Etude Géotechnique Préalable Mission G1 ES Et PGC

Etude géotechnique préalable
Mission G1 ES et PGC
MAIRIE DE SAINT-VINCENT-RIVE-D’OLT
(Lot)
Terrains lieu-dit « Bouyssette »
Parcelles AM 467, 489, 490, 491 et 492
Dossier : 2109615_G1
Révision Date Nbre pages Modifications Rédacteur Contrôleur
Première
22/10/2021 30 - D. COAGUILA B. PIERLAY
diffusion
A
b
- Lieu-dit Blanat– 46500 ROCAMADOUR

Tél. : 05 65 34 25 12 – Courriel : geoccitane@geoccitane.fr
S.A.S.U. au capital de 10 000 € - SIREN 808 575 062 - R.C.S. CAHORS – APE 7112B
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SOMMAIRE
I - GÉNÉRALITÉS – DONNÉES DE BASE......................................................................... 3

I.1 – Rappel de la mission ................................................................................................ 3
I.2 - Documents fournis .................................................................................................... 3
I.3 - Localisation du terrain ............................................................................................... 4
I.4 – Investigations mises en œuvre ................................................................................. 5
II - CONTEXTES TOPOGRAPHIQUE, GÉOLOGIQUE ET GÉOTECHNIQUE ................... 6
II.1 - Topographie – Morphologie - Environnement .......................................................... 6
II.2 - Contexte géologique ................................................................................................ 6
II.3 – Eaux de surface ...................................................................................................... 6
II.4 – Eaux souterraines ................................................................................................... 6
II.5 – Contexte réglementaire – Inventaires des risques connus ...................................... 7
III- PRESENTATION ET ANALYSE DES RÉSULTATS ..................................................... 9
III.1 – Nature et résistance mécanique des terrains ......................................................... 9
III.2 – Venues d’eau ....................................................................................................... 10
IV – SYNTHESE DES DONNEES GEOTECHNIQUES ..................................................... 11
IV.1 - Modèle géotechnique – identification des risques résiduels ................................. 11
IV.2 – La Z.I.G. ............................................................................................................... 11
IV.3 – Caractérisation du site au regard du retrait-gonflement des argiles ..................... 11
IV.4 – Terrassements ..................................................................................................... 11
IV.5 – Horizons porteurs - Principes généraux de fondations ........................................ 12
IV.6 – Dallages ............................................................................................................... 13
IV.7 – Conclusions - Identification des risques ............................................................... 14
ANNEXES
Annexe 1 : Classification des missions géotechniques type (norme NF P 94-500

révisée en novembre 2013) .................................................................................... 17
Annexe 2 : Fiche communale IAL ........................................................................... 20
Annexe 3 : Graphiques des essais au pénétromètre dynamique ............................ 21
MAIRIE DE SAINT-VINCENT-RIVE-D’OLT - Terrains lieu-dit « Bouyssette » - Parcelles AM 467, 489, 490, 491 et 492
Etude géotechnique préalable mission G1 ES et PGC 2109615_G1 - Première diffusion
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I - GÉNÉRALITÉS – DONNÉES DE BASE
I.1 – Rappel de la mission
A la demande et pour le compte de la MAIRIE DE SAINT-VINCENT-RIVE-D’OLT nous avons réalisé

une campagne d’investigation par essais au pénétromètre dynamique sur 5 terrains situés sur le
territoire de la commune de SAINT VINCENT RIVE D’OLT (Lot), dans le cadre d’un projet de vente
de terrains constructibles.
Les objectifs de ces investigations sont la réalisation d’une étude géotechnique préalable, mission
G1 ES (étude de site) et PGC (principes généraux de constructions) conformément à la norme
NF P 94-500 révisée en novembre 2013 relative aux missions géotechniques, à savoir :
✓ donner un modèle géologique préliminaire ;
✓ donner une première approche de la Zone Influence Géotechnique (ZIG) ;

✓ établir une première identification des risques géotechniques majeurs, notamment vis-à-
vis du risque de retrait-gonflement des sols argileux ;
✓ lister les horizons porteurs potentiels ;
✓ définir certains principes généraux de construction envisageables.
Cette étude répond aux exigences de la loi ELAN promulguée le 23 novembre 2018, et des décrets
et arrêtés la complétant, qui rendent obligatoire depuis le 01 octobre 2020 les études géotechniques
préalables à la vente d’un terrain situé, selon les cartes d’exposition au risque retrait-gonflement des
sols argileux publiées en août 2019, en zone à risque moyen à fort.
Les principaux documents techniques et normes utilisés pour la réalisation de cette mission sont :
- Norme NF P 94-500 relative à la classification des missions géotechniques.

- Norme NF EN ISO 22476-2 de Juillet 2005 - Reconnaissance et essais géotechniques -
Essais en place - Partie 2 : essai de pénétration dynamique
Le présent rapport rend compte des investigations réalisées et fournit nos conclusions.
 Annexe 1 : Extrait de la norme NF P 94-500
I.2 - Documents fournis
Les documents remis par la mairie à l’occasion de cette étude sont :
Aucun
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I.3 - Localisation du terrain
Les terrains se situent sur le territoire de la commune de SAINT-VINCENT-RIVE-D’OLT (Lot), lieu-

dit « Bouyssette ». Les références cadastrales sont section AM parcelles 467, 489, 490, 491 et 492,
soit d’une contenance totale de 7 500 m² constructibles.
Figure 1 : Plan de localisation
Figure 2 : Extrait de plan cadastral
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I.4 – Investigations mises en œuvre
Dans le cadre de la présente étude ont été réalisés :
- 10 essais au pénétromètre dynamique lourd DPSH, PD1 à PD10, portés au refus.
En raison de la présence de calcaire à faible profondeur, aucun prélèvement de sol pour la

réalisation d’essais de laboratoire pour la caractérisation au retrait-gonflement n’a été effectué.
Les opérations se sont déroulées le 21 septembre 2021.
Figure 3 : Implantation des sondages
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II - CONTEXTES TOPOGRAPHIQUE, GÉOLOGIQUE ET GÉOTECHNIQUE
II.1 - Topographie – Morphologie - Environnement
La côte altimétrique des terrains comprise entre 285 et 295 mNGF. D’après la carte IGN 1/25000,
ils présenteraient une pente de l’ordre de 10% en direction de l’Ouest. Ce sont des parcelles
boisées.
II.2 - Contexte géologique
D’après la carte géologique de Montcuq à l’échelle du 1/50 000 (BRGM N°809), les terrains du site
seraient des marno-calcaires du Kimméridgien supérieur (j8 ; Jurassique) : alternances de marnes
grises et de calcaires en bancs bien réglés d’une épaisseur totale de 200 mètres
Figure 4 : Extrait de la carte géologique au 1/50 000
II.3 – Eaux de surface
Le terrain se situe sur n plateau calcaire, il n’existe pas de cour d’eau pérenne à proximité du site.
II.4 – Eaux souterraines
Les marno-calcaires, par leur nature, ne sont pas propices à la formation d’une nappe d’eau
souterraine.
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II.5 – Contexte réglementaire – Inventaires des risques connus
• Mouvements de terrains :
o Aucun mouvement de terrain n’est recensé dans un rayon de 500 m autour du site1.
o La commune ne possède pas de PPRN mouvements de terrains quels qu’ils soient.
o D’après la carte d’exposition au retrait-gonflement les terrains se situent sur une zone
classée « aléa moyen » :
Figure 5 : Extrait de la carte des risques au retrait-gonflement des argiles
• Inondation : La commune est incluse dans le PPRI Lot aval. D’après ce plan et par leur
position topographique, les terrains ne sont pas inondables par débordement de cours
d’eau.
• Remontée de nappe : selon le site http://www.infoterre.brgm.fr les terrains ne sont pas

sujets au débordement de nappe ni aux inondations de cave par remontée de nappe.
• Risque sismique : le site de la construction, est situé en zone 1 du zonage sismique de la

France, à risque très faible (décret no 2010-1255 du 22 octobre 2010). Aucune exigence
particulière pour une maison individuelle.
1
Le rayon de 500m a été déterminé en fonction des historiques de mouvements de sols de ses impacts.
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• Cavités souterraines : Aucune cavité naturelles n’est recensée à moins de 500 mètres du
terrain (http://www.georisques.gouv.fr).
• Arrêtés CATNAT : La commune a fait l’objet de 5 arrêtés de catastrophe naturelle, aucun

au titre de mouvements de terrains relatifs à la « sécheresse et/ou à la réhydratation
des sols » :
 Annexe 2 : Fiche communale IAL
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III- PRESENTATION ET ANALYSE DES RÉSULTATS
III.1 – Nature et résistance mécanique des terrains
Le principe de l’essai au pénétromètre dynamique est d’enfoncer dans le sol par battage un train de
tiges de faible diamètre muni à son extrémité d’une pointe. L’opérateur mesure le nombre de coups
N nécessaires pour obtenir un enfoncement donné (10 ou 20 cm).
La résistance à la rupture du sol sous la pointe du pénétromètre ou résistance dynamique de pointe

Rd, est donnée par la formule des Hollandais :
𝑀2 1 𝑁𝑑20
𝑅𝑑 = 𝑔. 𝐻. . .
𝑀 + 𝐶𝑇 𝑆 𝛥ℎ
Avec : Rd : résistance de la pointe
M : masse du mouton
H : hauteur de chute
g : accélération terrestre
CT : masse enclume + tiges
S : section droite de la pointe
Nd20 : nombre de coups pour un enfoncement de 20 cm
Δh : enfoncement de 20 cm de la pointe
Le tableau qui suit donne les résistances dynamiques au droit des sondages et leur interprétation :
Résistance dynamique
Essai Profondeur Compacité
Rd
0,00 à 0,20 m 8,01 MPa Elevée
PD1
Refus à 0,25 m > 60 MPa Très élevée
0,00 à 0,20 m 6,16 MPa Moyenne
PD2
0,00 à 0,40 m 6,16 à 11,09 MPa Moyenne à élevée
PD3
0,20 m 11,09 MPa Elevée
PD4
0,00 à 0,60 m 4,93 à 11,09 MPa Moyenne à élevée
PD5
PD6
PD7
PD8
PD9 Refus à 0,15 m > 60 MPa Très élevée
PD10
Rd Très faible
en MPa 0 à faible 2 Médiocre 4 Moyenne 8 Elevée 15 Très élevée
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Les essais au pénétromètre dynamique ont refusé très rapidement, entre 15 à 75 cm de profondeur,
sur un horizon très résistant (Rd > 60 MPa avec rebond du mouton de battage), calcaires ou bocs
calcaires.
Quelques affleurements ou blocs calcaires sont visibles à la surface des terrains.
III.2 – Venues d’eau
Aucune venue d’eau n’a été observé en sondages.
Il n’y avait aucune stagnation d’eau en surface le jour de notre intervention.
 Annexe 3 : Graphiques des essais au pénétromètre dynamique
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IV – SYNTHESE DES DONNEES GEOTECHNIQUES
IV.1 - Modèle géotechnique – identification des risques résiduels
Les investigations, réalisées dans le cadre d’une mission G1, ont permis de mettre en évidence la
présence de calcaire à très faible profondeur, entre 15 et 75 cm de profondeur au droit des
sondages.
IV.2 – La Z.I.G.
La Z.I.G. ( Zone d’Influence Géotechnique, norme NF P 94-500) est le volume de terrain au sein duquel il y a
interaction entre l’ouvrage ou l’aménagement du terrain (du fait de sa réalisation et de son exploitation) et
l’environnement (sols et ouvrages environnants). Sa forme et son extension sont spécifiques à chaque site et
chaque ouvrage.
Pour des maisons individuelles sans sous-sol ni mitoyens, la Z.I.G. ne concernera que les parcelles
des projets de construction.
IV.3 – Caractérisation du site au regard du retrait-gonflement des argiles
Pour des fondations descendues partout au calcaire, la sensibilité du site au regard du risque retrait-
gonflement peut être qualifiée de faible à nulle.
IV.4 – Terrassements
Les terrassements en déblais et des rigoles de fondations concerneront du calcaire. Les

terrassements nécessiteront des moyens d’extractions puissants, voire l’usage du BRH. Les
rendements seront donc réduits.
Nous attirons également l’attention sur les basses fréquences de vibrations générées par les BRH,
hautement préjudiciables aux constructions situées à proximité.
Le terrassement des rigoles de fondations dans le calcaire engendrera des hors-profils, le volume
de béton à couler sera supérieur au volume théorique.
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IV.5 – Horizons porteurs - Principes généraux de fondations
Le calcaire, qui a provoqué le refus des essais à très faible, constitue un excellent sol d’assise de
fondations superficielles, continues ou isolées, non exposées à des mouvements de sols liés aux
phénomènes de retrait-gonflement, ni aux tassements.
Les principes d’encastrement des semelles seront (respect de l’ensemble de ces conditions) :
- un ancrage h dans le calcaire égal à une demi-largeur avec un minimum de 20 cm ;

- tout en respectant une profondeur minimale D de 0,80 m par rapport au niveau du sol
extérieur fini.
Il sera impératif d’avoir un sol d’assise homogène pour les fondations des maisons en tout point
constitué de calcaire.
Des variations de profondeur du toit du calcaire sont toujours possible. Elles pourront nécessiter alors
des approfondissements des semelles par gros béton.
En cas de fondations à des niveaux décalés, on respectera une pente maximale de 3 de base pour 2
de hauteur entre arrêtes de fondations se faisant face. La même pente sera respectée pour des
semelles en redans.
En dehors de toute considération de descentes de charges, la largeur B des semelles filantes ne

devra pas être inférieure à 40 cm, celle de semelles isolées de 60 cm.
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Le béton des semelles sera coulé à pleine fouille, à l’avancement des terrassements des rigoles
de fondations, sur un support parfaitement vérifié, purgé des éventuelles hétérogénéités, poches de
remblais, de terrains compressibles ou évolutifs, et assaini.
Les semelles filantes seront armées, avec des aciers croisés dans les angles. Il faudra prévoir un
chaînage horizontal haut et bas et vertical soigné du bâtiment.
Le terrain sera probablement en partie ou totalement déboisé. L’entreprise de terrassement et

l’entreprise de maçonnerie devront se coordonner afin de localiser et traiter les zones remaniées
par le dessouchage :
- approfondissement du terrassement en fond de souches ;
- rattrapage en gros béton de l’assise des semelles ;

- renforcement du ferraillage des semelles de fondations (rigidification).
IV.6 – Dallages
Pour un fond de forme entièrement constitué de calcaire, des dallages sur terre-plein sont
envisageables.
En cas de dallage sur terre-plein, on procédera à :

✓ la purge de la terre végétale, des éventuelles poches d’argiles superficielles et afin d’obtenir
un fond de forme homogène constitué de calcaire ;
✓ La mise en place d’une couche de réglage et de rattrapage des niveaux, en matériau
granulaire2, soigneusement compactés par couches.
Les éventuelles poches d’argiles d’extension limitée seront purgées sur une épaisseur minimale de 50
cm et substituée par un matériau graveleux sain correctement compacté.
Les exigences en termes de portance pour le sol support d’un dallage de maison individuelle est un
module de Westergaard Kw > 30 MPa/m (DTU 13.3), valeur qui sera facilement atteinte sur le calcaire.
Pour le dallage, les zones remaniées par le dessouchage seront purgées. A défaut, le dallage sera de
type dalle portée sur vide sanitaire.
2 insensible à l’eau : VBS < 0,1 - dureté / gélivité : LA et/ou MDE < 45 - D≤100 mm
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IV.7 – Conclusions - Identification des risques
Les investigations, réalisées dans le cadre d’une mission G1, ont permis de mettre en évidence la
présence du calcaire à très faible profondeur, entre 15 et 75 cm de profondeur au droit des
sondages.
Les fondations pourront être de type semelles filantes ou isolées ancrées dans les calcaires à la
profondeur minimale de 80 cm/terrain fini.
Il sera impératif d’avoir un sol d’assise homogène pour les fondations des maisons en tout point
constitué de calcaire. Les éventuelles variations de profondeur du toit du calcaire pourront nécessiter
des approfondissements par gros béton.
Les risques géotechniques identifiés du site sont :
Risque PPR prescrit Aléa au niveau de la parcelle

Faible à nul
Retrait gonflement des argiles Non
Pour des fondations au calcaire
Glissement de terrain Non Non
Cavités - Effondrement Non Non
Inondation Oui Non
Sismicité Zonage sismique de la France Zone 1

Remontée de nappe d’eau
Non Non
souterraine
Auxquels il convient d’ajouter les aléas suivants déduits des investigations de la mission G1 :
- Aléa lié aux possibles variations de profondeur du toit du calcaire, pouvant nécessiter des
approfondissements des semelles par gros bétons ;
- Aléa lié aux problèmes de déroctage pour des terrassements dans le calcaire.
***
Le présent rapport conclut la mission d’étude géotechnique préalable de type G1 ES et PGC confiée
à GEOCCITANE.
Selon la norme NF P 94-500, elle doit être suivie d’une mission d’étude géotechnique de conception
de type G2.
GEOCCITANE reste à la disposition du Maître d’ouvrage et de tous les intervenants pour la

réalisation de ces missions. La description des missions normées et leur enchaînement sont donnés
en annexe pages suivantes.
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CONDITIONS GÉNÉRALES DES MISSIONS GÉOTECHNIQUES
1. CADRE DE LA MISSION
Par référence à la CLASSIFICATION DES MISSIONS GEOTECHNIQUES TYPES, il appartient au maître

d'ouvrage et à son maître d'œuvre de veiller à ce que toutes les missions géotechniques nécessaires à la
conception puis à l'exécution de l'ouvrage soient engagées avec les moyens opportuns et confiées à des hommes
de l'Art.
L'enchaînement des missions géotechniques suit la succession des phases d'élaboration du projet, chacune de
ces missions ne couvrant qu'un domaine spécifique de la conception ou de l'exécution.
En particulier :
• Les missions G1, G2, G3, G4 sont réalisées dans l'ordre successif,
• Une mission confiée à notre société peut ne contenir qu'une partie des prestations décrites dans la mission
type correspondante,
• Une mission type G1 à G5 n'engage notre société sur son devoir de conseil que dans le cadre strict, d'une
part, des objectifs explicitement définis dans notre proposition technique sur la base de laquelle la commande
et ses avenants éventuels ont été établis, d'une part, du projet du client décrit par les documents graphiques
ou plans cités dans le rapport,
• Une mission type G1 ou G5 exclut tout engagement de notre société sur les quantités, coûts et délais
d'exécution des futurs ouvrages géotechniques,
• Une mission type G2 PRO engage notre société en tant qu'assistant technique à la maîtrise d'œuvre dans les
limites du contrat fixant l'étendue de la mission et la (ou les) parties(s) d'ouvrage(s) concerné(s).
La responsabilité de notre société ne saurait être engagée en dehors du cadre de la mission géotechnique objet
du rapport. En particulier, toute modification apportée au projet ou à son environnement nécessite la
réactualisation du rapport géotechnique dans le cadre d'une nouvelle mission.
2. RECOMMANDATIONS
Il est précisé que l'étude géotechnique repose sur une reconnaissance du sol dont la maille ne permet pas de
lever la totalité des aléas toujours possibles en milieu naturel. En effet, des hétérogénéités, naturelles ou du fait
de l'homme, des discontinuités et des aléas d'exécution peuvent apparaître compte tenu du rapport entre le
volume échantillonné ou testé et le volume sollicité par l'ouvrage, et ce d'autant plus que ces singularités
éventuelles peuvent être limitées en extension. Les éléments géotechniques nouveaux mis en évidence lors de
l'exécution, pouvant avoir une influence sur les conclusions du rapport, doivent immédiatement être signalés au
géotechnicien chargé du suivi géotechnique d'exécution (mission G4) afin qu'il en analyse les conséquences sur
les conditions d'exécution, voire la conception de l'ouvrage géotechnique.
Si un caractère évolutif particulier a été mis en lumière (notamment glissement, érosion, dissolution, remblais
évolutifs, tourbe), l'application des recommandations du rapport nécessite une validation à chaque étape suivante
de la conception ou de l'exécution. En effet, un tel caractère évolutif peut remettre en cause ces
recommandations, notamment s'il s'écoule un laps de temps important avant leur mise en œuvre.
3. RAPPORT DE LA MISSION
Le rapport géotechnique constitue le compte rendu de la mission géotechnique définie par la commande au titre
de laquelle il a été établi et dont les références sont rappelées en tête. A défaut de clauses spécifiques
contractuelles, la remise du rapport géotechnique fixe la fin de la mission.
Un rapport géotechnique et toutes ses annexes identifiées constituent un ensemble indissociable. Les deux
exemplaires de référence en sont les deux originaux conservés ; un par le client et le second par notre société.
Dans ce cadre, toute autre interprétation qui pourrait être fait d'une communication ou reproduction partielle ne
saurait engager la responsabilité de notre société. En particulier l'utilisation même partielle de ces résultats et
conclusions par un autre maître d'ouvrage ou par un autre ouvrage que celui objet de la mission confiée ne pourra
en aucun cas engager la responsabilité de notre société et pourra entraîner des poursuites judiciaires.
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ANNEXES
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Annexe 1 : Classification des missions géotechniques type (norme NF P 94-

500 révisée en novembre 2013)
L’enchaînement des missions d’ingénierie géotechnique (étapes 1 à 3) doit suivre les étapes de conception et de réalisation de tout
projet pour contribuer à la maîtrise des risques géotechniques. Le maître d’ouvrage ou son mandataire doit faire réaliser successivement
chacune de ces missions par une ingénierie géotechnique. Chaque mission s’appuie sur des données géotechniques adaptées issues
d’investigations géotechniques appropriées.
ÉTAPE 1 : ÉTUDE GÉOTECHNIQUE PRÉALABLE (G1)
Cette mission exclut toute approche des quantités, délais et coûts d’exécution des ouvrages géotechniques qui entre dans le cadre de la
mission d’étude géotechnique de conception (étape 2). Elle est à la charge du maître d’ouvrage ou son mandataire.
Elle comprend deux phases :
Phase Étude de Site (ES)

Elle est réalisée en amont d’une étude préliminaire, d’esquisse ou d’APS pour une première identification des risques géotechniques
d’un site.
• Faire une enquête documentaire sur le cadre géotechnique du site et l’existence d’avoisinants avec visite du site et des
alentours.
• Définir si besoin un programme d’investigations géotechniques spécifique, le réaliser ou en assurer le suivi technique, en
exploiter les résultats.
• Fournir un rapport donnant pour le site étudié un modèle géologique préliminaire, les principales caractéristiques
géotechniques et une première identification des risques géotechniques majeurs.
Phase Principes Généraux de Construction (PGC)

Elle est réalisée au stade d’une étude préliminaire, d’esquisse ou d’APS pour réduire les conséquences des risques géotechniques
majeurs identifiés. Elle s’appuie obligatoirement sur des données géotechniques adaptées.
• Fournir un rapport de synthèse des données géotechniques à ce stade d’étude (première approche de la ZIG, horizons
porteurs potentiels, ainsi que certains principes généraux de construction envisageables (notamment fondations,
terrassements, ouvrages enterrés, améliorations de sols).
ÉTAPE 2 : ÉTUDE GÉOTECHNIQUE DE CONCEPTION (G2)
Cette mission permet l’élaboration du projet des ouvrages géotechniques et réduit les conséquences des risques géotechniques
importants identifiés. Elle est à la charge du maître d’ouvrage ou son mandataire et est réalisée en collaboration avec la maîtrise d’œuvre
ou intégrée à cette dernière.
Elle comprend trois phases :
Phase Avant-projet (AVP)

Elle est réalisée au stade de l’avant-projet de la maîtrise d’œuvre et s’appuie obligatoirement sur des données géotechniques adaptées.
• Fournir un rapport donnant les hypothèses géotechniques à prendre en compte au stade de l’avant-projet, les principes de
construction envisageables (terrassements, soutènements, pentes et talus, fondations, assises des dallages et voiries,
améliorations de sols, dispositions générales vis-à-vis des nappes et des avoisinants), une ébauche dimensionnelle par type
d’ouvrage géotechnique et la pertinence d’application de la méthode observationnelle pour une meilleure maîtrise des
risques géotechniques.
Phase Projet (PRO)

Elle est réalisée au stade du projet de la maîtrise d’œuvre et s’appuie obligatoirement sur des données géotechniques adaptées
suffisamment représentatives pour le site.
• Fournir un dossier de synthèse des hypothèses géotechniques à prendre en compte au stade du projet (valeurs
caractéristiques des paramètres géotechniques en particulier), des notes techniques donnant les choix constructifs des
ouvrages géotechniques (terrassements, soutènements, pentes et talus, fondations, assises des dallages et voiries,
améliorations de sols, dispositions vis-à-vis des nappes et des avoisinants), des notes de calcul de dimensionnement, un
avis sur les valeurs seuils et une approche des quantités.
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Phase DCE / ACT

Elle est réalisée pour finaliser le Dossier de Consultation des Entreprises et assister le maître d’ouvrage pour l’établissement des
Contrats de Travaux avec le ou les entrepreneurs retenus pour les ouvrages géotechniques.
• Établir ou participer à la rédaction des documents techniques nécessaires et suffisants à la consultation des entreprises pour
leurs études de réalisation des ouvrages géotechniques (dossier de la phase Projet avec plans, notices techniques, cahier des
charges particulières, cadre de bordereau des prix et d’estimatif, planning prévisionnel).
• Assister éventuellement le maître d’ouvrage pour la sélection des entreprises.
ÉTAPE 3 : ÉTUDES GÉOTECHNIQUES DE RÉALISATION (G3 et G 4, distinctes et simultanées) ÉTUDE ET SUIVI

GÉOTECHNIQUES D’EXECUTION (G3)
Cette mission permet de réduire les risques géotechniques résiduels par la mise en œuvre à temps de mesures correctives d’adaptation
ou d’optimisation. Elle est confiée à l’entrepreneur sauf disposition contractuelle contraire, sur la base de la phase G2 DCE/ACT.
Elle comprend deux phases interactives :
Phase Étude
• Étudier dans le détail les ouvrages géotechniques : notamment établissement d’une note d’hypothèses géotechniques sur la
base des données fournies par le contrat de travaux ainsi que des résultats des éventuelles investigations complémentaires,
définition et dimensionnement (calculs justificatifs) des ouvrages géotechniques, méthodes et conditions d’exécution
(phasages généraux, suivis, auscultations et contrôles à prévoir, valeurs seuils, dispositions constructives complémentaires
éventuelles).
• Élaborer le dossier géotechnique d’exécution des ouvrages géotechniques provisoires et définitifs : plans d’exécution, de
phasage et de suivi.
Phase Suivi
• Suivre en continu les auscultations et l’exécution des ouvrages géotechniques, appliquer si nécessaire des dispositions
constructives prédéfinies en phase Étude.
• Vérifier les données géotechniques par relevés lors des travaux et par un programme d’investigations géotechniques
complémentaire si nécessaire (le réaliser ou en assurer le suivi technique, en exploiter les résultats).
• Établir la prestation géotechnique du dossier des ouvrages exécutés (DOE) et fournir les documents nécessaires à
l'établissement du dossier d'interventions ultérieures sur l'ouvrage (DIUO).
SUPERVISION GÉOTECHNIQUE D’EXECUTION (G4)
Cette mission permet de vérifier la conformité des hypothèses géotechniques prises en compte dans la mission d’étude et suivi
géotechniques d’exécution. Elle est à la charge du maître d’ouvrage ou son mandataire et est réalisée en collaboration avec la maîtrise
d’œuvre ou intégrée à cette dernière.
Elle comprend deux phases interactives :
Phase Supervision de l’étude d’exécution

• Donner un avis sur la pertinence des hypothèses géotechniques de l’étude géotechnique d’exécution, des dimensionnements
et méthodes d’exécution, des adaptations ou optimisations des ouvrages géotechniques proposées par l’entrepreneur, du
plan de contrôle, du programme d'auscultation et des valeurs seuils.
Phase Supervision du suivi d’exécution

• Par interventions ponctuelles sur le chantier, donner un avis sur la pertinence du contexte géotechnique tel qu’observé par
l’entrepreneur (G3), du comportement tel qu’observé par l’entrepreneur de l’ouvrage et des avoisinants concernés (G3), de
l’adaptation ou de l’optimisation de l’ouvrage géotechnique proposée par l’entrepreneur (G3).
• Donner un avis sur la prestation géotechnique du DOE et sur les documents fournis pour le DIUO.
DIAGNOSTIC GÉOTECHNIQUE (G5)
Pendant le déroulement d’un projet ou au cours de la vie d’un ouvrage, il peut être nécessaire de procéder, de façon strictement
limitative, à l’étude d’un ou plusieurs éléments géotechniques spécifiques, dans le cadre d’une mission ponctuelle.
Ce diagnostic géotechnique précise l’influence de cet ou ces éléments géotechniques sur les risques géotechniques identifiés ainsi que
leurs conséquences possibles pour le projet ou l’ouvrage existant.
• Définir, après enquête documentaire, un programme d’investigations géotechniques spécifique, le réaliser ou en assurer le
suivi technique, en exploiter les résultats.
• Étudier un ou plusieurs éléments géotechniques spécifiques (par exemple soutènement, causes géotechniques d’un
désordre) dans le cadre de ce diagnostic, mais sans aucune implication dans la globalité du projet ou dans l’étude de l’état
général de l’ouvrage existant.
• Si ce diagnostic conduit à modifier une partie du projet ou à réaliser des travaux sur l’ouvrage existant, des études
géotechniques de conception et/ou d’exécution ainsi qu’un suivi et une supervision géotechniques seront réalisés
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Annexe 2 : Fiche communale IAL
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Annexe 3 : Graphiques des essais au pénétromètre dynamique
ESSAI PENETROMETRE DYNAMIQUE LOURD

MAGERIT III
Client : MARIE DE SAINT VINCENT RIVE D'OLT N° dossier : 2109615_G1

Commune : SAINT VINCENT RIVE D’OLT (Lot) Date : 21/09/21
PD1
0 5 10 15 20 25 30 35 40
0
2
Très faible à faible
Très élevée
Médiocre
Moyenne
Elevée
Rd en MPa Nbre coups
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MAGERIT III

PD2
0 5 10 15 20 25 30 35 40
0
2
Très élevée
Médiocre
Moyenne
Elevée
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MAGERIT III

PD3
0 5 10 15 20 25 30 35 40
0
2
Très élevée
Médiocre
Moyenne
Elevée
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MAGERIT III

PD4
0 5 10 15 20 25 30 35 40
0
2
Très élevée
Médiocre
Moyenne
Elevée
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PD5
0 5 10 15 20 25 30 35 40
0
2
Très élevée
Médiocre
Moyenne
Elevée
Rd en MPa Nbre coups Rd très faible à faible Rd Médiocre Rd moyenne Rd élevée
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PD6
0 5 10 15 20 25 30 35 40
0
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Très élevée
Médiocre
Moyenne
Elevée
Rd en MPa Nbre coups Série3 Série4 Rd moyenne Rd élevée
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PD7
0 5 10 15 20 25 30 35 40
0
2
Très élevée
Médiocre
Moyenne
Elevée
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PD8
0 5 10 15 20 25 30 35 40
0
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Très élevée
Médiocre
Moyenne
Elevée
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PD9
0 5 10 15 20 25 30 35 40
0
2
Très élevée
Médiocre
Moyenne
Elevée
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PD10
0 5 10 15 20 25 30 35 40
0
2
Très élevée
Médiocre
Moyenne
Elevée

Etude Géotechnique Préalable Mission G1 ES Et PGC

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Etude géotechnique préalable

- Lieu-dit Blanat– 46500 ROCAMADOUR

I - GÉNÉRALITÉS – DONNÉES DE BASE......................................................................... 3

Annexe 1 : Classification des missions géotechniques type (norme NF P 94-500

I - GÉNÉRALITÉS – DONNÉES DE BASE

I.1 – Rappel de la mission

A la demande et pour le compte de la MAIRIE DE SAINT-VINCENT-RIVE-D’OLT nous avons réalisé

✓ donner un modèle géologique préliminaire ;

✓ donner une première approche de la Zone Influence Géotechnique (ZIG) ;

- Norme NF P 94-500 relative à la classification des missions géotechniques.

 Annexe 1 : Extrait de la norme NF P 94-500

I.2 - Documents fournis

Les documents remis par la mairie à l’occasion de cette étude sont :

I.3 - Localisation du terrain

Les terrains se situent sur le territoire de la commune de SAINT-VINCENT-RIVE-D’OLT (Lot), lieu-

Figure 1 : Plan de localisation

Figure 2 : Extrait de plan cadastral

I.4 – Investigations mises en œuvre

Dans le cadre de la présente étude ont été réalisés :

- 10 essais au pénétromètre dynamique lourd DPSH, PD1 à PD10, portés au refus.

En raison de la présence de calcaire à faible profondeur, aucun prélèvement de sol pour la

Les opérations se sont déroulées le 21 septembre 2021.

Figure 3 : Implantation des sondages

II - CONTEXTES TOPOGRAPHIQUE, GÉOLOGIQUE ET GÉOTECHNIQUE

II.1 - Topographie – Morphologie - Environnement

II.2 - Contexte géologique

Figure 4 : Extrait de la carte géologique au 1/50 000

II.3 – Eaux de surface

II.4 – Eaux souterraines

II.5 – Contexte réglementaire – Inventaires des risques connus

o La commune ne possède pas de PPRN mouvements de terrains quels qu’ils soient.

Figure 5 : Extrait de la carte des risques au retrait-gonflement des argiles

• Remontée de nappe : selon le site http://www.infoterre.brgm.fr les terrains ne sont pas

• Risque sismique : le site de la construction, est situé en zone 1 du zonage sismique de la

• Arrêtés CATNAT : La commune a fait l’objet de 5 arrêtés de catastrophe naturelle, aucun

 Annexe 2 : Fiche communale IAL

III- PRESENTATION ET ANALYSE DES RÉSULTATS

III.1 – Nature et résistance mécanique des terrains

La résistance à la rupture du sol sous la pointe du pénétromètre ou résistance dynamique de pointe

Quelques affleurements ou blocs calcaires sont visibles à la surface des terrains.

III.2 – Venues d’eau

Aucune venue d’eau n’a été observé en sondages.

Il n’y avait aucune stagnation d’eau en surface le jour de notre intervention.

 Annexe 3 : Graphiques des essais au pénétromètre dynamique

IV – SYNTHESE DES DONNEES GEOTECHNIQUES

IV.1 - Modèle géotechnique – identification des risques résiduels

IV.3 – Caractérisation du site au regard du retrait-gonflement des argiles

Les terrassements en déblais et des rigoles de fondations concerneront du calcaire. Les

IV.5 – Horizons porteurs - Principes généraux de fondations

- un ancrage h dans le calcaire égal à une demi-largeur avec un minimum de 20 cm ;

En dehors de toute considération de descentes de charges, la largeur B des semelles filantes ne

Le terrain sera probablement en partie ou totalement déboisé. L’entreprise de terrassement et

- approfondissement du terrassement en fond de souches ;

- rattrapage en gros béton de l’assise des semelles ;

En cas de dallage sur terre-plein, on procédera à :

IV.7 – Conclusions - Identification des risques

Les risques géotechniques identifiés du site sont :

Risque PPR prescrit Aléa au niveau de la parcelle

Cavités - Effondrement Non Non

Inondation Oui Non

Sismicité Zonage sismique de la France Zone 1

GEOCCITANE reste à la disposition du Maître d’ouvrage et de tous les intervenants pour la

CONDITIONS GÉNÉRALES DES MISSIONS GÉOTECHNIQUES