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Désignation normalisée :
Vis (Désignation de la tête), M (Ø nominal d) – (longueur L) – (Classe de qualité).
Désignation normalisée :
Vis (Désignation de la tête) à (Désignation de l’extrémité) (Symbole de la tête),
M (Ø nominal d) – (longueur L) – (Classe de qualité)
Têtes usuelles :
Extrémités :
Elaboré par : IGOULZAN .
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Dessin technique – Dessin d’ensemble
III. ECROUS :
Toutes pièces ayant un trou taraudé fait fonction d’écrou. Associé à un élément fileté (vis
d’assemblage, goujon), il assure une liaison Fixe démontable.
Désignation normalisée :
Ecrou (Symbole de la forme) , M (Ø nominal d)) – (Classe de qualité)
Ecrous auto-freinés :
Elaboré par : IGOULZAN .
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Dessin technique – Dessin d’ensemble
Fonctions :
Placée entre la tête de vis ou l’écrou et la pièce à serrer, une rondelle d’appui permet :
Désignation normalisée
Rondelle (Série de la rondelle : Z, M, L, LL) (∅ d de l’élément fileté)
V. BOULONS :
Un boulon est composé d’une vis et d’un écrou de même diamètre.
L’écrou couramment utilisé est l’écrou Hexagonal (H).
Désignation normalisée
Boulon (symbole de la tête), M (Ø nominal d) – (longueur sous tête L) – (Classe de qualité)
VI. GOUJONS :
Désignation normalisée :
Goujon M (Ø nominal d) – (longueur libre l),
bm (implantation bm), classe (classe de qualité)
VII. Goupilles :
Les goupilles sont des organes de liaison simples et peu coûteux, utilisées soit pour
immobiliser (goupilles d'arrêt) soit pour positionner ou centrer (goupilles de positionnement)
un composant par rapport à un autre. Elles travaillent le plus souvent au cisaillement.
Goupilles élastiques :
En acier à ressort (ou inoxydable), elles sont faciles à utiliser. La goupille, dont le diamètre est
plus grand que celui du trou, est comprimée dans son logement après montage, ce qui assure
son maintien en position.
.
Goupilles cylindriques :
En acier doux « St » trempé et en acier inoxydable austénitique « A1 »; deux qualités :
tolérance m6 sur d avec Ra ≤ 0,8 μm et h8 avec Ra ≤ 1,6 ; avec trou taraudé possible « ISO 8733
» ; extrémités optionnelles ; utilisation : arrêts ou positionnements.
Goupilles cannelées :
Elles permettent des goupillages économiques. Il existe de nombreuses variantes : Gl, G2...
Le plus souvent, trois cannelures, suivant trois génératrices à 120°, débordent du diamètre
nominal (d) et assurent par déformation élastique et coincement le maintien en position de la
goupille dans son logement.
Elaboré par : IGOULZAN .
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Dessin technique – Dessin d’ensemble
Utilisation : arrêts d'axes lisses ; écrous HK à créneaux ; tige filetée derrière des écrous
ordinaires...
Épingles d'axe
Elles sont logées dans une gorge comme un circlips et ne doivent pas travailler au cisaillement.
La déformation élastique assure le maintien en position.
Goupilles cavaliers :
Variante du cas précédent, leur mise en place exige un trou de perçage à la place d'une gorge.
Ils ont la forme d'anneaux fendus dont l'élasticité permet le montage et le maintien en
position après assemblage. Avantages : faible coût ; économie de matière ; usinages standards
; faible encombrement axial.
X. Joints d'étanchéité :
Définition :
Les joints d'étanchéité, bien que passant inaperçus, sont des éléments à ne pas négliger. Une
des raisons de l'explosion dramatique de la navette spatiale Challenger est justement la
défaillance d'un joint non compatible.
Une enceinte est dite parfaitement étanche si aucune quantité de fluide qui y est contenu ne
peut en sortir et si aucune particule (ou fluide) étrangère ne peut y entrer.
Il existe une grande variété de joints, qui peuvent cependant être classés en deux familles :
Les joints pour étanchéité statique : les surfaces à étancher restent immobiles l'une par
rapport à l'autre.
Joint à quatre lobes : Les applications et les usages sont les mêmes que pour les joints
toriques, ils sont un peu plus coûteux. On observe également moins de frottement et moins
de risque de vrillage. De nombreux matériaux sont proposés : le nitrile (NBR), le viton (FPM),
les silicones (SI)...
Comme précédemment, les pressions élevées sont possibles avec des bagues anti-extrusion.
Ils sont disponibles dans les mêmes dimensions que les joints toriques (voir paragraphe
précédent).
Joint à lèvres à contact radial : Ce sont des joints pour étanchéité dynamique, mouvement
de rotation uniquement. Ils sont essentiellement utilisés avec les huiles et les graisses.
Compacts, ils se composent d'une lèvre (nitrile, viton...) en forme de couteau, frottant
radialement sur l'arbre. Un ressort jarretière, à spires jointives de forme torique, assure le
maintien de contact lèvre/arbre.
Principales variantes : joint à une lèvre ; joint à deux lèvres, la lèvre supplémentaire est dite
pare-poussière ; joints en tandem ; armature apparente ou non.
Joint V-ring :
XI. Courroies :
Silencieuses, elles sont surtout utilisées aux vitesses élevées avec de grands entraxes possibles
entre poulies.
La tension initiale des courroies est indispensable pour garantir l'adhérence et assurer la
transmission du mouvement.
Un système à entraxe réglable ou un dispositif annexe de tension (galet enrouleur, etc.) est
souvent nécessaire pour régler la tension initiale et compenser l'allongement des courroies au
cours du temps.
À l'exception des courroies crantées, en
fonctionnement normal, il existe un léger
glissement de la courroie sur les poulies
amenant une imprécision du rapport de
transmission ; celui-ci n'est pas exactement
égal au rapport des diamètres des deux
poulies.
Courroies plates : très silencieuses, elles permettent de grands rapports de réduction et sont
surtout utilisées aux grandes vitesses (80 à 100 m/s) sous de faibles couples.
Elles absorbent bien les vibrations torsionnelles, ce qui autorise les grands entraxes et les
grandes longueurs. Elles ont un très bon rendement (≈ 98 %, comparable aux engrenages). Le
bombé des poulies permet un meilleur guidage et une meilleure stabilité de la courroie et
compense dans une certaine mesure un désalignement initial.
Courroies trapézoïdales :
Courroies crantées (ou synchrones) : On peut les considérer comme des courroies plates avec
des dents. Elles fonctionnent par engrènement, sans glissement, comme le ferait une chaîne
mais avec plus de souplesse.
Contrairement aux autres courroies, elles supportent bien les basses vitesses et exigent une
tension initiale plus faible.