Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
WIIRE
Revue
N° ISSN 2424-7316
R S IT A I R E S D
IVE E
UN O
P
U
U
S
A
SE
GA
ES
DO
PR
UGOU
Presses Universitaires
UNIVERSITE NORBERT ZONGO
WIIRE
Revue
N° ISSN 2424-7316
Presses Universitaires
4
WIIRE
DIRECTEUR DE PUBLICATION
Pr Vincent OUATTARA
REDACTION
Pr Issa Abdou MOUMOULA, Pr Marie Laure SOUGOTI/GUISSOU, Dr Missa
Marius BARRO, Dr Joseph K LOMPO., Dr Arouna DIABATE, Dr Innocents
OUEDRAOGO, Dr François SAWADOGO, Dr Oumar MALO, K. Landry Guy
Gabriel YAMEOGO, Dr Edwige ZAGRE, Dr Régina ODJOLA.
COMITE SCIENTIFIQUE
Président : Pr Georges SAWADOGO, (Didactique), Université Norbert Zongo -
Koudougou (Burkina Faso)
Vice-président : Pr Jean Claude BATIONO, (Didactique), Université Norbert
Zongo - Koudougou (Burkina Faso)
COORDONNATEURS SCIENTIFIQUES
Pr Abou NAPON (Sociolinguistique), Université Ouaga 1, Joseph Ki Zerbo,
Ouagadougou (Burkina Faso)
Pr Afsata PARE, (Psychopédagogie), Université Norbert Zongo - Koudougou
(Burkina Faso)
Pr Kalifa TRAORE, (Didactique), Université Norbert Zongo - Koudougou
(Burkina Faso)
Pr Issaka MANDE, (Histoire), UQUAM (Canada)
MEMBRES
Pr Pierpaolo FAGGI, (Géographie), Université de Padova (Italie)
Pr Umberto MARGIOTTA (Pédagogie universitaire), Université CA Foscar,
(Italie)
Pr Thierry KARSENTI, (TIC et Education), Université de Montréal, (Québec,
Canada)
5
Pr Ahmidou Nacuzon SALL (Sciences de l’Education), Université Cheikh Anta
Dio, (Sénégal)
Pr T. Félix VALLEAN (Sciences de l’Education), Université Norbert Zongo -
Koudougou (Burkina Faso)
Pr Tamine Joelle GARDES, (Grammaire et stylistique), Sorbonne (France)
Pr Toussaint Yaovi TCHITCHI (Linguiste), Université d’Abomey Calavi, (Benin)
Pr. Luc COLLES, (Didactique du français), Université catholique de Louvain-la-
Neuve, (Belgique)
Pr Maxime SOME, (Grammaire), Université Norbert Zongo - Koudougou
(Burkina Faso)
Pr Yves DAKOUO, (Sémiotique), Université Ouaga 1, Joseph Ki Zerbo,
Ouagadougou (Burkina Faso)
Pr Elame ESHO, (Géographie), Université CA FOSCARI, Venise, (Italie)
Pr Daniel RAICHVARG, (Communication), Université de Bourgogne, (France)
Pr Alain Joseph SISSAO, (Littérature orale), CNRST, Ouagadougou (Burkina
Faso)
Pr Mahamadé SAVADOGO, (Philosophie), Université Ouaga 1, Joseph Ki Zerbo,
Ouagadougou, (Burkina Faso)
Pr Amadé BADINI, (Philosophie de l’éducation), Université Ouaga 1, Joseph Ki
Zerbo, Ouagadougou (Burkina Faso)
Pr Salaka SANOU (Littérature africaine écrite), Université Ouaga 1, Joseph Ki
Zerbo, Ouagadougou, (Burkina Faso)
Pr Léon Yepri SABROU, (stylistique), Université Félix Houphouët-Boigny,
Abidjan (Côte d’Ivoire)
Pr Djah Célestin DADIE, Université Alassane Ouattara, Bouaké, (Côte d’Ivoire)
Pr Jacques NANEMA, (Philosophie), Université Ouaga 1, Joseph Ki Zerbo,
(Burkina Faso)
Pr Magloire SOME, (Histoire), Université Ouaga 1, Joseph Ki Zerbo,
Ouagadougou, (Burkina Faso)
Pr Bapio Rosaire BAMA, (Allemand), Université Ouaga 1, Joseph Ki Zerbo,
Ouagadougou, (Burkina Faso)
Pr Mahamadou BISSIRI, (Anglais), Université Ouaga 1, Joseph Ki Zerbo,
Ouagadougou, (Burkina Faso)
Pr Lydie IBO, (Sémiotique du sensible), Université Alassane Ouattara, Bouaké,
(Côte d’Ivoire)
Pr Jean-Baptiste GBONGUE, (), IPNETP, Abidjan, (Côte-d’Ivoire)
Pr Emmanuela FOUCHEREAU, Université de Bourgogne, Dijon, (France)
Pr Joseph BIACHE, (Anthropologie), Université d’Auvergne, (France).
6
SOMMAIRE
Editorial……………………………………………….……….9
7
Kanabein Oumar YÉO, Étude typologique, lexicale et sémantique
des salutations en nafara……………………………………..…...231
Amoikon Dyhie ASSANVO, Serge Armel ETHIEN, Souahon Solange
GOUDALE, Système tonal de l’Agni, langue kwa de Côte
d’Ivoire…………………………………………………….………..253
OUATTARA Zie Yacouba, La pronomination dans Les Soleils des
indépendances : formes, pratiques et enjeux……………….…..277
NACOULMA Boukaré, Contribution de l’alphabétisation à la
protection de l’environnement pour un développement durable :
cas du site d’orpaillage de Boungou dans la commune de
Tiébélé………………………………………………………...…….297
Freddy O. A. DONNOU, Bertin C. YEHOUENOU, Principles of
phonetic realization: How to remedy EFL and ESL erroneous
pronunciation………………………………………………..….....317
OUALLY Germain, Les trésors humains vivants et musées privés
comme institution de promotion de la littérature au
Burkina Faso………………………………………………..….…..335
Vincent OUATTARA, Dim Delobsom Ouédraogo :
Constructeur de l’espace ethnologique et littéraire dans la Haute
Volta des années trente……………………………………………351
Juliette Kaboré-Ouédraogo, Le leadership des directeurs d'écoles
primaires et la réussite scolaire des élèves. Quelle approche de
gestion? Quel outil d'évaluation des pratiques?.......................375
8
Editorial
Vincent Ouattara
Directeur de publication
9
10
L’écriture de la mélodie dans les Poèmes saturniens de
Paul Verlaine
Christian ADJASSOH
Université Alassane Ouattara
Côte-d’Ivoire
Résumé
Abstract
1
L’analyse stylistique s’appuiera sur l’approche de Georges Molinié. Pour lui,
la caractérisation et l’actualisation déjoue l’information pour créer des valeurs.
La caractérisation se fera à partir du décryptage toute variation des règles liées
au sens et à la syntaxe, tandis que l’actualisation s’intéressera au sens dénotatif
du mot pour construire le sens.
4
I. Les topoï musicaux, indices de la mélodie dans les Poèmes
saturniens
125
« […] Verlaine se plaît à agrémenter ses poèmes
d'éléments empruntés directement au monde musical.
Hommage ouvertement rendu à un art qu'il aime, en
somme. Mais ces références ont valeur de symboles, tels
les instruments dont se servent les « donneurs de sérénades
» pour charmer « les belles écouteuses » dans les tableaux
du XVIIIe siècle. »
126
titre évocateur de la musicalité. Si la chanson ramène à « une
pièce de vers que l’on chante sur un air populaire, et qui est
partagé le plus souvent en stances égales dites couplet » (Littré
1963 : p.187), le rossignole qui est un oiseau évoque par analogie
une personne chantant avec une voix pure et flexible. Il peut se
rapporter aussi à une sorte de petite flûte à piston, qui se
confectionne « ordinairement avec un tuyau d’écorce détaché
d’une branche de bois vert dans le temps de la sève » (Littré
1963 : p.108). Quant au vocable sérénade, il renvoie à un concert
de voix ou d’instrument qui se donne le soir sous les fenêtres de
quelqu’un. En réalité, l’ensemble de ces mots qui font office de
titre de poème par un rapprochement total ou partiel dans les
Poèmes saturniens sont en rapport avec le champ musical.
Bien souvent, la musicalité peut être avérée par l’emploi de
certains vocables provenant de l’univers des mélodies qui
induisent au sein des vers une once de musicalité. Son poème « Il
bacio » fait écho de ce mode d’effusion de la musique dans
l’espace poème :
127
alors en vogue, de Luigi Arditi » en 1860. Ce qui dénote de la
profusion de vocables musicaux qui dans bien des cas sont
accompagnés d’instrument de musique pour attester de la
profusion de la mélodie dans les textes poétiques de verlainiens.
128
du poète. Ce dernier, par les sons des violons, projettent ses
sentiments morbides qui assimilent à l’image temps, l’automne.
Si les instruments de musique évoquent la mélodie dans les vers
verlainiens, il en est de même pour le rythme de sa parole
poétique.
Verlaine est l’un des poète les plus modernes et à la fois le plus
classique de son temps. Cette ambivalence tient de sa volonté à
introduire de nouvelles métriques dans l’écriture poétique et de sa
propension à générer de la mélodie en dehors de la rime classique
support mélodique du poème. Cette nouvelle approche de
mélodie dans la poésie nécessite tout naturellement une nouvelle
articulation du rythme dans l’air des poèmes. Comment se définit
alors le rythme ?
129
Par ailleurs, Meschonnic (1982: 28) perçoit le rythme comme
une configuration et une organisation du discours poétique pour
lui impulser un sens qui détermine le pathos de l’énonciateur. Ce
qu’il précise en écrivant que « […] le rythme est inséparable du
sens de ce discours. Le rythme est une organisation du sens dans
le discours. […] Et le sens étant activité du sujet de l’énonciation,
le rythme est l’organisation du sujet comme discours dans et par
son discours. »
De ce qui précède, nous définissons le rythme comme une
organisation et une configuration du discours poétique par un
ensemble de mots accentués ou non qui sert à cadencer le poème
en vue de la production du sens. Comment fonctionne alors le
rythme dans Poèmes saturniens pour devenir un facteur
mélodique ?
130
musicalité chez Verlaine. Ce qui détermine Paul Viallaneix
(1982 : p.93) à observer que
131
que Pierre Fontanier (1977 : p.345) définit comme « […] une
sorte d’onomatopée en plusieurs mots, produite par le jeu de
certaines lettres ou de certaines syllabes […] » qui provient en
partie des consonnes. Les phonèmes /ã/ et/ mɛm/ sont empreint
de mélodie de par leur itération respective qui suggère une forme
d’harmonie à travers l’assonance et l’allitération.
Que ce soit l’allitération ou l’assonance, cette technique
scripturale chez Verlaine permet la fusion d’une mélodie dans le
texte poétique. En effet, Verlaine affectionne la sonorité des mots
par opposition à Baudelaire qui aime les mots pour leur effet sur
son esprit à travers leur proximité dans les vers. De fait, Verlaine
accorde une importance au plaisir auditif suggéré par la sonorité
des mots dans le texte poétique quel que soit leur emplacement,
entretenant ainsi un rapport auditif au mot, par opposition à
Baudelaire qui, lui, a un rapport spirituel. Ce qui fait de Verlaine
un prospecteur de mélodie à travers les lettres constitutives des
mots. Dans cette perspective, comme le signifie Alain Baudot,
dans son étude sur la forme et la signification de la musique dans
l’œuvre poétique de Verlaine, qu’« Entre deux mots, il choisit
plutôt celui qui satisfait son oreille que son esprit, le plus «
musical » de préférence au plus significatif » (Boudot 1968 :
p.45). Ainsi parvient-il à tirer toutes les ressources mélodiques
provenant de leur sonorité qui se transforme par analogie en
véritable note de musique dans l’univers imaginaire du poète.
Abordant dans le même sens, Barrucand (2009 : p.44)
confirme que le poème verlainien est un « agencement de
sonorités portées par les phonèmes qui deviennent alors des
véritables notes de musique et qui ont la possibilité de s’organiser
entre eux dans une véritable composition de type musical ». Ce
traitement que Verlaine fait du mot pour en extraire une harmonie
auditive de par la qualité des sonorités provenant des phonèmes
des lettres qui structurent ces mots, est significatif pour Verlaine
qui s’oppose au Parnasse qui postule que la musicalité d’un
poème tiendrait exclusivement dans ses rimes. Ce qu’atteste
132
Simono Pollicino, cité par Bertrand et Durand (2004 : pp.10-11),
en arguant que : « C’est bien évidemment à la rime parnassienne
qu’il s’en prend, rime riche, acrobatique, pur effet d’esbroufe
d’une écriture virtuose, mais rime pensée aussi comme un objet
(à limer) plutôt que comme un phénomène sonore. »
En effet, pour Verlaine, la mélodie est à chercher ailleurs que
dans la rime qui est artificielle car gouvernée par l’esprit du poète.
La mélodie, pour lui, doit provenir du mot qui est un pendant
sonore de notre âme. C’est en partie à partir du mot tissé dans le
corps de tout le texte poétique que le rythme est impulsé
permettant, selon la vision de Bertrand et Durand (2004 : p15),
133
Dès lors, le mot devient dans la poésie de Verlaine une graphie
de la sonorité musicale. Ainsi, la mélodie n’emprunte plus la
forme d’une note de musique sur la portée musicale mais elle se
fait lettre et mot pour investir tout le corps du texte poétique à
travers lequel les sonorités des mots se répondent dans une
parfaite unité. Il apparait que l’usage des phonèmes des mots
comme vecteur mélodique dans le corps du poème établit la
musicalité dans son langage poétique. De fait, l’expression
poétique de Verlaine procède de l’analogie qui rapproche les mots
et les sons inhérents aux lettres des mots pour établir la mélodie
au sein du texte poétique. En dehors de la sonorité des phonèmes
des mots, la mélodie dans les Poèmes saturniens peut être drainée
par le mètre du poème.
134
dire pure musique, tache de couleur, du son indifférencié
aux autres éléments de la composition, s’intégrant au
paysage d’impressions à matérialiser par le poète dans
l’espace du poème. Une translation s’est donc opérée, de
la nature de la forme musicale comme structure à sa
fonction première : celle d’autoriser l’existence de
musique, et de faire surgir l’effet musical par sa simple
convocation verbale au sein du poème […] pour intégrer
ce flou à une esthétique de la suggestion. »
(1) « Les violons mêlaient // leur rire au chant des flûtes […] »
(4/2//2/4)
« Les violons / mêlaient leur rire / au chant des flûtes […] (4/4/4)
135
(Verlaine, « Ignitium », p.69.)
(2) « Je fais souvent ce rêve // étrange et pénétrant […] »
(4/2//2/4)
« Je fais souvent / ce rêve étrange /et pénétrant […] » (4/4/4)
(Verlaine, « Mon rêve familier », p.36.)
« [... ]
Son regard est pareil // au regard des statues, (3/3//3/3)
Et pour sa voix lointaine, // et calme, et grave, elle a (2/2/3//2/2/3)
L'inflexion des voix // chères qui se sont tues. » (3/3//3/3)
(Verlaine, « Mon rêve familier », p.36)
137
du poète et de sa dulcinée, se baladant par un temps froid
d’automne dans les bois. Cette injection d’un décasyllabe parmi
des alexandrin a pour effet de dissiper progressivement la sonorité
émise par les ailes des oiseaux. En effet, la gamme sonore de
Verlaine dans le cas de notre analyse n’est pas exhaustif, tout au
plus, elle tente de nous exposer les diverses ressource et sources
mélodiques de Verlaine à travers la mobilisation particulière qu’il
fait du rythme dans sa poésie. Par ailleurs, quel est le sens de cette
profusion de la mélodie dans Les Poèmes saturniens par le bais
de l’analogie ?
2
Jadis et Naguère, « Art poétique », v. 1. Note fondamentale de toute l'œuvre,
qui suppose bien des harmoniques, tel l'impressionnisme pictural (cf. O. Nadal,
Paul Verlaine, Paris, Mercure de France, 1961, chap. 11).
138
« “ Quel fut ton plus beau jour ?” fit sa voix d’or, vivante »
(Verlaine, « Nevermore », p.32).
139
Verlaine lui expose ses sensations par le truchement des mélodies
et leurs effets. La musicalité lui permet de traduire les sensations
de sa vie intérieure à partir des mélodies qui s’ébauche à travers
des rapprochements entre les mots et les sensations que suggère
leur sonorité. De fait, la fusion de la mélodie dans le langage
poétique verlainien est une « […] tentative pour libérer les mots
de leur sens et les utiliser comme des notes de musique […] »
(Baudot 1968 : p.42). Cette démarche de Verlaine dans les
dernières décennies du XIXe siècle est une révolte contre
certaines règles de la prosodie parnassienne qui fonde la
musicalité dans le texte poétique en faisant de la rime le haut de
l’expression de la mélodie dans l’espace poème. Ce qui amène
Florent Albrecht (2010 : p.24) à comparer Verlaine à Mallarmé
dans sa tentative de faire de la musique un facteur de
renouvèlement du langage poétique :
140
« Juste retour des choses, on commente une pièce de
musique en empruntant des comparaisons à la littérature,
et on évoque « l'atmosphère poétique » d'un lied de
Schumann. Pourtant, si la métaphore réciproque est
possible, c’est qu'elle est déjà signe d'une analogie. Le
langage des Muses a toujours apparenté Musique et
Poésie » (Baudot 1968 : p.31).
Conclusion
Bibliographie
141
Barrucand, M. (2009). De la mélodie en poésie. De l’harmonie en
poésie. Musique & littérature. Jeux de miroirs. Textes réunis par
A.-M. Harmat. Toulouse : Éditions universitaires du Sud.
Baudot, A. (2007, 8 juin). Poésie et musique chez Verlaine :
forme et signification. Études françaises. Récupéré consulté le
03/02/2018 sur https://www.erudit.org/fr/revues/etudfr/1968-v4-
n1-etudfr1743/036301ar.
Bertrand, J-P et Durand, P. (2012, Juillet). Poésie, modernité,
musique au XIXe siècle. Le rossignole instrumental. Poésie,
musique, modernité. Jean-Pierre Bertrand (dir.). Récupéré le
08/12/2017 sur
https://cache.media.eduscol.education.fr/file/Francais/53/1/Lyce
eGT_ressources_francais_seconde_poesie_pistesdetravail_vf_2
21531.pdf
Dessons, G. et Meschonnic, H. (1998). Traité du rythme. Des vers
et des proses. Paris : Dunod.
Dürrenmatt, J., (2005), Stylistique de la poésie. Paris : Belin.
Littré, E. (1963). Dictionnaire de langue française, Abrégé par A.
Beaujean. Genève : Editions Universitaires.
Fontanier, P. (1977). Les figures du discours, coll. « Champs
classiques ». Paris : Flammarion.
Illouz, J-N. (2004). Le Symbolisme. Paris : Le Livre de poche.
Meschonnic, H. (1982). Critique du rythme, Anthropologie
historique du langage. Lagrasse : Verdier.
Peyroutet, C. (1994). Style et rhétorique. Paris : Nathan.
Pollicino, S. (2011). La notion de rythme entre poésie et musique.
Revue Synergies Espagne, 4, 35-41.
Verlaine, P. (1960). Œuvres complètes, t.I, Jacques Borel et de H.
de Bouillane de Lacoste (dir), Paris : Au Club des Libraires de
France, 1960.
Viallaneix, P. (1982). De la musique avant toute chose. La petite
Musique de Verlaine, Romances sans paroles, Sagesses, Société
des Etudes Romantiques. Paris : SEDES.
142