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Réalisation d’un prise de terre


La sécurité dans la mesure électrique (complément)

 Les classes d’isolement /de sécurité


Tout matériel électrique doit comporter, lorsqu’il est raccordé à une alimentation, une
protection contre les chocs électriques adaptée aux conditions d’installation.

Classe 0 :Aucune protection mécanique contre les contacts directs

Classe 1 :L’appareil est relié à une terre de protection ;

Classe 2 : Double isolation ou isolation renforcée. L’appareil n’est pas relié à une terre de

protection, il peut véhiculer des tensions dangereuses, mais ces parties conductrices ne sont

pas accessibles à l’utilisateur.

Classe 3 : L’appareil n’est pas sous tension dangereuses (TBTS: < 30 Vac ou 60 Vdc en

condition normale ; < 50 Vac ou 120 Vdc en condition de premier défaut)

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Catégories de sécurité électrique (Surtension)
Pour les installations basse tension (<1000V). la norme IEC 61010 a défini des catégories de
surtension (aussi appelées catégories de sécurité électrique). chacune correspondant à une zone définie
d'une installation électrique.4 catégories sont définies: CAT I. CAT II. CAT III & CAT IV.
 Catégorie 4 : CAT IV. (distribution directe ONE) Source primaire, système de ligne aérienne et de câble, y
compris les jeux de barres de distribution et les matériels associés de protection contre les surintensités.

 Catégorie 3 : CAT III. (distribution industrielle) Installations fixe concernant la distribution industrielle et les
circuits à l'entrée de maintenance électrique d'un bâtiment (colonnes techniques, ascenseur…).

 Catégorie 2 : CAT II. (distribution domestique) Appareils et matériels portatifs ou domestiques, prises de
courant secteur.

 Catégorie 1 : CAT I. Matériels spéciaux ou partie de matériel faisant suite à la catégorie II, télécommunication,
électronique, etc…

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Tableau normalisé IEC 61010 de la tenue aux chocs électriques regroupant les catégories d'installation
4 en fonction des tensions assignées (alternatives ou continues) de l'installation
Qualités des réseaux électriques &
efficacité énergétique

Chapitre III:
- Les perturbations observées sur les équipements
et installations électriques
- Pollution du réseau électrique ( harmoniques)
- Système triphasés déséquilibré
- La mesure de la qualité d’un réseau électrique

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Qualité de la tension du réseau sinusoïdal
Définition:
La qualité de la fourniture de l’énergie électrique recouvre les trois notions :
 la continuité d’alimentation:
Elle recouvre les coupures, ou interruptions, subies par les utilisateurs (coupures programmées,
coupures non programmées, coupures longues (supérieures à 3 minutes), coupures
brèves (entre 1 seconde et 3 minutes) et microcoupures (< 10 ms). Conséquences (ex : pertes
de données en informatique, arrêt de ligne de production dans l'industrie, … ).
 La qualité de l’onde de tension:
Elle recouvre les perturbations liées à la forme de l’onde de tension délivrée par le réseau,
susceptibles d’altérer le fonctionnement des appareils électriques raccordés au réseau, voire de les
endommager : creux de tension, surtensions impulsionnelles, tensions hautes ou
basses, variations de fréquence, papillotement, taux d’harmoniques et
d’interharmoniques, déséquilibre entre phases, etc.
 La qualité de service :
Elle caractérise la relation entre un utilisateur et son gestionnaire de réseau, ainsi
qu’éventuellement son fournisseur (délai de remise en service, délai d’intervention d’urgence, délai
de raccordement, notification de coupure programmée, tenue des horaires de rendez-vous, etc.).

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 La qualité de l’énergie électrique, se mesure par rapport aux variations
indésirables hors normes de la tension et courant électrique. A cet effet
des normes ont été établies pour recommander les limites de courant et
tentions ainsi que les niveaux des harmoniques (THD). Il s'agit de la
norme IEEE 519.

 Les critères de qualité de l’électricité sont directement issus de


l’observation des perturbations électromagnétiques des réseaux
électriques. On parle de Compatibilité Électromagnétique (C. E. M.)
afin de caractériser l’aptitude d’un appareil, d’un dispositif, à fonctionner
normalement dans un environnement électromagnétique sans produire lui-
même des perturbations nuisibles aux autres appareils ou dispositifs. La
(C.E.M) classe ces perturbations selon deux groupes :
- basses fréquences (< 9 kHz)
- hautes fréquences (> 9 kHz).

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La qualité de l’onde de tension:

 L'idéal, c’est que la tension devrait être purement sinusoïdale


avec une amplitude, une fréquence fixes.
 Mais des perturbations de la qualité de l’énergie électrique
distribuée sont principalement provoquées par les phénomènes
suivants :
– Creux de tension et coupures
– Surtensions
–Variations rapides de la tension
– Déséquilibre du système triphasé de tensions
– Harmoniques et inter-harmoniques
- Flicker (papillotement )

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 Les creux de tension :
sont dues à des pics de consommation (fort courant) sur une des
charges qui entraine une chute de tension transitoire dues aux
inductances de ligne.

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 Les Surtension :
Elles sont dues à la foudre, branchements
de condensateurs, défaut d'isolement. Elles
sont de trois natures : Surtensions à la
fréquence industrielle (50 Hz);
Surtensions de manœuvre et Surtensions
atmosphériques

La norme EN50160 fixe les niveaux de surtensions selon le schéma de liaison à la terre de l’installation:
 Réseaux à neutre à la terre (raccordé directement ou avec une impédance) : la surtension ne devra
pas dépasser 1,7 Un ;
 Réseaux à neutre isolé ou résonant : la surtension ne devra pas dépasser 2Un.

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 Les Variations rapides de la tension – Flicker
Le flicker, ou papillotement de la lumière (terme retenue par la norme ), correspond à des
variations lumineuses (gêne du système visuel humain ) dues à de faibles fluctuations de
tension (>1%).
Il est due à des charges, qui créent des variations permanentes d'appel de puissance et à la
présence d'interharmoniques ( bande de 0,5 Hz à 25 Hz)

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Capture de la variation de tension sur une longue durée
 Déséquilibre de système triphasé de tensions (Courant ou tension non déphases
de 120° et d’amplitudes différentes)
Ces déséquilibres sont essentiellement dus à la circulation de courant non équilibré par
les impédances de réseau et ont pour conséquence des couples de freinage parasites et
des échauffements qui conduisent à une dégradation prématurée des équipements tels
que des moteurs.
La norme EN 50160 fixe le taux de déséquilibre
inverse admissible à 2 % sur les valeurs efficaces
calculées sur dix minutes pour 95 % du temps d’une
semaine. Il est généralement convenu qu’un
déséquilibre inférieur à 2 % ne suscite au problème.
La quantification du phénomène fait appel à une
méthode dite des composantes symétriques directes,
inverse ou homopolaires.

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 Harmoniques et inter-harmoniques
Les harmoniques sont des perturbations introduites dans le réseau par des charges non linéaires
provenant d’équipements intégrant des redresseurs et des électroniques de découpage.
Lorsque la fréquence superposée n’est pas multiple de la fréquence fondamentale, on parle d’inter-
harmonique.
Les conséquences des harmoniques peuvent être instantanées ou à long terme.
Les effets instantanés se manifestent par:
- Des troubles fonctionnels de synchronisation ou de commutation,
- Des disjonctions intempestives,
- Erreurs de mesure sur des compteurs d’énergie,
- Voir même la destruction d’équipements (condensateurs, disjoncteur).
Les effets à long terme se manifestent par:
- Une fatigue prématurée du matériel, des lignes et amènent un déclassement des
équipements

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En régime alternatif non-sinusoîdal, un signal de période T est décomposable selon sa
série de Fourier :

Le théorème de Parceval exprime que l‘énergie du signal est la somme des énergies de
ses différents harmoniques, soit :

Le taux de distorsion ou taux d'harmoniques évalue l’importance des


harmoniques / au fondamentale 

Harmoniques de tension : dues aux courants non sinusoïdaux absorbés par les
14 charges fortement non linéaire.
Harmoniques de courant (1/3)
- la tension est sinusoïdale u(t )  U 2 cos(t )
- des harmoniques sont présentes sur le courant:

i (t )  I
k 1
k 2 cos(kt  k )

15
16
Exemple de charges non linéaires
Harmoniques de courant (2/3)
- La puissance instantanée s‘écrit alors :

p(t )  u(t )  i (t )  u(t ) Ik 2cos(kt  k )
k 1

 U. Ik cos((k 1)t  k )  cos((k 1)t  k )
k 1

 UI1 cos1  UI1 cos(2t  1 )   Ik cos((k 1)t  k )  cos((k 1)t  k )
k 2

- Il s'agit d'une somme de sinusoïdes aux fréquences 0, , 2 ,...


La puissance moyenne: P  p(t ) UI1 cos(1)
- C/C: seul le fondamental du courant transporte de la puissance active
- De même la puissance réactive : Q  UI1 sin(1 )

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 Apparition d’une puissance déformante D introduite par la présence des harmoniques:

I 2
eff   I keff
2

k 1

U I 2 2
eff  U   I keff
2 2

k 1

S U I
2 2 2
1eff  U   I keff
22

k 2

S U I
2 2 2
1eff [(cos1 )  (sin1 ) ]  U   I keff
2 2 2 2

k 2

S 2  P12  Q12  U 2   I keff
2

k 2
S  P Q  D
2
1
2 2
1
2


D²  U ² I keff
2

k 2

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Harmoniques de courant (3/3)
 Le facteur de puissance devient:

P P
Fp  
S P ²  Q²  D²
UI1 cos(1 ) I1
  cos(1 )
UI I
cos(1 )

1 THD

 Les harmoniques dégradent le facteur de puissance.

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Puissance en 3~ en présence d'harmoniques de courant :

Active: P  p(t )  3UI1 cos(1)


Réactive: Q  3UI1 sin(1 )

Déformente: D  3U k
I 2

k 2
Apparente: S  3UI  P 2  Q2  D2
Le facteur de Puissance:

I1 cos(1 )
Fp  cos(1 ) 
I 1 THD

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EFFETS DES HARMONIQUES

Effets immédiats Pertes par effet Joule

Dégradation du facteur de puissance


Réduction de la puissance des moteurs
Surcharges des câbles , transformateurs et moteurs
Disjonctions intempestives
Augmentation du bruit dans les moteurs
Surdimensionnement de certains composants :
conducteur du neutre, d'alimentation, batteries de condensateurs

Effets à moyen et long terme

Réduction de la durée de vie des moteurs


Réduction de la durée de vie des transformateurs
Vieillissement accéléré des isolants et des diélectriques
Les effets des harmoniques dans le conducteur du Neutre

 Les courants harmoniques de


rang 3, le fondamental x 3,
soit 150 Hz, à partir
des 3 phases vont s’additionner,
ceux-ci étant en phase.

Ils donnent naissance dans le


conducteur du neutre à la
circulation d’un courant.

I Neutre = 3 fois I Harmoniques 3

Remarque : De nombreux incendies de bâtiments industriels sont dus à l'échauffement


excessif du conducteur du Neutre.
La norme EN50160 fixe les niveaux de tensions harmoniques
jusqu’au 25ème rang et indique que le taux global de distorsion
harmonique ne doit pas dépasser 8 %.

- Niveau de compatibilité pour les tensions harmoniques individuelles


NORME

Rang de l'harmonique Taux en %


3 5
5 6
7 5
9 1,5
11 3,5
13 3
15 0,3
17 2
19 (1) 1,5
21 (2) 0,2
LES REMEDES CONTRE LES HARMONIQUES

Utilisation de transformateurs propre à chaque équipement


- Une solution contre l'harmonique 3 et ses multiples de rangs impairs
(9, 15, 21, 27,…) :

Primaire Secondaire
Câblé en triangle Câblé en étoile

Cette solution est intéressante car elle permet l'élimination


des rangs harmoniques les plus perturbateurs.
LES REMEDES CONTRE LES HARMONIQUES (suite)

Mise en place de filtre(s) :

Filtres passifs
Filtre résonnant, extrêmement efficace
pour éliminer une harmonique de rang
particulier "filtre passe-haut"
Filtre amorti, filtrage de toutes les
fréquences inférieures au rang considéré
"filtre passe-bas"

Filtres actifs
Injecte des courants harmoniques
équivalents mais en opposition de phase
de ceux émis par les appareils.
Régime sinusoïdal triphasé déséquilibré
Lorsqu’on cherche à évaluer la qualité d’un système triphasé de courant ou de
tension, il est important de s’assurer en particulier que :
 les amplitudes des 3 signaux qui forment le système triphasé soit égales ;
 les déphasages respectifs des 3 signaux soient égaux à 120°.

 pour quantifier l’effet des imperfections relatives aux amplitudes et déphasages,


on calcule un taux de déséquilibre.
 On utilise les propriétés des composantes symétriques appliquées au systèmes
triphasés.

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• Déséquilibre de système triphasé de tensions
Ces déséquilibres sont essentiellement dus à la circulation de courants non équilibrés
par les impédances de réseau et ont pour conséquence:
 des couples de freinage parasites dans les moteurs à courants alternatifs
 des échauffements qui conduisent à une dégradation prématurée des équipements t

La norme EN 50160 fixe le taux de déséquilibre inverse admissible à 2 % sur les


valeurs efficaces calculées sur dix minutes pour 95 % du temps d’une semaine.

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Les composantes symétriques
2
3

V2 V3 1 1
 2
3
1

V1 3 Système homopolaire
2
Amplitude Vo
{Vo ; Vo ; Vo}
Système réel
Système direct Amplitude Vd Système inverse Amplitude Vi
{Vd ; a² Vd ; a Vd} {Vi ; a Vi ; a² Vi}

Fig 1 : composantes symétriques d’un système triphasé déséquilibré

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Détermination des composantes symétriques par calcul:
Le calcul de ces composantes symétriques se fait à partir de la transformation de
FORTESCUE :
« a » est un opérateur de rotation de 120°
 1   
j 2 Vd  (V1  a V2  a V3 )
2
1 3 3
a e 3   j  1   
j 2
2 2 Vi  (V1  a V2  a V3 )
2
 1 3 3
a2  e 3    j 
2 2 1   
Vo  (V1  V2  V3 )
1 a  a  0
2
3
a3  1
 v1  1 1 1   vo   vo  1 1 1   v1 
        1   
 v2   1 a² a    vd   vd   1 a a²    v2 
     v    3    v 
²  i 
v 1 a ² a   3
 3 
v 1 a a   i
V
 Le taux de déséquilibre en tension est défini par : Vunb  i
Vd
 Le taux de déséquilibre en courant est défini par : I
I unb  i
Id
29
Construction graphique des composantes symétriques

30
Méthode usuelle de construction graphique

Pour déterminer les composantes directes et


inverses de la tension phase 1, (schéma a) on
trace les triangles équilatéraux ayant dans
l’exemple pour base la tension U23.

La distance entre le neutre du réseau et le


centre de gravité du triangle (schéma b)
représente Vo. Le vecteur NG correspond au
déplacement de point neutre.

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Mesure des composantes Directe et Inverse  Solution 1

En position :

On prend:

On obtient:

En position :

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Mesures des composantes directes et inverses  Solution 2

NB: Pour obtenir un relais à maximum de composante inverse, il suffit de


permuter deux grandeurs.
33
 Mesure de la composante homopolaire de tension

34
 Mesure de la composante homopolaire de courant

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L'efficacité énergétique
 L'efficacité énergétique représente le rendement énergétique
complet d'un système : elle va donc dépendre de l'objectif du système. Elle
découle du rendement, mais en fonction de ce à quoi l'énergie doit servir.
 Par exemple, l'efficacité énergétique d'une maison concernera le chauffage et
prendra en compte le rendement énergétique des appareils de chauffage, mais
aussi l'isolation, la ventilation, etc.
 L'efficacité énergétique des appareils électroménagers est indiquée par leur
classe énergétique.
 En ce qui concerne l'habitat, pour connaître l'efficacité énergétique de celui-
ci, le DPE (Diagnostic Performance Énergétique) a donc été créé:
 Il oblige à évaluer la consommation énergétique des logements.
 C'est en quelque sorte une sorte de graphe de classe énergétique semblable à ce
que nous voyons généralement sur les appareils électroménagers et les
voitures.

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L'étiquette-
énergie est une
fiche destinée au
consommateur qui
résume les
Échelle de consommation caractéristiques
d'énergie pour les logements d'un produit, en
particulier ses
performances
énergétiques, afin
de faciliter le
choix entre
différents modèles.

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