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Formation Ornitho

Niveau 1 : Taxinomie

Présentation de la liste de l’avifaune de Belgique


Par Fanny CARION

A. Dit-on « taxonomie » ou « taxinomie » ?


Taxinomie est français et taxonomie est anglais. C’est donc une erreur de parler de
taxonomie, mais étant donné le fait qu’il est largement adopté, nous l’utiliserons aussi sans
exclure le terme français.

B. Qu’est-ce que la taxonomie ou la taxinomie ?


La taxinomie (du grec ταξινομία taxis,
« placement », « mise en ordre », et nomos, « loi »)
est la science qui a pour objet de décrire les
organismes vivants (ou ayant vécu) et de les
regrouper en entités appelées taxons (familles,
genres, espèces, etc.) afin de pouvoir les nommer et
les classer (Wikipédia).

La taxinomie et la systématique nous facilitent


l’apprentissage de l’avifaune car elles ont permis
d’établir une liste d’espèce et de classer cette liste de
manière à nous y retrouver plus facilement !

D. Définitions
La systématique = science qui tente de dénombrer et de classer les taxons dans un certain
ordre, en se basant sur des principes qui peuvent varier.

La taxinomie ou taxonomie = science qui tente de décrire les êtres vivants et de les
regrouper en entités (taxons) afin de les nommer et de les classer.

La taxonomie a donc besoin de la systématique puisque celle-ci lui fournit l’outil dont elle a
besoin pour regrouper les êtres vivants.

Un taxon est une catégorie de répartition des êtres vivants.

Les principaux taxons sont …


• Le règne • La famille
• L’embranchement • Le genre
• La classe • L’espèce
• L’ordre

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Mais il y a bien plus de taxons que cela : Il est question aussi de sous-classe, ordre, sous-ordre,
super-famille, famille, sous-famille, tribus, genre, super-espèce, espèce, sous-espèce, etc.

Les différents règnes:


• Les bactéries
• Les protoctistes (organismes unicellulaires).
• Les plantes
• Les champignons
• Les animaux
Nous sommes concernés par le règne des animaux.

Les embranchements (ou phylum ou division) du règne des animaux:


• Vertébrés
• Invertébrés
Celui qui nous concerne est l’embranchement des vertébrés.

Les classes de l’embranchement des vertébrés :


• Mammifères
• Oiseaux
• Reptiles
• Amphibiens
• Poissons
Celle qui nous concerne est la classe des oiseaux.

Les 31 ordres de la classe des oiseaux :

Accipitriformes Coliiformes Passériformes Ptéroclidiformes


Ansériformes Columbiformes Pélécaniformes Rhéiformes
Apodiformes Coraciiformes Phoenicoptéri- Sphénisciformes
Aptérygiformes Cuculiformes formes Strigiformes
Caprimulgiformes Falconiformes Piciformes Struthioniformes
Casuariiformes Galliformes Podicipédiformes Suliformes
Charadriformes Gaviiformes Procellariiformes Tinamiformes
Ciconiiformes Gruiformes Psittaciformes Trogoniformes

J’attire votre attention sur le fait que tous les ordres portent le même suffixe : -IFORMES

31 ordres → 186 familles → 9800 espèces et + !!!! C’est beaucoup trop à étudier.

D. Les empires biogéographiques


Pour faciliter l’étude des êtres vivants, le monde a été divisé en empires biogéographiques
qui sont des zones dans lesquelles la faune et la flore présentent de nombreuses
caractéristiques communes entre les espèces.

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NEARCTIQUE PALEARCTIQUE INDOMALAIS
(ORIENTAL)

MALGACHE
NEOTROPICAL NOTOGEEN
(AUSTRALIEN)
AFROTROPICAL
(ETHIIOPIEN)

Vous remarquerez que les pôles ne sont pas compris


dans ces empires biogéographiques. Certains
considèrent Madagascar comme un empire
biogéographique différent du continent africain
subsaharien étant donné sa flore et sa faune très
particulière.

L’empire biogéographique qui nous concerne est le


Paléarctique. Il est tellement vaste qu’il est divisé en
deux. La partie qui nous concerne donc est le
Paléarctique occidental. Le guide ornitho couvre
l’avifaune du Paléarctique occidental.

Ainsi, nous passons d’environs 9800 espèces à


environ 950 espèces d’oiseaux à étudier.

F. Etudions un cas précis


Quel est cet oiseau? Un Pic épeiche.
Quel est son nom scientifique ? Dendrocops major.
Pic est le nom de son genre, épeiche est le nom de
son espèce.
Dendrocops est aussi le nom de son genre et major
est aussi le nom de son espèce.
Cet oiseau fait partie des Picidés dont le nom
scientifique est Picidae.
Les Picidés font partie de l’ordre des piciformes.

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Voici les différents Picidae de Belgique :
Torcol fourmilier Jynx torquilla
Pic cendré Picus canus
Pic vert Picus viridis
Pic noir Dryocopus martius
Pic épeiche Dendrocopos major
Pic mar Dendrocopos medius
Pic à dos blanc Dendrocopos leucotos
Pic épeichette Dendrocopos minor

En nous basant sur le nom scientifique qui est accepté mondialement, combien d’autres
Picidés ont le même genre que le Pic épeiche ? 3
Quels sont les oiseaux qui partagent le même genre que le Pic épeiche ? Le Pic mar, le Pic à
dos blanc et le Pic épeichette.
Combien de genres différents y a-t-il dans cette famille ? 4
Lesquels ? Jynx, Picus, Dryocopus et Dendrocops.

G. Quelques règles de typographie :

Moineau domestique

Moineau → Genre → 1. toujours avec une majuscule ;


2. généralement le premier des 2 mots.

domestique → Espèce → 1. généralement avec une minuscule ;


2. généralement le 2e mot du nom.

5 règles d’orthographe sur lesquelles nous allons insister afin de vous permettre d’acquérir
de bonnes habitudes :
• 1. Le nom scientifique se dactylographie en italique.
• 2. Le nom de genre se met généralement en première position.
• 3. Le nom de genre prend toujours une majuscule.
• 4. Le nom d’espèce prend généralement la deuxième position.
• 5. Le nom d’espèce ne prend généralement pas de majuscule.

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Quelques exceptions :

• Puffin des Anglais 1. Quand l’espèce est un nom propre


• Puffin des Baléares (géographique, de personne, …) il
• Grand Cormoran s’écrit avec une majuscule.
• Grande Aigrette
• Bernache du Canada 2. Quand l’espèce est un adjectif et qu’il
• Ouette d’Egypte y a inversion (voir encadré), il porte
• Tadorne de Belon une majuscule pour bien monter qu’il
• Canard d’Amérique, etc. fait partie du nom de l’oiseau.

Il n’y a pas d’exception parmi les noms scientifiques.

La place de l’adjectif en français


ou
Pourquoi dit-on :
« Il y a dans la porcherie un cochon gras et un gros cochon » ?

1) Seuls les adjectifs suivants ont une place fixe après le nom : les adjectifs de
relation (le Conseil régional, la République française), de couleur (le Chat noir, l'Armée
rouge) ou qui indiquent une forme (la Maison carrée, le Salon ovale).

Mais certaines expressions sont restées figées du fait de l'antéposition plus fréquente
en ancien français qu'en français moderne : Blanche-Neige, Blanchefleur, la blanche épine et
l'aubépine, rouge-gorge, rouge-aile, rouge-queue, rue des Blancs-Manteaux, blanc-bec, un
blanc-seing, blanc-étoc, rond-point, le Vert galant (avec un sens figuré), bleu-manteau, vert-
monnier, vert-pré, le Vertbois, Noirmoutiers.

On peut aussi antéposer pour des raisons littéraires : « le vert paradis des amours
enfantines », « une ronde exécution du Massacre du Printemps par Karajan ». Mais dans cet
exemple, l'adjectif de couleur est au sens figuré, il est souvent antéposé sans aucun effet de
style : faire grise mine, un noir dessein, une verte réprimande, mais une peur bleue, une
colère noire. Dans le cas des créations de nouvelles locutions, on préfère la postposition :
carte grise, zone bleue. Pour les adjectifs de formes, j'ai déjà vu sphérique antéposé (dans
une chanson, je crois), mais il s'agissait d'un effet de style.

2) Les adjectifs qui peuvent se rapporter à un jugement de plus de deux syllabes


se placent après le nom si leur sens est objectif : le petit chat stupide. On les prend comme
des expressions complètes. Devant le nom, l'adjectif sera subjectif, lié au point de vue du
locuteur ou au sentiment qu'il veut communiquer au lecteur : le stupide petit chat. Vous me
direz que stupide est un mot subjectif par son propre sens, mais dans le premier cas, on sait
que ce chat est toujours stupide et on le distingue par rapport à d'autres chats connus. Dans le
second cas, l'expression peut traduire une exaspération momentanée ou un amusement à

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propos d'une seule action.

La distinction subjectif-objectif se vérifie plus précisément si l'on prend des


adjectifs qui indiquent une dimension : une colossale statue et une statue colossale. À
noter : les adjectifs de relation qui sont employés au sens figuré demeurent le plus souvent
après le nom si le nom d'origine est toujours perçu comme un nom propre : un travail
herculéen, une tâche titanesque, des accents jupitériens, une maladie vénérienne due à
l'emploi de produits aphrodisiaques, des propos hermétiques, une attitude donquichottesque,
mais un gigantesque travail et un travail gigantesque (le nom géant n'est plus reconnu), une
colossale statue et une statue colossale (colosse n'est pas vraiment un nom propre).

Mais il est possible de déplacer les termes des expressions les plus anciennes par effet de
style : un bacchique repas, un dyonisiaque gueuleton, une cornélienne question. On doit
l'éviter si l'adjectif est récent moderne : un roman flaubertien, proustien, stendhalien, point.

http://www.langue-fr.net
H. Exercice

www.faune-flore.fr/photoa-16.htm.

En vous basant sur la liste des oiseaux de Belgique, répondez aux questions suivantes :
1. Quel est le nom de cet oiseau?
2. Quel est le nom scientifique de cet oiseau ?
3. Quel est le genre de cet oiseau, en vous basant – et ce sera désormais toujours le cas—
sur le nom scientifique?
4. Citez un oiseau du même genre
5. Quelle est la famille de cet oiseau?
6. Quel l’ordre de cet oiseau?
7. Combien de genres dans la famille?
8. Quel est le genre le plus courant dans cette famille?
9. Y a-t-il une autre famille dans cet ordre?

Vérifiez si vous avez les bonnes réponses :


1. Une Bernache à cou roux. 3. Branta.
2. Branta ruficollis.

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4. Vous aviez le choix : une Bernache 6. Les ansériformes.
cravant, une Bernache nonnette ou 7. 16.
une Bernache du Canada. 8. Anas.
5. Anatidés. 9. Non.

I. Binômes ou trinômes ?
Si vous regardez bien les listes que vous avez reçues, vous constaterez que tous les noms
scientifiques ne sont pas composés de deux mots, mais que parfois ils en ont trois, c’est ce
qu’on appelle des trinômes.

Pour comprendre leur raison d’être, imaginons un scénario maintes fois répété dans la
nature…

Imaginez la vie sur une petite île sur laquelle la flore diffère un peu.

Sur cette île, il existe une espèce d’oiseaux qui se porte à merveille. Vous remarquerez qu’il
s’agit de passereaux granivores.

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Un jour, cette île connaît une éruption volcanique violente qui la brise en deux. Nous n’avons
plus une île, mais deux… Ce qui a séparé les deux populations est appelé une barrière
écologique.

Etant donné que la flore de l’île n’était pas homogène, les deux îles n’ont pas la même flore.
Et au fil du temps (il n’est pas question de jours, ni d’années, mais de siècles, les oiseaux
connaissent des changements morphologiques très progressifs pour s’adapter à leur
alimentation. Les oiseaux se retrouvant sur l’île de gauche ont plus de facilité à se nourrir si
leur bec est plus fin. Tandis que les oiseaux se retrouvant sur l’île de droite ont plus de
facilité à se nourrir si leur bec est plus arrondi (tout cela reste fictif !).

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Leur chance de survie étant plus grande s’ils présentent ces caractéristiques morphologiques,
celles-ci sont favorisées au fil des générations. C’est ainsi que ces deux populations issues
d’une population mère commencent à présenter des divergences morphologiques.

Nous avons donc une population mère qui donne naissance à deux populations légèrement
différentes. Si de rares individus aventuriers de chacune de ces populations s’égarent en mer
et trouvent refuge sur un bateau, il peut arriver que deux individus légèrement différents
s’accouplent et élèvent une progéniture.

Dans ce cas, il y a hybridation. Si ces hybrides retournaient sur l’une des deux îles, leur
différence génétique serait vite noyée dans les gênes de la population de l’île. On parle alors
d’une espèce type et de deux sous-espèces. Et on l’indique dans le nom scientifique en
mettant, entre le nom de genre et le nom d’espèce, le nom de l’espèce type (ou espèce mère).

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C’est le cas chez les
Bergeronnettes printanières
comme l’indique le guide ornitho :

Notre Bergeronnette printanière


est la Motacila flava. Il existe,
dans le paléarctique occidentale, 9
autres populations
morphologiquement différentes
qui font partie de la même espèce.
Parmi ces 9 sous-espèces
différentes de la nôtre, trois se
trouvent chez nous lorsqu’elles sont en migration. Il s’agit de la flavissima, la thunbergi et la
feldegg. Régulièrement, un cas d’hybridation entre une bergeronnette de chez nous (flava) et
une de ces bergeronnettes de passage est remarqué par les ornithologues de terrain.

Notre espèce est l’espèce type (ou espèce mère), cela se voit dans son nom puisque le nom
ajouté à son binôme est le même que celui de son espèce : Motacilla flava flava. Toutes les
autres portent le nom de l’espèce type mais celui-ci est différent du nom de leur espèce :
Motacilla flava flavissima
Motacilla flava thunbergi
Motacilla flava feldegg

Nous retrouvons le cas aussi chez la


Bergeronnette grise dont la population
britannique présente une légère
différence morphologique et qui
s’hybride très occasionnellement avec la
nôtre.

Notre sous-espèce est la Motacilla alba


alba, tandis que la britannique est la
Motacilla alba yarrellii. Leur nom
scientifique vous permet de comprendre
que l’espèce type est la nôtre et non la
britannique.

Voyons un dernier exemple : le


Goéland brun.
Il y a donc trois sous-espèces de
Goélands bruns dans le
Paléarctique occidental : Larus
fuscus graellsii , Larus fuscus
fuscus et Larus fuscus intermédius.
Ici, l’espèce type n’est pas la nôtre
mais la Larus fuscus fuscus.
L’aire de répartition des sous-
espèces qui s’hybrident se

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chevauchent donc légèrement.

Mais revenons-en à notre petit scénario, au fil du temps, les différences morphologiques se
sont accentuées et deux oiseaux issus des populations différentes qui se rencontrent
n’éprouvent plus l’envie de se reproduire.

L’hybridation, avec le temps, devient rare et avant de disparaître, les oiseaux issus de cette
hybridation sont stériles. Il est temps, alors, de songer à changer le statut de ces deux
populations. De plus, il y a apparition d’un comportement territorial qui, vous le verrez au
cours d’éthologie, ne se manifeste généralement (il y a des exceptions à cette règle) qu’en
période de nidification. Les taxonomistes décident alors d’élever les sous-espèces au rang
d’espèces. On ne se retrouve plus devant une espèce et ses sous-espèces, mais devant une
super-espèce. La super-espèce comprend l’espèce-mère ou espèce type du départ et les deux
espèces qui sont issues d’elle.

Ce statut taxonomique est indiqué par la présence de crochets autour du nom de l’espèce-mère
ou espèce type dans les noms des populations concernées. Si le taxonomiste qui rédige la
liste a un doute, il ne mettra pas des crochets, mais des parenthèses.

Toutefois les taxonomistes ne sont pas toujours d’accord sur le moment d’élever ainsi le statut
des oiseaux. N’oubliez pas que ces adaptations au milieu s’opèrent sur un laps de temps
immense. Certains taxonomistes suivent les analyses ADN qui viennent confirmer ou
infirmer le classement utilisé et décident d’adopter les résultats de ces analyses avant que le
changement taxonomique ne soit officiel. D’autres taxonomistes décident d’utiliser des
critères différents pour classer les animaux. C’est ainsi que les listes divergent et le nombre
des espèces aussi. Pour éviter de prendre parti dans ces polémiques, de nombreuses listes
omettent les crochets tout en suivant ce qui est officiellement reconnu ou ils choisissent de ne
pas indiquer les super-espèces avec un trinôme. Ce qui est accepté comme étant correct. Le
degré de précision quand on donne le nom d’une espèce n’est imposé qu’à partir du binôme,
le trinôme n’est pas obligatoire. Toutefois, il renseigne bien des choses sur l’oiseau, comme
vous pouvez le comprendre.

Si on remonte le temps, on constatera que l’Hypolaïs ictérine et l’Hypolaïs polyglotte


faisaient partie de la même espèce. Leur nom pourrait s’écrire :
Hippolais icterina → Hippolais [icterina] icterina
Hippolais polyglotta → Hippolais [icterina] polyglotta

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Leurs aires de répartition ne peuvent pas se
chevaucher puisque ces deux oiseaux occupent la
même niche écologique. Les aires se juxtaposent.
La raison pour laquelle nous vous le signalons est
que la ligne de démarcation entre les deux aires de
répartition traverse la Belgique, l’Hypolaïs
polyglotte étant plus méridionale. Cette ligne n’est
pas figée, elle évolue avec les populations.

La Corneille noire et la Corneille


mantelée faisaient partie de la même
super-espèce et ne se tolèrent pas en
période de reproduction. Chez nous,
c’est la Corneille noire qui est
nicheuse, vous ne verrez donc pas de
Corneille mantelée chez nous sauf en
hiver qui tombe en dehors de la
période de nidification.

Désormais, elles sont présentées séparément dans le Guide ornitho :

Attention aux conclusions trop hâtives à la ressemblance entre espèces :


Ressemblance → différence → on parle de spéciation
Différence → ressemblance → on parle de convergence
C’est le cas chez les manchots et les guillemots qui occupent une niche écologique similaire
et s’y sont adapté de manière similaire :

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Dans la liste de l’avifaune belge qui est basée sur la nouvelle édition du Guide Ornitho et qui
a été corrigée par Frédéric Vanhove, vous remarquerez que les trinômes sont présentés de
deux manières différentes :

Soit les sous-espèces sont séparées par un slash sur la même ligne (Rougequeue noir :
Phoenicurus ochruros gibraltariensis et Phoenicurus ochruros phoenicuroides), soit elles
sont chacune sur leur ligne comme chez la Bernache cravant et chez la Buse variable. La
différence est tout simplement parce que la reconnaissance des sous-espèces de Buses
variables et de Bernarches cravants est plus proche que celle des sous-espèces de
Rougequeues noirs.

Les notes de cours et leurs illustrations sont destinées à l'usage strictement personnel de
l'élève de la formation dans le contexte du cours. L'élève s'engage à ne pas les céder à un tiers,
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