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ÉTUDE DE DIAGNOSTIC
Maîtrise d’ouvrage : Association Cultuelle Israélite Agoudas Hakehilos
10 rue Pavée, 75004 PARIS
Décembre 2021
Sommaire
I. Introduction 3
V. Investigations complémentaires 13
2. Délais 16
VIII. Annexes 19
La synagogue rue Pavée, implantée en plein cœur du quartier historique du Marais, incarne le
renouveau de l’architecture cultuelle juive au début du XXe siècle. Elle est l’œuvre de l’architecte maître
du mouvement en France, Hector Guimard. Le projet lui est confié en 1913 par l’association Agoudas
Hakehilos réunissant neuf sociétés d’israélites orthodoxes originaires d’Europe Centrale souhaitant
faire construire leur propre synagogue.
La parcelle est un véritable défi pour l’architecte, pourtant accoutumé du fait: étriquée, en oblique,
serrée entre deux murs mitoyens aux multiples décrochements.
Dans une démarche d’œuvre d’art totale, Hector Guimard dessine l’ensemble des détails décoratifs et du
mobilier de la synagogue. Dans un souci de modernité, il associe également l’industrie à l’architecture
en créant des catalogue de modèles de fontes d’art en collaboration avec les fonderies de Saint-Dizier.
Ces modèles sont appliqués au décor de la synagogue, témoin exceptionnel de l’Art Nouveau.
Édifice remarquable, il s’agit de la seule synagogue à Paris de style Art nouveau, lui conférant ainsi une
valeur patrimonial incontestable.
Intégrée dans le secteur sauvegardé du Marais (Plan de Sauvegarde et de Mise en Valeur, 1964), la
synagogue dans sa totalité, y compris tous les éléments liturgiques dessinés par l’architecte, est inscrite
au titre des Monuments historiques par arrêté du 4 juillet 1989.
L’objet de la présentation étude est d’établir un Diagnostic patrimonial sur l’ensemble de l’édifice du
10, rue Pavée, ainsi que sur les ouvrages liés à l’étanchéité de l’édifice du 8 rue Pavée. L’objectif de
ce Diagnostic est d’identifier précisémment l’état de conservation de l’édifice protégé, d’établir un
programme de restauration de l’édific, d’estimer le coût des travaux de restauration, et d’établir un
phasage de travaux adapté.
C’est à ce dernier qu’est confié la construction. L’indépendance vis-à-vis du consistoire central israélite
contribue à libérer la synagogue du modèle architectural romano-byzantin prédominant au XIXe
siècle. L’emploi novateur du style Art Nouveau dans l’architecture cultuelle juive permet également
à cette communauté d’émigrés d’Europe Centrale de s’approprier un lieu de recueillement qui soit
l’expression de leur propre identité.
Le catalogue de l’exposition Guimard qui s’est déroulée au Musée d’Orsay en 1992, interroge quant
au choix de cet architecte qui édifie là la seule construction religieuse de sa carrière, à l’inverse de
l’architecte Emmanuel Pontremoli, auteur de la synagogue de Boulogne-Billancourt à la même époque:
« [...] il existait sur la place de Paris un architecte de renom, Emmanuel Pontremoli, grand prix de
Rome en 1890, juif de surcroît et auteur de la synagogue de Boulogne-Billancourt en 1911... Une
hypothèse [...], et qui semble la plus plausible de toutes, tient dans les noms des souscripteurs au
capital de la Société générale de constructions modernes (constituée en 1910), amis d’Edouard
Oppenheim, beau-père de Guimard, et Juifs originaires d’Europe centrale pour la plupart [...]; il
faut en effet rappeler que les plans de Guimard pour la synagogue sont rédigés «Pour la Ste Gle de
constructions modernes».»1
1 CROSNIER LECONTE, Marie-Laure, «La synagogue de la rue Pavée», in Guimard, catalogue d’exposition, avril-
juillet 1992, Musée d’Orsay, éd. Réunion des Musées Nationaux, Paris, 1992, p. 416-417.
Afin d’apporter de la monumentalité à l’édifice, Guimard recule la façade de quelques mètres et lui
confère une composition architecturale tripartite alternée d’ondulations concaves et convexes. Le tout
est rythmé par des fenêtres verticales étroites.
La construction est en pierres agglomérées creuses sur armatures en ciment armé, permettant une
réalisation économique et une rapidité d’exécution. L’utilisation du ciment armé brut en façade n’étant
guère encore très répandue, Afin de donner à la façade un l’apparence d’un parement de pierre, Guimard
trace sur le ciment un faux appareillage.
Intérieur de la synagogue rue Pavée, luminaires d’origine dessinés par Hector Guimard, photographies non datées.
Bibliothèque du Musée des Arts Décoratifs de Paris, don d’Adeline Guimard-Oppenheim au Musée des Arts Décoratifs en 1948
Modèles de panneaux pour balcons en pierre style moderne et palmettes réalisées en fonte par la Fonderie de Saint-Dizier d’après les dessins
d’Hector Guimard. Certains modèles sont utilisés pour les décors de la synagogue de la rue Pavée.
Fonderies de Saint-Dizier, Haute-Marne, Fontes artistiques pour constructions, fumisterie, jardins et sépultures. Style moderne, éd. Leclerc &
Cie, 1907. Catalogue commercial, en collaboration avec Hector Guimard - Musée de Saint-Dizier.Catalogue commercial, en collaboration
avec Hector Guimard - Musée de Saint-Dizier.
– L’éclairage
L’emploi du béton armé permet à Hector Guimard d’apporter de la luminosité à la synagogue par la
mise en place d’une verrière zénithal. En effet, ce matériau offre la possibilité de créer des ouvertures
aux formats imposants, palliant ici les possibilités restreintes d’ouvertures dues à une parcelle très
étriquée. La verrière est décoré d’un dessin Art nouveau.
Enfin, un grand vitrail axial disposé au dessus de l’Aron Hakodesh (l’Arche Sainte) éclaire la nef. Le
vitrail d’origine est aujourd’hui disparu, on peut cependant supposer qu’il était également composé
d’un dessin au style Art nouveau.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la façade subit de nouvelles dégradations lors d’une bombe
déposée en 1941.
A la suite de cette explosion et très certainement après la Seconde Guerre mondiale, le bas de la
façade est reconstruit et le décor du linteau des grandes baies composé de triangles à symbolique franc-
2 Auteur de nombreuses entrées du métro parisien entre 1900 et 1913, Hector Guimard fait appel pour leur
réalisation aux fonderies d’art du Val-d’Osne.
3 Fonderies de Saint-Dizier, Haute-Marne, Fontes artistiques pour constructions, fumisterie, jardins et sépultures. Style
moderne, éd. Leclerc & Cie, 1907. Catalogue commercial, en collaboration avec Hector Guimard - Musée de Saint-Dizier.
L’agrandissement de la synagogue
– L’achat du bâtiment sis 8 rue Pavée
En 1954 , le bâtiment adjacent sis 8 rue Pavée est acheté par l’association Agoudas Hakehilos, permettant
d’étendre la parcelle initiale de la synagogue, d’y loger le Grand Rabbin, d’avoir une cour attenante et
d’y établir de nombreux aménagements (salles de classes, sanitaires...).
– La surélévation de la synagogue
Bien que l’édifice soit inscrit au titre des Monuments historiques en 1989, des travaux d’extension du
3e étage sont entrepris cette même année suite à une demande de permis de construire accordé par la
Mairie de Paris en 1987. Cette extension entraîne l’obstruction de la verrière zénithal d’origine.
En 1989, une décision du Tribunal administratif de Paris, datée du 22 novembre 1990, annule ce
permis de construire et ordonne l’enlèvement de la surélévation en toiture afin de retrouver l’état
d’origine remarquable de l’édifice.
En 2001, un permis de construire est déposée pour le ravalement de la façade principale par Didier
Chalal (Société SPR Industrie)5. Celui-ci est refusé par la Direction régionale des affaires culturelles
pour manque d’informations historiques sur le traitement de la façade. Un bilan documentaire établie
par le bureau d’études GRAHAL vient alors compléter ce permis de construire.6
4 Informations extraites de la notice historique sur la synagogue rue Pavée transmise par Marie Montfort,
conservatrice des Monuments historiques, DRAC Ile-de-France. Ce document précise qu’il s’agit de travaux effectués à
ce jour énoncés par M. Altmann, président de l’association Agoudas Hakehilos, en octobre 2021.
5 Permis de construire n° PC 075 004 01 V 0008, Ravalement de la façade sur d’un bâtiment cultuel. Immeuble
concerné par une inscription sur l’Inventaire Supplémentaire des Monuments historiques en date du 04-07-1989, demandeur
Didier Chalal Ste SPR Industrie pour l’ACIAH, le 02/05/2001 - Archives CRMH Ile-de-France, dossier de protection.
6 Complément au permis de construire n° PC 075 004 01 V 0008 transmis le 11/09/2001: Synagogue 10, rue Pavée
(Paris IVe) / Bilan documentaire & recherche sur le traitement de la façade sur rue, ACIAH (Association consistoriale israélite
Agoudas Hakehilos) / GRAHAL, août 2001 - Archives CRMH Ile-de-France, dossier de protection.
L’agence Pierre-Antoine Gatier, spécialisée dans la conservation du patrimoine du XXe siècle, sera en
charge de la conduite de l’étude de Diagnostic patrimonial sur la Synagogue de la rue Pavée.
- Pierre-Antoine Gatier, Architecte en chef des Monuments historiques, assiste à l’ensemble des
réunions stratégiques avec le maître d’ouvrage et la DRAC et présente les conclusions de l’étude. Il
assure la cohérence d’ensemble de l’étude et supervise l’ensemble de son équipe.
- Alice Trevien de Lavenne, architecte HMONP titulaire du DSA Architecture et Patrimoine est
directrice de projet (8 ans d’expérience à l’agence PAG). Elle est le représentant permanent de l’agence
Pierre-Antoine Gatier auprès du maître d’ouvrage. Elle dirige, anime, coordonne et contrôle l’équipe
en charge de l’étude au sein de l’agence Gatier. Elle rend compte de ses démarches au maître d’ouvrage.
- Nina Balliot, architecte HMONP titulaire du DSA Architecture et Patrimoine, assiste le chef de
projet dans ses démarches (1 an d’expérience à l’agence PAG). Elle participe à l’établissement du
dossier d’étude (pièces graphiques, rédaction de rapports,…).
En tant que société d’économie et d’ingénierie dans le secteur du bâtiment traditionnel et des nouveaux
patrimoines, le Cabinet Pilté établira l’estimation financière du programme de restauration de la
Synagogue rue Pavée, en fonction du phasage défini et des différents scénarios envisagés.
L’agence Pierre-Antoine Gatier et le Cabinet Pilté collaborent ensemble sur des problématiques
équivalentes de restauration d’ouvrages du XXe siècle en milieu occupé depuis plus de dix ans (Tour
Lénine à Ivry-sur-Seine, Eglise Sainte-Thérèse à Aubergenville, Usine SPEC à Saint-Pierre-et-Miquelon,
etc).
- Anthony Brook, économiste chef de projet, prend en charge le projet tout au long de l’étude de
Diagnostic. Il assure la coordination entre le Cabinet Pilté et l’agence Pierre-Antoine Gatier mandataire.
Oteis est un groupe d’ingénierie pluridisciplinaire spécialiste des secteurs Bâtiment, Eau &
Environnement, Aménagement et Infrastructures. Oteis assurera le diagnostic des lots fluides.
- Jonathan RACIC, ingénieur projets, spécialiste en électricité (13 ans d’expérience). Il prend en
charge le projet tout au long de l’étude de Diagnostic et assure la coordination entre Otéis et l’agence
Pierre-Antoine Gatier.
Les études documentaires auront pour objectif d’approfondir la connaissance du bâti, aussi bien d’un
point de vue technique qu’historique. Dans ce cadre, des recherches en archives seront engagées afin
d’acquérir une connaissance fine et une vision holistique de l’ouvrage. Ces recherches permettront
d’une part de proposer un état des lieux de la connaissance historique de la synagogue et de ses décors;
d’autre part d’approfondir certains points historiques permettant d’enrichir le projet de restauration.
Ce travail sera réalisé en interne, au sein de l’agence Pierre-Antoine Gatier, par deux historiennes.
Tirant profit des précédentes études réalisées et de recherches complémentaires, une bibliographie de
référence sera mise au point.
Dans le cadre de la présente proposition, notre équipe s’est déjà attachée à identifier la bibliographie et
les fonds d’archives susceptibles de nous intéresser, afin de prendre en compte l’ensemble des données
existantes pour permettre une lecture globale de l’édifice, la plus exhaustive possible.
A partir de ces premiers éléments, plusieurs sujets d’études ont été identifiés, qui constitueront nos
axes de recherche. Ils correspondent à la construction primitive de la synagogue de la rue Pavée par
l’architecte Hector Guimard en 1913, aux destructions et reconstructions des décors Art nouveau
subies par l’édifice lors d’une explosion de gaz en 1934 et d’un attentat à la bombe en 1941, et enfin
à l’évolution de la synagogue et de sa parcelle avec sa surélévation dans les années 1980 et l’achat de
l’immeuble mitoyen en 1954.
En vue de la restauration de la Synagogue du 10 rue Pavée, un diagnostic visuel précis sera réalisé
et restitué sur supports graphique7 et photographique. Il comprendra notamment un état des lieux
de chacun des composants de l’édifice (façades, couvertures, verrières, décors, sols, parements, etc)
précisément référencés, qui déterminera leur niveau de dégradation mais également leur degré
d’authenticité (élément remplacé au cours de campagnes de restauration précédentes, élément disparu,
...) afin d’établir des préconisations fidèles à la philosophie de conservation du patrimoine (élément à
restaurer en conservation, à remplacer, à rétablir suivant disposition d’origine,...).
Un inventaire exhaustif des éléments remarquables de l’édifice sera réalisé par l’architecte mandataire. Il
comprendra notamment un référencement des ouvrages, une campagne photographique et des relevés
graphiques de détails réalisés sur place. Cet inventaire intéressera notamment les éléments identifiés
comme participant à l’intégrité de l’édifice : structure, couvertures, façades, décors (décors moulurés,
vitrail, mosaiques) ferronnerie, menuiserie, mobilier, etc
L’étude s’intéressera également au 08 rue Pavé concernant les ouvrages d’étanchéité du clos et couvert.
Otéis assurera une mission de diagnostic des installations techniques : plomberie, chauffage et électricité.
Sur la base des préconisations de restauration prescrites par l’agence Pierre-Antoine Gatier, une
estimation financière des travaux de restauration sera établie par le Cabinet Pilté. Cette estimation
pourra comporter plusieurs scénarios d’intervention, et pourra être décomposé en fonction du phasage
de travaux proposé.
Suite aux visites de site réalisées en novembre 2021, certaines investigations nous apparaissent
importantes à mener afin de conduire une étude exhaustive et précise. D’autres investigations pourront
être proposées au maître d’ouvrage à l’issue de l’étude de Diagnostic, en fonction de ses possibilités.
Les investigations identifiées à ce stade sont les suivantes:
Nous recommandons au maître d’ouvrage la réalisation d’un relevé géomètre par un cabinet expert. La
réalisation de ces relevés permettra de travailler sur la base de fonds de plans détaillés (établissement
de cartographies d’état sanitaire, évolution de l’édifice, etc...) et permettra de fiabiliser les quantités
pour l’estimation financière, dans le cadre de l’étude de Diagnostic. La réalisation de ces relevés sera
également indispensable au stade des futures autorisations de travaux.
Dans le cadre de la présente proposition de mission, nous avons fait établir deux devis par des géomètres
avec qui nous avons l’habitude de travailler pour la réalisation des prestations suivantes:
Option: génération d’orthophotos sur l’élévation de la rue pavée et les 4 élévations de la salle de culte
Ortho-photo
Exemple d’orthophoto,
Art Graphique et Patrimoine
Après analyse détaillée des devis, compte tenu du montant des offres, nous proposons au maître
d’ouvrage l’offre la moins disante, de l’entreprise Art Graphique et Patrimoine, avec ou sans option en
fonction des possibilités du maître d’ouvrage.
Délais du géomètre:
- 2 jours d’intervention sur site pour le scan 3D + 2 jours pour la capture photogrammétrique en
option (possibilité de combiner ces deux jours)
- 4 à 6 semaines de traitement à la suite de l’intervention pour la livraison finale des documents, avec
possibilité de livraison intermédiaire si nécessaire.
L’agence Gatier assurera le suivi de la réalisation des relevés (coordination avec le maître d’ouvrage pour
l’intervention sur site, vérification des délais, des livrables,etc)
Dans le cadre de la présente proposition d’étude, l’entreprise Balas a accompagné l’agence Gatier
sur site le 26/11, afin d’établir un premier repérage des anomalies visibles en toiture. Les zones de
dégradations observées lors de cette visite ont fait l’objet d’un repérage photographique reporté sur plan
(traces d’humidité, stagnation d’eau, non-conformité, dégradations des couvertures et maçonneries,
des accessoires de couverture, etc).
Un devis a été établi par l’entreprise Balas comportant les éléments suivants:
- Inspection caméra EP terrasse
Cette inspection nous semble indispensable afin de préciser l’origine des dégradations liées à la présence
d’humidité au niveau des décors intérieurs.
montant de la prestation: 1 905,33 euros HT
b. Décors
Dans le cadre de la présente étude, il nous semblerait important de réaliser des investigations par un
restaurateur spécialisé, afin d’identifier la composition des décors et d’améliorer la connaisssance de cet
ensemble remarquable. Une connaissance approfondie de ces décors permettra de préciser le protocole
de restauration.
Dans le cadre de la présente offre, nous avons fait établir un devis par Alice Desprat, restauratrice
Diplômée d’Etat. Cette proposition a pour objet l’étude des polychromies de la Synagogue. Elle
concerne les éléments architecturaux intérieurs (moulures, corniches, portes, mur, bas reliefs…).
Ce travail représentera 20 points d’examen stratigraphiques. Il est proposé la réalisation des études
suivantes, sur la base de 20 points d’examen stratigraphiques.
– Sondages stratigraphiques
– Analyses colorimétriques
Des mesures de colorimétrie seront réalisées au moyen d’un colorimètre COLORCATCH NANO de
la marque Colorix (l*a*b//couleur RAL) afin de les confronter avec les teintes trouvés avec nuancier
NCS.
– Analyses en laboratoire
Une coupe stratigraphique avec analyse élémentaire (MOLP, MEB-EDS, IRTF) sera réalisée par le
Laboratoire patrimonial EPITOPOS.
– Rapport d’intervention
L’ensemble des résultats et informations collectés seront ensuite regroupés dans un rapport technique
et photographique qui proposera:
- D’une part, les photographies, macro-photographies et les informations détaillées des stratigraphies
sous forme de fiche indiquant: localisation, chronologie des strates, références NCS/RAL
- et d’autre part, un tableau de synthèse qui permettra de lire les résultats rapidement selon la localisation,
le type de support, le nombre de strates, la couleur (voir exemple ci-dessous).
- Les résultats des analyses colorimétriques seront confrontées aux nuances trouvés sur nuancier.
2. Délais
Le délai d’exécution pour cette étude de diagnostic est estimé à 2 mois après transmission des relevés
de géomètre finalisés.
Montant
TOTAL en
Description de la mission Membre de l'équipe Nb de jours journalier en
euros H.T.
euros HT
Montant
TOTAL en
Investigations complémentaires Nb de jours journalier en
euros H.T.
euros HT