Thématique 'L'individu responsable dans son environnement

00 Des mesures pour lutter contre les nuisances

sonores au niveau collectif

A partir du document H, préciser le niveau sonore continu équivalent à ne pas dépasser dans
Les lieux musicaux.
Le niveaux sonore continu à ne pas dépasser 102 dB(A)

13 Sur le document H surligner les autres mesures imposées par la réglementation pour limiter les
effets du bruit en discothèque.

• Depuis 2017, en discothèques, en concerts clos ou ouverts et festivals, la

réglementation limite le niveau sonore continu équivalent à 102 dB(A) sur 15 minutes.
Afin de tenir compte de la fragilité de l'oreille des enfants âgés de six ans et moins, ces
niveaux de pression acoustique ne doivent pas dépasser 94 dB(A) sur 15 minutes.
Les discothèques sont également tenues :
enregistrer en continu les niveaux sonores auxquels le public est exposé et conserver
ces enregistrements , afficher en continu à proximité du système de contrôle de la
sonorisation les niveaux sonores auxquels le public est exposé , informer le public sur les
risques auditifs
— de mettre à la disposition du public à titre gratuit des protections auditives individuelles
adaptées au type de public accueilli dans les lieux , — de créer des zones de repos auditif.

A partir du document l, indiquer les trois mesures concernant la réglementation en matière de

bruit pour les smartphones.
La puissance sonore maximale de sortie d'un baladeur musical ne peut ainsi excéder 100 dB(A)

Et l'utilisateur doit être informé lorsque le niveau sonore dépasse 85 dB(A).

La présence de mentions obligaauditifs éventuels, ne pas écou-toires sur les appareils

DOCLa réglementation applicable aux baladeurs MP3, tablettes, smartphones

• Les appareils (tout appareil portable — dont les baladeurs — permettant l'écoute
de sons via un dispositif d'écoute) et les dispositifs d'écoute — tels que casques ou
oreillettes — vendus seuls, doivent satisfaire aux exigences de sécurité posées par le
Code de la santé publique ou le Code des postes et communications électroniques
selon qu'il s'agit d'appareils non connectés ou d'appareils radioélectriques
(smartphones, casques Bluetooth). L...]
 • S'agissant des exigences de conception, la puissance sonore maximale de sortie d'un baladeur musical ne peut ainsi
excéder 100 dB(A) et l'utilisateur doit être informé lorsque le niveau sonore dépasse 85 dB(A).

Afin d'éviter des dommages La réglementation prévoit également la présence de mentions obligaauditifs
éventuels, ne pas écou- toires sur les appareils (et non sur les dispositifs d'écoute) : le pictogramme ter à
un niveau sonore élevé et l'avertissement ci-après doivent être apposés sur l'appareil, sur l'embalpendant
une longue durée. lage ou dans la notice d'utilisation.

Source : www.economie.gouv.fr/dgccrf/Publications/Vie-pratique/Fiches-pratiques/Baladeur-numerique

Dans le document J
16.1 Surligner la personne responsable de la lutte contre le bruit au niveau de la commune.

16.2 Entourer le moyen dont dispose cette personne pour limiter l'utilisation d'appareils susceptibles de
causer une gêne pour le voisinage du fait de leur intensité sonore.

17 : A partir du document J préciser à quoi s'exposent les personnes à l'origine de bruit.

Les personnes qui sont à l’origine de bruit s’expose a rappel a la loi mais au-delà du rappel à la loi la
verbalisation des infractions aux arrêtés municipaux est possible par une amende forfaitaire dont le
montant est défini selon les dispositions en vigueur (68€)

DOC La lutte contre les bruits de voisinage

La lutte contre les bruits de voisinage, tant au niveau
préventif que répressif, est placée sous la responsabilité du
maire. Ainsi, le maire peut
prendre en compte la problématique du bruit au niveau du
plan local d'urbanisme •
• engager des actions d'information et de
sensibilisation des citoyens.
— en leur rappelant leurs obligations réglementaires à
l'occasion de l'édition des journaux locaux, gazettes ou d'une
charte municipale de bon voisinage,
— en affichant les mesures préventives dans les locaux
communaux (salles polyvalentes, piscines, gymnases...),
prendre des arrêtés municipaux pour compléter la
réglementation préfectorale ou renforcer cette dernière par
des dispositions plus contraignantes (exemple : limiter
l'utilisation de la tondeuse à certaines heures de la semaine).
Le Code de la santé publique lui permet de sanctionner «
les bruits portant atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la
santé de l'Homme à tout moment de la journée ». Au-delà du
rappel à la loi, la verbalisation des infractions aux arrêtés
municipaux est possible par une amende forfaitaire dont le
montant est défini selon les dispositions en vigueur (68
euros) ou par l'établissement de procès-verbaux et
poursuites devant les tribunaux compétents.

Pour les utilisateurs de casquesEn concerts, en discothèques

CHAPITRE Le bruit au quotidien