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Sujet 1 : La circula/on d’informa/ons ou de contenus fallacieux sur

internet et leur régula/on


En 2022, 88% des fausses informa3ons étaient diffusées sur des médias sociaux.
Aujourd’hui, l’impact de la diffusion d’informa3ons fallacieuses a de plus en plus de
conséquences sur notre société. Au fur et à mesure qu’internet se développe, c’est la plupart
de la popula3on qui consulte ceCe plateforme pour s’informer et pour partager ceCe
informa3on. Cependant, les contenus fallacieux disponible sur internet influencent l’opinion
des internautes et on se demanderais même si l’u3lisa3on d’internet devient dangereuse pour
la popula3on. Mais alors, internet favorise-t-il l’informa3on ou la désinforma3on ? Les
mesures prises par les médias sont-ils suffisants ? Et sommes-nous aptes à différencier une
fausse informa3on ?

Premièrement, je pense que la diffusion de contenus fallacieux sur internet a


transformé ceCe plateforme, normalement conçue pour faciliter l’accès à l’informa3on de
manière rapide, en une sorte de champs de bataille où tout le monde souhaite rassembler le
plus de personnes dans sa cause peu importe la manière.
Dans ceCe vision-là, la décrédibilisa3on d’internet fait que même les faits véridique et
importants vont être remis en cause. Par exemple, on était plus prompt à croire un lanceur
d’alerte avant l’appari3on des fausses informa3ons. On peut le constater aussi grâce aux
fausses informa3ons remeCant en cause la parole de professionnels notamment lors de la
pandémie de covid-19. Dès l’appari3on des vaccins, les fakes news ont afflués en disant que
« les vaccins tuent »1 ou que le gouvernement nous implantait des puces. On va alors avoir
tendance à rejeter les vraies informa3ons lorsque nous savons que nous pouvons être
confrontés à de fausses informa3ons. Selon le chercheur Hugo Mercier2, les fakes news sont
infimes sur les réseaux sociaux comparé aux vraies informa3ons mais le fait qu’on ait en
conscience qu’on pourrait être confrontés à de fausses informa3ons nous pousse à douter du
contenu que l’on voit. Cela montre qu’internet a changé car la méfiance prime. En effet, le
chercheur a réalisé une étude et dans celle-ci 40% des informa3ons fiables ont été jugées
fausses. Alors, si on ne peut plus faire confiance aux informa3ons que l’on voit sur internet,
une plateforme conçue afin de diffuser les savoirs, a quoi sert réellement la plateforme ?
De plus, le but est de rallier le plus de personne à sa cause afin de gagner en crédibilité. Selon
moi, diffusé une théorie du complot sur internet a pour but de créer un effet de groupe pour
légi3mer son opinion. Certes, les personnes qui vont propager une théorie du complot sont,
soit peu maître de leur propre vie qu’ils vont chercher à remeCre en cause tous les
évènements autour d’eux, soit pensent être si intelligent qu’ils connaissent toutes les vérités.
Mais en ayant plus d’allier, cela permet de renforcer leur propos. Au même 3tre que les
théories du complot, les fausses informa3ons cherchent à avoir une forte visibilité, cependant,
la raison n’est pas la même. Elle sert soit à la promo3on (par exemple avec les faux avis pour
pousser un consommateur à acheter un produit) ou au contraire a apporter un mauvais avis
pour nuire à une enseigne3, soit a un but poli3que… et à toujours un but malveillant car les
personnes diffusant des fausses informa3ons savent eux même que c’est faux. Tout ça pour

1
Les infos sur le covid-19 polluens sur 3ktok selon une étude, Les echos, le 23 septembre 2021 de raphaël
Belenieri
2
Internet, l’autoroute de la désinforma2on de Philippe Testard-Vaillant et Charline Zeitoun, le 22 juin 2022
3
Google, Tripadvisor… que risque-t-on a publié de faux avis en ligne ? de Laurène Fer1n, le 19 juin 2023
dire que ceCe nouvelle fonc3on d’internet nuit à la cohésion sociale4 pour créer des divisions
dans la société. Dans ceCe société changeante, le rôle des réseaux sociaux serait donc de
veiller à ne pas diffuser ce genre d’informa3on en la régularisant. Mais ces réseaux se
retrouvent confrontés à plusieurs problèmes. D’une part, elles dépendent de ces fausses info,
d’autres part le ciblage reste un enjeu important qu’elles ne sont pas prêtes à enlever. Comme
Antonio Casili l’explique dans l’ar3cle Internet, autoroute de la désinforma3on, les réseaux
sociaux régulent ces contenus de sorte qu’elles ne soient pas impactées, ils veulent avant tout
faire du profit donc régulent le contenu sur leur plateforme de sorte que ça ne soit pas
contraignant pour les u3lisateurs. En effet, si on enlève aux u3lisateurs la liberté de poster ce
qu’ils veulent, on leur enlève une certaine forme de liberté d’expression. Alors pourquoi ne
pas aller sur une plateforme moins contraignante ? En outre, le ciblage est également un enjeu
important pour les réseaux sociaux. Les u3lisateurs sont ciblés pour leur offrir un contenu
per3nent pour qu’ils ne partent pas et pour leur offrir des publicités adéquates. Mais en les
ciblant, ils augmentent aussi les chances que les fausses informa3ons qui pourront sembler
per3nents pour eux arrivent jusque dans leur file d’actualité en venant renforcer une opinion
par une informa3on non jus3fiée (je traiterai cela en détail dans la deuxième par3e).
Les réseaux sociaux par3cipent au partage des fausses informa3ons devenus de plus en plus
simple, quelquefois même en un clic. Ils favorisent les contenus engageants. On peut voir aussi
l’op3on de repost sur 3ktok qui permet de transmeCre un Tiktok à l’ensemble de ses abonnés
en lui donnant plus de chance d’apparaitre dans leur fil d’actualités. Lors de ceCe transmission
on sort peu à peu du milieu virtuel pour affecter les milieux « poli3que, la santé publique, les
rela3ons interna3onales et la confiance dans les ins3tu3ons démocra3ques »5. Cela crée alors
des conflits lors d’élec3on, des guerres qui vont en dehors d’internet partant d’abord de
rumeurs... Cela favorise les « tensions sociales » et détériore la vie en société. Nous pouvons
prendre pour exemples élec3ons aux États-Unis. Une rumeur avait affirmé qu’Hilary Clinton
était gravement malade durant les élec3ons de 2016 et qu’elle risquait même de mourir. 30%
des personnes interrogées y ont cru. Ces rumeurs étaient infondées et ont été démen3es.
N’empêche, il est possible que certains électeurs aient pu voir ceCe fausse informa3on passée
et qu’ils n’aient pas voté pour la candidate sans connaissance de cause6

Deuxièmement, la diffusion de fausses informa3ons influence le comportement.


Effec3vement, comme on a pu le voir avec l’exemple d’Hilary Clinton, la rumeur basée sur de
faux documents a pu entraîner des Américains à changer leur opinion et ne plus voté pour
ceCe dernière. D’autant plus que ceCe informa3on a été relayée par un homme poli3que
influent qui n’est autre que Donald Trump. Certain pourrait penser que la notoriété implique
de diffuser seulement de vraies informa3ons, donc se fier plus facilement à ces personnes.
Plus spécialement les jeunes qui u3lisent beaucoup les réseaux sociaux. Selon L’étudiant, c’est
73% des 16-30 ans qui u3lisent un réseau social ou un média en ligne pour s’informer
quo3diennement. Les jeunes sont plus enclins à se faire manipuler malgré la hausse de la
sensibilisa3on contre les fakes news. Cela est très contraignant car ce sont eux les nouveaux
électeurs et le futur des sociétés. Alors, les fausses informa3ons relayées par les médias ou les
personnes poli3ques sont plus suscep3bles d’être cru que des informa3ons qui passent dans
nos files d’actualités.

4Comment la désinforma2on en ligne menace-t-elle notre société ? de Serge Ratsimbazafy, le 21/12/2023


5
Comment la désinforma2on en ligne menace-t-elle notre société ? de Serge Ratsimbazafy, le 21/12/2023
6
Trois fausses informa<ons récentes qui ont influencés l’opinion de Adrien Sénécat, le 9 mars 2017
De surcroît, l’appari3on des deep fakes en 2017, a été favorable à ceCe confusion entre le vrai
et le faux. Lorsqu’on va voir une deepfake, on ne va pas d’abord savoir que s’en est une,
pourtant, même lorsqu’on saura que c’est faux, on gardera toujours une mauvaise image de la
personne. On va garder ce préjugé qui était sans doute là inconsciemment. Effec3vement, le
deepfake contre une personne se retrouve sur les plateformes d’une autre personne grâce au
ciblage. Si une personne a déjà un préjugé sur une célébrité, un deepfake se retrouvera plus
facilement dans le contenu qu’il va regarder. Ces deepfakes vont même jusqu’à créer des
tensions sociales car elles vont être diffusée grâce aux réac3ons émo3onnelles qu’elles créent.
Par exemple, le Washington Post rapporte que l’ancien président du Gabon a été vic3me d’un
coup d’état par3 d’un deep fake. Ce deep fake est l’abou3ssement de plusieurs mois de
désinforma3ons cons-cernant la santé du président. Elle meCait en évidence le fait que le
président était mourant en lui donnant un air paralysé. Cela a alerté les Gabonais et a créé un
coup d’état. La désinforma3on a-t-il réellement tout ce pouvoir ? Ici, cet évènement extrême
a été accentuer par un gouvernement fragile avec déjà plusieurs opposants. La mauvaise
image d’Ali Bango qu’avait déjà plusieurs des habitants ont été accentuer par ce deep fake.
Donc un deep fake a réellement du pouvoir dans une société fragile, cela nuit à l’intégrité de
l’espace public. Une popula3on plus informée peut aider à freiner ceCe propaga3on.
Les deep fakes peuvent aussi être posi3fs.7Les deep fakes posi3f sont des deep fakes réaliser
d’abord sans l’accord de la personne qui est modifiée. Mais ce deepfake va être à son avantage
donc il va peut-être accepter sa diffusion car il en 3re un profit (cas de Manoj Tiwari). Pour ma
part, je trouve que ceCe méthode de communica3on est une sorte de manipula3on. Elle
permet, certes de changer la vision néga3ve qu’on aurait d’une personne mais si ceCe nouvelle
vision n’est pas réelle, est-elle toujours valable ? Et si ceCe image créer par d’autres personnes
leur convient, pourquoi ne l’ont-t-ils pas créé eux-mêmes ? Ces nouvelles sortes de deep fakes
permeCent donc de convaincre le plus grand nombre de personnes sans pour autant se
compromeCre. Une autre bonne u3lisa3on des deepfakes est faite afin de recons3tuer des
évènements ou masquer des visages dans les reportages8. Dans ce cas-ci, l’u3lisa3on des
deepfakes est avantageuse et ne commet aucunes vic3mes. Elle pourrait être alors réellement
bénéfique. Il faudrait, par ce biais, savoir la réguler et annoncer lorsque l’on est confronté à
une deepfake. Cela permet aussi d’instruire la popula3on.
Pour finir, les fausses informa3ons se propagent elles-mêmes à travers les peurs pour créer
des divisions. Comme le marke3ng9, ce sont les émo3ons qui rendent une fausse informa3on
virale. Si elles provoquent de la colère, de la sa3sfac3on… elles vont être plus relayées. « La
vulnérabilité fasse aux fake news » va aussi augmenter et on aura plus tendance à y croire.
Aussi, si elle nous est envoyée par une personne en qui nous avons confiance (parents,
professeurs, famille…) on ne va pas chercher à première instance si la source est fiable.

Enfin, bien qu’elles soient sur internet, la dangerosité des informa3ons fallacieuses ne
sont pas à prendre à la légère.
Les nouvelles généra3ons grandissent avec internet et avec les informa3ons fallacieuses. Elles
n’ont pas connu le internet sans ces informa3ons et sont donc moins sensibles a la différence
entre les vraies et les fausses informa3ons. Malgré la sensibilisa3on et l’éduca3on de la
dangerosité d’internet dès le plus jeune âge, il devient tout de même de plus en plus difficile
de différencier le vrai du faux. Les deep fakes deviennent plus réalistes et les fausses

7
Une vidéo deep fake poli2que peut-elle vraiment être « posi2ve » ? de Numérama, le 19 février 2020
8
Les deep fakes une « arme d’illusion massive » ? par Gérare Holubowicz, le 16 octobre 2020
9
Fake News : why do we believe it ? par Catherine Beauvais, le 4 mars 2022
informa3ons plus reliées aux émo3ons. Les réseaux transmeCant les informa3ons, elles,
développent plus de techniques pour freiner la propaga3on mais le nombre de personnes qui
vont sur les réseaux sociaux augmentent elles-aussi donc c’est toujours plus compliqué de
réduire leurs émissions. Surtout que les réseaux sociaux ne vont pas réduire le nombre
d’u3lisateur même si cela serait favorable pour diminuer la propaga3on de fausses
informa3ons car cela les nuirais.
La dangerosité des contenus fallacieux se manifestent aussi dans les contenus qu’elles
proposent. Elles ne sont pas seulement poli3ques. Parfois, elles sont seulement créées par pur
malveillance avec les deep fakes pornographiques. Selon Laurence Allard, spécialiste du
numérique, ces contenues existe depuis 2017 ou 2018. Les deep fakes pornographiques ont
intensifiés le harcèlement sur les réseaux sociaux. Au début, les personnes les plus touché
étaient les célébrités tels que Ariana Grande ou Margot Robbie, mais des inconnus subissent
aujourd’hui ce type d’harcèlement et cela même chez les plus jeunes. Par exemple, 22
adolescentes en Espagne ont été vic3mes de montages pornographiques. Elles ont par la suite
portée plaintes.10 Ce phénomène ne prend pas en compte la santé mentale des personnes. Si
il y a peu de chances que des célébrités soient affectées par ce genre de photos sur elles car
ils connaissent le risque de leur notoriété, d’autres ne pourrait pas le supporter. Des sites sont
même dédiés aux deep fakes à caractère sexuels. N’importe quelle personne peut alors
prendre une photo sur les réseaux sociaux et la meCre sur un site pornographique grâce aux
ou3ls qui sont de plus en plus accessibles. La chercheuse Laurence Allard évoque aussi le fait
que les sites d’intelligence ar3ficielle s’offrent à la foule afin qu’elles puissent évoluer.
Évidemment que si on laisse une IA possible de faire n’importe quoi entre les mains de
personnes mal inten3onnées, ils ne vont pas se restreindre. 99% de ces deep fakes
représentent des femmes selon l’ar3cle 20 Minutes. Les informa3ons fallacieuses ne servent
donc pas seulement à diviser la popula3on et peut avoir simplement un but malsain, pour faire
rire.
Les médias et journaux peuvent aussi être compromis. Les fausses informa3ons peuvent servir
à les décrédibiliser les médias. La confiance va être rompue avec les médias et journaux en
ligne par peur de se retrouver face à des fake news sans le savoir. Ils vont donc avoir moins de
lecteurs et perdre leur influence et de l’argent pour se développer. Mais la fin de la
souveraineté des médias en ligne ne serait-il pas favorable à la réduc3on des contenus
fallacieux sur internet ? de plus certaines journalistes, elles-aussi ont vu la diffusion d’image
pornographiques qu’elles n’ont jamais prises sur être relayées. On peut prendre l’exemple de
Salomé Saqué qui a été vic3me a deux reprises de deep fakes pornographiques. Moins de
personnes voudront alors faire ce mé3er.

Pour conclure, les contenus fallacieux sur internet ne sont pas près de s’arrêter
maintenant et sont en perpétuelles évolu3ons. Donc le seul moyen d’y faire face c’est de luCer
contre en instruisant les sociétés et les enfants dès leur plus jeune âge. De nos jours,
l’éduca3on aux médias est alors très importante. Aussi, des organisa3ons de contrôles se sont
mises en place tel que l’HFP appelés les facts-checking. Ces réseaux opèrent sur les réseaux
sociaux et les plateformes numérique. Néanmoins, il ne faut pas oublier que le paysage
média3que se développe posi3vement et un arrêt complet de ceCe évolu3on ne pourrait que
nuire à la popula3on. Les mesures prises par la jus3ce sont toujours plus fermes et on sent
que les gouvernements sont concernés par ceCe menace. Les réseaux sociaux font en sorte

10
Intelligence ar2ficielle : Nouveau porno aux allures sexiste, les deepfakes sont-ils le mâle du siécle ? par Léna Fourneau le
24 décembre 2023
de diminuer les risques même si cela devient très compliqué et les méthodes plus sub3les. Je
pense que ce qui reste dangereux est le partage de fausses informa3ons. Sur WhatsApp, cela
va être plus difficile a réguler le partage car dès qu’une informa3on passe par le réseau sociale
il devient difficile de s’en débarrasser sans aCeindre à la vie privée des u3lisateurs.
L’informa3on et la sensibilisa3on va être plus compliqué dans les pays en voie de
développement ou non développer car l’accès à l’éduca3on est déjà un grand problème.
BIBLIOGRAPHIE ET SOURCES

• Serge Ratsimbazafy – 21/12/2023 – Journal du net


hCps://www.journaldunet.com/publishers/1527179-comment-la-desinforma3on-en-
ligne-menace-t-il-notre-societe/

• Adrien Sénécat – 9/03/2017 – Le Monde


hCps://www.lemonde.fr/les-decodeurs/ar3cle/2017/03/09/comment-3-fausses-
informa3ons-recentes-ont-faconne-l-opinion_5091843_4355770.html

• Catherine Beauvais – 4/03/2022 – Na3onal Library of Medicine


hCps://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/ar3cles/PMC9548403/

• Laurène Fer3n – 19/06/2023 - Actu


hCps://actu.fr/societe/google-tripadvisor-que-risque-t-on-a-publier-de-faux-avis-en-
ligne_59732017.html

• Emmanuel BerreCa – 23/07/2019 – Le Point


hCps://www.lepoint.fr/poli3que/emmanuel-berreCa/boris-johnson-enfant-des-fake-
news-an3-europeennes-23-07-2019-2326328_1897.php#11

• Philippe Testard-Vaillant et Charline Zeitoun — 22/06/2022 — CNRS Le Journal


hCps://lejournal.cnrs.fr/ar3cles/internet-lautoroute-de-la-desinforma3on

• 13/02/2020 – Washington Post


hCps://www.youtube.com/watch?v=F5vzKs4z1dc

• Raphaël Balenieri – 23/09/2021 – Les Échos


hCps://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/les-infox-sur-le-covid-19-et-les-
vaccins-pullulent-sur-3ktok-selon-une-etude-1348723

• Marie Turcan – 19/02/2020 - Numérama


hCps://www.numerama.com/poli3que/606706-une-video-deepfake-poli3que-peut-
elle-etre-vraiment-etre-posi3ve.html

• Gérald Holubowicz – 16/11/2020 – La Revue des Média (INA)


hCps://larevuedesmedias.ina.fr/les-deepfakes-sont-ils-une-arme-dillusion-massive

• Lina Fourneau – 24/12/2023 – 20 minutes


hCps://www.20minutes.fr/high-tech/by-the-web/4067774-20231224-intelligence-
ar3ficielle-nouveau-porno-allures-sexistes-deepfakes-male-siecle

• Paul Gillet – Mille Soixante Quatre


hCps://millesoixantequatre.com/influence/la-communica3on-a-t-elle-tue-linfo/

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