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Epigraphe
Dominique Wolton
II
Dédicace
A mes parents , à mon père JEAN MALOBA et à ma mère EULALIE
MUBA
III
Remerciements
A travers ce long voyage a la découverte de soi,
certains courent plus vite, d’autres marchent paisiblement mais tous nous arrivons au bout
d’un sentier teinté d’efforts et de sacrifices.
Notre gratitude va d’abord vers Dieu tout puissant le
maitre des temps et de circonstances pour le souffle de vie qu’il nous a accordé.
Aux autorités académiques de la faculté des lettres et
sciences humaines nous pensons aux professeurs chefs de travaux et aux assistants pour leur
encadrement dans cette Alma Mater.
A mon directeur RUKU ABIA Boniface votre
rigueur a garnit notre connaissance, hier des nains aujourd’hui hissé sur vos épaules nous
verrons loin grâce à vous et à l’ensemble de l’Alma mater prière de recevoir notre profonde
gratitude.
Nos remerciements s’adressent également à mes
parents : BLAISE MONGA, CHATY KIPANGA et GABIN NSENGA pour leur soutien
spirituel, moral et financier.
Nos remerciements se tournent également vers notre
famille ici nous pensons à Judith MALOBA, Huguette MALOBA, Gabin MALOBA,
Laurianne MALOBA, Gauthier MALOBA, Gael MALOBA, Cynthia MALOBA, Jonas
MALOBA, Prodige NDONA, Franck MWEPU, Marcus MWAMBA, Jean Luc KALAW,
Idriss OMAR, John OMAR, Samith MONGA, Prince MONGA, Jonathan MONGA, Alvan
MONGA, Paola UMBA, Maxie KILELE, Marcia MONGA, Orcia MONGA pour votre
appui, encouragements, soutien moral, affection maternelle prouvés à mon égard.
A nos amis et compagnons de lutte BENITO
KALUNGA, STELLA NYANDWE, CLEMENCE KONGOLO, MANUELLA LUBANGI,
HASSAN KAITENGE, PELERIN DINANGA, HENRI MITSHABU.
Et enfin SYMPHO BENITA pour sa main d’or qui
m’a aidé à saisir ce beau travail.
Et à tous ceux ou toutes celles qui n’ont pas vu leurs
noms s’inscrire sur la liste, grand merci à eux.
1
INTRODUCTION GENERALE
0.1. PRESENTATION DU SUJET
Informer a été depuis la nuit des temps une activité du vécu de
l'homme, de l'imprimerie à l'avènement de la presse de masse l'information prime sur
tout et avant tout. Collecter c'est aller à la rencontre des faits en décrivant ce qui est
perceptible au touché, à la vue, à l'odorat et à l'ouïe; traiter une information c'est la
peaufiner, la rendre assouplie et compréhensible au public dans tous les domaines de la
vie: santé, société, religion, économie, politique, sport etc,
1
KABENGELE DIBWE, cours de méthode de recherche scientifique en sciences économiques.
2
MULUMBATI NGASHA, Manuel de sociologie generale, Ed, Africa, 1980, P.3
2
> Sur le plan personnel: nous avons constaté que dans le traitement des
informations sportives il y a beaucoup de similitudes ou des similarités, comprendre
ainsi le style choisi pour le traitement de chaque information sportive
> Sur le plan scientifique : cc sujet aidera les générations futures ou tout
autre chercheur intéressé par le domaine de l'information.
> Sur le plan social ce travail mettra en relation les lecteurs et la vie
sociale réelle dans le milieu sportif à Lubumbashi.
0.3. PROBLEMATIQUE
Les informations sportives ont une place de choix dans le chef du
public, à Lubumbashi les médias Lushois n'en font pas exception. De la collecte au
traitement à la diffusion de l'information, le journaliste en sa qualité de chien de garde
de l'actualité se donne la peine de la rendre telle que vue, entendue ou voir même
constatée.
A partir de cet état des choses notre étude comparative démarre avec les
interrogatoires suivant:
0.4. HYPOTHÈSE
Formuler une problématique dans une recherche scientifique ne suffit
pas cela doit être accompagné d'une hypothèse qu'on sous-entend être une réponse
provisoire à la recherche que nous menons.
La collecte des dites informations se fait sur terrain donc au stade lors
de la poursuite du championnat que ce soit en football ou en basket au début d'un
championnat l'entente communique le calendrier des matchs au programme de la
saison. Ce qui entraîne la présence des journalistes sportifs au lieu et prennent les
mêmes plans de vue et les propos des intervenants sont les mêmes parce qu'ils sont
tous là au même moment de la collecte de chaque information, et pour ceux qui ratent
par empêchement solidarité exige ont leur remettent ce qui a été filmé ou enregistré à
leur absence voilà ce qui fait la similarité.
0.5.1. Méthodes
Définie comme étant un ensemble d'opérations intellectuelles par
lesquelles une discipline cherche à atteindre des vérités3.
Pour le travail sous examen nous allons faire appel à deux méthodes:
0.5.2 Techniques
Quant aux techniques nous utiliserons l'observation, la documentation
et l'interview.
SUBDIVISION DU TRAVAIL
Outre l'introduction et la conclusion ce travail sera subdivisé en trois
chapitres, le premier parlera de la définition des concepts clés de notre travail, le
deuxième parlera sur notre champ de travail qui est la ville de Lubumbashi et le
3
BALLE.F, Dictionnaire des medias, Paris, Ed.Larousse, 1988
5
4
MUCCHIEILL,A. Etude de communication : nouvelles approches, Armand Collin, Paris, 2006, P.165
7
Les conduites des uns et des autres sont d'ailleurs aussi « standards »
( idiomatiques ) et donc largement prévisibles. Si les acteurs savent, par expérience
culturelle, comment ils doivent se comporter dans la situation, c'est bien que cette
situation leur demande une réponse et, donc, contient une problématique à résoudre.
2. Dans le cadre de cette relation, une injonction est faite par l'acteur
dominant. Il faut que l'acteur occupant la position basse obéisse à cette injonction
mais, en même temps, il lui faut désobéir (comme l'ordre implicite « soyez autonome
»),
6
WATZLAWICK cité par A.MUCHIELLI, Op cit, p.168.
7
GONSETH cité par A.MUCCHIELLI, Op cit P.169
9
8
SCHUTZ cité par A.MUCCHIELLI, Idem
10
considère d'une manière privilégiée et arbitraire, sept « contextes », tous ces contextes
étant présents en même temps et enchevêtrés entre eux :
5. Le contexte temporel ;
6. Le contexte spatial ;
Une action (une conduite, une décision suivie d'une séquence d'attitudes
et de conduites...), une verbalisation (de l'exclamation à un discours), deviennent des
formes spécifiques de l'expressivité humaine en situation.
9
A.MUCCHIELLI, op cit, p.187
10
QUERE, cité par A.MUCCHIELLI op cit p.190
11
11
BOUGNOUX, cité par A.MUCCHIELLI, op cit
12
A.MUCCHEILI, op cit, P.201
13
BILL KOVACH et Tom ROSENSTIEL, “pricipes du journalism, ce que les journalists doivent savoir, ce que le
public doit exiger ? Nouveaux horizons, paris, 2004, P.1
12
Cette définition met l'accent sur les institutions auxquelles les journaux
du 20è siècles ont donné naissance : au journalisme avec ses disciplines, spécialités,
les médias, ses métiers. Lorsqu'ils se consacrent à l'actualité plutôt qu'à la fiction, à
renseigner ou à informer plutôt qu'à divertir ou éduquer. Enfin les relations des
organes d'information et des journalistes avec d'un côté leurs « sources » qui cherchent
à les instrumentaliser et de l'autre côté, leurs différents publics aux attentes et aux
curiosités auxquelles ils doivent être attentifs.18
18
Ibidem
19
KASONGO MWEMA, op cit
14
y compris par rapport aux intérêts de l'entreprise ou de l'organisme qui l'emploie quand
il y a un enjeu démocratique de l'information)20
Critère de l'information21
20
Htttp : //geneve.blog.tdg.ch/media/communication-information:/jean-lucmartin
21
DIKANGA KAZADI, Cours de methodologie de linformaion G1 sic, UNILU, 2013-2014, Inedit
15
2) Le critère juridique
Ce critère permet de distinguer l'information privée (confidentielle) et
l'information publique c'est-à-dire celle qui est susceptible d'être diffusée par la presse,
celle qui est mise sur la place publique et accessible au plus grand nombre.
2. Critère d'objectivité
Le travail d'un journaliste consiste à rapporter un événement qui se
produit, il faut le rapporter le plus honnêtement possible, c'est-à-dire avec tous les
détails exacts sans rien ajouter ni retrancher. Cette objectivité impose au journaliste de
taire ses propres convictions, ses émotions, son parti pris et de prendre l'événement
dans ses éléments objectifs, observables et vérifiables. L'objectivité consiste à rendre
compte d'un événement en répondant aux questions de référence : Qui ? Quoi ? Où ?
Quand ? Comment ? Pourquoi ?
3. La signification
La signification d'un événement est liée à l'impact que peut avoir cet
événement dans l'environnement où il se produit. Elle concerne les dimensions
historique et sociale. Elle puise dans les éléments culturels et dans l'expérience de tous
les jours. Le journaliste doit donc disposer d'une bonne culture générale et d'une
connaissance parfaite de l'actualité. Pour mieux informer les gens, le journaliste doit
être lui-même un homme très bien informé. La signification est liée à l'événement.
4. L'intérêt
C'est la capacité qu'a un événement de focaliser sur lui l'attention du
public grâce à un centre d'intérêt évident.
> Il peut être lié à la sensibilité du public : la mort d'un homme bien
connu.
5. La communicabilité
Elle tient à la forme que l'on donne à l'information, à la manière dont le
message est élaboré en vue d'entrer effectivement en communication avec la plus
grande partie du public. La communicabilité tient aussi compte du canal utilisé pour
17
• L'importance ;
• La célébrité ;
L'insolite ;
Le sexe.
CONCLUSION PARTIELLE
Le présent chapitre nous montre les différents concepts sur lequel
repose notre travail. Nous avons également présenté les théories sur lesquelles vont
s'appuyer notre travail portant sur l'étude comparative du traitement des informations
sportives dans le média lushois cas de RT HÉRITAGE et RT KYONDO.
22
KASONGO MWEMA, op cit, p.25-26
18
b) Historique
L'idée de la création de la radiotélévision KYONDO est née de la
concertation entre le promoteur et sa famille après que le bâtiment ait connu un
incendie.
c) Structure fonctionnelle
23
Source : RT KYONDO : Chargé de communication
20
- La section Radio
- La section télévision
Le service du personnel
Le secrétariat de direction
■ Le service technique
Dirigé par Dauphin KIONI, ce service contient en son sein, trois sous
services :
- Maintenance
- Le montage
22
- Caisse
- trésorerie
c) Structure fonctionnelle
- La section Radio
23
- La section télévision
Le service du personnel
Le secrétariat de direction
La rédaction
■ Le service technique
Dirigé par Dauphin KIONI, ce service contient en son sein, trois sous services :
- Maintenance
- Le montage
2 PRESENTATION DE HERITAGE24
2.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE
La radio et télévision Héritage est une chaine située dans la ville de
Lubumbashi, commune Kapemba, au quartier Hewa bora au numéro 3540. Cette
chaine communautaire à moralité Chrétienne appartient à l'association sans but
lucratif NABII Samuel House.
Cette maison de presse remplie, comme toute chaine, aussi la mission des
médias qui est celle d'informer, de former ou d'éduquer et de divertir le public.
24
Source : RT HERITAGE : Documents de l’entreprise
27
2.4.1. Le secrétariat
Il s'occupe de toutes les activités de la Radio et Télévision Héritage, c'est
notamment la réception et l'orientation des visiteurs, l'enregistrement et
l'explication des documents.
Mis à part ces services, la Radio et télévision Héritage fonctionne avec deux
différentes directions et services qui ont des objectifs précis et qui sont
chapotées par un responsable.
CONCLUSION PARTIELLE
Ce deuxième chapitre est consacré essentiellement à la présentation de notre
univers de recherche, qui donne une large vision de l'environnement dans lequel
évoluent nos deux chaînes.
Nous avons parlé sur l'aperçu historique de nos deux chaînes la RT HERITAGE
et RT KYONDO, l'objet social, ainsi que la structure organique.
30
Organigramme de la RT HERITAGE
DIRECTEUR
GÉNÉRALE
SECRÉTARIAT
Services d’antenne
Service de
montage
Rédaction en Secrétaire de
journalistes
chef rédaction
31
À côté des problèmes de société et des questions éthiques soulevés par la diffusion
large et multimédia de l'information, le traitement avancé de l'information pose aussi
des problèmes scientifiques originaux qu'il est urgent de reconnaître en tant que tels, la
science du traitement automatique de l'information (informatique) est encore
largement méconnue dans la communauté scientifique, et a fortiori dans le monde des
dirigeants ou dans le grand public. Cet état de choses est à la fois dû au caractère
relativement parcellaire et éclaté des recherches menées en sciences de l'information et
de laa communication, et à une certaine prééminence des aspects purement
technologiques dans les médias. C'est pourquoi un cadre conceptuel et méthodologique
unifié apparaît aujourd'hui nécessaire.
l'analyse des informations sportives est programmé du lundi jusqu’au samedi dans
l’avant midi pour la simple raison que les matchs ou les actualités se jouent en affluent
avant tout le weekend. Dans plusieurs championnats que ce soit au football ou au
basket une grande partie des matchs se déroulent le weekend
Que ça soit pour un reportage ou pour une enquête, le journaliste pense d'abord à la
source qui lui fournirait les éléments d'information.
C'est après avoir été en contact avec une ou plusieurs sources que le journaliste des
données recueillies, et leur mise à la disposition du public.
On peut ainsi dire, en d'autres ternies, que les sources d'information sont des lieux
d'approvisionnement du journaliste pour l'élaboration de l'information.
- n'est cependant pas toujours un défaut quand elle peut contribuer à rendre
l'information plus explicite.
CONCLUSION PARTIELLE
Dans ce chapitre il a été question d'une comparaison intrinsèque sur les
informations sportives de la RT HÉRITAGE et de la RT KYONDO, lesquelles
informations sont parsemées par une similarité au niveau de la collecte mais se
diffèrent au niveau du traitement, nous avons établi les lignes de démarcations entre
les deux chaines et nous sommes arrivés à un diagnostic.
38
CRITIQUE ET SUGGESTION
I. CRITIQUE
Pour le travail sous examen nous formulons les critiques de la manière
que voici:
Le traitement des Informations sportives dans les medias lushois se font avec similarité
et similitude le cas cité de la RT HÉRITAGE et RT KYONDO.
IL SUGGESTIONS
Aux medias de Lubumbashi de veiller sur la primeur de l'information, sur un style
beaucoup plus complexe dans le traitement des informations sportives.
Que les chaînes de Lubumbashi malgré la compétitive s'adapte au besoin des auditeurs
dans les informations sportives surtout pour la programmation des modules sportifs et
d'autres magazines à caractère d'analyse sportif.
39
CONCLUSION GENERALE
Faire la conclusion d'un travail aussi perplexe que celui-ci est comme
rassembler des feuillages tombés d'un arbre, Ce dernier n'est pas impossible mais
difficile. Traiter les informations sportives est aussi pour le journaliste un évaluatif de
sa plume par rapport à d'autres informations.
La collecte des dites informations se fait sur terrain donc au stade lors
de la poursuite du championnat que ce soit en football ou en basket au début d'un
championnat l'entente communique le calendrier des matchs au programme de la
saison cc qui entraine la présence des journalistes sportifs au lieu et prennent Les
mêmes plans de vue et les propos des intervenants sont les mêmes parce qu'ils sont
tous là au même moment de la collecte de chaque information, et pour ceux qui ratent
40
par empêchement la solidarité exige ont leur remettent ce qui a été filmé ou enregistré
à leur absence voilà ce qui fait la similarité.
Dans son premier chapitre nous avons défini les concepts clés de notre
travail pour une compréhension plus étendue du champ de notre recherche.
Au deuxième chapitre nous avons présenté notre cadre d'étude qui est la
ville de Lubumbashi son cadre géographique, sa démographie._
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
II. DICTIONNAIRES
IV. WEBOGRAPHIE
https://www.memoireonline.com/10/19/11152/m_De-lautocensure-dans-le-
traitement-des-informations-politiques-cas-de-la-radio-et-teleac14.html
43
Epigraphe................................................................................................................................................I
Dédicace.................................................................................................................................................II
Remerciements......................................................................................................................................III
INTRODUCTION GENERALE....................................................................................................................1
0.1. PRESENTATION DU SUJET............................................................................................................1
0.2. CHOIX ET INTÉRÊT DU SUJET.......................................................................................................1
0.3. PROBLEMATIQUE........................................................................................................................2
0.4. HYPOTHÈSE..................................................................................................................................2
0.5. MÉTHODES ET TECHNIQUES........................................................................................................3
0.5.1. Méthodes.............................................................................................................................4
0.5.2 Techniques............................................................................................................................4
0.6. DÉLIMITATION DU SUJET.............................................................................................................4
SUBDIVISION DU TRAVAIL..................................................................................................................4
CHAPITRE I DEFINITION DES CONCEPTS.................................................................................................6
1.0. Introduction.................................................................................................................................6
I.I. CADRE THEORIQUE........................................................................................................................6
1.1.1. Théorie sémiologique...........................................................................................................6
1.2. CADRE CONCEPTUEL..................................................................................................................12
1.2.1. Information.........................................................................................................................12
L2.1.1. Historique du mot information.........................................................................................12
1.2.3. Les phases de l'information................................................................................................14
1) Le critère de la finalité : on distingue à ce niveau.....................................................................14
2) Le critère juridique...............................................................................................................15
3) Critère du degré de transformation......................................................................................15
4) Critère de la durée de vie.....................................................................................................15
2. Critère d'objectivité..............................................................................................................16
3. La signification......................................................................................................................16
4. L'intérêt................................................................................................................................16
5. La communicabilité...................................................................................................................17
CONCLUSION PARTIELLE...................................................................................................................18
CHAPITRE II. PRESENTATION ET FONCTIONNEMENT DE LA RT KYONDO ET DE LA RT HERITAGE........19
11.0. INTRODUCTION PARTIELLE......................................................................................................19
11.1. LA RADIO TELEVISION KYONDO...............................................................................................19
44
a) Présentation.........................................................................................................................19
b) Historique.............................................................................................................................19
2 PRESENTATION DE HERITAGE........................................................................................................26
2.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE..................................................................................................26
2.2. APERCU HISTORIQUE.............................................................................................................26
2.3. OBJECTIF DE LA RT HERITAGE................................................................................................26
2.4. ORGANISATION DES SERVICES...................................................................................................27
2.4.1. Le secrétariat......................................................................................................................27
CONCLUSION PARTIELLE...................................................................................................................29
Organigramme de la RT HERITAGE..................................................................................................30
CHAPITRE TROISIEME : ETUDE COMPARATIVE DU TRAITEMENT DES INFORMATIONS SPORTIVES,
DANS LES MEDIAS LUSHOIS.................................................................................................................31
III.0. INTRODUCTION PARTIELLE.......................................................................................................31
III.2. ANALYSE DES INFORMATIONS SPORTIVES...............................................................................32
III.2.1 DE LA COLLECTE DES INFORMATIONS................................................................................32
III.4 DU TRAITEMENT DES INFORMATIONS......................................................................................32
III. 4 DE LA PROGRAMMATION DES MODULES SPORTIFS.................................................................32
III.4.1. LES SOURCES D'INFORMATION ET LES TECHNIQUES D'INVESTIGATION............................33
III.5. IMPERFECTIONS DES INFORMATIONS......................................................................................33
III.6. FORMES DE TRAITEMENT DE L'INFORMATION.........................................................................34
IIII.7 LES POINTS DE CONVERGEANCE ENTRE LA RT KYONDO ET LA RT HERITAGE...............................35
CONCLUSION PARTIELLE...................................................................................................................37
CRITIQUE ET SUGGESTION................................................................................................................38
I. CRITIQUE...................................................................................................................................38
IL SUGGESTIONS...........................................................................................................................38
CONCLUSION GENERALE......................................................................................................................39
BIBLIOGRAPHIE.....................................................................................................................................42
TABLE DES MATIERES...........................................................................................................................43