre
importance permettent de maintenir cette température (la contrainte est saturée),
quant au dernier pic, contenant une énergie assez importante il est plus
difficilement interprétable. Cependant, on peut noter que si la vitesse v de
déplacement du faisceau était nulle le problème serait symétrique, il en serait de
même pour la solution optimale; donc pour des vitesses relativement petites (5mm/s
ici) on obtient une solution très voisine de la solution symétrique. Soulignons la
faible puissance nécéssaire (1.3 kW) pour "tremper" à lmm de profondeur.
Nous avons expérimenté pratiquement ce type de répartition d'énergie. Il
n'est toutefois pas encore possible de réaliser exactement en laboratoire des
faisceaux laser ayant la répartition d'énergie calculée par le code. Nous
présentons néanmoins des enregistrements de températures (fig. 4b) qui montrent
clairement l'intérêt des techniques d'optimisation.

Q) CONCLUSION

Le code de calcul présenté résoud l'équation non-linéaire instationnaire de


conduction de la chaleur pour décrire la trempe superficielle des aciers par laser
CO, continu. Le modèle adopté néglige l'interface solide/solide et considère que le
dépôt d'énergie a lieu en surface.
On a montré sur le cas d'un acier auto-trempant (35NCD16) que le calcul
stationnaire avec éléments finis localisés bidimensionnels rendait bien compte du
régime établi qui s'installe hors des extrémités de l'éprouvette. comme on
l'observe expérimentalement.0n a mis en évidence l'effet des non-linéarités
.
thermophysiques sur les cycles thermiques Des effets similaires sont observés sur
des mesures expérimentales par thermocouples rapides.
Cependant, le paramètre dont l'influence est la plus nette est la répartition
d'énergie dans le faisceau. On a donc développé des techniques d'optimisation de la
forme d'éclairement pour contrôler la zone trempée &.l'aide de critères simplifiés,
portant sur les cycles thermiques. Une première réalisation expérimentale des
éclairements calculés confirme les résultats numériques.
Le développement de telles études pourrait permettre d'améliorer l'efficacité
et la qualité des traitements superficiels par laser en milieu industriel, en
particulier en aidant à mieux dimensionner les installations en fonction des
applications visées.

REFERENCE

[l] TOULOUKIAN -
Thermal conduictivity of metallic elements and alloys ' , Vol. 1,
Purdue University.1975
[2] STERN, GAUTIER -Absorption d'un rayonnement CO2 continu par différents
alliages, Conf. OPTO 85, Paris, Mai 1985
[3] J.M TALBOT - Nodélisation, étude mathématique et numérique du traitement
superficiel par laser. Thèse Paris m. 1983
-
[4] E. LUNEVILLE, J.M TALBOT A finite element mode2 of laser transformation
hardening , Conf. SWANSEA, juin 1984
[5] M. ZLAMAL - A fintte element solution of the non linear heat equation, RAIRO.
Analyse Numérique, Vo1.14 N"2, 1980
[6] M. LENOIR -
The Zocalized finite element method and its application to the 2 0
see-keeping problem, SIAM. Numerical Analysis, 1987 (à paraître)
[7] D. KECHEMAIR, E. LUNEVILLE - Modélisation de la trempe superficieZle des aciers
par laser CO2 continu, Rapport E.T.C.A. janvier 1987
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FIGURE 1 : schéma de principe


-

,
JI

,
4' X'

FIGURE 2 : mise en évidence du régime établi v = 4mm/s. faisceau homogène 1.1 kw/cmi
2.a) Ecarts entre les températures calculées en évolution et en stationnaire
(boite de calcul 3 0 ~ 2 0 m m )
V -

Enveloppe des isothermes


( d e 60Q h 1000 OC ,
calcul évolution
é p r o u v e t t e 60x20 ml0 )

FIGURE 3 : influence des non-linéarités sur les vitesses de chauffage


3.a) calcul linéaire calcul non-linéaire

- Is

Tache I.aser

3.b) Résultat expérimental


( v .= 4 ~iirii/~ , f a i s c e a u IIoi;io::6nL:is<:
1.6 l:~/ciii , r e v ê terrient , y r a p h i t e )
C7-83

FIGURE 4 : résultats de contrôle de la répartition d'énergie dans le faisceau


4.a) Numérique

-
--

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v = 4 js
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Fuissarice t o t a ! e
1 .7 l V W

4.b) Expérimental
1iéalj.satj.ori approch6e de 1 ' é c l a i r e r i i e ~ i t cülcu Lé

Comparaison des c y c l e s
thermiques B z = .l iniii

-
sous l a surface éclairGe

I ~ û i s c e a i il i o r i i o , ~ é n ~ i sdée même puissaiicc' 228

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