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Guide du professeur
Étincelle
SVT2
Sciences de la Vie et de la Terre
e
AC
Le photocopillage, c’est »
l’usage abusif et collectif de la DANGER
photocopie sans autorisation
.des auteurs et des éditeurs
Largement répandu dans les
établissements scolaires, le
photocopillage menace l’avenir
du livre, car il met en danger son
LE
équilibre économique. Il prive
les auteurs d’une équitable PHOTOCOPILLAGE
. TUE LE LIVRE
En dehors de l’usage privé du
R NS
E
généraux, les prérequis, le prolongement, le Problème à résoudre : de
chaque unité.
PH
La présentation de chaque chapitre comprend : programme : Notions
et contenu, les prérequis, le prolongement, les objectifs spécifiques,
ST IO
ne pas traiter et le Problème à résoudre :.
La présentation de chaque activité comprend une double page en
O
miniature, les objectifs d’apprentissage, les capacités à développer, le
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Problème à résoudre :.
Chaque activité débute par une «mise en situation», présente des
pistes d’exploitation de chaque document et se termine par «pour
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E
PH
ST IO
O
O IT
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D’autre part, et vu que la formation d’un bon citoyen nécessite une collaboration entre les dif-
férents intervenants, nous avons opté à mettre en relief le rôle essentiel de l’interdisciplinarité
qui est un processus par lequel les apprenants arrivent à démontrer qu’ils sont capables de
rassembler des concepts, des méthodes ou formes de communication issus d’au moins de deux
disciplines, pour expliquer un phénomène, résoudre un problème, créer un produit ou soulever
de nouveaux problèmes qui avaient un sens unidisciplinaire.
Ce guide a été élaboré en s’appuyant sur les orientations pédagogiques et les programmes du
cycle collégial des Sciences de la Vie et de la Terre Août 2009, des travaux des recherches en
didactique des SVT et en psychologie cognitive. Ce guide pédagogique a été conçu pour aider
I. Gestion du programme
1. Assurer une vision globale
L’apprenant ne peut en aucun cas comprendre, assimiler et mobiliser des connaissances frag-
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mentés, d’où la nécessité d’une vision globale, approfondie de la compréhension des phéno-
mènes biologiques, géologiques et écologiques.
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L’approche systémique permet de connaître les relations entre les composantes des diffé-
rents phénomènes et l’établissement d’interactions transversale et verticale entre les notions
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scientifiques étudiées.
Malgré l’importance de cette approche systémique dans l’atteinte des objectifs de l’ensei-
O
gnement par compétences, l’approche analytique reste aussi utile dans certaines situations
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à avoir une vision globale sur la tectonique des plaques comme théorie qui essaie d’expliquer
les différents phénomènes géologiques internes. Cette unité comporte 6 chapitres dont cha-
cun contribue à cette vision globale. Ce qui nécessite d’aborder chaque chapitre d’une façon
globale et d’assurer le lien entre les différentes activités qui le constituent et donc avoir une
idée intégratrice qui sert comme élément essentiel dans toute l’unité. C’est ainsi que :
- Le chapitre 1 permet à l’apprenant de prendre connaissance de la théorie de la dérive des
continents et des arguments en faveur, et ce dans le but de construire la notion de plaque
lithosphérique. Une question principale peut-être élaborée concernant les différents phé-
nomènes géologiques en relation avec cette tectonique « Quelles relations existent entre la
tectonique des plaques et les différents phénomènes géologiques internes ? ».
- Le chapitre 2 permet à l’apprenant de déduire la notion de séisme, son origine en relation
avec la tectonique des plaques et l’importance des ondes sismiques dans la construction
d’un modèle explicatif de la structure interne du globe terrestre.
- Le chapitre 3 permet à l’apprenant de découvrir le mécanisme des éruptions volcaniques
en relation avec la tectonique des plaques.
- Le chapitre 4 permet à l’apprenant de différencier entre roches volcaniques et plutoniques,
ainsi que mise en évidence de la relation du volcanisme avec la tectonique des plaques.
- Le chapitre 5 permet à la prenant de distinguer les différents types de déformations tecto-
niques en relation avec la nature des roches et les forces qui les provoquent et qui sont dues
aux différents phénomènes liés à la tectonique des plaques.
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2. Prendre en considération les niveaux de formulation dans la construction des
notions scientifiques
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L’abstraction et la généralisation permettent à l’apprenant de construire des notions scien-
tifiques. Cette construction nécessite la diversification des exemples, car elle permet de
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dissocier la notion du support ayant permis sa construction. Elle permet aussi de montrer
l’importance de la dernière phase de la démarche scientifique qui est la généralisation du
phénomène observé.
O
O IT
Les caractéristiques des situations et le développement des capacités des apprenants sont
à l’origine de l’évolution des notions, de leur classification et leur signification de telle sorte
que l’apprenant devient capable de les enrichir, de les approfondir et de les diversifier.
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Une même notion peut avoir plusieurs significations selon les acquis et les expériences des
apprenants. La notion d’un phénomène évolue verticalement ce qui explique l’importance de
la gradation spiralaire d’une notion en fonction des niveaux d’apprentissage au collège et au
lycée.
Les caractéristiques fondamentales d’une notion scientifique sont basées sur la généralisa-
tion, la restructuration, la diversification des exemples, la reformulation et l’interaction entre
deux ou plusieurs notions. Ses caractéristiques facilitent l’utilisation des termes de façon glo-
bale et synthétique pour résoudre des problèmes.
La notion construite n’est pas isolée mais elle a une situation spiralaire croisée avec d’autres
notions. Elle est en étroite relation transversale avec d’autres notions disciplinaires et non
disciplinaires.
En conclusion, l’acquisition d’une notion scientifique est un processus efficace de la part de
l’apprenant car il fait appel à une réorganisation de la structure cognitive ce qui impose la
mobilisation de situations d’enseignement-apprentissage adéquates assurant la construction
correct d’une notion données.
À ce niveau, certaines notions sont ciblées, et leur construction doit prendre en considération
leur niveau de formulation. À titre d’exemples :
- Même si les phénomènes géologiques internes n’ont pas été traités pendant l’enseigne-
ment primaire, quelques représentations à ce titre peuvent-être présentes chez l’appre-
nant. L’enseignant doit donc essayer de corriger celles qui sont erronées tout en respectant
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niveau de développement cognitif des apprenants. Le tableau ci-dessous présente les acquis, le ni-
veau de formulation à atteindre et les prolongements possibles pour l’une des notions traitées.
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Notion Les acquis Niveau adapté au cycle collégial Niveau adapté au cycle secondaire
ST IO
qualifiant
condaires
3. L’interdisciplinarité
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• Plaque lithosphérique • Roches volcaniques
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• Séismes • Expansion des fonds océaniques
• Tectonique des plaques • Subduction
PH
• Structure interne du globe • Chaînes de montagnes
• Volcans
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Physique Français Informatique اللغة العربية
Maths
chimie
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• Symétrie d’un point • Pollution • Production de • Mise en forme
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usuelles par rapport à molécules ticle de • Mise en page et ،لموضوع معين (مهارة التقديم
une droite • Pression journal impression ) الخالصات،محتوى الموضوع
• Axe de symétrie
Remarque :
Les matières non mentionnées dans le tableau ci dessus ne se recoupent pas avec les SVT
pendant ce semestre. Cependant, des notions qui sont en relation avec le thème interdisci-
plinaire de l’unité ne sont traitées qu’au deuxième semestre, ou ont été enseigné pendant les
niveaux scolaires précédents.
اﻟﺘﺮﺑﻴﺔ اﻻﺳﻼﻣﻴﺔ
: اﳌﻀﺎﻣﻦﻴ
: • ﻣﻔﻬﻮم اﳌﺴﺆوﻟﻴﺔ وأﻧﻮاﻋﻬﺎ وﻣﻘﻮﻣﺎﺗﻬﺎ
ﻣﻔﻬﻮم اﳌﺴﺆوﻟﻴﺔ-
اﻟﺘﺤﲇ ﺑﺎﻻﻣﺎﻧﺔ، ﻗﻮة اﻟﺸﺨﺼﻴﺔ: ﻣﻘﻮﻣﺎﺗﻬﺎ-
... ﺷﺎﻣﻠﺔ، اﺟﺘﺎﻤﻋﻴﺔ، دﻳﻨﻴﺔ: أﻧﻮاع اﳌﺴﺆوﻟﻴﺎت-
: • اﻟﻘﻮة ﺻﻔﺔ اﳌﻮﻣﻦ اﻟﺼﺎدق
واﻟﻔﻜﺮ واﻟﻌﺰﻤﻳﺔ، ﻗﻮة ﰲ اﻟﻌﻠﻢ،ﻗﻮة اﻹﻤﻳﺎن واﻟﻴﻘﻦﻴ
R NS
...واﻹرادة
E
• اﻟﺒﺼﺮﻴة واﻟﺘﺤﻜﻢ ﰲ اﻟﻨﻔﺲ
PH
ST IO
Patriotisme
et responsabilité
individuelle
O et collective
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Les catastrophes
• La pression
naturelles :
• Les atomes et molécules
• Les seismes
• Les volcans
Unité 2 :
Français Informatique التاريخ والجغرافيا اللغة العربية الرتبية اإلسالمية الرتبية األرسية
• Production • Mise en دراسة:• معالجة السلوك املجتمعي • التدريب عىل محاكاة • سكان املغرب تعزيز معرفة... •
de forme d’un ta- أدوار اجتامعية انطالقا دميوغرافية من خالل مساءلة الواقع املتعلم بذاته يف
l’écrit : rédi- bleau • املغرب ومؤرشات واملألوفات انطالقا من مرجعية من مواقف داخل بعدها الجسمي
والنفيس االجتامعي
ger un texte • Graphiques التنمية البرشية ... القيم واألحكام اإلسالمية من األرسة او املجتمع
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وذلك عرب تحديد
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ou article de • Mise en page • قضايا تعيق التنمية،لحل مشكالت سكانية أجل تنمية السلوك األرسي
واالجتامعي السليم مرحلة البلوغ التي
journal pour et impression املستدامة وحقوقية وبيئية متيزها والتأثريات
• تنمية السلوك الصحي
PH
exprimer son التي تواكبها عىل
السليم لدى املتعلم وفق
point de vue املستوى العقيل
منهج اإلسالم يف الوقاية
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et le justifier. والوجداين
بإقدارهم عىل،والعالج
اكتساب العادات والسلوكات
O الصحية املالمئة وتبني التدابري
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Remarque :
Les matières non mentionnées dans ce tableau ne se recoupent pas avec les SVT pendant
ce semestre. Cependant, des notions qui sont en relation avec le thème interdisciplinaire de
l’unité ont été traitées pendant le premier semestre, et sont considérées comme des prére-
quis pour élaborer une activité interdisciplinaire pendant ce semestre.
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Les évaluations diagnostique, formative et sommative sont des leviers essentiels pour mettre
en place une pédagogie différenciée. Sans elles, nous n’avons que peu de chance pour ré-
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pondre au défi de l’hétérogénéité. Avec elles tout devient possible.
Il faut choisir différents outils et différentes situations d’apprentissage, afin que chaque ap-
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prenant puisse progresser.
* La différenciation pédagogique concerne à la fois les apprenants présentant des fragilités ou
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des difficultés installées, mais aussi les apprenants plus habiles au rythme de travail rapide.
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L’enseignant analyse à priori la situation afin de mettre en évidence les capacités préalables
que l’apprenant doit nécessairement maîtriser. Il s’agit de répéter les acquis des apprenants,
de repérer les procédures mentales, de déterminer l’aide à apporter à l’aide d’évaluation
diagnostique, d’entretien d’explication et d’aide personnalisée.
• Pendant les apprentissages :
Selon l’objectif de la séance et les difficultés repérées, l’enseignant peut :
- Différencier les organisations de travail : travail individuel ou en binôme, prise en charge
d’un groupe homogène par l’enseignant ou gestion en collectif.
- Différencier les outils disponibles : cahier, affiche, dictionnaire.
- Différencier par les contenus, les procédés par étape, complexifier la tâche, varier les supports.
- Différencier par le guidage : aide à la reformulation des consignes, lecture d’un énoncé,
proposition d’exemples.
- Différencier par le rôle attribué aux apprenants.
• À la fin et après les apprentissages :
Gérer la remédiation avec les apprenants en difficulté, proposer d’analyser l’erreur, expliciter
par d’autres démarches et supports, utiliser le tutorat apprenant, prévoir des activités d’enri-
chissement (les tâches complexes par exemple), prévoir des activités en autonomie, prévoir
des groupes de besoin en aide personnalisée, redonner confiance à l’apprenant, pointer les
réussites….
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Objectif : favoriser l’entraide / les interactions.
1. 3. Exemples de différenciation dans le manuel SVT 2 AC :
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• Variables à différencier : Gestion des tâches en respectant les capacités.
- Activité 1 page 26 du manuel : Les manifestations d’un séisme
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Activités du premier groupe d’apprenants : Calcul de la vitesse de propagation des ondes
sismiques dans les différentes stations en utilisant les données du document 4 (page 27).
O
- Activités du groupe 2 : Proposer un tableau qui présente les valeurs des distances de
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chaque station par rapport au foyer et des temps nécessaires à l’arrivée des ondes sis-
miques à la station afin de calculer la vitesse de propagation des ondes sismiques.
• Variables à différencier : Gestion du temps
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2. La pédagogie de projet
2.1. Qu’est-ce que la pédagogie de projet ?
Cette appellation réfère à un modèle d’enseignement issu du courant socioconstructiviste.
C’est un processus ou une démarche qui mène à une communication ou à une action. En
effet, les apprenants se fixent d’abord un but commun ; ils anticipent ensuite à la démarche,
les moyens et les opérations et ils avancent progressivement vers une production ou une
action. En d’autres termes, c’est une approche pédagogique au sein de laquelle l’ensei-
gnant (e) est un médiateur entre l’apprenant et les savoirs. L’apprenant, durant la démarche
de projet, construit activement ses savoirs en interaction avec les autres apprenants et l’en-
vironnement.
2.2. Étapes d’un projet pédagogique
a. Étape préparatoire
Cette étape permet à l’apprenant et à l’enseignant (e) de choisir le projet collectif. Elle
vise entre autres à consigner les objectifs et les critères d’apprentissage et de développe-
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c. Étape d’évaluation
Lors de l’étape d’évaluation, les apprenants et l’enseignant (e) décident des réussites et
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des améliorations collectives, d’équipes et individuelles à retenir pour un projet collec-
tif ultérieur. Finalement, chaque apprenant sélectionne des documents à insérer dans son
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portfolio avec le bilan du projet.
Quoi : Réaliser une maquette d’un volcan et l’installer dans un coin de la classe, ou du labo-
ratoire.
Pourquoi :
• Connaître qu’un volcan est composé d’une cheminée et d’une chambre magmatique.
• Comprendre que la pression des gaz est le moteur principal d’une éruption volcanique.
• Comprendre que plus la pression des gaz est élevé plus l’éruption est explosive.
Pour qui : pour le groupe classe et les autres apprenants de l’établissement scolaire ou de
la famille pour leur montrer comment fonctionne un volcan et les dangers que l’on court en
vivant à proximité.
Comment : selon le matériel (de la terre, du papier mâché ou de la pâte à sel...
1 kg de farine blanche, 500 grammes de sel, de l’eau, 4 cuillères à soupe d’huile et du colo-
rant (ou de la peinture)).
Prendre une plaque en polystyrène (ou en bois) d’environ 40 cm de côté et de 5 cm d’épais-
seur, une bouteille en plastique à insérer dans la plaque.
Fabriquer un volcan autour de la bouteille avec de l’argile. N’oublier pas de faire le trou du
volcan avant de peindre la maquette.
Pour activer le volcan, le remplir de vinaigre mélangé à de la gouache (peinture à l’eau)
rouge puis une bonne pincée de bicarbonate de soude ou de la craie écrasée. Les bulles
formées par la réaction chimique débordent en entraînant le liquide avec elles.
Réalisation
C’est l’occasion d’initier les apprenants à utiliser le journal de bord dans lequel ils peuvent
signaler :
- Un plan provisoire du projet, répartition des tâches (travail en collaboration) ;
- Collecte des données ;
- Traitement des données ;
- Mise en place du projet.
Évaluation
A. Évaluation du projet
- Réussite ou échec du projet : déterminer les causes en cas d’échec.
- Réaliser un bilan du projet.
- Élaborer une trace écrite sur le journal de bord de l’apprenant.
B. Évaluation de la production des apprenants avec une possibilité d’organiser un débat
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autour de la production évaluée.
PH
Exemple d’un projet à réaliser pendant le déroulement de la deuxième unité de la deu-
xième Année du cycle collégial Projet : Réaliser un jardin pédagogique au collège
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Préparation
Quoi : La mise en place d’un jardin pédagogique
Où : Dans une superficie de la cours de l’établissement
O
Pourquoi : Appliquer des techniques de multiplication végétative
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Remarque :
Une préparation du matériel nécessaire est indispensable avant la séance.
Réalisation
L’apprenant participe à la mise en place de la maquette selon les arguments proposés dans
l’hypothèse (taille des sédiments, vitesse du courant d’eau, topographie..).
Évaluation
Évaluation de la production
- Interprétation des résultats ;
- Validation ou réfutation de l’hypothèse ;
- Tirer une conclusion sur les agents et les facteurs responsables de l’érosion et du transport
des sédiments.
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Être indépendant au sens physique et de la pensée ; Faire seul une tâche, une activité... et
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tenter de la réussir.
PH
Le travail autonome trouve sa place dans plusieurs situations d’apprentissage :
• Au premier semestre :
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Lors de la mise en relation des échantillons de roches magmatiques (volcaniques et pluto-
niques) et la détermination de leurs structures.
O
• Au deuxième semestre :
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Lors de la réalisation de la maquette d’un volcan par un groupe d’élèves.
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• Au cours du 2e semestre, à titre d’exemple :
Lors de la mise en place du jardin pédagogique.
PH
Comment gérer le travail de groupes en classe ?
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a. Former des groupes :
• Former des groupes plutôt hétérogènes de 4 à 5 apprenants ;
O
• Chaque groupe travaille sur un rythme ;
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• Laisser les apprenants prendre connaissance des consignes (questions, Problème à ré-
soudre :, objectifs à remplir, tâches à réaliser…).
c. Répartir le travail de chacun au sein des groupes :
• Laisser dans un premier temps les apprenants se répartir le travail ;
• Guider leur choix si nécessaire. Dans ce cas deux possibilités peuvent être envisagées :
- Chaque apprenant répond à une question et le rapporteur lit les réponses à toute la classe ;
- Chaque apprenant travaille en fonction de ses compétences. Des rôles sont attribués à chacun ;
- Le chef d’équipe gère le travail, le niveau sonore du groupe ;
- Les chercheurs répondent aux questions ;
- Le secrétaire rédige les réponses au propre ;
- Le rapporteur présente le travail à l’oral.
d. Rechercher et rédiger :
• Estimer un volume horaire pour répondre aux questions et rédiger au propre les réponses.
• Le professeur en profite pour remédier aux difficultés des apprenants.
e. Mise en commun :
• Le rapporteur de chaque groupe présente le travail de son équipe à la classe.
• Le professeur corrige et évalue le travail de chaque groupe.
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1. La démarche de résolution de problèmes
PH
La résolution de problème peut-être un acte intellectuel complexe, elle est aussi une straté-
gie d’enseignement utilisé pour susciter l’apprentissage. Mais il n’y a résolution de problèmes
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que s’il y a réellement «problème» pour celui qui apprend ; nous ne parlons plus, dans ce cas,
de «résolution» de problème mais bien d’une situation particulière, la «situation problème».
En effet, si l’enseignant (e) développe des stratégies d’enseignement et d’apprentissage par
O
résolution de problèmes, c’est avant tout pour que ses apprenants mettrent en œuvre des dé-
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recherches personnelles. Chacun des apprenants recueille l’information qui répond aux ob-
jectifs établis dans la phase précédente à l’aide de diverses ressources ou supports.
PH
Phase 3 avec le groupe classe : la présentation, la discussion, la synthèse et la vérification
des informations acquises dans la phase précédente permettent à l’apprenant de tester ses
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nouvelles connaissances et de relier l’ensemble des concepts requis pour comprendre et ré-
soudre le problème.
O
Remarque :
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Une quatrième phase peut-être ajoutée. Celle qui concerne l’évaluation de chacune des
étapes précédentes. L’apprenant est amené à identifier ses points forts et les points à amé-
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connaissance qu’une personne à une manière d’apprendre et des stratégies. Elle repose, d’autre
part, sur la capacité de cette personne à réguler ou à ajuster ses stratégies.
PH
Les stratégies métacognitives peuvent servir autant à planifier ou à évaluer une tâche qu’à sou-
tenir la motivation ou à contrôler les émotions. La plupart des apprenants qui ont des difficul-
ST IO
tés d’apprentissage ont cependant des problèmes à utiliser ces stratégies. Cette situation tend
à maintenir la dynamique «expériences d’apprentissage négatives-problèmes de motivation».
Les enseignants doivent montrer à l’apprenant comment utiliser les stratégies métacognitives
O
afin de briser cette dynamique.
O IT
2. Démarche d’investigation
La démarche d’investigation est issue des méthodes d’enseignement dites actives dans les-
AP ED
quelles l’apprentissage de l’apprenant résulte en grande partie des activités qu’il déploie
selon des choix qui lui sont propres et en autonomie (deux conditions considérées comme fa-
vorisant une motivation intrinsèque et donc propice a l’apprentissage). Cependant ces choix
ont été préalablement prévus et orientés par le professeur lors de l’élaboration de la séance.
L’activité est construite autour d’une situation déclenchante accompagnée d’un questionnement
qui a une réelle signification pour les apprenants et une valeur autre que scolaire. Le but est de :
- faire émerger les représentations des apprenants face à une situation qui fait sens pour eux ;
- favoriser la prise d’initiative ;
- déclencher la mise en œuvre de compétences à travers les tâches qu’ils choisiront de développer.
Au sein de groupes restreints les apprenants :
- confrontent :
• leurs représentations à celles de leurs camarades (situation favorable aux « conflits » sociocognitifs) et
• leurs représentations aux résultats des expériences réalisées pour les vérifier : situation favo-
rable aux « conflits » cognitifs (l’enfant se rend compte du manque d’efficience de ses représenta-
tions antérieures) et au phénomène d’accommodation (l’enfant recherche et intègre les nouvelles
connaissances qui rétablissent un nouvel équilibre cognitif : il apprend),
- négocient et s’organisent entre-eux (interactivité).
Ainsi les connaissances et les savoir-faire acquis résulteront (pour une grande part) de l’acti-
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problème scientifique à résoudre
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Les apprenants expriment leurs conceptions premières, posent des questions, donnent leur
avis (importance de garder trace de ce questionnement initial pour mesure des progrès en fin
PH
de séquence)
L’enseignant :
ST IO
- Organise les premières confrontations.
et
O
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Choix d’une situation déclenchante : objet, image, vidéo ou texte accompagné d’un ques-
tionnement (sous forme de problème ouvert, de défi, de paradoxe...) permettant de révéler
R NS
E
les représentations des apprenants et la mise en œuvre de leurs capacités.
ÉTAPES Description de l’étape et activités des apprenants Rôle du professeur
PH
Appropriation- Définition et clarification des termes et desconcepts Le professeur guide et
ST IO
Analyse du pro- évoqués. Extraction d’informations pertinentes et/ou oriente les apprenants.
blème posé ou recherche d’informations complémentaires. Analyse
du problème de la situation sous différents angles (points de vue).
qui se pose.
O Relève des paradoxes, les contradictions éventuelles
de la situation. Recherche d’exemples et de contre
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exemples.
Phase d’Inves- Confrontation : Mise en œuvre des différentes solu- Qu’observez-vous? Que
tigation ou de tions ou hypothèses retenues. Exploitation de mé- faites-vous ?
Résolution de thode et/ou de résultats. Recherche documentaire. Pourquoi le faites-vous?
problème. • Démarche d’investigation : Comment pourrait-on faire ?
- Confrontation-expérimentation ; Est-il possible de s’y prendre
- Expérimentation, étude de l’influence de paramètres autrement ?
Comment pourrait-on inter-
;
préter cela ?
- Validation ou non des hypothèses.
Comment pourrait-on classer
• Résolution de problèmes : ?
- Mise en œuvre des solutions proposées et vérifica- Qu’est-ce qu’on peut mettre
tion de leur pertinence. ensemble ?
Collecte ré- Un membre de chaque groupe présente le travail ef-
sultats - Dé- fectué et les résultats obtenus au reste de la classe.
bat-Évaluation
des informa-
tions
recueillies.
R NS
E
Institutionnali- Synthèse : Le professeur reprend lamain
sation. Le professeur reprend la main pour : pour l’analyse deséléments,
PH
- L’analyse des éléments, des faits et des concepts à des faits etdes concepts à
retenir. retenir etla rédaction des
- La rédaction des connaissances (en étroite relation connaissances.
ST IO
avec le contexte mis en jeu dans l’activité).
Réinvestisse- Exercice ou activité expérimentale cible(e) : S’assurer que les apprenants
ment
O Mobilisation (réinvestissement) des connaissances ont bien intégré les savoirs
O IT
3. Démarche expérimentale
La démarche expérimentale est une démarche pédagogique qui oblige le professeur à en-
seigner par problème scientifique. Elle constitue un raisonnement rigoureux par lequel on
soumet des hypothèses à l’épreuve des faits.
La démarche expérimentale se déroule en plusieurs étapes, que résume le sigle OPHERIC :
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E
d’expérience mais d’une manipulation. L’expérience comprend donc une phase mentale
et une phase manuelle (E3) ;
PH
• r épéter plusieurs fois l’expérience pour s’assurer qu’elle conduit toujours aux mêmes résultats (E4).
* Analyse des résultats (R)
ST IO
L’analyse des résultats d’une expérience nécessite trois phases.
a. Constat des résultats
O
Les résultats sont présentés systématiquement sous forme de tableau, ce qui en facilite la lecture.
O IT
La lecture verticale du tableau permet de constater les changements entre le début et la fin
de l’expérience.
b. Interprétation des résultats de l’expérience (I)
AP ED
R NS
E
rubrique «Pistes de travail».
Pendant cette phase l’enseignant (e) oriente les apprenants dans leurs recherches, répond à
PH
leurs questions et apporte des aides de connaissances ou méthodologique.
Phase 3 : synthèse (en groupe classe)
ST IO
Les apprenants présentent leurs productions en réponse aux tâches demandées. Elles
sont discutées, vérifiées afin d’élaborer une réponse acceptable et qui sert de nouvelle
connaissance.
O
O IT
Remarque :
La gestion de la séance peut-être selon deux modalités :
Les tâches qui se rapportent à un objectif donné sont réalisées pendant les deux phases 2 et
AP ED
3 et qui aboutissent à une connaissance élémentaire. Ces deux phases sont reprises pour les
autres objectifs et donc de nouvelles connaissances sont construites.
Les tâches sont réalisées en une seule fois (pendant la phase 2) et qui aboutiront en un en-
semble de connaissances. Lors de la phase 3, les productions sont présentées et organisées
avec l’orientation de l’enseignant (e).
Dans l’une ou l’autre des modalités choisies, une étape de synthèse, et qui constitue une so-
lution du problème, est proposé sous forme d’une tâche de synthèse dans la rubrique «Pour
conclure».
À la fin de la séance (réalisation de l’activité) une évaluation formative et indispensable pour
accompagner l’apprenant dans l’acquisition de l’habileté de la résolution de problèmes et
aussi d’assurer l’intégration des nouvelles connaissances et leur transfert et donc une trans-
formation de la structure cognitive de l’apprenant.
IV. Évaluation
L’évaluation, qui consiste à porter un jugement sur les apprentissages, permet de recueillir,
d’analyser et d’interpréter des données en vue de répondre à des décisions pédagogiques.
Cette évaluation peut concerner à la fois des acquis notionnels, des capacités ou des attitudes.
Pour l’apprenant, l’évaluation permet de :
R NS
E
L’évaluation par les pairs et l’auto-évaluation peuvent constituer des éléments importants dans
les plans d’évaluation formative.
PH
L’évaluation sommative est conçue pour apporter des preuves permettant d’évaluer l’accom-
plissement des apprentissages à l’aide des critères d’évaluation prescrits spécifiquement.
ST IO
1. Les formes d’évaluations
a. L’évaluation diagnostique :
O
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C’est une évaluation qui intervient en début d’apprentissage. Elle n’est pas notée, et elle
est censée proposer des repères pédagogiques, didactiques et méthodologiques fonda-
mentaux. C’est une évaluation qui offre une vision globale et claire sur la réalité de la classe
AP ED
(besoins des apprenants, lacunes, potentialités, ...) et qui oriente les choix didactiques ini-
tiaux (élaboration des projets pédagogiques, définition des contenus, des démarches, ...).
b. L’évaluation formative :
L’évaluation formative a pour fonction de favoriser la progression des apprentissages et de
renseigner l’étudiant et l’enseignant sur les acquis ou les éléments à améliorer. Elle vise des
apprentissages précis et relève d’une ou de plusieurs interventions de nature pédagogique.
Elle est effectuée en cours d’activité et vise à faire état des progrès des apprenants et à leur
permettre de comprendre la nature de leurs erreurs et des difficultés rencontrées. Elle peut
être animée par l’enseignant, mais peut aussi se réaliser sous forme d’autoévaluation ou de
rétroaction par les pairs. Aucun point, note ou pourcentage n’y est associé.
c. L’évaluation sommative :
L’évaluation sommative ou certificative a pour fonction l’attestation ou la reconnaissance des
apprentissages. Elle survient au terme d’un processus d’enseignement et sert à sanctionner
ou à certifier le degré de maîtrise des apprentissages des apprenants. Elle est sous la respon-
sabilité de l’enseignant et doit être réalisée de façon juste et équitable en reflétant les acquis
des apprenants.
Évaluations diagnostique, formative et sommative
L’évaluation des acquis des Apporte de l’information sur Dresser un bilan des
apprenants fournit un état des lieux. les acquis en construction. connaissances et des
Que savent-ils déjà ? Sur quelles Permet de situer la progres- compétences d’un appre-
compétences peut-on compter ? sion de l’apprenant par rap- nant.
Les acquis préalables nécessaires port à un objectif donné.
sont-ils bien en place ? Aboutit à une remédiation.
À qui font-ils défaut ?
(Pourquoi ?)
R NS
E
ment à l’apprenant tels qu’ils sont.
PH
Au début d’une unité, d’un Effectuée au cours des appren- A la fin d’un apprentis-
Moment (quand ?)
• En les écoutants.
• En corrigeant leurs exercices.
AP ED
Un test diagnostique qui repose sur Des occasions de production Un devoir surveillé qui
les préacquis en relation avec le individuelle ou collective porte sur les notions et
programme de l’unité. librement choisie seront mé- les capacités dévelop-
nagées afin de permettre l’ex- pées pendant une pé-
(comment ?)
tés développées.
mais sources de progrès.
La co-évaluation
et l’auto-évaluation seront
encouragées.
Non noté. Non noté. Une note peut être attri- Noté. D’où l’importance de
une note ?
Mettre
2. L’évaluation critériée
L’évaluation critériée est un mode d’évaluation où la performance du sujet dans l’accomplis-
sement d’une tâche spécifique est jugée par rapport à un seuil ou à un critère de réussite, dé-
R NS
terminé lors de la formulation du ou des objectifs explicitement visés, indépendamment de
E
la performance de tout autre sujet. Cette évaluation est différente de l’évaluation normative
qui est un mode d’évaluation où la performance d’un sujet est comparée à celle des autres
PH
personnes d’un groupe de référence d’après un même instrument.
ST IO
Avant de procéder à l’évaluation, les critères retenus pour celle-ci sont présentés aux appre-
nants. Les grilles d’évaluation sont présentées, et les attentes pour atteindre les niveaux les
plus élevés sont définies. Il n’y a donc pas d’effet-surprise pour l’apprenant lors de la réalisa-
O
tion du travail, car les critères et les attentes sont connus de celui-ci.
O IT
3. L’autoévaluation
L’autoévaluation des apprenants est le processus par lequel l’apprenant recueille des données
AP ED
et réfléchit à son propre apprentissage… [C’est] l’évaluation, par l’apprenant, de ses propres
progrès en matière de connaissances, de compétences, de processus ou de comportement.
L’autoévaluation donne à l’apprenant une conscience et une compréhension accrues de lui-
même ou d’elle-même en tant qu’apprenant ou apprenante.
L’autoévaluation est une façon de concevoir l’évaluation en tant qu’apprentissage. Donner le pou-
voir à l’apprenant de recueillir des données sur leurs apprentissages, leurs habiletés cognitives et
leur comportement encourage ceux-ci à réfléchir et prendre en main leurs apprentissages.
De plus, l’autoévaluation permet à l’apprenant d’avoir une meilleure compréhension d’eux-
mêmes en tant qu’apprenant ce qui leur permettra de développer leur plein potentiel. Ce
genre d’évaluation place les apprenants dans une situation de réussite.
Les apprenants ayant des troubles d’apprentissage (TA) ont parfois une estime de soi faible
car l’accent est souvent mis sur leurs besoins en tant qu’apprenants. Intégrer des pratiques
d’autoévaluation dans l’apprentissage des apprenants peut aider à augmenter leur confiance
en soi et leurs capacités de se voir comme apprenants brillants et engagés.
Les apprenants ayant des TA ont souvent besoin d’apprendre des stratégies d’une manière
explicite. Lorsque des stratégies et des habiletés sont apprises explicitement, les apprenants
sont encouragés à utiliser l’autoévaluation pour améliorer la qualité de leur travail.
Dans le manuel SVT Étincelle, l’autoévaluation est présentée à la fin de chaque chapitre.
C’est une situation d’évaluation qui propose :
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
L’enseignant ne doit en aucun cas confondre une séance de remédiation avec une autre de
soutien comme le montre le tableau suivant :
Remédiation Soutien
- Régulation en permanence du travail des apprenants ; - A pour objectif de renforcer et de conso-
- La remédiation est entièrement intégrée à la dé- lider les acquisitions des apprenants ;
marche pédagogique ; soutenir également les apprenants en
- Elle s’adresse à l’apprenant en difficulté ; difficulté ;
- L’activité de remédiation se fait en modifiant les - Vise la performance et l’amélioration
supports et exercices ou bien on reprend l’activité des niveaux des apprenants même s’ils
mais avec une autre stratégie et une autre situation ; sont bons ;
- Le travail se fait soit en sous-groupe, soit avec - Le soutien se fait en dehors des cours.
l’ensemble de la classe ; - Utile pour la préparation à une éventuelle
- La remédiation fait partie du volume horaire, elle évaluation sommative après l’évaluation
doit être portée dans l’emploi du temps. formative.
- Etc. - Renforcement de la remédiation ;
- Etc.
R NS
E
ver et lire des documents numériques à des fins d’enseignement et d’apprentissage.
5.1. L’apport des TICE dans l’acte d’enseigner
PH
Les outils technologiques peuvent être un facteur de dialogue entre les pôles du triangle
«Enseignant - Apprenant - Savoir». Dans le cas de l’utilisation des TICE, c’est la relation sa-
ST IO
voir-apprenant qui est privilégiée, c’est le « APPRENDRE ».
L’environnement virtuel, sous-jacent à l’apprentissage, induit une nouvelle posture : éduquer.
O
Dans la posture « ÉDUQUER », les TICE vont être un outil efficace et incontournable.
O IT
La priorité est donnée à « permettre à l’apprenant de devenir autonome dans son approche
du savoir en utilisant les ressources de son environnement ».
AP ED
R NS
possibles et dépendent du choix didactique du professeur et de la stratégie mise en œuvre.
E
* Intégration en mode inversé :
Des ressources en début de séance pour renforcer l’autonomie de l’élève.
PH
La découverte d’une notion via un média ou une situation problématisée peut, par exemple,
représenter la phase initiale d’une séance d’enseignement qui sera suivi par des temps col-
ST IO
lectifs de vérification, des temps de production et d’autoévaluation.
* Intégration en distanciel pour réviser :
O
Ces ressources non complexes ont pour objectif de s’entraîner et consolider des savoirs.
O IT
d’un apprentissage proactif qui donne les moyens à l’élève d’apprendre de manière plus auto-
nome et à l’enseignant de conduire son scénario pédagogique dans des temps et des espaces
parfois distincts.
Présentation de l’unité
Le but de cette unité est de fournir un ensemble de connaissances récentes et actuelles sur la
dynamique du globe terrestre et de développer certaines capacités en relation avec le raison-
nement géologique, combiné avec la biologie ou la génétique, d’où la contribution en dévelop-
pement des compétences visées.
Cette unité permet donc :
* de mettre en pratique l’approche hypothético-déductive lorsqu’on aborde des phénomènes
géologiques pour inciter l’apprenant à comprendre la méthodologie du géologue dans la
construction d’une théorie géologique, et à proposer des modèles explicatifs qui peuvent lier
les observations actuelles à d’anciens événements de manière cohérente ;
* approfondir la compréhension des dimensions de temps et d’espace par l’apprenant quand
on passe de ce qui est local et régional à ce qui est continental et planétaire et d’un phéno-
mène rapide et violent à un phénomène lent qui s’étend sur des millions d’années ;
R NS
E
* acquérir des connaissances géologiques de base ;
* sensibiliser l’apprenant de l’importance de la modestie dans le développement de la science ;
PH
* Corriger ses attitudes envers la science et les scientifiques quand il se rend compte que la
connaissance est progressivement acquise et évolue (notion de rupture épistémologique et
ST IO
d’histoire des sciences.
Compétence :
Résoudre des situations problèmes relatives aux phénomènes géologiques internes en mobi-
AP ED
Objectifs généraux
• Permettre à l’apprenant d’acquérir des connaissances de base sur les phénomènes géologiques
intervenant dans les processus de la géodynamique interne du globe terrestre et leurs montrer
leur relation avec cette dynamique.
• Découvrir la structure interne et les phénomènes dynamiques de la Terre qui se traduisent par
R NS
E
les séismes, le volcanisme et les déformations tectoniques. Il s’agit de rechercher l’origine des
séismes, de comprendre le volcanisme, de décrire les transformations de la lithosphère afin de
PH
construire les bases de la connaissance sur la tectonique globale et la formation des chaînes de
montagnes.
• La mobilisation des connaissances sur l’activité interne de la planète Terre pour permettre à
ST IO
l’apprenant de découvrir comment l’Homme peut veiller aux risques naturels sismiques et vol-
caniques.
O
• Permettre à l’apprenant d’élargir leur connaissances sur les dimensions temporelles et spa-
O IT
Prérequis de l’unité
Le temps :
• Ordre chronologique des événements.
L’eau et la nature :
• La nature et ses constituants.
• Le sol et ses constituants.
État de la matière :
• Changement d’état de la matière.
Échange thermique.
Astronomie.
R NS
E
Niveau Contenus
Deuxième Année Bac Sciences Expérimen- • Les chaines montagneuses récentes et leur relation avec
PH
tales Option Sciences de la vie et de la terre la tectonique des plaques.
et physique chimie • La nature des déformations tectoniques qui caractérisent
les chaines de subduction et les chaines de collision.
ST IO
O • La granitisation et sa relation avec le métamorphisme.
Problème à résoudre :
O IT
Les phénomènes géologiques externes façonnent les paysages géologiques en provoquant des
changements au niveau des reliefs et en participant dans la diversité des roches sédimentaires.
AP ED
D’autre part ,les continents et les océans connaissent d’autres phénomènes comme les séismes,
les volcans… ,etc. ce qui révèle la présence d’une dynamique interne du globe terrestre.
Comment peut-on expliquer la dynamique interne du globe en relation avec les phénomènes
qui lui sont associés?
Exercice 1 :
Cocher la bonne réponse.
1.
a–V
b–F
c–F
2.
a–F
b–V
c–F
3.
a–V
R NS
E
b–F
c–F
PH
Exercice 2 :
ST IO
Associer les noms aux textes et aux photographies :
Soleil : A - c
O
Terre : B - b
O IT
Système solaire : C - a
Exercice 3 :
AP ED
Vrai ou Faux
1. Les températures
A = 14° C
B = 22° C
C = - 11° C
D = 37,6° C
2. La température.
3. Degré Celsius.
4. Degré Kelvin (20°C = 20° + 273 = 293° k).
Exercice 4 :
1. Liquéfaction.
2. Condensation.
3. Évaporation.
Prérequis :
• Les phénomènes géologiques externes.
Prolongement :
R NS
2ème AC Unité 1 :
E
Chapitre 2 : Les séismes et leur relation avec la tectonique des plaques
Chapitre 3 : Le volcanisme et sa relation avec la tectonique des plaques
PH
Chapitre 4 : Les déformations tectoniques et leur relation avec la tectonique des
plaques
Chapitre 5 : La formation des roches magmatiques et leur relation avec la tecto-
ST IO
nique des plaques
Chapitre 6 : La formation des chaînes de montagnes et leur relation avec la tecto-
O nique des plaques
O IT
2ème Bac. Sciences Unité 4 : Les phénomènes géologiques accompagnant la formation des chaînes de
Physiques montagnes et leur relation avec la tectonique des plaques
AP ED
2ème Bac. Sciences Unité 6 : Les phénomènes géologiques accompagnant la formation des chaînes de
de la Vie montagnes et leur relation avec la tectonique des plaques
et de la Terre
Objectifs spécifiques :
• Argumenter la dérive des continents ;
• Déduire la notion de plaque :
• Expliquer le moteur de la dynamique des plaques lithosphériques.
Ne pas traiter :
• Les séismes ;
• Les volcans ;
• La subduction ;
• L’élargissement des fonds des océans.
R NS
E
Tables des matières :
Activités du chapitre Volume horaire
PH
Activité 1 : Argumentation de la dérive des continents 2h
ST IO
Activité 2 : Notion de plaques lithosphériques 1h
O
O IT
AP ED
Activité 1 : Argumentation de la dérive des continents
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Quels sont les arguments en faveur de la dérive des continents?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet de formuler l’énoncé de la dérive des continents et d’identifier les
arguments qui la confirment.
Mise en situation
Une discussion avec le groupe classe concernant la théorie de la dérive des continents de wi-
gner, permettra à l’apprenant de se poser la question sur les arguments sur lesquels il s’est
basée pour justifier sa position.
- Le document 2 permet à l’apprenant de déduire les deux premiers arguments de la dérive
des continents : morphologique (cartographique) et paléontologique.
R NS
E
- Le document 3 amène l’apprenant à déduire le troisième argument (pétrographique).
PH
ST IO
- L’exploitation du document 4 permet de montrer que tout en s’éloignant de la zone mé-
diane de l’océan atlantique, l’Âge des fonds océanique augmente. Le document permet de
O
déduire en conséquent que le fond océanique est en expansion, ce qui explique la dérive
O IT
des continents.
AP ED
Pour conclure
Selon Wegner, la Terre était formée d’un seul continent : la Pangée. Au cours du temps, les conti-
nents ont dérivés les uns par rapport aux autres. Cette dérive s’est confirmée par les trois ar-
guments morphologique, paléontologique et pétrographique. À ces arguments s’ajoute l’argu-
ment de l’expansion des fonds océaniques.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Quels sont les structures et les phénomènes terrestres à l’origine de cette mobilité ?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet de définir la plaque lithosphérique et de montrer le rôle des courants
de convection dans la mobilité des plaques (convergence ou divergence).
Mise en situation
La mobilisation des connaissances, concernant l’expansion des fonds océaniques, amène l’ap-
prenant à se poser une question sur le moteur de la mobilité des plaques.
- L’exploitation du document 1, permet à l’apprenant de découvrir les reliefs des fonds océaniques
(dorsales) et des fosses océaniques.
R NS
plaques.
E
PH
- L’exploitation du document 3 facilite la tâche à l’apprenant pour mettre en évidence, une
ST IO
différence de flux de chaleur entre dorsale et fosse et de formuler le problème concernant la
différence observée.
O
O IT
- La description des résultats du document 4a, permet de mettre en évidence l’éloignement des
morceaux de bois et de montrer que cet éloignement est dû aux courants de convection. Cette
AP ED
simulation proposée sur le flux de chaleur, permet de justifier que les courants de convection
qui se déroulent dans le globe terrestre sont à l’origine de la mobilité des plaques lithosphé-
riques et de répondre à la problématique posée.
Pour conclure
La plaque lithosphérique est une immense étendue de la surface de la Terre. Elle peut être
océanique ou océano-continentale. Les courants de convection sont le moteur de la mobilité
des plaques (convergence ou divergence).
Raisonnement scientifique :
R NS
E
Exercice 1 :
1. Les continents étaient éloignés il y a 60 Ma. Il y a trois plaques éloignées.
PH
2. Les plaques se sont rapprochées, la mer du Téthys a disparu et la plaque Indienne s’est ac-
colée à la plaque d’Eurasie.
ST IO
3. L’apprenant est amené à réaliser un schéma qui montre des plaques qui sont encore plus
éloignées et la mer du Téthys est encore présente.
O
Exercice 2 :
O IT
1. Le professeur doit demander aux élèves de faire cet exercice à la maison car la question 1
par exemple nécessitera une fourniture scolaire indispensable à la réalisation de cet exercice
AP ED
2. Les arguments qui prouvent que l’Afrique et l’Amérique du Sud ont été collées avant la
naissance de l’océan Atlantique Sud sont : l’argument cartographique et l’argument pétrogra-
phique.
3. Ces deux continents ont été réunis depuis 250 millions d’années.
4. La phrase juste est : b
Je m’évalue
Auto-évaluation :
1. L’âge des sédiments contenus dans l’échantillon prélevé le plus près de la dorsale est environ
5 millions d’années.
2. L’âge de l’échantillon le plus éloigné de la dorsale est environ 80 millions d’années.
3. Plus on s’éloigne de l’axe de la dorsale plus les sédiments sont âgés.
4. Cette observation confirme l’ouverture de l’océan Atlantique, car plus les sédiments anciens
s’éloignent du Rift de la dorsale plus l’océan s’élargit: on parle d’expansion océanique.
Prérequis :
• Répartition des séismes dans le monde ;
• Utilisation de la Carte (géographique) ;
• Localisation des océans et des continents ;
• Origine des séismes ;
• Les plaques tectoniques.
Prolongement :
2ème AC Unité 1
R NS
Chapitre 4 : Les déformations tectoniques et leur relation avec la tectonique des plaques
E
Chapitre 6 : La formation des chaînes de montagnes et leur relation avec la tectonique des plaques
2ème Bac. Sciences Unité 4 : Les phénomènes géologiques accompagnant la formation des chaînes de mon-
PH
Physiques tagnes et leur relation avec la tectonique des plaques
ST IO
2ème Bac. Sciences Unité 6 : Les phénomènes géologiques accompagnant la formation des chaînes de mon-
de la Vie et de la tagnes et leur relation avec la tectonique des plaques
Terre
O
Objectifs spécifiques :
O IT
* Acquérir des connaissances concernant les séismes : Leur manifestations, leur origine ;
* Relation entre la répartition des séismes et la tectonique des plaques ;
AP ED
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Comment se manifestent les séismes ?
Comment les enregistrer ? et quel est leur origine ?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet de déterminer les manifestations d’un séisme, de distinguer entre
intensité et magnitude. De plus, elle permet de déduire l’origine d’un séisme.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances concernant les manifestations d’un séisme, amène l’appre-
nant à se poser une question sur le sort des ondes sismiques depuis leur naissance jusqu’à leur
manifestation en surface.
- En se basant sur les données du document 3, l’apprenant illustre la différence entre l’échelle
de Mercalli et l’échelle de Richter pour comprendre que la première est utilisée pour esti-
R NS
E
mer les dégâts d’un tremblement de Terre et la seconde pour mesurer la magnitude (quantité
d’énergie libérée lors d’un séisme).
PH
ST IO
- L’exploitation du document 4a, permet de comprendre le mode de fonctionnement d’un sis-
mographe.
O
O IT
Pour conclure
En profondeur, la libération d’énergie suite à une fracture des couches terrestres, entraîne la
naissance d’ondes sismiques (au niveau du foyer) qui se propagent dans toutes les directions
pour atteindre la surface du globe en provoquant des dégâts dont les plus importants se loca-
lisent au niveau de l’épicentre.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Quelle relation existe-t-elle entre les séismes et la tectonique des plaques ?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet de mettre en relation la répartition des séismes à la surface de la
Terre avec la tectonique des plaques.
Mise en situation
la mobilisation des connaissances concernant les foyers sismiques amène l’apprenant à se po-
ser la question sur la répartition des séismes à l’échelle mondiale en relation avec la tectonique
des plaques.
- La document 1 permet à l’apprenant de déduire que les séismes ne sont pas repartis au hasard
à la surface du globe terrestre. Au contraire, l’activité sismique est reliée à l’existence de dor-
sales, de fosses et de chaînes de montages.
- Le document 2 facilite le réinvestissement des connaissances acquises sur les dorsales comme
R NS
E
limite de divergence des plaques pour expliquer l’origine de l’activité sismique importante au
niveau de cette frontière de plaques.
PH
ST IO
- Le document 3 permet aussi de réinvestir les connaissances sur les fosses comme limite de
convergence de plaques pour expliquer l’origine de l’activité sismique au niveau de cette li-
O
mite de plaques.
O IT
AP ED
Pour conclure
À la surface du globe terrestre, les séismes sont répartis au niveau des dorsales et des fosses
océaniques.
Cette répartition est due aux mouvements de divergence et de convergence entre deux plaques
lithosphères voisines, ce qui explique la relation entre cette activité interne du globe terrestre
(séisme) et la tectonique des plaques.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Comment peut-on déterminer la structure interne de la Terre?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet de déterminer les caractéristiques des ondes sismique et d’exploiter
les variations de la vitesse de leur propagation pour déduire la structure interne du globe ter-
restre.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances concernant la vitesse de propagation des ondes sismiques à
l’intérieur de la Terre amène l’apprenant à se poser la question sur l’importance de la sismicité
dans la connaissance de la structure interne de la Terre.
- Le document 1 permet de comparer les vitesses de propagation des ondes P et S dans le globe
terrestre et de mettre en évidence les profondeurs des principales variations brutales de cette
vitesse. Il permet aussi d’identifier la nature des enveloppes du globe terrestre et d’indiquer
les profondeurs de leurs limites appelées discontinuités et qui sont au nombre de trois.
R NS
E
- L’exploitation du document 2 permet à l’apprenant de déterminer les profondeurs au niveau
desquelles se font les changements brutaux de la vitesse de propagation des ondes P, d’ex-
PH
pliquer ces variations, de déduire les enveloppes qui constituent la lithosphère rigide et de
montrer que cette dernière repose sur l’asthénosphère moins rigide (ce qui permet la mobilité
ST IO
des plaques). O
O IT
parent.
Pour conclure
La vitesse de propagation des ondes sismiques est un moyen indirect pour la détermination de
la structure interne du globe terrestre, car les variations de la vitesse sont en relation avec la
nature des couches traversées. L’exploitation de ces données a permis de représenter les enve-
loppes de la Terre sous forme d’un modèle.
R NS
E
C.
a. La lithosphère est la partie superficielle de la Terre, formée de croûte et du manteau li-
PH
thosphérique. Elle est découpée en plaques.
L’asthénosphère est une enveloppe terrestre située sous la lithosphère plus rigide.
ST IO
b. La croûte océanique appartient à la lithosphère océanique. Elle est constituée de basalte
et de gabbro.
O
La croûte continentale appartient à la lithosphère continentale, elle est constituée de gra-
O IT
nite.
3. Question à réponse courte
L’origine d’un séisme
AP ED
Raisonnement scientifique :
Exercice 1 :
- Les ondes ont mis 21min pour être enregistrées à la Réunion.
- La distance entre l’Algérie et la Réunion est environ 6300 km.
d 6300 km
- V = t = 21 min = 300km/ min
Exercice 2 :
1. Légende
1. Zone de divergence.
2. Zone de convergence.
3. Lithosphère océanique.
4. Subduction.
5. Asthénosphère.
Exercice 3 :
1. Présentation préliminaire du document est indispensable : fosse, courbes rejoignant des
foyers sismiques de même profondeur, profondeur qui augmente tout en s’éloignant de la
R NS
E
fosse.
2. Présentation de la variable pour tracer les axes de la profondeur des foyers et des distances.
PH
3. Au niveau de la fosse les deux plaques se rapprochent.
ST IO
O Je m’évalue
Auto-évaluation :
O IT
1. Parmi les effets d’un séisme : grondement et tremblement du sol, fissuration du sol, se-
cousses…
2. Sachant que l’épicentre est le lieu où l’intensité d’un séisme est maximale on peut déduire
AP ED
Prérequis :
• La répartition mondiale des volcans ;
• Propriétés des corps gazeux ;
• La dissolution ;
• La chaleur et la température ;
R NS
• Utilisation de la carte ;
E
• Éruption volcanique.
PH
Prolongements :
ST IO
2ème AC Unité 1
Chapitre 5 : La formation des roches magmatiques et leur relation avec la tectonique des
plaques
O
Chapitre 6 : La formation des chaînes de montagnes et leur relation avec la tectonique
O IT
des plaques
2ème Bac. Sciences Unité 4 : Les phénomènes géologiques accompagnant la formation des chaînes de mon-
Physiques tagnes et leur relation avec la tectonique des plaques
2ème Bac. Sciences Unité 6 : Les phénomènes géologiques accompagnant la formation des chaînes de mon-
de la Vie et de la tagnes et leur relation avec la tectonique des plaques
Terre
Objectifs spécifiques :
Acquérir des connaissances en relation avec le volcanisme : les éruptions, la structure d’un vol-
can, le magma, la lave….
Mettre en relation la répartition des volcans à la surface de la Terre et la tectonique des plaques.
Problème à résoudre :
La morphologie de la surface terrestre. Ces changements sont d’origine externe (érosion, trans-
port, sédimentation…) Mais ils peuvent être causés par des phénomènes géologiques internes
comme les éruptions volcaniques.
Comment se manifeste une éruption volcanique ?
Quels sont les mécanismes à l’origine de ces manifestations ?
R NS
Tables des matières :
E
Activités du chapitre Volume horaire
PH
Activité 1 : Caractéristiques des éruptions volcaniques
ST IO
Activité 2 : Du magma à l’éruption volcanique 3h
O
Activité 3 : La relation entre le volcanisme et la tectonique des plaques.
O IT
AP ED
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Quelles sont les caractéristiques des éruptions volcaniques ?
Présentation de l’activité :
Cette activité permet de déduire les différences entre les éruptions effusive et explosive et de
proposer une explication sur l’origine de chaque type d’éruption en fonction de la viscosité de
la lave et de la quantité de gaz dans le magma.
Mise en situation
Une discussion avec le groupe classe concernant les volcans, permettra à l’apprenant de se po-
ser la question sur les les caractéristiques des éruptions volcaniques
- L’exploitation des documents 1 et 2 permet d’extraire les principales manifestations des deux
types d’éruptions volcaniques (longueur de la coulée de lave, quantité de gaz émis, produits
rejetés et la forme du cône volcanique).
La discussion au sein du groupe classe, amène les apprenants à éprouver le besoin de chercher
une explication aux différences observées.
R NS
E
- L’interprétation des résultats obtenus (document 3) permettent de mettre en évidence l’in-
fluence de la viscosité de la lave sur son écoulement.
PH
ST IO
- L’interprétation des résultats obtenus à partir de la manipulation du document 4, sert à mettre
en évidence le rôle des gaz dans la montée du magma. L’apprenant sera amené à faire la rela-
O
tion entre les résultats des manipulations et les différents types d’éruptions volcaniques.
O IT
AP ED
Pour conclure
Effusive Explosive
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Comment le magma remonte-t-il en surface ?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet de mettre en évidence la dynamique de l’éruption volcanique et
d’identifier les éléments de l’appareil volcanique et les produits rejetés lors d’une éruption
volcanique.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances concernant la montée du magma au cours des éruptions vol-
caniques, amène l’apprenant à se poser une question sur le cheminenement de ce magma de la
profondeur jusqu’à la surface.
R NS
E
d’une auto-évaluation, accompagnée de l’évaluation du professeur).
PH
- L’exploitation des documents 3 et 4 amène l’apprenant à distinguer les produits rejetés par
ST IO
les deux types d’éruptions volcaniques.
O
O IT
Pour conclure
AP ED
Le magma stocké dans le réservoir magmatique, entraîné par les gaz, remonte. Son arrivée en
surface est à l’origine des éruptions volcaniques qui rejettent des produits différents selon le
type d’éruption.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Quelle relation y-a-t-il entre le volcanisme et la tectonique des plaques ?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet de mettre en relation la répartition des volcans à la surface du globe
terrestre avec la tectonique des plaques.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances concernant le moteur de la tectonique des plaques et des
types d’éruptions volcaniques, amène l’apprenant à se poser une question sur la répartition des
types de volcans et leurs relations avec la tectonique des plaques.
- L’exploitation du document 1 permet à l’apprenant de déduire que les volcans ne sont pas
répartis au hasard à la surface du globe terrestre. Au contraire, l’activité volcanique est liée à
l’existence des dorsales et des fosses océaniques.
- Le document 2 permet de distinguer les types d’éruptions volcaniques au niveau des dorsales
R NS
E
(effusives) et des fosses (explosives).
PH
- Le document 3 facilite à l’apprenant de mettre en évidence le mécanisme de l’expansion des
ST IO
fonds océaniques en relation avec la remontée du magma fluide lors d’une éruption effusive,
ce qui permet de montrer que ce volcanisme est responsable de l’écartement des plaques (ex-
pansion océanique).
O
O IT
relation avec l’enfoncement provoquant ainsi la naissance d’un volcan explosif, et montrer par
conséquent que le rapprochement des plaques est à l’origine du volcanisme.
Pour conclure
Le volcanisme effusif des dorsales permet l’écartement des plaques, alors que le volcanisme
explosif des fosses (subduction) accompagne le rapprochement des plaques d’où la relation du
volcanisme avec la tectonique des plaques.
R NS
E
d’un dôme.
c. un volcan est formé d’un réservoir magmatique en profondeur, d’une cheminée et d’un
PH
cône volcanique en surface.
d. Lors d’une éruption volcanique le magma contenu dans le réservoir magmatique arrive en
ST IO
surface sous forme de lave.
4. Questions à choix multiples
A. a.
O
O IT
B. b.
5. Légender le document :
A. Légende :
AP ED
1. Nuage de cendres
2. Cratère
3. Nuée ardente
4. Cheminée
B. C’est une éruption explosive car on observe le dégagement d’une nuée ardente, une lave
visqueuse et la formation d’un dôme au niveau du cratère.
Raisonnement scientifique :
Exercice 1 :
1. Pour une bonne assimilation il est souhaitable de localiser les 3 villes de Guadeloupe et de
demander à l’élève quelle est la ville la plus proche du volcan, ce qui lui permet de déduire
qu’il faut évacuer les habitants de cette ville (Saint Claude).
2. Capesterre et Courbette sont des villes à faible risque.
Exercice 2 :
1. Les produits émis par le volcan sont : colonnes de fumée, cendres, nuées ardentes, gaz…
2. Lave visqueuse.
3. L’éruption de la montagne pelée est de type explosive car ce volcan est caractérisé par des
Je m’évalue
Auto-évaluation :
L’éruption du mont saint-hélène est de type explosif car on assiste à :
1. De nombreux séismes, des nuages,des cendres qui s’échappent du sommet, le volcan qui
gonfle,le dôme qui explose, le glissement de terrains, les cendres ,les blocs qui sont projetés
à plusieurs kilomètres ,les gaz libérés, les nuées ardentes...
2. Une nouvelle éruption de Sainte-Hélène est prévisible car le volcan demeure neanmoins
actif comme en témoigne l’émergence d’une excroissance rocheuse au niveau de son sommet
d’où sortie de la lave. Cette aiguille ne cesse de croître jour après jour….
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Prérequis :
• Notion de force d’extension au niveau de la dorsale océanique ;
• Notion de pression ;
• Notion de temps ;
• La mobilité des plaques ;
R NS
• L’origine du séisme ;
E
• Notion de forces de compression au niveau de la dorsale.
PH
Prolongements :
ST IO
2ème AC Unité 1
Chapitre 6 : La formation des chaînes de montagnes et leur relation avec la tec-
O tonique des plaques
O IT
2ème Bac. Sciences Phy- Unité 4 : Les phénomènes géologiques accompagnant la formation des chaînes
siques de montagnes et leur relation avec la tectonique des plaques
2ème Bac. Sciences de la Unité 6 : Les phénomènes géologiques accompagnant la formation des chaînes
Vie et de la Terre de montagnes et leur relation avec la tectonique des plaques
Objectifs spécifiques :
• Acquérir des connaissances concernant la formation des roches magmatiques : structure,
conditions de formation, classification etc.
• Mettre en relation la formation des roches magmatiques et la tectonique des plaques.
Ne pas traiter :
* La description et la classification des déformations tectoniques ne doivent pas être détaillées.
R NS
E
Activité 1 : Les déformations tectoniques 2h
PH
Activité 2 : Les déformations tectoniques et leur relation avec la tectonique des
plaques.
ST IO
O
O IT
AP ED
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
Problème à résoudre :
Quelles sont les principales déformations tectoniques ?
Présentation de l’activité :
Cette double page présente les différents types de déformations tectoniques (plis et failles)
leurs différents types et les contraintes tectoniques qui sont à leur origine.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances concernant les roches sédimentaires et la diversité des pay-
sages géologiques, amène l’apprenant à se poser une question sur les types de déformations
tectoniques et leur origine.
R NS
- Le document 2 présente les éléments de la faille.
E
- Le document 3 permet de distinguer les caractéristiques des différents types de failles :
PH
* les contraintes tectoniques les ayant provoqués (compressives ou distensives) ;
ST IO
* la position du toit par rapport au mur ;
* type de mouvement (éloignement ou rapprochement).
O
C’est l’occasion de proposer des modèles explicatifs.
O IT
- Le document 5 permet de distinguer les différents types de plis. C’est l’occasion de proposer
des modèles explicatifs.
Pour conclure
Des roches rigides, soumises à des contraintes Des roches plus souples, soumises à des
compressives donnent naissance à des failles in- contraintes compressives donnent nais-
verses, ou à des contraintes distensives donnent sance à des plis.
naissance à des failles normales.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Quelles relations existent entre les déformations tectoniques et la tectonique des plaques?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet d’identifier les types de déformations caractéristiques des zones de
divergence et des zones de convergence entre les plaques et de les mettre en relation avec la
tectonique des plaques.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances concernant les frontières de plaques, la nature des contraintes
qui les catctérisent et les types de déformations tectoniques, amène l’apprenant à se poser une
question sur la relation entre ces déformations et la tectonique des plaques.
- L’exploitation du document 1 permet à l’apprenant de montrer que la limite entre les deux
plaques est une zone de divergence.
R NS
E
entre les plaques, la naissance des contraintes distensives et leur rôle dans la formation des
failles normales.
PH
ST IO
- L’exploitation du document 3 permet à l’apprenant de montrer que la limite entre les deux
plaques est une zone de convergence.
O
O IT
entre les plaques, la naissance des contraintes compressives et leur rôle dans la formation
des plis et des failles inverses.
Pour conclure
Au niveau des dorsales océaniques, les contraintes distensives responsables de la divergence
entre les plaques s’accompagnent de la formation des failles normales.
Au niveau des fosses océaniques, les contraintes compressives responsables de la convergence
entre les plaques s’accompagnent de la formation des plis et des failles inverses.
R NS
E
3. Texte à trous :
Les mots pour compléter le texte sont dans l’ordre suivant :
PH
plan ; deux ; rocheux ; écartement ; compartiments ; abaissement.
4. Relier par une flèche :
ST IO
a. → 2, 3. b. → 1, 4.
Raisonnement scientifique :
O
O IT
Exercice 1 :
1. Déformation : Pli ; Contraintes : Compressives.
2. Schéma du pli anticlinal avec une légende convenable.
AP ED
Je m’évalue
Auto-évaluation :
1. La déformation tectonique visible sur ce document est une faille inverse.
2. Les forces exercées sur les couches sont compressives.
3. Voir schéma d’une faille inverse page 50 du manuel de l’élève.
Exercices de synthèse :
R NS
E
Exercice 1 :
1. Déformations : plis et failles.
PH
2. Contraintes compressives (plis et faille inverse) et contraintes distensives (faille normale).
ST IO
3. Schéma de couches horizontales.
4. Flèches pour montrer le compartiment affaissé (les couches du Sud-Est) et le compartiment
soulevé (les couches du Nord-Ouest).
O
O IT
5. la faille A et plus récente que le pli B, les couches plissées sont traversées par la faille.
Exercice 2 :
1. Zone de convergence : une fosse océanique.
AP ED
2. Les foyers sismiques sont disposés selon un plan incliné : tout en s’éloignant de la fosse, la
profondeur des foyers sismiques augmente. Ceci est dû à l’enfouissement d’une plaque océa-
nique sous une plaque continentale.
3. Plis et failles inverses.
Fiche de remédiation :
L’objectif de cet exercice et de déterminer le moteur de la tectonique des plaques :
• Le document 1 nous montre que plus la profondeur augmente plus la température aug-
mente aussi on parle de gradient géothermique.
• Le document 2 permet de déduire que :
- le flux de chaleur est faible au niveau des fosses océaniques.
- le flux de chaleur est fort au niveau des dorsales océaniques.
• Le document 3 nous montre que les courants de convection sont à l’origine de la mobilité
des plaques de telle sorte que :
- Les mouvements descendants des courants de convection sont responsables des mouve-
ments de convergence là où le flux de chaleur est faible.
- Les mouvements ascendants des courants de convection à l’origine de la divergence des
plaques au niveau des dorsales océaniques là où le flux de chaleur est important.
Prérequis :
• La notion du temps ;
• Le volcanisme au niveau des zones d’expansion des fonds des océans ;
• Le volcanisme au niveau des zones de subduction ;
• Notion de lave, de magma, et de chambre magmatique ;
R NS
E
• Présence du basalte au niveau de la dorsale.
PH
Prolongements :
ST IO
1ère Bac. Sciences Unité 1 : Les phénomènes géologiques externes
expérimentales
O
O IT
2ème Bac. Sciences Unité 4 : Les phénomènes géologiques accompagnant la formation des chaînes de mon-
Physiques tagnes et leur relation avec la tectonique des plaques
2ème Bac. Sciences Unité 6 : Les phénomènes géologiques accompagnant la formation des chaînes de mon-
de la Vie et de la tagnes et leur relation avec la tectonique des plaques
Terre
Objectifs spécifiques :
Acquérir des connaissances concernant la formation des roches magmatiques : structure, condi-
tions de formation, classification... ;
Mettre en relation la formation des roches magmatiques et la tectonique des plaques.
Problème à résoudre :
Les roches magmatiques sont des roches formées à partir d’un magma.
On distingue les roches volcaniques et les roches plutoniques
Comment se forment les roches magmatiques?
R NS
E
Tables des matières :
PH
Activités du chapitre Volume horaire
ST IO
Activité 1 : Formation des roches volcaniques.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
Problème à résoudre :
Comment se forment les roches volcaniques ?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet, à travers l’observation des échantillons de roches et des lames
minces, de déterminer la structure des roches volcaniques (structure microlitique) et l’hétéro-
généité des constituants de ces roches.
La manipulation permettra de mettre en relation la structure microlitique avec les conditions
de cristallisation du magma.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances concernant les roches volcaniques des dorsales et des fosses
océaniques, amène l’apprenant à se poser une question en relation avec la formation de ces
roches.
- L’exploitation du document 1 permet à l’apprenant de comparer, à l’œil nu, les propriétés des
deux échantillons et de déduire leur structure à partir de l’observation au microscope polari-
sant des lames minces.
La discussion avec le groupe classe aboutit à la formulation d’une question scientifique simple,
en relation avec l’hétérogénéité des constituants des deux roches et de proposer une ou des
hypothèses pour répondre à la question posée. Les élèves élaborent un protocole expérimental
qui leur permet de tester les hypothèses formulées. On leur propose alors d’utiliser le soufre
R NS
E
comme modèle et d’énoncer les conséquences attendues.
PH
- La présentation du protocole de la manipulation du document 3 et sa réalisation se feront par
ST IO
l’enseignant.
En s’appuyant sur les résultats de la manipulation (document 3) les apprenants peuvent mettre
O
en évidence la relation entre les conditions de refroidissement (la vitesse de refroidissement)
O IT
Pour conclure
Les roches volcaniques ont une structure microlitique (semi-cristalline) constituée de :
- Phénocristaux formés dans la chambre magmatique à la suite d’un refroidissement lent ;
- Microlites formés pendant la montée du magma à travers la cheminée, à la suite d’un refroi-
dissement assez rapide ;
- Verre (dépourvu de cristaux) formé à la surface de la croûte terrestre à la suite d’un refroi-
dissement brutal.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
Problème à résoudre :
Comment se forment les roches plutoniques ?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet, à travers l’observation des échantillons de roches et des lames
minces, de déterminer la structure des roches plutoniques (structure grenue) et l’homogénéité
des constituants de ces roches.
L’exploitation des documents permet de mettre en relation la structure grenue avec les condi-
tions de cristallisation du magma d’une part, et de montrer la relation entre la mise en place du
massif granitique et le métamorphisme de contact d’autre part.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances concernant les roches plutoniques des dorsales et des fosses
océaniques, amène l’apprenant à se poser une question en relation avec la formation de ces
roches et leur affleurement.
- L’exploitation des documents 1 et 2 permet à l’apprenant de comparer, à l’œil nu, les proprié-
tés des deux échantillons et de déduire leur structure à partir de l’observation au microscope
polarisant des lames minces.
R NS
E
entre les conditions de refroidissement et la taille des cristaux formés.
PH
- L’exploitation du document 3 permet à l’apprenant de montrer la relation entre la formation
ST IO
du massif granitique et la présence de roches métamorphiques.
O
O IT
Pour conclure
Le magma se refroidit lentement en profondeur, subit une cristallisation complète et donne
AP ED
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Quelle est la relation entre la formation des roches magmatiques et la tectonique des plaques ?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet d’identifier et de distinguer le mode de formation et le type de roches
magmatiques au niveau des différentes frontières (ou limites) de plaques.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances concernant les roches magmatiques carctéristiques des dor-
sales et des fosses océaniques, amène l’apprenant à se poser une question sur la relation entre
la formation des roches magmatiques et la tectonique des plaques.
R NS
E
formation d’une roche plutonique (gabbro) ou volcanique (basalte).
PH
ST IO
- L’exploitation des documents 2 et 3 permet à l’apprenant de montrer que la différence des
conditions de refroidissement du magma au niveau de la fosse océanique est responsable de
la formation d’une roche plutonique (granite) ou volcanique (andésite).
O
O IT
lent et en profondeur du magma, au niveau des zones de collision entre deux plaques, est res-
ponsable de la formation des roches plutoniques (granites).
Pour conclure
Au niveau des dorsales océaniques, qui représentent des zones de divergence entre les plaques,
un magma basaltique, qui subit un refroidissement en trois étapes, arrive en surface pour don-
ner naissance à une roche volcanique (basalte), ou se cristallise lentement en profondeur pour
former une roche plutonique (gabbro).
Au niveau des fosses océaniques, qui représentent des zones de convergence entre les plaques,
un magma granitique, qui subit un refroidissement en trois étapes, arrive en surface pour don-
ner naissance à une roche volcanique (andésite), ou se cristallise lentement en profondeur pour
former une roche plutonique (granite).
Au niveau d’une zone de collision entre deux plaques continentales, la cristallisation lente du
magma en grande profondeur donne naissance à une roche plutonique (granite).
R NS
a. → 4. b. → 1. c. → 3 d. → 2.
E
3. Questions à choix multiples
A. b.
PH
B. a et c.
ST IO
4. Texte à trous
A. Compléter les phrases
a. Grenue
O
O IT
b. Microlitique
c. Surface
d. De verre
AP ED
B. Compléter le tableau
Roches volcaniques Roches magmatiques Roches plutoniques
Raisonnement scientifique :
Exercice 1 :
1. On observe que les résultats obtenus sont différents dans les trois milieux :
- le milieu 1 : on verse le soufre fondu sur une plaque froide, on remarque que le soufre se
solidifie en restant amorphe car il n’a y’a pas formation de cristaux.
- le milieu 2 : on verse le soufre sur une plaque à 22 degrés Celsius, on remarque la forma-
tion de très fins cristaux.
- le milieu 3 : on le verse sur une plaque à température élevée, on assiste à la formation de
plus gros cristaux en aiguille.
R NS
E
Feldspath
Verre
PH
Pyroxène
ST IO
Titre : schéma légendé d’une lame mince de rhyolite.
Je m’évalue
O
O IT
Auto-évaluation :
1. La Roche A est formée uniquement de cristaux directement liés entre eux, alors que la roche
AP ED
B est formée de 3 types de constituants: les gros cristaux (phénocristaux), les microlites et du
verre.
La roche B a une structure grenue (entièrement cristallisée )alors que la rocheB a une structure
microlitique car elle comprend des microlites et du verre.
2. La Roche ayant une structure grenue est une roche magmatique plutonique alors que la roche
qui a une structure microlitique est une roche magmatique volcanique.
3. la structure grenue est obtenue à la suite d’un refroidissement lent en profondeur à l’origine
de la formation de phénocristaux.
La structure microlitique est obtenue à la suite d’un refroidissement en trois étapes :
- En profondeur ,à la suite d’un refroidissement lent , se forment les phénocristaux.
- Lors de l’ascension dans la cheminée ,suite à un refroidissement rapide, se forment les mi-
crolites.
- A la surface de la terre suite à un refroidissement très rapide se forme du verre.
Prérequis :
• Force de pression ;
• Utilisation de la carte ;
• Le temps ;
R NS
E
• Notion de plaques tectoniques ;
• Zone de convergence et de divergence ;
• Déformations tectoniques.
PH
Prolongements :
ST IO
1ère Bac. Sciences Unité 1 : Les phénomènes géologiques externes
expérimentales
O
O IT
2ème Bac. Sciences Unité 4 : Les phénomènes géologiques accompagnant la formation des chaînes de mon-
Physiques tagnes et leur relation avec la tectonique des plaques
2ème Bac. Sciences Unité 6 : Les phénomènes géologiques accompagnant la formation des chaînes de mon-
de la Vie et de la tagnes et leur relation avec la tectonique des plaques
Terre
Objectifs spécifiques :
Déduire la relation entre les différents phénomènes géologiques dans un contexte de tecto-
nique globale ;
Acquérir des connaissances concernant la formation des chaînes de montagnes.
Ne pas traiter :
Chaîne d’obduction.
Problème à résoudre :
La Terre est une planète active, ses plaques sont animées de mouvements : elles se rapprochent
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
Problème à résoudre :
Comment se forme un océan ?
Quel mécanisme compense la formation d’un océan ?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet de mettre en évidence les étapes de la formation de la lithosphère
océanique et les étapes de sa disparition.
La mise en relation des deux phénomènes permet de montrer que le volume du globe terrestre
reste constant.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances concernant l’écartement des plaques au niveau des dorsales
et leur rapprochement au niveau des fosses, amène l’apprenant à se poser des questions sur les
mécanismes à l’origine de la formation et la disparition des océans.
R NS
La mise en relation entre les informations recueillis de l’exploitation des deux documents
E
permet à l’apprenant d’expliquer le fait que le volume du globe terrestre reste toujours
constant.
PH
ST IO
Pour conclure
O
Au niveau de la dorsale océanique, un océan prend naissance à cause de la formation de la
O IT
lithosphère océanique, alors qu’au niveau de la fosse océanique il y a fermeture d’un océan à
cause de la disparition de la lithosphère océanique. Ces deux phénomènes de compensent pour
AP ED
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Comment s’est formée la chaîne des Andes ?
Présentation de l’activité :
Cette activité vise la localisation de la cordillère des Andes au niveau d’une zone de conver-
gence, caractérisée par une subduction et qui est responsable de sa formation. D’autre part, elle
permet de relever les étapes de cette formation.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances concernant le mouvement de convergence au niveau des
fosses et des contraintes caractéristiques de cette limite de plaques, amène l’apprenant à se
poser une question sur le rôle de la tectonique des plaques dans la formation des chaînes de
montagnes
R NS
ayant lieu entre la plaque Nazca et la plaque Sud-Américaine.
E
Les apprenants mobilisent leurs connaissances sur le rapprochement des plaques et l’action
des contraintes compressives au niveau de la fosse océanique pour proposer une explication
PH
au fait que la subduction est le phénomène responsable de la formation de la chaîne des Andes.
ST IO
- L’exploitation du document 3 permet à l’apprenant de décrire les étapes de formation des
O
O IT
Pour conclure
Au niveau des zones de subduction l’accélération de la vitesse de convergence est responsable
du blocage de la subduction, ce qui entraîne la mise en place d’une phase compressive à l’ori-
gine des plissements de la marge continentale, d’où la formation d’une chaîne de montagne
appelée ainsi une chaîne de subduction.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Comment s’est formée la chaîne himalayenne ?
Présentation de l’activité :
Cette activité vise la localisation de la chaîne de l’Himalaya au niveau d’une zone de collision
entre deux plaques et qui est responsable de sa formation. D’autre part, elle permet de relever
les étapes de cette formation.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances concernant la tectonique globale (formation et disparition
d’un océan) et la formation des chaînes de subduction, amène l’apprenant à se poser une ques-
tion sur le rôle de la tectonique des plaques dans la formation des chaînes de montagnes hima-
layennes.
R NS
E
- Les documents 2 et 3 permettent de dégager la présence de paysages géologiques déformés
(plis et faille inverses) qui renseignent sur le fait qu’il y a une collision entre deux plaques.
PH
ST IO
- L’exploitation du document 4 témoigne de la présence d’un ancien océan vu la présence de
fossiles marins et de basalte caractéristiques des dorsales océaniques.
O
O IT
Pour conclure
Au niveau d’une zone de collision de deux plaques, la disparition d’un ancien océan peut entraî-
ner une collision entre deux plaques continentales. Cette collision est à l’origine de contraintes
compressives responsables de la formation des chaînes de montagnes appelées ainsi une chaîne
de collision.
R NS
E
Raisonnement scientifique :
PH
Exercice 1 :
Le groupe qui a raison est le groupe 2, car les documents présentent des traces d’un ancien
ST IO
océan qui a disparu et les roches qui en témoignent se trouvent en surface de la Terre à cause
de la collision de deux plaques.
O
O IT
Je m’évalue
Auto-évaluation :
AP ED
1. les arguments en faveur de l’existence d’un ancien océan dans la région himalayenne sont:
- La présence du basalte en coussin au sommet de cette chaîne montagneuse.
- La présence de fossiles marins (les Ammonites).
2. L’Himalaya est considérée comme frontière de convergence entre les deux plaques car on
note :
- La disparition de la lithosphère océanique suite à une subduction.
- La collision des deux plaques continentales avec présence de plis et de failles inverses.
3. Les étapes de la formation de la chaîne himalayenne sont :
- la disparition progressive d’un ancien océan.
- le déroulement de subduction.
- la collision des deux plaques continentales indienne et eurasiatique.
Exercices de synthèse :
Exercice 1 :
1. Les arguments :
- roches basaltiques ;
- activité volcanique très importante ;
R NS
Fiche de remédiation :
E
L’objectif de cet exercice est de mettre en relation le type d’éruption volcanique avec la limite
PH
des plaques où elle se déroule :
- Au niveau d’une dorsale océanique on assiste à une éruption effusive caractérisé par un
ST IO
magma fluide pauvre en gaz qui donne naissance après refroidissement de la lave à la for-
mation d’une roche volcanique à structure microlitique( basalte) et d’une roche plutonique à
structure grenue(gabbro).
O
- Non loin d’une fosse océanique on assiste à une éruption explosive qui donne naissance
O IT
R NS
planter des végétaux, cela implique une certaine intransigeance, un sens de responsabilité et
E
de discipline.
L’analyse des comportements sexuels et des conditions de réalisation de la fécondation permet
PH
de déduire l’unité de la fonction de reproduction des êtres vivants et ce à travers l’étude de
différents exemples qui permettent de construire des notions essentielles en relation avec la
ST IO
reproduction sexuée (sexe, gamètes, fécondation, œuf, ovipare, vivipare, cycle de développe-
ment...) et asexuée (multiplication végétative).
O
En mobilisant le préacquis personnel de l’apprenant concernant les pratiques humaines asso-
O IT
cié à la production intensive, cette unité permet d’aborder l’idée de maintien de l’espèce et de
la diversification des individus. Elle permet aussi l’obtention de quelques données morpholo-
giques et anatomiques pour classer les êtres vivants , faire des observations chez les animaux,
AP ED
l’homme et les végétaux à des niveaux d’organisation progressifs, des organismes, à la cellule
puis au chromosome.
Dans le même contexte, certains aspects liés à l’hérédité humaine sont abordés en sélection-
nant des documents qui doivent être en parfaite harmonie avec le niveau d’apprentissage de
l’apprenant.
Compétence
Résoudre des situations problèmes relatives à la reproduction chez les êtres vivants et à la
transmission des caractères héréditaires chez l’Homme en mobilisant les savoirs et les habi-
letés acquises.
R NS
réaliser une expérience ou une production ;
E
- Utiliser des outils numériques pour traiter des données, simuler des phénomènes et com-
muniquer des résultats.…
PH
Objectifs généraux
ST IO
• Permettre à l’apprenant d’acquérir des connaissances de base sur la reproduction des êtres
vivants et la transmission des caractères héréditaires chez l’Homme.
O
O IT
Prérequis de l’unité
La reproduction
• Mâle, femelle et descendance.
•Rôle des parents dans la reproduction.
• Animaux ovipares et vivipares.
- Développement
• Étapes de croissance chez l’Homme, les animaux et les plantes.
- La multiplication
• La multiplication des plantes par les graines.
- Cycle de vie.
• Cycle de vie d’une plante.
• Cycle de vie d’un animal.
- Les plantes
• Développement de la fleur en fruit.
- Reproduction chez les animaux.
• Les organes de reproduction chez les animaux.
R NS
E
• Infections sexuellement transmissibles
• Prolongement au lycée
PH
Niveau Contenus
• Tronc commun scientifique : • Reproduction chez les plante :
ST IO
• Première Année Bac Sciences Expérimentales • Organisation de la fonction de reproduction chez l’Homme
• Première Année Bac Sciences Mathématiques • Nature de l’information génétique
• Deuxième Année Bac Sciences Expérimentales
O
• Première Année Bac Lettres et Sciences Humaines, • Reproduction chez l’Homme
O IT
Problème à résoudre :
Les êtres vivants sont caractérisés par leur mort en une étape de leur vie. Mais, on observe ,d’une façon
continue l’apparition de nouveaux animaux et végétaux qui viennent remplacer ceux qui ont disparus.
Les animaux existent encore dans la nature grâce à leur capacité à se reproduire : ils donnent nais-
sances à des petits, ils s’occupent d’eux pour qu’ils deviennent à leur tour capables de se reproduire.
Les végétaux, quant à eux ,produisent des graines qui germent et donnent naissance à des plantes
capables aussi de se reproduire.
D’autre part, chez l’Homme, et d’une génération à l’autre, on constate le maintien de caractères spécifiques
à l’espèce humaine, mais des variations sont remarquables entre les individus des différentes générations.
- Comment se reproduisent les êtres vivants?
- Comment se transmettent les caractères héréditaires chez l’Homme?
Table des matières :
Chapitres de l’unité Volume horaire
Chapitre 1 : La reproduction sexuée chez les animaux. 5h
Chapitre 2 : La reproduction sexuée chez les végétaux. 4h
Chapitre 3 : La reproduction asexuée chez les végétaux. 2h
Chapitre 4 : La reproduction sexuée chez l’Homme. 6h
Chapitre 5 : L’hérédité chez l’Homme. 5h
R NS
E
c–V
4.
PH
a–F
b–V
ST IO
c–F
Exercice 2 :
O
1. l’ordre chronologique :
O IT
c→b→a
2. Légende
AP ED
1. Étamine
2. Pétale
3. Sépale
4. Ovaire
3. L’ovaire se transforme en fruit.
Exercice 3 :
1. Réaliser une frise :
Prérequis :
• La reproduction :
- mâle, femelle, descendance ;
R NS
E
- Rôle des parents dans la reproduction.
• Animaux ovipares et vivipares ;
PH
• Développement ;
• Étape de croissance chez les animaux ;
ST IO
• La ligne cycle de vie d’un animal ;
• Organe de reproduction chez les animaux.
O
Prolongements :
O IT
2ème Bac. Sciences Unité 2 : La transmission de l’information génétique au cours de la reproduction sexuée
Physiques
2ème Bac. Sciences Unité 3 : La transmission de l’information génétique au cours de la reproduction sexuée
de la Vie et de la et génétique humaine
Terre Unité 4 : La génétique des populations
2ème Bac Sciences Unité 1 : La transmission de l’information génétique au cours de la reproduction sexuée
mathématiques et génétique humaine
Unité 2 : La génétique des populations
Objectifs spécifiques :
* Acquérir des connaissances concernant la reproduction sexuée chez les animaux : sexes mâle
et femelle, gamètes, fécondation.... ;
* Déduire le rôle de la reproduction sexuée chez les animaux dans la pérennité des espèces et
la multiplication des individus.
Problème à résoudre :
Pour maintenir leur pérennité, les animaux doivent se reproduire.
Quelles sont les particularités de la reproduction chez les animaux ?
R NS
E
Activité 1 : le rôle du mâle et de la femelle dans la reproduction sexuée 1h
PH
Activité 2 : la fécondation 1h
ST IO
Activité 3 : les animaux ovipares et vivipares 2h
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Quels sont les rôles du mâle et de la femelle lors d’une reproduction sexuée chez les animaux ?
Présentation de l’activité :
La double page de cette activité permet de mettre en évidence le rôle du mâle et de la femelle
dans la reproduction sexuée des animaux, en produisant des gamètes.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances de l’apprenant concernant la nécessité du mâle et de la fe-
melle dans la reproduction sexuée, et une discussion avec l’enseignant, l’amènent à se poser
des questions sur le rôle du mâle et de la femelle dans cette reproduction.
- L’exploitation du document 1 amène l’apprenant à interpréter les résultats des trois expériences
et d’en déduire la nécessité de la présence d’un mâle et d’une femelle, dans la production des
gamètes. Il est aussi amené à déduire que la formation de têtards nécessite la présence des
gamètes mâles et femelles.
R NS
E
- L’exploitation du document 2 permet à l’apprenant de déterminer le comportement sexuel
d’une grenouille mâle et d’un paon mâle pour attirer les femelles dans le but d’un rapproche-
PH
ment sexuel.
ST IO
- L’exploitation du document 3 permet à l’apprenant de connaitre les glandes reproductrices
O
des gamètes mâles ou femelles.
O IT
AP ED
- La légende du document 4 permet à l’apprenant de déduire que les gamètes mâles et fe-
melles sont des cellules.
Ces cellules présentent des caractéristiques différentes (tailles, forme, mobilité, réserves nu-
tritives…).
L’apprenant est amené à réaliser un schéma annoté d’un spermatozoïde et d’un ovule.
Pour conclure
La reproduction sexuée nécessite la présence d’un mâle et d’une femelle.
Le mâle possède des glandes reproductrices, appelées testicules, qui produisent des gamètes
mâles (spermatozoïdes).
La femelle possède des glandes reproductrices, appelées ovaires, qui produisent des gamètes
femelles (Ovules).
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Quel est le phénomène qui permet la formation d’un nouvel individu ?
Présentation de l’activité :
La double page de cette activité présente des exemples des types de fécondation (interne et
externe) et les étapes de la fécondation.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances, de l’apprenant, concernant la production des gamètes mâles
et femelles, sur les caractéristiques d’un spermatozoïde (mobilité) et d’un ovule (fixe), il se pose
la question sur le rôle de ces gamètes dans la formation d’un nouvel individu.
R NS
E
- L’exploitation du Doc 2 par l’apprenant montre le lieu de libération des gamètes mâles, leur
trajet dans l’appareil génital femelle et le rapprochement de l’ovule dans les voies génitales
femelles.
PH
- L’exploitation des documents 1 et 2 permet à l’apprenant et de déduire la définition de la
ST IO
fécondation et de distinguer la fécondation interne de la fécondation externe.
O
O IT
Pour conclure
La fécondation est l’union d’un gamète mâle et d’un gamète femelle. Elle est soit interne, soit
externe. La fécondation est interne quand elle a lieu dans les voies génitales de la femelle.
La fécondation est externe quand elle a lieu en dehors des voies génitales de la femelle (sol,
l’eau…).
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Où se déroule le développement des petits ?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet de différencier entre un animal ovipare et un autre vivipare.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances de l’apprenant concernant, la formation d’un nouvel individu
après la fécondation qui peut être externe ou interne, pousse l’élève à se poser une question sur
le lieu de développement de la cellule- œuf.
R NS
des embryons chez la girafe et la souris se fait dans l’utérus. À la fin de la gestation se déroule
E
la mise-bas qui permet la sortie des petits vivants du ventre de leur mère.
PH
Pour conclure
ST IO
Chez les animaux ovipares le développement de l’embryon se fait dans l’œuf et en dehors du
corps de la femelle, alors que chez les vivipares, il se développe dans l’appareil génital de la
O
femelle.
O IT
AP ED
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Comment se fait le développement chez les animaux ?
Présentation de l’activité :
La double page de cette activité traite les deux types de développement chez les animaux (di-
rect et indirect), les deux types de croissance (Continue et discontinue). En plus, elle introduit la
notion de cycle de développement chez les animaux.
R NS
E
- L’exploitation du document 2 permet à l’apprenant de déduire le cycle de développement de
PH
la grenouille, de remarquer que le têtard subit des transformations au cours de son développe-
ment (métamorphose) et déduit alors que ce développement est indirect.
ST IO
- L’exploitation des documents 3 et 4 permet à l’apprenant :
O
• De comparer le cycle de développement de la poule et du criquet avec celui de la vache et de
O IT
la grenouille.
• De déduire que la poule et le criquet ont un développement direct, vu que le nouveau
AP ED
Pour conclure
Chez certains animaux, le nouveau-né ressemble à l’adulte, au cours de son développement,
sa masse évolue progressivement de façon continue : c’est le cas d’animaux à développement
direct et à croissance continue.
Chez d’autres animaux ,même si le nouveau-né ressemble à l’adulte, au cours de sa croissance,
des mues surviennent : c’est le cas d’animaux à développement direct mais à croissance dis-
continue.
R NS
E
c. Elle permet le rapprochement des cellules reproductrices.
d. Par l’union des deux gamètes mâle et femelle.
PH
e. Une fécondation externe.
3. Questions à choix multiples :
ST IO
A. b. B. c. C. b.
D.
O
1. a. 2. a. 3. c.
O IT
Raisonnement scientifique :
Exercice :
AP ED
Je m’évalue
Auto-évaluation :
1. L’escargot possède une glande sexuelle qui fabrique les ovules et les spermatozoïdes. Il est
impossible que les spermatozoïdes d’un individu fécondent les ovules du même individu, c’est
pour cela que l’accouplement est indispensable lors de la reproduction chez l’escargot.
2. chez l’escargot, la fécondation est interne.
3. la reproduction chez l’escargot est caractérisée par :
- Elle est sexuelle
- L’ escargot est hermaphrodite
- La fécondation est interne
-L’ escargot est ovipare.
R NS
E
1ème Bac. Sciences Unité 3 : Nature de l’information génétique et mécanisme de son expression – Génie gé-
mathématiques nétique
PH
2ème Bac. Sciences Unité 3 : Nature de l’information génétique et mécanisme de son expression - Transmis-
physiques sion de l’information génétique au cours de la reproduction sexuée
2ème Bac. Sciences Unité 2 : La nature de l’information géné- Unité 3 : La transmission de l’information gé-
ST IO
de la Vie et de la tique et mécanisme de son expression - nétique au cours de la reproduction sexuée
Terre génie génétique et génétique humaine
Unité 4 : La génétique des populations
O
O IT
2ème Bac. Sciences Unité 3 : La transmission de l’information génétique au cours de la reproduction sexuée
mathématiques et génétique humaine
«Option A» Unité 4 : La génétique des populations
AP ED
Objectifs spécifiques :
* Acquérir des connaissances concernant la reproduction sexuée chez les végétaux ;
* Organes sexuels, pollinisation, fécondation.... ;
* Déduire le rôle de la reproduction sexuée chez les végétaux dans la pérennité des espèces et
la dispersion dans les milieux naturels.
Ne pas traiter :
• Division cellulaire par mitose ;
• Mécanisme de la croissance des cellules végétales.
Problème à résoudre :
Comme les animaux qui se reproduisent et donnent de nouveaux individus, chaque printemps
les plantes aussi donnent de jeunes plants. Certains fleurissent, d’autres ne fleurissent pas
Comment se reproduisent les plantes ?
Tables des matières :
Activités du chapitre Volume horaire
Activité 1 : Reproduction sexuée chez les plantes à fleurs 3h
Activité 2 : Reproduction asexuée chez les plantes sans fleurs
Activité 3 : Le cycle de développement chez les végétaux 1h
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Comment les plantes à fleurs se reproduisent – elles ?
Présentation de l’activité :
La double page de cette activité montre les organes d’une fleur. Parmi lesquels les organes re-
producteurs qui interviennent dans la formation de nouvelles graines, grâce à la pollinisation et
la fécondation.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances, de l’apprenant concernant la multiplication des plantes par
les graines, l’amène à se poser une question sur l’origine de ces graines et à formuler l’hypo-
thèse que : peut-être ces graines proviennent-elles de la fleur.
R NS
(absence d’étamines, absence de pollen) et de déduire le rôle des organes reproducteurs dans
E
la reproduction sexuée des plantes à fleurs.
Avec le document (2a) l’apprenant est amené à découvrir :
PH
• Le rôle de la pollinisation dans la production des fruits.
• Les types de pollinisation : directe et indirecte.
ST IO
La pollinisation est directe si les grains de pollen et le stigmate sont de la même fleur.
La pollinisation est croisée si les grains de pollen et le stigmate ne sont pas de la même fleur
mais de la même espèce.
O
- L’exploitation du document (2b) permet à l’apprenant de connaitre que l’abeille est un agent
O IT
Pour conclure
Chez les plantes à fleurs et grâces aux organes reproducteurs mâles (les étamines) et femelle (le
pistil), pendant la période de reproduction, les graines sont produites ce qui permet la pérenni-
té de ces plantes.
La formation des graines est assurée par deux phénomènes essentiels :
- La pollinisation qui permet la rencontre des gamètes.
- La fécondation qui permet la fusion des gamètes mâle et femelle et la formation d’une graine.
Chez la plante à fleur la graine est enfermée dans un fruit issu de la transformation de l’ovaire.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Comment se reproduit la fougère ?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet de montrer comment les plantes sans fleurs se reproduisent, en dé-
terminant les organes reproducteurs (sporange, prothalle) et les événements (formation des
sporanges, libération des spores ,rencontre des gamètes). qui y participent.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances, de l’apprenant, concernant la reproduction des plantes à
fleurs et en particulier la transformation de la fleur en fruit contenant des graines, l’amène à se
poser la question : comment une plante qui ne possède pas de fleurs peut-elle se reproduire ?
- L’exploitation des documents (1, 2,3 et 4) permet à l’apprenant d’identifier les différentes
parties d’une fougère (feuille, rhizome) et de mettre en évidence les organes reproducteurs qui
permettent la libération des spores.
R NS
E
à la germination des spores et à la formation du prothalle.
PH
- L’étude du document 6 permet à l’apprenant (e) de mettre en évidence la formation des
ST IO
gamètes au niveau des organes reproducteurs du prothalle. Elle permet aussi de découvrir
la rencontre des gamètes (fécondation) chez la fougère, pour donner un œuf fécondé qui se
O
développe et aboutit à l’apparition d’une nouvelle fougère.
O IT
AP ED
Pour conclure
Les plantes sans fleurs possèdent des spores. Ces dernières sont libérées et tombent sur le sol.
Quand les conditions sont favorables, chaque spore germe et forme une petite feuille verte ap-
pelée prothalle. Celle-ci contient des organes reproducteurs mâles et femelles qui produisent
des gamètes mâles et femelles. La rencontre de ces gamètes se fait dans l’organe reproducteur
femelle et donne naissance à une nouvelle plante.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Quelles sont les étapes d’un cycle de développement chez les plantes ?
Présentation de l’activité :
La double page présente les étapes du cycle de développement des plantes à fleurs et sans
fleurs. Des phénomènes communs aux deux cycles. (formation des gamètes – fécondation) et
d’autres évènements spécifiques à chaque groupe végétal (germination d’une graine ou spore,
pollinisation).
Mise en situation
La mobilisation des connaissances, de l’apprenant, concernant la formation des graines à partir
des fleurs, de nouvelles plantes à partir de spores, le devenir des graines, l’amène à se poser la
question de la relation entre tous ces éléments.
- L’exploitation du document (1a) permet à l’apprenant de mobiliser ses acquis sur la repro-
duction des plantes à fleurs afin d’identifier ses principales étapes (pollinisation – fécondation
– formation du fruit et de la graine).
R NS
mettant l’accent sur sa germination, la croissance d’une plantule, la floraison de la plante.
E
La tâche à réaliser par l’apprenant réside dans l’établissement d’un schéma fonctionnel en uti-
lisant les termes ou les groupes de mots nécessaires.
PH
ST IO
- L’exploitation du document (2a). permet à l’apprenant de mobiliser ses acquis sur la reproduction
des plantes à fleurs afin d’identifier les principales étapes (formation de gamètes, fécondation).
O
O IT
Pour conclure
Une plante à fleurs naît d’une graine qui a germé. La plante grandit. Elle devient adulte et elle
fleurit après la fécondation, les fleurs deviennent des fruits porteurs des graines et le cycle re-
commence.
Pour une plante sans fleurs il y a formation des gamètes, fécondation et formation d’une
cellule -œuf qui se développe en donnant un nouvel individu qui devient mature (et le cycle
recommence).
R NS
3. Les étapes de la transformation de la fleur en fruit :
E
- Le grain de pollen tombe sur le stigmate. - Libère les anthérozoïdes qui fécondent
- Le tube pollinique se forme. les ovules de l’ovaire.
PH
- S’allonge dans le pistil. - Les ovules se transforment en graines.
- Arrive à l’ovule - L’ovaire se transforme en fruit.
ST IO
4. C’est le grain de pollen.
Exercice 2 :
O
1. X = spermatozoïdes : ils sont produits par l’organe reproducteur mâle.
O IT
Je m’évalue
Auto-évaluation :
Prérequis :
Multiplication des plantes par les graines.
Prolongements :
Tronc commun Unité 2 : La reproduction chez les végétaux
R NS
scientifique
E
2ème Bac. Sciences Unité 3 : Nature de l’information génétique et mécanisme de son expression
physiques
PH
2ème Bac. Sciences Unité 2 : La nature de l’information génétique et mécanisme de son expression - génie
ST IO
de la Vie et de la génétique
Terre
O
Objectifs spécifiques :
O IT
* Acquérir des connaissances sur le mode de reproduction asexuée chez les végétaux ;
* Déduire l’importance de la multiplication végétative dans la pratique de quelques techniques
AP ED
Problème à résoudre :
La multiplication végétative et une reproduction asexuée qui se fait à partir d’un organe végétal
( tige, bourgeons ou feuille)
Quels sont les modes de multiplication végétative naturelle ?
Quelles sont les techniques de la multiplication végétative ?
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Quels sont les types de multiplication végétative naturelle ?
Présentation de l’activité :
La double page de cette activité permet de connaitre les différents organes intervenant dans la
reproduction asexuée et les différents modes de la multiplication végétative.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances, de l’apprenant, concernant la reproduction sexuée des
plantes, et la nécessité des gamètes mâles et femelles pour la formation d’un nouvel individu,
l’amène à se poser la question : comment une plante peut-elle se reproduire de façon asexuée ?
R NS
- L’exploitation du document 2 permet à l’apprenant de connaitre la multiplication du fraisier
E
caractérisée par des tiges aériennes (stolons) qui, au contact du sol, s’enracinent et donnent de
nouvelles plantes.
PH
ST IO
- L’exploitation du document 3 permet à l’apprenant de reconnaitre que le bulbe d’oignon est
une tige souterraine caractérisée par un bourgeon qui se développe pour donner une nouvelle
O
plante.
O IT
AP ED
- Le doc 4 permet à l’apprenant de connaître que les rhizomes sont des tiges souterraines qui
se développent.
Pour conclure
Certaines plantes se multiplient sans graines, ni spores mais peuvent se multiplier à partir d’or-
ganes : ce type de reproduction asexuée est appelé multiplication végétative. Elle peut se faire
par tige aérienne (stolon), ou tige souterraine (bulbe, tubercule, rhizome).
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
Objectifs d’apprentissage
AP ED
Capacités à développer
• onnaitre les étapes de réalisation
C • ’informer : à partir de texte, de do-
S
de chaque technique de multiplica- cuments, décrire.
tion végétative. • ommuniquer : à l’aide d’un texte
C
• anipuler pour appliquer les tech-
M Scientifique correct.
niques de multiplication végétative. • Extraire et organiser L’information
• istinguer les types de techniques
D utile : identifier - déterminer - décou-
de multiplication végétative. vrir - comprendre - relier
• éterminer l’importance des tech-
D • aisonner : argumenter, établir des
R
niques végétatives dans le domaine relations.
agricole.
Problème à résoudre :
Quelles sont les techniques de multiplication végétative pratiquées par l’Homme ? quels sont
leurs avantages ?
Présentation de l’activité :
Cette double page vise à connaitre les différentes techniques de multiplication végétative et
déduire leur importance dans les rendements agricoles.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances concernant la multiplication végétative des végétaux grâce à
une partie de la plante (une tige, des rhizomes, des bulbes, des tubercules, …) amène l’apprenant
à se poser des questions concernant les techniques de la multiplication végétative qui peuvent
être mises en place pour exploiter la multiplication végétative dans le domaine agricole.
R NS
- L’exploitation du document 2 permet à l’apprenant de découvrir que le marcottage est une
E
méthode de multiplication végétative, qui permet à partir d’une plante mère, de faire enraciner
ses rameaux dans le sol sans être détaché de celle-ci.
PH
ST IO
- L’exploitation du document 3 permet à l’apprenant de connaitre une troisième technique de
multiplication végétative le greffage, qui consiste à implanter dans le porte greffon un bour-
O
geon ou un fragment (greffon) prélevé sur une autre plante ou de la même plante, pour que
O IT
celui-ci continue à croître en faisant corps avec la première. La greffe est le résultat obtenu.
AP ED
Pour conclure
La multiplication végétative ou reproduction asexuée permet une multiplication rapide à partir
d’organes (tube, bourgeon, feuille). Elle donne plusieurs descendants identiques à partir d’un
même et seul individu : il s’agit de bouturage, marcottage, greffage.
L’homme tire profit de cette multiplication végétative en floriculture, horticulture et agriculture
pour augmenter et améliorer la production végétale.
R NS
E
c. Par bulbe.
d. Par marcottage.
PH
e. Par rhizome.
f. Par greffage.
ST IO
g. Par tubercule.
6. Classer dans l’ordre chronologique les étapes du greffage :
O
O IT
d. → b. → a. → c.
Raisonnement scientifique :
AP ED
Exercice 1 :
1. Dans la préparation 2, la plante est renversée, le bourgeon est dans le sol.
Dans la préparation 3, la plante est dépourvue de bourgeon.
2. Pour qu’une bouture se développe, il faut qu’elle possède un bourgeon et que ce bourgeon
soit en dehors du sol c’est-à-dire dans la bonne position.
Exercice 2 :
1. Les étapes de la technique sont :
- On coupe deux rameaux d’une plante.
- On les place dans un récipient contenant de l’eau.
- Formation des racines après 15 jours.
- On met chaque plante dans un pot contenant du sol.
2. Il s’agit du bouturage.
3. On obtient de nouvelles plantes à partir d’une partie d’une plante. C’est une reproduction
sans intervention de gamètes, donc il s’agit d’une multiplication végétative.
Exercice 3 :
1. Les étapes de la technique :
1. On prélève un bourgeon d’un tubercule de pomme de terre.
Je m’évalue
Auto-évaluation :
1. a Stolon ; b Rhizome ; c- Tubercule ; d Bulbe
2.
Les deux techniques de multiplication utilisées par l’Homme sont :
- le marcottage pour la plante a
R NS
E
- le bouturage pour la plante b, c et d.
Exercices de synthèse :
PH
1.
- En (a), des boutures de la plantes s’enterrent, s’enracinent en restant attachées à la plante
ST IO
mère et donnent naissance à des nouvelles plantes à fleurs qu’on sépare après.
- En (b), le rhizome, est une tige souterraine, qui s’allonge, se ramifie et produit de nouvelles
pousses.
O
O IT
- En (c), une branche de la plante est enterrée pour donner naissance à une nouvelle plante.
2. Les modes de multiplication
- Dans (a) il s’agit du marcottage.
AP ED
Accouplement
et fécondation
Larve
mues et métamorphase
Prérequis :
• Les organes de reproduction chez les animaux et chez les végétaux ;
• Les gamètes mâles et femelles chez les animaux et chez les végétaux ;
• La fécondation chez les animaux et chez les végétaux ;
R NS
• Développement de l’embryon chez les animaux ;
E
• Cycle de développement chez les animaux et les végétaux ;
• Les étapes de la croissance chez l’Homme.
PH
Prolongements :
ST IO
3ème AC Unité 2
Partie 2 : Immunologie
O
O IT
1ère Bac. Sciences Unité 2 : La nature de l’information génétique et mécanisme de son expression - génie
mathématiques génétique
2ème Bac. Sciences Unité 2 : La nature de l’information génétique et mécanisme de son expression
Physiques
2ème Bac. Sciences Unité 2 : La nature de l’information géné- Unité 3 : La transmission de l’information
de la Vie et de la tique et mécanisme de son expression - génétique au cours de la reproduction
Terre génie génétique sexuée et génétique humaine
Unité 4 : La génétique des populations
Unité 5 : L’immunologie
2ème Bac. Sciences Unité 1 : La transmission de l’information Unité 2 : La génétique des populations
mathématiques génétique au cours de la reproduction
«Option A» sexuée et génétique humaine
Ne pas traiter :
• La mitose ;
• Étapes de développement de l’embryon détaillées ;
• Rôle de l’hypophyse dans la régulation des secrétions d’hormones sexuelles chez l’homme et
R NS
E
chez la femme.
Problème à résoudre :
PH
Comme tout être vivant, l’Homme est une espèce qui se reproduit d’une génération à l’autre, les
parents donnent des enfants, qui eux même deviennent capables de procréer.
ST IO
Quelles sont les principales caractéristiques de la reproduction chez l’homme ?
O
Table des matières :
O IT
Activité 4 : La contraception. 1h
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
Problème à résoudre :
Comment s’organisent et fonctionnent les organes sexuels de l’homme et de la femme ?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet de relever les premiers signes de la puberté chez la fille et le garçon,
la structure des appareils reproducteurs mâle et femelle et le rôle des glandes dans la produc-
tion des gamètes mâles et femelles et des hormones reproductrices.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances, chez l’apprenant concernant la reproduction sexuée chez les
animaux, et une discussion avec l’enseignant, l’amènent à se demander si la reproduction chez
l’Homme ressemble à celle des animaux.
R NS
• Leur appareil reproducteur (gonades, voies génitales, organes copulateurs) ;
E
• Leurs gonades (tubes séminifères pour les testicules, follicules et corps jaune pour l’ovaire) ;
PH
• Les gamètes (spermatozoïdes et ovules) : taille, nombre, mobilité, le rôle exocrine des go-
nades (production de gamètes) et le rôle endocrine (production d’hormones sexuels).
ST IO
O
- L’exploitation du document 4 amène l’apprenant à comprendre la notion de cycle sexuel et
O IT
- La discussion entre l’enseignant et l’apprenant permet de déduire les 2 phases du cycle sépa-
rées par l’ovulation :
• L’augmentation de l’épaisseur de la paroi utérine est due à l’augmentation du taux des œs-
trogènes
• La formation de la dentelle utérine s’explique par l’augmentation du taux de la progestérone.
• L’apparition des règles s’explique par la chute du taux de progestérone causée par la régres-
sion du corps jaune à la fin du cycle.
Pour conclure
Chez l’homme, les testicules produisent des spermatozoïdes et des hormones (testostérone)
qui permettent l’apparition et le développement des caractères sexuels secondaires.
Chez la femme les ovaires produisent des ovules et des hormones (œstrogène et progestérone)
qui permettent l’apparition, le développement des caractères sexuels secondaires et l’activité
cyclique de l’ovaire et de l’utérus.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Comment se forme la cellule-œuf et quel est son devenir ?
Présentation de l’activité :
La double page de cette activité montre la migration des spermatozoïdes dans l’appareil génital
femelle pour rencontrer un ovule, le cheminement des gamètes mâle et femelle et leur ren-
contre à l’origine de la formation de la cellule-œuf qui évolue en embryon.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances concernant le rôle des gamètes mâles et femelles (chez les
animaux), la production des spermatozoïdes par les testicules et les ovules par les ovaires,
amène l’apprenant à se demander si la fécondation chez l’Homme ressemble à cellule des ani-
maux.
R NS
E
- En mobilisant ses connaissances sur la fécondation et l’exploitation du document 2 l’appre-
nant détermine les étapes de la formation de la cellule – œuf.
PH
ST IO
- L’exploitation du document 3 amène l’apprenant à déduire :
O
• Le Trajet de la cellule-œuf du tiers supérieur de la trompe jusqu’à l’utérus.
O IT
Pour conclure
Après leur dépôt, les spermatozoïdes parcourent la cavité utérine et les 2 tiers de la trompe
pour rencontrer l’ovule et former une cellule-œuf. Celle-ci se transforme en embryon et s’im-
plante dans la muqueuse utérine.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Quelles sont les étapes de la grossesse ?
Quels sont les bienfaits de l’allaitement maternel.
Présentation de l’activité :
La double page de cette activité présente les différentes phases de la grossesse, le rôle du
placenta, les étapes de l’accouchement avec coupure du cordon ombilical, enfin elle présente
une comparaison entre le lait maternel et le lait artificiel dans le but de dégager les avantages
de l’allaitement maternel.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances en relation avec la nécessité de rencontre d’un gamète mâle
et d’un gamète femelle pour former une cellule-œuf et donc un nouvel individu, amène l’appre-
nant, à se poser des questions sur le lieu et le mode de développement de la cellule-œuf.
R NS
- L’exploitation des tableaux du document 2 permet à l’apprenant de connaître les rôles du
E
placenta : nutritif , respiratoire , excréteur et de défense.
PH
- L’observation du document 3 amène l’apprenant à dégager les événements qui se déroulent
ST IO
durant l’accouchement :
• Commencement du travail avec début de contractions utérines (fréquence) utérine faible.
O
• Dilation puis effacement du col.
O IT
• Après cette expulsion, les contractions de l’utérus s’annulent pendant 20 à 30 min puis elles
reprennent pour expulser le placenta : C’est la délivrance.
Pour conclure
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Quels sont les moyens contraceptifs ? Comment agissent-ils ?
Présentation de l’activité :
La double page de cette activité présente les différents moyens de contraception, mécaniques
et chimiques, leur mode d’action et l’efficacité de chacun d’entre eux. Chaque couple peut choi-
sir en accord avec le médecin la méthode qui lui convient pour empêcher de manière tempo-
raire et réversible une grossesse malgré des rapports sexuels.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances, sur les étapes de la grossesse qui est à l’origine de nouveaux
individus dans une famille pousse l’apprenant à se poser la question : est ce que les parents
peuvent décider du nombre de leurs enfants et du moment de leur naissance?
R NS
nique, le stérilet qui empêche l’embryon de s’implanter dans la paroi de l’utérus.
E
PH
- L’exploitation rigoureuse du document 4 montre à l’apprenant qu’il existe des contraceptifs
ST IO
chimiques qui sont composés d’hormones de synthèse (œstrogènes et progestérone) : la pilule.
Ces pilules agissent soit sur :
•
O
L’ovaire en bloquant l’ovulation.
O IT
Pour conclure
R NS
E
a. L’ovaire produit l’ovule.
b. Le sperme contient des spermatozoïdes.
PH
3. Indiquer les affirmations exactes et corriger les phrases qui sont fausses :
a. Faux : pour que la pilule soit efficace, certaines doivent être prises tous les jours sans inter-
ST IO
ruption, d’autres doivent être prises les 21 premiers jours du cycle à la même heure et les inter-
rompre pendant les derniers 7 jours.
b. Exacte.
O
O IT
e. Exacte.
4. Cocher Vrai ou Faux :
a. Vrai b. Faux c. Vrai d. Faux e. Faux f. Vrai
Raisonnement scientifique :
Exercice 1 :
1. L’ordre chronologique :
d. → b. → a. → c.
2. Titres des photos
a. Début de formation de l’embryon phase embryonnaire.
b. Stade morula.
c. Fœtus : phase fœtale.
d. Fécondation.
3. Lieu de réalisation :
a. Dans l’utérus.
b. Dans le tiers inférieur de l’oviducte.
c. Dans l’utérus.
Je m’évalue
R NS
E
Auto-évaluation :
PH
1. L’importance de l’utilisation des contraceptifs apparait en remarquant que le pourcentage
des femmes ayant vécu une grossesse est faible chez celles utilisant un contraceptif.
ST IO
2. le pourcentage de femmes ayant vécu une grossesse diminue avec le respect du mode d’uti-
lisation du moyen contraceptif.
O
3. un contraceptif est utilisé pour réguler les naissances. Il existe plusieurs méthodes contracep-
O IT
tives. Les plus efficaces sont l’implant sous-cutané (avec un taux d’échec de 0,05 %) et la pilule
(avec un taux d’échec de 0,3 %) à condition de bien respecter le mode d’utilisation de chaque
contraceptif.
AP ED
Prérequis :
• La cellule unité de structure du vivant ;
R NS
E
• Gamète mâle et femelle ;
• Fécondation ;
• Cellule-œuf.
PH
Prolongements :
ST IO
3ème AC Unité 2
Partie 2 : Immunologie
O
Chapitre 5 : Quelques problèmes du système immunitaires (transfusion sanguine)
O IT
1ère Bac. Sciences Unité 2 : La nature de l’information génétique et mécanisme de son expression - génie
mathématiques génétique
AP ED
2ème Bac. Sciences Unité 2 : La nature de l’information génétique et mécanisme de son expression - La trans-
Physiques mission de l’information génétique au cours de la reproduction sexuée
2ème Bac. Sciences Unité 2 : La nature de l’information géné- Unité 3 : La transmission de l’information gé-
de la Vie et de la tique et mécanisme de son expression - nétique au cours de la reproduction sexuée
Terre génie génétique et génétique humaine
Unité 4 : La génétique des populations
Unité 5 : L’immunologie
2ème Bac. Sciences Unité 1 : La transmission de l’information Unité 2 : La génétique des populations
mathématiques génétique au cours de la reproduction
«Option A» sexuée et génétique humaine
Objectifs spécifiques :
* Acquérir des connaissances concernant la transmission de quelques caractère et maladies hé-
réditaires : notion de chromosomes.... ;
* Prendre conscience du risque relatif aux mariages consanguins ;
* Sensibiliser les apprenants à l’importance de la recherche scientifique :
Les progrès, les limites, les applications et les problèmes d’ordre éthique que posent quelques
techniques (le clonage par exemple).
Problème à résoudre :
Hommes, femmes et enfants de la planète «Terre» appartiennent à la même espèce humaine. Ils
possèdent tous des caractères qui les différencient des autres espèces.
Cependant, chaque individu se distingue d’un autre.
Quels sont les caractères physiques propres à l’espèce Humaine et les variations propres à
chaque individu ?
R NS
E
Activités du chapitre Volume horaire
PH
Activité 1 : Transmission de quelques caractères et maladies héréditaires 1h
ST IO
Activité 2 : Rôle des chromosomes dans la transmission des caractères hérédi- 2h
taires
O
Activité 3 : Dangers des mariages consanguins 1h
O IT
Activité 4 : Clonage 1h
AP ED
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Comment se transmettent ces caractères ?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet d’identifier la notion de caractères héréditaires et de montrer l’im-
portance de l’arbre généalogique dans l’étude de ces transmissions d’une génération à l’autre.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances de l’apprenant concernant Les observations au sein d’une
même famille quant à la ressemblance et la différence entre les individus : tous présentent les
caractères de l’espace humaine, aucun n’est semblable à l’autre, l’amène à se poser la question
: comment expliquer les différences ou ressemblances entre les individus ?
R NS
E
- L’exploitation des documents 4 et 5 amène l’apprenant à lire et à analyser un arbre généalo-
gique en utilisant la légende.
PH
L’utilisation de l’arbre permet de justifier qu’il s’agit de caractères héréditaires transmis d’une
génération à une autre.
ST IO
Pour conclure
O
O IT
Dans une famille, certains individus ont des caractères identiques transmis par les générations
précédentes.
L’arbre généalogique : constitue un moyen d’étude de la transmission de ces caractères hérédi-
AP ED
taires.
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Comment la cellule-œuf peut-elle porter les caractères héréditaires provenant des deux pa-
rents ?
Présentation de l’activité :
La double page de cette activité permet de mettre en évidence la localisation de l’information
génétique sur les chromosomes et de leur transmission d’une génération à une autre.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances sur la cellule-œuf qui est la fusion des noyaux des cellules
reproductrices du père et de la mère et qui est à l’origine d’un nouveau-né, pousse l’apprenant
à se demander si cette fusion n’est pas responsable de la ressemblance des enfants avec leurs
parents.
R NS
E
- L’exploitation du document 1 permet aussi à l’apprenant de comparer le caryotype de la cellule-
œuf avec celui des gamètes :
PH
La cellule-œuf provient de la fusion des deux gamètes mâle et femelle donc contient le double
du nombre de chromosomes des gamètes.
ST IO
O
- L’exploitation du document 2 permet la comparaison du caractère « couleur des yeux » chez
O IT
les parents et leurs enfants et de constater l’apparition d’un nouveau caractère « yeux bleus »
chez un de leurs enfants.
La discussion entre le professeur et le groupe classe, amène les apprenants à se demander la
AP ED
Pour conclure
Les gamètes sont les cellules qui passent d’une génération à l’autre, leur information génétique
(portée par les chromosomes), contrôle les caractères héréditaires de la descendance. Lors de
la formation des gamètes chez les parents, les chromosomes porteurs des différentes versions
d’un même caractère sont séparés.
Lors de la fécondation de nouvelles combinaisons chromosomiques permettent l’apparition de
nouveaux caractères..
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
AP ED
Problème à résoudre :
Ce type de mariage présente-t-il des dangers pour la descendance ?
Présentation de l’activité :
La double page de cette activité permet à l’apprenant de déduire la notion de mariage consan-
guin et de mettre en évidence son influence sur la transmission des caractères héréditaires
d’une génération à une autre et donc de confirmer le danger d’un tel mariage sur la descen-
dance.
Mise en situation
La mobilisation des connaissances en relation avec le rôle des chromosomes dans la transmis-
sion des caractères héréditaires d’une génération à une autre, amène l’apprenant, à se poser
une question sur la probabilité de la transmission d’une maladie héréditaires dans le cas d’un
mariage consanguin entre deux cousins germains si chacun des deux a un chromosome respon-
sable de cette maladie héréditaire.
R NS
E
- L’exploitation du document 2 c’est l’exercice de renforcement pour permettre à l’apprenant
de maîtriser la signification du mariage consanguin et de son danger sur la descendance d’où
PH
la nécessité d’éviter ce genre de mariage.
ST IO
Pour conclure
O
Le mariage entre cousins germains est à l’origine de l’augmentation du risque d’avoir des ma-
O IT
ladies héréditaires chez les enfants. C’est pour cela qu’il est important d’éviter ce genre de
mariage.
AP ED
R NS
E
PH
ST IO
O
O IT
Problème à résoudre :
Quels sont les types de clonages et dans quels domaines présentent-ils des avantages ?
Présentation de l’activité :
Cette double page permet à l’apprenant de connaitre la notion du clonage, son principe et ses
étapes et lui permet aussi de distinguer les types de clonage et leurs intérêts.
Mise en situation
Les mobilisations des connaissances, sur les étapes de la grossesse qui est à l’origine de
nouveaux individus dans une famille, pousse l’apprenant à se poser la question : est-ce que les
parents peuvent décider du nombre de descendants et du moment de leur naissance au sein de
leur foyer ?
R NS
E
- L’exploitation du document 2 permet à l’apprenant d’identifier les étapes du clonage reproductif.
PH
ST IO
- L’exploitation du document 3 permet à l’apprenant d’identifier les étapes du clonage
thérapeutique.
O
O IT
Pour conclure
AP ED
La synthèse des données recueillies à partir de l’exploitation des documents permet de dresser
un tableau qui résume les techniques, les avantages et les limites du clonage.
R NS
E
e. La trisomie 21 signifie que l’individu possède trois exemplaires du chromosome 21.
f. Ce sont les chromosomes qui déterminent le sexe.
PH
Chez la femme c’est XX.
ST IO
Chez l’homme c’est XY.
g. Chaque gamète possède 23 chromosomes.
O
4. Construire une phrase avec chaque groupe de mots :
O IT
Raisonnement scientifique :
Exercice 1 :
1. Trois caractères modifiés chez un individu atteint du syndrome d’Edwards : anomalies au
niveau du cœur et du squelette ; Mauvais développement des muscles ; un retard mental.
2. C’est un garçon ; il possède deux chromosomes sexuels : X et Y. Il est atteint de la trisomie
18 (trois exemplaires du chromosome 18).
3. Le changement du nombre de chromosomes entraîne un changement de caractères héré-
ditaires, donc les chromosomes sont le support de caractères héréditaires chez un individu.
On peut donc conclure qu’un chromosome supplémentaire dans le noyau des cellules de
l’organisme entraîne des anomalies physiques et mentales chez les personnes touchées.
Exercice 2 :
1. L’apparition de la drépanocytose chez un enfant ne nécessite pas que les deux parents
soient atteints. Même s’ils sont non atteints ils peuvent avoir des enfants malades.
2. Les parents d’un enfant atteint de la drépanocytose possèdent chacun un chromosome por-
teur du caractère de la drépanocytose. Pendant la fécondation, les deux chromosomes porteurs
du caractère de la drépanocytose sont réunis et donc l’enfant serait atteint de cette maladie.
Exercices de synthèse :
1.
- Dans le testicule normal, les tubes séminifères sont développés, avec une présence de la
R NS
E
formation des spermatozoïdes. Les cellules mères des spermatozoïdes existent en très grand
nombre.
PH
- Dans le testicule cryptorchide, les tubes séminifères sont dégénérés, avec une absence de
la formation des spermatozoïdes. Les cellules mères des spermatozoïdes sont inexistantes ou
ST IO
en très faible nombre.
2. Le caryotype du patient présente deux chromosomes X et un chromosome Y.
3. Lors de la formation des gamètes chez la mère, les deux chromosomes X ne se séparent pas
O
et rejoignent ensemble le même gamète. Après la fécondation, la cellule-œuf contient un chro-
O IT
mosome de plus et donc une anomalie chromosomique. Par la suite, le patient sera atteint du
syndrome de Klinefelter.
AP ED
Fiche de remédiation :
Les caractères que possède l’individu atteint du syndrome de Down sont anormaux : Petite taille,
visage arrondi, yeux en amande, cou cours, petites mains et déficience intellectuel.
Sur son caryotype, on relève le nombre anormal de chromosomes qui est de 47 au lieu de 46, à
cause de la présence d’un chromosome numéro 21 en plus.
Sur le caryotype de l’individu atteint de cette anomalie on remarque la présence de 2 chromo-
somes X ce qui signifie que cet individu est de sexe féminin.
R NS
E
املراقبــة املســتمرة بالتعليــم املــدريس؛
• اململكــة املغربيــة ،وزارة الرتبيــة الوطنيــة والتعليــم العــايل وتكويــن األطــر والبحــث العلمــي 13 ،دجنــر ،2010مذكــرة رقــم ،190تأطــر
وتتبــع فــروض املراقبــة املســتمرة ملــادة علــوم الحيــاة واألرض بالتعليــم الثانــوي اإلعــدادي؛
PH
• اململكــة املغربيــة ،وزارة الرتبيــة الوطنيــة والتعليــم العــايل وتكويــن األطــر والبحــث العلمــي 20 ،شــتنرب ،2011مذكــرة رقــم ،132يف شــأن
برنامــج مــادة علــوم الحيــاة واألرض بالتعليــم الثانــوي اإلعــدادي؛
ST IO
• اململكــة املغربيــة ،وزارة الرتبيــة الوطنيــة والتعليــم العــايل وتكويــن األطــر والبحــث العلمــي 19 ،ينايــر ،2011مذكــرة رقــم ،06يف شــأن برنامــج
مــادة علــوم الحيــاة واألرض بالتعليــم الثانــوي؛
O
• اململكــة املغربيــة ،وزارة الرتبيــة الوطنيــة والتعليــم العــايل وتكويــن األطــر والبحــث العلمــي ،مديريــة املناهــج ،الربامــج والتوجيهــات الرتبويــة
O IT
• Alet (M) ; Comment interagissent enseignant et élèves en classe ? Revue Française de pédagogie, n°107, (avril-
mai-juin 1994). [En ligne]. http://ife.ens-lyon.fr/publications/edition-electronique/revue-francaise-de-pedago-
; )gie/INRP_RF107_8.pdf (consulté le 08/08/2020
• Baccalauréat international. Février 2010. Le Programme primaire : un modèle d'apprentissage transdiscipli-
; naire. Cardiff, Royaume – Uni : IB Publishing
• BOIX (M.), V. 2010. Guide du PPCS sur l'enseignement et l'apprentissage interdisciplinaires. Cardiff, Royaume
; – Uni. IB Publishing
• DALY (K.), BROWN (G.) et MCGOWAN (C.). 2012. Analyse documentaire sur l'intégration pédagogique dans le
; Programme de premier cycle secondaire du Baccalauréat International. Cardiff, Royaume – Uni. IB Publishing
• DELL'ANGELO (M.), 2013, 231/2 ; Construction d'évaluations de situations complexes avec des ensei�-
gnants de SVT de collège. [En ligne]. https://aref2013.umontpellier.fr/?q=content/2312-construction-
d%E2%80%99%C3%A9valuations-de-situations-complexes-avec-des-enseignants-de-svt-de-coll%C3%A8
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les disciplines d’enseignement. [En ligne]. file:///c:/users/hp/downloads/ticeetenseignement.pdf (consulté le
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mation des jeunes ; L'évaluation des apprentissages au secondaire, Cadre de référence, Version préliminaire.
[En ligne]. http://cybersavoir.csdm.qc.ca/michaudisabelle/files/2015/10/%C3%89valuation-des-apprentis-
; )sages-au-secondaire-cadre-de-r%C3%A9f%C3%A9rences.pdf (consulté le 08/08/2020
R NS
E
Liste des principales références actualisées pour enrichir les connaissances de l'enseignant-e- afin de
PH
favoriser l'autoformation en tenant compte de leur adéquation aux besoins de l'acte d'enseigner :
1. En didactique et en pédagogie
ST IO
• IB. Novembre 2012. "L'enseignement des disciplines PPCS : développement des grandes idées et d'une compré-
hension approfondie". IB Publishing ;
O
• IB. Août 2014. " Favoriser l'enseignement et l'apprentissage interdisciplinaire dans le cadre du PEI". IB Publi-
shing ;
O IT
• IB. Guide de soutien : "Réponses aux divers besoins éducationnelles des élèves dans la salle de classe". IB Publi�-
shing ;
• IB. 2013-2014. "Guide d'évaluation critériée à l'intention des parents et des élèves". IB Publishing ;
AP ED
• IB. Mai 2014. Programme de l'éducation internationale PEI, "Des principes à la pratique". IB Publishing ;
• Jonnaret (P.), 2002 ; Compétences et socioconstructivisme, un cadre théorique, Ed. Université Deboeck,
Bruxelles ;
• Proulx (L.P.), 1999 ; La résolution de problèmes en enseignement, Cadre référentiel et outils de formation, De
Boeck & Larcier s.a. Paris, Bruxelles ;
• SCALLON (G.), 1988 ; L’évaluation formative des apprentissages, les presses de l’Université Laval, Québec ;
• SCALLON (G.), 2e édition 2007, l’évaluation des apprentissages dans une approche par compétences, Editions du
Renouveau pédagogique, Inc.
2. En spécialité (SVT)
• Charles Pomerol ; Yves Laga brielle : Maurice Renard, «Éléments de géologie», 12ème édition, Dunod, paris 2000 ;
• Gilbert Boillot ; «Introduction à la géologie, la dynamique de la lithosphère» ; 2ème édition Dunod : Paris 2000 ;
• Jacques Mercier ; Pierre Verge ly ; «Tectonique», 2ème édition, Dunod, Paris 1999 ;
• Robert Gorenflot ; «Biologie végétale : plantes supérieures appareil végétatif » ; 6ème édition Masson, Paris 1998 ;
• https://svt.ac-versailles.fr/spip.php?article%20110. (Consulté le 13/08/2020).
R NS
• SVT 1ère S Spécialité, Manuel de l’élève, (édition 2019), Nathan ; • SVT 6ème, Manuel de l’élève, (édition 2006), Bordas ;
E
• Sciences et Technologie, 6ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Bordas ; • SVT 6ème, Manuel de l’élève, (édition 2006), Hatier ;
• Sciences et Technologie, 6ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Belin ; • SVT 5ème, Manuel de l’élève, (édition 2006), Bordas ;
PH
• Sciences et Technologie, 6ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Hachette ; • SVT 5ème, Manuel de l’élève, (édition 2006), Hachette ;
• Sciences et Technologie, 6ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Hatier ; • SVT 5ème, Manuel de l’élève, (édition 2006), Nathan ;
• Sciences et Technologie, 6ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Magnard ; • SVT 5ème, Manuel de l’élève, (édition 2006), Magnard ;
ST IO
• Sciences et Technologie, 6ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Nathan ; • SVT 6ème, Manuel de l’élève, (édition 2005), Bréal ;
• SVT 5ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Bordas ; • SVT 6ème, Manuel de l’élève, (édition 2005), Nathan ;
• SVT 5ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Belin ; • SVT 5ème, Manuel de l’élève, (édition 2005), Delagrave ;
O
• SVT 5ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Hachette ; • SVT 6ème, Manuel de l’élève, (édition 2000), Bordas ;
O IT
• SVT 5ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Hatier ; • SVT 6ème, Manuel de l’élève, (édition 2000), Nathan ;
• SVT 5ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Magnard ; • SVT 5ème, Manuel de l’élève, (édition 1997), Hachette ;
• SVT 5ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Nathan ; • SVT 6ème, Manuel de l’élève, (édition 1996), Hachette ;
AP ED
• SVT 4ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Bordas ; • Sciences et technologie 6ème, Manuel de l’élève, (édition 1996), Nathan ;
• SVT 4ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Belin ; • SVT 6ème, Manuel de l’élève, (édition 1990), Nathan.
• SVT 4ème, Manuel de l’élève, (édition 2017), Hachette ;
R NS
E
Analytique : 6 Conceptuelle : 8, 24, 25
Apprendre : 17, 21, 29, 31, 32 Concevoir : 25, 29, 34, 93
Conclusion : 7, 16, 21, 25, 98, 100, 108, 124
PH
Apprentissage : 3, 6, 7, 8, 13, 14, 15, 17, 18, 19,
20, 21, 23, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 36, 40, 42, 46, 48, Confiance : 13, 17, 29
Conflits cognitifs : 21, 22
ST IO
50, 56, 58, 60, 66, 68, 74, 76, 78, 84, 86, 88, 92, 94, 98, 100,
102, 104, 108, 110, 112, 116, 118, 124, 126, 128, 130, 136, Confrontation : 22, 23, 24, 89
138, 140, 142, 146, 147, 148 Conjecture : 23
O
Approche : 6, 7, 8, 14, 19, 21, 31, 34, 44, 53, 61, 67, 70, 83, Connaissances : 5, 6, 8, 15, 19, 20, 21, 22, 24, 26,
O IT
85, 87, 99, 101, 106, 146, 147 28, 29, 32, 34, 35, 43, 44, 45, 47, 48, 49, 51, 52, 54, 59, 60,
Approche analytique : 6 61, 62, 64, 67, 69, 70, 72, 75, 77, 78, 79, 80, 82, 85, 86, 87,
Approche pédagogique : 14 88, 89, 90, 93, 96, 98, 99, 101, 103, 105, 106, 107, 109, 111,
AP ED
Approche systémique : 6, 7 113, 114, 115, 117, 119, 120, 122, 123, 125, 126, 127, 129,
Appropriation : 13, 23, 25 131, 132, 134, 137, 138, 139, 141, 142, 143, 144, 147
Argumentés : 23 Connaissances scientifiques : 5
Assimiler : 6 Consigne : 13, 14, 18, 31, 105
Attitude : 3, 5, 8, 21, 26, 27, 34, 35, 92, 93, 130, 142 Consolider : 30, 32
Auto-évaluation : 27, 29, 31, 44, 53, 59, 63, 71, 81, 90, Contenu notionnel : 27
106, 114, 121, 133, 145 Contexte éducatif : 19
Autonomie : 3, 13, 14, 17, 19, 20, 21, 31, 32 Contraintes : 9, 17, 23, 36, 65, 66, 67, 69, 70, 71, 87, 89
Coopération : 17, 18, 20
C Création :
Créative :
8, 132
27
Cadre relationnel : 19
Capacité : 3, 5, 7, 8, 13, 14, 21, 23, 26, 27, 28,
Critères d›apprentissage : 14
29, 30, 31, 34, 40, 42, 46, 48, 50, 56, 58, 60, 66, 68, 74, 76,
Critique : 8, 25, 27, 32, 35, 93
78, 84, 86, 88, 92, 94, 98, 100, 102, 104, 105, 108, 110, 112,
Curiosité : 31
116, 118, 124, 126, 128, 130, 136, 138, 140, 142
Carte concept : 15 D
Charte nationale : 5 Décrochages scolaires : 30
Choix didactiques : 27 Démarche : 3, 6, 7, 13, 14, 15, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25,
Cognitive : 5, 7, 8, 17, 20, 21, 26, 29 27, 30, 31, 32, 34, 42, 56, 66, 74, 92, 98, 129
H
Difficulté méthodologique : 14
Difficultés d’apprentissage : 21
Disciplinaire : 5, 7, 9, 10, 11, 12, 18, 27, 28, 146, 147 Habileté : 8, 19, 20, 21, 26, 29, 34, 92
Discipline : 5, 8, 9, 11, 27, 92, 146, 147 Hétérogénéité : 13, 17, 18, 74, 75
R NS
Hybride : 32
E
Disciplines Non linguistiques : 5
Dispositif didactique : 13 Hypothèse : 16, 20, 22, 23, 24, 25, 26, 34, 67, 75, 92, 109
Hypothèse conceptuelle : 24, 25
PH
E Hypothèse opératoire : 24, 25
ST IO
I
Éducation : 5, 19, 146, 147
Encourager : 27
Enrichissement : 13, 21 Indicateurs de réussite : 30, 31
O
Entraide : 14, 18 Initiative : 17, 21
O IT
Erreurs : 27, 28, 29 Intégration : 3, 6, 8, 20, 21, 26, 31, 32, 94, 122, 146
19
Esprit de synthèse : 8 Interaction : 6, 7, 14, 17, 19
Évaluation : 3, 6, 13, 15, 16, 20, 23, 24, 26, 27, 28, Interdisciplinarité : 5, 8
29, 30, 31, 32, 44, 53, 59, 63, 71, 81, 90, 106, 114, 121, 133, Interprétation : 16, 25, 57,
Niveau de formulation : 7, 8
Q
O Qualité de la ressource : 32
Objectif : 3, 6, 13, 14, 17, 18, 19, 20, 21, 23, 26, 28,
29, 30, 32, 35, 38, 40, 42, 45, 46, 48, 50, 54, 56, 58, 60, 64, R
66, 68, 71, 72, 74, 76, 78, 82, 84, 86, 88, 91, 93, 96, 98, 100, Raisonnement scientifique : 44, 52, 62, 70, 80, 90, 106,
102, 104, 107, 108, 110, 112, 115, 116, 118, 122, 123, 124, 114, 120, 132, 144
R NS
E
126, 128, 130, 134, 136, 138, 140, 142 Recherche documentaire : 24
Obstacle : 23, 28 Références : 20, 146, 147, 148
PH
OPHERIC : 24 Réflexion : 5
Optimal : 13 Reformulation : 7, 13, 23, 25
ST IO
Orientations pédagogiques : 5 Régulateur : 19
Orienter : 27 Régulation : 8, 11, 12, 30, 94, 122, 123, 130, 147
Réinvestissement : 24, 49
O
P Remédiation : 13, 28, 30 , 31, 71, 91, 121, 145
O IT
Pédagogique : 1, 3, 5, 6, 13, 14, 16, 18, 19, 24, 26, 27, 28, Résolution de problèmes : 8, 19, 20, 23, 24, 26, 31, 32,
30, 32, 146, 147 147
Phase d›investigation : 22, 24 Réussite : 3, 15, 16, 29, 30, 31
1
Potentialité : 27
Préacquis : 26, 28, 92 S
Prérequis : 3, 11, 35, 38, 45, 54, 64, 72, 82, 93, 96, 107, Savoir savant : 23
115, 122, 134 Savoir-faire : 13, 21, 22, 23
Proactif : 32 Savoirs : 6, 8, 13, 14, 24, 31, 32, 34, 92, 123
Problème : 3, 5, 6, 7, 8, 17, 18, 19, 20, 21, 22, Scénario pédagogique : 32
23, 24, 25, 26, 31, 32, 34, 36, 39, 40, 42, 43, 45, 46, 48, 50, Situation de réussite : 29
55, 56, 58, 60, 65, 66, 68, 73, 74, 76, 78, 83, 84, 86, 88, 92, Situation déclenchante : 21, 22, 23, 26
94, 97, 98, 100, 102, 104, 107, 108, 110, 112, 115, 116, 118, Situation spiralaire : 7
123, 124, 126, 128, 130, 134, 135, 136, 138, 140, 142, 147 Situation-problème : 21
Procédures mentales : 13 Sociocognitif : 21
E
Tâche spécifique : 29
Termes : 7, 14, 20, 23, 26, 52, 62, 70, 80, 106, 113, 144, Basalte : 52, 5
5, 62, 72, 75, 79, 8 0, 89, 90, 91
PH
Test diagnostique : 28, 37 Biologie : 34, 147
TICE : 3, 6, 31, 146, 147 Bulbe : 117, 119, 120, 121
ST IO
Transfert des apprentissages : 20
Troubles d’apprentissage :
Tutorat :
29
13, 14
C
O Caractère héréditaire : 136, 144
O IT
Cellule œuf : 103, 105, 113, 114, 121, 126, 127, 129, 134,
U 138, 139, 144, 145
Unidisciplinaire : 5 Chaîne de montagne : 87, 89
AP ED
Chromosome : 8, 92, 134, 135, 138, 139, 141, 141, 144, 145
V Chronologique : 35, 95, 120, 132
Vision globale : 6, 7, 27 Condensation : 37
Cône volcanique : 57, 62
Continent : 6, 9, 34, 35, 36- 38, 39, 40, 41, 43 , 44, 45, 52 ,
71, 79, 83, 89, 90
Continental : 34, 35, 43, 52, 71, 79, 87, 89- 9 0
Contraceptif : 130, 131, 133
Contraception : 23, 130, 131, 132
1
Cordon ombilical : 128
Coulée de lave : 57
Courants de convection : 2, 43, 71
4
Courbe : 14, 53, 62, 105, 129
Cycle de développement : 8, 11, 92, 96, 97, 104, 105,
107, 112, 113, 1 21, 122
Cycle sexuel : 125
U
Utérine : 125, 127, 129, 133
L
Dynamique : 1, 34, 35, 36, 38, 39, 42, 58, 147
2
E Larve :
Lave :
121
54, 56, 57, 62, 63, 72, 81, 91, 147
Échelle : 14, 35, 46, 47, 49
Liquéfaction : 37
R NS
Échelle de Richter : 46, 47
E
Lithosphère : 35, 49, 51, 52, 62, 80, 82, 84, 85, 90, 147
Échelle MSK : 46
Lithosphérique : 6, 9, 36, 38 , 39, 42, 43, 52
Échelle stratigraphique : 35
PH
M
Effusif : 61
Embryon : 103, 103, 113, 122, 123, 126, 127 , 129, 131,
ST IO
132, 133, 145 Magma : 15, 17, 36, 38, 54, 55, 56, 57, 58, 59, 61, 62, 64,
Épicentre : 47, 52, 53 64, 72, 73, 74, 75 , 76, 77, 78, 79 , 80, 81, 91
Érosion :
O 16, 45, 55 Magnitude : 46, 47, 52
O IT
Éruption : 6, 15, 16, 54, 55, 56, 56, 57, 58 , 59, 61, 62, 63, Maladie héréditaire : 141, 144
N
Fécondation : 8, 8, 11, 92, 94, 96 , 97, 100, 101, 103, 106 ,
107, 108, 109, 109, 111, 112, 113, 114, 121- 1 22, 126, 127 ,
131, 132, 133, 134, 139, 144, 145 Nidation : 127, 131, 132
G Ovaire : 95, 95, 99, 109, 109, 109, 114, 114, 114, 114, 114,
Gabbro : 52, 79, 80 , 91 125, 125, 125, 127, 127, 131, 132, 132
Gamète : 8, 92, 96, 98, 99, 101, Ovulation : 125, 131, 132
106, 107, 109, 110, 111, 112, 113 , 114, 117, 120, 121, 122, Ovule : 9 9, 101 , 106, 109, 114, 121, 125, 126, 127 - 1 32,
Paléontologique : 41 Téthys : 44
Phénomène : 5, 6, 7, 8, 20, 21, 26, 34, Tubes séminifères : 125, 145
35, 36, 38, 42, 45, 54, 55, 64, 72, 7 6, 8 2, 8 4, 85, 86, 87, 93 Tubercule : 117, 119, 120, 121
E
Pollen : 09, 114 Viscosité :
1 56, 57
pollinisation : 107, 108 , 109, 112, 113, 114 Volcan : 6, 9, 10, 15, 16, 17, 18, 35, 36, 38, 38, 54 - 5 5 , 56,
PH
Puberté : 8, 11, 94, 124 57, 58, 59, 60, 61 , 62 , 63, 72, 73, 74, 75, 79, 80, 81, 90, 91
Volcanisme : 6, 35, 35, 36, 38, 54, 55, 60, 61- 7
2
R
ST IO
Règles : 25, 125
Relief : 5, 36, 43
O
Rhyolite :
O IT
81
Roche magmatique : 81
Roche plutonique : 79, 91
AP ED
S
Séisme : 6, 9, 10, 14, 35, 36 , 38, 45, 46, 47, 48, 49 , 52, 53,
57, 63, 64
Sismogramme : 47, 52
Sismographe : 47, 52
Spermatozoïde : 99, 99, 101, 106, 114, 125, 126, 127,
131, 132, 133 - 145, 145
Sporange : 110
Spore : 10, 111- 1 12, 113, 114, 117, 121
1
Subduction : 9, 36, 38, 52, 61, 72, 73, 83, 86 , 87, 89, 90
T
Tectonique : 6 , 9 , 35,, 36, 38,, 45 , 48, 49, 54, 55, 60, 61 ,
64, 65, 66, 67 , 68, 69,, 71, 72, 73, 78, 79, 82, 83, 84, 87, 89,
147 - 1
53
Tectonique globale : 35, 82, 83, 84, 89
Partie théorique...........................................................................................4
Introduction........................................................................................................................................................................5
I. Gestion du programme........................................................................................................................6
1. Assurer une vision globale.....................................................................................................................................6
2. Prendre en considération les niveaux de formulation dans la construction des notions scientifiques..7
3. L’interdisciplinarité.........................................................................................................................................................8
II. Pédagogie.........................................................................................................................................13
1. La pédagogie différenciée................................................................................................................................... 13
2. La pédagogie de projet......................................................................................................................................... 14
3. Autonomie et collaboration................................................................................................................................ 17
R NS
E
III. Démarche scientifique.....................................................................................................................19
1. La démarche de résolution de problèmes....................................................................................................... 19
PH
2. Démarche d’investigation.................................................................................................................................... 21
3. Démarche expérimentale.................................................................................................................................... 24
ST IO
4. Les démarches d’investigation et de résolution problèmes dans le manuel étincelle SVT................ 25
IV. Évaluation........................................................................................................................................26
O
1. Les formes d’évaluations..................................................................................................................................... 27
O IT
2. L’évaluation critériée............................................................................................................................................ 29
3. L’autoévaluation..................................................................................................................................................... 29
4. La remédiation....................................................................................................................................................... 30
AP ED
Partie pratique.......................................................................................... 33
UNITÉ 1 : Les phénomènes géologiques internes.................................................................... 34
Correction du test diagnostique...........................................................................................................37
Chapitre 4 : Les déformations tectoniques et leur relation avec la tectonique des plaques.................64
Activité 1 : Les déformations tectoniques........................................................................................................... 66
Activité 2 : Les déformations tectoniques et leur relation avec la tectonique des plaques.................... 68
Je m’entraîne : restitution des connaissances ; raisonnement scientifique................................................ 70
Je m’évalue : auto-évaluation ; exercices de synthèse ; fiche de remédiation........................................... 71
Chapitre 5 : La formation des roches magmatiques et sa relation avec la tectonique des plaques.......72
R NS
E
Activité 1 : Formation des roches volcaniques................................................................................................... 74
Activité 2 : Formation des roches plutoniques................................................................................................... 76
PH
Activité 3 : La formation des roches magmatiques et sa relation avec la tectonique des plaques........ 78
ST IO
Je m’entraîne : restitution des connaissances ; raisonnement scientifique................................................ 80
Je m’évalue : auto-évaluation ................................................................................................................................ 81
O
Chapitre 6 : La formation des chaînes de montagnes et sa relation avec la tectonique des plaques.....82
O IT
UNITÉ 2 : L a reproduction chez les êtres vivants et la transmission des caractères héréditaires
chez l’Homme.......................................................................................................... 92
Correction du test diagnostique...........................................................................................................95
R NS
E
Activité 4 : La régulation des naissances............................................................................................................130
Je m’entraîne : restitution des connaissances ; raisonnement scientifique..............................................132
PH
Je m’évalue : auto-évaluation ..............................................................................................................................133
ST IO
Chapitre 5 : L’hérédité chez l’Homme.................................................................................................134
Activité 1 : La transmission de quelques caractères et maladies héréditaires.........................................136
O
Activité 2 : Le rôle des chromosomes dans la transmission des caractères héréditaires.......................138
O IT
INDEX DIDACTIQUE.............................................................................................................................149
INDEX SCIENTIFIQUE...........................................................................................................................152
AP ED
O IT
Notes
ST IO
R NS
O
PH
E
AP ED
O IT
Notes
ST IO
R NS
O
PH
E
AP ED
O IT
Notes
ST IO
R NS
O
PH
E
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