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CONTROLE
DES BÉTONS
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ESSAIS ET CONTROLE
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DES BÉTONS
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Francis GORISSE
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PRËFACE
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Je connais Francis GORISSE depuis 1960.
A celle époque . la construction du L'entre J 'Essais des S tructures com-
mençai/ ci peine et j'allais été chargé. t'n tant que rep r ésentant du maitre
alg
d'ouvrage , d 'assurer sur ce chantier Je contrôle des b étons e l de leur mise
en œuvre : un petit laboratoire d 'essais Jut créé el GOR ISSE }' f ut affecté ;
il S'l'SI ainsi t{oulIé immédiatement devan t les ras de sable et de gra vier au
pied de la b étonni ère. Celle fo rmation pratique. il fa compléta ensuite par
des h uJes approfondies et acquit ainsi les connaissances techniques el 'scien-
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tifiques qui lui permirent de m 'apporter une collaborat ion eJficau! pour Je
dé veloppement et la gestion du laboratoire des béions au Centre d'Essais des
St ructures. J 'ai. ci celte occasion , appr écié Sf!S qualités . au/am humaines que
prof essionnelles el j e l'ai associ é, à part l'm itre, aux études de recherches (>1
essais qui m 'om été confiés dis 1963 : à ces occasions. nous avonJ" conj oin-
tement pr ésent é et publié un bon nombre de r ésuttats et de conclusions.
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La litt éra t ure sur le beton l'SI abondante mou cepenaam nous a'lliotlS
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remarqué l'un el l'autre , un créneau qui m éritait d ' être comhlé : un manuel
de caract ère pratique à l'usage des techniciens charg és sp écialement du
contrôle des bitons .
Un tel ouvrage n 'est pas si simple à conce voir que cela peut le paraùre ,
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VII1 E... i. e t cont r61e d e . b 4lton.
béton , en reconna ître les qualités et les déf auts étre capable d 'en prboir les
co w es el les risques et en analyser les f acteurs .. ce n 'est qu 'à cen e condition
qu ';1 peut remplir efficacement 50 m iss ion pr éventive qui est l'essentiel
e.c
de son rôle de contr ôleur, telle est, en tou/ cas , notre conviction . M ais ouen·
lion .1 Celui q ui prend la plume risque alors d 'écrire Wl .. trait é » sur le béton
qui, par wn volume el son scientism e, découragera vÎle le technicien soucieux
d 'acquérir tes simples notions n écessaires.
Fra ncis GoRlSSf a tenté d 'écrire ce li vre et il nous semble qu 'il a aneim
eri
pleinement sun objectif C'est un MANL'EL dam lequel sont ex posées les notions
essent iel/es de l'art du b éton .. c 'est un GUIDE car , avec ce livre en main , le
contrôleur débulanl sera guidé dam le labyrinthe des Normes , CPC. C PS,
DTU, règlements divers , recommandations du CEB,.. c'est awsi Wl guilk
p our les pr évisions concernant l'ins talla /ion d 'un laboratoire selon son im-
alg
portance : il en l'SI pr évu cinq catégories au chapitre 7 .. c 'est un RFPEJtTOlRE
car on y trouve, bien classés el répertoriés, tous les tests el essais qu·un
contrôleur p eut avoir à réaliser selon les cas les p llLS divers .. on y trouve
égaiement les co rrespondances avec certains U SfJ et rigles praliquis li
l'étranger .. c 'est enfin un MÉMENTO car il est écrit dans lin styte concis qui
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résume l'essentiel concernant chaque essai, cha que norme , chaque appareû.:
En le parcourant , j 'ai eu " occasion de me rajraîchir la mémoire daru bien
des cas et même, pourquo i ne pas le dire , d 'l' apprendre parJais quelque chose ;
j'ai plaisir à en fëticuer am icalement l'auteur,
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GOum:
InJén)eut en cbd
Allachë .li la Oireo:1iorl du C. E. 8 . T. P.
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x E••• il e t co n trOle d•• b4lton s
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c LES DlrrtRENTS T· · ES D' ESSAiS .
PITIE l -
1. ESSAIS DE RECHERCH E (NF P 18 403)
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2. ESSA I S trércoe.
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DE CON VENANCE ET DE CON TROLE "
t NF P I8 4041 _ . 19
•, . 1. 1"U4:O_ . .
""""uulllons . _ .
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execunon
- , O<:CM' US d'execun
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l "ESSA IS D'/NfORM ATlOi" ( NF P 18405) ,., . 22
3. I. DCfinition ._ 22
J .2. Processus d'exècuuon
J.J. Au tres mo}cns d ïn \'('stigation
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4 REL4 T10S ENTRE ESSAI S nt: CO.\TROLE ET ESS.ftS D "/N·
FORAf AT10 N , _.. ,', ", .
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nia bil.tt au mamabthmètrt' a u LC P.C. - 11 .3. D oers apparrill
3.Z. Contrôle intt,rt de la consista nce . . . . • . • . . • . . . • . • . . . . . . • • • • . 62
l Z.1. L'ampèremèt re - 3.2.2. le waum ètre enregisueur -
3 2.3. le servo-ouvrab-bm être du C.E.B.T.P. - 3.2.4. Sondes •
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rèsuuvuè - ] .2 S. Automa usa ricn su r l'incorporation de l'eau
4. A,\"A L YSES DE BlTO FRAIS . . . 63
5. r O L'RCE HGE D ·.4.IR OCCLl/S 64
5.1 . Mesure de l'ait cccfus . • _. . . . . .. .. . . . . . . . . . . . . . . .... .. . . . . . M
6. TRA,\"SPOR T ET MIS E EN Œ UVRE D4l'w'S LES COFFRAGES . 604
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6.1 . Transport 65
6 .2. Consens pratiqUCl pour la mise en p lace dan s les coffrages ètanc ès . 66
7. MES llRE DE L 'Ér in DE s ÉGRtG..nION . 68
8. VÉ RIFICATlOl'I DES ARMATURES . .. .. . . . . . .. .. . . . . . . .. .. . . 70
CHAPJTllI: 6. -
Dl 'RCI alg
CO~TRO l[ ET [SSAIS CO :"'CERNAl'Ioi LE BU O S
72
2. RÉSISTA.\·CE A LA COM PRESSION PAR R UPTUR E D ·ÉPRO U.
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VETTES. D(.!RCISSE MEN T . . ..... . .. .....•. ...•.. ... . . ..... . 73
2.1. Les éprOUU:tles .. .. .• .... .... .. ........•. ... ... . .. ... .... . 75
2.1.1. Contrôle da pm beton• . . . . . . .
Z,Z , Nerure des mo ules employis . . . . . . . .. . ~
2.2.1. Moules en carton - 2.2.2. M oules en acier - 2.2.3. Mo ules
en matière plast ique
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XIII
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2. L ·t Q i// PE,\lES T •. •. . .. ... ... . . .. . . . . •• . .. . . .. . .. •..... . . . .. 152
:2.J . Leste de matériel 11 ilCquèrir 5ui\"lI..Dl la categorie de labora toires . III
21.1 . tquipemetH gméul - 2.1-2 Grnulau - 2.1 l e nnent -
~. I .4 Belon fra l5 - 2. 1.5 Bt10 n durci
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( O.P.E.) . . . . .. .. . . . . . . . . .•.. ..•. . .. ,., .
I.U CO M MANDE . '"
2, C EN TR ALES DE MA U X .-4 GE ET CEN TR AL ES DE DOSAGE . '"
158 ....-
3. CONS/ S TM'KE A L 'ARRJ J-'t E .4U CH ANTIC R .. ' 19
4 , ESS .4 /S DE C0111"TROLE OU ESSA / S D 'Ulif'O R MATlO,\ ' .
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6. HOMO LO G A TION A LA MA RQUE "" .F. . '6'
6.1 . A UlI C5 l&Itmcn l5
7. REVIS IO N DE LA .'\I0 R .'-IE.
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XIV Es .ai. e t cont rÔle d es betons
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2.3, Regles de calcul D ,T ,U . " _ ___ 183
J . Exécution des o uvrages d ' art ,, ,,, ,,... .. .. ... .. ... .. . 183
3.1. Documents gén éra ux , ,', , ". " . . . .. . . . .. 183
J .l .C.P.C. _ _ " 184
3.J. Ci rculaires ministérielles. . . . . . . . . .. . _ _ . _. . . . 184
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3.4. Circula ires d ' agremen t 185
4. Regles publi ées par l' Un ion Na tio na le de la Maço nne rie . . . . . . . . 185
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1. Ciment _ , .. , . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . 187
2. Gra nu lats . . . . . . . . , , . _. _.. _. _.. . . _. . . . . . . . .. . . . .. . . . . . . . . 188
3. Béto n .. _. , , ,,, ,,,,.... . . _, _. _. . _. .. . . . 189
4. Co rrespo nda nce en tre normes Fra nçaise s et èrrangè res .. .. . , 190
A !'l~EX[ C. -
alg
ORGANlSJ\-ff.S ET CENTRf.S D' ESSA IS
l . Orga nismes intern a tiona ux
2. Orga nism es nationa ux .. , , ,, ,,,...
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194
195
J . Centres d'usa is . . , , _, . , ,., , 196
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RÉFtRE\I>CES BIBLlOORAP HIQUES , . . , .. .
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UNITI:S EMPLOYI:ES
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Pour le béton, on avait l'ha bitude d'utiliser :
- le kilogra mme ou la tonne pour les forces,
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- le kgf/cm' pour les contraintes.
Le: Système International d'unités (S. I.) prévoit maintenant l'utili-
sation :
- du Newton (N) comme unit è de force.
- du Pascal (Pa) comme unité de pression ou de contrain te confor-
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mément au Fascicule de documentation NF X02.004.
Forces :
Pour les forces. on utilise le plus souvent le kilon ewton (KN) qui
correspond. à 2 % près, il 100 kgf ou 0. 1 to nne :
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[i KN 0,102 tonne 1
Contraintes :
Pou r les cont ra intes, on ut ilise maintenant, de plus en plus, un mul -
tiple du Pascal le m èga pascal (M Pa) qui correspond â 10 bars :
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[ 1 MP. ~ JO bars 1
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Pour des ra iso ns de facilité de repérage pour le lecteur. nous avons parfois
utilisé des unités et des notations d ifférentes. C'est ains i que volontairement,
nous avons ga rdé les un ités et les notations exprimées dans certaines règles
ou normes.
D'une façon générale, dans cet o uvrage, les contraintes sont le plus
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CHA PI TRE PREM IER
GÉNÉRALITÉS
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1. LE CONTRÔLE BIEN COMPRIS
Malgré la rich esse du voca bulaire français, il semble qu'un mot nous
fasse défaut et pas seulement dans notre profe ssion d 'ailleu rs ; il devrait
défi nir l'action de rechercher consta mment un niveau de qualité p lus élevé
ou tout au moin s satisfa isant.
En poursuivant le raisonnement, on est cond uit assez ra pidement à
une noti on d'auto-co ntrôle dans l'Ent reprise et plus généra lement à une
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• buis et contr61e d •• bitons
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matin. grâce à des résistances électriques noyées. C'N tres bien. Mais im-
~r coûte que coû te ce déla i. même en hiver sans aucun con trôle du
béton el du fonctionne men t des résistances chauffantes est t rès dan gereux
et ne va pas dans le sens d u progrès.
e.c
Nous ne prétendons pa s apporter de réponse toute simple et toute
faite. Nous désiro ns a pporter notre co ncours pour faire connaître les mo-
dahtès, les documents et les processus de contrôle courant en mati ère de
béton .
les documents officiels ou non sont souvent nom breux et volum ineux.
Le souci de preci sion et de ne rien oublier en constitue la première raison.
eri
Vouloir tout meu re dans les textes conduirai t à des documents qui ne
seraient compu lsés que superficiellement par les personn es cha rgées de les
appliquer ou de les faire a pp liquer.
Ne vaudrait-il pas mieux se co ntenter de prescriptions élémentaires
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plus strictes et de les respecter:'
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5 . UN CONTROLE MINIMUM ES T INDISPENSABLE
Le béton a été un mat eriau très employé dans la giga ntesq ue opération
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de reconstruction de type <l concentrée .. q ui a suivi les guerres dévasta-
trices. Aussi lui attribue-t-on facilement aujourd'hui tous les désordres
de notre société.
Il est un peu sim pliste. pour ne pas dire na ïf, de d ire que la pierre est
plus belle qu e le béton . Qui ne so uhaite depuis toujours de réaliser I'habi-
talion de ses rêves en pierre ? Le débat se pose-toi! en termes de cho ix entre
eri
le bé ton et d 'a utres mat ériaux? A H m les moyens fina nciers de choisir?
Pourrait-on a ujourd' hui, réaliser tous les ouvrages, y compris les
logeme nts, en excluant le béton '?
On pourrait déjà se poser la question de sa voir si le béton est un mar é-
alg
riau laid [2 J. Nous ne le pensons pas, à condition ...
A condition de le consid érer com me un matériau de construction
à part entière, de lui consacrer un minimum d 'attention et de soins a u
niveau de l'arch itect ure comme de la r èahsation, le béton est un matéria u
qui doit reten ir et qui retient d'ailleurs toute l'attention des const ructeurs,
.gc
étant donné par ailleurs son prix de revien t très compétitif. Il offre égale-
ment des po ssibilités tec hniques très larges.
M ais il ne donnera entière sa tisfac tion que da ns la mesure où il sera
un matériau sûr à tous po ints de vue.
Le contrôle fait partie des moyens indispensables à mettre en œuvre
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po ur obtenir des résultats sa tisfa isa nts et en premier lieu pour l'esthét ique.
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CH A PIT RE 6
-
ET ESSAIS
CONTROLE
CONCERNANT LE BI:TON DURCIalg
.gc
t , LES PRINCIPALES ausures RECHERCHiES
POUR LE BirON DURCI
revien t que pour des raisons prat iq ues diverses. on lui dema ndera surtout :
D'au tres quali rês seraient. bien entend u. très appr ècièes, mais étant
s:/
donne qu'elles ne peu vent être accrues très sensib lement. nous nous limito ns
volo ntairement au x qual ités énoncées.
Mais c'est j ustement parce qu'il est résistant li la co mpression et peu résis-
tant à la tract ion que le béton armé et le bét on précontraint ont vu le jou r.
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/
Contr61e e t essais c oncernant le b'to n dur ci 73
om
2. RislSTANCE A LA COMPRESSION
PAR RUPTURE D 'iPROUVETTES (NF P 18 406)
DURCISSEMENT
e.c
Dans r~ l a t actuel des co nna issa nces ct de la technologie en ma tière
de m éthodes d'essais di verses el malgr é l'int érêt croi ssa nt pour certai nes
méthodes modern es. l'essai d'écraseme nt de meure necessa ire.
Q ua nd il est réal isé conscie ncieuse me nt. cel essa i do nne des résultats
trés significa tifs de la qualité d u b éton en gén éral. Mais il ne Iaut pas lui
acco rder trop de sig nifi ca tio n physique en pensa nt nota m ment que l'on
eri
o btie nt lu r ésista nce à la co mpressio n. No us sa vo ns en effet. que les r èsul-
la ts o btenus va rient sensiblement en fo nctio n des modes de pr éparation
et de sollicita tio n des ép ro uvettes, C'est pour celte ra ison q ue no us pr êfèrons
pa rfois dénommer ce test : « essai d'écraseme nt 'J.
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d ~ i 3SO l I: de- Cimtnl par m ètre c ube,
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74 Ess ai s et ccntr ëte des béton s
om
En effet. à une époque où les délais d'e xécution sont de plus en plus
courts, avec les techniques de durcissement accèlèr è o btenu par étuvage
ou par ut ilisation de ciment « nerveux » et d'accèl èrateu rs, les bétons sont
sollicités très jeunes.
Les essais sur béto ns très jeunes y co mpris les essais accélérés, permet-
e.c
tent pa r ailleurs d'intervenir rapidement sur les constituants el les dosages
pour des corrections éventuelles.
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la règle énon
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7' Es sa is . 1 contrô le d e s bétons
om
à réaliser des êpro uveu es trop lo urdes cl de mandant un mat ériel d'essai
puissant, soit réd uire le béton pour le contrôle, par élimina tion des gros
â
cailloux.
La r ègle bien co nnue des ( 1 4 D passoire Il. qui correspond à « S D ta mis »,
signifie que la plus petite dimensi on de l'éprouvette doit être supérieure
e.c
ou égale à qua tre fois la dimen sion du plus gros gra nulat Simple à retenir
et à utiliser. cette régie linéa ire ne sem ble pas j usufiée.
L'effet de paroi dimin ue ra pideme nt q uand la d ime nsion des moules
à béton augmente. La formu le. qui sem ble donner sa tisfact ion pour les
cylindres de 16 cm de dia mètre el les granulats coura nts.. est peut être un
eri
peu tro p la rge dan s le cas des pet its moules. ma is est vraisemblableme nt
trop restrictive pour le contrôle des gros béto ns.
On sait que les cylindres de 25 cm de diam ètre constituent les èprou-
venes les plus grosses susceptibles d'être manipulées par une o u deux per-
alg
sonnes et essayées da ns des presses co ura ntes. En conséquence, da ns le
cas des bétons pour lesq uels 0 est superieur à 50 mm (cas fréquent des
barrages ou o uvrages à la mer).. il serai t nécessaire. ou bien de di sposer
d'engins de manu tention des èpro uvenes et de presses énormes. ou bien
de r éduire le béton.
.gc
Ce lte dernière possib ilite. parfois uti lisée, do it ce pend ant être évitée
pour des questi ons de représentativité,
No us sugg érons donc, :i part ir de nos ré.. ult nr c d'e ai .... Fadopnon
d'u ne r ègle non linéaire de la form e J.:. ;. D-(pcm'':l re :'5 ;. '0 1.
Ccci sera it plus réaliste et permettrait le cont rôle des gros bétons
ww
sur béton entier avec des éprouvettes de dimension raisonna ble. par exem-
pie. cylind re el 2S cm pour 0 = 100 (el même 125) mm,
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SABLES GRAVltLBU CAillOUX
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II DEltONS
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Contrôle e t e s. ... , concer ne nt le béton durci n
om
L'étude en cours porte sur des bétons réd uits ou non jusqu'à
D "" 125 mm (fig. 36) avec des epro uvettes cylind riques de JI à 40 cm de
diamètre et d'élancement habituel de 2 [fig, 37).
So us réserve de confi rmation de r ésultats par des essais en cours.
la fi gure 38 indique la variation de r èsistanœ à l'écrasement des diffèrents
e.c
cylindres pour le béton entier D = 125 mm d'une part ct pour le béton
réduit da ns chaq ue cas suivant la règle des « 5 D ta mis )) d'autre part. Le
dosage en ciment est de 300 kgjm J el la co nsista nce plastique.
eri
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FIG. 37. - l es d lfftrc-n les e procv eue, cyl i n driq l.le~ co nfectio nnèes
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Conu6 1e e t e••a i. conc arnant la bé t o n dur c i 79
om
Le problème des mesures d'affai ssement avec le cône normal
10 x 20 x 30 cm se pose égal ement et c'est pour cette raison qu'est menée
pa rallèlement une etude sur la mesure de la consistance. notamment à
l'aide de cônes de differe ntes dimensions (fig. 39).
Pour un béton D = 25 mm d osé à 300 kg de ciment, on obtient des
e.c
affaissements. bien entendu différents en fonct ion de la ha uteur des
cônes (fig . 40).
eri
T rois mat ériaux sont utilisés actuellement. Il s'agit :
- du carton.
- de l'acier,
-
alg
de la mati ère plastiqu e (fig. 4 1).
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de l'éprouvette. Trois à six contre-moules suffis ent dans la plupart des cas.
Bien ente ndu, les mo ules ne so nt util isa bles qu'une seule foi s.
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80 Es s a is et cont rôle d es belo ns
om
2. 2.3. Moules en matière plastiq ue
e.c
Les avantages de: ces moules sont :
- la rapidité de démoulage.
- k: poids faible par ra pport au métal.
- le nettoyage faci lité (le passage d'u n chiffon gras dans le moule
suffi t].
eri
l 'inconvéni ent majeur est celui du prix qui est de L5 fois environ
ce lui d'un moule métallique.
L'opération de démoulage à l'air est repr èsenrèe sur la fi gure 42.
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ContrOle et essa is c o nce r na n t le bèton durc i 8'
om
Nous avons vu au chapit re 3 q u'il était nécessaire de réaliser les essais
dans des conditions optimales et rep roductibles, étant donné le peti t vo-
lume en jeu. A cet effet, la mise en œuvre dan s les épro uvettes par vibra tion
à l'aiguille nous parait satisfaisante.
En suivant no rmalement les prescriptions données da ns les abaq ues
e.c
de la norme NF P 18 422, on est assure de minimiser les dispersions dues
à la co nfection (fig. 43, 44 et 45).
Les valeurs de slu mp-test indiqu ées en abscisse sur les abaques de
la norme en révision sont portées à 12 cm au lieu de 9 cm act uellement.
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84 ESllai s et c o ntr&le d •• bétons
om
N éanmoi ns, dans le cad re de la r évision de la norme d'essais J'inf or.
marion. il est pr évu da ns certai ns cas. la possib ilit é de réaliser un serrage
différe nt de celui de la norme.
e.c
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FIG. 46 - Vibra. lio n d'un c)h nd re de 16
vibration variables et des d éfa uts d'h èt èrog énéit è provoques par l'aiguille.
D'a près quelques essais réalisés au C.E .S~ il ne sem ble pas que la dis-
persion sur les resistances soit moins importa nte avec la micro-table
par ra pport â l'aiguille, au contraire.
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Cont rÔle e t e s sais concernant le bêt o n durci 85
om
qu'il ne pourrait paraître. En particulier, si l'ut ilisation de la règle d'a ra-
sement est mentio nnée dans les prescriptions des no rmes P 18422 et 423,
c'est pour éviter que la fi nitio n soit exécutée avec des coups de truelle à
pl at qui provoquent une segregation en tête d 'éprouvett e.
Les résistances. en sont nettement affectées. On respectera donc la
e.c
norme en utilisant la régie biseautée (fi g. 47).
eri
alg
•
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2.4. Consen ation (NF P 18 404 et 405 ; voir aussi cha pitre 3)
Après arasement correct de la face supe rieure des éprouvet tes. une
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88 Es s a is e t con t r61e d e s b itonl
om
2.4.1 . Démoulage et t ransport
Il Ya lieu. bien e ntendu. de ne pas tra nsporter les êpro uveu es de béton
frais. Suivant la rapidité de durcissement du bèton en fonction de la nature
d u ciment. du d osage. de la température a m biante..~ le démoulage et Je
e.c
transport pourront être effectués pl us ou moins rapidement. Le délai est
compris entre 24 et 48 heu res après le bétonnage. Le demoulage d'un bèton
ayant insuffisamment d urci a pour conséquence de pro voquer des èpau-
Irures qui sont préjudiciables à une détermination correcte de la résista nce.
Le compte re ndu d'essai doit comporter le maximum de re nseigne ments
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sur la confect ion [date, vibration ). le démoulage el surt out la conserva tion
des éprouvettes. en particulier da ns les premières 48 heures.
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92 Essa is et c ontr61e d e s b6tons
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2. 7.1. l:volut ion des d ispos it ifs de m ise en c ha rg e
Les techniques d'asservissement èlectro-bydrauliques sc sont beau-
coup développées ces de rnières années pour les presses de la borat oire.
le principe: de cette technique repose sur un organe essentiel appelé
e.c
serve-valve qui délivre un dé bit d'huile proport ionnel à un micro-courant
(q uelques millia mpères pour le débit nominal).
La programmation en fonction du temps peut s'opérer sur les fo rces
ou sur les di/ormations.
Bien des essais sont actu ellement en co urs pour explorer au maximum
les possibilit és d 'essais pa r le ( pilota ge » suiva nt les d éfor ma tions de
eri
l'èpro uvene essayée. Po ur ~ fa ire. l'exte nsom ètre peur eue d isposé sur
l'epro uvette o u entre platea ux ; les de ux solut ions prese ntent des a va n-
tages et des inconvénie nts.
alg
2.7. 2. Aspe ct d es é p ro uvettes a p rès ru pt u re
Avec' le produit de su rfaçage indiq ue plus hau t, la forme ha bit uelle
de rupture est en lt d ia bolo » [fig. 55 ~ M a is avec d'a utres produ its de sur-
Iacage o u nec' interposition de ca rton o u to ut autre matériau, la fo rme
de ru pture n'est plus la même et des d ifféren ces de résistance sont al ors
.gc
constatées. C'est a insi qu'nec deux types de su rfacage o n o btient des
rupt ures différentes com me ind iqué sur la figure 56.
Il Ya do nc int èrèt à ne pas cha nger ino pinéme nt te prod uit de surfuca ge.
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ContrOle et e..a i. con c ernent le b éton durc i 93
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Là encore des dispositifs nouveaux pourraient être employés. Des
études el essa is so nt en cours à ce sujet Il s'agirait de plateaux dont la
surface de co ntact serait co nstituée d'u ne sorte de peig ne. L'effet de frett age
entre l'éprou vette et le platea u serait ainsi pratiquement éliminé ; le sur-
e.c
fa çage pourrai t être supprimé.
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FIG. ~6 - Fc rœes <k ru pture o bten ues avec du so urn d a ns un cas
C1 lin p1a'llle5 d e néo prè ne da ns l'autre.
l " rk'l1.anccs «I n' dlfréren'"_
Sauf dan s les cas part iculiers où des essais directs permettent d' établir
des facte urs de co nversion. on utili sera ceux proposés par le Sous/Com ite
ISOr r C/71SC I. Le cube de 1S et le cylindre de 15 sont pris comme èprc u-
veues de r éférence.
A. Cubes de diffh enlt!'S dimensions
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(TuNI S = a~II~ " Ua hleau XX V)
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Le cube de 14 un tisè en France est assimilé au cube de 15.
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en supposant une sorte de pla stificat ion en tract ion préc édant la rup-
lure » jfig . 59).
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Contr61e e t eua is çonce r na n t le b'ton du rc i
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M a is cette va leur expéri menta le 0,6 qui est pe ut- être va lable en mo yenne
pour les prismes 7 x 7 x 28, ne l'est plus pour d'a utres sections. De p lus.
dans une même section. le c hange ment de dimen sio n d e gra nu la t fe rait
varier ce coeffici ent.
P ar ailleurs, pour les prismes de trop petite secti o n. le com pactage du
e.c
béto n engendre une ségréga tio n et un ressuage impor ta nts. nota mment
lors du lissage. a
eri
D it « Essa i Brésilien » qua nd il est réalisé sur cylin d re, cet essai con-
siste à romp re le cylindre entre les deux platea ux d 'une prelise de comp res-
sion suivant deux gé né ratrices opposées. Da ns certains pays. le fendage
est effectué sur cube éga lement.
alg
l e contact des p latea ux avec le cylindre est réalisé par l'intermédia ire
d e réglettes de contre-plaq ué de 5 mm d'épaisseu r ; leu r largeu r est du
1/10 d u d iamèt re d u cylindre, Un cent rage parfait est nécessaire,
D'u ne fa çon générale. les moules carto n ne per mettent pas le mo u-
lage d'éprouvettes pour les essais de fe nd age en raison des sp ires du carton
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qui laissen t d es inéga lités le long d es géné ratrices.
La rési sta nce à la tracti o n est d onnée par la for mu le :
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Contr61 e et e sseis conce rna nt le béto n durci '03
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a vec P poids d'eau absorbee.
S surface sciée de l'éprouvette en contact avec l'eau.
e.c
très fin ; 3,76 : sable grossier). L'eau tota le d u béton a varié de 195 à 220 11m 3 •
On re marque un mi nimum d'absorption pour le béton confect ionné a vec
un sable moyen (MF = 2,56).
Confo rmé ment à ce que nous avons énoncé au chapitre 4. la granu-
larit é du sable est primordiale pour les qualités du béton en g èn èral.
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des sables d e granularltê di fférente.
débit V(débit à travers une surface égale à l' unité) d'un ma téria u est carac-
térisée par la relation de Darcy
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FIG. 65. - Pe rm èabt hrè 'o u, 15 el 20 bars de kéro, ene peur des bétons
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Contrôle e t essaill conce r na nt le béton dur c i '07
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Le retrait et le gonflement hydrauliques sont essentiellement foncti on
de l'humidité relative de l'ambian ce dan s laquelle se trouve le béton. Les
fissures de retrait sont accentuées dans une ambiance de conservation
sèche.
e.c
5.1 . Mesure
eri
to utes dimensions o u sur partie d 'ouvrage directemen t. D a ns le cas d'éprou-
venes. il y a lieu de respecter la meilleure représentativité possible en
réalisant des éprouvettes de dimensions suffisantes.
Pour les ét udes co mparatives en laboratoire, on a souvent recours
à alg
aux prismes 7 x 7 x 28 cm pour lesq uels il existe des r ètr acto m ètres vendus
cet e ffet.
De to utes manières, les mesures et l'exp loita tion des résultats sont
l'affaire de personnes compétentes disposant d'un laboratoire équipé.
Comme pour le ciment, les essais sur béton sont réalisés dans l'air
à 500 C pou r le retrait et dan s l'eau à 20 0 C pour le gonflement.
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f IG. 67. ~ Évolution du retra it en fonc tion des dimensions des pièces 11 8 ].
Les dimensions de la stru ct ure (ou de l'éprou vett e) influent très nene-
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ment sur la valeur d u retrait puisque, en passant d'un prisme 100 x 100
x 400 cm à un prisme 7 x 7 x 28 cm, le retrait axial à 2 000 jours passe
de 150 à 420 Il/ m (fig. 67). Par ailleurs, le retrait axial a une évolution très
différente du ret rait mesuré en surface pour les pièces massives [1 8].
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ContrÔl e e t essa i. conce r na nt le bét on durc i 109
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Une recommandation de la Rl l EM (Rl l EM/CDC 1/1977f a èt è
rèdigèe. EII~ concerne les methodes d'essais de gd/dégel sans d ègivra nts
chimiq ues.
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Contr61e et essais conce rna nt le béton durc i ",
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pressio n. Pou r le béton de granulat leger de st ruct ure, il est de moitié environ
par ra pport à celui du béton traditionnel :
E ~I'" :::!! 0.5 E t raditionnel de même résistance à la compression.
En l'a bsence de détermination expérime ntale, des formules relient
e.c
le mod ule statiq ue instantané à la résistance (tablea u XXX).
Au rega rd des valeurs obtenues dans le ta bleau XXx. il apparaît
une surest imation du mod ule obtenu par la formule du CC BA 68 <D.
A partir de nomb reux résultats, nous avons pu éta blir une relation
qui semble beaucoup mieux adaptée (6).
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Da ns le cas d'une co nservation plut ôt seche, le module est sensible-
ment moindre Ebt«: = Ebhum - 30 OCIO environ.
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relat ion .
Nous avons mis en formule l'expression de E pour des vale urs de
D différentes :
E = 50 OCIO (J 7 - 1,5 + 1,2 lcgm D) en bars.
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sur une tpro uVC llC cyll nd ri q uc.
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"6 Essa is e t cont rô le d es béto ns
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se prolonge nett ement moins qu'en co mpression à la ruptu re et la pente
change par rapport à celle de la compression.
D'après le peu d'essais réalises en la matière. il semble que le module
soit plus faible d'environ 20 % : E. = 0,80 Ec [19).
e.c
8.3. Coefficient de Poisson
Il exprime le rapport de la d éformation relative transversale à la
déformation relative longitudinale :
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v = - .
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La mesure est souvent réalisée sur les faces d'un cube de 20 cm d'arête
en d isposant des extensomètres suivant deux directions perpendiculaires
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(suivant l'axe de chargement pour la première et l'axe perpendicu laire
à celui-ci pour la deuxième direction).
Le coefficient de Poisson 'tarie scion la qualit é du béton el il esr in-
âuencè par l'humidité du béton. Sa valeur est souvent comprise entre 0.15
et 0,22.
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La fig ure 74 représente. en foncti on de la cont rainte. les déformations
lon gitudinales et transversales relevées sur un cube de 20 cm d'ar ête.
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FIG . 74. - Dètermina rion du coefficient de Poisson )la li'l lic.
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Co ntrôle et essaÎs co ncernant le bét o n dur ci '17
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9 . ESSAIS DIVERS. FLUAGE
Le béto n durci peut fai re l'objet d'autres essais comme la d uretè(fig. 75).
l'aspect (bullage et tein te), le fl uage, l'isolation thermique... Pou r to us ces
essa is il y a lieu de prendre contact avec un labora toire spèciahsé.
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FIG. 75. - Machine d'usure (d oc. C.E.B.T .P.).
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"8 Es sais e t con t rô le de. bétons
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En ce qui co ncerne: le nuage par exemple. le C.E.B.T. P. est éq uipé
pour effectuer des mesures sur tous les types de béton : léger. traditionnel
ou lourd el sur toutes d imensions d'éprcuvenes ou de pa rt ie de struct ure.
Les essais sont réalisés dans des bât is à remise en charge rna -
nuelle (fig.. 76) ou à mainteneur de cha rge (fig, 77~ Il est possible également
e.c
d'utiliser d'autres moyens de chargement comme la précontrainte par
câble. Suivant les différents cas, la contrai nte a ppliq uée au béton peu t
aller jusqu'à 30 MPa (300 bars) ou plus si n écessaire.
Les mesures de déformat ion sont effectuées â raide d'ex tenso mètres
ou de capteurs divers, pourvu qu'il soit possible d'obtenir une precision
eri
de l' ordre de 5.10 - 6 env iron (5 microns par m ètre),
l 'appareil représenté sur la fig ure 78 est un des extensom èt res les
plus utilisés a u C. E.B.T.P. a près les jauges élect riques. Il per met la mesure
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120 Essai. et c o n t rôle de. b éto n.
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En vue d'effectuer des essais divers sur beton durci. le carottage par
couronne: diamantée procure un moyen int éressa nt d'investigation Mais
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Co nt rô l e et essa Is c once r n ant le bét on du r ci
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dans un sac de polyane étanche (suivre les indications de la norme
NF P 18 405) : Essais d' Information.
e.c
Les avis sont partages sur la question ce qui mon tre bien q u'il n'y a
pas de relat ion univoque ent re la rési stan ce des épro uvett es ca rottees et
celle des éprouvett es moulées.
eri
La représentativité des unes comme des aut res est rarement trés bonne.
Cependant, en laboratoire où des carottages de 10 cm de diam ètre et
20 cm de hauteur ont ete effect ués dans des poutres, les résistances conco r-
daient très bien avec celles obtenues sur des éprouvettes moulées en cy-
lindres de 11 x 22 (fig, 81 et 81 bis).
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D ans le cas d u cha ntier, l'homo généité du béto n dans l'ouvra ge est
forcément plus aléatoire que l'homogénéité des ép rouvett es.
L'hu midité des ca rottes au mom ent de l'essai a une grande importance
sur le résultat. Pour ces di fférentes raiso ns, il sera bon de suivre les prescrip-
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tions de la norme en cours de révision,
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cont r ôle et essais conce rna nt le bét o n du rc i 123
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Ceci dit, c'est un bon moyen de première détection d'une évent uelle
qualité médi ocre du béton (fig. 82). On ne peut bien entendu. juger d éf i-
nit iveme nt une partie d'ouvrage à partir des indications du sclèrom ètre.
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Pour tirer le meilleur pa rti de cet appareil, il est indispensa ble d'obser-
ver quelq ues règles d'utilisation :
- vérifier pa r étalo nnage ou faire régler l'appareil régulièreme nt (le
ressort s'affa iblit dans le temps) ;
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f Ki 83. - Scléromètretntcgl1ueurSoiNIDT.
11 .2.1 . Mesures
b) les mesures en surfa ce sont ut ilisées sur toutes les parties de struc-
ture ct les éprouvettes, mais plus particulièrement sur les dalles et éléments
en longueur. l 'émetteu r est mainte nu en un point fix e ; le capteur est
déplacé successivement à des distances marquees à l'nance ; après avoi r
relevé le temps co rres po nda nt à un point considé ré. on passe au po int
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(fig. 87 et S4 ~
Le plus souvent deux opé rateurs au moins sont nécessaires pour
réaliser les mesures.
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1 3. Eas a is e t e emr ëte des béto ns
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La co urbe de la fi gure 89 issue d'un nombre assez important de pro-
positions sera utilisée à d éfaut d'étalonnage direct.
Cepe ndant. sans craindre de nous répéter, insistons à nouveau sur
le fait que rien ne remplace un étalonnage réel préalable avec rupture
e.c
d'eprouvettes et, si possible. dans des conditions d'humidité éq uivalentes.
Les éprouvett es peuvent être carottées dans l'ouvrage.
la teneur en eau du béton durci ausculté a une influence bien marq uée
sur la vitesse du son ; l'eau remplit [es pores et co nt ribue donc à améliorer
la propagation des o ndes sonores.
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FIG. 89. - Rela tion moyenne \-;l"!>e d u 'KI n-résistance.
J'O ur des béton s de granu lah ~ il ico-ca. k3i res_
Les pieux battus ou forés, les pa ro is moulées, les puits ou les ba rrettes
enterrées, jouent un rôle primordial da ns le co mportement des st ructures
ou des o uvrages qu'ils supportent. Il est donc essentiel, en cas de doute
ou de contestation sur cha ntie r, de pouvoir s'ass urer de leur q ualité.
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132 Es sa is et ccm r ë te d e s béto ns
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tran sparence, il s'agit de déplacer l'ém ett eur et le récepteur simulta nément
dans les tubes.
U n exem ple d'auscultation est don né sur la figu re 9 1 où l'on peut voir,
sur la diagra phie. un d éfaut net ent re 10.50 m ct 11 .80 m.
B. ,\th /IOde de contrôle par vibratio ns (rn ètho de de l'impéda nce mécani q ue).
eri
Un excita teur de vibration électrodyna mique et un ca pteu r de vitesse
so nt disposés sur la tête du pieu (fi g. 92).
La mè rhode consiste à mesurer diverses ca ractéristiques méca niques
en régi me vibra toire à part ir do seul accès à la su rface supérieure du pieu.
alg
L'énergie fourni e à la tête du pieu se di rige vers la zo ne d'a ncrage située
à la base. q ui réfléchit à son to ur. une pa rt ie de l' énerge vers la tête. La
vitesse V de la tète d u pieu résulte de la com binai son d u régi me incident
et do régi me r èû échi. Elle présente des maxima et des minima très accentues
pour ce rtaines valeurs de la fréq uence"
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134 E.. a Îs e t ece t r ë te d e s bétons
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11.5. Repérage des armatures - le pachom ètre
e.c
de la disposition des armatures.
L'appareil utilise est le pachom ètre qui permet ega leme nt. sous cer-
ta ines conditions. de déterminer le diamètre des aciers et le reco uvrement.
Avec les derniers appareils propos és, on peur reperer des aciers j usqu'à
eri
une quinzaine de cent imèt res de profond eur quand les co nditions sont
favorables, Il s'agit du pro fomètre (fig. 93 ~
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(doc. PEntu ).
Pour repérer les aciers en vue d'un carott age par exemple. cela ne
presente pas de difficultés majeu res. Tandis q ue pour éta bli r un plan
complet du ferraillage d'une partie d'ouvrage, il fa ut n écessairement l'in-
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tique variable.
Les parties m étalliques se trouvant dans le rayon d 'action de ce champ
provoquent une alteration de la tension de la bobine. dépendant de l'ep ais-
seur du béto n et du diam ètre des barres metalliques.
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- traction par fendage ;
- perméabilité ;
- porosité ;
- analyse ch imique avec déterminati on du dosage en ciment.
e.c
12.2. Adhérence
Les essais d'adhérence sont effectu és sur les supports douteu x et les
résultats sont comparés à ceux obten us sur support réputé bon.
eri
Il s'agit d'un essai d'arrachement dont le matériel et le processus
sont iden tiques à ceux uti lisés pour d'aut res bétons et d'a utres supports
(béton collé, béton plaqué, carreaux collés...). La fig ure 95 représente
l'appa reil utilisé au C.E.B.T.P.
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FIG. 95. - Ap pareil pou r essa i d 'ad hérence (doc. C.E.BT P.).
man dés. Ces dernières permettent également de com pa rer les résistances
du b éton dans l'ouvrage avec celles des éprouvettes prélevées da ns les ca isses.
Une fi che type d'essais est donnée sur la figu re 96.
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/3. ESSAIS ACCELERES
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qualité des constitua nts pa r exemple, il esr trés mi le et économiq ue d'effec-
tuer des essais à brève éc héa nce, 24 heures a u plus.
Bon nombre de la bora toires ont été c ha rgés de meu re au point de tels
essais. Depuis le cycle d'autocla vage a uto matiq ue j usq u'a ux micro-èprou-
vertes, les méthodes proposées sont nom breu ses. Il s'agit en fait de dét er-
eri
miner une relation entre la r ésistance o bte nue da ns l'essai et la résistance
à 28 jours le pl us souvent.
Il n'existe a ucune m éthode qui pu isse donner une relation univoque
el im muable entre la r ésistan ce à court te rme ct la résistance â 28 jours.
La raison principa le est q ue chaq ue cime nt à une rela tion propre. foncti on
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notamment de la chaleur d'hydra tation.
La supériorité d 'une m ét ho de par rap port à une a utre réside dans la
meilleure re prod uctibilité. L'a rgume nt économiq ue ainsi que la simpli-
cit è opéra toire so nt éléments de choix égale ment.
T ou tes les méthodes sont basées sur le principe de l'accélération du
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durcissement par la c ha leur.
No us proposons ici une méthode mise au point da ns noire la boratoire
de Saint-Rémy.
A la fin du te mps req uis d'étuvage, les moules so nt retirés de l' étu ve
pour démoulage, surfaçage et essai d'écrasement dans la demi -heure.
13.2. Étalonnage
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140 Essa is e t co ntrôle d es bjtons
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Fic.. 91. - M ou l~ C) li nd riq ues 16 y .l ~ J'rolt,n par feuille
de pol)an e el plach dans l'é tuve pou r cuai accelere
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Co n t rO le e t essai' c o nc e r na n t le béton durci ,.,
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FIG. 98. - Êtalo nnage .. trois points ..
en tre la résista nce à 24 heures (es"lli ac,
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cèlèr è) el la rèsistance " 28 JOurs
(con~ rvation eau il 21)' C ).
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FIG. 99. - Rela tio n entre O";Ob et 0"2'j
po ur un cimen t donne ma l~ co ncern an t •
G~ .. GO· C X
douze pa ra m ètres : l'mfl uenœ de C<"~ 100_
pa ra mètres semble négligeable. 0 Uic 2 300
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142 Essa is e t cont r6 1e d e. bét ons
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Une relation mat hématique a été éta blie :
0' 18 = 20 ((f '.cc.) o . ~ +K.
Seul le coefficient K . néga tif dans la plupart des cas, est modifié POUT
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un étalonnage do nné.
Sur la fi gure 99 ce sont 63 couples de: valeurs qui sont portés, Plusie urs
paramètres co ncernant le mode opératoire. les granulats et principalemen t
le d osage en cime nt o nt varié da ns cet te série d'essa is.
eri
13.3. Mode opératoire (présentation simplifiée)
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a fin de guider l'opéra teur. Il y a lieu de se repo rter à la publication pour to ut
renseignement et détail complémentaires indispensables [4].
A. M ise en fo nctionnement de l'ét IH'l'
Mett re l'ét uve en marche avant la co nfection des éprouvettes pour
s'assurer de son bon fo nctionnement. Pour le contrôle des bétons. le t ber-
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mostar est positionne pour o bte nir 60" C en régime constant.
8. Confection des éprouceues
- remplir les moul es cylind riq ues (mé ta l o u can on) suivan t
N F P 18 422 o u P 18 4 23 ;
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- fermer l' étu ve (ne pas fa ire fo nction ner la ventil ation) :
- inscrire la date et l'heure de mise en ét uve el de so rtie p révue.
sur une ardoise d isposée sur la porte de l' ètuve : si celte d ernière comporte
une mi n uterie. position ne r celle-ci sur le temps c hoisi (8 à 48 h ; le temps
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cerurëre e t ess.a i. co nc e rnant le beton d urei 143
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éva luer a i s ca u à 2<r C.
2. Par la for mule a i. = 20 x 0 .6 + K :
- à pa rtir des vale urs de 20 x 0.6 données dan s le tab leau XXXII
et de la constante C. calculer als eau à 20" C. K est une valeu r négative
dans la plupart des cas : elle est déterminée pour chaque cime nt employé.
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TABLEAU XXXII - "si"" de 20 XOII pour ditfi rf'ntts u leurs H is rkistanct " 2.4 h
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TABUAU XXXIII ( suile)
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ProJu.i, Tex te, et r~Jemefl/'
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e.c
CHA PI TRE 8
eri
PRÉPARÉ EN USINE (B .P.E.)
alg
Tous les tests décrits dan s le présent livre sont bien entendu destinés
éga lement au béton préparé en usine. M ais il est quelques particularités
que nous ferons ressort ir dans ce cha pitre.
.gc
La prod uction du béton préparé en usine augmente régu lièrement
par rapport à l'ensemble du béton prod uit. Il existe aujourd'hui en France
près de 1 000 points de production .
Les ava ntages du B.P.E. sont connus :
- livra ison en tout lieu, sur simple appel téléphonique,
-- fournitu re de béton de toute classe même de bétons spéciaux (béton
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1, LA C OM M A N DE
en révision, fournit des éléments indi spensabl es aussi bien pour la commande
que pour la réception.
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15. Essa is et eene- ëte des beto ns
e.c
mande com po rte toujours les caractères suivants et dans l'o rdre
- nature du ciment.
- classe granulaire,
- cons istance.
- classe de résistance.
eri
Exemple : BeN - CPALC 325·0/25 - P - B 350.
P signifie qu'il s'agit d' un b éton plastiq ue ;
B 350 étant la résistance. Il existe plusieurs classes de résistance
pour les Be N : B 150. B 200, B 250. 8 300. B 350.
alg
b) Ensuite les bétons d coracténsuques spécijiù $ (BCS) par lesquels
l'achet eur precise d'autres caractères supplémentaires comme le dosage
en ciment, remploi d'un adju vant ou d'un ciment special.
Signalons que les ses sont les plus demandes. La demande d'un
.gc
dosage en ciment plutôt qu'une résistan ce (cas de bea uco up de cahiers
des charges) en est la principale raison. Il faut to utefois signaler qu'un dosage
.. 1 est Impose
rmmma . . d ans 1e cas d u Be N : e ;<!: B + 250
5>'=
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B éta nt la classe de resistance du béto n co mmande et D la dimension
maximale du granulat.
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lieu dans des ca mions (to upies) qui ma intiennent l'homogeneite durant le
temps de tra nsport .
La norme prevoit un temps de transport ma ximal d'une heure et
demie. le temps de transport lui-même dans le camion n'influe pratiqu ement
pas sur l'homogeneite, contrairement à ce qui est bien souvent dit ft ce
ttp
sujet.
Les centrales de dosage. peu utilisees en France, permettent uniq uement
le dosage des co nstit uants à l'usine. le malaxage se fait en route dans des
ca mio ns malaxeurs spéciaux .
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om
Bét on prêt il l'emploi préparé en usine 159
e.c
Un des avantages du Béton Prêt à l'Emp loi est de pou voir faire livrer
du béton de co nsistance donnée. Il est d'ailleurs assez frappant de constater
q ue bien des utilisateurs qui se souciaient bien peu de la plasticité du béton
fabriq ué sur leu r cha ntier, deviennent d'un coup trés connaisseurs et exi-
eri
gea nts quand il s'agit de O.P.E. Mais c'est une très bonne chose et je dirais
même qu'il faut être exigeant sur ce point quand on ac hète du béton pré-
pare• en usme.
•
bien ici de juger des caractères int rinsèques du béto n, de sa qua lité en tant
que matériau (voir chapitre 3).
De plus, co mme le producteur est équipé pour réaliser des essais
en laboratoire à 20" C. les essais sur épro uvettes peuvent êt re cont rad ictoires.
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160 Es s a is et contr61e d e. bé t ons
om
Notons qu'il s'agit essentiellement de la rèsistance à l'écrasement d'épro u-
vettes normalisees.
e.c
5 . RENDEMENT. DEN51Tt
eri
Il a rrive que les uti lisa teurs se plaignent au sujet du rendement ; ils
pensent parfois qu e le béton ac heté (( ne fa isait pas le m' », Q ue faut-i l
en penser ?
A notre avis, il est vrai ment peu vra isemblable que les p roducteurs
alg
de D.P.E. se livrent sciemment à une prati que malh onnête. Êtant donné
l'automatisme et la syncronisation des centrales sur le pla n des pesées,
le poids de ciment effectivement mis dans les gâchées doit correspondre
à la composition affichée. Même si le béton « ne Iait pas le m' » pour des
raisons diverses, la quantité co rrec te de ciment (élément Je plus co ûteux
du béto n) ayant été mise dans la gâchée, le béton se trouverait ainsi surdos é
.gc
en ciment.
Par ailleurs, il est très difficile d'a pprécier exactement le volume de
béton dans un co ffrage donné. Bien souvent il n'est pas tenu co mpte de
la déformation du coffrage q ui peut être importante.
ww
Deux méth odes permettent cependant de vérifier le rende ment d' une
livraison :
al M êthode du ~( rendement »
Elle consiste â préparer un co ffrage très rigide au x dimensions pré-
cises, d'y mettre une charge complète de bét on, de le vibrer et d'apprécier,
soit la co rrespondance parfaite, soit le non remplissage ou le débordement.
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b) M érhode de la densité
Le camion doit passer sur un pont-bascule. en charge et â vide, afin
de déterminer le poids net de béton. On co mpa re en suite ce poids au poids
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Béton pra t ' l'em ploi prépa ré en us ine
om
6. HOMOLOGATION A LA MAROUE N. F.
e.c
de severes conditions de fabrication. La marque N F s'est d èveloppêe
dans ce domaine afin de garanti r l'ap titude des centrales à fournir des
bétons répondant aux prescriptions de la norme NF P 18 305. Homolo-
guee en a vril 1966. elle a permis de p reciser les condi tions de fabrication
d es bé tons, d 'en fixer les caract éris tiq ues, les qualités ga ranties. les essais
eri
a p tes à les vérifier ainsi que les cond itio ns de liv raiso n.
Celle no rma lisat ion porte esse nt ielleme nt su r la défin ition de bé tons
à caractéristiques nor malisées : nature et cla sse du cime n t, granulari t ê,
co ns ista nce et résistance à la comp ression. Elle a bo utit à une classifi cation
alg
des b étons, po ur u ne vent e à la résistance.
L'homolo ga tion d es ce ntr ales est effectuée so us la responsabilité d e
l'A .F. N.O,R. pa r le Comité particulier NF-BÉTONS PR ÉP AR ÉS EN
US INE, assisté d 'u ne Co m mission d 'estampillage d ont les fréq uentes
réunions permettent une gestio n effica ce. Le secréta riat d e celle Com mis-
.gc
sion est a ssuré par le C.E. B.T.P. Dès qu'u ne demande de lice nce est déposée,
une visite détaillée de la cen trale est fa ite et d o nne lieu à un compte rendu
â la Com mission d'estam pillage : e lle po rte sur les installa tio ns mêmes de la
centrale, son fonctionnement. so n cont rôle interne (laboratoire. essais).
la régularité de sa fa brica tion (moyen ne, d ispersion d es bétons livrés par
la cen trale).
ww
la ma rque est r èal isè par des visites inopinées. d es p r élèvements con tra-
d ict oires et par l'éta blissement de d ocu ments statistiq ues su r les ca racté-
ristiques des bé tons vend us.
Ceci pe rmet à la Commission d'esta mpillage d'esti mer la vahdi t è d e
l'au tocont rôle et de juger les fabrica tio ns des cent rales (fig. 100).
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Il existe quelq ues agréments co m plémen taires d o nnés par certa ines
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,.2 Es s ais e t c ontr61e des bétons
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FIG. 100. - b emplc de contrôle du C.E .B.T.P. pour la marq ue !'F ( B.P.E.).
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/
Bét o n prê t ' remp lo i préparé e n u s ine 163
om
- l'agr èmem n'est donne qu'à des centrales de malaxage pos sédant
d èjà la licence N F;
- l'agrément est donne à la centrale pour ce rtaines compositions
determinees ;
- le « me mento pour l'agrement des usines fabriqua nt du béton "
e.c
d istin gue trois cat égories suivant les performances du bêton (ta-
bleau XXXVI~
eri
CQt~orit du biton
fabriqui en usine
Béton exce ptionnel
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Béton de qualité
Béton courant
Béton coura nt
(à co nt rôle simplifié)
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7. RÊ VISION DE LA NORME
L' industrie du B.P.E s'est bea ucoup d éveloppée dep uis 1%6. la
norme P 18 305 q ui a donné sa tisfaction dans l'ensemble ne correspond
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e.c
CHA PITRE 9
eri
CONTRÔLE DES BÉTONS
AU MOYEN ORIENT
BÉTONNAGE PAR TEMPS CHAUD
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la récession de l'activité des pays occidentaux s'accompagne d'un
développement assez marqué de l'activité de notre profession da ns les
pa ys d u Moyen-Orient notamment. l es raisons. d'ordre économique.
sont connues. 8 0n nombre d'entreprises se trouvent donc confrontées assez
brusquement à toutes sortes de problèmes nouveaux. Si les march és sont
important s. ils sont obtenus en co ntrepartie de d élais de réalisation quel-
ww
égale ment les d ifficultés d 'ordre linguistique pour les entreprises françaises.
le manque de pratiq ue de la langue anglaise est un handicap pour nous
aussi bien dans les recherches de ma rchés et rétablissement des contrats,
que dans le déro ulement des opérations techniques diverses.
Pour le contrôle, c'est une gène également. car on est souvent amené
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contrôle d es bétons a u M o ye n -O r ient 165
om
A l'occasion du BATI MAT 1977, le stand de la F éd ération Natio na le
du Bâtiment était consacré pratiquement exclusivement à l'exportation.
Il y était indiqué que l'augmentat ion du chiffre d'affaires est de 40 %
par an (fig. 101 ).
e.c
Objeçtlf 1980
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eri
4.2
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1971 1972 1973 1974 1975 1976 1980
en -.i1l1ll1'dJ de f r ltltCS
Il est vivement conseillé aux entreprises de cons ulter les dive rs orga -
nismes professionnels co mme les Fédérations du Bâtiment et des T ravaux
P ublics et les Chambres de Commerce, avant de signer des contrats ou
d'entreprendre des travaux importants.
/w
vaux Publics) est souvent appelé pour des études prélimin aires. des o pé-
ration s de « dépa nnage » à caract ère trés ponctuel ou des missions d'assis-
tance pour to ute la d urée d'un chant ier.
Dans les quelques pages du chapitre, nous nous borne rons à faire
ttp
ressort ir les points particuliers. Les respon sables du béton à l'en treprise
sero nt ain si un peu moins pris au d épourvu : c'est du moins ce que je so uhaite.
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166 Es s ai s e t con t rô le des béto ns
om
1. LE CLIMA T
e.c
le contrô le d u béton concernait essentiellement nos climats tempérés.
Dans les climats cha uds comme ceux du Moyen-Orient. les essais revêtent
un aspect nouveau pour nous en raison essentiellement de la température
q ui att eint parfois 50~ C à l'ombre. La tempéra ture oyenne annuelle
est environ de 25 0 C plus élevée qu'e n France.
eri
Mais les variations de températ ure sont parfois assez grandes : à
Téhéran en Iran., ville sit uée à 1 500 m d'altitude et proc he de montagne s
élevées de 5 000 Dl. la températ ure peut descendre à - J00 C voire - 15
en période froide. Par co ntre l'été. il arrive que la température atteigne
450 C et plus.
alg
On peut noter par contre, une certaine r èpét ètivit è des températures
du jour et de la nuit dans certains pays. Sur la figu re 102, on remarque
une nette symetrie pour tous les jours de la semaine et ceci parfois pour
plusieurs semai nes de suite. Dans le cas present (Djeddah-Arabie Saoudite
en novem bre). le graphe d'enregistrement fait ressortir une températ ure
.gc
de 30" C à mid i et 23" C à six heures le matin.
les variations d' hygro metrie sont importantes egalement non seu-
lement d'un pa ys à un autre mais d'une region à une aut re. De plus, dans
un même site, des variations tres grandes d' humid ite peuven t se produire
da ns une même jo urnee. A Djedd ab en Arabie où l'humidite relative est
co ura mment de 85 % nous avons pu constater une baisse d'hygrometrie
ww
réalisables et ne sont pas toujo urs utiles du fait que le durcissement est
accèlérè. Rappelons que les essais d'information sont necessaires pour
apprécier une resistance suffisante en vue d'un d écoffrage, d' une mise en
tension...
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'67
om
e.c
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Es s a is e t contr6 1e de. b'to ns
om
Quelques essais dï nformat ion sont ce pendant pa rfois utiles pour
v érifier si. compte tenu du durcisse ment ra pide, la résistance se développe
malgré tout normalement da ns le tem ps.
Par contre, les essais de contrôle pour lesq uels, rappelons-te, la con-
servation des èprc uven es se fait à 2tr C. ± 2 dans reau, sont très pratiqués
e.c
dans les climats chauds. O n est ainsi assuré de suivre la qual ité int rinsèq ue
du béton, compte tenu que CC' sont les constitua nts de base qui a ppo rtent
le plus de variation da ns la q ua lité d u béton.
11 faut veiller à ce que les épro uvettes soient confectionnées assez rapi-
eri
dement a près le gâchage. Ch aque fois que cela est possible, le béton est
transporté ra pidement après le gâc hage pour une fabrication des éprouvettes
a u la boratoire. Ceci évite une a tte nte variable des épro uvettes so uvent
stockées a u soleil.
REM ARQUE :
alg
Une valeur plus élevée de la température de l'eau pour
les essais de contrôle (250 C par exemple) serait souhaita ble dans le cadre
du contrôle en pays cha uds :
- elle serait plus facile à obtenir et à maintenir consta nte;
- elle permett rait des conditions de durcissement pl us proches de
.gc
la réalité.
Mais c'est là une question qui devrai t être traitée sur le plan de la
normalisa tion interna tio nale. comme Il S0 par exemple.
Nous sommes prêts. en ce qui nous concerne. à part iciper à une èven-
tuelle mise au point d'un tel projet ,
ww
Il fau t donc éviter de gâcher des bét ons de plasticité ferme (trop peu d'eau)
so us risque de ne pas pouvoir mettre en place le béton correcteme nt,
même a vec vibration.
On s'attachera à maîtriser au ma ximum les déla is entre le gâchage
ttp
et la mise en place dans les coffrages. Cest bien entendu pl us facile ecrire
à
qu 'à réaliser. mais c'est lâ un des param ètres nouvea ux importants dont
il faut tenir compte.
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Co ntr6 1e d es bé t ons Mo yen -Orie nt ,.9
om
BU
4. LES CONSTITUANTS
e.c
Il arrive pa rfois de nous plaindre d une trop grande diversit é de ci-
ments mis à notre disposition sur le marché français ! Une grande dlver-
su éde granulats existe éga lement dans notre pays. Cest un privilège pour
le co nstructeur.
eri
la situation au Moyen-Orient est totalemen t différente. Ou bien
le choi x est nu l (c'est le cas fréq uent pour le ciment) ou bien ce cho ix existe
(cas du sa ble) mais cest un choix à fa ire ent re des matéria ux de qualité
médiocre.
chantier sont la propreté el la fin esse des sables. Pour ce dernier point.
on se reportera a u § 4.2.2.7.
Les études prélimi nai res co ncern ant ces points particuliers ainsi que
la réalisa tion d'éprouvettes pour tester la résistance du béton. nécessitent
l'essai en métropole des granulats. Mais les quan tités sont restreintes étant
ttp
don né le mode de tr an sport (aérien). Si l'on ajoute à ce fait que les échan-
tillon s en sont d'a utant moins représentatifs. il est indéniable que c'est
là une des difficultés majeures pour les ét udes préliminaires du béton
destiné à ces pays.
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170 Es sa is e t contr61e d es béto ns
om
4.2.1 . La propreté des granulats
Le manque, pour ne pas dire l'absence d ea u dou ce dans certai ns pays
empêche pratiquement tout lavage des granulats. Les éléments les plus
propres sont ceux extraits de lus de rivières an ciennes, dans lesquels il
e.c
subsiste parfois suffisamment d'eau pour une propreté acceptable des gra-
nul ats. Le trait ement de l'eau de mer pour un tellavage. quand il est envi-
sa geable, grèverait trop les coûts de prod uct io n
La valeur de l'Éq uivalent de Sable 1::-1 tr ès varia ble d' un p'IYS à l'autre.
d'une r égion à une autre. d'une livraison à une aut re. O n est q uelq uefois
eri
amené à fabriquer le b éton avec du sable dont rE.S. est de 30 ou 40. l a
fourchette des valeurs s'étale de 30 à 8S avec une moyenne qui ressort
à environ 65. Bien entendu, l'incidence sur la résistance d u beton n'est pas
n égligeable [9].
Pour les sables les plus sales. la mesure de lÊquivalent de Sable mod ifie
alg
ou tous autres essais est recommandée afi n de pouvoir ide nt ifier les fines
utiles et les fi nes nuisibles,
et des broyeurs.
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om
Contrôle des bétons au Moyen-Orient 171
e.c
de cure.
4.4. L'eau
eri
particulièrement la q uestion de l'eau de gâc hage, Mais ce point ne peut
êt re sèpar ê de l'ensemble du probléme de l'eau pour les constructions
au Moyen-Orient.
Comme chacun sait. l'eau est extrêmement ra re là-bas ; étant donné
alg
les besoins en eau pour les chantiers (bet onnage, nett oyage, cure, besoi ns
personnels, etc.), il est de plus en plus fréquent de traiter l'eau de mer quand
le chantier n'est pas trop éloigné de la mer. A Téhéran. l'ea u est moins rare
puisqu'il est possible de l'extrai re de la nappe assez profonde.
Un traitement très employé co nsiste donc en une distillation de l'eau
de mer, à basse tempéra ture (50~ C). Les usines montées pour ce traitement
.gc
sont équipées de chaudières de petite taille permettant ainsi l'installation
du nombre d'unités nécessaires au fur et à mesure des besoins de l'entre-
prise. De plus, la maintenance de ce matériel est plus aisée ; la production
d'eau dessalee n'est pas a rrêtée par la répa ration ou l'entretien d'une unite.
Le personnel est relativement restreint : deux à trois personnes assurent le
ww
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/
om
172 Esseis et con t r61e d e s b"'ton.
e.c
eri
alg
Fla. 104. _ SIOCka~ de l'ea u sur chan tjer dan ~ d~
bicl'lc:s nl loi k pl Ulifi~ '\.OUI a b ri sola ire (doc. S ,A.E.).
.gc
5. L ·t TU VA GE
/w
Il permet d'éviter une attente des éléments au so leil avant la mise en cure
humide. to ut en assurant des conditions favorables d'humidit é (va peur)
pendant le traiteme nt .
Le retrait des premières he ures est ainsi mieux maîtrisé.
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/
Contr61e d e . béton. a u Mo yen-Orient 173
om
6. PRINCIPALES PRECAUTIONS
POUR LE BiTONNAGE PAR TEMPS CHAUD
e.c
Le ciment est un lian t hydraulique : il fait prise dans l'ea u. Une hygro-
métrie basse acco mpagnée de vent a un effet néfaste sur le du rcissement
du béton surtout pour les elements de faible épaisseur.
Sachant par ailleurs que la température optimale pour un bon dur-
cissement se sit ue entre 12 et 18= C suivant la nature du ciment, on com-
eri
prend la complexit é du probl ème .
On peut j uger de J'importance des tr ois facteurs :
- hu mid ité de J'air,
- température.
- vitesse d u vent alg
à l'aide du d iagra mme de la fi gure 105. L'effet de la vitesse de l'air est très
im po rtant.
Dans certaines contrées où le cha ngement brutal de la direction du
vent s'accompagnant d'Une grande vitesse de celui-c i, d' Une augmen tation
.gc
de la température et d'une baisse rapide de l'hyg ro métrie. la vitesse d'éva -
poration de l'eau du béton passe de 1 à 3 kg/m 2;h dans la méme journée.
marque que les temps son t pratiquement divises par deux pour une tem-
pérature passant de 20 à 40 oc.
ne
s:/
Température 20 -c 40 ne
Prise Debut Fin Debut Fin
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~f. ~ 0-:/ jV 1\. '\ î\.
alg ~ '\ î\. '\.
4.0
Vitesse du va t n rn/heur. / /1
~1.4
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3.5
Ë
3.0
2,5 V"7 V
" V ,/'
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1\
Pou, déterminer l'tvapontlon
aflich er lei dlver. paramitrel
, 2.0
•• . .V"..........1r'
selo n I"e.aemple Indiq ué .
(ligne f léchée). -• 1.5
~
e
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V l-->t
-• /. ' /
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.e 1.0 ./
"c,
•
0
0.5
V 0
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0
FIG. 105. - Dia p mJœ pnmena nl de chiffrn l'évaporation de l'eau dan, le bélon (fi Io nctioe de
rhum idilt de l'air, de III 1empérature et d u vent (comite ACI 305, 1971). AlIetllion ; l 'h a ponolion ell
d.. nl!C'tC'u~ Iooqu'elk doépaue J litre par ml. H. Dan, ce cas. il faul.bl.oIumenl prolqer le bèton.
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/
ContrOle d e s bétons a u M o yen -Orient 175
om
6.2. Durcissement initial
e.c
pour 6 ciments de natu re différente. Les écarts sont t rès importants à 24 h
suivant les ciment s y compris pour des ciments de même classe comme les
C.PA 400 «(J 4 o 'c la i o ~ = 1,17 à 1,92) [4].
Le co mité ACI 305 donne par aille urs, les résistances à la co mpres-
sion à 1 jour et 28 jou rs pou r des températures variables (fig. 106).
eri
T ABLEAU XXXV III - Accrois.wmm t de résistancfi' du béton pour des tem pêra tures
pllMant de 20 à 40 "C et pour ditrinnt~ types de CÎlMnt
CPA
Ciment
400
algW "C
R ésistan ce li 24 Il li
135
40 -c
260
A ccroissem ent
1,92
CPA 400 205 330 l ,61
CPA 400 230 270 1,17
.gc
CPA 325 82 186 2,27
CPA LC 325 125 234 1,87
CLK 325 35 222 6,34
ww
20 30 4 0 50
28 /OUr. 420
.!•
/w
350 •
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ts
280e ,
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210 ~ ]
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140
ttp
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'7.
/
Essa is e t contr61e d es béto ns
om
6.3. Retrait du béton frais
e.c
- une moins bonne hydra tation du lian t, d'où des baisses de résistance
po ssibles ;
- une porosité plus grande d'où une moin s bonne imperméabilité ;
- un ret rait avant prise imp ortant et pouva nt être supérieur au retrait
fi nal consta té pendant le durcissement.
eri
6.4. Précautions à prendre
a) Ciment .-
alg
6.4.1 . Concernant les constituants
--
Utiliser de pr éférence des ciments à faible chaleur d'hydratat ion (te-
neur en al uminate tricalcique CJA fa ible). Les ciments contena nt beau -
.gc
coup de laitier ont une chaleur d'hydratati on faible mais ils sont plus
sensibles à la déshydratation. De toute ma nière, ces ciments ne se ren-
contrent que ra rement dans les pays qui nous intéressent ici.
Le dosage en ciment sera limité aux exigences concern a nt les résistances
mécaniq ues.
L'utilisation d'un ciment ( cha ud » n'a pa s bea ucou p d'in fluence sur
ww
n faut donc. quand c'est possible. limiter l'ensoleillement sur les stocks
de granulats. Une baisse de 10" C sur les gra nulats entraine une baisse de
6" C sur la température du béton frai s.
c) Eau
s:/
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ContrÔle de. b6to n. a u M o yen-O rient ln
om
Oegrh C
o 10 20 JO 40
7 I~
e.c
V
/ I~
V Ils
c
•
eri
lZ I~ •
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/ alg 1...
••
w
- entraîneur d'air.
Dans le cas qui nous int éresse, c'est-à-dire en climat chaud, des essais
préalables in situ sont indispensables.
avec :
lt températ ure du bètcn frais ;
1.. t.. r, tem pérat ures respectives de l'ca u, des gra nulats et d u ciment;
E, G, C masses respectives de l'eau, des gran ulats ct d u cime nt.
ttp
On voit tout de suite qu'u n kg d'eau apporte cinq fois plus de calories
qu'un kg de ciment ou de granulat.
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178 ElSa is e t cont rÔle d e s bt t ons
om
6.4.2. Concernant la m ise en œuvre
On essayera de :
- protéger du soleil le maximum de matériel [malaxeur, bennes,
e.c
coffrages, canalisat ions des pompes) ;
- bétonner l'après-midi ou en fin de journée ;
- humidifier les coffrages bois ;
- attendre le moins possible entre le gâchage et la mise en place dan s
les coffra ges.
eri
6.4.3. Cur. du béton
Toutes les protect ions connues peuve nt être utilisées suivant les cas :
- arrosage fréquent (sans utiliser d'eau trop froide afin d'éviter les
chocs thermiques);
-
-
sable humide ; alg
paillassons, sacs humides...
- feuilles en matière plastique à condition de ne pas créer une accé-
lération de l'air sous le plastique par effet de courant d'air ;
.gc
- poursuivre la cure suffisamment longtemps ;
- utilisation d'un prod uit de cure a ppliq ué suffisa mment tôt a près
Je bétonnage et le décoffrage.
ww
7. LE PERSONNEL DU LABDRATDIRE-BtTDN
Les cadences de travail sont souvent assez difficiles ; il faut être pré-
/w
sent à toute heure pour des bétonnages. Le respon sable du la borat oire
doit se donner à de nombreuses tâches : étude de nouvelles co mpositions,
recherche <fun meilleur sab le, suivi du ci ment. installat ion de nouveaux
matériels, contrôles des centrales...
s:/
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Contr61e des b'to n . eu Moyen -O rient 179
om
8. RENSEIGNEMENTS DIVERS
e.c
et des ad ministrations concernées, sont données ci-aprés. Pour les questions
techniques particuli ères, les demandes d'i ntervent ion directe sur les chan-
tiers au Moyen-Orient ainsi q ue pour les analyses et essais, les différents
laboratoires de la profession seront, bien entendu, contactés.
Organisations professionnelles
eri
- Pèd èrancn Nationa le du Bâtiment ( F.N. B.). Service des Questio ns Intemancnales
33, aven ue K léber - 757&4 Pa ris cedex 16 - Hl. : 720.10.20 - Télex : FEDE·
BATI 611 975 F
- Fédérat ion Nationale d es Travaux Publics ( f .N.T . P.) 3. rue de Berri - 75008 Paris
-
Tél : S61I 1.44
alg
Fédération lntemanc naje Eurc pèenne de la Co nstruct ion (f .l .E.C) 16, rue la
Perouse - 75016 Pa ris - TR ; nO.IO.20
Vos Chambres de Commerce.
Ga rantit pour son pro pre compte ou pour le compte de l'Etat les opè-
rations de commerce extérieur pour lesquelles elle délivre plusieurs types
de gara nties : crédit, risque economique. investissemen ts, prospection, etc.
Seriices régionaux COFACE :
ttp
Bordeaux 75. rue de la Pe rte Dijeaux - 33000 Bordeaux - Tél. : (56)44.49 .26
D ijon Résidc~ Talant - 29. rue de T a lant - 21000 D ijon - Té l. : (80)05.50.56
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'80 Es s ai s e t cont rOle des bétons
om
Lille 2, place Kennedy - 59420 Mouvaux - Tél. : (20)70.17.19
Lyon 22, rue Grolée - 69001 Lyon - Tél. : (78)37.45.98
Marseille 83, rue Sylvabelle - 13001 M arseille - TH. ; (91) 37.45.54
Nancy 14, a venue du G én éral- Leclerc - 54000 Nancy - Tél. : (28)24.25.29
e.c
Nantes 4, place du Commerce - 44000 Na ntes - Tél. : (40)1 3.00.42
- B.F.C.E. (Banq ue Fran çaise du Commerce Extérieur) - Ministère de l'Écono mie
et des Finances 21, bo uleva rd H aussmann - 75427 Pa ris cede", 09 - T él. : 247.1 3.33
A vec le concours de la Banque de Fra nce, en liai son avec les autres banques
et la CO f ACE, met en œuvre des procédures spécifiques ada ptées aux besoins de
crédits des exportateurs et dest inées à faciliter le financement de leurs opérations
eri
à l'étra nger.
- L'A.C.T. I.M. (Agence pour la Coopéra tion Techn ique Ind ustrielle el Économ ique)
M inistère de l'Êcono mie et des F inances.
Stages en France : 6, rue Pierre-Charron - 75008 Pa ris - HI. : 359.97.41
Missio ns à l'étranger : 16, rue des Pyram ides - 75001 Paris - HI. : 260.31.15
alg
- SEFRANE (Service pour l'emploi des Fra nçais li l'étran ger) 4, impasse d 'Antin -
75008 Paris - Tél. : 359.59.60 et 62.63
Fédèra rion Nationale du Bâtim ent. Service des Questio ns Intern ationa les
33, avenue Kléber - 75784 Paris cedex 16.
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/
om
e.c
ANNE XE A
RÉGLEMENTATION TECHNIQUE
(au 31 décembre 1977)
eri
alg
Les differentes références donnees ici ne constit uent q u'un guide
forcement incomplet, du fait, notamment, que la r èglementation n'est
pas figée ; to us les ans de nouveaux textes sont à l'et ude.
7. OUELQUES SIGLES
.gc
Siglrs SignificatiQ"
CCAG Cah ier des Cla uses Ad min ist rat ives G énéral es
CCAP Cahier des Cla uses Admin istrat ives Particul ières
ww
CCBA Conce ption et Calcul des o uvrages el construct ions en Béton Armé (BA 68)
CCS Cahier des Clauses Spéci ales
CCTG Cahier des Clauses Techniq ues Gèn èrales
CPC Cahiers des Prescriptions Commu nes (appelès maintenant ccrG)
CPS Cahier des Prescriptions Spéciales
DBTPC D irecteur d u Bâtiment, des T ravaux Publics et de la Conjoncture
Dru
/w
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/
182 Es sa is et con t r6 1. d e . bétons
om
- les Cahiers des Charges D.T. U.,
- les Règles de Calculs D.T.U.
ainsi que leurs annexes, mod ifications. addi tifs ou erratums.
e.c
2.1. Cahiers des Charges D.T. U. et documents connexes
eri
14-1 Cll~lagr 13]] sept 1975
ad d it ifs 1428 i 1430 man 19n
20 MafOltllnw et bétons : cahier des charges applicable
alg
aux tra vaux de maçonnerie béton acmé. plâtrerie
additifs
21·3 DaIl~J
et votées d'escalier préfa briquées 992 oct. 1970
21 -4Chlo""'~ tk calciUIPI et adjuva nts contenant des ch io-
rures 1467 oct. 1977
ttp
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/
Annexe A - R6glementat ion t echnique '83
om
2.3. Règles de calcul D.T. U.
Dénom;natio"
abregt e Dénommatton Publirn/iOl1
e.c
Règles BA 68 Règles techniques d e conception el de ca lcul des &Iilio ns
o u vra ge s e l cc est rucu on en beton a r me Eyrclles
(CC BA 68)
Règles th. K Règles de calcul des caract éristiques thermiques Cahier CSTB
utiles des parois de construction (pas encore 1478 nov. 19n
eri
a pplica ble)
Règles th . (titre II) Règles de cak ul d es d éperditions de base des CahierCSTB
bâneenrs fèv. 1975
Règles th . G Règles de calcul des coeffic ients G et G I (pas Cahier CST B
encan: applicable) 1479 nov. 19n
Règles F B
Fondations
alg
Mê1. hodes de prévision par le calcul d u compor-
temen t au feu des struct ures en béton
Règles pour le calcul des fo nd at io ns superficielles
(D.T.U. B . I )
Cahin Œ I B
1::!70 oct. 1974
Ca hin CSTB
784 fêv . 1968
Règles NV 65 Règles d éfinissant les effers de la neige et d u vent tditions
.gc
sur les conslructions a nnexes (M . déc. 1976) Eyrolles
BAEL Calcul Béton Arm é a ux Éta ts Limites en cours
Cedex 05.
Ici encore. nous donnons une liste restreinte ; elle concerne principa-
lement les ouvrages en béton,
Ri ference, Ob~Wlliotu
s:/
G uide des Marchés de Tra vaux Publics A l' in- Décret 1)..55
tention des maitres d'ouvrages el maitrcs 28 octobre 1970
d 'œuvre
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/
184 Essais et contr61e des bétons
om
3.2. Cahier des Prescriptions Communes C P C
e.c
(maintenant CCTG)
eri
Dénomination R éf érences Observations
!(u cicule 3
tra vaux
alg
.. Fourn iture de liants hydrauliques Décret 68-1003
24 oct. 1968
Rééd ition 1975
d u 13·()" 1973
Fascicule 63 : Confection et mise en œuvre des Décret 70-28
bétons non a rmés. Confection d es 7 janvier 1970
mortiers
Fascicule 65 : Exécution de s ouvrages et cons- Décret 69-346 Révision en cours
s:/
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/
Annexe A - Réglementation technique 185
om
3.3. Circulaires ministérielles
e.c
[);nominalion R éf érences Observaiions
eri
IP l - Instruction provisoire rela tive à l'emp loi nO 44 Déno mination
du Béton Prêconrraim dans les ouvrages 12 août 1965 co urante « IP . ..
dépenda nt d u Ministère d es T .P. et des •
Tra nsports
alg
I P2 - Circula ire relative à remploi du Béton Pr é-
cont ra int da ns les ouvra ges relevant du
MATELT
no73- 153
13 août 1973
Dénomina tion
co uran te « IPl ..
Dénomination
C irculaire accordant l'a grément à des adju vants d u béton .
C irculai re relative a ux fo urn itures de lia nts hyd rauli ques dest inés aux travaux â la
mer et a ux eaux sél èuireuses.
s:/
Tous ces documents officiels sont d isponibles à l'impri merie des Jour-
naux Offici els, 26, rue Desaix . 75015 Paris.
ttp
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/
..6 Essais et cont r61e d e. bétons
om
4. RÈGLES PUBLIUS PAR L 'UN I ON NATIONALE
DE LA MAÇONNERIE
e.c
Blocs d~ ~IO" manufacruri s
Tome 1 : Comment choisir des blocs de belon manufacturés (decembre 1976).
Tome Il : Comment concevoir des ouvrages en blocs de beton manufaeturês
eri
(novembre 1971).
To me III : Mise en œuvre (mars 1972).
alg
Les dallages t'n b éton sur"re-re plein (ja nvier 75)
Exemp les des façades en maçon nerie traditionnelle pour l'application
de la réglementat ion thermique (janvier 76)
Règles professionnelles de préparation des supports cou rants en béton
en vue de la pose des revêtement s de sols minces (janvier 76)
.gc
L'isolation acoustique et le gros œuvre
Mément o du chef de cha ntier de gros œuvre
No us recommandons ce dernier ouvrage qui s'inscrit pa rfaite ment
dans le cadre de notre livre.
Les publications de l'U.N.M. sont à commander à: SE D I MA. 9, rue
ww
https://www.gcalgerie.com/
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/
om
e.c
eri
ANN EXE 8
" CIMENT
ww
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188 Essa is e t c o nt rÔle d e. bêton.
om
2. GRANULATS
e.c
eri
alg
2.1. Projets de normes françaises concernant les granulats
à bêrco
.gc
N- Titres
P 18 560 Analyse gran ulom èt rique pa r ta misage
P 18 566 Analyse granulom ètnque des fines
P 18 561 Mesure d u coefûcienr d'aplatissemen t
ww
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,.9
/
Ann.... B - L• • n o r m • •
om
3. Bi TON
Titres Datf'S
e.c
Définitions rela tives aux essais des
GbriTalifiJ
{ bètcns NF P 18 102 211969
eri
Essais d 'information NF P 18405 611970
R ëattsanon des
corps d'tpreuve
mrse
en place
alg
éprouvettes M o ules prisma tiques NF P 18 401
{ M ise en place par a iguille
vibra nte NF P 18 422
211969
6/1970
(cylindres
prismes)
d u béton
préparat ion
des
l
Mise en place par piq uage NF P 18 423
Contrôle des mo ules et
des èprouven es NFP I841S
6{1970
6/1971
.gc
épro uvettes Surfaçage des éprouvettes
avan t essai \ cylindri q ues NF P 1841 6 6/1971
NF P 18 406
s:/
L'ensemble de ces normes co nce rnant les essais de beton est en revisio n.
Dans les co mmentai res sur les essais, nous avons ten u co mpte des dernières
p ropositi o n s,
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/
om
190 Essais et cont r &le d es bet ons
e.c
4.1. Essais sur ciments
eri
N .F. B.S. ASTM DlN
E=;
France Ro yau me-Un i ttau.Unis Allemagne
C 191· 74
Prise P J5 431 12-58 C 266-74 1164/5
bouillante
upansion à l'autoclave
alg
EJ; pansioo à (roKi et à l'eau P 15 432 12-58
C 807-75
C 151-74.
Il.....
C 786-74
Finesse par tamis C 184-74 116414
.gc
C 430-75
C Z04-7S
Surface specifique P 15 442 12-58 1164/4
C 115-74
C 359-75
Fausse prise
C 45 1-75
Ressuage C 243-75
ww
C S96-7S
Chakur d'hydratation C 186-75 1164/8
Air occlus sur monier C 185-75
Expansion des mortiers expo-
C 452·75
liés aux sulfatet
s:/
ttp
https://www.gcalgerie.com/
https://www.gcalgerie.com/
/
A nnexe B - Les normes ,.,
om
4.2. Essais sur granulats pour mortiers et bétons
e.c
N .F. B.S. ASTM Dl N
Essai
France Royaume-Uni États. Unis Allemagne
eri
Vol ume des vides intergra nu-
81 2/2 75 C 30-70
laires
C 127·73
Porosité ; a bso rption ea u P 18 301 812/2 75 sa bk
C 128-73
Humidité 812/275 C 566-72
Matières organiques
Mottes d'argile et de terre
Matières très fines
alg
. p 18 30 1
P 18 301
C 87-75
C 40-73
C 142·71
C 117·74
4226/3
4226/3
Équivalent de sable P 08·501
Foisonnement du sa ble 812/275
.gc
Densité ap parente 812/2 75 C29-71
C 127-73
Masse volumique S12/2 75
C 128· 73
Sulfates 4226/3
Chlorures 421613
Particules lég ères et peu r è-
ww
sistances
e 123-75 4216/3
Résistance mecaniq ue sta tiq ue 812/375 4226/3
Résistance mecan ique d yna-
812/3 75
rmque
Résistance à l'abrasio n 812/3 75
e 535·75
e 131 ·75
e 235-68
/w
Dureté
e 586-75
C 289·7 1
Réaction akalis-gran ula ts 4226/3
C 342-7 1
C 227· 71
s:/
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/
' 92 Es sa is e t cont r61e d e . béto n.
om
4.3. Essais sur béton fra is
e.c
RILEM
N ,F.
a,s. A5TM DlN
Recom-
Royaume ~uJt.. Alle·
....i Ftlnce ISO mandatwns
Unis Uni, magne
CP,"
COftJutanu
CÔM d'Abrams P 18 451 1881/270 C1 43·74 D1541 09 2.10 no v. 75
eri
Compactage Wall 1048/ 1 DIS 4111
Table ' secousses Dl N 1048/1
Compactage Gla nville 1881/270
Coestsromëtre V.B. 1881 /270 DIS 4110 2,2 0 nov. 75
Pénélntion de la boule C 3.50-75
Masse volumique
Dcnsit~ a pparerlle
alg 1881/270 C 138·75 1048/1
D RccommandalÎoa dHinili.c
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8 S.
N .f. Roya ume AST M D IN
~ lats- Un is
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Uluasc.. C 597-71
Examen et prise d'échan tillon
C 823-75
de bèron eu œuvre
https://www.gcalgerie.com/
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An ne lle 8 - l e s nor mes 193
om
4.5. Essais sur êpreuven es en béton durci
e.c
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B.S.
RoyaulM
Unis
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Unis
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ISO
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mandatiotu
CP 14
eri
~ési stance ~ la trac- P 18 407 1881 /4 70 C 78·75 1048/1 OIS 4013 5 0 nov. 75
uon par OUlon C 293-74
~hi stance à la trae-[p 18 408 1881 '4 70 C 496-7 1 1048/ 1 . OI S 4108 6 0 nov. 75
non par fend age 1
Résista nce à la com-
pre ssion sur bouts de
prisme
M o d ul e d 'é last ic it é
alg1881/4 70 C1 16-74
Rb istance d u béton a u
C 666-76 CDC 1/1 9n
gel-dégel
Retrait et gonflement 9D
1881{570 C 157-75
du béton nov. 75
Essais de résistance ac-
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cè lé ré e 1881 /4 C684-74
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om
ANNEXE C
e.c
ORGANISMES ET CENTRES D'ESSAIS
plus spécialement concernés
par le béton
eri
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t , ORGANISMES INTERNATIONAUX
https://www.gcalgerie.com/
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Ann u e C - Orga nisme s et centre. d 'aasai. 19 5
om
1 SO Internat ional Sta ndard Organisa tion (Organisat io n Intcma üo nak
de N ormalisation )
& crbarwt , mirai : Case Posta le 56 121 1, Genève 20 - Suisse
Chaque pays possède ses propres normes mais participe cependan t.
dans un b ut de standard isation à l'échelon mondia l, i l'elaboration
des normes ISO
e.c
Trois sous-comités sont concemès plus paniculièrement par les
q uestions to uchant au béto n :
Sowo.('(Jmiti J (ISO(fC7 l tSC I) : po ur les essais proprement d its
Sow-romÎti l (I SO(fC7I /SC2) : pour les calculs des OU'Tages en
""on
eri
Sow-eomiti j (ISO.fTC71/SC3) : po ur la préparat ion et le contrôle
d u bètcn.
RI L E.M . Reunion Internatio na le des labora toires d "Essais de M ateria ux .
Siège : 12, rue Brancion 750 15 Pa ris La RI L.E.M . éla bore des
recommandations d 'essais
alg
.gc
2 . ORGANISMES NATIONAUX
On po urra s'y procurer les d ifferentes no rmes auxq uelles nous nons
la rgeme-nt fa it réfêrenœ
A.F.B. Association França ise d u Béton : 9, rue La Pérouse - 75016 Paris -
Tél. : 720.1020
A F. R .E. M . Associa tion Fra nçaise de Recherches et d'Essais sur les Maté--
ria ux et les constructions Branche française de la R I L.E.M.
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https://www.gcalgerie.com/
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-
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Es sais et contr61e de . bitons
om
3 . CENTRES D 'ESSAIS
e.c
C.E. METE. Centre d 'EMais des Matériaux et d'Étude des Techniques d 'f.xé.
cution - 13100 Aix-en-Provence
L'E D .F. d ispose de ce centre dans le cadre de sa Direction de
eri
I'Êquipement, 3, rue de Messine - 75008 Paris
Domoi", d 'Qct;v;/; du C.C,M ETE :
- Êtudes d'intérêt général sur des matériaux et des techniques
applicab les aux o uvrages E. D . F.
- Assista nce tech niq ue aux services d'éludes cl aux services
travaux.
e ST. B
-
la borato ire.
alg
Formation du personnel de surveillance el du personnel de
da ns les d oma ines des mat ériau x, struct ures, ouvrages et matériels
int éressant les Po nts-et-Ch aussées...
Ses études et reche rches s'étendent dans la prat ique po ur les réa-
lisatio ns concrètes d 'o uvrages d' art par l'mrermèdiaire des la bo-
ratoires régionaux.
ttp
https://www.gcalgerie.com/
-
https://www.gcalgerie.com/
/
Anne... C - Org a n is m •• et centr•• d '• • • ais 197
om
LN.E. La boratoire Nat io nal d ' Essais 1. rue Gastcn-Boissier - 750 15 Paris
- TH ; 532.2989
Rattaché adm inistrativement au Co nservato ire National des Ans
ct Mét icl"$ (CN A. M .).
Domaine d'oct;vit; du L.N. E. :
e.c
Sans être un labora toire spêcialisè, il réalise cependant des essais
Întereuant notre profession : analyses ch imiq ues et gra nulomé-
triques, nsais mécan iques courants. ét udes sur la pollution et ln
bruits, essais thermiques...
n offre par aîlleun.. la pouibiliû d'étalonnages precis pour bon
nombre de matériels des a utres laboratoires.
ser-ee de contrôle d es ma té riaux de la Ville de Pa ris 2, place
eri
V.P.
Denfert-Rochereau - 75014 Paris - Tél : BUI 20
Service de contrô le rattaché à la Directio n générale de l' Aména-
gement urba in dépendant de la Préfecture' de Pari s
DomaiM d'act;,,;,; du VP :
alg
Charge du co ntrô le d e la marq ue de q ualite N F. (N F-VP) sur les
liants hydra uliques, son acnvitè concerne esseenetternent les essais
sur cimen ls.
Plus de 70 usines soumenem leu rs 230 prod uits en viron, au conlrôle
de la Ville de Pa ris
Le la borato ire r éalise cependant d es essa is autres que ceux con-
.gc
concerne nt le ciment : gra nula ts, béto ns ..
https://www.gcalgerie.com/
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om
Es s a i. et contrllie de. b6to nl
e.c
des équipements de l'U.T.1. (Union Techn ique Interprofessionnelle du
Bâtiment et des Travaux P ublics).
Une a utre activité importante concerne les interventions et essais dits
C( commerciaux» qu i permettent aux entreprises de faire appel à des spé-
cialistes pour des essais en laboratoire ou des inte rventions directes sur
eri
chantier en tout point du globe. .
Le C.E B.T.P. participe largement à l'élaboration de normes et règles
diverses.
C.E. R I B Centre d'Études el de Recherche de t'Ind ustrie du Beton manufac-
alg
turë - B P_no 42 - 28230 Èpemcn - ni : 483 46.51
- part icipe à la recherche sur des lia nts traditionnels ou nou veaux ;
- contribue la rgement au contrô le d..:i produits de cimenteries;
- participe à la Formation et au perfectionnement des ingénie urs et
des technicie ns de l'industrie des lia nts hydrauliques.
ttp
https://www.gcalgerie.com/
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om
e.c
Rt:Ft:RENCES BIBLIOGRAPH IQUES
eri
(I l G . DREUX - Nou~au Guid~ du B~ton (Éditions Eyrolles).
[2 J G. DIlEUX - U WtOfl ~.s I-jJ lUI Materiau laid et dépa3$é. Revue Le Bâtiment-
B.f.lir. janvier 1976
https://www.gcalgerie.com/
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/
200 Essa i. et c ontr61e d e. bêt on.
om
(20) J. PAQ{."ET et M . BIUAJlD - Ccmt,6J~ lWf'I lkstructif da pieux ~ birM . Annales
I.T.B.T.P. D" 337, man 1976
(2 1 J Association Française du 1*100 : Gw;~ du bj/(m P,.oj~t~. Recommandations
pour la mise en œuvre, n" 98 bis, octobre 1977
122 1 F. GoalSSE et M. o oee - Contr6J.- rontiml M s b;rOM $lIT lUI chantier. Annales
e.c
I.T.B.T.P. nu 331 , septembre 1975
(23] M. VL'''l.:AT - La p'0tiqw cks c;~tJ fOI Ms w lons. Le Moniteur
eri
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