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Parallèlement, le segment des drones professionnels tire son épingle du jeu. Les applications
s’y multiplient, et les solutions proposées gagnent en maturité.
Ailes volantes ou multicoptères, drones aériens ou sous-marins... Voyons quels sont les
différents types de drones de loisir et de drones professionnels proposés sur le marché
français.
Si vous souhaitez aller plus loin à propos des caractéristiques et fonctions des
drones, cliquez ici.
Aéromodélisme : les aéronefs non habités de catégorie A et B
Les aéronefs non habités, incluant les drones, utilisés dans le cadre du loisir et de la
compétition (aéromodélisme) sont classés en deux catégories (A et B). Aussi appelés «
aéromodèles », ces engins volants se distinguent notamment par leur masse maximale au
décollage :
o Les aéronefs non captifs (incluant les drones) dont la MMD est ≤ à 25 kg,
et dont la motorisation respecte certaines limites.
Si les aéromodèles de catégorie A peuvent être utilisés sans autorisation préalable, il n’en va
pas de même pour ceux de catégorie B.
Les aéronefs de loisir de catégorie B sont en effet soumis à autorisation de vol délivrée par
la DGAC, attestant des capacités de l’aéromodèle et de son télépilote.
Leur système de voilure permet également le classement des drones par famille. On distingue
par ce moyen 2 familles de drones :
Les drones à voilure fixe qui incluent les « ailes volantes ». À l’instar du modèle Parrot
Disco, l’aile volante est solide, destinée aux grands espaces et aisée à manœuvrer
même par temps venteux. Dotée d’une bonne autonomie de 45 minutes, elle peut voler
à plus de 80 km/h. Autant dire qu’il faut tout même prendre le temps de maîtriser ce
drone. Taillées pour la vitesse et la vidéo (si munies de caméra), les ailes volantes le
sont moins pour les prises de photos aériennes.
Les appareils à voilure tournante, aussi appelés hélicos ou multirotors (tri, quadri, hexa
ou octocoptère), sont, à l’image de l’hélicoptère, les maîtres du vol stationnaire.
Contrairement aux ailes volantes, ils permettent de prendre de belles photos aériennes.
Notons que la marque française Parrot a aussi sorti un aéronef hybride, moitié multirotor,
moitié avion : le « Parrot Swing ». Il s’agit d’un quadricoptère qui, comme tout drone,
décolle et atterrit à la verticale, mais qui passe en mode avion une fois dans les airs, lorsqu’il
se déplace. Son aspect futuriste rappelle les X-Wing du film Star War.
Les drones pour débutants sont généralement de petite taille et prennent la forme de mini-
drones, mais également de micro et nano-drones.
Vous pouvez vous en procurer un pour moins de 25 euros, à l’instar du Cheerson CX-STARS,
un mini drone ultra léger et compact taillé pour des vols en intérieur.
Permettant des prises de vues époustouflantes depuis le ciel, les drones caméras se divisent
en 2 catégories :
Ceux avec une caméra intégrée qui est non amovible. Raison pour laquelle, au moment
de l’achat du drone, il est préférable d’acquérir un modèle équipé au minimum
d'une caméra Full HD voire UHD pour jouir d’une belle qualité d’image.
Ceux avec une caméra embarquée, qui permet le choix et l’installation d’un capteur
externe (GoPro, Mobius, Sony, Canon, etc.). Toutefois, étant donné que la caméra ne
fait pas corps avec le châssis du quadricoptère, l’image peut ne pas être stable. Afin de
pallier ce problème et obtenir une image nette et fluide, disposer d’une bonne nacelle
stabilisatrice s’avère indispensable.
Doté d’un capteur Full HD, le Parrot Bebop 2 figure parmi les meilleurs drones caméras du
marché.
Notons que, outre de donner de belles images stables et parfaitement fluides, certains drones
caméras offrent également d’autres options très intéressantes :
Le « Follow me » (« suis-moi ») : le drone suit pas à pas, comme un toutou son maître, le
déplacement du télépilote partout où il va.
Le selfie, ou pour mieux dire le « dronie », cette nouvelle mode importée des États-Unis
qui consiste pour l’utilisateur à se filmer lui-même avec son drone, sans l’aide de
quiconque, en plein exploit sportif par exemple.
La plupart des drones haut de gamme comme les Phantom de la marque DJI ou bien le Solo
de la marque américaine 3D Robotics proposent ces deux options. Ces deux modèles de
quadricoptères figurant d’ailleurs parmi les plus performants de leur genre.
Les amateurs de vitesse trouveront leur bonheur du côté des drones dédiés à la
course (racing en anglais). Ces types de drones, aussi appelés racers, peuvent se piloter de 3
manières :
Par pilotage en vue directe, ce qui limite tout de même leur périmètre de vol.
En utilisant un retour vidéo via un écran intégré à la radiocommande ou bien via
un Skycontroller à utiliser avec un smartphone ou une tablette.
Par télépilotage en immersion total, grâce à l’usage d’une paire de lunettes de réalité
virtuelle, aussi appelées lunettes FPV. Le FPV racing, façon Star Wars, offre au pilote un
degré d’immersion à couper le souffle.
Parmi les drones dédiés aux débutants en FPV racing figure le Parrot Mambo FPV, équipé
d’une caméra FPV intégrée et livré avec un masque FPV.
Les télépilotes aguerris, quant à eux, peuvent libérer leur fougue aux commandes, par
exemple, d’un Vortex 250 Pro ARF de la marque ImmersionRC.
Bon à savoir : Le terme anglais racing veut dire « course ». Et FPV (First Person View ou «
Vue à la première personne ») signifie vol en immersion. Le FPV racing consiste donc tout
simplement en une course de drone en immersion.
Conçus pour répondre aux demandes d’entreprises particulièrement exigeantes, les drones
professionnels s’adaptent à tous les milieux : aériens, terrestres, aquatiques ou sous-marins.
À noter d’ailleurs qu’en français, le terme « drone » ne se limite pas uniquement aux appareils
volants sans personne à bord !
Les drones aériens utilisés dans un cadre professionnel ou industriel sont soit des ailes
volantes, soit des multicoptères.
Les ailes volantes (ex : le LA500 Lehmann Aviation, l’UAV Mapper TuffWing, le Disco-Pro
AG Parrot, etc.), qui peuvent parcourir de longues distances, sont notamment utilisés en
photogrammétrie aérienne ou pour des missions d’inspection sur de grandes distances
(pipeline, etc.).
Du côté des multicoptères, les hexacoptères et les octocoptères, tels que le DJI S900 et le
Abot TC1, sont particulièrement prisés en raison de leur grande capacité d’emport.
Les drones aériens les plus performants peuvent voler plus de 2 heures.
Bon à savoir : les engins volants non habités, dont la masse au décollage excède les 25 kg et
qui sont destinés à la réalisation d’activités particulières, doivent faire l’objet
d’une attestation de conception délivrée par la DSAC (Direction de la Sécurité de l’Aviation
Civile). Leurs exploitants sont en outre tenus d’apposer sur ces aéronefs des marques
d’identification à obtenir auprès de la DSAC.
Les drones marins de surface et sous-marins
Qu’ils se présentent sous forme de modèles portatifs ou de modèles de plus de 600 kg, ces
drones servent à accomplir de multiples missions :
Etc.
Drones terrestres
Les drones terrestres, aussi connus sous l’acronyme UGV (Unmanned Ground
Vehicule), s’utilisent dans divers domaines, civils et militaires.
Notons que les drones terrestres trouvent également des applications dans le secteur spatial.
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