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Exposé 2 : L’éducation financière et la prise de risque

Bonsoir Madame, j’espère que ce message vous trouve en parfaite santé.

J’ai pris le temps d’étudier les thèmes qui me sont parvenus et je dois dire que comme la dernière
fois c’est vraiment bénéfique pour moi d’apprendre les coulisses de l’entreprenariat et de l’argent
sous votre directive.

I. Commençons par le commencement, le premier lien m’a conduit sur une vidéo YouTube
qui met en évidence l’impact de la technologie et la mondialisation sur l’emploi,
menaçant même les emplois les plus qualifiés.

J’ai appris qu’en tant qu’entrepreneur, nous devons être prêt à nous adapter aux changements du
marché du travail et à trouver de nouvelles industries et de nombreux marchés pour les produits afin
de compenser les pertes d’emplois dues à l’automatisation. En somme l’adaptabilité est essentielle
pour survivre aux nouveaux défis.

Le deuxième lien, me conduit sur un autre sujet tout aussi édifiant. Le sujet porte sur le quadrant des
flux de trésorerie. Cette vidéo inspiré des idées de Robert Kiyosaki met en lumière quatre catégories
de personnes. Premièrement, les employés qui consacrent tout leur temps à travailler pour les
systèmes d’autrui ou pour le gouvernement et se plaignent de ne pas avoir du temps pour eux-
mêmes. Puis, les personnes qui s’auto-emploient. Cette catégorie est celle qui gère les petites
entreprises. Et eux-aussi travaillent tout le temps. Ces deux premières catégories de gens
représentent 95% de la population mondiale. La troisième catégorie de personnes regroupe les
propriétaire des grandes entreprises. Ceux-là même qui emploient les gens des deux premières
catégories et se font de l’argent. Eux, ils ont l’argent, le temps et les loisirs qu’ils souhaitent. Enfin,
vient la dernière catégorie de personnes qui regroupe une petite partie de la population de la
planète. A la différence des autres catégories, avec les investisseurs c’est leur argent qui travaille
pour eux pour leur rapporter beaucoup plus d’argent. Ce qui est regrettable c’est que notre système
éducatif traditionnel ne fait que former des employés et des gérant de petites entreprises. Pour sortir
de cette emprise de la routine du travail, il faut travailler non pas pour avoir de l’argent mais pour
acquérir de nouvelles connaissances afin de grandir en esprit et en leadership. Et profiter de la
mondialisation pour créer son propre système.

Le troisième lien m’amène sur un sujet qui traite de la réalité du monde d’aujourd’hui à travers une
petite histoire. Ainsi à travers l’histoire des deux employés, Pablo et Bruno on voit clairement les
traits des jeunes d’aujourd’hui. Pendant que certains tentent de construire leur pipeline à l’image de
Pablo en créant leurs propres business rentables, d’autres à l’image de Bruno préfèrent redoubler
d’effort au travail en faisant des heures de plus ou en travaillant dans plusieurs boites à la fois
espérant ainsi devenir riche. Le bon chemin est évidemment celui de Pablo.

II. Le dernier lien m’a conduit sur le livre Père riche Père pauvre de Robert Kiyosaki, un
milliardaire américain qui a fait fortune en investissant dans l’immobilier.

Dans son livre Robert aborde la finance personnelle et l’investissement. Robert souligne la puissance
de l’éducation financière et la prise de risque pour atteindre la liberté financière ou en d’autres
termes devenir riches. Pour ce faire, tout au long du livre, il confronte la mentalité de son père
pauvre à celle de son père riche. Dans le livre la personnalité du père pauvre de Robert représente
celle de la plupart des 95% des hommes de la terre qui font partie des catégories d’employés et des
travailleurs du secteurs informels. La mentalité de son père riche qui dans le livre est le père de son
ami Mike représente celle des propriétaires des grandes entreprises et des investisseurs. Le Livre
s’étale sur 10 chapitres. Pour éviter de faire une longue présentation détaillée qui aurait peu
d’importance à mon avis, j’ai plutôt opté de noter les principales leçons vitales des affirmations de
Robert tout au long du livre :

 Les pauvres et la classe moyenne travaillent pour l'argent. Les riches font en sorte que
l'argent travaille pour eux. Aussi ils aiment critiquer alors pendant que les riches analysent.
 L’argent est une forme de pouvoir et l’éducation financière nous donne le pouvoir sur
l’argent.
 Les 95% des pauvres de la planète s’en tiennent aux paroles alors que les riches passent à
l’acte. Telle est encore une différence entre les riches et les pauvres.
 Les riches tirent des leçons de la vie alors que les pauvres veulent des cours tout fait prêts.
 Robert soutient également que maitriser le pouvoir de l’argent est la clé du succès des
riches. Il faut donc impérativement éviter le piège de la peur et du désir car s’il y a bien
quelque chose qui permet à l’argent de dominer l’homme ce sont nos émotions.
 L’école a bien sa place dans la société mais elle est le commencement et non
l’aboutissement.
 Un actif met de l'argent dans votre poche. Un passif en sort. Pour démontrer cela, Robert
utilise un schéma avait quatre compartiments. D’une part, nous avons le revenus et les
dépenses et d’autre part nous avons les actifs et les passifs. A travers ce schéma on
remarque que les pauvres ne disposent ni d’actifs, ni de passifs. Et on constate donc que
leurs revenus sont dépensés pour leur besoins vitaux et après cela il ne leur reste plus rien.
La classe moyennes en revanche dispose des passifs mais ces passifs sont causes de
dépenses causant donc le tarissement des revenus. Quant aux riches, ils disposent pleins de
revenus peu avec des passifs mais surtout beaucoup d’actifs. Et ces actifs sont une source
d’argent. Ainsi les actifs génèrent automatiquement de l’argent. C’est l’autofinancement.
 Robert recapitules les trois compétences indispensables en gestions d’entreprise. Ce sont :
 La gestion de la marge de l’autofinancement.
 La gestion des systèmes.
 La gestion du personnel.
 Pour surmonter les obstacles afin d’atteindre la liberté financière, Robert prodigue faire
preuve d’analyse, surmonter la négligence par un peu d’avidité, surmonter les mauvaise
habitudes surtout l’arrogance qui entrave l’apprentissage. Et se payer en priorité.
 Pour commencer une affaire, il préconise de trouver d’abord une raison plus grande que
nature dans le pouvoir de l’esprit. Il faut faire des choix quotidiens, choisir prudemment vos
associés, maitriser une formule et en apprendre une nouvelle, choisir des héros.
 La gestion du personnel est la tâche la plus difficile dans l’administration d’une entreprise.

Je m’en vais clore ce résumé par une note très intéressante. Dans son livre, Robert affirme qu’à force
de gagner de l’argent beaucoup de riches ont maintenant peur de tout perdre du jour au lendemain.
Certains sont donc de plus en plus prudent à là ou ils mettent leur argent. J’ai fait le lien avec 1%
CLUB qui est là pour optimiser là pour optimiser le risques des processus des entreprises. Lesquels
sont financé par ces mêmes riches. Du coup, 1% CLUB fournit de l’assurance a ces investisseurs.

J’espère que j’ai été explicite.


« L’esprit est le plus puissant actif » Sur ces mots de Robert Kiyosaki, je vous souhaite une excellente
journée !!!

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