Atteinte à la démocratie :

De nos jours le débit d’information est tel que n’importe qui peut recevoir et créer
des informations, de parts l’avancée d’internet et des technologie qui arrivent comme les
cyber-attaques, ou bien les informations truqués qui peuvent paraître très vrai, mais avec
une intention mauvaise.

On peut alors se demander si les lanceurs d’alertes sont des héros ou des détracteurs
de la démocratie car si tout le monde peut donner des informations sans sources toujours
fiable, cela pourrais conduire à l’anarchie car la confiance des personnes et la légitimité des
personnes serais sans cesses remise en cause, et cela pourra provoquer une absence de
confiance en la politique et ses objectifs prédéfinies.

Alors il faut réfléchir à la façon de déterminer si une personne est légitime ou non
d’avoir ce rôle de « lanceur d’alerte » et encore plus important est ce que sa source est
toujours fiable ? Mais la réponse n’est pas évidente puisqu’avec la monté des nouvelles
technologie informatique, plus aucune source peut être certifié complètement fiable.

Prenons l’exemple d’une vidéo très interessante de « Barack Obama » déployant de

façon très formelle que le « président Trump est une grosse merde », c’est vidéo qui paraît
bien réel avait choqué les américains, et pourtant c’était le créateur Jordan Peele qui avait
mis ce trucage en scène pour sensibiliser les citoyens. Il faut se rendre compte que cette
vidéo est apparue au prémices de cette technologie de deep fake et que de nos jours elle est
bien plus performante, et surtout beaucoup moins visible.

Mais qu’est ce qu’un deep fake ?

C’est une vidéo d’une personne dans laquelle son visage ou son corps a été modifié
numériquement de manière à ce qu’elle apparaisse comme quelqu’un d’autre,
généralement utilisée à des fins malveillantes ou pour diffuser de fausses informations.

Par ailleurs L’audition de la commission sur les menaces mondiales a cité les deepfakes
comme une préoccupation croissante.

Mais aujourd’hui ces technologies vont encore plus loin avec les intelligences artificiels, Elon
Musk à introduit récemment en réunion ces nouveaux investissements, dont un très
préoccupant, Voice.ia, une intelligence artificiels qui permet en un clic de changer la voix
pour reproduire à la perfection une voix d’une personne connu, dans l’exemple il prend la
très célèbre voix de Morgan Freeman, en instantané.

Le danger aujourd’hui est qu’en combinant ces deux technologie n’importe qui pourrait
potentiellement créer des fausses information à foison. Et cela est un énorme danger de nos
jours puisque les informations, et surtout les fausses on tendance à être diffusées et
partagées dans le monde entier de façon très rapide.
 On peut alors se demander est ce qu’il reste encore une crédibilité dans les
informations que nous recevons ou que nous pouvons émettre ?

Car aujourd’hui on peut alors se conforter et garder sa seul source d’information a

celles des médias dit « traditionnel » comme les journaux, la télévision ou la radio.

Mais personne ne peut affirmée que les médias n’ont jamais diffusé de fakes news,
par exemple Orson Welles le 30 octobre 1938 , un « lanceur d’alerte » il l’a été, pendant la
petite période ou tout le monde avait cru à son histoire de martiens arrivant sur terre. Cette
fakes News, l’une des première recensés à pourtant bien été diffusée sur la radio, le média le
plus influant de l’époque.
Mais plus récemment en 2016 de nombreux médias comme chaînes de télévision
françaises accusaient que les centrales à charbon allemande était responsable de la pollution
en France.

Ces dits lanceurs d’alertes s’auto-proclamant héros de la démocratie en ces

circonstance ont été des détracteurs d’une liberté d’expression dénigrés pas ces fausses
informations. Allant jusqu’à enlevé toute crédibilité de ces médias traditionnel et de leurs
financement qui sont les états.

En allant plus loin dans le raisonnement on pourrait pensée qu’en laissant ce genre
d’incident se produire, cela pourrais mené à une anarchie déstabilisant tout le système
actuelle d’information des médias. La population immergé sous un tel débit de fausse
information et de manque de certitudes ne donnerais plus qu’a eux même la confiance qui
autrefois était donné sans crainte à la radio ou aux chaînes de télévision.

C’est pour cela qu’il faut réprimander de façon strict et sans distinction les lanceurs
d’alertes qu’il soient indépendant ou bien organisé, et qu’elle que soit leurs plate-forme et
encore plus important, leur intentions.

C’est de cette manière que les citoyens vont retrouver confiance en les médias, et
leurs informations.