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Rassemblés par : prof Khalid Tanger semestre 2

Réussir mon examen 3eme année


Phrase simple/phrase complexe
La phrase simple est une suite de mots qui contient un seul groupe verbal, construit autour d’un verbe conjugué. Elle est
formée d’une seule proposition dite indépendante.
J’ai toujours habité avec un père et une mère.
Il existe des phrases simples sans verbe ou construites avec un présentatif :
Votre écharpe !
Voilà ton émission préférée.
C’est extraordinaire.
La proposition est une unité de sens construite autour d’un sujet et d’un verbe conjugué.
Une proposition est dite indépendante si elle ne dépend d’aucune autre proposition.
Ils aiment les fêtes et les voyages à l’étranger.
La phrase complexe comporte plusieurs verbes conjugués et est composée de plusieurs propositions. À une proposition
correspond un verbe conjugué. On y trouve donc autant de propositions qu’il y a de verbes conjugués (exceptées dans les
infinitives et les participiales).
Il existe trois sortes de propositions: les indépendantes, les principales, les subordonnées (ces deux dernières n’existent pas
l’une sans l’autre).
1. Les propositions indépendantes
La proposition indépendante seule: la phrase simple: une phrase qui a un seul verbe conjugué est une phrase simple, appelée
aussi proposition indépendante.
Laila a une jolie robe
a. La juxtaposition consiste à relier deux propositions indépendantes par l’intermédiaire d’un signe de ponctuation : virgule,
point-virgule ou deux points.
Le grenier révéla toutes ses tentations : je ne le quittais plus.
b. La coordination consiste à relier deux propositions indépendantes par l’intermédiaire :
– soit d’une conjonction de coordination ( mais , ou , et , donc , or , ni , car ),
– soit d’un adverbe (ainsi, cependant, pourtant, alors d’ailleurs, enfin, ensuite, puis ...).
Ils sont contents d’avoir un enfant car il restera ainsi une trace de leur passage sur terre.
2. Les propositions subordonnées
Elles sont dites subordonnées car elles dépendent d’une autre proposition appelée proposition principale; celle-ci régit la
phrase, car sans elle, la subordonnée n’a aucun sens et serait incorrecte grammaticalement. Les propositions subordonnées sont
introduites par un mot subordonnant type pronom relatif, conjonction de subordination ou terme interrogatif.
On en distingue trois types:
• Les propositions subordonnées relatives sont introduites par un pronom relatif et complètent un GN. On les trouve
notamment dans le discours descriptif.
-Les pronoms relatifs simples: qui, que, quoi, dont, où (+ quiconque);
-Les pronoms relatifs composés: lequel, laquelle, lesquels, lesquelles, duquel, desquels, desquelles, auquel, auxquels,
auxquelles.
Notre maison de campagne, qui se situe à Azilal, est une très vieille demeure.
• Les propositions subordonnées conjonctives sont introduites par une conjonction de subordination.
-Les conjonctions de subordination simples: que, quand, comme, si;
-Les locutions conjonctives de subordination: alors que, aussitôt que, bien que, à moins que, pour peu que, parce que, afin que,
pourvu que….

On distingue deux sortes de conjonctives:


Les complétives, toujours introduites par « que », qui complètent un GV. On les trouve surtout dans le discours argumentatif.
Il est évident qu'il sera en retard.
Le malheur est qu'il est toujours en retard.
Je crains qu'il ne soit malade.
Les circonstancielles, introduites par les autres conjonctions de subordination, qui expriment les circonstances dans lesquelles
se déroule une action. (de temps, de cause, de but, de conséquence, de concession, de condition, de comparaison).
Avant qu'il ne rentre chez lui, nous sortirons nous promener.
Il est fatigué parce qu'il a peu dormi.
Je m'entraîne pour être champion de tennis.
Elle a tant couru qu'elle a perdu connaissance.
-Elle s'énerve comme le ferait un enfant.
• Les propositions subordonnées interrogatives indirectes sont introduites par un terme interrogatif.
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Les termes interrogatifs: où, quand, comment, si…
Personne ne comprend comment elle a pu obtenir ces renseignements.
Je me demande quelle sera sa réaction.

Cependant, il existe des subordonnées sans terme introducteur: les propositions infinitives et les propositions participiales:
Les propositions infinitives: le sujet de l’infinitif est en position de COD du verbe de la principale. C’est une variante de la
complétive.
Ex: J’entends les oiseaux chanter. (J’entends que les oiseaux chantent).
Les propositions participiales: elle contient un participe présent ou passé. C’est une variante des circonstancielles
temporelle, causale ou conditionnelle.
Ex: Le chat parti, les souris dansent. (Dès que/ aussitôt que/ parce que/ si le chat est parti, les souris dansent)
Phrases complexes
Phrases Propositions rattachées
Propositions
simples Propositions Propositions
subordonnées
juxtaposées coordonnées
On met de la On met de la colle Il tient au plafond Il tient au plafond
colle sur les sur ses semelles : car on a mis de la parce qu’on a mis de
semelles de il ne risque pas de colle sur ses la glu sur ses
l’homme. tomber. semelles. semelles.

Phrase simple / phrase complexe :


Une phrase simple ne contient qu’un verbe conjugué alors qu’une phrase complexe contient plus d’un verbe conjugué.
On forme une phrase complexe en coordonnant (conjonction), juxtaposant (ponctuation) ou subordonnant (subordonnant) une
ou des phrases simples à une autre phrase simple.
Une subordonnée est une proposition qui en complète une autre, appelée proposition principale. Il existe différentes sortes de
subordonnées selon le groupe de mots qu'elles complètent.
La subordonnée relative :
Les subordonnées relatives sont introduites par des pronoms relatifs (qui, que, quoi, dont, où, lequel, etc.) qui sont, dans ce
cas, des subordonnants.
Une proposition subordonnée relative complète un nom (ou un groupe nominal) : elle est toujours placée derrière lui. Ce nom
est donc son antécédent. Cette proposition a toujours la même fonction: elle est complément de l'antécédent. Elle commence
par un pronom relatif qui représente l'antécédent et permet d’éviter sa répétition.
Le sens de la subordonnée relative :
Elle apporte des informations nouvelles, comme toutes les expansions du nom, et est donc très présente dans les descriptions.
Dans un texte, les relatives sont déterminatives quand elles sont indispensables pour comprendre ce qui est dit, et explicatives
lorsqu’elles apportent des informations supplémentaires qu’il est possible de supprimer.
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Ex : L’homme que je vais épouser est un ami d’enfance (relative déterminative : quel homme?)
Ce roman, que je viens de finir, me plait beaucoup.(relative explicative : information supplémentaire mais non indispensable
à la compréhension de la phrase).
Subordonnée relative / subordonnée complétive :
Il ne faut pas confondre la proposition subordonnée relative introduite par le pronom relatif « que », complétant un nom, avec
la proposition subordonnée complétive introduite par la conjonction de subordination « que » complétant le verbe de la
principale.
Ex :
- J’attends la commande que j’ai passée. (la relative complète le nom commande).
NB : accord du participe passé employé avec avoir.
- J’attends que la pluie cesse (proposition subordonnée conjonctive qui complète le verbe « attends »).
Les fonctions des pronoms relatifs :
Pronoms Fonctions Exemples
relatifs
Qui Sujet J’ai une maison qui se trouve à la
campagne.
Que COD J’ai une maison que je donne en
location.
Dont COI J’ai une maison dont je parle tout le
temps.
Dont C. de nom J’ai une maison dont les volets sont
verts.
Où C.C de temps J’ai vendu ma maison le jour où j’ai
fait faillite.
Où C.C de lieu J’ai une maison où je passe mes
vacances.

La subordonnée adjective
La subordonnée relative a comme fonction principale de compléter le sens de son
antécédent. Elle joue un rôle d’adjectif épithète. On la nomme parfois aussi subordonnée adjective. Elle occupe la plupart du
temps la fonction de complément de nom ou de pronom.
Ex : J'aime les fruits qui ont du goût. (goûteux)
Ex : C'est un événement dont on se souviendra. (mémorable).

Sa place dans la phrase est libre : elle suit, précède, ou coupe la proposition dont elle dépend.
Ex : J'ai vu l'homme qui porte un chapeau pointu.
Ex : L'homme qui porte un chapeau pointu est arrivé.
Ex : Qui veut aller loin, ménage sa monture.

Elle est souvent elliptique, avec "dont", avec "voici, voilà", avec "qui" distributif.
Ex : Il a acheté deux chaises dont une très belle.
Ex : Tout le monde se précipite, qui sur les entrées, qui sur les boissons, qui sur la viande.
Ex : L'homme que voici est mon médecin.

La subordonnée substantive
Parfois, la relative perd son rôle de détermination ou d'explication de l'antécédent et occupe alors une fonction de nom. Ceci
est habituel lorsque l'antécédent est omis, ou lorsque la relative fait bloc avec celui-ci, situation fréquente avec un pronom
démonstratif ou avec le nom "chose". Elle n'a plus alors une valeur d'adjectif mais de substantif, elle peut être :
- Sujet : le pronom est "qui" ou "quiconque"
Ex : Qui a bu boira.
Ex : Qui veut aller loin ménage sa monture.
Ex : Quiconque ne sait se contrôler, ne peut trouver la paix.

- Attribut : le pronom est "qui" au sens de "celui qui" ou "quoi" précédé d'une préposition.
Ex : Cet homme n'est pas qui vous pensez. C'est à quoi je rêve.

- Complément d'objet : le pronom est "qui" ou "quiconque".


Ex : Aimez qui vous aime. Il aide quiconque le sollicite.
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- Complément d'agent : le pronom est "qui" ou "quiconque" précédé des prépositions "par" ou "de".
Ex : Cette voiture sera réparée par qui l'achètera.
Ex : Cette femme est appréciée de quiconque la rencontre.

Parfois, la relative prend une valeur de subordonnée circonstancielle. Elle est alors fréquemment entre virgules.
Ex : L'homme, qui allait sortir, revint sur ses pas.
Ex : Mon frère, qui travaille trop, est tombé malade.
Ex : Un animal qui ferait ça serait digne du cirque.

La subordonnée circonstancielle de condition


Exprimer une condition, c'est évoquer un fait dont la réalisation est nécessaire pour qu'un autre fait se réalise. La condition
permet ainsi de formuler des hypothèses.
Le plus souvent, on exprime la condition à l'aide d'un complément circonstanciel de condition.
La proposition subordonnée complément circonstanciel de condition est introduite par la conjonction de subordination si ou
par d'autres locutions conjonctives comme pourvue que, pour peu que, à moins que (sauf si), à supposer que, au cas où…Elle
répond aux questions : A quelle condition? Dans quelle hypothèse?
Ex. : Si on analyse la lumière émise par les galaxies, on constate que celles-ci s'éloignent de la Terre.

Condition réelle
Il s’agit ici de l’expression d’une condition qui semble réalisable (peut-être aurai-je du temps plus tard). On utilise le
présent dans la proposition subordonnée conditionnelle et le futur ou le présent dans la proposition principale.
Exemple :
Si j’ai le temps, je t’aiderai/aide.
Condition irréelle (dans le présent)
Lorsque l’on veut indiquer qu’une condition est irréalisable dans le présent ou qu’elle sera irréalisable dans le futur (je n’ai pas
le temps), on emploie l’imparfait dans la proposition subordonnée conditionnelle et le conditionnel présent dans la
proposition principale. On parle «d’irréel dans le présent».
Exemple :
Si j’avais le temps, je t’aiderais.
Condition irréelle (dans le passé)
Pour exprimer le fait qu'une condition était irréalisable par le passé (je n’avais pas le temps), on emploie le plus-que-
parfait dans la proposition subordonnée conditionnelle et le conditionnel passé dans la proposition principale. On parle
«d’irréel dans le passé».
Exemple :
Si j’avais eu le temps, je t’aurais aidée.

Sens Proposition
Proposition subordonnée Exemples
principale
Action réalisable Présent de
Si + présent indicatif -Si je l'apprends, je te le dis
l’indicatif
futur
Si + présent indicatif -Si je l'apprends, je te le dirai
indicatif
Si + présent indicatif impératif -Si tu acceptes, téléphone-moi.
irréalisable dans le -Si je l'apprenais demain, je vous le dirais.
présent (un fait possible dans -S’il faisait beau demain, nous irions à
l'avenir) probabilité/potentiel la plage.
conditionnel -Si je gagnais au loto, j’achèterais une voiture.
Si + imparfait indicatif
irréalisable dans le présent
-Si je le savais actuellement, je vous le dirais.
présent (un fait impossible
-S'il était intelligent, il travaillerait plus.
présentement)
-Si j’étais riche, j’achèterais une voiture.
d’irréel dans le présent
Irréalisé dans le passé Si + plus-que-parfait conditionnel
-Si je l'avais su, je vous l'aurais dit.
irréel dans le passé indicatif passé

Conjonctions Modes Exemples


Si, Selon que, suivant que Indicatif -Si tu veux, je t'aiderai.
-Selon que vous serez de son avis ou non, il vous estimera
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A supposer que, pourvue Subjonctif -Je t'aiderai à condition que tu fasses un effort.
que, à condition que, en -Je t'aiderai en admettant que tu fasses un effort.
admettant que, à moins -A supposer qu'il fasse un effort, il réussira.
que, pour peu que, soit -Il doit tout ignorer de la nouvelle, à moins que n'ayez eu l'imprudence de le lui
que…soit que, apprendre.que
-Nous sortirons soit qu'il pleuve, soit qu'il fasse beau.
Au cas où, dans le cas où, Conditionnel -Au cas où il accepterait, avertissez-moi.
pour le cas où
Subordonnée circonstancielle de but
La subordonnée marque le but à atteindre. La réalisation de l’action reste incertaine. Elle répond à la question dans quel but?
Ex : Le chien vint aboyer à la porte // pour qu'on lui ouvrît. (Pour qu'on lui ouvrît, subordonnée conjonctive, complément de
but de vint aboyer.)
• Subordonnants : afin que, pour que, de crainte que, de peur que, de sorte que, de façon (à ce) que, de manière (à ce)
que, etc. (Mode : subjonctif)
Ex : Elle porte des lunettes noires afin que personne ne la reconnaisse.
Ex : Ils parlent tout bas de peur qu’on ne les entende.

- Le professeur explique la règle de grammaire de façon (à ce) que les étudiants comprennent
• Un infinitif complément circonstanciel de but, précédé des propositions ou locutions prépositives: pour, afin de, en
vue de, de peur de, de crainte de, de sorte à, de façon à, de manière à, en vue de, dans le but de, dans l’intention de, etc.
Ex : Elle porte des lunettes noires pour (afin de) ne pas se faire reconnaître.
Ex : Je n'ai pas répondu, de peur de te mettre en colère.
Ex : Je prends un taxi de peur (crainte) d’être en retard.
Ex : Il a toujours son portable de sorte à (de façon à, de manière à) pouvoir téléphoner quand il le veut.
Ex : Il suit des cours en vue d’ (dans le but d’, dans l’intention d’) obtenir un diplôme.
• Prépositions suivies d’un nom : pour, de peur de, de crainte de, en vue de
Ex : Ce poète écrit pour la libération de tous les hommes.
Ex : Le patron a accepté les revendications de peur (crainte) d’une grève de ses employés.
Ex : J’ai accepté ce nouvel emploi en vue d’une augmentation de salaire.
N OTES
– Avec les subordonnants de peur que, de crainte que, dans la crainte que, on peut ajouter parfois le ne explétif.
Il n’ose pas partir de crainte qu’elle ne vienne pendant ce temps.
– Lorsque plusieurs subordonnées circonstancielles sont coordonnées ou juxtaposées, le subordonnant de but peut être repris
par que.
Ex : Je poussai la pièce [volée] bien loin sous la pendule pour qu’on ne la vît pas et qu’on la crût perdue. (A. Daudet)
tableau récapitulatif
But à atteindre Risque à éviter Mode
Pour, afin de, en vue de peur de, de crainte de,
Même sujet de, de sorte à, de façon à,
de manière à, en vue de,
dans le but de, dans
l’intention de,etc. Infinitif
-Je vais à l’école -Il est parti très tôt de peur d’arriver en
pour étudier. retard.
Exemples
-Il est parti très tôt afin -Elle revoit ses leçons plusieurs fois de
d’arriver à temps. peur d'avoirune mauvaise note.
Sujets afin que, pour que, de de crainte que, de peur que,
différents sorte que, de façon (à ce)
que, de manière (à ce)
que, etc. Subjonctif
-Elle parle fort afin -Il nous a rappelé le rendez-vous de peur
que tout le que nous (ne) l'ayons oublié.
Exemples monde entende.
-je prends un parapluie de peur qu'il
-Il a garé sa voiture de (ne) pleuve.
sorte que personne
ne puisse passer.
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La subordonnée circonstancielle de cause
La subordonnée circonstancielle de cause indique la raison pour laquelle s’accomplit l’action exprimée dans la principale. Elle
répond à la question pourquoi?
Ex : Le poisson rouge est mort parce qu’on a oublié de le nourrir.
parce qu’on a oublié de le nourrir, proposition subordonnée conjonctive complément de cause de Le poisson rouge est mort

• Subordonnants : comme, puisque(en début de phrase), du moment que, parce que, sous prétexte que, vu que, étant donné
que, attendu que, d’autant plus que, d’autant moins que, etc. (Mode : indicatif ou conditionnel)
L’élève est absent parce qu’il aurait la grippe.
Comme il neige, je vais rester chez moi.
Etant donné que tu as eu le permis je te prête ma voiture
Sous prétexte qu'il est malade, il n'est pas venu.
Non que, non pas que, ce n'est pas que (cause repoussée, Mode : Subjonctif)
Ce n'est pas que je veuille vous renvoyer, // cependant il se fait tard // et la nuit va tomber.

L'idée de cause peut être exprimée aussi par:


• Un nom complément circonstanciel de cause avec les propositions ou Locutions prépositives à, de, pour, à cause de
(cause négative), grâce à (cause positive), en raison de, à force de (cause répétée), faute de (cause privative), sous prétexte
de (cause mensongère), etc.
A cause de la manifestation tous les commerces sont fermés.
Grâce à ton aide je vais réussir mon examen.
A force de jouer le même numéro, Thomas a gagné au loto.
Faute d'argent, nous avons acheté une voiture d'occasion.
NOTE
Lorsque plusieurs subordonnées circonstancielles sont coordonnées ou juxtaposées, le subordonnant de cause peut être repris
par que.
Nous amorcions nos lignes avec de la mie de pain parce que les vers nous dégoûtaient et que nous craignions de nous salir.
(André Gide)
Subordonnée circonstancielle de concession
L’opposition qui se manifeste entre deux choses n’est pas toujours de même nature.
-L’opposition simple s’établit entre deux faits indépendants. On insiste sur le fait que ces deux événements se passent en
même temps. Ex : Quand il fait beau à Nice, il pleut à Paris. Cette simultanéité peut être une opposition entre la chose que
l’on souhaite et la réalité. Ex : Quand il faut être attentif, tu rêves.
-La concession ou l’opposition concessive exprime plutôt un événement qui n’a pas eu lieu comme la logique l’exigeait. C’est
l’expression de la logique contraire ou de la cause inverse. Ex : Bien qu’il pleuve, je n’ai pas pris mon parapluie (la logique
exige que je prenne mon parapluie lorsqu’il pleut).
Comme il n’est pas toujours facile de distinguer les nuances entre la subordonnée d’opposition et la subordonnée de
concession, nous les regroupons souvent sous l’appellation de « subordonnée d’opposition ou de concession » qui répond aux
questions en dépit de quoi? Malgré quoi?

La concession
• Subordonnants : même si, sauf que. (Mode : indicatif)
Même si la nouvelle est vraie, elle ne change rien à la situation.
• Subordonnants : quand bien même, alors même que. (Mode : conditionnel)
Quand bien même tous vos amis vous abandonneraient, je resterais avec vous.
• Subordonnants : au lieu que, bien que, encore que, quoique, loin que, malgré que, sans que (Mode : subjonctif)
Bien qu’il soit fatigué, il sort avec ses amis.
Quoiqu'il soit malchanceux, il a gagne le gros lot.
• Subordonnants : quelque…que, quel…que, si …que, pour que…, tout …que, qui…que, qui que ce soit qui, quoi que.
(Mode : subjonctif)
Si intelligent soit-il, il risque de ne pas réussir.
Quelque étonnant que cela paraisse, je ne me suis aperçu de rien.
L'idée de la concession peut s'exprimer par:
• Locution avoir beau + infinitif
Elle a beau avoir des qualités, elle a aussi des défauts.
Elle a beau faire du régime, elle ne maigrit pas.
• Préposition + nom: Malgré, en dépit de (plus littéraire).
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Malgré sa jeunesse, il a de l'expérience.

L’opposition
• Subordonnants : alors que, alors même que, pendant que, tandis que. (Mode : indicatif)
Cet étudiant travaille, alors que ses amis s’amusent.
• Coordonnants : mais, par contre, quand même, tout de même, or, pourtant, cependant, néanmoins, en revanche
Ex : Il t’a dit qu’il viendrait à huit heure, or il n’est pas là.
II devait venir à 8 heures, cependant il n'est pas venu.
• Au lieu de, loin de, sans + infinitif, quitte à + infinitif.
Au lieu de bavarder, vous feriez mieux de travaille
Subordonnée circonstancielle de conséquence
La conséquence marque le résultat atteint, l’effet obtenu. Elle répond aux questions : en amenant quelle conséquence, quel
résultat?
Ma sœur est si timide qu’elle bégaye en parlant.

• Subordonnants : De telle sorte que, au point que, de sorte que, de façon que, si bien que, à tel point que, etc. (Mode
: indicatif ou conditionnel)
L’incendie s’est vite propagé, de sorte qu’on a dû évacuer tous les appartements.
Ce film a eu beaucoup de succès de sorte qu’on devrait le voir ici le plus tôt possible.
• Si, tant, tellement…que etc. l (Mode : Indicatif ou conditionne)
Le bruit devint si intense que l'on dut fermer la fenêtre.
Il pleut tant qu'on ne peut faire les semailles.
Elle est tellement amoureuse qu’elle n’a pas remarqué l’agressivité de son ami.
• De façon que, sans que, en sorte que, de manière que, trop (assez)… pour que. (Mode : Subjonctif)
Il est entré // sans que les invités le voient.
Il pleut trop // pour qu'on puisse faire les semailles.

Remarque :
- La subordonnée circonstancielle de conséquence n’est pas déplaçable.
-Lorsque la principale est négative ou interrogative, la proposition Subordonnée de conséquence est au subjonctif.
Ex : Il n'est pas si égoïste //qu'il nous vienne en aide
Subordonnée circonstancielle de comparaison
La subordonnée complément circonstanciel de comparaison établit entre la principale et la subordonnée une comparaison, un
rapport de proportion, d'égalité ou d'inégalité:
Ex : Je le trouvais aussi souriant // que je l'avais connu jadis. (Que je l'avais connu jadis est une proposition subordonnée
conjonctive, complément de comparaison de je le trouvais aussi souriant).
De nombreux moyens permettent d’introduire ou d’établir des comparaisons:
• des verbes : sembler, ressembler à, paraître, croire, …
Exemple : La lune ressemble à une grosse perle.
• des adjectifs qualificatifs : pareil, semblable, identique, …
Exemple : Le soleil est semblable à une boule de feu.
• un déterminant : tel, tel que, …
Exemple : Tel père, tel fils !
• des propositions indépendantes coordonnées avec ainsi, de même, …
Exemple : Les belles femmes se lèvent tard, de même font les fleurs.
• des compléments d’adjectif (l’adjectif peut être au degré comparatif) :
Exemples : Cette table est aussi longue que large.
Une femme avançait, légère comme l’air.
• des compléments d’adverbe au comparatif : plus… que, moins… que, …
Exemple : Je le rencontre plus souvent que ta sœur.
• le complément circonstanciel de comparaison, fonction qui peut être exercée par un nom, un groupe nominal, un
pronom ou un adverbe introduit par comme, en comparaison de, par rapport à, contrairement à, à la manière de, à
la façon de, …
Exemple : Comme les belles personnes, les fleurs se lèvent tard.
• Valeur d’hypothèse exercée par comme si...
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Exemple : je sens son infidélité comme si elle n’était point morte.
• une proposition subordonnée conjonctive :
Nuances Conjonctions Modes Exemples
Comparaison De même que, . Indicatif ou Comme on fait son lit, on se couche.
ainsi que tel que, subjonctif Je retrouverai le jardin ainsi que
comme. je l’avais vu autrefois.
Egalité ou aussi …que, . Indicatif ou J’espère que les fleurs lui plairont autant, que ces médiocres
inégalité autant…que, plus conditionnel friandises.
(moins)…que,
mieux que, Ces fleurs sont bien plus belles que je ne l’imaginais.
autre…que,
autrement que
Proportion d'autant (plus, Indicatif Nous étions d'autant plus inquiets // que le pétrole devenait
moins, maintenant plus cher.
mieux)…que, dans
la mesure…où, au
fur et à mesure
que.
Remarque:
- Les propositions de comparaison n'ont souvent pas de verbe exprimé. Elles sont elliptiques.
Ex : Cela lui semblait lointain // comme un mauvais rêve.
- On appelle " comparative conditionnelle" la proposition commençant par la conjonction comme si.
Ex : Ses trois fils étaient vêtus tous de même manière, // comme s'ils avaient porté un uniforme.
-Autres expression de la comparaison.
L'idée de comparaison peut être exprimée par deux propositions indépendantes juxtaposées.
Ex : Plus j'examinais les preuves retenu contre lui // plus je me persuadais de son innocence.
Le comparatif
avec un adjectif Cet article est plus/moins/aussi cher que l’autre.
avec un adverbe Cet artisan travaille plus/moins/aussi sérieusement que celui-ci.
avec un nom Samir lit plus de/moins de/autant livres que Karim.
de
avec un verbe Cet artisan travaille plus/moins/autant que l’autre.
Remarques :
• " Les comparatifs de « bon » et « mauvais » sont irréguliers : C’est une bonne entreprise, mais l’autre est meilleure ! Nos
résultats de cette année sont pires que ceux de l’année dernière.
• " Le comparatif de « bien » est irrégulier. Elle travaille bien, mais l'autre travaille mieux !
• " Pour exprimer une quantité chiffrée : Elle a 3 succursales de plus/de moins que son concurrent.
Le superlatif
avec un adjectif C'est le salon le plus/le moins intéressant de l’année
avec un adverbe C'est l’artisan qui travaille le plus/le moins sérieusement de la foire.
avec un nom C'est le commercial qui a le plus de/le moins de talent.
avec un verbe C'est elle qui produit le plus/le moins.
Remarques :
• " Les superlatifs de « bon » et « mauvais » sont irréguliers : C’est une bonne entreprise, mais ce n’est pas la meilleure !
C’est la pire de toutes !
• " Le superlatif de « bien » est irrégulier. Ce modèle se vend bien, mais ce n’est pas celui qui se vend le mieux !
• " Le superlatif relatif : C’est l’une des dix meilleures entreprises du pays.
• L’expression de la coordination

• Les conjonctions de coordination sont des mots de liaison invariables qui relient deux éléments de fonction
identique (mots, groupes de mots, propositions) sans établir de rapport de dépendance.
• Formes
• En général les conjonctions de coordination ont la forme simple (ET, MAIS, OR, DONC, NI, OU, CAR).
• Il existe aussi des adverbes ou des locutions conjonctives qui jouent le même rôle que les "vraies" conjonctions :
POURTANT, TOUTEFOIS, NEANMOINS, C'EST POURQUOI (verbe + adverbe), PAR CONSEQUENT
(préposition + nom).
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• Valeurs
• Ayant toutes le même fonctionnement, les conjonctions de coordination ont pourtant des valeurs sémantiques
différentes.
Conjonction Valeur Exemples
et Il est venu et il est reparti addition
aussitôt.
ou Tu veux rester avec moi ou partir alternative
avec lui ?
ni Je ne sais ce qu’elle dit, ni ce alternative négative
qu’elle chante.
car Je te pardonne carje te crois. cause/explication
donc Il ne veut pas m'écouter, donc je conséquence
ne raconte rien.
mais Elle est grippée mais elle est opposition
allée au collège.
or Les enfants sont entrés dans la opposition/nouvel élément
forêt,or la nuit tombait.

Valeur Liste de coordonnants
Addition et, ainsi que, bien plus, de plus, en plus, ensuite, puis, enfin, d’ailleurs, au reste, du reste, etc.
Alternative ou
Cause car, en effet, en raison de, etc.
Conséquence ainsi, aussi, donc, par conséquent, conséquemment, en conséquence, par le fait même, alors, etc.
Explication à savoir, c’est-à-dire, c’est pourquoi, par exemple, soit, etc.
Négation ni
Justification car, mais, etc.
Opposition au contraire, cependant, mais, néanmoins, or, par contre, pourtant, toutefois, en revanche, par
contre, sinon, autrement, etc.
Succession alors, ceci dit, puis, etc.
Structure du texte narratif et schéma narratif
Le schéma narratif est principalement utilisé dans les textes narratifs. Il sert à montrer la progression d’une histoire, et peut
même servir de résumé. Il est divisé en :
I. La situation initiale : C’est le début d’un récit : rien ne s’est encore véritablement passé. Elle a pour fonction de présenter
le cadre de l’histoire et les personnages. C’est la situation d’équilibre qu’on trouve au début de l’histoire. Elle répond aux
questions « Qui ? Quoi ? Quand ? Où ? » (p. ex, dans les contes : « Il était une fois, il y a très longtemps, une princesse qui
vivait dans un grand royaume… »)
Le temps employé est généralement l’indicatif imparfait, qui exprime une action durable (qui dure) dans le passé. C’est le
temps de la description dans le passé.
II. L’élément perturbateur : C’est un événement inattendu, qui va faire basculer le récit, déséquilibrer la situation initiale et
provoquer la surprise du lecteur. Il a pour fonction de déclencher l’action. Le héros ou personnage principal présenté dans la
situation initiale voit sa situation changer tout à coup. L’élément modificateur va conduire le héros à accomplir une mission ou
à rechercher ce qu’il ne possède pas. Le héros poursuit alors une quête. Cet événement peut être positif ou négatif (p. ex, dans
les contes : « Mais un jour, un dragon enleva la princesse... »)
La perturbation est repérable grâce à plusieurs indices:
-Elle est souvent signalée par un mot introducteur tel que : un jour, un matin, soudain, alors, tout à coup….
- Elle est exprimé grâce à des verbes d’action;
- Le temps employé devient l’indicatif passé simple qui marque un changement de situation (une rupture). C’est le temps de la
narration dans le passé
III. Les péripéties : C’est la partie la plus longue de l’histoire, L’élément perturbateur entraîne une série d’événements, de
rebondissements qui constituent l’action du récit. (et qui font progresser la destinée du héros)
Bien souvent, le héros subit une série de tests, ce qui augmente sa douleur (physique ou morale). Après avoir été ainsi testé, ou
bien il obtient une récompense, ou bien il est sanctionné (souvent par la mort). (p. ex, dans les contes : le roi convoque tous les
chevaliers du royaume pour sauver sa fille / aventures des chevaliers / tous meurent sauf un.)
IV. L’élément de résolution : Comme l’élément modificateur, c’est un élément qui fait basculer le récit. La différence est que
l’élément de résolution, lui, résout le problème, marque le retour à une situation d’équilibre et mène à la situation finale en
dénouant l’intrigue. (p. ex, dans les contes : « Le chevalier survivant tua le dragon. »)
V. La situation finale : C’est la fin du récit. Il s’agit d’une nouvelle situation d’équilibre.
Rassemblés par : prof Khalid Tanger semestre 2
Une situation finale peut être positive, négative ou positive et négative à la fois. . (p. ex, dans les contes : « Ils se marièrent et
eurent beaucoup d’enfants. »)

Le schéma narratif s’avère particulièrement efficace pour analyser les contes, mais on peut s’en servir dans les romans, les
nouvelles, les récits et même les textes dramatiques.

Exemple à partir du conte Cendrillon, de Charles Perrault

La nominalisation est un moyen grammatical mettant en valeur l'usage du nom. Elle permet de transformer un adjectif, un
verbe un adverbe ou une proposition complétive introduite par « que » en substantif.
La nominalisation est particulièrement utile à l'écrit car elle donne une grande quantité d'informations. Elle est souvent
utilisée dans les résumés, les prises de notes, les titres de presse et les discours scientifiques.
Nominalisation à partir des adjectifs
suffixe adjectif nom
fou, démocrate, diplomate,
ie folie, démocratie, diplomatie, aristocratie
aristocrate
ise franc, roublard, traître, franchise, roublardise, la traîtrise
libre, égal, fraternel, sain, loyal,
té liberté, l'égalité, fraternité, santé, loyauté, beauté
beau
ité probe probité
Rassemblés par : prof Khalid Tanger semestre 2
tude seul, apte, exact, las solitude, aptitude, exactitude lassitude
ance tolérant, suffisant tolérance, suffisance
ence différent, innocent, absent différence, innocence, absence
esse hardi, paresseux, bas, vieux, sage hardiesse, paresse, bassesse, vieillesse, sagesse
erie étourdi, pédant, étourderie, pédanterie
ample,grand, lent, lourd, large, amplitude, grandeur, lenteur, lourdeur, largeur,
eur
blanc blancheur
isme, iste réel, classique, naturel, national réalisme, classicisme, naturaliste, nationaliste
at anonyme anonymat

Nominalisation à partir des verbes


Suffixe Verbe Nom
-tion, ition, uction, ation punir, déduire, traduire, graduer punition, déduction, traduction, graduation
-sion exploser, éroder, éclore explosion, érosion, éclosion
-xion annexer annexion
-ence, -ance exister, assister existence, assistance
-ment raisonner, commencer, rendre raisonnement, commencement, rendement
-age tourner, abattre, passer tournage, abattage, passage
-ure souder, ouvrir, gager, brûler soudure, ouverture, gageure, brûlure
lever, entrer, monter, tourner,
-ée levée, entrée, montée, tournée, dictée
dicter
-ie incendier, envier, agoniser incendie, envie, agonie
-te, -té perdre, vendre, égaler perte, vente, égalité
-at assassiner, résulter, plagier assassinat, résultat, plagiat
-ise prendre, mépriser, maîtriser prise, méprise, maîtrise
-ade tirer, promener, rouler tirade, promenade, roulade
-xion connecter, fléchir, réfléchir Connexion, flexion, réflexion
-erie rêver, flâner, tromper rêverie, flânerie, tromperie,
-son guérir guérison
-sson cuire, boire cuisson, boisson

suppression de la terminaison débuter, ajouter, sauter, chanter,


début, ajout, saut, chant, vol, arrêt, fin, appât
verbale voler, arrêter, finir, appâter

sans changement du verbe rire, sourire, souper, dîner rire, sourire, souper, dîner

Nominalisation à partir des verbes


Avertir Avertissement Supprimer Suppression
Hériter Héritage Vérifier Vérification
Accorder Accord Partir Départ
Monopoliser Monopole Elargir Elargissement
Persuader Persuasion Inaugurer Inauguration
Réfléchir Réflexion Restreindre Restriction
Juger Jugement Ramper Rampement
Poursuivre Poursuite Réduire Réduction
Augmenter Augmentation Tomber Chute
Mentir Mensonge Retirer Retrait
Acheter Achat Déchirer Déchirure
Changer Changement Démolir Démolition
Gaspiller Gaspillage Cultiver Culture
Mordre Morsure Démissionner Démission
Choisir Choix Protester Protestation
Rassemblés par : prof Khalid Tanger semestre 2
Prendre Prise Paraître Parution
Arrêter Arrêt/arrestation Emballer Emballage
Consommer Consommation Manifester Manifestation
Convaincre Conviction Licencier Licenciement
Craindre Crainte Essayer Essai
Créer Création Accepter Acceptation
Découvrir Découverte Abattre Abattage
Déposer Déposition/dépôt Fondre Fonte
Convertir Conversion Appuyer Appui
Coudre Couture Assassiner Assassinat
Gérer Gestion Déménager Déménagement
Jeûner Jeûne Décéder Décès
Lire Lecture Dépenser Dépense
Dire Diction Envahir Invasion
Inscrire Inscription Emettre Emission
Décrire Description S’étendre Extension
Prédire Prédiction Jouir Jouissance
Prescrire Prescription Louer Location
Médire Médisance Payer Paie
Elire Election Pouvoir Puissance
Extraire Extraction Remettre Remise
Satisfaire Satisfaction Tourner Tour/tournage
maudire Malédiction Adapter Adoption
Traduire Traduction Rompre Rupture
Déduire Déduction Aboyer Aboiement
Détruire Destruction Approcher Approche
Nuire Nuisance Relever Relève/ Relèvement
Vendre Vente Trahir Trahison
Comprendre Compréhension Briser Brisement
Surprendre Surprise Plaisanter Plaisanterie
Entendre Entente Sonner Son/sonnerie
Confondre Confusion Venir Venue
Eteindre Extinction Baptiser Baptême
Défendre Défense Bâtir Bâtiment
Ouvrir Ouverture Coller Collage
Echouer Echec Conduire Conduite
Dormir Sommeil Conquérir Conquête
Promener Promenade Croire Croyance
Guérir Guérison Méditer Méditation
Agir Action Décevoir Déception
Brûler Brûlure Donner Don
Lancer Lancement Faire Faire
Rigoler Rigolade Détester Haine
Résoudre Résolution Peser Poids
Nominalisation à partir des adjectifs
Calme Calme Vif Vivacité
Sage Sagesse Bref Brièveté
Curieux Curiosité Loyal Loyauté
Cruel Cruauté Content Contentement
Apte Aptitude Rustique Rusticité
Brutal Brutalité Maniable Maniabilité
Lent Lenteur Hardi Ardent
Bas Bassesse Vulgaire Vulgarité
Haut Hauteur Laid Laideur
Protégé Protection Brave Bravoure
Fin Finesse Abondant Abondance
Rassemblés par : prof Khalid Tanger semestre 2
Epais Epaisseur Drôle Drôlerie
Intelligent Intelligence Étourdi Étourdissement
Long Longueur Souple Souplesse
Large Largeur Mince Minceur
Simple Simplicité Maudit Malédiction
Effacé Effacement Lourd Lourdeur
Horrifié Horreur Maigre Maigreur
Fier Fierté Réel Réalité
Enragée Rage Prospère Prospérité
Furieux Ferreur Ample Ampleur
Sérieux Sérieux Cohérent Cohérence
Authentique Authenticité Majestueux Majesté
Adhéré Adhésion Roublard Roublardise
Difficile Difficulté Ahuri Ahurissement
Maladroit Maladresse Rude Rudesse
Construit Construction Pudique Pudeur
Exact Exactitude Susceptible Susceptibilité
Doux Douceur Grossier Grossièreté
Rare Rareté Divers Diversité
Sot Sottise Courtois Courtoisie
Habile Habilité Sain Santé
Las Lassitude Traître Traîtrise
Blanc Blancheur Patriote Patriotisme
Gros Grosseur Téméraire témérité
Vieux Vieillesse Suffisant Suffisance
Fou Folie Grand Grandeur
Anonyme Anonymat Perfide Perfidie
Petit Petitesse Vantard Vantardise
Magnifique Magnificence Actif Activité
Muet Mutisme Pacifique Pacifisme
Ingrat Ingratitude Innocent Innocence
Paresseux Paresse Flexible Flexibilité
Humble Humilité Humain Humanité
Fat Fatuité Émotif Émotion
Prompt Promptitude Sensible Sensibilité
Pédant Pédantisme/Pédanterie Sourd Surdité
Bête Bêtise Muet Mutisme
Sec Sécheresse Solidaire Solidarité
Clair Clarté Précaire Précarité
Aveugle Cécité Fidèle Fidélité
Aberrant Aberration Passif Passivité
Franc Franchise Étrange Étrangeté
Pâle Pâleur Limpide Limpidité
Parfait Perfection Austère Austérité
Aéré Aération Immense Immensité
Sympathique Sympathie Gai Gaité
Allègre Allégresse Libre Liberté

LES VALEURS DES TEMPS DU RÉCIT

1- L’imparfait:
C’est le temps du passé qui présente l’action comme en train de se réaliser. Au moment de l’événement, l’action est déjà
commencée et n’est pas encore terminée. Elle est envisagée dans la durée, et n’est pas délimitée dans le temps. Dans un
énoncé au passé, il sert de toile de fond du récit.
L’imparfait peut être employé avec les valeurs suivantes:
- La durée.Ex: Depuis des mois, la neige recouvrait les champs.
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- La répétition ou l’habitude. Ex: Elle buvait du café au petit-déjeuner. Ex : Tous les matins il se levait et prenait son petit
déjeuner
- La description ou le commentaire. Ex: Pierre devait avoir peur: il tremblait et haletait.
- L’hypothèse. Ex: Si vous écoutiez, vous comprendriez.
- La narration. Ex: Après un dernier effort, il franchissait la ligne d’arrivée.
- La politesse. Ex: Je voulais vous demander un renseignement.
- L’arrière plan, par rapport au premier plan qui est au passé simple. Ex : il marchait tranquillement dans la rue quand
soudain quelque chose attira son regard
- La simultanéité : Quand plusieurs verbes à l’imparfait se suivent, leurs actionssont perçues comme simultanées. Ex: Les uns
jouaient aux billes, les autres se battaient et tous criaient à qui mieux mieux.

2- Le passé simple
C’est un temps du récit qui présente l’action comme achevée et limitée dans le temps. Dans un récit au passé il décrit les
actions de premier plan. Il présente une action passée comme révolue. Quand plusieurs verbes au passé simple se suivent, leurs
actions sont perçues comme successives.
Le passé simple peut être employé avec les valeurs suivantes:
- L’action achevée. Ex: La guerre de Cent Ans dura de 1337 à 1453.
- La succession des actions. Ex: Il ouvrit la porte, entra, s’assit et se mit à écrire.
- La soudaineté. Ex : Il contemplait la rue. Tout à coup il se leva et sortit de chez lui.
- Le premier planpar rapport à l’arrière-plan exprimé par l’imparfait. Ex : le vent soufflait, il mit pourtant son bateau à la
mer.

Passé simple ou imparfait ?


Les faits au passé simple interrompent souvent les faits à l’imparfait.
Deux solutions :
1. Un décor interrompu par une action.
2. Une action de second plan interrompue par une action plus importante de premier plan.

Dans le RECIT :
-si le verbe exprime une description : imparfait
-si le verbe exprime un jugement : passé simple : considérer, juger.
- si le verbe est un verbe d’action :
1. l’action est longue : imparfait car l’action est considérée comme une action secondaire mais pas toujours.
2. l’action est brève : passé simple, car l’action est considérée comme l’action principale.
- si le texte contient des adverbes de temps comme tout à coup, enfin : passé simple.
TABLEAU-SYNTHÈSE DES PROPOSITIONS SUBORDONNÉES
Conjonctions
Circonstance Mode Verbal EXEMPLES
Locutions
avant que, "J' irai le voir avant qu' il sorte."
jusqu' à ce "Tu auras ta migraine jusqu' à ce que tu sois couché."
que, "En attendant que je sois prête, prépare les bagages."
SUBJONCTIF
en attendant
que,
etc.:
Quand, "Quand je suis fatigué, je me repose."
après que, "Quand j' étais jeune je ne me fatigait jamais."
comme, "Tu pourras sortir lorsqu' il viendra."
lorsque, "Lorsque nous aurons fini, nous partirons."
1. De TEMPS aussitôt que,
depuis (dès) INDICATIF
que,
alors que,
tandis que,
pendant que,
etc.
Avant de, "Après avoir parlé, il s' assit."
INFINITIF
après "Avant de partir, tu devras faire tes adieux."
PARTICIPE "L' enfant revenu, on se mit à table."
ou Il chantait en marchant."
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GÉRONDIF
Comme,
parce que,
puisque,
vu que,
"Faites cela parce que le devoir le commande et l' honneur l' exige."
attendu que,
"INDICATIF "Comme il dort, tu ne feras pas de bruit."
du moment
"Puisqu' il fait sombre, relève le rideau."
que,
étant donné
que,
etc.
Ce n' est pas
2. De CAUSE
que,
"Ce n' est pas que je craigne les hommes..."
non pas que, SUJONCTIF
"Non pas que j' admette sa compétence..."
non que,
etc.
À, DE,
POUR, "Elle est fatiguée d' avoir trop travaillé."
INFINITIF
à force de, "Il est mort pour s' être baigné après le repas."
etc.
PARTICIPE "Ayant trop dormi, ils ont manqué le train."
ou "Étant malade, elle garde la chambre."
GÉRONDIF "En l' aimant, il lui donne de bons conseils."
De telle "Faites tout de manière que chacun soit content."
manière que, "Le voleur n' a fait aucun bruit, si bien qu' on ne l' a pas entendu."
de telle façon
que,
de telle sorte SUBJONCTIF
que, (fait souhaité)
si bien que, GÉRONDIF (fait
à tel point constaté)
que,
tellement
que,
etc.
Si... QUE,
3. De tant... que,
"Il est si (tellement) bon qu' il pardonne tout."
CONSÉQUENCE tellement... INDICATIF
"J' ai tant marché que je suis épuisé."
que,
etc.
Sans que, "Il marche trop vite pour qu' on le suive."
assez (trop) "Sortez sans qu' on vous entende."
SUBJONCTIF
...pour que,
etc.
De manière "Il agit de manière à se perdre."
à, "Il fut assez hardi pour y aller."
de façon à "Nous habitons trop loin pour venir ici souvent."
au point de, INFINITIF
assez (trop)
...pour,
etc.
Afin que, "Venez à l' heure pour qu' on puisse voir tout le spectacle."
pour que, "Il ferme la porte de peur que le chien ne revienne."
de peur que
4. De BUT ... ne, SUBJONCTIF
de crainte
que ...ne
:
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Afin de, "J' irai pour te faire plaisir."
pour, INFINITIF "J' étudie pour apprendre."
etc.
Bien que, "Si mince qu' il soit, un cheveu fait de l' ombre."
quoique, "Il était généreux quoiqu' il fût économe..."
encore que, "Elle recevra ce prix bien qu' elle ne le mérite pas."
aussi (si)...
que, SUBJONCTIF
quelque...
que,
tout... que,
etc.
5. De Si, "Même si je perdais tout mon argent, je n' hésiterais pas."
CONCESSION même si,
INDICATIF
alors que,
etc.
Pour, "Pour être prince, on n' est pas moins homme."
INFINITIF
avoir beau: "J' ai beau étudié, je ne réussis pas."
Quand "Lors même qu' il serait arrêté, il manifesterait ses idées."
même, "Quand même tu aurais raison, on ne te croirait pas."
lors même CONDITIONNEL
que,
etc.
Plus... que,
moins.... que,
aussi... que,
comme, INDICATIF "Il est aussi grand que toi."
6. De
ainsi que, ou "Il vous traite comme il traiterait son propre fils."
COMPARAISON
autant que, CONDITIONNEL "J' emploie le même moyen que celui que vous avez employé."
le même...
que,
etc.
Au cas où, "Au cas où tu viendrais, téléphone-moi."
pour le cas "Au cas où une complication se produirait, nous serions heureux de t'
où, accueillir."
CONDITIONNEL
quand
même,
etc.
À condition "À condition qu' il vienne, on fera un bon travail."
que, "Je resterais à la maison à moins qu' il fasse, très beau."
SUBJONCTIF
à moins que,
7. De etc.
CONDITION PARTICIPE "En attendant un bruit la nuit, je me lève."
ou "Partant pour l' Italie, j' apprendrais l' italien."
GÉRONDIF:
"Si tu manges trop, tu grossis."
SI + Présent "Si tu manges trop, tu grossiras."
Si + "Mange trop, si tu veux grossir."
Imparfait INDICATIF "Si tu mangeais trop, tu grossirais."
Si + Plus- "Si tu vas avec lui, tu t' en repentiras."
que-Parf.: "Si allais avec lui, tu t' en repentirais."
"Si tu étais allé avec lui, tu t' en serais repenti."

EXERCICES :
1. Je souligne la subordonnée relative de chacune des phrases suivantes.
- J’ai adoré la légende que j’ai lue hier.
- Le professeur a vu le film dont nous lui avions parlé.
- Je n’avais jamais vu auparavant une personne qui parlait ainsi.
2. J’entoure le pronom relatif et je souligne son antécédent.
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- L’aventure que notre équipe nationale a vécue est tout simplement magnifique.
- La forêt dont notre professeur parle est l’Amazonie.
- Le gendarme qui a vu une soucoupe volante hier soir, est encore sous le choc.
3. Je complète chaque phrase avec le pronom relatif qui convient.
- Toi qui aimes les histoires fantastiques, as-tu lu Jules Verne ?
- La leçon dont je te parle est très importante.
- La chambre où nous faisons nos devoirs est petite.
- Les palmiers que je vois depuis ma fenêtre sont magnifiques.
4. Soulignez la proposition subordonnée relative, entourez le pronom relatif et encadrez l’antécédent qui se trouve dans
chaque phrase:
1. Les fleurs que tu as achetées sont magnifiques.
2. Le gâteau qui refroidit sur la fenêtre est aux pommes.
3. Je vais chercher les médicaments dont tu as besoin.
4. Le restaurant où tu manges a une bonne réputation.
5. La télévision qui est dans la cuisine ne fonctionne plus.
6. Les costumes qu’elle a amenés sont pour le spectacle.
7. La personne dont je te parlais est là-bas.
5. Complétez les phrases suivantes par le pronom relatif convenable :
1. La fumée………que…………dégagent les voitures, provoque la pollution de l’atmosphère.
2. Tous ceux…qui……..vivent en ville manquent d’air pur.
3. Ce roman…dont………...les pages sont déchirées est intéressant.
4. Il s’arrêta devant la cheminée, …………où……..le feu de bois brûlait.
5. Le mal ……dont…………..j’ai souffert s’est enfui comme un rêve.
6. Dans son rêve, …qu’………………il oublia plus tard, il se trouvait heureux.
7. Elle a revu avec plaisir la maison……où………elle était née.
8. Les jours……qui…….. passent ne reviennent jamais.
9. Les jours ………où…………je ne reçois personne sont tristes.
6. Reliez les phrases suivantes par le pronom relatif convenable :
1. Ce vent est très violent. Ce vent secoue les arbres.qui
2. J’ai mangé tous les gâteaux. Tu m’as acheté les gâteaux.que
3. La campagne représente un milieu de vie de qualité. J’ai vécu dans cette campagne. Où lieu
4. Le professeur explique les cours. Les élèves doivent réviser ces cours.que
5. Cet enfant raconte des blagues. Celles-ci amusent tous les invités.qui
6. Il faut surveiller la chambre. Tous les petits enfants dorment dans cette chambre. où lieu
7. Voici le public. Le chanteur doit affronter ce public.que
8. Ce client est revenu. J’ai oublié le nom de ce client. dont
9. Ce film est très comique. Vous m’avez parlé de ce film. dont
10. Ce parc est magnifique. Nous nous promenons tous les soirs dans ce parc. Où temps
11. Cet homme se rappelle toujours l’année. Le tremblement a ravagé la ville d’Agadir cette année.
7. Les phrases simples des exemples suivants peuvent être liées entre elles par la subordination. Transforme ces phrases
pour en faire des phrases complexes, la phrase principale étant la première des deux phrases présentées.
1. L’auto rouge appartient à mon oncle. Elle s’avance vers moi.
2. Les navigateurs sont des gens extraordinaires. J’ai connus ces navigateurs lors de mon voyage.
3. J’ai mangé toutes les carottes. Tu m’as amené ces carottes la semaine dernière.
4. Les orages ont fait des ravages. Les orages ont déferlé sur la ville. J’ai visité cette ville l’an dernier.
5. Mon père resta figé devant le policier. Le policier lui signalait de circuler.
6. Je m’approchai de la maison. Les murs de la maison étaient demeurés intacts.
7. La campagne représente un milieu de vie de qualité. J’ai vécu dans cette campagne.
8. Les enfants ont chanté une chanson touchante. On a fait une ovation aux enfants.
9. Le joueur ratera le début de la saison en raison d’une blessure. Tu fais mention de ce joueur dans ton texte.
10. J’aime sa gaité. Elle s’accorde bien avec sa générosité.
8. Reliez les phrases avec les pronoms relatifs corrects.
Bernadette habite dans un appartement. Cet appartement est situé à côté de la gare.
L'appartement dans lequel habite Bernadette est situé à côté de la gare.
Rassemblés par : prof Khalid Tanger semestre 2
1. Les enquêteurs ont trouvé le corps sur une plage. Cette plage est celle de Trouville.
La plage …………………….. les enquêteurs ont trouvé le corps est celle de Trouville.
2. L'inspecteur veut parler à certaines personnes. Ces personnes sont les parents de la victime.
Les personnes ……………………….. l'inspecteur veut parler sont les parents de la victime.
3. Roger Duflair a rendez-‐vous avec une personne. Cette personne est un témoin.
La personne ……………………….. Roger Duflair a rendez‐vous est un témoin.
4. La mère de Bernadette réfléchit à un problème. Ce problème est le mobile du crime.
Le problème …………………………..réfléchit la mère de Bernadette est le mobile du crime.
5. La victime a été retrouvée sans ses chaussures. Ces chaussures sont des preuves.
Les chaussures ………………………la victime a été retrouvée sont des preuves.
6. Bernadette se méfiait d'un homme. Cet homme n'est pas connu de la police.
L'homme ………………………. se méfiait Bernadette n'est pas connu de la police.
7. La police a trouvé un sac. A l'intérieur de ce sac il y a une photo.
La police a trouvé un sac à l'intérieur ………………… il y a une photo.
8. Bernadette est morte pour une raison. Cette raison est toujours un mystère.
La raison ………………….. Bernadette est morte est toujours un mystère.
9. L'inspecteur se rend chez les amis de la victime. Ces amis doivent faire une déposition.
Les amis de la victime …………………. se rend l'inspecteur doivent faire une déposition.
10. La famille est en colère contre certains journalistes. Ces journalistes ont parlé d'un suicide.
Les journalistes ………………………..la famille est en colère ont parlé d'un suicide.
9. a) Soulignez les propositions subordonnées relatives.
b) Entourez le pronom relatif qui introduit chacune d'elles.
c) Encadrez l'antécédent et reliez-le à la proposition subordonnée par une flèche.
Dans son roman, Charlie et la chocolaterie, l'auteur anglais Roald Dahl raconte l'histoire d'un jeune garçon qui s'appelle
Charlie et qui gagne un jour un ticket d'or dans une tablette de chocolat. Charlie, qui est très pauvre, se réjouit d'obtenir ainsi
du chocolat à volonté pour toute sa famille. De plus, le directeur de la chocolaterie qui est très vieux, décide de confier son
usine à la seule personne qui est capable de la diriger , c'est-à-dire Charlie.
10. Voici des débuts de définitions : complétez-les en utilisant des propositions subordonnées relatives (aidez-vous, si
besoin est, d'un dictionnaire) :
Le Loup est un animal qui ...
La Mongolie est un pays qui ...
La Peste est une maladie qui ...
Jean de La Fontaine est un auteur qui ...
Un Fabuliste est un écrivain qui ...
11. Remplacez les propositions subordonnées relatives en gras par des adjectifs qualificatifs de même sens :
Un enfant qui ne peut pas être supporté / un enfant ...
Une terre qui n'est pas connue / une terre ...
Une fin qui n'est pas morale / une fin ...
Un ennemi qui n'est pas visible / un ennemi ...
Un discours qui n'est pas juste / un discours ...
12. Complétez les phrases suivantes avec le pronom relatif indéfini approprié (Ce qui/ce que/ ce dont).
1. Tu peux faire ……………… tu veux.
2. …………. me plait, c'est de manger.
3. ……………je te parle? De mon livre!
4. Je ne sais pas………….. tu lis.
5. Vous ne mangez pas …………….. est dans votre assiette.
6. ………………….tu as besoin, c'est de travailler.
7. ………………il dit est vrai!
8. ………………..nous avons envie, c'est d'une glace.
9. ………………est injuste, c'est la misère.
10. Ils ne trouvent pas …………………… tu leur as demandé.
13. Soulignez les subordonnées dans les phrases suivantes, puis transformez-les en adjectifs et remplacez-les par les
compléments de nom :
1) Les produits que fabrique l’Amérique ont de mauvaise qualité
2) L’amour que lui donne sa mère le réconforte beaucoup
3) Les maladies qui frappent les enfants sont plus graves
4) Les crises qui attaquent les cœurs sont souvent mortelles
5) Les activités qui se déroulent à l’école préparent les apprenants à affronter la vie
I. Dans les phrases suivantes, soulignez d'un trait la proposition principale, de deux traits la proposition complétive.
Rassemblés par : prof Khalid Tanger semestre 2
1. Je sens que tu as mangé du fromage.
2. Je sais comment tu as réussi à sortir de la marre.
3. Je suppose que ton cousin est un porc comme toi.
4. Ta grand-mère adore que son furet lui lèche les pieds.
5. Bébert en assez que joues à la pétanque sur son terrain de tennis.
II. Soulignez d'un trait les subordonnées, de deux traits les subordonnées complétives. Encadrez les verbes qu'elles
complètent.
1. On a vu que le chien a mangé la viande destinée aux invités
2. Tout le monde se demande pourquoi Brigitte a soudain perdu son dentier.
3. Il va enfin pouvoir rouler avec le tricycle qu'il a fabriqué de ses propres mains.
4. Elle aime bien flâner un peu quand elle a fini de ne rien faire.
5. On ignore quand cet édifice a été construit.
6. Il ne sait plus où il a garé le fauteuil de sa femme.
III. Remplacez les GN soulignés par des complétives introduites par le mot « que ».
1. On attend sur le quai le retour des bateaux de pêche.
2. Je n'accepte pas tes réactions violentes envers ton petit frère.
3. M. Flatinouile prétexte toujours un retard dans son travail pour ne pas venir aux réunions.
Dans toutes ces phrases, quelle est la fonction grammaticale des GN soulignés (et des propositions complétives)
IV. Soulignez le subordonnées introduites par « que ». Dites si elles sont relatives ou complétives
1. Cet affreux tableau est une toile que mon frère a peinte.
2. Certains prétendent que cette maison est hantée.
3. Quel est le dernier bouquin que tu as lu ?
4. Tous croyaient que le spectacle était fini et se sont levés.
5. Elle vit avec ennui que son kebab était plein de scolopendres.
6. Ce morceau est celui que Gudrulinde jouera pour son audition.
V. Transformez les phrases interrogatives suivantes pour en faire des subordonnées complétives interrogatives
compléments des verbes indiqués.
1. Est-ce que tu as vu le dernier spectacle du Cirque du Soleil ?
Je me demande
2. Qu’est-ce qu’ils font pour tenir en équilibre aussi longtemps ?
J’aimerais savoir
3. Qui est-ce qui t’accompagnera ce soir ?
Rappelle-moi
4. Où est-ce que je dois aller pour me procurer des billets ?
J’ignore
5. Comment procède-t-on pour réserver nos places ?
Dis-moi
VI. Dans les phrases ci-dessous, conjuguez correctement le verbe des subordonnées complétives au mode subjonctif ou
indicatif.
Relevez chaque subordonnée et donnez-en la fonction et la sorte, s’il y a lieu.
1. Je doute qu’on (faire) ____________________ une exception pour vous.
2. Nous aimerions que tu (voir) ____________________ la première du spectacle et que tu nous (donner)
____________________ ton appréciation.
3. L’entraîneur souhaite que les acrobates ne (être) ____________________ pas trop nerveux avant le spectacle.
4. Nous savions que vous (venir) ____________________ ce soir.
5. Je suis certaine que ce jongleur (prendre) ____________________ sa retraite après le spectacle.
VII. Récrivez les phrases suivantes en réduisant les subordonnées complétives selon les indications données entre
parenthèses. Veillez à respecter le sens du texte et à apporter toutes les modifications nécessaires.
1. J’ai appris que le spectacle a été annulé.
(Remplacer la subordonnée complétive par un groupe nominal.)
2. Il pense qu’il réussira mieux que les autres.
(Remplacer la subordonnée complétive par un groupe infinitif.)
3. Il doute qu’elle soit capable de tenir le coup.
(Remplacer la subordonnée complétive par un groupe prépositionnel.)
4. L’éclairagiste a dit qu’il voulait faire quelques essais avant la première demain soir.
(Remplacer la subordonnée complétive par un groupe infinitif.)
5. Elle espère que vous répondrez à son invitation dans les plus brefs délais.
(Remplacer la subordonnée complétive par un groupe nominal.)
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VIII. Dans les phrases suivantes, soulignez les subordonnées complétives et dites si elles complètent un verbe, un nom
ou un adjectif ou si elles sont sujets.
a) Je lui fis observer qu’elle était d’âge à manger, qu’elle avait sous le bec une excellente pâtée et que j’étais résolu à ne pas
fermer les yeux plus longtemps. (G. Sand)
b) Vos amis sont heureux que vous ayez réussi ce concours.
c) Que le bombardement eût cessé faisait naître de l’espoir. (J. de Lacretelle)
d) Je m’aperçus que la lampe baissait. Je compris que le jour se levait et que la lampe devenait inutile. (Marguerite Audoux)
e) L’espoir que l’assassin de leur fille serait attrapé soutenait les parents.
f) Il disait que toutes les terres lui appartenaient, que la forge depuis plus de deux cents ans fournissait des charrues à tout le
pays, que pas une moisson ne poussait sans lui. (É. Zola)
g) La crainte qu’il parte de nouveau la rendait inquiète.
h) Que ses amis le méconnussent le remplissait d’amertume. (R. Rolland)
IX. Dans les phrases suivantes, soulignez la subordonnée complétive et précisez s’il s’agit d’une subordonnée
interrogative indirecte ou une exclamative indirecte, s’il y a lieu.
a) On se demande quel est ce beau seigneur en culotte d’argent. (A. Daudet)
b) Elle m’avertit que les plus grands malheurs fondraient sur moi si je révélais le secret… Elle me demanda si je ne pourrais
pas lui donner quelque argent pour payer le boulanger. (A. France)
c) Vous devinez quelle frayeur nous avons éprouvée.
d) Je sais que je manque de souffle, que je me laisse prendre le ballon, que je n’ai pas le coup de pied précis. (H. de
Montherlant)
e) Il ne sait pas comment il est tombé, s’il a sauté d’un bond irraisonné, s’il s’est accroché au chéneau, s’il s’est retenu dans sa
chute aux saillies des pierres de taille. (M. Genevoix)

I. Établissez le rapport de condition et d’hypothèse entre les deux phrases syntaxiques.


a) Les enfants sont ravis. On invite leurs amis au chalet pendant une semaine.
b) Ma voiture ne démarrerait pas ce matin, je t’appellerais pour m’accompagner au travail.
c) Cet architecte est très doué. Il présenterait une maquette de l’établissement, son projet serait sûrement retenu.
d) Le vent ne souffle pas très fort ; les régates du fleuve Saint-Laurent se dérouleront comme prévu.
e) Le spectacle présenté obtient le succès escompté ; la troupe fera une tournée de plusieurs mois dans les différentes régions
du Québec.
f) Cet acteur prenait la parole pour défendre les opprimés ; tout le monde l’écoutait.
II. Complétez les phrases suivantes.
a) Si tu as soif…
b) Si j’étais un chat…
c) Si nous étions invisibles…
d) S’il avait gagné un million….
e) Si vous étiez mannequin…
III. Dans les extraits suivants, soulignez les subordonnées de condition ou d’hypothèse.
a) Si les oiseaux migrateurs aperçoivent du haut des airs quelque manoir gothique environné d’étangs et de forêts, c’est là
qu’ils se préparent à descendre : ils attendent la nuit, et font des évolutions au-dessus des bois. (Adapté de Chateaubriand)
b) Quelque chose disait à Scott, malgré le doute qui s’implantait en lui, que le mutilé était bien l’homme recherché. Mais si la
mutilation de l’Esquimau était le fait d’un récent accident, comme il avait raison de le supposer, l’identification devenait
difficile. (Yves Thériault)
c) Walter Schnaffs ne pouvait rester dans ce ravin et s’y cacher jusqu’à la fin des hostilités. Non, certes. S’il n’avait pas fallu
manger, cette perspective ne l’aurait pas atterré ; mais il fallait manger. (Guy de Maupassant)
d) Tes enfants se trouveraient dans la misère si tu venais à mourir, à moins que ta femme n’eût quelque bien de son côté.
(George Sand)

IV. Mettez les verbes entre parenthèses au mode et au temps voulus.


1. Tu verras de beaux monuments à condition que tu (aller) en France
2. Il réussira pourvu qu'il (ne pas faire) trop de fautes dans la dictée
3. En admettant qu'il (avoir) le temps, je ne pense pas qu'il trouve la solution.
4. Elle réussira pour peu qu'elle (faire) un effort.
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5. A supposer que vous (venir) chez moi et que je (ne pas être) là, attendez-moi.
6. Elles n'arriveront pas dans les délais à moins qu'elles n'(avoir) de la chance.
7. Qu'il (faire) beau ou qu'il (pleuvoir), nous sortirons.
8. Si tu eusses travaillé davantage, tu (obtenir) une meilleure note.
9. Nous serions venus au rendez-vous si nous (pouvoir) nous libérer.
10. En admettant qu'ils (pouvoir) le convaincre, il n'est pas sûr qu'ils eussent obtenu un meilleur salaire.
11. Je viendrai te voir à moins qu'il ne (faire) mauvais temps.
12. Pour peu que tu le (vouloir), nous irons en vacances ensemble.
13. Nous irions le voir au cas où il (être) malade.
14. Si tu (pouvoir) m'aider, je finirais plus vite.
15. Il y aurait eu moins de voitures si nous (prendre) l'autoroute.
16. Si tu avais pu m'aider, je (finir) plus vite.
17. Si tu avais terminé ce travail dans les délais, cela (être) formidable.
18. Aurait-elle trouvé la solution si je (ne pas l'aider) ?
19. Vous obtiendrez une bonne note pour peu que vous (apprendre) vos leçons.
20. Viens me voir après ton travail si tu (avoir) le temps.
21. Je serais heureux si tu (avoir) un peu de temps pour m'aider.
22. Je vous rendrai visite à moins qu'il ne (neiger) en abondance.
23. Si j'étais arrivé en retard, je (être puni).
24. Il (se raser) s'il avait eu un peu plus de temps.
Condition réelle
V. Complète les phrases.
1. Si (je/se perdre) …………………………………, je t’appellerai.
2. Si (vous/aider/les voisins) …………………………… pour leur déménagement, vous devez m’aider aussi.
3. Si (tu/aimer/quelqu'un) …………………………………., il faut le lui dire.
4. Si (vous/manger) ……………………………………… trop de bonbons, vous tomberez malades.
5. S’(ils/manquer d'argent) …………………………….., ils savent à qui demander.
Condition irréelle (dans le présent)
VI. Complète les phrases.
1. Si tu voulais, tu (pouvoir) ……………………………… faire le métier de tes rêves.
2. Si la Terre était carrée, nous (avoir) ……………………… un horizon pointu.
3. Si tu me (mentir) ……………………………………, je le saurais.
4. Si vous (faire) ………………………………. plus souvent la cuisine, vous connaîtriez les ustensiles.
5. Si Papa (apprendre) ………………………… cette bêtise, il (se fâcher) …………………………………………….
Condition irréelle (dans le passé)
VII. Complète les phrases.
1. Si tu (me/appeler) …………………….., je serais venu.
2. Si je n’étais pas allée à la chorale, je (ne pas/rencontrer) …………………… Pierre.
3. Si les poules (pondre) …………………….. des œufs hier, nous aurions pu faire des crêpes.
4. Si nous avions eu de la chance, nous (gagner) ………………… la croisière.
5. Si Gérard et Chantal (dormir) …………………………… plus longtemps, ils n’auraient pas eu d’accident.

I. Dans les phrases suivantes, remplacez l’expression avoir beau par la conjonction bien que ou quoique.
Exemple : les étudiants ont beau faire du bruit, le professeur continue le cours.
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Quoique les étudiants fassent du bruit, le professeur continue son cours.
1. Il a beau avoir fait chaque jour un entraînement intensif, il n’a pas amélioré sa vitesse.
2. L’accusé a beau crier son innocence, il a été condamné.
3. Il a beau affirmer qu’il rembourserait ce qu’il a volé, on ne l’a pas cru.
4. Elle avait beau savoir bien nager, elle avait de la difficulté à se sortir des tourbillons.
5. Nous avions beau être courageux, nous ne pouvions pas tout prendre en charge.
6. Il avait beau demander régulièrement une augmentation à son patron, il ne l’obtenait jamais.
II. Reconstituez les phrases à partir des éléments suivants :
1. Promesse de négociation / cependant / poursuite de la grève.
2. Bien que / quantités moindres de pétrole que / conséquences dramatiques de la marée noire.
3. Redoux / cependant / risque de verglas.
4. Malgré faible mobilisation / trafic perturbé.
5. Malgré embellie / chômage élevé.
III. Reliez les deux éléments proposés en marquant la concession.
1. Ne pas être sportif / ne pas manquer un match à la télé.
2. Etre timide / s’habiller de couleur voyantes.
3. la match a lieu / pleuvoir.
4. Se noyer / savoir nager.
5. l’avion décolle / faire mauvais temps.
IV. Complétez les phrases avec l’expression marquant l’opposition ou la concession qui convient (observez bien les
modes et les temps)
1. Il ……………….faire froid, la vieille dame faisait une petite promenade.
2. ………………..l’interdiction du médecin, il est sorti.
3. Elle se présente au concours d’infirmière ……………..elle s’évanouit à l’odeur de l’éther.
4. Elle déteste son père ……………..tout ce qu’il a fait pour elle.
5. ……………..qu’elle aille, on la reconnaîtra.
6. Je n’admettrai aucune critique de …………ce soit.
7. …………soit le médecin que vous voyiez, n’oubliez pas de lui parler de vos douleurs au bras.
8. Promène-toi un peu, …………de rester enfermé dans ta chambre.
9. Il était furieux que ses amis soient partis ………lui.
10. Elle a travaillé toute la journée ……………elle soit malade.
11. Les bateaux sont sortis en mer ……………….on ait annoncé une tempête.
12. Il refuse toujours de payer sa part au café …………….il a beaucoup d’argent.
13. C’est une famille très pauvre mais ils survivent ………………….
14. Je garderai toujours l’espoir ………………la situation s’aggrave.
15. Les chiens suivent toujours leur maître ………les chats sont plus indépendants.
16. Cet étudiant …..très intelligent, a totalement raté son examen oral.

V. Reliez ces phrases avec une conjonction de subordination (différente à chaque fois), où la subordonnée exprime
l’opposition ou la concession.
- Elle veut devenir une star. Elle n’aime pas être prise en photo.
- Il voyage beaucoup. Il n’a jamais pris l’avion.
- Tu n’es pas d’accord. J’irai à cette soirée.
- Vous avez choisi ce restaurant. Vous auriez dû en choisir un meilleur et moins cher.
- Tu voyages partout. Je veux aller avec toi.
- Il est très malin. Tu as réussi à le piéger.
- Il a étudié à l’université. Son frère a travaillé dès quatorze ans.
VI. Introduisez une conjonction de coordination entre ces phrases pour exprimer explicitement une opposition ou une
concession.
- Tu dis que tu m’aimes. Tu as une petite amie.
- Vous dites que vous avez des problèmes de vue. Vous ne portez pas de lunettes ni de lentilles.
VII. A l’aide d’un adverbe, exprimez une idée d’opposition ou de concession avec les propositions suivantes.
- Il a dormi plus de douze heures. Il est encore fatigué.
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- Il travaille dans le commerce. Il n’a pas de téléphone portable.
- Il est tard. Le soleil n’est pas couché.
- Il ne fait jamais la vaisselle. Il quitte toujours la table pour retourner à ses jeux vidéo.
- La machine à laver était en pane depuis un mois. Il l’a réparée hier.
- Il a travaillé pendant dix ans. Il n’a pas un centime sur son compte en banque.
- Il a une pointe de côté. Il a fini la course en troisième position.
VIII. Transformez ces phrases en introduisant une préposition qui exprime l’opposition ou la concession.
- Ton copain n’a pas volé ma console de jeu. Je ne sais pas qui c’est.
- C’est une personne âgée. Il est très en forme !
- Je suis allé en Chine. Pas toi.
- Tu penses que je n’en suis pas capable. Je vais faire le tour de France.
IX. Reliez les deux propositions en employant les moyens indiqués entre parenthèses :
1. Il est âgé. Il est encore actif (même si, bien que, malgré, pourtant)
2. Il a promis de venir. Il n’est pas venu (même si, quoique, malgré, bien que, mais)
3. Il pleut. Nous sortirons (bien que, même si, malgré, toutefois)
4. Il sait la vérité. Il ne veut pas la dire (même si, quoique, cependant)
5. Il est malade. Il va travailler (bien que, même si, malgré, pourtant)
6. La démonstration est logique. Le résultat est faux (même si, malgré, bien que, mais)
7. Il est encore jeune. Il a une grande expérience (bien que, malgré, quoique, même si, toutefois)
8. Chaque jour il fait un entrainement intensif. Il n’a pas amélioré sa vitesse (bien que, même si, cependant)
9. Les élèves font le bruit. Le professeur continue d’expliquer son cours (même si, bien que, pourtant)
10. Il est fort. Il ne peut pas soulever ce poids (malgré, quoique, même si, bien que, mais)
11. Il n’est pas sportif. Il ne manque pas un match à la télévision (même si, bien que, toutefois)
12. Il est timide. Il a pu prendre la parole devant tout le monde (malgré, quoique, même si, cependant)
13. Il n’a pas bien préparé. Il a réussi son examen (quoique, même si, pourtant)
14. Il sait nager. Il s’est noyé (même si, bien que, mais)
15. Il fait mauvais temps. L’avion décolle (même si, bien que, malgré, toutefois)
16. Il fait froid. Jean fait une petite promenade (malgré, même si, bien que, cependant)
17. Elle est malade. Elle a travaillé toute la journée (malgré, même si, bien que, pourtant)
18. Les bateaux sont sortis en mer. Il y’a une forte tempête (même si, pourtant)
19. Il a beaucoup d’argent. Il refuse de payer sa part au café (quoique, cependant)
20. La situation s’aggrave. Il garde toujours l’espoir (même si, quoique, pourtant)
21. Cet étudiant travaille bien. Il a échoué (même si, bien que, malgré, cependant)
22. Il est gentil. Personne ne l’aime (malgré, même si, bien que, pourtant)
23. Il est méchant. Tout le monde l’aime (même si, bien que, malgré, cependant)
X. Remplacez le groupe en italique par une subordonnée de concession ou d’opposition.
a) En dépit de son courage, l’athlète a dû renoncer à la course.
b) Malgré ses efforts continus, cet étudiant n’a pas réussi à la fin de la session.
c) Ils ont beau trembler de froid, les techniciens continuent de réparer les fils électriques.
d) Malgré leur fatigue, les soldats poursuivent le combat.
e) En dépit de cette grande chaleur, la maison reste fraîche.
XI. Établissez un rapport de concession ou d’opposition entre les deux phrases syntaxiques.
a) Cet enfant reste chétif. Il mange suffisamment.
b) Louise est expansive. Son frère est réservé.
c) Il fait froid. Il promène son chien dans le parc.
d) Ce grand-père ne sort presque jamais. Il a une belle voiture.
e) Ces ouvriers se sont mis rapidement au travail. Ils sont très fatigués.
f) Ces voyageurs doivent attendre des heures à l’aéroport et ils sont impatients.
XII. Dans les extraits suivants, soulignez les subordonnées de concession ou d’opposition.
a) Iriook s’approcha, tenta d’aider Agaguk, mais il lui jeta un ordre brutal, enragé, et la femme recula. Il mit une demi-heure à
vaincre. Et soudain, sans qu’il l’eût prévu, la corde devint lâche. L’instant d’une seconde, une grande angoisse l’assaillit.
(Yves Thériault)
b) Bien qu’il fût en santé parfaite, il se droguait à force, en vue des maux futurs. Il absorbait pèle- mêle tous les échantillons
que lui faisaient tenir, selon l’usage, les maisons de produits chimiques. Et s’il n’en est pas mort vingt fois, c’est je pense, que
tous ces poisons s’annulaient l’un l’autre dans son bon estomac. (Georges Duhamel)
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c) Quoique vous soyez belle, et que vos talents ajoutent à votre beauté ; quoiqu’on vous loue du matin au soir, et que par toutes
ces raisons vous soyez en droit de n’avoir pas le sens commun, cependant vous avez l’esprit très sage et le goût très fin.
(Voltaire)
d) Je voyais déjà ma mère mourir de mortification, elle qui se vantait partout de mes succès en classe. [Les Frères de
l’Instruction chrétienne] prétendirent que j’avais une mauvaise influence sur les autres élèves alors que je ne parlais qu’à Réal
Bastien que je connaissais depuis six ans. (Adapté de Michel Tremblay)
XIII. Trouvez le mode du verbe en gras (soulignez-le en noir s’il est à l’indicatif, en bleu s’il est au subjonctif et en vert
s’il est au conditionnel) puis complétez la proposition subordonnée à l’aide de l’un des connecteurs proposés : Quoique,
quoi que, tout, Si, quand bien même, même si, où qu’, qui que.
1. ............................................. tu rencontres durant le carrefour carrière, n’oublie pas de lui demander les informations qui te
manquent.
2............................................. nous lui ayons fait de multiples propositions, il refuse de nous écouter.
3. ............................................. malade qu’il soit, il continue à voyager.
4. ............................................. nous apprécions toujours notre collège, nous sommes très impatients de découvrir la vie de
lycéen.
5. ............................................. intéressé qu’il soit, il n’a pas voulu participer au voyage à Londres.
6. ............................................. Victor reviendrait demain, je lui apporterai son travail cet après-midi.
7. ............................................. tu dises, nous ne changerons pas d’avis.
8. ............................................. elle soit tombée, nous retrouverons la clé égarée…………………………
XIV. Mets les verbes entre les parenthèses, au temps qui convient :
II emporte un grand parapluie, bien que le temps (être) beau.
Elle gardait son manteau de fourrure sur elle, bien que la salle (être) chauffée.
Quelque désireux qu'il (être) de plaire a l'auditoire, il ne sut que l'endormir.
Quoique sa maladie (être) sans remède, il fait de nombreux projets d'avenir.
II cherche toujours des expressions rares et relevées bien qu'il(ne pas connaitre) toujours le sens.
Si pauvre qu'il (être) il trouvait moyen d'apporter un souvenir a chacun.
II a continue sa besogne quoique le temps (être) incertain.
Quoiqu'il (être) patient, il était irritable.
Quoique la Tour Eiffel (avoir) plus de cent ans, elle tient toujours debout.
Bien que l'on (être) au mois de mai, on pouvait encire skier a basse altitude.
Tout astucieux qu'il (être) il s'est fait rouler.
Quand bien même le ciel (être dégagé), il emporterait son parapluie.
Tandis qu'il (dormir) sur ses deux oreilles, son fils fait des siennes
Alors que vous (savoir) pertinemment que vous allez le contrarier, vous agissez contre son gré.
Si robuste qu'elle (être), on ne peut demander l'impossible à une voiture.
Même si vous (arriver) a vos fins, vous ne l'emporterez pas au Paradis.
Quoi que vous (faire), qui que vous (être), vous n'aurez jamais le dernier mot avec lui.
XV. Substitue l’expression « avoir beau » aux autres structures exprimant l’opposition.
Tu avais envie de rire et pourtant tu as garde ton sérieux.
II est facile de faire un souffle au fromage, cependant on peut ne pas le réussir.
Tu es très engage dans la vie politique, cependant tu t'abstiens de voter.
On a l'impression qu'il agit d'une manière inconséquente, mais il garde son bon sens.
La vieille dame fait la sourde oreille, bien qu'elle comprenne très bien les insinuations de ses futurs héritiers.
Vous parlez à mots couverts, mais je comprends tout ce que vous insinuez.
XVI. Remplace les points de suspension par : quoique, quoi que, quel que, quelque…que,…
Gardons confiance……………….. il advienne.
Je suis toujours critique……………. je fasse.
II faudra le comprendre………………… sa réaction.
II fait toujours son lit avant de partir…………… soit l'heure.
II ne te prendra jamais au sérieux…………. tu dises.
II a mis à jour tout son courrier……………..en général il soit très négligent.
XVII. Introduis une idée d’opposition dans les phrases suivantes :
Elle travaille toute la journée durement…………………. son mari regarde tranquillement la télé.
II sait faire fonctionner un ordinateur………………….. qu'il ne sait même pas faire une addition.
Elle a deux filles. L'une est expansive…………………….. que l'autre est repliée sur elle-même.
XVIII. Mettez les verbes entre parenthèses au mode et au temps qui conviennent
- Quoi qu'on (faire), il n'est jamais content.
- Où que vous (aller), envoyez-nous une carte postale.
- On lui donnerait cinquante ans, alors qu'il en (avoir) dix de moins.
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- Ils sont partis sans que je (pouvoir) leur dire au revoir.
-Si vous avez besoin de quoi que ce (être), adressez-vous à lui.
- Tandis que l'un (travailler), l'autre se reposait.
- Bien qu'elle (obtenir) ce diplôme depuis longtemps, elle n'a pas encore trouvé de travail.
- Quand bien même il (pleuvoir) , je ne renoncerais jamais à cette randonnée.
IXX. Complétez les phrases avec l'une des expressions suivantes: sans que, malgré, en revanche, cependant,
contrairement à, au lieu de, bien que, avoir beau, quand même, quitte à, or, même si.
- ce qu'on nous avait annoncé, il n'y a pas eu d'embouteillage sur l'autoroute.
- Il n'a pas voulu voir un médecin, et il est malade.
- Il est toujours gai, tous les soucis qu'il a.
- Elle est partie nous sachions pourquoi.
- Ils être riches, ils n'en sont pas moins avares.
- Tu ferais mieux de travailler de t'amuser.
- Mon professeur de mathématiques est sévère, celui de français est très sympathique.
- te vexer, il faut que je te dise que je NE suis pas d'accord.
- il sache la vérité, il ne veut pas la dire.
- Il devait venir à 8h, il n'est pas venu.
- tu ne veux pas me voir, je viendrai .
XX. Récrivez les phrases avec les éléments donnés dans la marge de façon à exprimer un rapport de concession en
faisant tous les changements nécessaires.
- Bien que
J'ai confiance en lui mais je ne lui prête rien.
- Sans que
Cet ouvrier n'a commis aucune faute mais le patron l'a licencié.
- Quoi que
Je fais tout pour lui mais il n'est jamais satisfait.
- En dépit de
Il est très âgé mais il travaille encore.
- Avoir beau
Elle a des qualités mais elle a aussi des défauts.
- Quel que
Tu as tes raisons mais je ne te comprends pas.
- Tout... que
Il est riche mais il est près de son argent.
- Quelque ... que
La carte bancaire est utile mais elle réserve parfois des surprises.
Alors que
Elle veut faire ce travail mais elle n'en est pas capable.
- Si
Envoie-moi une lettre de temps en temps, même si elle est courte, elle me fera plaisir.
XXI. Etablissez un rapport d'opposition en utilisant les éléments donnés. Faites les changements nécessaires.
- Malgré son utilité, l'énergie nucléaire est dangereuse
même si:
bien que:
tout...que:
avoir beau:
si:
cependant:
XXII. Relie les deux propositions en utilisant à chaque fois un de ces subordonnants : bien que, quoique, alors que,
même si, malgré, pourtant, avoir beau :
J’ai bien travaillé. Je n’ai pas réussi.
XXIII. Exprime une idée de concession. En utilisant les subordonnants suivants : même si, bien que, malgré, cependant
:
1) Il fait froid. Je vais sortir.
2) Il est gentil. Aucune personne ne l’aime.
3) La démonstration est logique. Le résultat est faux.
4) Il est jeune. Il a une grande expérience.
5) Il est âgé. Il est encore actif.
6) Il s’excuse. Je ne le pardonnerai pas.
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I. Reliez les deux propositions en utilisant les subordonnants suivants : parce que, comme, puisque, c’est parce
que…que, non pas que, grâce à, sous prétexte que, qui :
Rachid a d’excellents résultats. Il travaille bien.
II. Complétez les phrases causales suivantes par : « grâce à », ou « à cause de » :
1. …………………Sa volonté, Lamia a réussi toutes les épreuves.
2. L’employé a été envoyé…………………….. ses absences injustifiées.
3. ………………….La tempête, on n’a pas pu sortir.
4. ………………….Son imprudence, l’automobiliste a eu un grave accident.
5. ………………..Son intelligence, l’élève a dépassé le maitre.
III. Reliez les propositions suivantes en utilisant les subordonnées de cause qui sont entre parenthèses :
1. J’ai renoncé à mon voyage. Je n’ai pas d’argent (c’est parce que….que)
2. Il frissonne. Il a de la fièvre (à cause de)
3. Le bétail meurt. La sécheresse se prolonge (comme)
4. Il tremble. Il a peur (à cause de)
5. Mon frère est timide. Il parle peu (le pronom « qui »)
6. Je perds mon souffle. Je cours (à force de)
7. Il ne vit pas bien. Il est pauvre (non pas que)
8. Vous avez payé une amende. Vous avez brulé le feu rouge (pour + infinitif)
9. Je ne lui confie aucun secret. Il est très bavard (puisque)
10. J’aime ce quartier. Il est animé (parce que)
11. Votre d’emploi a été annulée. Elle ne répond pas aux conditions requises (ce n’est pas que)
IV. Établissez le rapport de cause entre les deux phrases syntaxiques.
a) L’accidenté a succombé. Il n’a pas reçu à temps les soins nécessaires.
b) Les invités sont arrivés tard. Les routes étaient bloquées par la neige.
c) Les élèves n’ont pas compris le sujet de dissertation. Le professeur l’a expliqué rapidement.
d) Cette vieille femme est sans force. Elle s’est assise par terre.
e) Pierre ne pourra pas assister à la réunion. Il est parti très tôt à New York.
I) Reliez ces phrases de façon à exprimer la conséquence.
Je ne suis pas allé à l’école. Je suis malade.
…………………………………………………………………………………………………
Il est bavard. Il ne sait pas garder un secret.
……………………………………………………………………………………………………………
Il est avare. Il ne fait jamais la moindre dépense.
……………………………………………………………………………………………………………
Il travaille bien, il a réussi.
……………………………………………………………………………………………………………
Votre demande d’emploi a été annulée. Elle est arrivée en retard.
……………………………………………………………………………………………………………
Le bruit est fort. Je ne peux pas dormir.
……………………………………………………………………………………………………………
La tempête est forte. Elle a renversé le bateau.
……………………………………………………………………………………………………………

II) Reliez les phrases suivantes de façon à exprimer la conséquence en employant le moyen entre parenthèses.
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Le vent est très fort. Il fait trembler les murs (si bien que)
……………………………………………………………………………………………………………
Il est bavard. Il ne sait pas garder un secret (tellement…que)
……………………………………………………………………………………………………………
Il est très gentil. Je peux lui faire confiance. (si…que)
……………………………………………………………………………………………………………
Tout le monde l’aime. Il est gentil (tellement…que)
……………………………………………………………………………………………………………
Nous avons très froid, nos mains semblent congelées. (tellement…que)
……………………………………………………………………………………………………………

III) Refaites ces phrases de manière à exprimer la conséquence autrement.


Il est tellement bavard qu’il ne peut pas garder un secret.
……………………………………………………………………………………………………………
Il est pauvre c’est pourquoi il ne vit pas bien.
……………………………………………………………………………………………………………
Mon frère est timide, donc il parle peu.
……………………………………………………………………………………………………………
Il est si intelligent qu’il pourra résoudre cet exercice.
……………………………………………………………………………………………………………

IV) Les phrases suivantes contiennent des subordonnées de cause, reconstruisez-les de manière à obtenir des
subordonnées de conséquence :
Mon frère qui est timide parle peu.
……………………………………………………………………………………………………………
Il ne vit pas bien parce qu’il est pauvre.
……………………………………………………………………………………………………………

I. Établissez le rapport de but entre les deux phrases syntaxiques.


a) Je prête ma voiture à mon ami. Il va chercher ses parents à l’aéroport.
b) Cet avocat prépare minutieusement sa défense. Son client veut être libéré.
c) L’enfant s’est caché sous le lit. Sa mère l’oblige à manger sa soupe.
d) Le conférencier doit parler plus fort. Toute l’assistance doit l’entendre.
e) Les invités regagnent très tôt la maison. Ils ont peur d’être retardés par la tempête de neige.
II. Exprime une idée de but dans les phrases suivantes en utilisant les moyens indiqués entre parenthèses.
1) Je prête ma voiture à mon ami. il va chercher ses parents à l’aéroport (pour que)
2) Il a pris l’avion. il veut arriver tôt (afin de)
3) Il travaille bien. Il veut réussir (de peur de)
III. Exprime une idée de but en utilisant les moyens (…) :
1) Il distribue des cadeaux. Tout le monde est heureux. (pour que)
2) Je crie très fort. Rachid m’entend (afin que)
3) Je vais au marché. Je veux acheter des légumes (pour)
4) Je travaille beaucoup. Je veux réussir (de peur de)
5) La mère a tout fait. son fils est heureux (afin que)
6) Nous avons épargné de l’argent. Un centre des langues sera construit (pour+infinitif, pour+nom)
IV. Transformez les phrases suivantes de manière à obtenir une proposition principale et une proposition subordonnée
de but :
1. Beaucoup de parents travaillent pour le bonheur de leurs enfants.
2. Les enfants se cachèrent pour ne pas être découverts par le gardien.
3. Je ne lui ai rien dit pour ne pas l’inquiéter.
4. On a fait appel à une autre entreprise pour l’achèvement des travaux.
5. Pour la clarté de l’exposé, j’adopterai un plan simple.
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6. Pour ne pas être dérangé, ils allèrent s’installer dans le salon.
7. Elle a utilisé une grande quantité de charbon pour une cuisson rapide de la viande.
V. Les phrases suivantes sont composées de deux propositions indépendantes. On les réécrira en faisant de l’une d’elles
une principale et de l’autre une subordonnée de but :
1. Il a fermé sa porte à clef, on ne viendra pas le déranger.
2. Je vais aller chez le dentiste, il m’arrachera cette dent.
3. Le directeur viendra à trois heures, je l’ai prévenu.
4. Je te laisse ma moto, tu t’en serviras en cas de besoin.
5. Prête-moi ton cahier, je verrai ce que le professeur a fait pendant mon absence.
6. Ils ont beaucoup insisté, nous viendrons leur rendre visite.
7. Mangez vite votre repas, il ne doit pas se refroidir.
8. Diminue le volume de ta radio, la musique ne dérange pas les voisins.
9. Elle l’a réveillé très tôt, il ne ratera pas le car.
10.Je vais vérifier l’adresse, ce sera plus sûr.

I. Dans l’exercice suivant trouvez la conjonction de coordination en fonction du sens de la phrase (car, donc, et, mais,
ni, or, ou)
J’hésite entre acheter de la viande…..du poisson, qu’en penses-tu ?
Il a fait beaucoup d’efforts ces derniers temps….ce n’est pas encore suffisant
Il faut que j’aille chez le médecin…..je ne sens pas bien
Pensez à porter vos chaussures……..vos sacs à dos pour la randonnée de demain
Je me lève suffisamment tôt……..je suis toujours en retard
Ta classe…..la mienne vont faire la sortie à Paris
Je ne bois…..du thé,……du café
Je suis en retard……j’ai raté mon train
Que veux-tu manger ? Un fruit, un yaourt……un gâteau ?
Julien devait venir me voir à 20h00 ce soir……. il a été retardé
II. Choisis parmi les conjonctions de coordination et les adverbes de coordination suivants : ensuite, en revanche; ainsi,
or, c'est pourquoi.
Tom ne s'est pas présenté à son chef, …….……………celui-ci lui avait donné rendez-vous.
Il n'avait aucun motif valable pour justifier son retard,…………….……. il a été réprimandé.
Sonia et Vincent étaient déjà arrivés, ……………..……………………… Luc était encore absent.
Les retardataires achèveront leur parcours,………..…………….. ils réintégreront leur équipe.
Mettons les derniers détails au point, ……………………….…… tout sera réglé.
III. Introduis la conjonction de coordination qui convient au sens du texte suivant. Emploie au moins six conjonctions
différentes ainsi que l'adverbe de coordination «donc».
La porte s'ouvrit lentement................................... une personne entra en silence. C'était une femme sans âge jeune vieille.
Elle ne devait pas être riche, ses vêtements étaient très élimés, elle les portait avec une certaine élégance. Elle tourna ses
regards d'un côté à l'autre comme si elle découvrait la pièce.
Les invités étaient sidérés : elle semblait très à l'aise,………………….. ils ne l'avaient jamais vue. Dés qu'elle prononça
quelques paroles, ils entendirent son accent guttural, ………………elle était étrangère……………. venait dans cette maison
pour la première fois. La maîtresse de maison était perplexe : fallait-il la recevoir…………… l'éconduire ? Chacun semblait
étonné, …………………….l'événement était inhabituel.
IV. Déterminez la nature des (groupes de) mots soulignés.
1. Parce qu'elle étouffe entre ses filles et son mari, Danaé fuit sa maison de la Havane.
2. La forêt essaie de parler aux hommes, mais ceux-ci ne l'entendent pas.
3. La romancière nous livre un roman magique où le cru puis le sordide disputent la partie au merveilleux.
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4. Personne n'a échappé ou n'échappera à l'amour tant que la beauté existera et qu'il y aura des yeux pour la voir. (Longo de
Lesbos)
5. C'est seulement avec vous que je pourrais vivre, car vous êtes ma famille.
6. J'ai beaucoup réfléchi, pourtant j'ai fait des erreurs.
7. Ce terrain appartenait à de riches nobles, il était néanmoins rempli de ferraille rouillée, de sable sale et de matériel de
construction démantibulé...
8. Vous croyez avoir raison, or vous n'avez rien prouvé.
9. J'adore le gâteau au chocolat, c'est pourquoi j'en fais tous les weekend.
10. Elle n'a rien de fin ni de distingué. (Honoré de Balzac)
V. Remplacez les points par les conjonctions qui conviennent ou les adverbes employés en fonction de conjonctions de
coordination. Précisez les rapports exprimés.
l. La jeune fille s’abandonna d’abord au bonheur de respirer ; ......…le repos de la campagne la calma comme un bain frais
(Maupassant). 2. Il se coucha, ..........…il ne put trouver le sommeil (M. du Gard). 3. Elle n'était plus jeune, ..........…elle
portait une robe claire, avec des manches larges (Rolland). 4. Je tressaille, ….........la voix est proche (Maupassant). Elle était
rétablie, …..........elle restait pâlotte (Rolland). ...........…elle avait de la peine à s’exprimer, ...........…elle s’exprimait avec une
ardeur trouble et imagée (Rolland). 7. Elle monta, trop vite, elle ne voulait pas se laisser le temps de chercher des raisons pour
rebrousser chemin (Rolland). 8. Sa voix cherchait à être douce, ............…elle ne parvenait qu’à être basse (Hugo). 9. Il n’était
pas mort sur le coup, ................…il pouvait en revenir (Maupassant). 10. Les volets étaient fermés encore, …....................elle
voyait assez clair pour ne pas se heurter aux meubles (Zola).
VI. Indiquez si le coordonnant relie des groupes de mots ou des phrases syntaxiques et dites s’il est simple ou complexe.
Exemple
Le voyageur doit savoir que médecins et chirurgiens sont partout présents. (G. Duha-mel)
Réponse
et : coordonnant simple ; relie deux noms : médecins et chirurgiens
a) Je saignais, car l’aubépine me piquait le dos. (H. Bosco)
b) Je saisis la vipère par le cou, et je la serrai, voilà tout. (Adapté de Hervé Bazin)
c) Ce paresseux de Jean de Milan, […] pour arrêter les Trois Rois, leur jeta son bâton. C’est pourquoi les Trois Rois
s’appellent aussi le Bâton de Jean de Milan. (Adapté d’Alphonse
Daudet)
d) Il semblait sûr de gagner la partie ; en effet, il avait les quatre as en main. (J. Dubois et G. Juannon)
e) On nous laissait une grande liberté, mais il était expressément défendu de monter dans les arbres. (Chateaubriand)
f) Je viens de remarquer, soudain, les veines saillantes et les rides sur les mains si blanches de mon père. (Colette)
VII. Choisissez le coordonnant qui convient dans la liste suivante : alors, et, mais, ni, ou, puis, tantôt.
a) Allez-vous-en d’ici, _________________________ je vous chasse tous. (V. Hugo)
b) Chaque jour est neuf _________________________ chaque jour je renais. (Paul Auster)
c) Outre les sept pensionnaires internes, madame Vauquer avait, bon an, mal an, huit étudiants en Droit
_________________________ en Médecine, _________________________ deux _________________________ trois
habitués qui demeuraient dans le quartier. (H. Balzac)
d) Il la rattrapa, les dents serrées, _________________________ , comme elle se débattait, il fut grossier. (É. Zola)
e) On n’entendait plus au village _________________________ chants, _________________________ cris
joyeux,_________________________ piaillements d’oiseaux. (L. Reymont)
f) Il faisait encore frais, _________________________ on devinait le beau temps derrière les fenêtres aux vitres bleuâtres.
(Boris Vian)
g) Pendant un court instant, Victoire crut voir une femme descendre les marches du perron
_________________________ s’avancer vers Marcel. _________________________ l’apparition s’effaça. (Michel
Tremblay)
h) Les assauts se succédèrent. L’horreur alla grandissant. _________________________ éclata, dans cette rue, une lutte digne
d’une muraille de Troie. (Adapté de V. Hugo)
i) D’involontaires soupirs venaient expirer sur ses lèvres ; _________________________ Amélie soutenait, sans se fatiguer,
une longue course ; _________________________ elle se traînait à peine. (Adapté de Chateaubriand)
VIII. Remplacez la valeur proposée entre parenthèses par le coordonnant qui convient.
(Vous pouvez choisir ce coordonnant dans la liste suivante ; le même coordonnant peut revenir plusieurs fois : ou, car, mais,
soit… soit, ni, bref, c’est-à-dire, alors, et, par exemple, puis, pourtant).
a) Seul Édouard se permettait quelques apartés. (explication) ______________________________ , il faisait le tour de la
table, la cafetière à la main, en déclarant avec un accent français affecté : « Je suis la Fée des Étoiles (addition)
______________________________ le Père Noël est mon fournisseur ! » (Michel Tremblay)
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b) La nuit est presque venue (addition) ______________________________ le ciel est sombre sur la terre noircie,
(concession-opposition) ______________________________ la lune luit encore faiblement. (A. Souché et J. Grunenwald)
c) Je te jure que tu seras heureuse ici, si tu tâches d’être moins sensible, (cause) ______________________________ , sauf les
vendeurs, les Montréalais sourient un peu moins que les Shanghaïens. (concession-opposition)
______________________________ , ils ne sont pas plus méchants. (Ying Chen)
d) Un bon financier ne pleure (négation) ______________________________ ses amis, (négation)
______________________________ sa femme, (négation) ______________________________ ses enfants. (La Bruyère)
e) Ils virent tout de suite que North Beach était un quartier très spécial, (conséquence) ______________________________ ils
abandonnèrent le vieux Volks sur le parking de Safeway, […] pour aller à pied dans l’avenue Columbus. (Jacques Poulin)
f) J’y suis entré (cause) ______________________________ je voulais manger pour survivre, je veux dire que je ne suis pas
allé au restaurant pour déguster un bon repas (concession-opposition) ______________________________ parce que je suis
pressé […]. (transition) ______________________________ , je deviens new-yorkais non pas par esprit d’imitation
(concession-opposition) ______________________________ par nécessité pratique. (Noël Audet)
g) On trouvait chez Filspierre des cartouches (addition) ______________________________ des armes.
Certains chefs connus faisaient la poste, (explication) ______________________________ couraient chez l’un (addition)
______________________________ chez l’autre pour rassembler leur monde. (V. Hugo)
h) Il attendait au coin de cette cour, sous le vent glacé, l’aide mystérieuse qu’on espère toujours du ciel (alternative)
______________________________ des hommes, sans se demander comment, (négation)
______________________________ pourquoi, (négation) ______________________________ par qui elle lui pourrait
arriver. (Maupassant)
i) Colin tapota le cadran du niveau (addition) ______________________________ vérifia qu’il indiquait bien la somme
contenue. (suite dans le temps) ______________________________ , il se releva. Il resta debout pendant quelques instants.
(Adapté de Boris Vian)
j) La longue table du centre appartenait aux rédacteurs volants. Généralement elle servait de banc pour s’asseoir, (alternative)
______________________________ les jambes pendantes le long des bords, (alternative)
______________________________ à la turque sur le milieu. Ils étaient quelquefois cinq (alternative)
______________________________ six accroupis sur cette table, (addition) ______________________________ jouant au
bilboquet avec persévérance. (Maupassant)
IX. Indiquez la valeur du coordonnant selon le contexte où il se trouve.
a) Il vous prive d’un père, et vous l’aimez encore ! (Corneille)
b) Il tourne et tourne et sa voile couleur de lie
Est triste et faible et lourde et lasse, infiniment. (Le moulin, E. Verhaeren)
c) J’ai pour moi la justice et je perds mon procès ! (Molière)
d) Et il espère être de nouveau réélu !
e) Il y eut aussi ce jeune et charmant vicomte dont nous venons de parler. (Adapté de V. Hugo)
f) Il nous présenta des amis bien placés et des plus influents.
g) Les flammes montaient jusqu’aux fenêtres et jusqu’à la toiture.
h) Le train ralentit, siffla, mais ne s’arrêta pas.
i) Ou tu travailles ou tu quittes cet emploi.
j) Ses mains sont sales, mais bien sales !
k) Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? (Molière)
l) Sa claustrophobie ou la peur des petits espaces l’empêche de prendre l’ascenseur.
m) Les événements se précipitent, mais retournons une semaine en arrière.
n) Et, jetant le tronçon de sa carabine, et croisant les bras, il présenta sa poitrine. (V. Hugo)
X. Relie les deux phrases simples au moyen du procédé de la coordination.
Nous ne partirons pas aujourd’hui. Il fait trop froid.
Il a 95 ans. Il participe malgré tout au marathon.
Il est honteux. Il a été battu à la Nintendo par un enfant de 5 ans.
Pierre est peureux. Il ne veut pas rentrer dans la grotte aux horreurs.
Nous ne rattraperons jamais cette voiture. Elle est trop rapide.
Il ne s’amuse pas à cette soirée. Il a décidé de rentrer chez lui.
Le ciel est sombre. La neige recouvre la campagne.
C’est vrai qu’il n’est pas riche. C’est un compagnon fidèle.
N’entrez pas dans la chambre. Je viens de nettoyer.
Il est fiévreux. Il est venu à la cérémonie.
XI. Repère les marqueurs de coordination, précise leur nature ainsi que leur nuance sémantique.
1. Je plie et ne me romps pas.
2. Je vous plains, je me plains ; mais il faut y aller.
3. Je me dévouerai donc s’il le faut.
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4. Je suis un fourbe ou je suis un honnête homme : un des deux.
5. La circulation est ralentie car il y a du brouillard.
6. Mon chien est très laid, mais je l’aime quand même.
7. Les caissières sont débordées car il y a trop de clients.
XII. Transforme les phrases suivantes pour qu’il y ait une coordination.
1. Je suis un homme : je suis heureux.
2. Le soir tombait : nous fîmes halte.
3. Tu as fait une bonne action : je te félicite.
4. Il se repent : je lui pardonne.
5. C’est un vrai savant : il est modeste.
6. Ne sois pas vaniteux : tu attireras les sympathies.
XIII. Coordonne les phrases suivantes à l’aide d’une conjonction ou d’un adverbe de coordination et précise le rapport
de sens établi.
1. P1 : Vous êtes arrivés en retard. P2 : Vous avez manqué le début du spectacle.
2. P1 : Ma voiture est tombée en panne. P2 : Le garagiste l’avait révisée.
3. P1 : Ma voiture n’est pas tombée en panne. P2 : Le garagiste l’avait révisée.
4. P1 : L’Islande est un pays superbe. P2 : Il y fait souvent un temps épouvantable.
5. P1 : Hier soir, ma mère a été hospitalisée. P2 : Je suis restée avec elle cette nuit.
6. P1 : La secrétaire rentrera de maladie lundi. P2 : Elle rentrera mardi au plus tard.
7. P1. J’ai mangé énormément aujourd’hui. P2 : Aujourd’hui, j’ai mal au ventre.
8. P1 : Le patrimoine italien est en danger. P2 : Venise s’enfonce lentement dans l’eau.

9. Exercices sur les valeurs des temps du récit


10.
11. EXERCICE 1
12. Dans les phrases suivantes, donnez la valeur de l’imparfait de l’indicatif.
13. a) Et tout à coup, brisant les branches, couvert de sang, secouant les chiens qui s’attachaient à lui, le sanglier passa.
(Guy de Maupassant)
14.
15. b) À quatre heures, un bon nombre d’enfants m’attendaient sur le perron, par politesse, étant donné que j’irais de leur
côté. (Gabrielle Roy)
16.
17. c) Ce qu’on avait sous les yeux, c’était une haute tour ronde, toute seule au coin du bois comme un malfaiteur. (Victor
Hugo)
18.
19. d) Dans les veillées d’hiver, chaque année, je reprenais le catalogue, passais vite sur les pages inutiles et m’abîmais
dans la contemplation du cheval mécanique. (Jean Marouzeau)
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20.
21. e) Le soleil venait de disparaître et, sur l’horizon encore flamboyant, se dessinait le profil de ce fantastique rocher.
(Guy de Maupassant)
22.
23. f) Sa peau jaunâtre dissimulait à peine le lacis sous-jacent de muscles et de vaisseaux sanguins. Sa chevelure était
longue et soyeuse »
24.
25. g) Cosette dormait profondément. Elle était tout habillée. (V. Hugo)
26.

27. EXERCICE 2
28. Dans les phrases suivantes, donnez la valeur du passé simple de l’indicatif.
29. a) Le soleil glissa vers l’horizon, disparut ; le ciel prit de délicates teintes pâles au-dessus de la lisière sombre du bois.
(Louis Hémon)
30.
31. b) Comme il savait bien qu’il mangerait la chèvre, le loup ne se pressait pas ; seulement, quand elle se retourna, il se
mit à rire méchamment. (Alphonse Daudet)
32.
33. c) Les quatre semaines qu’il avait demandées s’étant écoulées, il vit un jour entrer chez lui le même inconnu. « Il m’a
été impossible, dit Mozart, de tenir ma parole. » (Stendhal)
34.
35. d) Il tâtonna, poussa en place sa lampe de secours, l’abandonna, la retrouva, s’assura qu’elle ne glissait pas, la quitta
de nouveau pour tapoter chaque manette. (Antoine de Saint-Exupéry)
36.
37. e) Un nuée de cuivre volait et se tordait dans le ciel livide. Et soudain, une pluie de balles tomba, cinglante. (Émile
Zola)
38.
39. EXERCICE 3
40. Mettez les verbes entre parenthèses à l’imparfait ou au passé simple.
41. a) Le bruit du vol (se répandre) ………………..…. Les voisins (arriver)……………………, (constater)
………………………,(discuter) ………………………..à leur tour ; et les deux femmes(expliquer)
……………………….à chaque nouveau venu leurs observations et leurs idées. (Guy de Maupassant)
42.
43. b) Assez souvent je (prier) ………………………mes petits élèves de chanter ensemble.
44. Un jour, au milieu de leurs voix plutôt ternes, j’en (distinguer) …………………….une, claire, frémissante,
étonnamment juste. (Gabrielle Roy)
45.
46. c) Le ciel (être) …………………………d’un bleu gris. Et, là-bas, du côté du levant, des petits nuages roses s’en
(aller) …………………………..en bandes au-devant du soleil.
47. Mme Dalignac (verser) …………………….le thé dans les tasses. Elle le (verser)
48. …………………….doucement pour éviter les éclaboussures. (Marguerite Audoux)
49.
50. d) Jean Valjean (lever) …………………….le chandelier de fer comme pour forcer la serrure; la clef y
(être)…………………………..; il l’(ouvrir) ……………………………; la première chose qui lui (apparaître)
………………………(être) ……………………..le panier d’argenterie ; il le (prendre) …………………..,
(traverser)…………………….la chambre à grands pas sans précaution et sans s’occuper du bruit,(gagner)
…………………………la porte, (rentrer)……………………dans l’oratoire,(ouvrir)………………………..la fenêtre,
(saisir…………………son bâton, (enjamber) ……………………….l’appui du rez-de-chaussée
et(s’enfuir)………………………... (Adapté des Misérables de Victor Hugo)
51.
52. EXERCICE 4
53. Mettez les verbes entre parenthèses à l’imparfait ou au passé simple.
54. Assis sur des bornes, des gamins (rire)…………………. Et (montrer)………………… du doigt les bouts de bois, les
caisses, les épluchures de légumes qu' (emporter)………………. le courant. Soudain, tous (détaler)…………………
en piaillant. D'énormes vagues glauques crêtées d'écume jaune (déferler)………………… entre les façades. Un
chariot de poste (être)…………….. soulevé comme une barque. Le cocher (descendre)……………….., (dételer) et,
tenant le cheval par une oreille, (partir)………………… à la nage. Nicolas (se rappeler)………………. que le rez-de-
chaussée (être)…………………….. habité par des gens simples, employés, artisans, petits fonctionnaires en retraite.
Rassemblés par : prof Khalid Tanger semestre 2
Inquiet, il (s'habiller)………………… (traverser)……………… l'appartement au pas de course et
(sortir)…………………. sur le palier. Le grand vestibule de la maison (être)………………..devenu une pièce d'eau.
Fuyant leurs chambres inondées, une vingtaine de personnes (se réfugier)…………………. sur les marches. Les
femmes, terrifiées, (serrer)…………………. dans leurs bras des ballots de vêtements, des samovars et des icônes. Une
fillette (sangloter)……………………. parce qu'elle (avoir)………………perdu sa poupée.

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