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ÉPIGRAPHE
Ecclésiaste 2:21
ii
DÉDICACE
REMERCIEMENTS
INTRODUCTION GENERALE
01. Problématique
L’électricité joue un rôle très important dans la vie de l’habitant d’une cité
en générale, l’absence de celle-ci a un impact majeur dans le
développement. La commune Nganza dans la province de Kasaï central
est dans une obscurité totale avec toutes les conséquences liées à cette
situation.
La question que nous tenterons de répondre à cette étude est la suivante :
Comment électrifier la commune de Nganza à Kananga à partir du
générateur solaire photovoltaïque ?
C’est à cette question que nous tenterons de répondre dans ce mémoire.
02. Hypothèse
04. Méthodologie
05. Objectif
a. Définition
b. Constitution
Ces types des diodes protègent les cellules contre les phénomènes
d’échauffement d’une partie de modules (arbre, feuilles salissures). En
fonction des types de module, la protection s’effectuera sur des groupes
de cellules à l’intérieur de chaque module dont la connexion permet
d’assurer cette protection.
a. Régulateur PWM.
b. Régulateur MPPT
a. Batterie au plomb
Le composant a une électrode dont celle d’oxyde de plomb plongée dans
un électrolyte composé d’acide sulfurique dilué en introduisant les deux
électrodes à un récepteur externe consommant du courant. Une électrode
se transforme en sulfate de plomb, l’acide se dilue, phénomène qui
permet d’évaluer l’état de charge de ma batterie en mesurant la densité,
en fournissant au courant opposé au système, l’acide se concentre et les
deux électrodes retrouvent leur état initial, la tension maximale est la
somme des équilibres aux deux électrodes soit 2,08 V. Cependant cette
batterie a une vie variant de 10 à 15 ans, elle est entretenue
régulièrement.
b. Les batteries AGM ou absorbed glass batteries
Ce nouveau type de batterie scellée utilise la technologie absorbed glass
mat batteries, cette technologie utilise entre les plaques de plomb de la
batterie une fine feuille est imbibée d’électrolyte (70°% d’eau et 30%
d’acide) qui entre en contact avec les plaques.
11
Ces batteries possèdent les mêmes qualités de sécurité que les batteries
et permettent plus d’erreur de manipulation. Les batteries AGM possèdent
beaucoup d’avantage en comparaison avec les batteries acide plomb
conventionnelle et les batteries au gel : comme l’électrolyte est imbibé
dans la fibre elle ne peut pas couler même en cas de débris du boîtier de
la batterie, par ce fait même le transport en est beaucoup plus aisé et sans
danger. N’ayant pas de liquide, les AGM sont très peu sensibles aux effets
dommageables du gel. À peu près toutes les batteries AGM sont de type
« recombinant » c’est-à-dire que l’oxygène se lie et se délient à l’extérieur
de la batterie, transfert de l’oxygène vers les plaques négatives pour la
transformer en eau, ce qui évite toute perte d’eau. Cette action est efficace
à plus de 99% rendant négligeable la perte d’eau. Le voltage de charge
des AGM est exactement le même que celui des batteries acide-plomb
conventionnelle ce qui nécessite lors de la charge (chargeur, alternateur,
panneau solaire, éolienne, etc..). La résistance interne des AGM étant
extrêmement faible, il n’y a que peu de dégagement de la chaleur interne
lors de la charge et décharge. Ce phénomène permet une grande
souplesse de taux de charge et décharge. Autres avantages : les AGM
ont un taux d’autodécharge très faible, de l’ordre de 1 à 3% par mois
comme avec les batteries standard. En cas de surcharge sévère
(régulateur défectueux ou inexistant) les émissions d’hydrogène sont en
dessous de 4% ce qui correspond aux normes sévères de l’aviation et de
l’espace clos. Les plaques des AGM étant étroitement comprimées et
solidement fixées par le haut et le bas dans la cellule, la résistance aux
chocs aux vibrations est plus nettement supérieure aux batteries
conventionnelles. Cependant le prix de ce type de batterie est plus élevé
que celui des batteries conventionnelles.
Pour nos bateaux ces types de batteries AGM sont idéales : pas
d’entretien (ce qui permet de les placés dans des endroits inaccessibles),
pas de dégagement gazeux (pas de charge d’explosion et de nuisance
pour la santé de l’équipage) utilisation de taux de charge conventionnelles
ce qui permet alors d’utiliser n’importe quel système de charge standard,
entretien minime lors de l’hivernage et enfin aucune coulée d’acide dans
les fonds.
12
C. Batterie gel
Les batteries gels sont celles étanches ; pas d’entretien, pas d’ajout d’eau
distillée§ sécurité renforcée par rapport aux batteries au plomb ouvertes.
Les batteries sont bien adaptées pour les décharges profondes et sont
utilisées dans les batteries tubulaires car l’électrolyte gélifié élimine la
stratification de l’électrolyte qui est une des causes principales de la perte
des batteries tubulaires ouvertes. Cette batterie peut supporter de
décharge à 100% et retrouver sa capacité nominale si le temps de
maintien décharge est court. Elles ont une très bonne durée de vie en
cycle : les meilleures batteries gel comme les batteries solar bloc 12V
sonnenschein atteignant 2500 cycles à 50% de décharge soit une durée
de vie de 6,1 ans en application solaire durée de vie de > 10 ans pour les
batteries gel 2V tubulaires.
C.2. Inconvénients
Comme pour les autres au plomb, la durée de vie des batteries gel est
négativement affectée par une hausse de la température (au-delà 20°C,
50°C pour la durée de vie par tranche des 10°C pour les batteries plaques
planes 30% pour les batteries tubulaires). La tension de charge variant
avec la température des batteries varie en dehors d’une plage définie par
le fabricant (15°C – 35°C pour sonnenschein). Une batterie gel nécessite
un chargeur et ou un régulateur de charge adapté, avec si nécessaire une
compensation de fonction de la température.
Elles sont utilisées dans les sites isolés ou la maintenance de batterie est
difficile voir onéreuse (bouclé 8pt(7) relais de téléphone, éolienne,…) pour
leur grande durée de vie en fonction du nombre de cycle de charge
décharge. C’est le cas en particulier des batteries gel sonnenschein dans
les sites comme les refuges en montagne. Dans le cas où l’étanchéité
(pas de risque de protection d’acide) et la tenue en cycles est important,
ainsi les batteries gel sont le choix privilégié pour les fauteuils.
Nganza est une commune qui est créée sous un arrêté ministériel
n°111/228 du 9/19/1958 ; et se trouve dans la ville de Kananga dont par
sa position centrale et pourrait se positionner comme une véritable plaque
tournante commerciale et davantage tirer profit des flux commerciaux qui
se limitent actuellement à l’acheminement du maïs produit localement
vers Mbuji-Mayi et les autres villes de la province.
2.2.1. Historique du nom
Cette commune s'appelait autrefois Tshimbi, du nom d'un ancien chef
coutumier originaire de Bakwanga aujourd'hui Mbuji Mayi. La commune
tire son nom d'un ruisseau qui traverse la commune et se jette plus loin
dans la rivière Lulua (lire : loulouwa).
2.2.2. Situation géographique (localisation)
b. Culturelle
Les forces vives de cette commune ont sollicitées la mise sur pied des
structures associatives pour l’encadrement au mieux des planteurs apport
des jeunes maraîchères. Par ailleurs, l’Association des jeunes
maraichères (AJM) de cette municipalité s’adonne actuellement aux
travaux de la pisciculture, de l’élevage et de l'agriculture, a constaté l’ACP
(agence congolaise de presse).
Elle contribue à l’approvisionnement du marché de la ville de Kananga en
divers produits particulièrement de choux de Chine etc.
c. Economique
Nganza est une commune habitée surtout par les cultivateurs et certains
fonctionnaires, ainsi que certaines autres activités comme le commerce,
l'élevage etc. Et toutes ces activités sont en progression grâce à des petits
marchés municipaux d'activité commerciale.
En fait, la majorité de cette commune vit par l'agriculture etc.
Nhabitant
𝑁𝑓 = (2.1)
n
Avec :
Nf : nombre foyers
Nh. : nombre d’habitant
n : nombre personne par foyer
Population en 2024
Avec :
𝑇𝑎 ∶ Taux d’accroissement en %, il est égal à 3% ;
∆𝑡 ∶ 2032 – 2017 = 7 ans.
𝑁𝑓𝑐𝐴 = 5% 𝑥 𝑁𝑓 (2.3)
𝟓×4945
𝑵𝒇𝒄𝑨 =
𝟏𝟎𝟎
𝑵𝒇𝒄𝑨 = 247 𝑓𝑜𝑦𝑒𝑟𝑠
𝟏𝟓×4945
𝑵𝒇𝒄𝑩 =
𝟏𝟎𝟎
𝑵𝒇𝒄𝑩 = 𝟕𝟒𝟏. 𝟕𝟓 ≈ 𝟕𝟒𝟐𝐟𝐨𝐲𝐞𝐫𝐬
80×𝑁𝑓
𝑁𝑓𝑐𝐶 = (2.5)
100
• 𝑁𝑓 ∶ Nombre de ménage.
80×𝑁𝑓
𝑁𝑓𝑐𝐶 =
100
𝟖𝟎×4945
𝑵𝒇𝒄𝑪 =
𝟏𝟎𝟎
𝑃𝑖 = ∑ 𝑃𝑛 (2.6)
Avec :
• 𝑃𝑖 ∶ La puissance installée en W ;
• 𝑃𝑛 : Puissance nominale en W
A. Le secteur domestique
Ce secteur comprend trois
• Classe A
Classe B
Tableau 2.2 : Besoin de foyers pour la classe B
• Classe C
21
PinstG = 4306,4 kW
Avec : t (moyen) représente le nombre d’heures prit par hypothèse qui est
de 7h. Les abonnés seront alimentés pendant 8 heures du temps.
Ec = 2583,84 x 7h
Ec = 18086,88 kWh
Nous avons présenté notre milieu d’étude qui est la commune de Nganza
et nous avons procédé à l’évaluation du besoin énergétique de notre site
d’investigation en vue de faciliter l’élaboration du chapitre suivant qui va
s’articuler sur le dimensionnement de la centrale solaire PV.
23
Pdt = 2583, 84 kW
Ec = 18086, 88 Wh
Ir (irradiation) = 4.614kWh/m²/j
Cos𝜑 = 0,9
Pcu : 450 Wc
Cub : 3080 Ah
Um : 24 V
Ub : 2 V
Km (coefficient de module) : 0,43
Ec
𝐸𝑝 = (3.1)
𝑘𝑚
Avec km : coefficient du module 0.43
18086,88
𝐸𝑝 =
0.43
Ep = 42062,52Wh
Ep
𝑃𝑐 = (3.2)
𝐼𝑟
24
Or Ir: 4,614kWh/m²/j
𝟒𝟐𝟎𝟔𝟐,𝟓𝟐
𝑃𝑐 =
4,614
Pc = 9116,29 WC
Pcr = 4X2400000
= 9.600.000Wc
𝑃𝑐
𝑁𝑛𝑚 = (3.3)
Pcu
9600000
Nnm =
450
Nnm = 21350
Nsm = 1525
b4. Calcul de nombre maximum des modules
Nmaxim = Nsm x Nms (3.6)
Nmaxim = 1525 X 14
Nmaxim = 21350
• Caractéristiques de batteries
𝐸𝑐𝑋𝑁𝑗
𝐶𝑏 = (3.8)
DXUs
𝟔𝟏𝟐𝟏𝟖𝟏𝟏𝟗𝟎,𝟗𝟕𝐗𝟑
=
0,7𝑋24
Cb = 109318069,81Ah
Cb
𝑁𝑏 = (3.9)
Cub
109318069,81
𝑁𝑏 =
3080
Nb = 35493 Batteries de 3080Ah/2V
𝑈𝑠
𝑁𝑏𝑠 = (3.10)
Ub
24
𝑁𝑏𝑠 = = 12
2
27
Nbs = 12
Pond = 6459,6 kW, pour la puissance normalisée nous avons jugé bon
d’utiliser la marque ABB central de 2 MW dont les caractéristiques sont
insérées ci-dessous :
28
Pondt = 4 x 2
Pondt = 8 MW
3442,2
S=
5
S = 688,46
Nous avons une section de câble de 700 mm² selon les valeurs
normalisées
Avec :
Psond : puissance à la sortie de sortie de l’onduleur ;
U : la tension de sortie en système triphasé.
2000000
𝐼=
230√3
I = 5026,38A
3.3.2. Introduction
Avec :
➢ 𝑺𝒇 : Puissance électrique apparente future du réseau à alimenter
(kVA) ;
➢ 0,8 : Taux de plage de fonctionnement de cabines électriques
voulue par la norme de la commission électrotechnique
internationale (CEI) ;
➢ Su : puissance apparente unitaire : 630 kVA si nous allons opter
pour les transformateurs de 630 kVA, le nombre de transformateur
sera :
7178 𝑘𝑉𝐴
Nbres des transfo = = 14,24 ≈ 15
630 kVA ×0 ,8
a. Courant primaire
𝑆𝑛
I1 = (3.17)
√3 U1
Avec :
➢ I1 : courant au primaire en A ;
➢ U1 : tension au primaire en V ;
➢ Sn : puissance nominale en kVA.
630 𝑘𝑉𝐴
I1 = = 33,1 𝐴
1,73 × 11 kV
b. Courant secondaire
𝑆𝑛
I2 = (3 .18)
√3 U2
33
Avec :
➢ I2 : courant au secondaire en A ;
➢ U2 : tension secondaire en V ;
➢ Sn : puissance nominale en KVA.
630 𝑘𝑉𝐴
I1 = = 910 𝐴
1,73 × 0,4 kV
𝑈𝑐𝑐 𝑈𝑛2
zt =
100 ×sn (3.19)
Avec :
➢ Zt : impédance du transformateur en Ω ;
➢ Ucc : tension de court-circuit en % ;
➢ Sn : puissance nominale au secondaire en MVA.
Voici quelques cas de tension de court-circuit des transformateurs
exploités par la SNEL :
➢ 315 kVA Ucc = 4 % ;
➢ 630 kVA Ucc = 4 % ;
➢ 1000 kVA Ucc = 5 % ;
➢ 1250 kVA Ucc = 6 % ;
➢ 2000 kVA Ucc =6,5 %.
4× (0,4)2
zt =
100 × 0,63
zt = 0,01 𝛺
Avec :
➢ Intfo : Courant nominal du transformateur en A ;
➢ Inc : courant nominal du conducteur en A ;
➢ 0,8 : Coefficient de taux de charge.
Si nous optons pour le câble de 70 mm² cuivre, l’intensité du courant d’un
tel câble est de 200 A, le nombre de départ sera de :
910 𝐴
𝑁𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑑é𝑝𝑎𝑟𝑡 𝐵𝑇 =
0,8 × 200 𝐴
𝑁𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑑é𝑝𝑎𝑟𝑡 𝐵𝑇 = 𝟓, 𝟔𝟖 ≈ 𝟔 𝒅é𝒑𝒂𝒓𝒕𝒔
1°) Coté de MT
1,1 ×𝑈 2 𝑛
𝑍𝑎 = (3.21)
𝑆𝑐𝑐
Avec :
-Za : Impédance du système en 𝛺
-Scc : puissance de court-circuit en MVA
-Un : tension nominale en V
1,1 × (11)2
𝑍𝑎 =
350
𝑍𝑎 = 𝟎, 𝟑𝟖 𝜴
Avec :
➢ U1 : tension primaire en kV ;
➢ Za : impédance du système vue au primaire en 𝛺 ;
➢ Icc : courant de court-circuit vu au primaire en kA.
1,1 × 11
𝐼𝐶𝐶1 =
1,73×0,38
𝐼𝐶𝐶1 = 18,4 kA
𝐼𝐶ℎ𝑜𝑐1=√3.𝑘𝑐ℎ𝑜𝑐𝐼𝑐𝑐𝑖 (3.23)
Avec :
➢ Ichoc1 : courant de choc en kA ;
➢ K : constante de choc ;
➢ K= 1,8 selon les nombres d’exploitation utilisés par la SNEL.
M= F × L (3.25)
Avec :
-M : moment de force en kgf cm
-L : longueur de la barre en cm
36
𝐼 √𝑡
𝑆 = 𝑐ℎ𝑜𝑐1 (3.26)
𝐴
Avec :
-S : section de la barre en mm²
-Ichoc1 : courant de choc en A
-t : temps de coupure de choc en seconde
-A : constante thermique du métal en cuivre, pour le cuivre A= 83,6 ;
t= 0,05 sec
57290 ×√0,05
𝑆= = 153,23 mm²
83,6
𝑈 2
𝑧𝑎∗ = 𝑧𝑎 ( 2) + 𝑍𝑡 (3.27)
𝑈 1
Avec :
−𝑧𝑎∗ : Impédance ramenée au secondaire en 𝛺
−𝑍𝑡 : Impédance interne du transformateur en 𝛺
- U1 : tension primaire en kV
- U2 : tension secondaire en kV
0,4 2
𝑧𝑎∗ = 0,38 ( ) + 0,01 = 0,01 𝛺
11
1,1 ×0,4
𝐼𝑐𝑐2 = = 25,43 𝑘𝐴
1,73×0,01
37
𝐿 2
𝐹2 = 1,77 × × 10−2 × 𝐼𝑐ℎ𝑜𝑐2 (3.30)
𝑑
100
𝐹2 = 1,77 × × 10−2 × (79,18)2 = 887,75 𝑘𝑔𝑓
12,5
M= F × L (3.31)
Avec :
-M : moment de force en kgf cm
-L : longueur de la barre en cm
M=887,75 × 100 = 88775 kgf cm
𝐼 √𝑡
𝑆 = 𝑐ℎ𝑜𝑐1 (3.32)
𝐴
Avec :
➢ S : section de la barre en mm²
➢ Ichoc2 : courant de choc en A
➢ t : temps de coupure de choc en seconde
➢ A : constante thermique du métal en cuivre, pour le cuivre A= 83,6 ;
➢ t= 0,05 sec.
79180 ×√0,05
𝑆= = 211,78 mm²
83,6
• Choix de disjoncteur MT et BT
1. Disjoncteur MT
Détermination des paramètres
g) Calcul du système
D’où :
Isym1= courant symétrique en kV
Facteur d’amortissement U = 1
𝑃𝑐1 = 57,29 k𝐴
D’où :
Avec :
➢ Scc1 : puissance de court-circuit en MVA ;
➢ Icc1 : courant de court-circuit en kA ;
➢ Un1 : 11 kV.
𝐼𝑠𝑦𝑚2 = 1 × 25, 43 kA
𝑰𝒔𝒚𝒎𝟐 = 25, 43 kA
𝑃𝑐2 = 𝐼𝑐ℎ𝑜𝑐2
Avec :
➢ Pc2 : Pouvoir de coupure en kA ;
➢ Ichoc2 : courant de choc en kA.
𝑷𝒄𝟐 = 𝟕𝟗, 𝟏𝟖 𝐤𝑨
Avec :
➢ Pc2 : pouvoir de coupure en kA ;
➢ Pf2 : pouvoir de fermeture en KA.
Avec :
-Scc2 : puissance de court-circuit en MVA
-Icc2 : courant de court-circuit en kA
-Un2 : 0,4 kV
• Choix du sectionneur MT
𝐼𝑐ℎ𝑜𝑐 . √𝑡
𝑆= (3.39)
𝐽𝑐𝑐
Avec :
➢ S : section en mm² ;
➢ Ichoc : courant de choc au primaire du transfo en A ;
➢ Jcc : densité de court-circuit ;
➢ t : temps de coupure en seconde.
Rd = 0, 26𝛀/km
Xd = 0, 11𝛀/km
Trouvons à cet effet, la résistance linéique :
RL = Rd x L
= 026 X 3
RL = 0,78𝛀
42
𝑅𝐿
𝑅𝐿 = (𝑝𝑢) (3.42)
𝑍𝐵
0,78
= : 100
0,0043
𝑅𝐿 = 𝟏, 𝟖𝟏𝟑𝟗 𝐩𝐮 (3.43)
𝑋𝐿
XL (pu) =
𝑍𝐵
0,33
= : 100
0,0043
XL (pu) = 0,76 pu
D’où la ligne sera modélisée comme suite :
1,81 Pu J 0,76 Pu
U2 U2
6,6/0,4 kV
L = 3 km
Tfo s/s Nganza
0, 4/6,6Kv
10MVA
➢ SB = 10MVA
➢ U1/U2 = 0,4/6,6kV
➢ Ucc = 8%
➢ Pfer = 0,16%
➢ Pcu = 0,9%
➢ Imr = 1,1%
➢ SBmax = 15MVA
➢ UBmax = 6,6 kV
Modélisation du transformateur
d.1 Calcul de la résistance de court-circuit
Rcc = Pcu 0,9%
Rcc = 0,9/100
Rcc = 0,009 pu
d.2 Calcul de la réactance en court-circuit.
Zcc = Ucc = 8% = 8/100 = 0,08pu
Zcc = 0,08
On sait que
Zcc = √𝑅𝑐𝑐 2 + 𝑋𝑐𝑐² et
Xcc = √𝑍𝑐𝑐 2 − 𝑅𝑐𝑐²
=√(0,08)² − (0,009²
Xcc = 0,077pu
Le calcul de paramètres de la résistance et de la réactance de court-circuit
désigne les éléments longitudinaux du transformateur de la sous-station.
e. Calcul des éléments transversaux
0,16
Gfer = Pfer = 0,16% = = 𝟎, 𝟎𝟎𝟏𝟔𝐩𝐮
100
−1,1
Bmr = Imr = -1,1% = = −𝟎, 𝟎𝟏𝟏𝐩𝐮
100
Rcct = 0,0135pu
𝑈𝐵𝑎 𝑆𝐵𝑎𝑚𝑎𝑥
Xcct = Xcc ( )²𝑥
UBamax SB
6,6 15
= 0,0779( )² x
6,6 10
Xcct = 0,116pu
Pour les éléments transversaux
𝑈𝐵𝑚𝑎𝑥 𝑆𝐵
Gfert = Gfer ( )²𝑥
UB SBmax
𝑈𝐵𝑀𝐴𝑋 𝑆𝐵
Bmrt = Bmr ( )² x
𝑈𝐵 SBmax
6,6 10
Gfrt = 0, 0016 ( )² x
6,6 15
Gfrt = 0,001 pu
6,6 10
Bmrt = -0,011( )² 𝑥
6,6 15
Bmrt = -0,073pu
Donc le mode de notre transformateur sera :
0,0135 pu J0,0116 Pu
0,001 pu
-j0,073 pu
VG VR
VR
-j 0,073
pu
A’
iAA’
-J0,073 pu
0,001 pu
VG VR
𝛥VA1 = 𝑍 × 𝐼𝑟
(3.48)
𝛥VA1 = 0,19𝑒 𝑗83,37° x 0,28e-j25, 84°
ΔVA1 = 0,19[cos (83,37°)+𝑗𝑠𝑖𝑛 (83,37°)]+0,28[cos (-25,84°) −𝑗𝑠𝑖𝑛 (-25,84°)]
Δ𝑉𝐴1 = 0,19(0,11+𝑗0,99) +0,28(0,9-𝑗0,43)
ΔVA1 = 0,2729-j7, 042
│ΔVA1│= √(0,2729)𝟐 − (0,042)²
│ΔVA1│= 0,27pu
0,042
𝜑𝑣𝐴1 ≤ 𝑎𝑟𝑐𝑡𝑔( )
0,2729
𝜑𝑣𝐴1 = 8,69°
ΔVA1 = 0,27 ej8, 69°
Trouvons en effet VAA’
𝑈
Or Vr = (3.49)
√3
47
11000
Vr = = 6358, 38 V
1,73
𝑉𝑟
𝑉𝑟(𝑝𝑢) =
𝑈𝐵
𝟔𝟑𝟓𝟖,𝟑𝟖
𝑉𝑟 (𝑝𝑢) = = 0,57pu
𝟏𝟏𝟎𝟎𝟎
𝑣𝐴1= Δ𝒗𝑨𝟏 +𝑉𝑟 (3.50)
=0,27 ej8, 69° +0,57ej0°
=0,27[cos(8,69) +𝑗𝑠𝑖𝑛(8,69)] +0,57
=0,27(0,98+𝑗0,15) +0,57
=0,26+𝑗0,0405+0,57
𝒗𝑨1 =0, 83+𝒋𝟎,0409
𝝋𝑽𝑨𝟏 = 2,81°
𝒗𝑨1= 𝟎, 𝟖𝟑 eJ2, 81°
𝑖𝐴1 = 𝑉𝐴1 x 𝑌𝐴1 (3.51)
𝑎−𝑏
𝑌𝐴1 = (3.52)
𝑍
0,0225−𝑗0,1939
𝑌𝐴1 =
0,19
𝜑𝑌𝐴1 = 83,39°
𝑌𝐴1 = 1,026𝒆𝒋𝟖𝟑,𝟑𝟗°
𝑖𝐴1= 0,83 eJ2, 81° x 1,026𝑒 𝑗83,39°
= 0,85ej86, 2°
48
iG = iA1 + iR (3.53)
iG = 0,85ej86, 2°+ 0, 28 𝑒−𝑗25, 84°
= 0, 85[𝑐𝑜𝑠 (86, 2°) +𝑗𝑠𝑖𝑛 (86, 2°)] + 0, 28[cos (-25, 84°) −𝑗𝑠𝑖𝑛 (-25, 84°)]
= 0, 0561+𝑗0, 84+0, 252-𝑗0, 1204
𝒊𝑮 = 0,3081+𝒋𝟎, 7196
= arctg 2, 33
φ𝐺 = 66, 77°
𝒊𝑮 = 0,782ej66, 77°
𝑉𝐴1 = 𝑉𝐺 = 0,83 eJ2, 81°
𝑆𝐺 = 𝑉𝐺 × 𝑖𝐺 (3.54)
𝑆𝐺 = 0,83 eJ2,81° × 0,782ej66,77°
𝑺𝑮 = 0, 64𝐞𝐉𝟔𝟗,𝟓𝟖°
𝑆𝐺 = 0,64[cos(69,58°) + 𝑗𝑠𝑖𝑛(69,58°)]
= 0, 64(0, 34+j0, 93)
𝑺𝑮 = 𝟎, 𝟐𝟏𝟕𝟔 + 𝒋𝟎, 𝟓𝟗
Pr = 0,2176 (La partie réelle représente la puissance active)
Qr = 0,59 (La partie imaginaire représente la puissance réactive)
P = 𝑆 𝐵 × Pr (3.55)
𝑄 = 𝑆𝐵×𝑄𝑟 (3.56)
𝑃 = 15×0,2176 = 3,264 𝑀𝑊
𝑄 = 15 × 0,59 = 8,85 𝑀𝑉𝐴𝑅
𝛳𝐺 = 𝛳𝑉𝐺 − 𝛳𝑖𝐺 (3.57)
= 2,81°- 66,77°
49
𝜭𝑮 = -63,96° 𝑉𝐺
2,81°
𝑉𝑅
-63,96°
𝐼𝐺
𝑇𝑟𝑜𝑢𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑙𝑎 √∆
√∆= √𝟏𝟗𝟕, 𝟐𝟖𝟒
√∆= ±𝟏𝟒, 𝟎𝟒𝟔
Déterminons l’énergie
−𝑏±√∆
𝐸= (3.60)
2𝑎
91,687475 + 14,046
𝐸=
2 × 0,001771
105,733475
𝐸 =
0,003542
𝐸 = 29851,348
𝐸 = 29851,348 × 103
𝑬 = 𝟐𝟗𝟖𝟓𝟏𝟑𝟒𝟖𝒌𝑾𝒉
NB : Nous avons remarqué que nous sommes devant une recette qui est
mensuelle, or nous une durée de remboursement de 5ans.
Donc notre recette après cette durée sera égale : recette mensuelle x 12
mois x 5ans.
Ainsi notre recette devient :
Recette après 5ans = 6716553,3 × 5 × 12 (3.63)
= 402993198$
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CONCLUSION GENERALE
Face aux différents soucis majeurs cités ci-haut dans notre introduction,
nous avons eu le courage de chercher une solution pour électrifier cette
partie de pays longtemps laissé aux oubliettes, car les groupes
électrogènes de la SNEL qui alimentaient cette commune ont été à l’arrêt
depuis plusieurs années.
La procédure pour nous était d’estimer la puissance installée de la
commune. Cette puissance installée nous a permis de passer aux
différents calculs de la puissance de commune, qui nous a donné une
puissance totale de 4,306MW, associée au temps nous avons dégagé
l’énergie électrique.
BIBLIOGRAPHIE
I. Ouvrages
III. Webographie
− www. Google. Com
− www. Wikipédia. Com.
− www. Edf.fr.
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