Séquence : Produire un texte pour présenter un fait d’Histoire Séance1 : Evaluation diagnostique. Classe : Objectifs : Activer des connaissances relatives à la situation de communication. Activer des connaissances relatives au domaine de référence dont on doit parler (l’Histoire de l’Algérie) Sensibiliser l’apprenant aux caractéristiques du discours historique Prévoir des activités selon les besoins des apprenants et selon des compétences qu’on veut installer chez eux. Reconnaitre la visée d’un texte d’Histoire. Doter les apprenants de savoirs en relation avec les supports à exploiter.
Consigne : lisez les deux textes puis complétez le tableau ci-dessous :
Texte1 : « 20 octobre, manifestation des femmes dans toute la France et particulièrement en province ; dans l’Est, à Lyon, à Marseille et dans le Nord, manifestations réprimées avec la même violence que les précédentes. Les mêmes revendications : libération des détenus, indépendance de l’Algérie ! La population algérienne en France a payé à prix très fort, les policiers se sont acharnés sur les manifestants pacifiques avec une barbarie inouïe. Malgré cette féroce répression, l’organisation du FLN en France était sortie de cette dure épreuve plus forte et la communauté émigrée plus motivée et plus soudée que jamais. » L’Association des moudjahidines de la fédération du FLN en France 1954-1962, Wilaya 7 EL-WATAN, Dimanche 17 octobre 2010, p.4. Texte2 : « Nous avions reçu des instructions de la part de nos responsables du mouvement national pour entreprendre une marche pacifique lors de la fête internationale du travail. Cette marche eut lieu dans le calme et nous avions déployé des banderoles où nous revendiquions notre liberté, notre indépendance. Notre parcours prit fin au niveau du théâtre municipal et le sous-préfet Achiary a donné l'ordre de nous disperser. La veille du 8 mai 1945, fête de l’armistice qui mettra fin à la Deuxième Guerre mondiale (...). Nos responsables nous invitèrent à défiler et à prouver au monde que nous voulions seulement notre indépendance. Le rassemblement eut lieu sur les hauteurs de la ville de Guelma à El Karmet, aux environs de 16h.. » B. A. Le soir d’Algérié.08/05/2007 Activités Texte 1 Texte2 Présenter un fait Oui : Manifestations du 20 Oui : Les événements du 8 mai 1945 d’Histoire ? octobre ( du 17au 20 octobre 1961) Les faits relatés dans ce Réels (L’Association des Réels (B. A. Le soir texte sont-ils fictifs ou moudjahidines de la fédération du d’Algérié.08/05/2007) réels ? FLN en France 1954-1962, = » la source nous garantit l’authenticité des Wilaya 7 EL-WATAN, faits Dimanche 17 octobre 2010, p.4. = » la source nous garantit l’authenticité des faits Présence d’un cadre Oui (la France, la Provence)/ 20 Oui ( à Guelma) / le 7 mai et le 8 mai à 16h) spatio-temporel ? octobre (du 17 au 20octobre 1961) Les informations Oui « manifestations réprimées Oui suivent-elles un ordre avec la même violence que les lors de la fête internationale du travail qui chronologique ? (du plus précédentes » on assiste dans ce coïncide avec le 1er mai/ La veille du 8 mai ancien au plus récent) passage à des manifestations qui 1945 = » le 7 mai / le 8 mai 1945 se sont déroulées le 20 octobre qui succèdent à celles organisées le 17 octobre 1961. Les participants à Oui (femmes algériennes/ Oui le sous-préfet Achiary/les responsables l’évènement sont-ils manifestants algériens/ du mouvement national/ les manifestants mentionnés ? l’organisation du FLN/ les algériens policiers français La visée de l’auteur Informative (Ne pas entrer dans Informative (Ne pas entrer dans les détails car les détails car la visée n’est pas la visée n’est pas uniquement informative) seulement informative) Consigne : lisez les deux textes puis complétez le tableau ci-dessous : Texte1 : « 20 octobre, manifestation des femmes dans toute la France et particulièrement en province ; dans l’Est, à Lyon, à Marseille et dans le Nord, manifestations réprimées avec la même violence que les précédentes. Les mêmes revendications : libération des détenus, indépendance de l’Algérie ! La population algérienne en France a payé à prix très fort , les policiers se sont acharnés sur les manifestants pacifiques avec une barbarie inouïe. Malgré cette féroce répression, l’organisation du FLN en France était sortie de cette dure épreuve plus forte et la communauté émigrée plus motivée et plus soudée que jamais. » L’Association des moudjahidines de la fédération du FLN en France 1954-1962, Wilaya 7 EL-WATAN, Dimanche 17 octobre 2010, p.4. Texte2 : « Nous avions reçu des instructions de la part de nos responsables du mouvement national pour entreprendre une marche pacifique lors de la fête internationale du travail. Cette marche eut lieu dans le calme et nous avions déployé des banderoles où nous revendiquions notre liberté, notre indépendance. Notre parcours prit fin au niveau du théâtre municipal et le sous-préfet Achiary a donné l'ordre de nous disperser. La veille du 8 mai 1945, fête de l’armistice qui mettra fin à la Deuxième Guerre mondiale (...). Nos responsables nous invitèrent à défiler et à prouver au monde que nous voulions seulement notre indépendance. Le rassemblement eut lieu sur les hauteurs de la ville de Guelma à El Karmet, aux environs de 16h.. » B. A. Le soir d’Algérié.08/05/2007
Consigne : lisez les deux textes puis complétez le tableau ci-dessous :
Texte1 : « 20 octobre, manifestation des femmes dans toute la France et particulièrement en province ; dans l’Est, à Lyon, à Marseille et dans le Nord, manifestations réprimées avec la même violence que les précédentes. Les mêmes revendications : libération des détenus, indépendance de l’Algérie ! La population algérienne en France a payé à prix très fort , les policiers se sont acharnés sur les manifestants pacifiques avec une barbarie inouïe. Malgré cette féroce répression, l’organisation du FLN en France était sortie de cette dure épreuve plus forte et la communauté émigrée plus motivée et plus soudée que jamais. » L’Association des moudjahidines de la fédération du FLN en France 1954-1962, Wilaya 7 EL-WATAN, Dimanche 17 octobre 2010, p.4. Texte2 : « Nous avions reçu des instructions de la part de nos responsables du mouvement national pour entreprendre une marche pacifique lors de la fête internationale du travail. Cette marche eut lieu dans le calme et nous avions déployé des banderoles où nous revendiquions notre liberté, notre indépendance. Notre parcours prit fin au niveau du théâtre municipal et le sous-préfet Achiary a donné l'ordre de nous disperser. La veille du 8 mai 1945, fête de l’armistice qui mettra fin à la Deuxième Guerre mondiale (...). Nos responsables nous invitèrent à défiler et à prouver au monde que nous voulions seulement notre indépendance. Le rassemblement eut lieu sur les hauteurs de la ville de Guelma à El Karmet, aux environs de 16h.. » B. A. Le soir d’Algérié.08/05/2007