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Propositions subordonnées complétives

Dans tous les cas, il y a le verbe voir dont la structure syntaxique exige avoir 2 positions
syntaxiques: une position syntaxique correspond au sujet et l’autre au COD (qqn voit
qqch). COD : complément relié directement au verbe, pas d’élément intermédiaire
1. Ma fille n’a jamais vu mes films : phrase simple (un noyau verbal), il y a un sujet et
un COD représenté par un Groupe nominal
2. J’ai vu que tu boitillais un peu : sujet, COD représenté par une phrase/structure
phrastique (car il y a un noyau verbal)
3. Voyons comment évolue la situation : (impératif) pas nécessaire ajouter un pronom
car le sujet se trouve dans la désinence verbale qui évoque la 1 ère personne du
pluriel, COD représenté par une structure phrastique (noyau verbal).
Interrogation partielle: je me demande comment évolue…
4. J’ai vu les portes se refermer : sujet, COD représenté par une structure phrastique
(car il y a un noyau verbal)
5. Tu as vu si la gravure résistait à l’eau ?: sujet, COD représenté par une structure
phrastique (car il y a un noyau verbal)
Retenir : En français, il est possible de trouver des structures subordonnés qui assument
la fonction d’un G. nominal, on les appelle propositions subordonnées complétives. La
proposition subordonnée complétive constitue une classe hétérogène :
- Il y a des structures syndétiques qui présentent un mot de liaison (phrases 2, 5 :
conjonctions de subordination que et si)
- Il y a des structures asyndétiques qui ne présentent pas de mots de liaison (phrases :
4, 3 comment est un adverbe).
o Proposition subordonnée complétive infinitive
o Proposition subordonnée complétive interrogative indirecte. Mais cette
proposition réunit des structures syndétiques (interrogative indirecte totale) et
des structures asyndétiques (interrogative indirecte partielle)
Types de propositions subordonnées complétives
1. Proposition subordonnée complétive conjonctive /conjonctionelle/en que (phrase 2)
2. Proposition subordonnée complétive infinitive : noyau verbale = infinitif (phrase 4)
3. Proposition subordonnée complétive interrogative indirecte (phrases 5, 3)
o Syndétiques : totale
o Asyndétiques : partielle
--> Présentation général des prop. sub. complétives
Proposition subordonnée complétive conjonctive
- Le GN et la prop. sub. complétive, qui joue le même rôle que le GN, ont les mêmes
propriétés : on ne peut pas les supprimer ou les déplacer
Ce travail demande une grande discrétion GN
Ce travail demande que chacun joue son rôle Prop. sub. complétive conjonctive
- La proposition sub. peut être introduite par que :
o Rôle démarcatif qui montre où commence la prop. subordonnée
o Rôle d’enchâssement qui relie la prop. subordonnée à la prop. principale
o Rôle de nominalisation qui fait que la séquence phrastique fonctionne comme un
GN
- La proposition sub. peut aussi être introduite par ce que quand il y a une préposition
qui précède
J’avoue que lorsque l’ai crée ce groupe d’étude, je ne m’attendais pas à son
immense succès ni* à qu’il déclenche tant d’ardents
o *à que P--> à ce que P
- Dans ce cas, il y a ce qui à l’origine pouvait fonctionner comme un déterminant,
suivi d’un élément nominal, ou comme un pronom suivi d’une séquence qui
fonctionne comme apposition (élément qui détermine et qui est posé après)
o Ce + N : déterminant + élément nominal (ce livre)
o Ce + que P : pronom + apposition
Comment va-t-on analyser ça ?
Quelques linguistes affirment que à ce que et de ce que sont des locutions conjonctives,
donc à /de ne sont pas de prépositions
à ce que P
loc. conjonctive

Toutefois, à ou de ne font pas partie de la locution conjonctive parce qu’ils fonctionnent


comme des prépositions qui déterminent le choix du pronom adverbial y, en.
à ce que P
G. prép loc. conjonctive

Prépositions + proposition subordonnée conjonctive


à
de
ce que
en
sur
Il est préférable d’éviter les prop. sub. complétives introduites par ce que parce que c’est
une construction lourde. C’est pourquoi on fait disparaître la préposition, mais elle est
toujours là.
Je me félicite de ce que quelqu’un s’intéresse à cette page je m’en félicite
Je me félicite que vous ayez revu votre projet initial je m’en félicite
- Il y a des cas où on peut avoir la construction : préposition + ce que ou que
- D’autres cas, on a obligatoirement la construction : préposition + ce que
- D’autres cas, on a obligatoirement la construction  sans préposition
 Cela dépend de l’usage
Fonctions syntaxiques de la proposition subordonnée complétive conjonctive
Ce que/que nominalise la prop. sub = nom qui a différentes fonctions syntaxiques
- Sujet
- Attribut : attention
- Séquence
- Apposition
- Cplt. du nom
- Cplt. de l’adj
- Cplt. de l’adv
- Cplt. de la prép.
- COD
- COI (même si la prép. n’est pas présente dans la structure)
Sujet 
Il y a 2 structures possibles :
- que P + vbe. attributif : Qu’il ne soit pas encore arrivé est étonnant
- que P + vbe. non-attributif : Qu’il soit malheureux me fond l’âme
La fonction sujet appartient à la langue littéraire. Dans la langue orale, on préfère
utiliser d’autres structures : impersonnel, quasi- impersonnel et proleptique, (vbe.
attributif) ; proleptique et quasi- impersonnel (vbe. non-attributif)
Verbe attributif
- Construction impersonnelle : la fonction de la prop. subordonnée est une séquence
(Il vbe attributif + que P)
Il est étonnant qu’il ne soit pas encore arrivé
Attribut (propriété qui
Sujet non v. attr. Séquence/ terme complétif/ suite d’une forme impersonnelle
caractérise qqch)
référentiel

- Construction quasi-impersonnelle (le sujet n’est pas il mais le pronom démonstratif


ce). La fonction de la prop. sub. est une séquence (élément ne fait pas partie de la
phrase)
C’est étonnant qu’il ne soit pas encore arrivé
Séquence
- Construction proleptique : la prop. sub. est située en tête de la phrase
Qu’il ne soit pas encore arrivé, *cela/c’ est étonnant
Apposition/terme nominal libre sujet v. attr. Attribut
Cela : insister sur le sujet
o Il y a des linguistes qui affirment qu’il s’agit d’une apposition de Cela/Ce
(apposition : qui a été posé à côté de notre élément)
o D’autres affirment qu’il s’agit d’un terme nominal libre détaché par rapport à une
position sous-jacente de sujet (la position syntaxique occupée par que P, avant le
détachement, c’était la position sujet)
Verbe non –attributif 
- Construction quasi-impersonnelle
Cela me fond l’âme qu’il soit malheureux
- Construction proleptique : la prop. sub. est située en tête de la phrase
Qu’il soit si malheureux, cela me fond l’âme (pas utiliser ce pour le verbe non-attr.)
IL / CE Ces pronoms fonctionnent de la même façon ?
On peut trouver un pronom non-référentiel ou un pronom démonstratif, mais ils n’ont
pas le même fonctionnement syntaxique
- Il est étonnant + que P : on ne peut pas supprimer la proposition subordonnée dans
la construction impersonnelle
- C’est étonnant + que P : on peut supprimer la proposition subordonnée dans la
construction quasi-impersonnelle
- Que P, c’est étonnant : on peut le dire en prolepse
- *Que P, il est étonnant : on ne peut pas le dire dans la construction impersonnelle
LE FAIT QUE
Ce que l’on trouve de plus en plus, c’est d’ajouter le fait que à la proposition
subordonnée.
Le fait qu’il ne soit pas encore arrivé est étonnant
Le fait qu’il soit si malheureux me fond l’âme
2 analyses possibles
- Il y a des linguistes qui affirment que le fait que est une locution conjonctive
- Toutefois, comme on peut ajouter d’autres éléments à l’intérieur de la locution (le
seul fait que, le fait inévitable que), cela ne forme pas une unité. C’est pourquoi
d’autres affirment que la prop. sub. complétive conjonctive commence par que et
qu’elle fonctionne comme un complément du nom fait
Attribut
Ordre canonique de la phrase attributive : sujet + vbe. attr. + Attribut
Test focalisation pour identifier le sujet :
Les enfants ont cassé la vitre--> Ce sont les enfants qui ont cassé la vitre
Sujet Sujet
L’essentiel est que tu sois heureux --> *C’est l’essentiel qui est que tu sois heureux
Attribut vbe attr. Sujet
-->C’est que tu sois heureux qui est l’essentiel
Sujet
Si on applique le test focalisation pour identifier le sujet, c’est la proposition
subordonnée qui fonctionne comme sujet, donc l’ordre canonique de la phrase n’est pas
respecté --> Attribut + vbe. attr. + sujet
Apposition: prop. sub. placée à côté de (il faut une pause à l’oral, et une virgule à
l’écrit)
Ton idée, qu’il est parti seul, est stupide
Je n’ai qu’un désir, que tu restes avec moi
COD
Je crois qu’il me rend fou 
COI/ Cplt. de la préposition
Il nous a convaincus qu’il n’y avait aucun problème
COD COI/ cplt. de la préposition de
(COD avant : accord du p. composé)
Quand on a une prop. sub complétive précédée d’un préposition, on a 2 options :
de + ce que P/ de + que P. Dans cette phrase, la préposition n’est pas représentée, mais
on peut pronominaliser la phrase par le pronom en, cela indique qu’il y a la préposition
de.
Mais il y a un débat avec les prépositions :
- Quelques linguistes affirment que l’élément central de la séquence de ce que P n’est
pas la préposition, mais la prop. subordonnée ou le GN. Dans ce cas, la prop.
subordonnée fonctionne comme COI
- D’autres linguistes affirment que la préposition est l’élément central d’un groupe
prépositionnel. Dans ce cas, c’est le groupe prépositionnel qui fonctionne comme
COI (non pas la prop. subordonné) et ce que P est le cplt. de la préposition
Une option : Je m’attendais à ce qu’il m’écrive Cplt. de la préposition à
COI
Autre option : Je m’attendais à ce qu’il m’écrive
COI

Cplt. du nom
L’idée que tu viennes nous remplit de joie
N Cplt. du nom
La confirmation que tu es rétablit est un soulagement pour nous
N Cplt. du nom
Cplt. de l’adjectif/ Séquence
Je suis heureux qu’il soit parti
Adj. Cplt. de l’adj.
Il est sûr que tu réussiras
Cplt. de l’adj/ Séquence
- Cplt. de l’adj. : si Il a une valeur référentielle (on peut le remplacer par un nom
propre-Pierre)
- Séquence : si Il n’a pas de valeur référentielle, c’est une construction impersonnelle
Cplt. de l’adverbe / thème d’une construction averbale
Heureusement qu’elle est partie
Adverbe Cplt. de l’adv. / thème d’une construction averbale*
Thème d’une construction averbale (pas de verbe) : la prop. sub, n’a pas de fonction, on
dit qqch à propos de qqch, mais ce que l’on dit est représenté dans la phrase par un
élément qui est averbal
Ordre de la proposition subordonnée complétive conjonctive
La prop. subordonnée complétive conjonctive est introduite par le mot subordonnant
que ou ce que.
En général, cette prop. subordonnée présente l’ordre canonique de la phrase :
Sujet + verbe + complément- À qui tu crois que ton frère s’intéresse ?
Sujet vbe
Parfois, on trouve l’inversion stylistique : GV + GN (sujet non pronominal) Pour
postposer le sujet dans une phrase conjonctive, il faut un sujet représenté par un groupe
nominal et non pronominal À qui tu crois que s’intéresse ton frère ?
Vbe sujet
Si le syntagme interrogatif n’appartient pas à la prop. sub., on doit suivre l’ordre
canonique (à qui dépend de confirmer- *les invités partiront à qui/ tu as confirmé à qui)
* À qui as-tu confirmé que partiront les invités ?
Vbe sujet
Si le syntagme interrogatif appartient à la proposition subordonnée, on peut utiliser
l’inversion stylistique (à qui dépend de s’intéresser- ton frère s’intéresse à qui)
Facteurs qui déterminent le mode du verbe de la pro. sub. complétive conjonctive
On va trouver toujours un mode personnel, l’indicatif ou le subjonctif (pas infinitif,
participe, gérondif…)
En général, c’est la valeur sémantique du support qui détermine le mode de la
proposition subordonnée. Mais, il y a une zone de variation :
- Emploies non-normatifs : espérer + indicatif, mais dans la langue courante on
emploie le subjonctif ; l’idée de probabilité+ indicatif alors que dans la langue
courante subjonctif
- Polysémie de support de la prop. sub. 
- Polysémie liée à la structure argumentale de support de la prop. sub.
- Modalité négative et interrogative de la proposition principale 
- La place occupée par la proposition subordonnée : proposition sujet antéposé
(subjonctif), postposé dépend de la structure de la phrase, et extraposée par rapport
au sujet ou COD
FICHA
Support : élément auquel on attache la proposition subordonnée complétive
- 1-6 : On trouve le mode indicatif lorsque le procès de la proposition subordonnée est
considéré comme réel par l’énonciateur (le support verbal, nominal, adjectival…
exprime la certitude, la vraisemblance…)
- 7-12 : on trouve le mode subjonctif lorsque le procès de la proposition subordonnée
est considéré comme non réel par l’énonciateur (le support exprime une volonté, un
sentiment, une négation,,.)
 La valeur sémantique du support détermine le mode de la proposition subordonnée.
Nota bene : phrase 10- 2 possibilités avec falloir
la fonction de que P= séquence (c’est une construction impersonnelle)
=COD (on peut pronominaliser la séquence que P avec le)
Toutefois, il y a d’autres facteurs que la valeur sémantique du support qui peuvent
déterminer le mode de la proposition subordonnée :
- 4 : indicatif-le support s’assurer est considéré somme un procès réel
- 13 : subjonctif-le support s’assurer ajoute une autre idée (finalité)

- 14 : l’idée de probabilité – en principe, on utilise l’indicatif, mais dans l’usage


courant de la langue, on peut utiliser le subjonctif si on le considère comme l’idée de
possibilité

- 15 : dans la langue soignée, le support espérer est suivi de l’indicatif


- 16 : dans la langue courante, on confond espérer avec souhaiter, donc on utilise le
mode subjonctif

- 17 : indicatif- comprendre= se rendre compte de


- 18 : subjonctif- comprendre= essayer de chercher les raisons qui expliquent que
qqch se passe d’une manière donnée (pourquoi ?)
 C’est la polysémie du support qui détermine le choix modal
- 19 : indicatif- dire a une valeur déclarative (on décrit un fait)
- 20 : subjonctif – dire a une valeur d’ordre (il veut que Claire parte)
 C’est la polysémie du support qui exprime la présence de l’indicatif et du subjonctif

- 21 : indicatif- sujet humain (qqn explique qqch à qqn), expliquer a une valeur
déclarative
- 22 : subjonctif- sujet non-animé (qqch explique qqch), expliquer a une valeur
interprétative (on connaît les raison qui font que…)
 La polysémie du support liée à la structure argumentale du verbe expliquer exprime
la présence de l’indicatif et du subjonctif

- 23 : subjonctif – douter évoque l’idée d’hésitation


- 24 : indicatif - se douter évoque un soupçon de ce qui va se passer
 Polysémie liée à la structure argumentale du verbe douter

- 25 : subjonctif- si le verbe croire est en négatif


- 26 : indicatif- l’énonciateur insiste sur la réalité du fait
 La modalité négative de la proposition principale peut annuler l’emploi du
subjonctif dans la proposition subordonnée, mais les usagers doivent se servir de
l’indicatif quand on insiste sur la réalité du procès. Probablement, on se sert de
l’imparfait de l’indicatif pour éviter l’emploie de l’imparfait du subjonctif

- 27 : indicatif- la négation annule l’idée de doute=affirmation


- 28 : subjonctif- l’idée de doute reste dans l’esprit de l’énonciateur
 Le support qui évoque l’idée de doute ou de négation demande l’emploie du
subjonctif, mais la modalité négative de la phrase principale permet d’utiliser
l’indicatif parce que la négation de la doute et la négation de la négation équivaut à
une affirmation
o La modalité négative appliquée au support qui exige l’indicatif fait que l’on
puisse avoir le subjonctif
o La modalité négative appliquée au support qui exige le subjonctif fait que l’on
puisse avoir l’indicatif
o L’énonciateur peut choisir l’indicatif ou le subjonctif selon la valeur la plus
importante pour lui
- 29 : subjonctif – la modalité interrogative permet de remplacer l’indicatif par le
subjonctif parce que l’on n’est pas certain que le procès de la proposition
subordonné va avoir lieu
- 30 : indicatif- l’énonciateur veut insister sur la réalité du procès de la prop. sub.
 La modalité interrogative permet d’employer le subjonctif où on emploie en général
l’indicatif, mais l’énonciateur peut continuer à utiliser l’indicatif s’il veut insister
sur la réalité du procès de la prop. subordonnée.
- 31 : subjonctif- l’énonciateur ne garantie pas la vérité de la prop.sub
- 32 : indicatif- l’énonciateur garantie la vérité de la prop.sub (pour lui, l’amour est
éternel et il veut savoir l’opinion de l’autre)

- 33 : indicatif- Ambiguïté : Pourquoi peut porter sur partir (les raisons du départ) ou
sur croire (les raisons qui te font croire son départ)
- 34 : subjonctif- Pas d’ambiguïté : Pourquoi porte sur partir et non pas sur croire
 La modalité interrogative dans l’indicatif peut porter soit sur le verbe de la
principale, soit sur le verbe de la subordonné alors que, dans le subjonctif,
l’interrogation porte sur la proposition subordonné et non pas sur la proposition
principale

- 35 : indicatif- La possibilité d’employer le subjonctif est liée à la façon dont on a


construit la phrase interrogative
o Mécanismes d’interrogation : inversion complexe (tout, est-il-prêt?) ; inversion
simple  (êtes-vous prêts ?); est-ce-que ; mélodie montante de la phrase
o Les mécanismes d’interrogation élaborés (inversion complexe ou simple)
favorisent l’emploi du subjonctif. Avec est-ce que, c’est possible le subjonctif
mais rare. Avec la mélodie montante, l’emploi du subjonctif est interdit

- 36 : subjonctif- lorsque la prop. sub. sujet est antéposée


Structure - 37 : subjonctif- la prop. sub. sujet est postposée
non- - 38 : indicatif- le sujet est postposé mais l’énonciateur insiste sur l’idée de vérité
attributive  La place occupée par la proposition subordonnée détermine le mode
o que P =sujet antéposé - subjonctif (obligatoirement)
postposé subjonctif (en général) On peut choisir
indicatif (insister sur l’idée de vérité)

- 39 : subjonctif- sujet postposé


Structure - 40 : indicatif- sujet postposé
attributive - 41 : subjonctif – l’attribut craindre (support de sentiment) s’impose
- 42 : indicatif- l’attribut évoque l’idée de vérité
o que P =sujet antéposé - subjonctif (obligatoirement) Il y a des cas où le
postposé subjonctif (en général) mode est imposé
indicatif (insister sur l’idée de vérité) par l’attribut

- 43 : subjonctif
o Apposition au sujet Ce
o Terme nominal libre : la prop. sub. complétive conjonctive est extraposée par
rapport à une position sous-jacente de sujet
- 44 : indicatif-insister sur l’idée de vérité
o Apposition au sujet Cela
o Terme nominal libre : la prop. sub. complétive conjonctive est extraposée par
rapport à une position sous-jacente de sujet
 On emploie le subjonctif quand la prop. sub. complétive conjonctive est extraposée
par rapport à une position sous-jacente de sujet. Mais on peut employer l’indicatif
pour insister sur l’idée de vérité (c’est extrêmement rare, on le trouve dans de textes
littéraires)
- 45 : subjonctif
o Apposition au pronom qui joue le rôle de COD
o Terme nominal libre : la prop. sub. complétive conjonctive est extraposée par
rapport à une position sous-jacente de COD
 Le subjonctif est le mode habituel des propositions extraposées. On peut aussi
employer l’indicatif parce que, à l’origine, le support savoir est suivie de l’indicatif
- 46 : subjonctif
o Apposition au pronom qui joue le rôle de COD
o Terme nominal libre : la prop. sub. complétive conjonctive est extraposée par
rapport à une position sous-jacente de COD
 On ne peut pas employer l’indicatif parce que, à l’origine, le support douter est
suivie du subjonctif
(Examen) Propriétés des prop. sub. complétives : que/ce que (valeur à l’origine de
« ce », prép.+ce que- unité ou pas), fonctions, ordre, facteurs qui déterminent le mode

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