De La Conception Des Équipements de Traitement Dimensionnement Et Dépannage Du Compresseur, Manuel Kolmetz

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Dimensionnement et dépannage du compresseur, Manuel Kolmetz
De la conception des équipements de traitement
Article ∙ Mars 2020
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1 auteur :
Karl Kolmetz
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Rév : 04
Groupe
Ingénierie pratique
Lignes directrices pour le traitement
Lignes directrices, conseils et
Solutions végétales Rév. 01mars 2008
Entraînement
Rév 02 janvier 2011
Rév. 03juin 2014
Rév 04 janvier 2023
www.klmtechgroup.com
Coauteur :
KLM Technology Group Rév 01 AL Ling
PO Box 281 Manuel Kolmetz Rév 02 Viska Mulyandasari
Rév 03 – Yulis Sutianingsih
Bandar Johor Bahru,
80000 Johor Bahru, De la conception des équipements de traitement Rév 04 – Faulina Popy P
Johor, Malaisie occidentale
SÉLECTION DU COMPRESSEUR Auteur/Editeur :
TAILLE ET Karl Kolmetz
DÉPANNAGE
(LIGNES DIRECTRICES DE CONCEPTION INGÉNIERIE)
TABLE DES MATIÈRES
INTRODUCTION 7
Portée 7
Histoire du compresseur 8
Transport de matériaux 9
Thermodynamique 12
Gaz et vapeur 15
Pression partielle 16
Compressibilité 16
Processus de compression 24
Puissance requise 24
Correction de compressibilité 26
Jeu des cylindres et efficacité de compressibilité 27
Conditions pseudocritiques et compressibilité 28
DÉFINITION 30
NOMENCLATURE 35
THÉORIE 37
35
Types de compresseurs
40
(A) Compresseur dynamique
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Groupe conception d'équipements de traitement
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COMPRESSEUR
directrices pour le traitement SÉLECTION, DIMENSIONNEMENT
Solutions végétales
ET DÉPANNAGE
www.klmtechgroup.com janvier 2023
50
(B) Compresseur volumétrique
65
(C) Compresseur à défilement
67
(D) Compresseur à lobes droits
68
(E) Compresseurs à membrane
71
Composant majeur du compresseur
104
Sélection et dimensionnement
136
Méthodes pour les performances du compresseur
147
Étape de compression
Limites calculées 148
APPLICATION 161
LISTE DES FIGURES
Figure 1 : Gamme d'application du compresseur dix
Figure 2 : Type de compresseur 12
Figure 3 : Processus thermodynamiques sur une pressionvolume
22
Diagramme
Figure 4 : Disposition schématique de compression 24
Figure 5 : Processus de compression adiabatique 25
Figure 6 : Types de compresseurs basés sur les principes de fonctionnement 37
Figure 7 : Sélection du compresseur 39
Figure 8 : Compresseur centrifuge 42
Figure 9 : Compresseur monoétage 44
Figure 10 : Compresseur multiétages 45
Figure 11 : Compresseur à flux axial 48
Figure 12 : Compresseur rotatif 55
Ces lignes directrices de conception sont considérées comme aussi précises que possible, mais elles sont très générales et ne s'appliquent pas à des cas de conception spécifiques.
Ils ont été conçus pour permettre aux ingénieurs de réaliser des conceptions préliminaires et des fiches techniques de processus. La conception finale doit toujours être garantie pour
le service sélectionné par le fournisseur de fabrication, mais ces directives réduiront considérablement le nombre d'heures d'ingénierie initiales nécessaires au développement de la
conception finale. Les lignes directrices constituent un outil de formation pour les jeunes ingénieurs ou une ressource pour les ingénieurs expérimentés.
Ce document est confié personnellement au destinataire, mais les droits d'auteur restent notre propriété. Il ne doit pas être copié, reproduit ou communiqué de quelque manière que
ce soit ou rendu accessible à des tiers sans notre accord écrit.
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Figure 13. Compresseur alternatif Figure 14 : 62
Composants du compresseur centrifuge Figure 15 : Composants 71
du compresseur alternatif Figure 16 : Relation entre les variables de 78
compression Figure 17 : PMH et PMB du compresseur 117
volumétrique 121
Figure 18 : Volume de déplacement et volume de dégagement en
122
Compresseur à piston
Figure 19 : Organigramme de conception du compresseur 123
Figure 20 : Taux de compression – Perte 125
Figure 21 : Efficacité mécanique typique d'un moteur alternatif
130
Compresseurs
Figure 22 : Type de cylindre par rapport au jeu 132
Figure 23 : Taille du cylindre par rapport à la pression de refoulement nominale 132
Figure 24 : Courbe du compresseur centrifuge (typique) 133
Figure 25 : Rendement polytropique pour compresseur centrifuge 134
Figure 26 : Carte de Mollier 137
Figure 27 : Fonction de compressibilité à pression constante (X) 143
Figure 28 : Fonction de compressibilité à température constante (Y) 144
Figure 29 : Déchargement de la vanne d'aspiration 150
Figure 30 : L'état changeant de la soupape d'aspiration de déchargement 150
Figure 31 : Poche de liquidation 151
Figure 32 : L'état changeant de la poche de dégagement 151
Figure 33 : Contrôle des reflux 152
Figure 34 : Processus de contrôle de vitesse pour le compresseur alternatif 153
Figure 35 : Processus de contrôle de vitesse pour compresseur centrifuge 154
Figure 36 : Limitation de la décharge 155
Figure 37 : Étranglement d'aspiration 155
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Figure 38 : Aube de guidage d'entrée 156
Figure 39 : Contrôle antisurtension pour une compression à plusieurs étages 157
Figure 40 : Contrôle antisurtension 158
Figure 41 : Schéma d'état du contrôle antisurtension 158
Figure 42 : Contrôle antisurtension conventionnel 159
Figure 43 : Schéma d'état du contrôle antisurtension dynamique 159
Figure 44 : Contrôle dynamique antisurtension 160
LISTE DES TABLEAUX
Tableau 1 : Plage de fonctionnement des compresseurs 11
Tableau 2 : Volume spécifique et densité 18
Tableau 3 : Volume Pourcentage des Constituants 19
Tableau 4 : Poids moléculaire d'un mélange 19
Tableau 5 : Énumérer la constante de gaz spécifique 19
Tableau 6 : Jeu du cylindre et efficacité de compressibilité 27
Tableau 7 : Conditions pseudocritiques et compressibilité 28
Tableau 8 : Applications du ventilateur 54
Tableau 9 : Tableau de dépannage 61
Tableau 10 : Application du compresseur à membrane 70
Tableau 11 : Mer des pistons d'équilibrage 77
Tableau 12 : Caractéristiques du compresseur 106
Tableau 13 : Paramètres de performances pour les types de compresseur 107
Tableau 14 : Aspect significatif des compresseurs basé sur les paramètres 108
Tableau 15 : Comparaison des types de compresseurs importants 109
Tableau 16 : Compresseurs axiaux versus compresseurs centrifuges 110
Tableau 17 : Compresseurs centrifuges versus compresseurs alternatifs 111
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Tableau 18 : Compresseurs rotatifs par rapport aux compresseurs alternatifs (service inférieur à 112
500 psig)
Tableau 19 : Puissance nominale pour les types de compresseur 113
Tableau 20 : Comparaison des types d'entraînement de compresseur (couple, taille, poids) 113
Tableau 21 : Considérations majeures dans la sélection du type de pilote 114
Tableau 22 : Objectifs de limitation de température. 126
Tableau 23 : Tailles de cadre et géométries typiques disponibles auprès des principaux 131
Fabricants de compresseurs alternatifs
Tableau 24 : Limitation de température 135
Tableau 25 : Limites de dérogation aux lois des gaz parfaits 141
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INTRODUCTION
Portée
Cette directive de conception couvrait la méthode de sélection et de dimensionnement du compresseur utilisé dans les
industries de transformation typiques. Ces lignes directrices aident les ingénieurs à comprendre la conception de base
des différents types de compresseurs et à acquérir des connaissances sur la sélection et le dimensionnement.
Les compresseurs sont largement utilisés dans les industries pour transporter des fluides. C'est un appareil mécanique
qui comprime un gaz. Il existe de nombreux types de compresseurs, une sélection appropriée est donc nécessaire pour
répondre aux besoins typiques de chaque industrie. Généralement, la compression des gaz peut être réalisée dans un
dispositif à pales rotatives ou dans des cylindres à pistons alternatifs. Les équipements rotatifs sont utilisés pour les
débits volumétriques élevés lorsque la pression de refoulement n'est pas trop élevée, tandis que les compresseurs
alternatifs sont nécessaires pour les pressions élevées. Outre le débit volumétrique, de nombreux paramètres doivent
également être pris en compte, notamment les normes en vigueur à utiliser.
La sélection du compresseur est importante ; c'est pourquoi la théorie relative à chaque type de compresseur est incluse
dans ces lignes directrices à titre d'informations supplémentaires. Tous les paramètres importants utilisés dans les lignes
directrices sont bien expliqués dans la section définition, ce qui aide le lecteur à comprendre la signification des
paramètres ou du terme utilisé.
La section théorique comprend la thermodynamique comme théorie de base de la compression des gaz, la comparaison
de plusieurs types de compresseurs, la théorie du dimensionnement et les formulations pour la conception du
compresseur. Il existe de nombreuses équations pour dimensionner le compresseur, c'est pourquoi les équations
pratiques (basées sur des conditions idéales) et généralement utilisées sont ajoutées dans ces directives de conception.
Dans la section application, cinq exemples de cas sont inclus pour guider le lecteur dans le dimensionnement du
compresseur.
À la fin de ces lignes directrices, un exemple de fiche technique de spécification est inclus, créé sur la base d'un exemple
industriel. Une feuille de calcul est également incluse pour aider l'utilisateur à mieux comprendre et appliquer la théorie
des calculs.
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Histoire des compresseurs
L'une des premières utilisations enregistrées du gaz comprimé (air) remonte au 3ème siècle avant JC.
Cette première utilisation de l’air comprimé était « l’organe à eau ». L’invention de « l’orgue à eau » est
communément attribuée à Ctésibius d’Alexandrie. Ctesibius a également développé le cylindre et le piston
volumétriques pour déplacer l'eau.
L'orgue à eau se composait d'une pompe à eau, d'une chambre partiellement remplie d'air et d'eau, d'une rangée
de tuyaux sur le dessus (tuyaux d'orgue) de différents diamètres et longueurs, ainsi que de tuyaux de raccordement
et de vannes. En pompant de l'eau dans la chambre eau/air, l'air est comprimé. Ce concept a été encore amélioré
par Hero of Alexandria (également connu pour avoir décrit les principes de l'expansion de la vapeur pour convertir
la puissance de la vapeur en puissance de l'arbre).
Dans les années 1850, alors qu'ils cherchaient à remplacer la roue hydraulique de la filature de laine familiale,
Philander et Francis Roots ont conçu ce qui est désormais connu sous le nom de souffleur Roots.
Leur conception consistait en une paire de roues en forme de huit tournant dans des directions opposées. Alors
que certains Européens expérimentaient simultanément cette conception, les frères Roots perfectionnèrent la
conception et la produisirent à grande échelle.
En 1808, John Dumball imagine un compresseur axial à plusieurs étages. Malheureusement, son idée consistait
uniquement à déplacer des pales sans profils aérodynamiques fixes pour diriger le flux vers chaque étage suivant.
Ce n'est qu'en 1872 que le Dr Franz Stolze combine les idées de John Barber et de John Dumball pour développer
le premier compresseur axial entraîné par une turbine axiale.
En raison d'un manque de fonds, il n'a construit sa machine qu'en 1900. La conception du Dr Stolze consistait en
un compresseur à flux axial à plusieurs étages, une chambre de combustion unique, une turbine axiale à plusieurs
étages et un régénérateur utilisant les gaz d'échappement pour chauffer. le gaz de décharge du compresseur.
Les conditions de fonctionnement ont un impact significatif sur la sélection du compresseur et ses performances.
Les effets de la pression, de la température, du poids moléculaire, du rapport thermique spécifique, du taux de
compression, de la vitesse, de la position des aubes, du volume des bouteilles, des chargeurs et des déchargeurs,
entre autres facteurs, sont discutés. Ces circonstances ont un effet sur la capacité du compresseur, qui influence
le choix du compresseur. Cela affecte également l'efficacité du compresseur.
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En raison des modes de fonctionnement parallèle et série des compresseurs, un certain degré de flexibilité de
sélection est toujours possible. Par exemple, de nombreux compresseurs peuvent être disposés en série de sorte
que le refoulement d'un compresseur alimente directement l'aspiration d'un deuxième compresseur afin d'atteindre
des pressions plus élevées. De la même manière que plusieurs compresseurs peuvent être réglés en tandem pour
obtenir des débits plus importants, l'aspiration et le refoulement de chaque compresseur peuvent être combinés
dans un seul collecteur.
Étant donné que la surtension du compresseur est l'événement le plus dangereux pouvant survenir dans un
compresseur dynamique, elle sera décrite et abordée en détail. Les nombreuses formes d'instruments (contrôleurs,
vannes, transmetteurs de pression et de température, etc.) facilement disponibles et les mieux adaptées à la
gestion des surtensions sont également couvertes. Les modes destructeurs d’autres compresseurs sont également
abordés.
Plusieurs algorithmes sont fournis pour illustrer comment la pression et la température interagissent et quantifier
les résultats, mais leur compréhension n'est pas nécessaire pour le choix de l'instrumentation appropriée et d'une
stratégie de contrôle. Le lecteur ne doit pas être rebuté par ces algorithmes car leur compréhension permettra une
connaissance plus complète du fonctionnement du compresseur.
Transport de matériaux
Le type d'équipement le mieux adapté au pompage de gaz dans les pipelines dépend du débit, de la pression
différentielle requise et de la pression de fonctionnement. Généralement, on utilise des ventilateurs là où la perte
de charge est faible (<35 cm H2O, 0,03 bar), des compresseurs axiaux pour des débits élevés et des pressions
différentielles modérées, des compresseurs centrifuges pour des débits élevés et par étages, des pressions
différentielles élevées.
Les compresseurs alternatifs peuvent être utilisés sur une large gamme de pressions et de capacités, mais sont
normalement spécifiés uniquement de préférence aux compresseurs centrifuges où des pressions élevées sont
requises à des débits relativement faibles.
Les compresseurs alternatifs, centrifuges et axiaux sont les principaux types utilisés dans les industries de
transformation chimique, et le domaine d'application de chaque type est illustré à la figure 1, qui a été adaptée
d'un diagramme similaire de Dimophon (1978).
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Figure 1. Gamme d'applications du compresseur
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Groupe
conception d'équipements de traitement
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Un guide de sélection complet pour la technologie des compresseurs est représenté dans le tableau 1.
Des croquis schématiques des compresseurs répertoriés sont donnés à la figure 2.
Tableau 1 : Plage de fonctionnement des compresseurs (Begg, 1966)
Type de compresseur Normale Normale Max. Normale Max. Pression

Max. Vitesse (tr/ Capacité différentielle (bar)
min) (m3 /h) Étape unique à plusieurs étages
Déplacement 1.
Réciproque. 300 85 000 3.5 5000
2. Palette coulissante. 300 3400 3.5 8
3. Anneau liquide. 200 2550 0,7 1.7
4. Racines. 250 4250 0,35 1.7
5. Visser. 10 000 12 750 3.5 17
Dynamique
6. Ventilateur centrifuge. 1000 170 000 0,35 0,2
7. Turboventilateur. 3000 8 500 3.5 1.7
8. Turbocompresseur. 10 000 136 000 0,35 100
9. Ventilateur à flux axial. 1000 170 000 3.5 2.0
10. Souffleur à flux axial. 3000 170 000 dix
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Figure 2. Type de compresseur (Begg, 1966)
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Ingénierie pratique COMPRESSEUR Rév : 04

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Thermodynamique
La thermodynamique est une branche scientifique qui traite de l'énergie. Il est au cœur de l’ingénierie et permet de
comprendre le mécanisme de conversion de l’énergie. La théorie de la compression est principalement définie par les
lois des gaz et les première et deuxième lois de la thermodynamique.
(I) Lois sur le gaz
Le droit général de l'État pour les gaz s'appuie sur les lois de Charles, Boyle, GayLussac et Avogadro. Cela
indique comment la pression, le volume et la température s’influencent mutuellement. On peut écrire :
pxv
Constante
du gaz R Éq (1a)
J
La constante R concerne uniquement les propriétés du gaz. Si la masse m du gaz occupe le volume V, la relation
peut s'écrire :
px V nx R x T Éq (1b)
Un terme supplémentaire peut être envisagé à ce stade pour corriger les écarts par rapport aux lois des gaz
parfaits. Ce terme est le facteur de compressibilité « Z ». L’équation des gaz parfaits devient donc :
pxv Z x R x T Éq (1c)
(II) Première loi de la thermodynamique
Le premier grand principe de la thermodynamique dit que l’énergie ne peut être ni créée ni détruite, mais qu’elle
peut être transformée d’une forme à une autre.
Qh Ww x E Éq (2a)
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(III) Deuxième loi de la thermodynamique
La deuxième loi de la thermodynamique est plus ésotérique et a de multiples formulations.
1. La chaleur ne peut pas passer d’ellemême d’un corps plus froid à un corps plus chaud.
2. Seul un travail externe peut provoquer un transfert de chaleur d'un corps ayant une température plus basse
à un avec une température plus élevée.
3. Tous les processus réels entraînent une diminution de l'énergie disponible du système isolé.
4. La chaleur, l’énergie ou l’eau couleront toujours d’ellesmêmes vers le bas.
Ces affirmations affirment essentiellement que l'énergie existe à plusieurs niveaux et ne peut être utilisée que si
elle peut circuler d'un niveau à un autre.
L'entropie, un concept issu de la thermodynamique, est un moyen de quantifier l'énergie qui n'est pas disponible.
L'équation différentielle le définit.
= Éq (3)
Loi des gaz parfaits ou parfaits
1. Loi de Boyle
Le volume d'un gaz parfait varie inversement à la pression lorsque la température est constante.
En symboles :
P2.V2 = P1.V1 = constante Éq (4)
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2. Charle’s Law
À pression constante, le volume d'un gaz parfait varie en proportion directe de la température absolue :
= = constante Éq (5)
3. Loi d'Amonton
La pression d'un gaz parfait changera en proportion directe avec la température absolue à volume constant.
= = constante Éq (6)
Les compresseurs sont des appareils mécaniques utilisés pour transférer de l'air, du gaz ou de la vapeur
d'un point à un autre en augmentant leur pression. La pression d'aspiration ou d'admission peut être faible,
sousoptimale de la pression atmosphérique à toute pression comprise dans les limites de résistance du
tuyau et du récipient. Le rapport de pression du compresseur est le rapport entre la pression absolue de
refoulement et la pression absolue d'aspiration.
La compression par étages est contrainte par les capacités mécaniques du compresseur et atteint souvent
un CR de 4. Il faut de nombreux étages pour obtenir des pressions élevées. Les lois des gaz parfaits et les
première et deuxième lois de la thermodynamique constituent les principaux principes déterminants de la
théorie de la compression. La loi des gaz parfaits, telle qu'elle a été conçue à l'origine, est basée sur le
comportement des substances pures et a la forme suivante :
Pv = RT Éq (7)
Où :
P = Pression absolue (KPa)
v = Volume spécifique (cm3 /g)
R = Constante du gaz (8,3144 kN.m/kmol o K)
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T = Température absolue (o K)
Gaz et vapeur
Un gaz est un fluide qui, par définition, n’a aucune forme indépendante et a tendance à se dilater indéfiniment.
Une substance sous forme gazeuse (vapeur) est un liquide ou un solide qui a été gazéifié. Ces explications sont
encore largement utilisées aujourd’hui. Toutes les substances peuvent être appelées vapeurs car elles peuvent
toutes se liquéfier à la pression et à la température appropriées.
Lorsque les conditions sont telles qu'un retour à l'état liquide (condensation) serait difficile dans le cadre des
paramètres des procédures évaluées, le mot gaz est plus couramment utilisé. Dans ces circonstances, un gaz est
essentiellement une vapeur surchauffée. Les termes « gaz » et « vapeur » seront utilisés de manière assez
interchangeable, le mot « vapeur » mettant l'accent sur une plus grande proximité avec la phase liquide.
Pression partielle
Lorsque deux liquides purs sont mélangés dans le même système et sont insolubles et ne réagissent pas, la
pression de vapeur produite par un liquide pur n'affectera pas la pression de vapeur du deuxième liquide pur.
Chaque composant ignore complètement l’existence de tous les autres composants. La somme des pressions de
vapeur des composants détermine la pression de vapeur totale des mélanges. C'est la loi de Dalton et,
contrairement à la pression totale du mélange, chaque vapeur individuelle a ce que l'on appelle une pression
partielle.
Les principes de la pression partielle s'appliquent lorsqu'un gaz autre qu'un gaz pur et sec est comprimé. Il y a
toujours de la vapeur d'eau mélangée à l'air d'admission, et le compresseur doit gérer les deux composants. Cela
est vrai même dans le cas d’une compression d’air régulière de 100 psig à des fins de puissance. En réalité, l'air
est un mélange de plusieurs substances. Sa pression totale est la somme des pressions partielles de chaque
composant, parmi lesquelles l'oxygène, l'azote et l'argon. Cependant, en raison de la faible variation de la
composition de l’air sec à l’échelle mondiale, il est considéré et sera traité à l’avenir comme un gaz unique doté
de caractéristiques uniques.
Les pressions partielles sont utilisées pour calculer la condensation et l'élimination de l'humidité dans les refroidisseurs
intermédiaires et postrefroidisseurs après compression. Dans de nombreuses applications de pompes à vide, des
pressions partielles sont également impliquées, et elles sont fréquemment rencontrées lors de la compression de nombreux mélanges.
Lorsqu'un composant d'une combinaison atteint sa température de point de rosée, l'espace dans lequel il
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occupe est dit saturé par ce composant. Parfois, un volume est décrit comme partiellement saturé de vapeur
d’eau à une température particulière. En conséquence, le point de rosée est inférieur à la température réelle et
la vapeur est réellement surchauffée. La pression partielle d'un composant peut être calculée si les moles de
chaque composant sont connues. Dans tous les autres cas, la méthode conventionnelle pour déterminer la
pression partielle consiste à multiplier la pression de vapeur du composant à la température actuelle du mélange
par l'humidité relative.
Compressibilité
Dans certaines circonstances, la divergence par rapport aux lois des gaz parfaits ou parfaits est assez extrême
et se produit dans tous les gaz. De nombreux calculs de compresseurs doivent prendre en compte ces écarts
afin d'éviter des erreurs regrettables dans les volumes des cylindres et les tailles des hautparleurs.
Des données expérimentales sur le comportement réel d'un gaz donné sous des changements PVT sont
utilisées pour dériver la compressibilité. Dans la formule fondamentale, le facteur de compressibilité Z0 agit
comme un multiplicateur. La différence entre le volume idéal pour une certaine condition PT et le volume réel
dans la même condition PT est ce qui détermine cela.
= Éq (8)
0
Dans ces équations, R0 est 1545 et pis lb/ft2
Pour couvrir tous les gaz pour lesquels des données fiables ont pu être trouvées, une série de graphiques de
compressibilité et de températureentropie ont été créés. Ceuxci peuvent être découverts dans des livres ou
des textes spécialisés. Parfois, cela reflète la consolidation et la corrélation de données provenant de plusieurs
sources, généralement avec une différence par rapport aux données primaires de moins de 1 %. Ces graphiques
pourraient être considérés comme fiables.
Le calcul des températures de décharge théoriques, qui ne sont pas nécessairement conformes aux lois des gaz
parfaits, peut être effectué à l'aide de graphiques températureentropie. Pour déterminer le facteur de
compressibilité pendant les conditions de décharge tel qu'utilisé dans divers calculs, les températures de
décharge sont nécessaires. Les facteurs de correction appropriés pour la majorité des problèmes de compression
impliquant les gaz décrits seront fournis par ces Zand TScharts spécifiques.
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Mélange de gaz
Les mélanges sont des gaz parfaits comparables. Même si ce n’est pas tout à fait exact, cela fonctionne pour le moment.
Les compresseurs gèrent de nombreuses combinaisons comprenant deux à dix parties différentes. Beaucoup de ces
qualités de gaz analogues doivent être identifiées aussi précisément que possible. Ces caractéristiques sont notamment :
• Volume spécifique •
Densité •
Volume et pourcentage molaire • Poids
moléculaire • Densité
spécifique • Pression
partielle • Compressibilité
• Constante du gaz •
Chaleurs spécifiques
La taupe
Travailler avec des mélanges gazeux rend la taupe très importante. Il est basé sur la loi d'Avogadro, selon laquelle des
volumes égaux de gaz contiennent le même nombre de molécules à une certaine pression. En conséquence, les poids
de ces volumes égaux correspondront à leurs poids moléculaires. En choisissant les paramètres standard de température
et de pression (SPT), il résout pour Vin la formule précédente (pis lb/ft2 et Tis °R). Cela s'avère être 379,4 pi3 . Pour
plus de simplicité, utilisez 379 pi3 /mol. Pour répéter, il s’agit du volume d’un poids (exprimé en livres) de n’importe quel
gaz à 14,696 psia et 60°F, le poids étant le même nombre que le poids moléculaire. Ainsi, une mole d’hydrogène occupe
un volume de 379 pi3 dans des conditions standard et pèse 2,016 lb.
Une mole d'air occupe 379 pi3 dans les mêmes conditions mais pèse 28,97 lb. Une taupe d'isobutane, toujours 379 pi3
, pèse 58,12 lb. Cela, bien sûr, suppose qu'il agit comme des gaz parfaits ou idéaux, ce
que la plupart d'entre eux font dans des conditions standard (SPT) ou proches : 14,696 psia et 60°F. Ceci ou des
circonstances comparables sont utilisés dans la majorité des calculs de taupes.
Gardez néanmoins à l’esprit qu’une taupe est un poids de gaz. Il n'y a pas de volume. Bien que la divergence par
rapport à un gaz parfait puisse parfois être contestée, les techniques suivantes pour déterminer les pseudopropriétés
de combinaison sont extrêmement utiles et, dans certaines circonstances, la seule option.
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Groupe

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Tableau 2 : Volume spécifique et densité
Spécifique lb/mol et poids
Spécifique Densité lb/
Gaz Volume moléculaire
Volume pi3
pi3 /mol
Hydrogène 379 2,016 188,3 0,00531
Aérien 379 28,97 13,1 0,0763
Isobutane 379 58,12 6,51 0,153
Le pourcentage en moles est le rapport entre le nombre de moles d'un constituant et le nombre total de moles du
mélange. Le pourcentage en moles est également un pourcentage en volume. Cette affirmation doit être remise en
question puisqu’une taupe est définie comme un poids. Regardez le tableau suivant pour preuve. L'analyse du gaz dans
ces tableaux et les suivants est celle d'un gaz de synthèse d'ammoniac brut typique.
Tableau 3 : Volume Pourcentage des Constituants
Mol / Mol de Volume (SPT) de 1 Volume / mole de

Gaz % molaire Vol %
mélange mole Mélange
H2 0,614 N2 061,4
,197 CO2 0,175 CO 379 232,7 61,4
19,7
1,4/100,0 0,014/1,000 379 74,7 19,7
17,5 379 66,3 17,5
5,3/379,0 1,4
Tableau 4 : Poids moléculaire d'un mélange
Mol. proportionnelle.
Gaz % molaire ou % vol. Poids mol.
Poids
H2 61,4 1,228
N2 19,7 2 5,516
CO2 17,5 28 7,700
CO 1,4/100,0 44 28 0,932/14,84
Ils ont été conçus pour permettre aux ingénieurs de réaliser des conceptions préliminaires et des fiches techniques de processus. La conception finale
doit toujours être garantie pour le service sélectionné par le fournisseur de fabrication, mais ces directives réduiront considérablement le nombre d'heures
d'ingénierie initiales nécessaires au développement de la conception finale. Les lignes directrices constituent un outil de formation pour les jeunes
ingénieurs ou une ressource pour les ingénieurs expérimentés.
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de quelque manière que ce soit ou rendu accessible à des tiers sans notre accord écrit.
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Tableau 5 : Énumérer la constante de gaz spécifique
Gaz spécifique
Constante
Gaz Formule Masse moléculaire
×
× ou
Hélium Il 4,003 386,2
Monoxyde de carbone CO 28,01 55,18
Hydrogène H2 2,016 766,6
Azote N2 28,02 55,16
Oxygène O2 32,00 48,29
Gaz carbonique CO2 44,01 35,12
Le dioxyde de soufre SO2 64,07 24,12
Vapeur d'eau H2O 18,02 85,78
Méthane CH4 16,04 96,35
Éthane C2H6 30,07 51,40
Isobutane C4H10 58,12 26h59
En thermodynamique, un système peut être classé comme isolé, fermé ou ouvert en fonction du transfert possible
de masse et d'énergie à travers les limites du système. Le système dans lequel ni le transfert de masse ni celui
d’énergie n’a lieu à travers sa frontière avec l’environnement est appelé système isolé. Un système fermé n'a pas
de transfert de masse avec son environnement, mais peut avoir un transfert d'énergie (chaleur ou travail) avec son
environnement.
Et un système ouvert est le système dans lequel le transfert de masse ainsi que d’énergie peut avoir lieu à travers
ses frontières.
Lorsque les variables du système, telles que la température, la pression ou le volume, changent, on dit que le
système a subi un processus thermodynamique. Il existe différents types de processus thermodynamiques :
1. Processus isobare
Un processus isobare est un processus thermodynamique dans lequel la pression du système reste
constante (P = const). Bien que le mouvement de chaleur entrant ou sortant du système fonctionne, il
affecte également l’énergie interne du système. Les ingénieurs utilisent fréquemment l'enthalpie du
système, qui est définie comme :
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H = U + Pv Éq (9)
L'enthalpie se substitue souvent à l'énergie interne dans les analyses thermodynamiques car elle
est plus pratique, notamment lors de l'application de la première loi de la thermodynamique. En
ingénierie, les deux cycles thermodynamiques importants (cycles de Brayton et de Rankine) sont
basés sur deux processus isobares. Il est donc essentiel que les centrales électriques examinent ce
processus.
2. Processus isochore
Le volume du système fermé est constant (V = const) lors d'un processus isochore, qui est un
processus thermodynamique. Il explique le comportement indéformable du gaz à l'intérieur du
conteneur. La transmission de chaleur vers ou hors du système modifie uniquement l'énergie interne
du système car le volume reste constant (la température).
Les réactions isochoriques sont cruciales pour les cycles thermodynamiques des moteurs à
combustion interne (cycles Otto et Diesel). Il est donc essentiel pour l’ingénierie automobile
d’analyser ce processus.
3. Processus isotherme
La température du système est constante (T = const) lors d'un processus isotherme, qui est un
processus thermodynamique. Pour que le système s'adapte continuellement à la température du
réservoir grâce à l'échange thermique, le transfert de chaleur entrant ou sortant du système doit
normalement se produire à un rythme très lent. Chacun de ces états préserve l'équilibre thermique.
Pour un gaz parfait, la situation n = 1 correspond à la fois à un processus polytropique et isotherme
(à température constante). Dans un processus isotherme, il n'y a aucun changement dans l'énergie
interne (due à T = 0), conduisant à U = 0 (pour les gaz parfaits) et Q = 0. Ceci contraste avec un
processus adiabatique, où n = 0 et le système n'échange aucune chaleur avec son environnement
(Q = 0 ; T = 0) et Q = 0. Ni un processus adiabatique ni un processus isotherme ne doivent être
adiabatiques pour être isothermes.
4. Processus adiabatique
Le flux de chaleur peut être évité soit en entourant le système d'un matériau thermiquement isolant,
soit en effectuant le processus si rapidement qu'il n'y a pas assez de chaleur.
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temps pour un flux de chaleur appréciable. Lorsqu’il n’y a pas de transfert de chaleur vers ou hors du
système, le processus est dit adiabatique (Q = 0).
On pourrait dire que le système est complètement isolé. L'énergie ne peut être transférée que sous
forme de travail dans un processus adiabatique. Puisqu’il ne peut utiliser l’approximation adiabatique
que dans des processus très rapides, l’hypothèse d’absence de transfert de chaleur est cruciale.
Dans ces opérations rapides, il n'y a pas assez de temps pour que la chaleur soit transférée depuis
ou vers le système. Les pertes de chaleur et les pertes dues au processus de combustion se
produisent dans des appareils réels (tels que des turbines, des pompes et des compresseurs).
Néanmoins, ces pertes sont généralement négligeables par rapport au flux d’énergie total, et le
processus adiabatique peut être utilisé pour approximer plusieurs processus thermodynamiques. Voici
un graphique pour différents types de processus thermodynamiques cidessus :
Figure 3. Processus thermodynamiques sur un diagramme pressionvolume
5. Processus isentropique
Un processus isentropique est un processus thermodynamique dans lequel l'entropie du fluide ou du
gaz reste constante. Cela indique que le processus isentropique est un exemple unique de processus
adiabatique dans lequel ni la chaleur ni la matière ne sont transférées. C'est un adiabatique
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Groupe
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processus qui est réversible. Un processus à entropie constante est un autre nom pour un
processus isentropique. Un tel processus idéalisé peut être extrêmement bien comparé aux
processus réels en ingénierie.
6. Processus réversible et irréversible
a) Processus réversible
Un processus réversible est un processus qui peut être arrêté en provoquant de minuscules
changements dans les propriétés d'un système, selon la définition du terme en thermodynamique.
Cela n’apporte aucune modification à l’environnement ou au système. L'entropie n'augmente pas
pendant le processus réversible et le système est en équilibre thermodynamique avec son
environnement.
b) Processus irréversible
Un processus irréversible est un processus qui ne peut pas être arrêté et qui ne peut pas ramener
l'environnement du système à son état initial. Cette définition vient de la thermodynamique.
L'entropie du système augmente au cours de processus irréversibles.
Calculs de puissance en chevaux
En calculant la puissance au gaz (GHP) puis en tenant compte des pertes mécaniques, il est possible
d'établir la puissance au frein (BHP) nécessaire pour entraîner le compresseur.
×
= Éq (10)
×, ×
Où
BHP = Puissance au frein
Hd = Hauteur (adiabatique) ftlb/lb
Wg = Débit pondéral du gaz lbs/h
E = Efficacité adiabatique
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Et
= ×
Éq (11)
×.
La puissance au frein est alors :
BHP = GHP x (1 + % Pertes Mécaniques) Éq (12)
Chaque type de compresseur possède des qualités différentes qui sont détaillées dans la section dédiée à
ce type de compresseur.
Processus de compression
Le compresseur est un dispositif d'absorption de travail utilisé pour augmenter la pression d'un fluide. Lorsque
le gaz est comprimé, ses molécules se rapprochent, ce qui leur permet d'occuper moins d'espace. À mesure
que le nombre de molécules de gaz augmente dans un volume donné, sa masse et sa densité augmentent
également. L'augmentation de la densité affecterait l'augmentation de la pression.
La pression d'un fluide augmente en effectuant un travail sur celuici, qui s'accompagne d'une augmentation
de la température en fonction des propriétés du gaz. La figure 4 cidessous présente une disposition
schématique de compression.
Figure 4. Disposition schématique de compression
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Sur la figure 5 cidessous, la ligne verticale du point 1 au point 2' représente le processus de
compression isentropique nécessitant un travail minimum de compression de P1 à P2. Le processus
de compression réel suit un chemin depuis le point 1 vers le haut et vers la droite dans le sens d'une
entropie croissante, se terminant au point 2 sur l'isobare de P2 [3].
Figure 5. Processus de compression adiabatique
Il est mentionné précédemment qu’il existe deux types de compresseurs : volumétrique et dynamique.
Ils compriment le fluide gazeux selon différents principes de fonctionnement. Le compresseur
volumétrique comprime le fluide en emprisonnant des volumes successifs de fluide dans un espace
fermé puis en diminuant son volume. La compression se produit lorsque la machine enferme un
volume fini de gaz et réduit le volume interne de la chambre de compression.
L'autre type de compresseur, le compresseur dynamique, comprime le fluide par l'action mécanique
d'aubes rotatives ou d'une turbine transmettant la vitesse et la pression au fluide. Plus le diamètre de
la roue est grand, plus le poids moléculaire du fluide gazeux est lourd ou plus la vitesse de rotation
est élevée, plus la pression est élevée. Généralement, le compresseur volumétrique est sélectionné
pour un volume de gaz plus petit et des rapports de pression plus élevés. Le compresseur dynamique
est sélectionné pour un volume de gaz fluide plus élevé et des rapports de pression plus faibles.
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Un compresseur utilise l'énergie qu'il reçoit pour augmenter la pression du gaz, la température du gaz et
toute chaleur transmise hors du compresseur. La plupart du temps, il est nécessaire d’augmenter la
pression du gaz tout en utilisant le moins d’énergie possible. Le moindre effort sera requis si le processus
de compression est isentropique, ce qui signifie qu’il n’y a pas de transfert de chaleur entre le compresseur
et l’extérieur. Cela suggère qu’il n’y a aucune perte dans le compresseur, ce qui est un idéal impossible
mais qui peut servir de point de départ pour l’efficacité de la compression.
Cependant, un compresseur ayant un rendement isentropique supérieur à 100 % peut être réalisé.
Par rapport à un processus isentropique, un processus isotherme réversible nécessite moins de travail.
Dans un processus isotherme réversible, le transfert de chaleur réversible maintient la température du gaz
à la température d'aspiration à mesure que le processus de compression avance. Naturellement, cette
procédure ne doit entraîner aucune perte. La puissance nécessaire est diminuée par le fait que de nombreux
compresseurs ont des températures de refoulement finales considérablement inférieures à la température
de refoulement isentropique. Étant donné que la puissance requise est presque toujours inférieure à la
puissance isentropique, le rendement isentropique est toujours utilisé pour classer les compresseurs.
Puissance requise
Le principal facteur utilisé pour dimensionner le pilote ainsi que pour choisir et construire les composants
du compresseur est la demande de puissance de chaque compresseur donné. Le cycle théorique
d'efficacité de compression, qui a été établi par des tests sur des machines antérieures, est lié au besoin
réel en énergie. Le rapport entre la puissance théorique et la puissance réelle du gaz est connu sous le
nom d’efficacité de compression et, selon les normes de l’industrie, il exclut les pertes dues au frottement
mécanique. Cellesci sont ensuite incluses, soit en utilisant un rendement mécanique, soit en incluant les
pertes mécaniques réelles calculées précédemment. Selon la taille et le type d'unité, les compresseurs
volumétriques utilisent fréquemment des rendements mécaniques compris entre 88 et 95 %.
Le cycle isotherme a servi de base pendant de nombreuses années dans le passé. Seules quelques
situations l’exigent encore aujourd’hui. Le cycle isentropique ou adiabatique, qui se rapproche davantage
de ce qui se produit réellement dans le compresseur, est désormais utilisé pour comparer les machines
volumétriques. Le facteur de compressibilité Z doit être pris en compte lors de la détermination de la
puissance car il a un impact significatif sur de nombreux gaz, notamment à haute pression.
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Correction de compressibilité
Une correction de la compressibilité, qui s'écarte des lois des gaz parfaits, est proposée dans les équations
précédentes. La compressibilité aux conditions d’entrée et de décharge doit être déterminée. Dans ces
circonstances, la compressibilité peut être déterminée directement à partir de diagrammes de gaz spécifiques
ou par l'utilisation de la méthode des conditions réduites utilisant des diagrammes généralisés. La température
de décharge doit être établie afin d'atteindre les conditions de décharge Zat. Cela se comprend lorsque la
pression est relâchée. Il est courant d'utiliser la température de décharge théorique dans les calculs du cycle
adiabatique en ce qui concerne les unités volumétriques. Bien que plusieurs facteurs interviennent dans un
compresseur réel pour générer des variations par rapport à la valeur théorique, la température est généralement
très proche de la valeur théorique, de sorte que toute erreur ajoutée est minime.
Compression adiabatique isentropique (c'estàdire que l'entropie reste constante). Les températures
théoriques de décharge peuvent être lues directement si des graphiques températureentropie pour le gaz sont fournis.
Sinon, les relations suivantes doivent être utilisées pour le calculer :
()
()
= = Éq (13)
Jeu des cylindres et efficacité de compressibilité
La surface des soupapes dans un cylindre contrôle l'efficacité de la compression davantage que le jeu, tout
comme le jeu dans un cylindre contrôle l'efficacité volumétrique (VE) (CE).
Cependant, l'ingénieur a du mal à obtenir un jeu faible et une valeur VE élevée. Il est essentiel de limiter la
taille et la quantité des vannes. Cependant, cela peut avoir tendance à réduire l’efficacité de la compression et
à augmenter la puissance. Par conséquent, le concepteur doit peser les deux éléments et parvenir à un
compromis, ce qui est une pratique d’ingénierie typique. Un VE élevé et un CE élevé (faible consommation
d'énergie) sont généralement incompatibles ; on ne peut pas réaliser les deux. Il existe cependant quatre
grandes catégories que le concepteur utilise, le type d'application influençant grandement la catégorie à
prioriser ou à équilibrer. Voici les catégories possibles pour eux :
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Tableau 6 : Jeu du cylindre et efficacité de compressibilité
Taux de compression 10– Facteur plus important
Très haut 30 (pompes à vide) 8–10 max. Autorisation
Haut Jeu principalement, valves
un peu
Modéré 5 Équilibré
Faible maximum. 2 ou moins Vanne
Conditions pseudocritiques et compressibilité
Des températures et des pressions réduites ont été mentionnées en relation avec le thème de la compressibilité.
Sur cette base, des courbes de compressibilité généralisées sont fournies en annexe A. Elles peuvent également
être utilisées avec des mélanges, au moins à des fins d'approximation. Pour une approche plus stricte, les textes
de Ried et al. doit être lu avant de commencer le traitement. Pour calculer les conditions pseudoréduites à utiliser
lors de la saisie des graphiques, les conditions pseudocritiques de pression et de température du mélange
doivent être déterminées. Les températures et pressions doivent être exprimées en valeurs absolues.
Tableau 7 : Conditions pseudocritiques et compressibilité
Individuel Psédus
Pseudo
Critique individuel Critique ordinateur
% de mole de gaz
Température (° C) Pression
Tc (ou R)
(PsiA) (PsiA)
H2 61,4 N2 83 51,0 327 201,0
19,7 CO2 17,5 227 44,7 492 96,9
CO 1,4 548 95,9 1073 3,4/195 187,8
242 507 7,1/493
Mélange pseudocritique
Ces valeurs permettent le calcul des conditions pseudoréduites et l'extraction des facteurs Z probables à partir
de graphiques généralisés.
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Plusieurs étapes
Quel que soit le type, tous les composants de base du compresseur fonctionnent dans des limites spécifiques.
Les composants de base peuvent être à un seul étage (où la compression et la distribution du gaz sont
effectuées dans le même élément) ou à plusieurs étages (où plusieurs éléments sont placés en tandem). Une
majorité Il existe plusieurs contraintes importantes, notamment :
• Température de décharge •
Variation de pression • Le
résultat du jeu (lié au taux de compression) • Opportunité d'économiser
l'électricité
En plus de cela, il existe d'autres justifications pour la mise en scène de plusieurs unités, mais cellesci doivent
principalement être prises en compte par le concepteur de l'unité particulière. Il n’existe aucune règle de
référence rapide disponible. Il est important de réaliser le processus de compression en plusieurs étapes, ou
de l'effectuer en deux étapes ou plus, chaque fois qu'une limitation est présente. Chaque étape utilisera au
moins un composant fondamental créé pour fonctionner en tandem avec les autres parties de la machine.
Le cycle isotherme (température constante) est la source d’énergie la plus rentable, comme cela a été
mentionné précédemment. Bien entendu, la puissance nécessaire au deuxième étage doit être réduite si le
gaz est refroidi après compression partielle à une température équivalente à la température d'admission initiale
(retour à l'isotherme). Dans ce scénario, le travail économisé grâce à la compression adiabatique en un seul
étage est représenté par la zone ABCD.
Il existe une relation théoriquement idéale entre les pressions d'admission des phases suivantes pour une
puissance minimale avec un refroidissement intermédiaire parfait entre les étages. Ceci est accompli en
maintenant le taux de compression constant et en supposant une température d'admission constante. Sur la
base du taux de compression global, la formule est utilisée.
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DÉFINITIONS
Adiabatique / Isentropique – Ce modèle suppose qu'aucune énergie (chaleur) n'est transférée vers ou depuis le
gaz pendant la compression, et que tout le travail fourni est ajouté à l'énergie interne du gaz, entraînant des
augmentations de température et de pression.
Refroidisseur final Le refroidisseur final est un échangeur de chaleur utilisé lorsque la température des gaz de
décharge sortant du compresseur doit être diminuée avant d'entrer dans un autre équipement ou système.
Fente axiale – Un joint parallèle à l’axe central de l’arbre.
Roulement – Est un dispositif permettant un mouvement relatif contraint entre deux pièces, généralement une
rotation ou un mouvement linéaire. Les compresseurs utilisent au moins une demidouzaine de types de paliers lisses.
Essentiellement, toutes ces conceptions sont constituées de plots d'arc partiel ayant une géométrie circulaire.
Aubes Profils aérodynamiques rotatifs pour les compresseurs et les turbines, sauf modification par un adjectif.
Capacité La quantité de débit d'air délivrée dans des conditions spécifiques, généralement exprimée en pieds
cubes par minute (CFM).
Compresseur centrifuge également connu sous le nom de compresseurs dynamiques, convertit efficacement
l'énergie en utilisant une série d'étapes pour comprimer et refroidir l'air lorsqu'il circule en continu dans l'unité.
Jeu Un certain volume qui reste vacant entre la position supérieure du piston et le cylindre
Taux de compression Le rapport entre la pression de refoulement et la pression d'entrée.
Efficacité du compresseur – Il s’agit du rapport entre la puissance théorique et la puissance au frein.
Compresseur à membrane est une variante du compresseur alternatif classique avec des segments de secours,
des segments de piston et un joint de tige. La compression du gaz s'effectue au moyen d'un flexible
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membrane, au lieu d'un élément d'admission. La membrane mobile de vaetvient est entraînée par une
tige et un mécanisme à vilebrequin.
Pression de décharge : pression de l'air produite à un point particulier du système dans des conditions
spécifiques, mesurée en psi (livres par pouce carré).
Température de décharge – La température à la bride de décharge du compresseur.
Pression manométrique La pression déterminée par la plupart des instruments et jauges, généralement
exprimée en psig. La pression barométrique doit être prise en compte pour obtenir la pression vraie ou
absolue (psig).
Puissance, frein Puissance délivrée à l'arbre de sortie d'un moteur ou d'un moteur, ou puissance requise
à l'arbre du compresseur pour effectuer le travail.
Roue Un rotor à l'intérieur d'un boîtier profilé force le gaz vers le bord de la roue pour augmenter la vitesse
du gaz et la pression dans le compresseur.
Pression d'entrée La pression réelle à la bride d'entrée du compresseur est généralement mesurée en
psig.
Débit volumique d'entrée : débit exprimé en unités de débit volumique dans les conditions de pression, de
température, de compressibilité et de composition du gaz, y compris la teneur en humidité au niveau de la
bride d'entrée du compresseur.
Intercooler – Après compression, la température du gaz augmente mais elle est limitée avant de passer à
la compression suivante. La limitation de température dépend du matériau d’étanchéité à utiliser et des
propriétés du gaz. Un refroidisseur intermédiaire est nécessaire pour diminuer la température avant de
passer à la compression suivante.
Processus isentropique Un processus adiabatique réversible. Ce processus isentropique se produit à
entropie constante. L'entropie est liée au désordre du système ; c'est une mesure de l'énergie non
disponible pour le travail dans un processus thermodynamique.
Processus isobare – Signifie que le volume augmente tandis que la pression est constante.
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Processus isochore – Il s’agit d’un processus à volume constant, ce qui signifie que le travail effectué par le
système sera nul. Dans un processus isochore, toute l'énergie ajoutée sous forme de chaleur reste dans le
système sous forme d'augmentation de l'énergie interne.
Isotherme Ce modèle suppose que le gaz comprimé reste à une température constante tout au long du
processus de compression ou de détente. Dans ce cycle, l’énergie interne est retirée du système sous forme
de chaleur au même rythme qu’elle est ajoutée par le travail mécanique de compression. La compression ou
la détente isotherme modélise plus fidèlement la vie réelle lorsque le compresseur a une grande surface
d'échange thermique, un petit volume de gaz ou une longue échelle de temps (c'estàdire un petit niveau de
puissance). Les compresseurs qui utilisent le refroidissement entre les étages de compression sont ceux qui
se rapprochent le plus de la compression isotherme parfaite. Cependant, avec des dispositifs pratiques, une
compression isotherme parfaite n'est pas réalisable. Par exemple, à moins de disposer d’un nombre infini
d’étages de compression avec des refroidisseurs intermédiaires correspondants, vous n’obtiendrez jamais une
compression isotherme parfaite.
Fuite : quantité de liquide ou de gaz qui s'échappe d'un tuyau ou d'un conteneur au moyen d'une
fissure, d'un trou ou d'un autre défaut.
Température maximale autorisée – La température continue maximale pour laquelle le fabricant a conçu
l'équipement.
Pression de service maximale autorisée (MAWP) Il s'agit de la pression continue maximale pour laquelle le
fabricant a conçu le compresseur lorsqu'il fonctionne à sa température maximale autorisée.
Pression d'aspiration d'entrée maximale – La pression d'entrée la plus élevée à laquelle l'équipement sera
soumis en service.
Compresseurs multiétagés – Compresseurs comportant deux étages ou plus fonctionnant en série.
Condition de fonctionnement normale – La condition dans laquelle un fonctionnement habituel est attendu
et une efficacité optimale est souhaitée. Cette condition est généralement le moment où le fournisseur
certifie que les performances se situent dans les tolérances indiquées dans cette norme.
Piston est un composant des moteurs alternatifs, des pompes alternatives, des compresseurs de gaz, des
vérins hydrauliques et des vérins pneumatiques, entre autres mécanismes similaires. Il s'agit de l'élément
mobile contenu dans un cylindre et rendu étanche aux gaz par des segments de piston.
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Déplacement du piston Le volume balayé par le piston ; pour les compresseurs multiétagés, la cylindrée du piston du premier
étage est la cylindrée globale du piston de l'ensemble de l'unité.
Polytropique Ce modèle prend en compte à la fois une augmentation de la température du gaz ainsi qu'une certaine perte
d'énergie (chaleur) des composants du compresseur. Cela suppose que la chaleur peut entrer ou sortir du système et que le
travail de l'arbre d'entrée peut apparaître à la fois comme une augmentation de la pression (travail généralement utile) et une
augmentation de la température audessus de l'adiabatique (généralement des pertes dues à l'efficacité du cycle). L'efficacité de
compression est alors le rapport entre l'augmentation de température à 100 % théorique (adiabatique) et réelle (polytropique).
Déplacement positif : le compresseur d'air fonctionne en aspirant de l'air dans une chambre de compression via une soupape
d'admission et en réduisant mécaniquement le volume de la chambre par le mouvement jusqu'à ce qu'une pression définie soit
atteinte.
Étape de compression du processus Est définie comme l'étape de compression entre deux niveaux de pression adjacents dans
un système de processus. Il peut être constitué d'un ou plusieurs étages de compresseur.
Radialement fendu Un joint perpendiculaire à l'axe central de l'arbre.
Pression de décharge nominale – Il s'agit de la pression la plus élevée requise pour répondre aux conditions spécifiées par
l'acheteur pour le service prévu.
Température de décharge nominale – Il s’agit de la température de fonctionnement prévue la plus élevée résultant d’une condition
de fonctionnement spécifiée.
Compresseur alternatif est un compresseur volumétrique qui utilise un piston pour délivrer des gaz à haute pression. Des
pressions allant jusqu'à 5 000 PSIG sont généralement produites par des compresseurs alternatifs à plusieurs étages
Processus réversible – Le processus qui peut être complètement inversé. Le processus ne peut être parfaitement réversible que
si les changements dans le processus sont infinitésimaux. Les changements qui se produisent au cours d'un processus réversible
sont en équilibre les uns avec les autres. A l’inverse, un processus qui n’est pas réversible est dit irréversible.
Inversion de tige Il s'agit d'un changement de direction de la force dans la charge de la tige de piston (de la tension à la
compression ou vice versa) qui entraîne une inversion de la charge au niveau de la goupille de traverse à chaque tour.
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Compresseur rotatif à vis est un type de compresseur de gaz, tel qu'un compresseur d'air, qui utilise un mécanisme volumétrique
de type rotatif. Ces compresseurs sont courants dans les applications industrielles et remplacent les compresseurs à pistons plus
traditionnels où de plus grands volumes de gaz comprimé sont nécessaires, par exemple pour les grands cycles de réfrigération
tels que les refroidisseurs, ou pour les systèmes à air comprimé pour faire fonctionner des outils pneumatiques tels que des
marteauxpiqueurs et des clés à chocs.
Rotor – Les rotors sont généralement de conception solide forgée. Des rotors creux soudés peuvent être utilisés pour limiter le
moment d'inertie dans les compresseurs de plus grande capacité. Les pistons d'équilibrage pour obtenir l'égalisation des charges
de poussée axiale du rotor sont généralement intégrés au rotor. Les pales rotatives sont situées dans les rainures périphériques
du rotor.
Compresseur à spirale (également appelé compresseur à spirale, pompe à spirale et pompe à vide à spirale) est un dispositif
permettant de comprimer de l'air ou du réfrigérant.[1] Il est utilisé dans les équipements de climatisation, comme compresseur
automobile (où il est connu sous le nom de compresseur à spirale) et comme pompe à vide.
Compresseur à lobes droits Le transport pneumatique de matériaux, l'aération de liquides, l'extraction de gaz et de vapeurs, la
fourniture d'air et de gaz à basse pression, la suralimentation de moteurs et le séchage de matériaux ne sont que quelques
applications du compresseur à lobes droits. compresseurs.
Surtension Capacité de débit volumique en dessous de laquelle un compresseur centrifuge devient aérodynamiquement instable.
Puissance théorique Il s'agit de la puissance nécessaire pour comprimer de manière adiabatique l'air délivré par un compresseur
dans une plage de pression spécifiée, sans aucune prévision de perte d'énergie.
Valve est un dispositif ou un objet naturel qui régule, dirige ou contrôle le débit d'un fluide (gaz, liquides, solides fluidisés ou
boues) en ouvrant, fermant ou obstruant partiellement divers passages. Techniquement, les vannes sont des raccords, mais sont
généralement considérées comme une catégorie distincte. Dans une vanne ouverte, le fluide s'écoule dans une direction allant
d'une pression supérieure à une pression inférieure.
Efficacité volumétrique – Il s’agit du rapport entre la capacité d’un compresseur et la cylindrée du piston du compresseur.
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Lignes
ET DÉPANNAGE
NOMENCLATURE
p = pression absolue (lb/ft2 ) =
dans
volume spécifique (ft3 /lb) =
J température absolue (oR)
R.
R = = constante de gaz individuelle (ftlb/lb°R)
MW
V = volume (pi3 )
n = masse molaire (kmol)
R = constante universelle des gaz = 1545 (ftlb/mol°R)
Qh = chaleur entrante dans le système (Btu)
Ww = travail du système (Btu)
ΔE = changement d'énergie du système (Btu)
Q = capacité, millions de pieds3 standard /jour Qstd
= capacité, millions de pieds3 standards /jour (réf. 14,7 psia, 520oR)
PS = pression d'aspiration, psia (bride)
Ts = température d'aspiration, oR
Zstd = facteur de compressibilité aux conditions standard
Zs = facteur de compressibilité dans des conditions d'aspiration
DISP = cylindrée du cylindre, ft3 /min
CL = volume libre du cylindre en fraction décimale du volume déplacé
Rp = rapport de pression à travers le cylindre (bride à bride)
N = exposant de volume isentropique dans les conditions de fonctionnement (rapport thermique spécifique pour les gaz parfaits)
Ap = surface du piston, po2
Avec = surface de la tige de piston, po2
S = course, po.
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Lignes
COMPRESSEUR
ET DÉPANNAGE
tr/min = vitesse de rotation
NT = exposant de température isentropique défini par les propriétés réelles du gaz
Rs = rapport de pression d'étage
Rt = rapport total
Ns = nombre d'étages
Nc = efficacité de compression
Nm = rendement mécanique
k = exposant polytropique
m = débit massique, lbm/min
volume de jeu du cylindre
C = jeu du cylindre, % ( x 100
) volume déplacé
L = facteur de perte, %
Ps(atm) = pression d'aspiration en atm
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Groupe
COMPRESSEUR Rév : 04
Lignes
ET DÉPANNAGE
LES RÉFÉRENCES
1. Bloch HP. Un guide pratique de la technologie des compresseurs. Les étatsunis d'Amérique:
John Wiley & Fils, Inc., 2006.
2. JM Smith HCVN, MM Abbott. Introduction à la thermodynamique du génie chimique : McGrawHill, 2001.
3. John Wiley & Sons, Inc. Hoboken, Un guide pratique de la technologie des compresseurs. Nouveau
Jersey, 2006.
4. Paolo Bendinelli MC, Marco Giachi, Eugenio Rossi. Performances du compresseur Dynamique. Dans :
Hanlon PC, éditeur. Manuel du compresseur. McGrawHill, 2001.
5. Notes de cours RM Price – Transport fluide. 2000.
6. Silla H. Génie des procédés chimiques. Marcell Dekker, Inc., 2003.
7. Tony Giampaolo M, PE. Manuel du compresseur : principes et pratiques : le
Fairmont Press, Inc., 2010.
8. K Kolmetz et al, Kolmetz Handbook of Process Equipment Design, Safety in Fluid
Flow, directives de conception technique, 2011.
9. K Kolmetz et al, Kolmetz Handbook of Process Equipment Design, Piping Fluid Flow
Hydraulique, lignes directrices de conception technique, 2018
10. K Kolmetz et al, Kolmetz Handbook of Process Equipment Design, Pump Selection,
Dimensionnement et dépannage, directives de conception technique, 2021

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Figure 22 : Type de cylindre par rapport au jeu 132

Figure 23 : Taille du cylindre par rapport à la pression de refoulement nominale 132

Figure 27 : Fonction de compressibilité à pression constante (X) 143

Figure 28 : Fonction de compressibilité à température constante (Y) 144

Figure 29 : Déchargement de la vanne d'aspiration 150

Figure 30 : L'état changeant de la soupape d'aspiration de déchargement 150

Figure 31 : Poche de liquidation 151

Figure 32 : L'état changeant de la poche de dégagement 151

Figure 33 : Contrôle des reflux 152

Figure 37 : Étranglement d'aspiration 155

Figure 38 : Aube de guidage d'entrée 156

Figure 39 : Contrôle anti­surtension pour une compression à plusieurs étages 157

Figure 40 : Contrôle anti­surtension 158

Figure 41 : Schéma d'état du contrôle anti­surtension 158

Figure 42 : Contrôle anti­surtension conventionnel 159

Figure 43 : Schéma d'état du contrôle anti­surtension dynamique 159

Type de compresseur Normale Normale Max. Normale Max. Pression

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px V nx R x T Éq (1b)

pxv Z x R x T Éq (1c)

Qh Ww x E Éq (2a)

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Mol / Mol de Volume (SPT) de 1 Volume / mole de

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Figure 43 : Schéma d'état du contrôle antisurtension dynamique 159