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FICHA:

1. Fonctions de que : enchâsseur (relier la prop.sub au verbe support), démarcateur,


(séparer la prop. sub. de l’élément dont il dépend), nominalisateur (la prop. sub,
fonctionne comme un nom)
Qui : sujet humain (ce qui : non humain)
2. Ce que P : COI (grammaire traditionnelle)
De ce que P: G. Prép. /COI – ce que P : cplt. de la prép
Quelques linguistes affirment que la prop. compl. conjonctive est introduite par de
ce que, mais si de fait partie de la locution conjonctive, cet élément ne peut pas
déterminer quel est le pronom dont on va se servir pour pronominaliser la séquence.
C’est pourquoi de ne fait pas partie de la locution conjonctive car, en tant que prép.
elle impose l’emploie de « en » pour pronominaliser la séquence, donc la prop. sub
commence par ce que.
Pour la gr. traditionnelle, pas de prop. inf., mais pour la gr. générative, il y a une
prop. infinitive (syntagme complémenteur)
Julia i… pour lui PROi soutirer le rouleau entre les mains (coréférence : PRO est
contrôlé par un autre élément et on le marque par i)
Pour lui soutirer
G. prép. SC= prop. infinitive (le complémenteur =de/ à)
5. Clpt. de l’adj. : la prop. sub. com. conjonctive dépend de certain qui est un adjectif
Il n’y a pas de préposition car de que son incompatibles. Donc, il y a 2 options : ce que
(à la place de que) ; on supprime la préposition (dans ce cas on décide de la supprimer)
6. Pour la gr. générative et la traditionnelle, il y a une prop. sub. com. conjonctive.
- COI : il y a une prép. omise mais elle est là (persuader qqn de qqch)
Prop. sub. infinitive (1)
- Gr. générative :
o la prop. sub. fait partie du syntagme complémenteur dont de est le
complémenteur qui enchâsse la prop. sub. dans la phrase matrice [de nous
persuader…la santé]
o Sujet phonétiquement nul et il est contrôlé [de PROi nous persuader]
- Gr. traditionnelle : pas de prop. sub.
o Persuader : emploie nominal (ne constitue pas le noyau d’une prop. sub.)
o de : indice de l’infinitive
Prop. sub. infinitive (2)
- Grammaire générative
o la prop. sub. fait partie du syntagme complémenteur
o Sujet phonétiquement nul et il n’est pas contrôlé [PRO arb consommer COD]
- Gr. traditionnelle: pas de pro. sub car il faut un verbe support.
o Consommer : emploie nominal (ne constitue pas le noyau d’une prop. sub.)
7. Prop. sub. com. conjonctive (2) : 2 options
- Attribut : car on a un verbe attributif
- Sujet : si on applique le test de focalisation (C’est que tu aimes la personne qui est
l’essentiel), l’élément qui fonctionne comme sujet se trouve entre c’est et qui, On
constate que c’est le sujet et que l’essentiel est l’attribut
8. On peut dire : Que Ramirez avait réussi… et qu’il avait effacé toutes… dans la foule
était évident, mais dans la langue courante on tend à éviter cette construction où le
sujet est représenté par une prop. sub. complétive
Prop. sub. infinitive 
- Grammaire générative
o la prop. sub. fait partie du syntagme complémenteur. Complémenteur à
o Sujet phonétiquement nul et il est contrôlé [à PROi soutirer COD] , la prop. sub.
infinitive fait partie du
- Gr. traditionnelle: pas de pro. sub car il faut un verbe support.
o soutirer : emploie nominal (ne constitue pas le noyau d’une prop. sub.)
o à : préposition car on peut remplacer la proposition par y
9. 2 options : cplt de l’adv. heureusement (gr. générative et traditionnelle) / thème
d’une prédication averbale (d’autres linguistes)
10. Ce qui, 2 options : locution pronominal inanalysable / ce (dét) + sub. relative
(analyse traditionnelle)
11. Prop. sub. com. conjonctive (2). 2 options : des linguistes considèrent que le fait que
est une locution conjonctive [le fait que P] est le COD de détester ; d’autres
affirment que la prop. sub est [que P] qui est le CN de fait
17. En français, on tend à éviter que la prop. sub. complétive soit le sujet
18. Prop. sub. infinitive
- Gr. générative : quand il y a un infinitif, toujours une prop. sub. infinitive (1 et 2)
- Gr. traditionnelle (1) : sujet explicite et diff. du sujet de la prop. principale
o Passer : emploie verbal (noyau d’une prop. sub. infinitive)
o Entendre : emploie nominal (pas de sujet explicite)
o Critique à l’analyse de la gr. traditionnelle : une calèche = COD (le) d’entendre
--> Le Goffic (CD) ; Leeman (Cplt. oblique) ; Wilmet (Apposition) comme les
compléments des verbes qui indiquent mesure ou poids (ce bébé pèse 4 kilos-
CD/ je pèse ces paquets-COD)
--> c’est une phrase simple où le noyau verbal (entendre) est suivie d’un COD et
d’un CD/ cplt. oblique/ apposition
23. [que P] : on tend à éviter qu’il soit le sujet. 3 possibilités
- Il est + adj. + [que P] : impersonnel
- C’est + adj. + [que P] : quasi-impersonnel
- [que P], c’est + adj. : structure proleptique (placé devant la séquence). 2
possibilités :
o [que P] fait partie de la phrase : apposition au pronom sujet ce
o [que P] ne fait pas partie de la phrase car on a déjà tout ce qu’il faut pour que
la phrase soit grammaticale (sujet+vbe+attribut) : terme nominal libre en
extraposition par rapport à une position sous-jacente de sujet

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