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Niveau: LICENCE 3
(kouakep@aims-senegal.org)
2020-2021
Département de Didactiques des disciplines, F. DES SCIENCES DE L’EDUCATION, UNIVERSITE DE NGAOUNDERE
NOTE IMPORTANTE : chaque (*) marque une séquence d’un cours de 02 heures
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Notes de cours de Didactique des mathématiques, Licence niveau 3, Dr Kouakep, Univ. de NGAOUNDERE, 2020
Département de Didactiques des disciplines, F. DES SCIENCES DE L’EDUCATION, UNIVERSITE DE NGAOUNDERE
Objectifs: (1) Comprendre la théorie des situations didactiques ; (2) Comprendre que l'enseignement
des mathématiques va conduire l'élève d'une représentation concrète à une représentation plus
abstraite. Ce processus sera progressif et s‟appuiera sur les représentations actuelles des élèves pour
les faire évoluer.
Enseigner, pour un enseignant, c'est créer les conditions qui produiront à terme du savoir chez ses
élèves. Apprendre, pour un élève, c'est s'impliquer dans une activité intellectuelle dont la
conséquence est à terme la disponibilité d'un savoir avec son double statut d‟outil et objet. [19]
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« Une situation didactique est une situation où se manifeste un projet d'enseigner. C'est
l'enseignant qui met en place une situation où l'élève sera confronté à un milieu. Brousseau
fait l'hypothèse que pour chaque notion à enseigner, il existe au moins une situation
fondamentale qui sera proposée aux élèves. Cette situation est une situation-problème. La
notion à acquérir est l'outil privilégié pour la résoudre. L'élève va construire la notion en
résolvant le problème. En faisant l'analyse épistémologique et didactique de la notion, on peut
étudier les obstacles que va rencontrer l'élève et faire varier cette situation fondamentale pour
l'aider à franchir ces obstacles. Pour l‟élève, l'enjeu est de résoudre le problème et de prouver
la validité de sa solution. La finalité d'enseigner un savoir donné n'est pas première pour lui
même s'il sait que c'est le projet de l'école. On dit qu'il vit une situation adidactique qui est à
l'intérieur de la situation didactique mise en place par l'enseignant. L'enseignant cherchera à
lui laisser une grande marge d'initiative pour qu'il prenne la responsabilité de cette résolution
et soit véritablement acteur» (MENFP, 2008).
mathématiques, c'est-à-dire qui ne réussit pas en mathématiques et qui réussit dans les autres
disciplines. Il est l‟un des neuf cas étudiés entre 1980 et 1985 (au COREM - Centre
d‟Observation et de Recherche sur l‟Enseignement des Mathématiques - de Bordeaux). En
observant Gaël en classe et en lui proposant diverses situations, didactiques ou adidactiques,
Guy Brousseau a émis l'hypothèse que Gaël mettait en œuvre une stratégie d'évitement du
“conflit de savoir”. Il est possible de proposer des explications psychologiques à ce
comportement, mais ces explications ne donnent pas de moyen de corriger les évitements, et
elles centrent l'intérêt des chercheurs sur une caractéristique de l'enfant ou sur ses
compétences, au lieu de rester au niveau des conditions qui le provoquent ou qui peuvent le
modifier. Ces comportements manifestent le refus, conscient ou non, de la part de l'enfant,
d'accepter sa part de responsabilité dans l'acte de décider en situation didactique et donc
d'apprendre, face à un adulte. De cette observation a émergé le concept de contrat didactique.
Guy Brousseau définit alors le contrat didactique comme l'ensemble des “relations
[conditions] qui déterminent - explicitement pour une petite part, mais surtout implicitement -
ce que chaque partenaire va avoir à charge de gérer et dont il sera, d'une manière ou d'une
autre, responsable devant l'autre” (BROUSSEAU, 1981). La TSD produit donc des outils
théoriques spécifiques dialectiquement avec l‟observation des pratiques didactiques qui vont
mettre à rude épreuve ces outils théoriques et en produire de nouveaux. (…) Le schéma
général des interactions d‟un sujet apprenant avec un milieu est celui d‟une situation
adidactique (figure 1, Bessot-2014):
Cette situation est alors vécue par le sujet comme une situation mathématique „„dénué
d‟intention didactique‟‟. Comment faire entrer l‟élève dans ce jeu est l‟un des problèmes de
l‟ingénierie didactique (concept de dévolution). La notion de milieu est ainsi indissociable de
la notion de situation: dès que l‟on parle de situation (didactique ou adidactique) en TSD, on
sous-entend un milieu organisé par cette situation. (…) l‟intervention didactique du professeur
est nécessaire pour que des connaissances locales puissent être converties en connaissances
partagées, réutilisables, légitimées institutionnellement, c‟est-à-dire en savoirs. Une
construction autonome ne peut pas donner aux connaissances développées le statut d‟un
savoir. Seule l‟intervention didactique du professeur permet de repérer ces connaissances
canoniques dans ce qui a été conçu par l‟élève ou par les élèves dans les situations autonomes.
Ce statut de connaissance institutionnalisée ne peut surgir des situations où l‟intention
didactique est dissimulée à l‟élève. (BROUSSEAU, 1997, p. 19) Le double processus
d‟apprentissage renvoie donc à la distinction fondamentale entre savoir et connaissance, sur
laquelle nous allons nous centrer maintenant.
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Admettre que les connaissances et les savoirs traités dans les situations didactiques par
les professeurs comme par les élèves sont légitimement différents, volontairement ou
involontairement transposés des connaissances „savantes‟, est le premier „axiome‟ de la
théorie des situations (BROUSSEAU, 2000, p. 28-29) L'identification de ces deux types de
connaissances doit être faite si on veut remettre en cause la ligne de partage entre savoir et
connaissance instaurée par la transposition didactique, et si on pose qu‟elle peut être source de
difficultés. Mais cette ligne de partage est inéluctable. Les connaissances sont intimement
liées à l'histoire du sujet. Elles vont apparaître comme l'effet de la rencontre d‟un sujet avec
des situations relatives à un savoir à enseigner. Des événements, des conditions vont créer
chez le sujet des habitudes de réponse, des connaissances, etc. comme effets de ces causes
d'apprentissage. Un principe méthodologique fondamental de la théorie des situations va
consister à définir les connaissances par une situation. Les connaissances se manifestent
essentiellement comme des instruments de contrôle de situations, comme permettant des
prises de décisions, une nouvelle connaissance se caractérisant par un changement de stratégie
dans une situation. Des savoirs sont donc enseignés, mais les fonctionnalités d‟un savoir dans
une situation résultent de la coprésence implicite, c‟est-à-dire non visible, de connaissances de
nature différente. Pour illustrer cette dernière affirmation, Brousseau donne l‟exemple
suivant: Par exemple, je connais un parcours pour me rendre à un certain endroit, je sais
l‟utiliser sans erreur. Mais je suis incapable de le décrire avec précision et certitude car
j‟utilise des informations que je ne reconnais que lorsque je les rencontre dans la situation,
sans qu‟il me soit nécessaire de les avoir identifiées. J‟utilise un schéma simplifié (un plan de
la ville par exemple) qui est beaucoup plus économique pour me souvenir du trajet. Les
informations du schéma global, identifiables, sûres et articulées sont des savoirs, elles ne sont
suffisantes que grâce aux connaissances complémentaires. (BROUSSEAU, 2008, p.05)
Un savoir ne peut donc pas fonctionner dans une situation sans connaissances. En
effet, un savoir est présent dans l‟institution didactique pour des raisons logico -
mathématiques et non pas pour des causes liées au sujet et à son histoire, ou aux raisons qu'il
a eu d'apprendre. Il y a peu de chances en général que les causes d'apprentissage d'une
connaissance correspondent à des raisons de savoir cette connaissance. Ce sont des processus
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De ce fait, les problèmes mathématiques auxquels le savoir est une réponse sont
effacés (phénomène de transposition didactique). Il faut donc aussi conduire une étude non
mathématique de ce qui, dans ces organisations, les différencie, rechercher les raisons des
choix, en particulier les problèmes dont le savoir est une réponse, ce qui est admis ou non,
etc.. Par exemple, Lê Thai Bao Thien Trung (2012) dans la recherche d‟une situation
fondamentale pour concevoir une ingénierie sur la notion de limite de fonctions réelles en
classe 11 (élèves de 16-17 ans) a étudié les relations mathématiques possibles entre nombres
réels et notion de limite. Il a analysé les principales constructions (historiques et didactiques)
des réels, la place et le rôle du sous-ensemble des nombres décimaux D dans ces
constructions. Le Thai Bao à la suite de ce travail mathématique conclue qu‟une construction
cohérente de la notion de limite ne peut pas éviter une (re)construction des nombres réels, en
particulier ne peut pas éviter le problème de la décimalisation des nombres réels, outillée par
les concepts de l‟analyse et mettant au centre de cette reprise les écritures décimales
illimitées. (LE THAI BAO, 2012, p. 35). (…) Une autre étude pour un savoir donné est celle
de son utilité sociale liée le plus souvent aux causes de son émergence historique.
L‟agrégation des situations renvoie à un enjeu d‟utilité du savoir et non à un enjeu de vérité
comme c‟est le cas pour la logique du savoir».
(*) Application à l’analyse des étapes d’une leçon: cas APC (primaire et secondaire)
et l’utilité de chaque étape.
- Pour le primaire, voici les étapes clés (réparties en trois parties: objectifs
pédagogiques intermédiaires/Activités de l‟instituteur / Activité de l‟élève)
a- Eveil (objectifs pédagogiques intermédiaires : mettre l‟élève en condition d‟apprentissage)
b- Révision (objectifs pédagogiques intermédiaires : vérifier les prérequis)
c- Découverte (objectifs pédagogiques intermédiaires : découverte de la situation pédagogique)
d- Recherche (objectifs pédagogiques intermédiaires : émettre des hypothèses)
e- Confrontation (objectifs pédagogiques intermédiaires : présenter/justifier/valider la bonne
réponse)
f- Généralisation (objectifs pédagogiques intermédiaires : formuler le nouveau savoir)
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- Pour le secondaire, voici les étapes clés (réparties en trois parties: Activités de
l‟instituteur, Activité de l‟élève, Point enseignement/apprentissage, Observations):
a- (Introduction-motivation) Contrôle de prérequis
b- Situation-problème
c- Activité d‟apprentissage
d- Résumé
e- Exercice d‟application
f- (Conclusion) exercices à faire à la maison.
i) Situation d'action : elle pose à l'élève un problème dont la meilleure solution est la
connaissance visée. Elle lui permet d'agir sur ce problème. Elle lui renvoie des informations
immédiates sur l'effet de son action. On pose à des élèves de 4ème AF la question : Peut-on
tracer un triangle avec deux angles droits ? Les élèves cherchent en traçant de différentes
manières. action situation <------------------- élève --------------------> information
ii) Situation de formulation : Dans le groupe de travail, l'élève explicite son action. Il
communique avec ses camarades en langage naturel ou mathématique. La verbalisation (le
fait de mettre des mots sur son action) permet une avancée vers la conceptualisation. Le
travail autour des messages échangés (oraux ou écrits) est très riche car il oblige l'élève à
expliciter ce qu'il perçoit de manière implicite. Les élèves formulent entre eux l'impossibilité :
« ce n'est pas possible, ça monte tout droit, on ne peut pas fermer, on ne peut pas avoir une
équerre avec deux angles droits » exemples de formulations réelles d'élèves.
iv) Situation d'institutionnalisation : Au terme de ces trois étapes, une notion a été
dégagée. L'enseignant doit décontextualiser (sortir du contexte) la notion obtenue et en faire
un objet de savoir officiel. L'institutionnalisation est le passage pour une connaissance de son
rôle de moyen de résolution d'une situation d'action, de formulation ou de preuve, à un
nouveau rôle, celui de référence pour des utilisations futures, collectives ou personnelles.
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Brousseau La plupart du temps, cette connaissance découverte peut faire l'objet d'une trace
écrite dans un cahier de leçons.
v) Trace écrite : Après une situation de découverte, il est intéressant que les élèves
gardent quelque chose écrit dans un cahier de leçons pour leur rappeler ce qu'ils viennent
d'apprendre. Ce cahier peut être utilisé comme aide dans les moments de réinvestissement de
ce qui est appris. Cette description est schématique pour faire comprendre les processus
d'apprentissage (MENFP, 2008). Le niveau de taxonomie de Bloom est 3 (expliquez svp) au
1er cycle secondaire du Cameroun.
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« Un concept peut en effet être défini comme un triplet de trois ensembles (S, U, T) : S ->
l'ensemble des situations qui donnent du sens au concept; U-> l'ensemble des invariants qui
constituent les différentes propriétés du concept; T-> l'ensemble des représentations
symboliques qui peuvent être utilisées.
[Pourquoi] il est nécessaire d'étudier de tels champs [conceptuels] et non pas des concepts isolés :
(1) - Une situation donnée ne met pas en œuvre en général toutes les propriétés d'un concept.
Si l'on veut rencontrer aux élèves toutes ces propriétés; il faut nécessairement faire référence à
une diversité de classes de problèmes.
(2)- Une situation donnée ne met pas habituellement en jeu un seul concept; son analyse
requiert le plus souvent plusieurs concepts, et les difficultés rencontrées par les élèves
relèvent en général de plusieurs concepts. Par exemple, les problèmes d'addition et de
soustraction peuvent impliquer les concepts de mesure, de transformation, de comparaison, de
différence, d'inversion, d'opération unaire, d'opération binaire, de nombre naturel, de nombre
relatif, de fonction, d'abscisse et d'autres encore.
“Théorèmes en acte” : « L'enfant rencontre un grand nombre de tels théorèmes lorsqu'il agit
sur le réel et qu'il résout des problèmes dans l'espace, dans le temps, dans le domaine des
quantités et des grandeurs. Ces théorèmes-en-acte ne sont évidemment pas exprimés sous une
forme mathématique, ni même parfois sous une autre forme. C'est la raison pour laquelle je
les appelle "théorèmes-en-acte". Ils n'ont souvent qu'une validité locale pour les enfants, et
sont associés à certaines valeurs des variables, mais c'est là une première base qui pourra être
élargie par la suite »). Un exemple de "théorèmes-en-acte" est celui où l‟élève dit : « pour
résoudre X+(-2) = (+3), on "passe" (-2) à droite qui devient (+2), pour avoir X = (+2) + (+3)
et donc X = +5 ». Nous savons tous que la vraie opération est une addition membre à membre
de l‟opposé (+2) de (-2).
(On prendra une leçon modèle du primaire sur le nombre « 5 » à la SIL et une autre en 6ème) .
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- Erreur :
- Institutionnalisation :
- Objectif, Problématique :
- Procédure :
- Procédure experte :
- Procédure personnelle :
- Séance :
- Séance d‟apprentissage :
- Situation-problème :
- Tâche :
- Validation :
- Variable didactique :
• Les attentes des élèves ; • En raison de leurs habitudes et des règles qu‟ils ont
façonnées, les élèves risquent de manifester frustration ou évitement ;
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- Chevallard Y. (1985), Du savoir savant au savoir enseigné, ed. Pensée sauvage, Grenoble, 2ème édition.
- Verret (1975), Le temps des études, 2 volumes, ed. Honore Champion, Paris.
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Quelles sont les informations que vous pouvez tirer de cette couverture de programme?
ACTIVITE 2 (Orale)
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- projet pédagogique
- fiche de progression
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Institutionnalisation
c) « Les indices donnés par l‟élève (ou le groupe) en rétro information, sur le traitement
qu‟il fait de l‟information qui fait l‟objet de la tâche Les productions des élèves et le
langage non-verbal »
- Les règles élaborées par les élèves sont le plus souvent implicites et laissent parfois
surgir le désarroi L‟enseignant adapte son intervention au niveau accessible à l‟élève ».
cheminement, le point de rupture à partir duquel la question est reformulée n‟étant pas le
même. (DeBlois, 2008) »
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F. Poyet (2009), « Impact des TIC dans l‟enseignement : une alternative pour
l‟individualisation ? », Dossier d‟Actualité de la Veille Scientifique et Technologique,
n°41, pp.1-12, 2009.
- EPT : éducation pour tous : quelques stratégies pour tenir compte des élèves déficients.
Sources :
1- Petit Dictionnaire de L.S.F. à l’usage des élèves et des enseignants » dont voici les extraits
pour les mathématiques (page 13 à 19
2- Thot cursus (2020), WhatsApp, un outil technologique au potentiel pédagogique encore peu
exploité,https://cursus.ed/articles/42613/whatsapp-un-outil-technologique-au-potentiel-
pedagogique-encore-peu-exploite 16 Mai 2019, consulté le 21/07/2020.
3- Kouakep T.Y., Le SMS, Outil d‟autoformation et de suivi pédagogique en continuité de la
classe en Afrique, Premier Colloque International sur la Formation et l‟Enseignement des
Mathématiques El Jadida-Maroc, 07-08 Avril 2016.
Indications bibliographiques
Ben Kilani Imed (2010), ED 216 Didactique des mathématiques et formation des
enseignants du premier cycle de l‟école de base, Institut Supérieur de l‟Education et de la
Formation Continue.
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