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RAPPEL 

: La proposition subordonnée relative

Aide : regarder la vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=psOVdd2FW38

La proposition subordonnée relative (PSR) constitue une phrase complexe avec la


proposition principale dont elle dépend. Elle est un cas de lien de subordination entre des
propositions (à côté des liens de juxtaposition ou de coordination : voir cours du début
d’année sur les liens entre les propositions).
Rappel : il existe différents types de subordonnées : la relative, la conjonctive complétive et
la conjonctive circonstancielle auxquelles s’ajoutent l’interrogative indirecte, la participiale
et l’infinitive. (Aide : voir la vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=vWvTBVUAwHI)

La PSR complète un nom ou un pronom de la proposition principale. Elle donne des


informations sur ce mot placée avant elle et du coup appelé antécédent. Elle constitue donc
une expansion du nom et c’est pourquoi elle se nomme « relative » : elle n’est pas
indispensable au sens de la phrase et elle se rapporte (est relative) à un autre mot.
Elle est introduite par un pronom relatif qui peut être simple (qui, que, quoi, dont, où) ou
complexe (lequel, auquel, duquel…). Le pronom relatif complexe s’accorde en genre et en
nombre avec l’antécédent. Il a une fonction dans la PSR (sujet, COD, CClieu…)

Nota bene :
1. Il existe des PSR sans antécédent : elles sont introduites par qui, quiconque : « Qui va
à la chasse perd sa place »

2. Attention à ne pas confondre le pronom relatif « que » qui introduit une PSR et la
conjonction de subordination « que » qui introduit une subordonnée conjonctive
complétive. Astuce : une relative peut se supprimer sans que la phrase devienne
incorrecte, la conjonctive ne peut pas être supprimée.
Ex : J’ai vu qu’il a acheté un nouveau vélo (conjonctive complétive) ≠ J’ai vu le
nouveau vélo qu’il a acheté (PSR)

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