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FICHE PRATIQUE

DE SÉCURITÉ

Éclairage artificiel
ED 85
au poste de travail
Par le groupe CONCEPTION DES LIEUX DE TRAVAIL

Penser l’éclairage artificiel en fonc-


tion de caractéristiques des situa-
tions de travail est essentiel pour ga-
rantir un éclairement suffisant et
pour éviter l’inconfort et la fatigue vi-
suelle. Cette fiche a pour objectif de
présenter les principes de base et
d’aider au choix de dispositifs d’éclai-
rage, de luminaires et de lampes pour
permettre un éclairement satisfai-
sant au poste de travail. Un bon éclairage pour les tâches de précision.

Tableau I
Exemples d’éclairements conseillés

U N ÉCLAIRAGE bien conçu contribue au ◗ tâches ne nécessitant pas de perception de


suivant les activités et les tâches
à effectuer
confort visuel de l’opérateur, à la di- détails (éclairement de l’ordre de 300 lux) ;
(d’après la norme Pr EN 12464, oct.
minution de la fatigue visuelle et posturale et ◗ tâches nécessitant la perception de détails 1998)
des risques d’accidents du travail. (de 500 à 1000 lux).
Activités Eclairement
Cet objectif ne peut être atteint qu’en consi- Ce classement en deux catégories a égale- Tâches
(lux)
dérant de nombreux facteurs : apport de lu- ment un intérêt pratique. En effet, dans le
mière du jour, choix des luminaires et des premier cas, l’éclairement peut être assuré Blanchisseries. Nettoyage à sec
lampes, mais aussi couleurs et facteurs de ré- uniquement par l’éclairage général ; dans le Triage et marquage, nettoyage à sec,
flexion des parois du local et des plans de second, un éclairage local renforçant l’éclai- repassage 300
travail, géométrie du local, implantation des rage général est souvent la solution la plus Contrôle et réparation 750
postes… C’est pourquoi, lors de la concep- adaptée et la plus économique. Salons de coiffure
tion de locaux de travail, il est utile de pen- Coiffure 500
ser globalement l’éclairage sous forme d’un Dans une même activité professionnelle les
Construction et réparation de véhicules
cahier des charges intégrant également les exigences en éclairement peuvent être diffé-
économies d’énergie et les aspects esthé- rentes suivant les postes de travail. Le
Carrosserie et montage 500
tiques. tableau I illustre ce principe. Ainsi pour
Peinture 750-1000
les boulangeries pâtisseries, les niveaux Travail du bois
Ces aspects ne sont pas tous traités ici : conseillés sont respectivement de 300 lux Travaux sur machines 500
sur l’éclairage naturel, voir la fiche pratique ED 82 ; pour la préparation et la cuisson, de 500 lux Contrôle qualité 1000
sur les couleurs, la fiche ED 40-41. pour la finition, le glaçage et la décoration.
Bureaux
Dans les hôtels restaurants, les valeurs con-
Ecriture - lecture 500
seillées sont de 300 lux pour la réception et
Travail sur écran (*)
PRINCIPES À RESPECTER la caisse, de 500 lux pour les cuisines.
En général, les activités de finition, de Magasins
Assurer un éclairement suffisant contrôle qualité, d’inspection nécessitent des Caissières 500
Suivant la nature des activités, l’éclairement niveaux élevés (750-1000 lux).
conseillé peut varier de manière importante. (*) Cette norme ne donne pas d’indic
ations pour le travail sur écran.
Les valeurs recommandées par l’INRS
On peut distinguer deux catégories suivant la La mesure des éclairements s’effectue avec un écrans à fond clair, 200 à 300 lux pour
sont : 300 à 500 lux pour les
les écrans à fond sombre (voir
nature des tâches à effectuer : luxmètre. «Travail sur écran en 50 questions»
ED 728 - INRS).

FICHE PRATIQUE DE SÉCURITÉ ED 85 1


1 Eblouissement direct
2 Eblouissement indirect
Tenir compte des caractéristiques indice de rendu élevé (IRC de l’ordre de 90)
des opérateurs et une température de couleur intermédiaire
Les besoins en éclairage sont différents sui- (de l’ordre de 4000 K). C’est le cas des tra-
1 vant les caractéristiques de l’individu (néces- vaux de peinture, d’inspection et de contrôle
1
sité d’un éclairage croissant avec l’âge) et du des tissus et objets colorés, d’imprimerie, de
travail à accomplir. Compte tenu de la diffi- coiffure, de salles d’examen en hôpital…
2 culté d’optimiser ces différents facteurs, il est
2
souhaitable que l’opérateur puisse adapter la
disposition et l’intensité des sources lumi- Figure 2.
Homogénéité
neuses, en particulier lorsque certaines de l’éclairement
tâches nécessitent un éclairement élevé : dans le champ visuel.
◗ luminaires réglables en hauteur et/ou en
direction (ex. : lampes orientables) ;
2
Figure 1. Les différentes sources d’éblouissement ◗ intensité réglable par allumage ou extinc-
au poste de travail.
tion des sources lumineuses locales ou par
1
gradient d’éclairement.
Éviter l’éblouissement Lorsque les installations ne permettent pas
L’éblouissement peut être direct (source lu- ces réglages, il est conseillé de majorer
mineuse dans le champ visuel) ou indirect l’éclairement.
(réflexion sur des objets, des surfaces et sur
1 Le rapport maximum d’éclairement est de 3
le plan de travail). C’est un facteur fréquent Assurer un rendu des couleurs dans la zone habituelle de travail.
et important d’inconfort. compatible avec les tâches à 2 Le rapport maximum d’éclairement est de 5 entre
L’éclairage naturel en est souvent la cause accomplir la zone de travail
et l’environnement immédiat.
principale, compte tenu des niveaux d’éclai- Du point de vue des couleurs, il faut distin-
rement très élevés de la lumière du jour. Ce- guer deux caractéristiques.
pendant l’éclairage artificiel est aussi à ◗ L’apparence de la couleur se rapporte à l’im-
prendre en considération : pression de chaleur ou de froideur de la lu- Intégrer la maintenance des
◗ aucune source lumineuse non protégée ne mière émise par la lampe. La température de appareils dans les décisions
doit apparaître dans le champ visuel de l’opé- couleur rend compte de cette apparence (K = d’achat
rateur, dans un angle de 30° au-dessus de la degré kelvin). On peut distinguer trois La maintenance comprend le remplacement
ligne horizontale partant de l’œil (voir
voir figure groupes : des lampes, la lutte contre l’empoussière-
1). Les luminaires seront équipés de disposi- ment, le nettoyage des réflecteurs et grilles.
tifs (grilles de défilement, diffuseurs…) pour APPARENCE TEMPÉRATURE Pour le remplacement, il faut éviter une trop
des couleurs de couleur
éviter cet inconvénient ; Chaude Inférieure à 3300 K
grande fréquence (choisir des lampes à
◗ les tubes fluorescents seront placés de pré- longue durée de vie) et faciliter l’accès aux
Intermédiaire 3300 à 5300 K
férence perpendiculairement à la ligne de vi- lampes. La limitation du nombre de réfé-
sion ; Froide Supérieure à 5300 K rences (de luminaires et de lampes) permet
◗ les parois brillantes sont à éviter : préférer de faciliter non seulement la gestion des ar-
des surfaces mates ou satinées pour les plans Les températures de couleur conseillées dé- ticles mais aussi le remplacement immédiat
de travail, les machines et les surfaces envi- pendent des niveaux d’éclairement (voir
voir fi- des lampes usagées. Pour l’empoussièrement,
ronnantes. gure 33). une bonne ventilation des postes de travail
◗ Le rendu des couleurs se rapporte à la ma- et le choix de luminaires faciles à démonter
Éviter des contrastes trop nière dont la lumière de la lampe restitue les et protégés sont à assurer.
importants dans le champ visuel couleurs. L’indice de rendu des couleurs IRC Des économies importantes peuvent être
Un bon contraste est nécessaire entre ce qui rend compte de ce phénomène. Sa valeur également réalisées lors de la conception des
est à percevoir et le fond. Cependant, entre maximum est de 100. Dans la plupart des ac- installations d’éclairage au niveau de la dis-
différentes zones du champ visuel, des tivités un indice supérieur ou égal à 80 est tribution électrique (ex. : par zones) des dis-
contrastes trop élevés diminuent l’efficacité conseillé. positifs de commande et de programmation
de la vision ainsi que le confort visuel. Dans les activités où la couleur joue un rôle (ex. : interrupteurs crépusculaires) et du
Dans le champ visuel utilisé par l’opérateur important, les lampes seront choisies avec un remplacement préventif des lampes.
pour effectuer ses différentes tâches (zone de
travail), l’éclairage doit être assez homogène:
rapport maximum de 3. Les écarts entre l’éclai- Température de couleur en kelvin Zone recommandée
7 000
rement de la zone de travail et l’éclairement
6 000
général ne doivent pas être trop élevés : rap-
port maximum de 5 (voirvoir figure 22). Figure 3. 5 000
Il convient aussi d’éviter les zones d’ombre et Relation entre
les effets de masque en plaçant les luminaires la température 4 000
de couleur et
au-dessus des zones de travail et en préférant l’éclairage 3 000
l’installation d’un plus grand nombre de lu- (Diagramme de
minaires de moindre intensité à un faible Kruithof) 2 000
50 100 200 300 400 500 1000 1500 2000
nombre plus puissants. Eclairement en lux

2 FICHE PRATIQUE DE SÉCURITÉ ED 85


CHOIX DES APPAREILS une bonne homogénéité de l’éclairement (lu- ● LE CAS 2 concerne des postes fixes (ou
D’ÉCLAIRAGE minaires en nombre suffisant et bien dispo- des travaux avec déplacements mais dont
sés, par exemple au milieu des allées pour les une partie est effectuée à poste fixe), où la
Pour un éclairement tâches de magasinage). Cependant, il est zone de travail habituelle est limitée à
inférieur ou égal à 300 lux beaucoup plus difficile de parvenir à une so- quelques mètres, dans des locaux de hauteur
Lorsque les tâches ne nécessitent pas la per- lution satisfaisante, compte tenu des niveaux sous plafond supérieur, à trois mètres. La
ception de détails (éclairement inférieur ou élevés d’éclairement à assurer. zone de travail s’étendant sur plusieurs
égal à 300 lux), l’éclairage général est suffi- En effet, l’intensité lumineuse décroît rapi- mètres, un éclairage local intégré au poste ou
sant. Les fabricants proposent des luminaires dement lorsque la distance augmente entre posé sur un plan de travail ne permettrait pas
adaptés suivant la configuration du local, la les luminaires et le plan de travail et cette de balayer l’ensemble du champ appréhendé
hauteur sous plafond, le type d’activité… Des solution est à la fois peu économique (aug- par l’opérateur.
logiciels prévisionnels existent pour optimi- mentation de la puissance à installer et sur- La solution optimale est généralement de sus-
ser ces différents facteurs. tout du nombre de luminaires) et peu efficace pendre un ou plusieurs luminaires au-dessus
Ce cas de figure n’est pas détaillé ici, le (ombres portées par des «écrans» constitués de la zone de travail. Exemples : poste de
champ d’application de cette fiche pratique par les structures, machines et installations). contrôle qualité, poste de préparation néces-
étant le poste de travail. C’est pourquoi il est conseillé, lorsque cela sitant l’assemblage de petites pièces.
est possible, d’éviter ce cas de figure en étu- Un éclairage fluorescent avec grilles de défi-
Pour un éclairement diant d’autres solutions : lement est bien adapté à ce cas de figure.
de 400 - 500 lux ou davantage ◗ diminuer les exigences des tâches en éclai-
Pour les postes de travail nécessitant des rement, par exemple en évitant la lecture de ● LE CAS 3 concerne les zones de travail plus
éclairements plus élevés (400-500 lux ou da- détails. Ainsi les dimensions des lettres et limitées (de l’ordre d’1 mètre) quelle que soit
vantage), la figure 4 peut aider à choisir le chiffres peuvent être augmentées dans un lo- la hauteur du local. Des activités telles que le
type d’éclairage le mieux adapté. cal de magasinage pour que l’éclairement né- travail de bureau (lecture – écriture – travail
cessaire soit < 300 lux. On se retrouve alors sur écran) ou des tâches de précision dans
● LE CAS 1 concerne des tâches nécessitant dans le cas exposé dans la première partie de des ateliers font partie de cette catégorie. Les
de nombreux déplacements, sans poste fixe, ce chapitre ; solutions optimales sont alors des lampes po-
par exemple : préparation de commandes, ◗ regrouper dans des zones limitées les tâches sées sur le plan de travail (ex. : lampes de bu-
magasinage nécessitant la lecture de dé- à exigences visuelles fortes et traiter ces reau) ou intégrées au poste (ex. : éclairage
tails... L’éclairage général doit être conçu zones dans le cadre de postes fixes (voir cas intégré à la machine : machines à coudre, cer-
pour permettre une bonne exécution des 2 ci-après). taines machines de précision…).
tâches en assurant des niveaux suffisants et

Etendue de la zone de travail habituelle

Très vaste Limitée Très limitée


(de l’ordre de quelques mètres) (de l’ordre de 1 mètre)
Hauteur sous plafond

< 3m > 3m
Cas 1 Cas 2 Cas 3
Eclairage Eclairage général Eclairage général
général + éclairage local suspendu + éclairage local posé

Figure 4. 2
Choix des appareils
d’éclairage.
1 Eclairage général. Les lumi-
naires sont équipés de grilles de
défilement.
2 Eclairage réglable
sur le plan de travail
(voir aussi fig. 5).

FICHE PRATIQUE DE SÉCURITÉ ED 85 3


E CL AIRAGE ARTIFICIEL AU POSTE DE TRAVAIL
CHOIX DES LAMPES Pour en savoir plus
Dans le choix des lampes, on tiendra compte
des principes ergonomiques décrits dans R ÉGLEMENTATION N ORMES
cette fiche (voir p. 1 et 2) et des dispositifs
d’éclairage retenus suivant le type de tâche Les obligations des chefs d’établisse- La norme de base en matière d’éclairage
(voir p. 3). D’autres facteurs sont également ment en matière d’éclairage des lieux et d’ergonomie visuelle est la norme NF
à prendre en considération, notamment leur de travail font l’objet des articles X 35-103 « Ergonomie – Principes d’er-
durée de vie et la consommation électrique. R. 232-7 du 1 à 10 du Code du travail. gonomie visuelle applicables à l’éclai-
La circulaire du 11 avril 1984 apporte rage des lieux de travail ». Norme euro-
L’optimisation de l’ensemble de des précisions sur ce point. péenne: NF EN 12464 « Éclairagisme –
ces critères conduit généralement Éclairage des lieux de travail. Partie 1:
aux types de solutions suivants Cette réglementation concerne notam- Lieux de travail intérieur ».
◗ Pour l’éclairage général
général, lampes fluores- ment les niveaux d’éclairement général Par ailleurs la norme NF EN 1837 « Éclai-
centes tubulaires ou compactes, lampes à dé- et local, l’éblouissement et la luminance, rage intégré aux machines » donne les ca-
charge (vapeur de mercure ou halogénures les effets thermiques et l’entretien. ractéristiques des systèmes d’éclairage
métalliques). Ces différents types de lampes intégrés aux machines fixes ou mobiles.
répondent à la plupart des critères définis L’aide-mémoire juridique de l’INRS n° 13 Enfin, dans le cadre des normes sur les
précédemment (bon rapport efficacité lumi- “Éclairage des lieux de travail” regroupe terminaux à écrans de visualisation, la
neuse / consommation, durée de vie supé- et commente ces différentes disposi- partie 6 de la norme NF EN ISO 9241
rieure à 5000 heures, gamme intermédiaire de tions. « Exigences relatives à l’environnement »
température de couleur). Pour des hauteurs comprend des principes sur l’éclairage.
supérieures à 4,5 m, les tubes fluorescents
sont déconseillés.
◗ Pour l’éclairage local suspendu au-dessus dégagement de chaleur et la consommation est très faible. Elles peuvent aussi être asso-
des postes de travail, en complément de d’énergie (voir figure 5). ciées à des appareils à vapeur de mercure pour
l’éclairage général
général, les tubes fluorescents Les catalogues des fournisseurs apportent des améliorer le rendu des couleurs.
équipés de réflecteurs et de grilles de défile- précisions sur les différents types de lampes ◗ Les lampes à incandescence tungstène, du
ment permettent d’éviter l’éblouissement et d’appareils en fonction de leur utilisation. fait de leur faible durée de vie, de leur tem-
tout en respectant les critères précédents. Il Par ailleurs, l’Association française de l’éclai- pérature de couleur trop basse et du dégage-
est conseillé de choisir une température de rage (AFE, 52 boulevard Malesherbes 75008 ment de chaleur lorsqu’elles sont proches de
couleur intermédiaire (3300 à 5300 K) pour Paris) a publié des ouvrages sur l’éclairage l’opérateur. Par contre, combinées à d’autres
types de lampes, elles peuvent contribuer à
créer une ambiance lumineuse confortable
(d’après doc. Ledu)

Mesure d'éclairement lumineux en lux (à 40 cm du plan de travail) par exemple pour des postes de travail en
50r contact avec le public.
40r 2 tubes
◗ Les lampes à incandescence halogène. Cer-
30r 300 lux tains inconvénients cités précédemment pour
20r 500 lux les lampes à incandescence tungstène s’ap-
10r 800 lux pliquent également à ces lampes.
cm 0 r Ces lampes doivent être protégées pour évi-
10r 1 tube (gauche ou droite) ter les risques de brûlure et oculaires (verres
Figure 5.
20r 500 lux
Deux réflecteurs de protection).
30r 300 lux indépendants En éclairage indirect, dans les bureaux, ces
40r
permettent lampes apportent un confort visuel et une
de sélectionner
50 l’éclairement le mieux ambiance agréable, mais les inconvénients
-20 -10 0 10 20 30 40 50 60 70 80 cm évoqués précédemment subsistent, notam-
adapté à la tâche.
ment la forte consommation électrique. ■

éviter une impression de froideur donnée par pour différentes activités (lieux de travail,
des tubes à température plus élevée. hôpitaux, locaux scolaires…).
◗ Pour l’éclairage local posé sur le plan de AUTEUR
travail, le choix se portera de préférence sur
travail Les types de lampe à éviter sont BERNARD VANDEVYVER
des luminaires équipés de bras articulés per- ◗ Les lampes à décharge de vapeur de sodium ONT COLLABORÉ À CETTE FICHE
mettant un réglage vertical et horizontal, compte tenu de leur température de couleur pour la RÉALISATION : ATELIER F. CAUSSE.
avec réflecteurs munis de grilles de défile- trop basse et de leur mauvais rendu des cou- pour l’INFOGRAPHIE : WAG.

ment fournissant un éclairage dissymétrique leurs (monochromatique, jaune, pour les


Édition INRS ED 85
pour éviter l’éblouissement et équipés d’am- lampes basse pression). Elles ne conviennent 1re édition (1999). réimp. août 2012. 2 000 ex.
poules fluorescentes compactes (ex. : tubes qu’à l’extérieur des bâtiments ou dans des halls
de l’ordre de 9 W), permettant de limiter le de très grande hauteur où l’exigence de couleur

Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles
4 FICHE PRATIQUE DE SÉCURITÉ ED 85 30, rue Olivier-Noyer 75680 Paris cedex 14 • Tél. 01 40 44 30 00 • Fax 01 40 44 30 99 • Internet : www.inrs.fr • e-mail : info@inrs.fr

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