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HP-UX : Présentation
HP-UX 11i version 3
Référence HP : 5992-4586
Date de publication : Septembre 2008
Édition : 3
© Copyright 2008 Hewlett-Packard Development Company, L.P
Avis
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et 12.212, les logiciels informatiques, la documentation des logiciels et les informations techniques commerciales sont concédés
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garanties applicables aux produits et aux services HP sont celles figurant dans les déclarations de garantie expresse accompagnant
les dits produits et services. Aucun terme de ce document ne peut être interprété comme constituant une garantie supplémentaire.
Hewlett-Packard ne peut en aucun cas être tenu pour responsable des erreurs techniques ou rédactionnelles contenues dans le
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Hewlett-Packard que vous utilisez auprès de votre bureau local chargé de la vente et des services.
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Group.
OSF/Motif™ est une marque d'Open Software Foundation, Inc. aux États-Unis et dans d'autres pays.
Glossaire..................................................................................................................................149
Index........................................................................................................................................161
9
Liste des tableaux
1 Emplacement des informations sur HP-UX................................................................14
2 Versions de HP-UX 11i................................................................................................16
3 Version de système d'exploitation, architecture système et modèle de machine.......17
2-1 Comparaison des technologies de partitionnement...................................................45
2-2 Technologies de mise en réseau courantes..................................................................46
3-1 Comparaison des fonctionnalités et de la terminologie des gestionnaires de
volumes.......................................................................................................................58
3-2 Composants de stockage et mode d'accès...................................................................68
4-1 Outils d'administration système...............................................................................127
11
12
Préface
Utilisateurs potentiels
Le Guide de l'administrateur système HP-UX est destiné aux administrateurs de systèmes
HP-UX de tout niveau devant assurer l'administration de systèmes HP-UX à compter
de HP-UX 11i version 3.
Bien que de nombreuses rubriques de cette collection s'appliquent aux versions
précédentes, de nombreuses modifications ont été apportées à HP-UX 11i version 3.
Par conséquent, pour obtenir des informations sur les versions précédentes, veuillez
vous reporter au manuel intitulé Gestion des systèmes et des groupes de travail : Guide pour
les administrateurs système HP-UX.
À propos de ce document :
Le document Guide de l'administrateur système HP-UX : Présentation fournit une vue de
haut niveau de HP-UX, de ses composants et de la relation qu'ils entretiennent. Le cas
échéant, il contient des pointeurs vers des informations plus détaillées. Le volume
Présentation aborde les principaux domaines suivants :
Utilisateurs potentiels 13
Chapitre 1 : HP-UX version 3 - Vue Présente les principales fonctionnalités de
d'ensemble, HP-UX 11i version 3 et les outils d'administration
système importants, et fournit des informations
générales concernant les changements par
rapport aux versions précédentes de HP-UX.
Chapitre 2 : Technologies de Traite des nombreuses technologies utilisables
virtualisation HP-UX, avec HP-UX et permettant d'optimiser
l'utilisation de vos ressources informations, et
fournit des informations pour vous aider à mieux
comprendre la relation entre ces technologies.
Chapitre 3 : Principaux composants Traite des principaux composants HP-UX et de
de HP-UX, leur relation.
Chapitre 4 : Outils d'administration Décrit les outils disponibles pour l'administration
système, de HP-UX et de ses sous-systèmes, du point de
vue d'un système unique.
14
Tableau 1 Emplacement des informations sur HP-UX (suite)
Si vous souhaitez. . . Reportez-vous à . . . À l'emplacement . . .
B.11.31.0803 HP-UX 11i version 3, Mise à jour de mars 2008 HP 9000 et Integrity
Pour plus d'informations sur les systèmes et les architectures processeurs pris en charge
pour différentes versions de HP-UX, voir les notes de mise à jour système HP-UX
spécifiques à votre version (par exemple, le document HP-UX 11i Version 3 Release
Notes).
16
Détermination de la version de votre système
Les commandes uname, model et swlist peuvent vous aider à déterminer certaines
informations concernant votre système, parmi lesquelles le type de matériel, le modèle
de machine, la version du système d'exploitation et l'état de mise à jour de
l'environnement d'exploitation. (Voir uname(1), model(1) et swlist(1M).)
Pour plus d'informations sur les conventions d'affectation de noms des systèmes
d'exploitation, voir « Identificateurs des versions de systèmes d'exploitation et des
noms de versions de HP-UX 11i » (page 16).
Tableau 3 Version de système d'exploitation, architecture système et modèle de machine
Rubrique Commande Exemple de sortie
Conventions typographiques
Ce document utilise les conventions typographiques suivantes.
audit(5) Une page de manuel HP-UX. audit est le nom et
5 est la section de la Référence HP-UX. Sur le Web
et sur le DVD Instant Information, il peut s'agir
d'un lien vers la page de manuel proprement
dite. Sur la ligne de commande de HP-UX,
saisissez man audit ou man 5 audit pour
afficher cette page. Voir man(1).
Exemples et shells
Ce document décrit les pratiques utilisées par l'administrateur système. L'utilisateur
root (un superutilisateur) étant contraint d'utiliser le shell POSIX /sbin/sh, tous les
exemples de commandes utilisent ce shell. Le shell POSIX est défini dans sh-posix(1).
Pour plus d'informations sur les autres shells, voir le document Shells User's Guide et
la page de manuel sh(1).
Syntaxe de commande
Littéral Mot ou caractère que vous entrez littéralement.
Élément remplaçable Mot ou phrase que vous remplacez par une valeur
appropriée.
- carac. Une ou plusieurs options de commandes groupées, telles
que -ikx. Les carac. sont généralement une chaîne
de caractères littéraux qui représentent chacun une
option spécifique. Par exemple, l'entrée -ikx équivaut
aux options -i, -k et -x. Le caractère plus (+) est parfois
utilisé comme préfixe d'option.
18
- mot Option de commande unique, telle que -help. Le mot
est un mot clé littéral. La différence par rapport à -
chars est en général évidente et clarifiée dans une
description d'option. Le caractère plus (+) et le double
tiret (--) sont parfois utilisés comme préfixes d'option.
[ ] Le contenu optionnel est placé entre crochets dans les
descriptions de formats et de commandes.
{ } Le contenu obligatoire est placé entre accolades dans les
descriptions de formats et de commandes.
| La barre verticale sépare des alternatives dans une liste
de choix, généralement entre crochets ou accolades.
... L'ellipse après un jeton (abc...) ou un crochet droit ([ ]...)
ou une accolade droite ({ }...) indique que l'élément
précédent et son espace précédent (le cas échéant)
peuvent être répétés un nombre de fois arbitraire.
... L'ellipse est parfois utilisée pour indiquer des éléments
omis dans une plage.
20
1 HP-UX version 3 - Vue d'ensemble
Ce chapitre présente certaines des principales fonctionnalités de HP-UX 11i version 3.
Toutefois, la source exhaustive concernant les nouveautés et modifications dans toute
version de HP-UX est le document HP-UX 11i Release Notes. Pour HP-UX 11i version 3,
voir le document HP-UX 11i Version 3 Release Notes.
Supports HP-UX
HP-UX est constitué de nombreux composants et sous-systèmes. Cette section décrit
la façon dont ces composants sont empaquetés et délivrés.
Environnements d'exploitation
Les systèmes d'exploitation sont des écosystèmes logiciels complexes qui contrôlent
l'utilisation des ressources de vos ordinateurs (telles que la mémoire, les périphériques,
les processeurs et les applications). HP-UX 11i (la version HP du système d'exploitation
UNIX) est extrêmement configurable et propose de nombreux composants et
applications optionnels permettant d'améliorer la fonctionnalité de base du système
d'exploitation. Les environnements d'exploitation sont des combinaisons préconfigurées
de ces composants, conçues et prétestées de façon à optimiser leur fonctionnement.
HP-UX 11i version 3 fournit les environnements d'exploitation suivants :
• HP-UX 11i v3 Base Operating Environment – (BOE)
• HP-UX 11i v3 Virtual Server Operating Environment – (VS-OE)
• HP-UX 11i v3 High Availability Operating Environment – (HA-OE)
• HP-UX 11i v3 Data Center Operating Environment – (DC-OE)
Pour obtenir des détails complets sur les environnements d'exploitation disponibles
pour HP-UX 11i version 3, y compris des descriptions du contenu de chaque
environnement, consultez la version des HP-UX 11i Version 3 Release Notes correspondant
à la version de HP-UX 11i que vous utilisez.
Supports HP-UX 21
Produits tiers
Comme avec la plupart des systèmes d'exploitation, HP-UX11i est le cœur d'une suite
de produits dont tous ne sont pas fournis par HP.
Des milliers d'applications qui s'exécutent sur HP-UX 11i (sur les serveurs HP 9000 et
HP Integrity) sont proposées par des fournisseurs de logiciels.
Nomenclature de serveur
Lors de la description de serveurs, de cartes de cellules ou autres composants capables
de contenir des puces de processeurs, HP utilise désormais la nomenclature xP/yC, où
x fait référence à la quantité maximale de processeurs que peut contenir l'élément, et
y fait référence à la quantité maximale de cœurs que peut contenir l'élément.
Exemples :
• Un serveur défini comme serveur 1P/1C (représentant un processeur/un cœur) est
la plus simple de toutes les configurations fonctionnelles. Il contient un processeur
à un cœur.
Cartes PCI
HP-UX 11i version 3 vous permet d'effectuer les opérations suivantes :
• Ajouter des cartes PCI / PCI-X sur une instance de HP-UX en cours d'exécution.
• Remplacer une carte PCI / PCI-X (par une carte du même type) dans une instance
de HP-UX en cours d'exécution (par exemple si une carte ne fonctionne pas
correctement).
• Supprimer une carte PCI / PCI-X d'une instance de HP-UX en cours d'exécution.
Les cartes et leurs pilotes associés doivent prendre en charge les opérations OL (c'est le
cas de la plupart). Il existe également des considérations importantes à respecter lors
de l'ajout et de la suppression de cartes PCI. Pour obtenir des détails complets sur les
opérations en ligne PCI / PCI-X, consultez le manuel intitulé Guide d'aide pour les
procédures OL* des cartes d'interface (Référence 5992-1926).
Vidage simultané
Lorsqu'un système HP-UX entre en état de panique (se bloque), un vidage mémoire
est généralement écrit sur disque de sorte que, si nécessaire, une analyse puisse être
effectuée afin de déterminer la cause du blocage. 1
Sur les serveurs disposant de grandes quantités de mémoire, le processus d'écriture
de la mémoire sur disque peut prendre très longtemps. Si vous avez plusieurs
périphériques configurés pour le vidage mémoire, vous pouvez configurer HP-UX de
façon à fractionner cette tâche de vidage mémoire et à écrire sur les périphériques en
parallèle. Cette procédure porte le nom de simultanéité de vidage; vous pouvez la
configurer à l'aide du paramètre de noyau ajustable dump_concurrent_on (voir
dump_concurrent_on(5)) ou de la commande de configuration de traitement de blocage
crashconf (voir crashconf(1M)).
Pour plus d'informations sur la séquence de vidage mémoire, voir « Arrêts anormaux
(incidents système) » (page 107).
Exemples :
• Un système d'exploitation exécuté sur un serveur à un processeur et à un cœur
(1P/1C) est un système autonome (ou un réseau à un seul nœud).
• Plusieurs systèmes d'exploitation exécutés sur un serveur à cœurs multiples utilisent
la technologie de partitionnement.
• Un système d'exploitation couvrant plusieurs 2 serveurs représente la technologie
de mise en cluster
Les sections suivantes traitent de chacune des catégories de virtualisation et décrivent
les technologies HP-UX à utiliser si vous devez configurer votre système de façon à
tirer parti de chaque catégorie.
2. Techniquement, chaque serveur exécute son propre système d'exploitation, mais ils fonctionnent tous
comme s'il s'agissait d'une seule instance couvrant plusieurs serveurs.
Le cas le plus simple, un serveur 1P/1C unique exécutant une seule instance de HP-UX,
est un système autonome. Il s'agit d'un ordinateur non connecté à un réseau (ou qui
est le seul serveur du réseau).
Il s'agit le plus souvent d'ordinateurs dédiés, exécutant peut-être des applications
hautement sécurisées ou hautement spécialisées. Pour une raison ou pour une autre,
ces systèmes sont isolés. Ce sont des ordinateurs à utilisateur unique ou, s'ils prennent
en charge plusieurs utilisateurs, ils requièrent des terminaux directement connectés
ou des connexions par modem.
Par nature, ces ordinateurs sont limités dans le traitement des ressources et par
conséquent peu flexible dans la configuration ; la plupart des technologies de
virtualisation ne leur sont donc pas accessibles. Toutefois, même ces ordinateurs peuvent
tirer parti des technologies de virtualisation suivantes :
• Integrity Virtual Machines
Integrity Virtual Machines vous permet de partager un ensemble commun de
ressources matérielles sur un serveur HP Integrity parmi plusieurs instances de
système d'exploitation. Les ressources sont partagées de manière temporaire.
• Gestion de volumes à l'aide de :
— HP Logical Volume Manager (LVM)
— VERITAS Volume Manager (VxVM)
• Fichiers spéciaux de périphériques persistants
Les fichiers spéciaux de périphériques vous permettent d'avoir plusieurs chemins
d'accès physiques vers des périphériques de stockage de masse. Ils ont des chemins
d'accès matériels virtualisés (appelés chemins d'accès matériels LUN), ce qui permet
à un fichier de périphérique persistant unique de représenter plusieurs chemins
d'accès physiques à un périphérique de stockage de masse. Le trafic peut ainsi être
Systèmes autonomes (un serveur à cœur unique, une instance de système d'exploitation) 29
équilibré parmi les chemins d'accès physiques, ce qui accroît l'efficacité du transfert
de données.
• Common Desktop Environment (CDE)
L'environnement CDE vous permet de configurer plusieurs espaces de travail
(virtuels) à l'aide de la technologie X Window. Vous pouvez grouper et organiser
différents types de travaux dans ces espaces de travail et les nommer afin d'en
faciliter l'identification.
Même si l'ordonnanceur HP-UX utilise de manière efficace des cœurs multiples lorsqu'ils
sont disponibles, il peut arriver que vous deviez (ou souhaitiez) outrepasser les
algorithmes de planification par défaut, par exemple pour dédier des ressources de
traitement à une application importante.
Lorsque votre serveur est équipé de plusieurs cœurs, les technologies de la catégorie
Équilibrage de la charge peuvent vous aider à allouer de manière précise les ressources
des différents cœurs et autres ressources de traitement (mémoire, bande passante d'E/S
disque). Il s'agit des technologies suivantes :
• Process Resource Manager (PRM)
• Processor Sets (PSETS)
• Workload Manager (WLM)
• Instant Capacity (iCAP/TiCAP/GiCAP)
• Pay per use (PPU)
Synthèse de la technologie
Process Resource Manager (PRM) est un outil de gestion des ressources permettant de
contrôler le volume de ressources utilisé par les processus lors des pointes de charge
du système (utilisation du cœur, de la mémoire et de la bande passante de disque à
100 %).
Les processus et les utilisateurs sont affectés à des groupes PRM. Des cœurs et de la
mémoire dédiés sont ensuite alloués aux groupes PRM. Cela permet à la fois de dédier
des ressources aux groupes et d'empêcher les membres des groupes d'utiliser d'autres
ressources système.
Outils d'administration/configuration
Process Resource Manager peut être configuré à l'aide de HP System Management
Homepage ou à partir d'une série de commandes de gestion et de configuration PRM.
Comment l'obtenir
Process Resource Manager est fourni avec les environnements d'exploitation suivants
ou peut être acheté auprès d'un revendeur HP agréé :
• BOE - Base Operating Environment
Synthèse de la technologie
Workload Manager (WLM) est un outil de gestion de ressources automatique qui
permet de gérer les charges de travail en fonction d'objectifs. Une charge de travail est
un groupe de processus traités comme unité unique pour les besoins de l'allocation
des ressources. Par exemple, une application de base de données constituée de plusieurs
processus associés pourrait être considérée comme une charge de travail.
WLM procure une allocation des ressources et une gestion des performances
d'applications automatiques grâce à l'utilisation d'objectifs de niveau de service (SLO,
Service Level Objectives) classés par ordre de priorité. Vous pouvez gérer plusieurs
charges de travail à priorité de manière dynamique sur un serveur unique en fonction
de leurs niveaux de performances rapportés.
WLM définit les charges de travail tel que défini dans un fichier de configuration. Vous
affectez des applications et des utilisateurs à des groupes de charges de travail. WLM
alloue automatiquement des ressources de cœurs de traitement afin d'obtenir le SLO
voulu. WLM peut gérer la mémoire réelle et la bande passante de disque, mais pas en
réponse à des SLO. Avec la mémoire réelle, WLM vous permet de spécifier des limites
inférieures et supérieures sur la quantité de mémoire reçue par une charge de travail.
Vous pouvez affecter de manière statique des parts de bande passante de disque. Si
plusieurs utilisateurs ou applications d'une charge de travail sont en concurrence pour
des ressources, la gestion de ressources HP-UX standard détermine l'allocation des
ressources.
Outils d'administration/configuration
Workload Manager peut être configuré manuellement à l'aide d'un fichier de
configuration et de commandes WLM, de façon interactive à l'aide de l'assistant
configuration WLM, ou par le biais de l'interface utilisateur graphique WLM.
Comment l'obtenir
Workload Manager est disponible dans les environnements d'exploitation suivants ou
sous forme de produit autonome, que vous pouvez acheter auprès d'un revendeur
agréé HP :
• MCOE - Mission Critical Operating Environment
Synthèse de la technologie
Un ensemble de processeurs représente un ensemble de cœurs groupés en tant que domaine
de planification indépendant pour une utilisation par l'ordonnanceur HP-UX pour un
accès exclusif aux applications affectées à cet ensemble de processeurs. Les ensembles
de processeurs vous permettent d'isoler des applications à priorité élevée ou exigeantes
en ressources par rapport aux autres processus exécutés sur un serveur, ce qui procure
un meilleur contrôle de la planification des processus critiques. Les ensembles de
processeurs peuvent être créés et reconfigurés de manière dynamique par les utilisateurs
qui disposent des privilèges appropriés.
Outils d'administration/configuration
La commande psrset crée et gère les ensembles de processeurs.
Comment l'obtenir
La technologie PSET est incluse dans HP-UX 11i version 3.
Outils d'administration/configuration
Une série de commandes iCAP vous permet d'interagir avec HP-UX en vue d'ajuster
la capacité de traitement d'un serveur contenant du matériel iCAP. Les commandes
vous permettent d'entrer les mots de passe achetés pour activer vos droits d'exploitation
des processeurs secondaires, ou pour diminuer les ressources de traitement utilisées
afin d'économiser de l'argent.
Les commandes d'administration des ressources iCAP sont les suivantes :
icapmanage Commandes de gestion Global Instant Capacity (GiCAP) pour les
groupes GiCAP.
icapmodify icapmodify - Activer et désactiver des cœurs. Spécifier l'adresse de
messagerie de contact système. Modifier les informations de
configuration Instant Capacity (iCAP). Spécifier l'adresse de
messagerie d'expéditeur Instant Capacity. Spécifier l'identificateur
système. Spécifier la période d'avertissement de capacité temporaire.
Appliquer des mots de passe iCAP.
Équilibrage de la charge (un serveur multi-cœur, une instance de système d'exploitation) 35
icapstatus Afficher les informations de configuration et d'état Instant Capacity,
ainsi que le nombre, l'état et l'allocation des composants Instant
Capacity (cœurs, mémoire et cellules) pour un système Instant
Capacity.
icapnotify Tester la connectivité de messagerie à HP pour les systèmes Instant
Capacity (iCAP). Demander qu'un message de réponse de confirmation
soit envoyé par HP. Activer et désactiver la notification de modification
de configuration et la création de rapports d'immobilisations.
Comment l'obtenir
La capacité à obtenir des composants Instant Capacity fait partie du HP-UX Foundation
Operating Environment (et est par conséquent disponible dans tous les environnements
d'exploitation fondés sur le Foundation Operating Environment). Cependant, pour
pouvoir utiliser les technologies Instant Capacity, vous devez avoir acheté et installé
des composants sans droits d'exploitation à activer.
Moyen
Bas Élevé
Pay per use (PPU) est un produit qui vous permet de « payer selon votre
consommation ». Il s'agit d'un modèle de tarification dans lequel vous êtes facturé en
fonction de votre utilisation réelle des ressources informatiques.
Synthèse de la technologie
Avec Pay per use, vous gérez la capacité de traitement informatique comme l'électricité,
l'eau ou tout autre service de ce type. Vous faites l'acquisition d'une plate-forme
matérielle spécifique avec une certaines quantité de cœurs, et l'on vous facture votre
utilisation réelle en fonction d'un des contrats HP suivants :
• Pourcentage d'utilisation des cœurs (percent core)
• Nombre de cœurs actifs (active core)
Outils d'administration/configuration
Le programme Pay per use utilise un système dédié appelé Compteur d'utilitaires
(Utility Meter), configuré par HP.
Pour les serveurs que vous prévoyez d'utiliser avec Pay per use, vous devez configurer
un agent logiciel (l'Agent PPU) sur chaque partition (partitions logicielles et matérielles).
L'Agent PPU transmet les informations d'utilisation au Compteur d'utilitaires, qui à
son tour communique votre utilisation réelle à HP.
Un Compteur d'utilitaires peut servir jusqu'à 100 serveurs ou partitions exécutant
HP-UX 11i ou Windows Server 2003.
La plupart des tâches de configuration des composants Pay per use s'effectuent par le
biais de la commande ppuconfig. ppuconfig peut :
• Afficher les paramètres actuels
Comment l'obtenir
Pay per use est fourni avec le HP-UX Foundation Operating Environment et peut être
configuré par l'utilisateur sur tous les serveurs HP-UX. Toutefois, vous devez permettre
au système Pay per use de communiquer avec un Compteur d'utilitaires (un système
spécial qui doit être configuré par HP). Un Compteur d'utilitaires peut prendre en
charge plusieurs systèmes Pay per use (à l'heure actuelle, jusqu'à 100) ; il n'est donc
pas nécessaire de posséder un système Compteur d'utilitaires pour chaque système
Pay per use.
Serviceguard
Un cluster Serviceguard est un groupe de serveurs HP Integrity ou HP 9000 en réseau
(appelés nœuds Serviceguard) disposant d'une redondance logicielle et matérielle telle
qu'un point de défaillance unique ne perturbera pas le service de manière significative.
La capacité à continuer d'opérer malgré une défaillance logicielle ou matérielle fait des
clusters Serviceguard des clusters à disponibilité élevée.
Synthèse de la technologie
Lorsque vous configurez un cluster Serviceguard, vous définissez le plus de redondances
possibles, à la fois matérielles et logicielles. Afin de procurer le niveau de disponibilité
le plus élevé, Serviceguard opère en général conjointement avec d'autres produits de
disponibilité élevée tels que :
• MirrorDisk/UX
• VERITAS Volume Manager (VxVM)
• Baies de disques utilisant différents niveaux RAID
• Alimentations HP Powertrust (onduleurs)
Avec Serviceguard,vous configurez des packages (collections de processus d'applications
et HP-UX) sur les nœuds de votre cluster. Il existe trois types de packages Serviceguard :
Basculement Le type de package Serviceguard le plus courant est le
package de basculement. Un package de basculement est
installé sur plusieurs nœuds dans un cluster Serviceguard,
mais il s'exécute sur un seul nœud à la fois. Le nœud qui
exécute la copie principale du package de basculement
porte le nom de nœud principal. En cas de défaillance du
nœud principal, une copie du package sur un autre nœud
(appelé nœud adoptif) prend le relais avec peu ou pas
d'interruption de service, jusqu'à ce que le nœud principal
puisse être restauré. Vous pouvez définir plusieurs nœuds
adoptifs afin d'accroître la redondance.
Multi-nœud Les packages multi-nœuds s'exécutent (simultanément)
sur un ou plusieurs nœuds d'un cluster Serviceguard. Un
package multi-nœud peut être configuré de façon à
continuer de s'exécuter tant qu'au moins une copie du
Outils d'administration/configuration
Les clusters Serviceguard peuvent être configurés et gérés à l'aide de Serviceguard
Manager ou de commandes Serviceguard, y compris :
cmviewcl Afficher des informations concernant un cluster à disponibilité élevée
cmrunnode Exécuter un nœud dans un cluster à disponibilité élevée
cmhaltnode Arrêter un nœud dans un cluster à disponibilité élevée
cmruncl Exécuter un cluster à disponibilité élevée
cmhaltcl Arrêter un cluster à disponibilité élevée
Comment l'obtenir
Serviceguard est fourni avec le Mission Critical Operating Environment et avec divers
kits de virtualisation spécialisés. Pour plus d'informations, contactez votre représentant
commercial HP ou votre revendeur agréé HP.
Clusters métropolitains
Un cluster métropolitain est réparti géographiquement dans les confins d'une zone
métropolitaine exigeant des autorisations pour déposer du câblage pour des composants
réseau et de réplication de données redondants.
Parfois dénommé cluster métropolitain, ce type de cluster dessert une zone environ
équivalente à la taille d'une ville ou de plusieurs villes contiguës.
Clusters continentaux
Un cluster continental est un groupe de clusters qui utilisent des réseaux routés ou des
réseaux du service public pour la réplication des données et la communication de
cluster afin de prendre en charge le basculement de package entre différents clusters
dans différents centres de données. Les clusters continentaux sont souvent situés dans
différentes villes ou différents pays et peuvent s'étaler sur des centaines, voire des
milliers de kilomètres.
ou
REMARQUE : Cette capacité d'amorçage multiple fonctionne tout aussi bien pour les
serveurs ayant plusieurs cœurs actifs. Il est présentée ici car il s'agit d'une fonctionnalité
disponible pour les serveurs contenant un seul cœur actif.
nPartition 1 nPartition 2
Le partitionnement matériel s'obtient au niveau de la carte de cellule, à l'aide d'une
technologie HP nommée nPartitions.
Implémenté sur des serveurs (Integrity et PA-RISC) qui prennent en charge plusieurs
cartes de cellules, le partitionnement matériel isole (à la fois logiquement et
électriquement) plusieurs instances de système d'exploitation. Autrement dit, les cartes
de cellules, les cœurs, les cartes d'E/S et la mémoire affectés à une partition matérielle
sont accessibles uniquement au système d'exploitation exécuté sur cette partition.
En cas de problème au niveau du système d'exploitation, des logiciels ou même du
matériel d'une partition, les systèmes d'exploitation et les logiciels exécutés sur d'autres
partitions ne sont pas affectés.
Principales fonctionnalités du partitionnement matériel Les principales fonctionnalités
du partitionnement matériel sont les suivantes :
• Implémenté au niveau des cartes de cellules.
• Fournit un isolement à la fois fonctionnel et électrique.
• Les partitions portent le nom de nPartitions.
• Les nPartitions peuvent être sous-divisées à l'aide du Partitionnement logiciel.
• Sur les serveurs qui les prennent en charge, les nPartitions peuvent exécuter HP-UX,
Linux, Microsoft Windows ou tous ces systèmes d'exploitation (sur des partitions
distinctes).
nPartition 1 nPartition 2
Plate-forme matérielle
sftp, scp Copie sécurisée de fichiers entre des systèmes d'exploitation en réseau
Le noyau HP-UX
Le noyau est la partie centrale du système d'exploitation HP-UX ; tout ce qui évolue
autour en dépend et interagit avec. Lorsque vous démarrez (amorcez) HP-UX, c'est le
noyau qui est copié à partir du disque vers la mémoire par le programme de chargement
et initié.
Le noyau est constitué de nombreux sous-composants. Dans le cas d'un noyau HP-UX,
ces sous-composants portent les noms de modules de noyau et paramètres ajustables
de noyau.
Modules de noyau
Les modules du noyau sont des sections de code noyau dédiées à des fonctions
spécifiques, telles que la gestion de la mémoire, les pilotes de classes ou les pilotes
d'interfaces.
Le noyau HP-UX 49
• déterminer si des modules requièrent un réamorçage pour pouvoir être ajoutés
ou supprimés du noyau,
• modifier l'état d'un module, soit immédiatement (si cela est pris en charge par le
module), soit lors du prochain amorçage.
Pour plus de détails sur la configuration du noyau, voir : « Configuration du noyau »
dans le Guide de l'administrateur système HP-UX : Gestion de la configuration.
man
cat.1
Utilisations du stockage
Dans le système d'exploitation HP-UX, le stockage peut être utilisé de nombreuses
manières :
• Fichiers et répertoires stockés localement dans des systèmes de fichiers
• Bases de données stockées sur des volumes de disques au format brut (gérées par
l'application de base de données plutôt que par HP-UX) pour plus de rapidité
• Espace d'échange (utilisé par HP-UX à des fins de pagination)
• Espace de vidage (utilisé pour capturer l'état de HP-UX suite à une panique système
ou autre événement significatif)
Organisation du stockage
Comme la mise en réseau et beaucoup d'autres sous-systèmes de l'environnement
informatique, le stockage se compose de nombreuses couches, allant des périphériques
physiques aux applications qui lisent et écrivent des données sur ces périphériques.
Collectivement, ces couches portent le nom de pile de stockage.
Les sections suivantes traitement des différents composants de la pile de stockage
HP-UX.
Gestionnaires de volumes
Les lecteurs de disques physiques peuvent être utilisés en mode autonome (autrement
dit, ils peuvent être partitionnés, formatés avec un système de fichiers, utilisé pour la
pagination ou utilisé par des applications de base de données comme unités de
stockage). Toutefois, ils sont généralement groupés en réserves d'espace qui peuvent
ensuite être divisées en conteneurs de stockage logique. Ces conteneurs (appelés
volumes ou volumes logiques, selon le gestionnaire de volumes que vous utilisez) ne
sont pas tenus de respecter les limites des lecteurs physiques du groupe. Autrement
dit, ils peuvent chevaucher plusieurs périphériques physiques.
Les gestionnaires de volumes vous permettent de diviser et d'allouer ces réserves
d'espace en conteneurs de stockage logiques.
Les réserves d'espace portent le nom de groupes de volumes dans Logical Volume Manager
(LVM) et de groupes de disques dans VERITAS Volume Manager (VxVM).
Les conteneurs de stockage logiques portent le nom de volumes logiques dans LVM ou
simplement volumes dans VxVM. Pour les applications, les systèmes de fichiers et les
bases de données, ces volumes semblent être des disques physiques et sont traités
comme tels.
HP-UX 11i version 3 prend en charge les gestionnaires de volumes suivants :
LVM Logical Volume Manager (LVM) est décrit en détail dans le manuel Guide de
l'administrateur système HP-UX : Gestion des volumes logiques. LVM est le
gestionnaire de volumes par défaut pour HP-UX 11i.
VxVM VERITAS Volume Manager (VxVM) offre de nombreuses fonctionnalités, dont
certaines ne sont pas disponibles avec LVM ou MirrorDisk/UX (le produit
REMARQUE : Les réserves d'espace portent le nom de groupes de volumes dans Logical
Volume Manager et de groupes de disques dans VERITAS Volume Manager.
Les deux gestionnaires de volumes peuvent coexister sur un serveur. Chaque
gestionnaire de volumes assure le suivi des disques qu'il contrôle et tout disque physique
donné ne peut être contrôlé que par un gestionnaire à la fois. L'utilitaire vxvmconvert
peut convertir un volume physique LVM en disque VxVM si vous souhaitez migrer
un disque de LVM vers VxVM pour une flexibilité de configuration accrue.
Obtention... LVM est fourni avec HP-UX 11i Consultez les Notes de mise à jour
version 3 Foundation Operating d'HP-UX 11i version 3 pour vérifier
Environment si VERITAS Volume Manager est
fourni avec votre environnement
d'exploitation
Les données utilisateur au sein Étendues physiques (blocs Sous-disques (de taille arbitraire, les
des volumes (logiques) sont d'espace disque de taille fixe, sous-disques représentent un
allouées à l'aide de... dont la taille doit être identique ensemble de blocs de disques,
pour tous les volumes physiques alloués à partir des disques VERITAS
d'un groupe de volumes donné) Volume Manager dans un groupe de
disques)
Les informations de Une zone réservée spéciale au Une zone spéciale appelée « région
configuration de volumes et de début de chaque volume privée » de chaque volume physique.
groupes de volumes sont physique
stockées dans...
Miroirs (copies de données) Vous devez ajouter le produit Les miroirs sont constitués de plexes,
MirrorDisk/UX à votre système chacun étant une copie du volume
afin de prendre en charge la mis en miroir. La version de base de
mise en miroir. Mirrordisk/UX VERITAS Volume Manager vous
prend en charge jusqu'à trois permet de mettre en miroir votre
copies de données si vous système de fichiers racine
utilisez LVM avec des groupes (uniquement).
de volumes de version 1, et Comme LVM, VERITAS Volume
jusqu'à six copies de données si Manager requiert une licence
vous utilisez LVM avec des supplémentaire pour prendre en
groupes de volumes de charge la mise en miroir (au-delà de
version 2. celle de votre système de fichiers
racine), mais avec la licence
supplémentaire VxVM prend en
charge jusqu'à 32 copies de vos
données.
Volumes (logiques)
Une fois que vous avez groupé des lecteurs de disques physiques en groupes de
volumes/disques, l'espace collectif peut être divisé en conteneurs de stockage logiques
qui peuvent être plus petits ou plus grands que chacun des lecteurs du groupe. Ces
conteneurs de stockage logiques portent le nom de :
• volumes si vous utilisez Veritas Volume Manager (VxVM)
ou
• volumes logiques si vous utilisez Logical Volume Manager (LVM)
Une fois définis, les volumes ou volumes logiques peuvent être utilisés pour :
• l'amorçage (ils peuvent contenir des programmes de chargement, des diagnostics
hors connexion et d'autres logiciels nécessaires à des fins d'administration de
serveur)
• les systèmes de fichiers (stockage de fichiers traditionnel)
• l'espace d'échange (mémoire virtuelle / pagination)
• l'espace de vidage (vidages mémoire suite à une panique du système)
• l'accès aux disques bruts (pour une utilisation par des applications de base de
données et d'autres applications qui gèrent leur propre espace disque)
La taille des volumes logiques peut être augmentée ou réduite selon les besoins (si les
données qu'ils contiennent prennent en charge ces opérations).
✔
système de
fichiers ou
lvol1 lvol2
base de
données
✘
Entrelacement de disques
L'entrelacement de disques répartit les données sur plusieurs périphériques physiques
de telle manière que des écritures successives ont lieu sur différents périphériques. De
cette façon, le deuxième bloc de données à écrire n'est pas obligé d'attendre que le
périphérique écrivant le premier bloc ait terminé. En gros, si vous avez n périphériques
entrelacés, vous pouvez écrire n blocs de données simultanément (ou presque) sans
avoir à attendre que des périphériques soient prêts pour les données ultérieures.
L'entrelacement peut être effectué au niveau périphérique si vous utilisez une baie de
disques, une baie RAID ou autre matériel qui prend en charge les opérations RAID.
D'autres types d'entrelacement de disques peuvent être effectués par LVM ou par
VERITAS Volume Manager (VxVM). Pour plus d'informations sur l'obtention de
REMARQUE : Tous les périphériques ne prennent pas en charge tous les niveaux
RAID. Consultez la documentation matérielle de vos baies de disques, baies RAID,
lecteurs de disques ou autre équipement de stockage pour plus d'informations sur les
niveaux RAID pris en charge par vos périphériques.
Établissement de chemins d'accès multiples vers un périphérique (pour une efficacité accrue)
À compter de HP-UX 11i version 3, HP-UX 11i prend en charge le multichemin de
périphérique, une nouvelle technologie qui associe des fichiers de périphériques à des
périphériques au moyen d'ID de périphériques uniques plutôt que du chemin d'accès
matériel aux périphériques. Cela signifie qu'un même fichier de périphérique peut représenter
plusieurs chemins d'accès matériels vers un périphérique donné, ce qui, combiné à un matériel
qui possède plusieurs ports (prenant en charge plusieurs connexions physiques), génère
non seulement des chemins d'accès redondants vers le périphérique, mais également
une bande passante d'E/S plus élevée. HP-UX 11i version 3 peut équilibrer
automatiquement la charge parmi plusieurs connexions physiques vers un périphérique,
améliorant ainsi l'efficacité des E/S.
Pour plus d'informations sur le multichemin de périphérique, voir « Adressage du
stockage » (page 67).
REMARQUE : Tous les périphériques ne prennent pas en charge tous les niveaux
RAID. Consultez la documentation matérielle de vos baies de disques, baies RAID,
lecteurs de disques ou autre équipement de stockage pour plus d'informations sur les
niveaux RAID pris en charge par vos périphériques.
Sauvegardes de données
À tout moment, des données peuvent être copiées à l'aide de certains utilitaires. La
destination des copies de données peut être un support amovible pouvant être stocké
hors site ou expédié vers un autre lieu pour plus de sécurité. Les supports amovibles
pouvant être utilisés pour les sauvegardes sont les suivants :
• autres disques
• bandes magnétiques
— DLT
— DDS
• disques optiques
— DVD enregistrables
— CD enregistrables
— bibliothèques de disques magnéto-optiques
Vous pouvez même sauvegarder des fichiers dans un fichier sur un autre disque (comme
dans le cas d'une archive tar).
Adressage du stockage
Les différents composants qui forment la pile de stockage HP-UX sont adressés de
différents manières :
Système de fichiers Une fois créé, un système de fichiers est généralement adressé par son point
de montage, le répertoire dans l'arborescence HP-UX qui représente la racine
des fichiers dans ce système de fichiers.
Accès RAW Tous les volumes logiques / physiques ne contiennent pas des systèmes de
fichiers. Voici d'autres exemples d'utilisation de ces volumes :
• espace d'échange
• espace de vidage
• espace de base de données géré
Les espaces d'échange et de vidage sont gérés par le noyau, et l'espace de base
de données géré est généralement géré par l'application de base de données.
Volumes (logiques) Les conteneurs logiques alloués à partir d'espace dans un groupe de volumes
ou un groupe de disques sont adressés par leur nom de volume. Ces volumes
étant des lecteurs de disques du point de vue du système d'exploitation, ils
sont associés à des fichiers de périphériques.
Les volumes logiques LVM ont des fichiers de périphériques avec des noms
au format suivant :
• /dev/vgxx/lvoln
• /dev/vgxx/rlvoln
où xx représente le groupe de volumes auquel appartient le volume logique,
et n représente le numéro de volume logique au sein de ce groupe de volumes.
Le répertoire lvoln contient les fichiers spéciaux de périphériques en mode
bloc et le répertoire rlvoln contient les fichiers spéciaux de périphériques
en mode caractère.
Les volumes VxVM ont des fichiers de périphériques avec des noms au format
suivant :
• /dev/vx/dsk/nom_groupe_disques/volnn
• /dev/vx/rdsk/nom_groupe_disques/volnn
où nom_groupe_disques est le nom affecté au groupe de volumes associé
aux fichiers de périphériques et n représente le numéro de volume.
Groupes de disques / Les groupes de volumes LVM ont des noms, généralement de la forme « vgnn »
volumes (où nn représente le numéro de groupe de volumes). Le groupe de volumes
qui contient le système de fichiers racine (si celui-ci est contenu dans un volume
logique LVM) est vg00.
Si vous utiliez VERITAS Volume Manager (et que votre système de fichiers
racine est contenu dans un volume VxVM), le groupe de disques VxVM racine
se nomme en général rootdg 1.
Disques physiques Les blocs de construction élémentaires des groupes de volumes LVM et des
groupes de disques VxVM sont les lecteurs de disques physiques.
/dev/disk:
total 0
brw-r----- 1 bin sys 1 0x000000 Aug 10 16:26 disk2
brw-r----- 1 bin sys 1 0x000001 Aug 10 16:26 disk3
brw-r----- 1 bin sys 1 0x000002 Sep 20 17:27 disk4
brw-r----- 1 bin sys 1 0x000003 Sep 20 17:27 disk5
/dev/dsk:
total 0 Numéro majeur
brw-r----- 1 bin sys 31 0x006000 Aug 10 16:26 c0t6d0
brw-r----- 1 bin sys 31 0x026000 Aug 10 16:26 c2t6d0
/dev/rdisk:
total 0
crw-r----- 1 bin sys 11 0x000000 Aug 10 16:26 disk2
Numéro mineur
crw-r----- 1 bin sys 11 0x000001 Sep 20 16:03 disk3
crw-r----- 1 bin sys 11 0x000002 Sep 20 17:27 disk4
crw-r----- 1 bin sys 11 0x000003 Sep 20 17:27 disk5
/dev/rdsk:
total 0 Nom de fichier
crw-r----- 1 bin sys 188 0x006000 Aug 10 16:26 c0t6d0
crw-r----- 1 bin sys 188 0x026000 Aug 10 16:26 c2t6d0
b = fichier spécial de périphérique en mode bloc
c = fichier spécial de périphérique en mode caractère
Vous pouvez afficher, sous forme plus lisible, les informations contenues dans le fichier
spécial de périphérique à l'aide de la commande /usr/sbin/lssf. Par exemple :
# /usr/sbin/lssf /dev/rdsk/*
sdisk card instance 0 SCSI target 6 SCSI LUN 0 section 0 at address 0/0/0/2/0.6.0
/dev/rdsk/c0t6d0sdisk card instance 2 SCSI target 6 SCSI LUN 0 section 0 at
address 0/0/0/3/0.6.0 /dev/rdsk/c2t6d0
# /usr/sbin/lssf /dev/disk/*
esdisk section 0 at address 64000/0xfa00/0x0 /dev/disk/disk2 esdisk section 0 at
address 64000/0xfa00/0x1 /dev/disk/disk3
La commande /usr/sbin/ioscan fournit également des informations de chemins
d'accès matériel concernant les périphériques sur votre système :
Voici la vue héritée des lecteurs de disques sur un système :
# /usr/sbin/ioscan -C disk
H/W Path Class Description
=====================================================
0/0/0/2/0.6.0 disk HP 36.4GMAN3367MC
0/0/0/3/0.6.0 disk HP 36.4GMAN3367MC
Voici la vue agile des mêmes lecteurs de disques (indiquant les chemins d'accès matériels
de LUN plutôt que les chemins d'accès matériels réels) :
Multichemin
Chaque LUN peut avoir jusqu'à 32 chemins d'accès d'E/S physiques. HP-UX11i version3
découvre et configure automatiquement les nouveaux chemins d'accès d'E/S physiques
à un LUN et équilibre le flux des données sur les différents chemins d'accès vers un
périphérique donné à l'aide d'un des algorithmes d'équilibrage de la charge suivants :
closest_path Cette stratégie d'équilibrage de la charge sélectionne un LUN
en fonction de son affinité avec le cœur de processeur qui émet
l'E/S, ce qui minimise la latence.
cl_round_robin Cette stratégie d'équilibrage de la charge est applicable aux
plates-formes HP basées sur cellules. Les chemins d'accès de
LUN sont sélectionnés de manière cyclique dans la localité du
processeur sur lequel l'E/S a été initiée, afin de garantir
l'optimisation les latences d'accès mémoire.
least_cmd_load Dirige les demandes d'E/S vers le chemin d'accès matériel ayant
le moins de demandes d'E/S en attente.
round_robin Dirige les demandes d'E/S vers les différents chemins d'accès
matériels disponibles de manière cyclique.
path_lockdown Dirige les demandes d'E/S vers un seul chemin d'accès matériel ;
plus spécifiquement, le chemin d'accès ayant le moins de
demandes d'E/S en attente lorsque le périphérique est ouvert.
Il s'agit de l'algorithme d'équilibrage de la charge par défaut
pour les périphériques série (par exemple les lecteurs de bandes).
preferred_path Le chemin d'accès d'E/S défini dans l'attribut preferred_path est
utilisé de préférence pour le transfert d'E/S. Si ce chemin d'accès
d'E/S est indisponible ou si l'attribut preferred_path n'a pas été
défini, un autre chemin d'accès est sélectionné pour le transfert
d'E/S. Cette stratégie est utile pour certaines baies de disques,
qui peuvent subir une dégradation des performances si des E/S
sont transférées simultanément à un LUN par le biais de
plusieurs chemins d'accès d'E/S.
pref_tport Cette stratégie d'équilibrage de la charge sélectionne des chemins
d'accès de LUN dans une liste de chemins préférés, à moins
qu'aucun d'eux ne soit disponible (ou défini), auquel cas d'autres
chemins d'accès de LUN sont sélectionnés.
REMARQUE : Tous les périphériques ne prennent pas en charge toutes les stratégies
d'équilibrage de la charge. Le type de périphérique détermine laquelle des stragégies
ci-dessus vous pouvez utiliser. Pour plus de détails, voir les pages de manuel suivantes :
• scsimgr(1M)
• scsimgr_eschgr(7)
• scsimgr_esdisk(7)
• scsimgr_estape(7)
HP-UX peut aussi rééquilibrer automatiquement les charges sur les chemins d'accès
aux données restants vers un LUN en cas de défaillance d'un ou plusieurs de ces
chemins d'accès.
0/2/1/0.0x50001fe1500170ac.0x4017000000000000
64000/0xfa00/0x22
3. Dans certains cas, le nouveau matériel est découvert et les fichiers de périphériques spéciaux persistants
associés sont créés automatiquement, avant même l'exécution de la commande ioscan. Toutefois, si
vous avez du nouveau matériel sans fichiers de périphériques spéciaux associés, la commande insf
peut les créer pour vous.
Échange de périphérique
L'espace d'échange est affecté initialement lors de la configuration des disques. L'espace
d'échange de périphérique occupe un volume logique ou une partition de disque réservé
en général à seule fin de pagination. Cet espace peut également être configuré comme
zone de vidage, bien que cela ait des implications pour l'intégrité du vidage mémoire
en cas de blocage. Voir « Utilisation d'un périphérique pour la pagination et le vidage
(durée de reprise du système) » (page 112). Le périphérique étant utilisé exclusivement
pour la pagination lorsque HP-UX s'exécute, vous ne pouvez pas y stocker de fichiers.
Pseudo-échange
Le pseudo-échange est très différent de l'espace d'échange de périphérique ou de
l'espace d'échange de système de fichiers. Il s'agit d'une des technologies qui vous
permettent d'utiliser de manière plus efficace les ressources de votre système.
L'« espace » de pseudo-échange n'existe pas réellement ; HP-UX se comporte simplement
comme s'il disposait d'une quantité supplémentaire d'espace d'échange. Le
pseudo-échange tire parti du fait que tout l'espace d'échange réservé n'est pas réellement
Échange différé
L'échange différé est une autre technologie qui tire parti du fait que tout l'espace d'échange
réservé n'est pas réellement utilisé. La fonctionnalité d'échange différé fait en sorte que
HP-UX ne réserve pas d'espace d'échange pour une page spécifique à un processus tant
que le processus associé n'a pas modifié la page. Cela peut réduire de manière
significative la quantité d'espace d'échange alloué.
L'échange différé est configuré processus par processus. L'échange différé peut être
activé par programmation ou en modifiant manuellement un fichier exécutable binaire
à l'aide de l'option +z de la commande chatr. Pour plus de détails, voir la page de
manuel chatr(1).
4. L'échange principal n'est pas obligatoire si le pseudo-échange est activé, mais il est toutefois fortement
recommandé.
Volume d'échange
Échange de système dédié
de fichiers
Périphérique Échange de périphérique
d'échange dédié (fin de périphérique)
/opt
Échange
lvol1
lvol3
Si vous savez ou suspectez que vous allez devoir procéder à l'augmentation (ou à la
diminution) de l'espace d'échange, il vous faut estimer la quantité requise.
Vous pouvez estimer la quantité d'espace d'échange nécessaire en ajoutant les exigences
de mémoire des applications que vous prévoyez d'exécuter (simultanément) sur le
système à la quantité de mémoire physique dont vous disposez.
Impression
L'impression sur HP-UX s'effectue par le biais d'un sous-système nommé Système de
spoulage d'imprimante ligne HP-UX.
Impression 87
• Soumettre des demandes d'impression à des utilitaires de spoulage sur des systèmes
distants (impression à distance de travaux locaux)
• Accepter des demandes d'impression provenant d'utilitaires de spoulage sur des
systèmes distants (impression locale de travaux distants)
• Annuler des travaux d'impression soumis antérieurement
Pour comprendre le flux de données à travers l'utilitaire de spoulage, comparez-le à
une installation de tuyauterie (voir la Figure 3-7 (page 89)). Les données sous la forme
de demandes d'impression (travaux d'impression) pénètrent le système comme l'« eau »
dans l'installation de tuyauterie. Des répertoires appelés files d'attente d'impression
servent de bacs de retenue temporaires pour les demandes d'impression en attente
d'envoi vers l'imprimante. Les files d'attente d'impression et l'ordonnanceur contrôlent
le flux des travaux d'impression aux imprimantes définies :
L'acceptation, le rejet, l'activation ou la désactivation des demandes d'impressions
contrôle les données circulant à travers l'utilitaire de spoulage, exactement comme des
vannes contrôlent l'écoulement d'eau dans une installation d'alimentation réelle.
• les commandes accept et reject contrôlent le flux des demandes d'impression into
dans les files d'attente d'impression.
• les commandes enable et disable contrôlent le flux des demandes d'impression sortant
des files d'attente d'impression.
En fonction de l'état des différentes files d'attente et imprimantes, l'ordonnanceur
d'imprimante ligne (nommé lpsched) accepte les demandes d'impression entrantes
en les acheminant vers les files d'attente d'impression ; et il fonctionne comme contrôleur
de flux automatisé dans l'installation de « plomberie », acheminant les demandes
d'impression des files d'attente d'impression vers les imprimantes physiques sur le
principe du 'premier entré-premier sorti' (tout en tenant compte de la priorité des
demandes d'impression et des imprimantes).
Les fichiers d'interfaces (écrits sous la forme de scripts de shell), à l'extrémité du flux de
données, jouent le rôle de pompes effectuant le « pompage » régulier du flux de données
vers les imprimantes.
L'ordonnanceur d'imprimantes ligne :
• empêche le mélange des sorties imprimées ;
• contrôle les priorités des imprimantes/demandes d'impression ;
• ajuste l'état des imprimantes et leur disponibilité ;
• enregistre l'activité de l'utilitaire de spoulage dans un fichier journal.
Si le flux dirigé vers une imprimante « est bloqué », il est possible de réacheminer une
demande d'impression de cette imprimante vers une autre au moyen de la commande
lpmove. Il est par ailleurs possible d'« éliminer » les données superflues du système
de spoulage au moyen de la commande cancel.
Spoulage à distance
Vous pouvez également transmettre des demandes d'impression à une imprimante
configurée sur un système distant, en recourant au spoulage à distance. Dans ce cas, un
script de shell (« pompe ») transmet les données au système distant via la commande
rlp.
Un programme de spoulage à distance (un démon nommé rlpdaemon), exécuté sur
le système distant, reçoit les données et les oriente vers l'utilitaire de spoulage du
système distant. rlpdaemon s'exécute également sur votre système local ; c'est lui qui
reçoit les demandes en provenance des systèmes distants. Le spoulage à distance
s'exécute par le biais de communications entre les utilitaires de spoulage local et distant.
Impression 89
Si certains de vos systèmes disposent d'imprimantes configurées et d'autres non (et
que tous les systèmes sont en réseau), il est possible de procéder au partage des
imprimantes disponibles. Pour cela, configurez les utilitaires de spoulage des systèmes
sans imprimante de façon qu'ils envoient automatiquement les travaux d'impression,
par le biais du réseau local, vers l'utilitaire de spoulage d'un système équipé d'une
imprimante.
Le démon rlpdaemon s'exécute en arrière-plan du système d'imprimantes. Il gère le
trafic réseau entrant dans le cas des demandes d'impression générées à distance par
d'autres systèmes. Ces demandes sont soumises à l'utilitaire de spoulage par le démon
rlpdaemon au nom de l'utilisateur distant.
Outre les demandes d'impression à distance, le démon rlpdaemon traite également
les demandes d'annulation et d'états en provenance des systèmes distants, au moyen
de scripts d'interface spéciaux très similaires aux scripts d'interface d'impression.
La configuration d'une imprimante distante dans votre utilitaire de spoulage exige la
définition des paramètres suivants, en plus de ceux définis pour une imprimante locale :
• Nom du système équipé de l'imprimante
• Script d'interface à utiliser lors de l'émission d'une demande d'annulation à distance
• Script d'interface à utiliser lors de l'émission d'une demande d'état à distance
• Nom de l'imprimante, défini dans l'utilitaire de spoulage du système distant
Pour configurer le spoulage à distance, voir le manuel intitulé Guide de l'administrateur
système HP-UX : Gestion de la configuration.
Impression réseau
Le concept d'impression réseau fait référence à l'impression sur une imprimante
directement connectée au réseau, généralement par le biais d'une carte d'interface
HP JetDirect ou d'une connectivité réseau intégrée. L'impression réseau diffère du
spoulage à distance, dans le sens où un autre ordinateur est concerné.
5. Car tout ce qui se trouve sous le point de montage /usr est supposé être traité comme en lecture seule
et le contenu du répertoire d'interface est supposé être modifiable. Voir /usr dans la section Principaux
répertoires HP-UX.
Impression 91
Types d'imprimantes
Une imprimante locale est reliée physiquement à votre système. Pour configurer une
imprimante locale, reportez-vous au document Guide de l'administrateur système HP-UX :
Gestion de la configuration (Chapitre 6 : Configuration des imprimantes).
Une imprimante distante peut être reliée physiquement ou simplement configurée sur
un ordinateur et utilisée en réseau. Pour accéder à l'imprimante distante, votre système
doit envoyer des demandes vers un autre système par le biais du réseau. Pour configurer
une imprimante distante dans votre utilitaire de spoulage local, vous devez pouvoir
accéder au système distant par le biais du réseau. Pour configurer une imprimante
distante, reportez-vous au document Guide de l'administrateur système HP-UX : Gestion
de la configuration (Chapitre 6 : Configuration des imprimantes).
Une imprimante réseau diffère d'une imprimante distante en ce qu'elle est reliée
directement au réseau local plutôt qu'à un serveur. Les imprimantes réseau n'utilisent
pas de fichiers spéciaux de périphériques, mais possèdent leur propre adresse IP et
identification LANIC. Pour configurer une imprimante réseau, reportez-vous au
document Guide de l'administrateur système HP-UX : Gestion de la configuration (Chapitre 6 :
Configuration des imprimantes).
Nom d'imprimante
Lors de la configuration d'une imprimante dans l'utilitaire de spoulage, vous lui affectez
un nom d'imprimante, utilisé pour adresser les demandes d'impression. Un nom
d'imprimante peut avoir jusqu'à 256 caractères alphanumériques, mais pour des raisons
de compatibilité avec d'autres sous-systèmes qui interagissent avec l'utilitaire de
spoulage il est préférable de ne pas utiliser plus de 14 caractères. Les noms
d'imprimantes peuvent inclure des caractères de soulignement. Les noms qui suivent
sont des noms d'imprimantes valides : laser1, letterhead, invoices,
check_printer. Les noms d'imprimantes affectés sont affichés dans le répertoire
/usr/spool/lp/interface. Chaque fichier de ce répertoire est une copie du fichier
de modèle (script d'interface d'imprimante) servant à effectuer l'impression sur une
imprimante donnée.
Classe d'imprimante
Vous pouvez utiliser efficacement plusieurs imprimantes en les groupant comme si
elles formaient une imprimante unique. Pour cela, vous devez créer une classe
d'imprimantes. Une classe d'imprimantes est un nom collectif correspondant à un groupe
d'imprimantes. Cette classe est stockée dans le répertoire /usr/spool/lp/class.
Par exemple, les exemples d'imprimantes laser1 et letterhead pourraient appartenir
à une classe d'imprimantes nommée « VIP », tandis que les imprimantes nommées
invoices et check_printer pourraient appartenir à une classe d'imprimantes
nommée « Comptabilité ». Une imprimante peut appartenir à plusieurs classes ; en
revanche, les imprimantes distantes ne peuvent pas appartenir à une classe
Destination d'impression
La destination d'impression est l'imprimante ou la classe d'imprimantes où un fichier
contenant le travail d'impression sera mis en file d'attente. Plusieurs commandes de
l'utilitaire de spoulage requièrent de spécifier la destination d'impression. Vous pouvez
définir une destination d'impression comme imprimante système par défaut. Chaque
utilisateur peut également personnaliser son imprimante par défaut en définissant un
environnement de shell nommé LPDEST. Lorsque LPDEST est défini dans
l'environnement d'un utilisateur, l'imprimante représentée par cette variable est
prioritaire par rapport à l'imprimante système par défaut.
Impression 93
d'affecter aux travaux d'impression des valeurs de priorité permettant d'augmenter ou
de réduire leur niveau de priorité, en utilisant l'option p de la commande lp. Ces
valeurs de priorité vont de 0 à 7, cette dernière étant la plus élevée. Pour plus de détails,
voir lp(1).
Il est possible de modifier une priorité de demande d'impression au moyen de la
commande lpalt. La priorité de demande par défaut d'une imprimante peut être
définie à l'aide de la commande lpadmin. Pour plus de détails, voir lpadmin(1M) et
lpalt(1).
Si plusieurs demandes d'impression de haut niveau de priorité sont en attente sur une
imprimante, celle-ci les traite par ordre de priorité à partir de la plus élevée. Si plusieurs
demandes d'impression bénéficient du même niveau de priorité, elles sont traitées dans
l'ordre de réception par l'utilitaire de spoulage.
Il est également possible d'affecter une limite inférieure de priorité à chaque imprimante
(priorité minimale que doit avoir une demande d'impression pour être traitée sur cette
imprimante). Cette priorité de base est utilisée pour déterminer la demande
d'impression traitée ; si la priorité est supérieure ou égale à cette limite inférieure, la
demande est traitée. L'idée sous-jacente consiste à réduire la limite en dehors des heures
de pointe, par exemple à l'aide de scripts crontab. Pour plus d'informations, voir
crontab(1M) et cron(1M). Cela permettrait à des travaux d'impression de faible priorité
soumis durant la journée d'être imprimés dans la soirée une fois la limite de priorité
abaissée. Pour plus de détails, voir lpadmin(1M) et lpfence(1M).
Journal d'impression
Chaque demande traitée par le système de spoulage est consignée dans un fichier
journal situé dans /usr/spool/lp/log. Ce fichier contient un enregistrement de
chaque demande traitée par l'utilitaire de spoulage : ID de la demande, nom de
l'utilisateur, nom de l'imprimante, heure, messages d'erreurs et réimpressions après
échec.
Impression 95
cancel Annule les demandes d'impression en file d'attente ou en cours
d'impression.
accept Autorise l'envoi de nouvelles demandes d'impression à une file d'attente
d'impression (associée à une imprimante ou une classe).
reject Interdit l'envoi de nouvelles demandes d'impression à une file d'attente
d'impression (associée à une imprimante ou une classe).
enable Autorise l'impression des demandes d'impression en file d'attente sur
l'imprimante spécifiée.
disable Empêche l'impression les demandes d'impression en file d'attente sur
l'imprimante spécifiée. Si la file d'attente associée à l'imprimante accepte
encore de nouvelles demandes, les demandes s'accumuleront dans la file
d'attente jusqu'à ce que l'imprimante soit réactivée. Si la file d'attente est
associée à une classe et que d'autres imprimantes de la classe sont encore
activées, la désactivation d'une imprimante spécifique empêche
l'impression sur cette imprimante uniquement. Les demandes d'impression
parvenant dans la file d'attente de classe seront toujours imprimées sur
les autres imprimantes actives de la classe.
REMARQUE : Même si un système client est configuré pour utiliser LDAP-UX et ses
Services de configuration d'imprimante, un administrateur système peut configurer
manuellement des imprimantes dans l'utilitaire de spoulage du client.
6. Ces technologies de sécurité sont également disponibles dans HP-UX 11i version 2. Pour plus
d'informations sur les différences entre le mode standard et le mode protégé, voir « Protection contre
l'accès non autorisé à vos serveurs et données » (page 143).
Informations complémentaires
Pour plus d'informations sur les fonctionnalités de confinement de sécurité améliorées
présentées ci-dessus, reportez-vous aux ressources suivantes :
• Guide de l'administrateur système HP-UX : Gestion de la sécurité
• HP-UX 11i Security Containment Administrators Guide
• Page de manuel privileges(5)
Démarrage et arrêt
Dès la mise sous tension (ou la réinitialisation) de votre ordinateur, il est nécessaire de
procéder, dans l'ordre, à l'initialisation du matériel, du micrologiciel et du logiciel. Ce
processus est nommé séquence d'amorçage. Une séquence similaire, nommée séquence
d'arrêt, fait référence à la séquence ordonnée d'étapes nécessaires pour arrêter HP-UX.
La séquence d'arrêt permet de s'assurer que tous les processus en cours d'exécution
sont arrêtés correctement et qu'aucune des données en mémoire qui doivent être écrites
sur disque n'est perdue lors de l'arrêt du système d'exploitation et la mise hors tension
du serveur.
Niveaux d'exécution
Lorsque HP-UX (ou tout autre système d'exploitation) est sous tension et en cours
d'exécution, on dit qu'il est amorcé. Lorsque HP-UX n'est pas en cours d'exécution, on
dit qu'il est arrêté. HP-UX, comme la plupart des systèmes d'exploitation UNIX, a
différents niveaux d'état « amorcé » nommés niveaux d'exécution Lorsque HP-UX démarre
ou s'arrête, il passe par les différents niveaux d'exécution jusqu'à atteindre son niveau
cible. Les différents niveaux d'exécution déterminent quels aspects de HP-UX
s'exécutent.
Au moment de l'amorçage, un démon nommé init est démarré. Son principal rôle
consiste à créer des processus à partir d'un script stocké dans le fichier /etc/inittab
(voir inittab(4)). Le fichier /etc/inittab est l'un des mécanismes utilisés pour
configurer les aspects de HP-UX qui s'exécutent à un niveau d'exécution donné. Le
fichier inittab peut également spécifier le niveau d'exécution initial auquel le système
sera amorcé.
La liste suivante décrit les caractéristiques générales de chaque niveau d'exécution
HP-UX :
REMARQUE : Tels que décrits dans la liste ci-dessus, les niveaux d'exécution semblent
être additifs et, basé sur le contenu par défaut du fichier /etc/inittab, ils le sont en
général. Toutefois, il est possible de démarrer à un niveau d'exécution inférieur des
processus qui ne sont pas disponibles à des niveaux d'exécution supérieurs. Chaque
processus représenté dans le fichier /etc/inittab spécifie à quels niveaux il sera
actif.
3. Recherche dans le répertoire /sbin/rc#.d approprié les scripts à exécuter (et les
exécute).
• Si le niveau d'exécution vers lequel s'effectue la transition est supérieur au
niveau actuel, le signe # dans rc#.d représente le niveau d'exécution juste
au-dessus du niveau actuel et les scripts dans le répertoire rc#.d avec des
noms commençant par « S » sont exécutés.
• Si le niveau d'exécution vers lequel s'effectue la transition est inférieur au
niveau actuel, le signe # dans rc#.d représente le niveau d'exécution juste
au-dessous du niveau actuel et les scripts dans le répertoire rc#.d avec des
noms commençant par « K » sont exécutés.
Cette étape est répétée pour chaque niveau d'exécution entre le niveau actuel et
le niveau cible.
4. Chaque script de démarrage (ou d'arrêt) est d'abord exécuté avec le paramètre
start_msg (ou stop_msg), ce qui provoque l'envoi de son message à une ligne sur
la console système, puis réexécuté avec le paramètre start (ou stop) pour effectuer
sa fonction (d'après les variables définies auparavant dans le fichier du répertoire
/etc/rc.config.d).
Arrêt de HP-UX
« À VOS MARQUES . . . PRÊT . . . PARTEZ ! » Comme pour le départ d'une course,
l'arrêt de votre système doit être effectué dans un ordre déterminé, faute de quoi divers
problèmes vous attendent.
Pour arrêter un système HP-UX, vous devez procéder de la manière suivante :
1. En premier lieu, signalez-le à tous les utilisateurs susceptibles d'être affectés par
l'arrêt. Ils pourront ainsi achever les travaux en cours, et le cas échéant démonter
les systèmes de fichiers montés en mode NFS à partir de votre système.
2. Ensuite, arrêtez tous les programmes en cours d'exécution qui ne seraient pas
arrêtés correctement par l'un des scripts d'arrêt du système (« Scripts de démarrage
et d'arrêt (transitions entre les niveaux d'exécution) »).
3. Pour finir, utilisez la commande shutdown pour arrêter le système. La commande
shutdown :
a. vous permet d'informer les utilisateurs du système de l'arrêt en cours si vous
ne l'avez déjà fait, ou de rappeler à ces utilisateurs que l'arrêt est imminent.
b. d'effectuer les transitions vers les niveaux d'exécution inférieurs (exécution des
liens d'arrêt dans les répertoires /sbin/rc[0-4].d).
c. et pour finir appelle reboot afin d'effectuer une opération sync qui garantit
que les structures de mémoire sont écrites sur disque avant que la mémoire ne
soit remplacée par l'amorçage ultérieur.
Mémoire physique
Traitement lors
de l'incident
1 3
2
HP-UX
Disques de systèmes
Traitement de réamorçage de fichiers
Périphériques de vidage
À partir de là, vous pouvez procéder à l'analyse de l'image mémoire avec un débogueur
ou la sauvegarder sur support amovible et ainsi pouvoir la transmettre à une autre
personne pour analyse.
Fonctionnement normal
✘ Reprise
Fonctionnement normal
Le processus de vidage a pour but essentiel de capturer les différents états de votre
système au moment de l'incident. Ceci ne concerne pas un processus éventuel de
reprise ; les processus ne sont pas en mesure de redémarrer là où ils en étaient au
moment de l'incident système. Il s'agit plutôt de pouvoir effectuer une analyse, afin de
vous aider à déterminer la cause de l'incident et si possible éviter qu'il ne se reproduise.
Pour pouvoir capturer l'image mémoire de votre système au moment de l'incident (et
son analyse ultérieure), vous devez définir auparavant les emplacements que HP-UX
utilisera pour la stocker. Il s'agit généralement de disques locaux ou de volumes
logiques.
Quel que soit l'emplacement où vous décidez que HP-UX doit placer le vidage, il est
important de disposer de suffisamment d'espace à cet endroit (voir « Quelle est la
quantité d'espace de vidage nécessaire ? » (page 108)). Si l'espace est insuffisant, toutes
les pages sélectionnées pour le vidage nse seront pas enregistrées et vous risquez de
ne pas capturer la partie de la mémoire qui contient l'instruction ou les données ayant
provoqué l'incident.
Vous pouvez, le cas échéant, définir plusieurs périphériques de vidage. Si l'un d'eux
est saturé, le suivant pourra poursuivre l'enregistrement des données jusqu'à
achèvement ou saturation de l'espace disponible. À partir de HP-UX 11i version 3, vous
pouvez même configurer plusieurs périphériques de vidage sur lesquels l'écriture sera
effectuée en paralèlle (plutôt que les uns après les autres), ce qui réduira de manière
significative les durées de vidage.
Même si vous avez spécifié que vous ne souhaitez pas un vidage complet, il est toujours
possible, au moment de l'incident, de ne pas tenir compte de cette configuration et de
demander un vidage complet depuis la console système.
De même, si l'origine du problème est connue (et qu'un vidage est donc superflu), mais
que le vidage complet ou sélectif a été défini, il est toujours possible, au moment de
l'incident, de ne pas tenir compte de cette configuration et de ne pas demander de
vidage, également depuis la console système.
Vidages compressés
Après un incident système, le système d'exploitation H-UX peut utiliser cette
fonctionnalité pour compresser les données en mémoire avant de les écrire sur le
périphérique de vidage. La compression réduit le volume des données, ce qui accélère le
vidage.
La réduction du temps nécessaire au stockage de l'ensemble du vidage entraîne une
réduction du temps de reprise ; votre système sera ainsi disponible beaucoup plus
rapidement. La compression du vidage permet un gain de temps supplémentaire sur
les systèmes dotés d'une mémoire importante.
• La compression de vidage n'est pas forcée ; il s'agit seulement d'une requête de
l'utilisateur qui sera honorée si cela est possible.
En cas d'incident système, le sous-système de vidage examine l'état du système et
de ses ressources pour savoir si la compression est possible. Selon les ressources
disponibles, HP-UX détermine de manière dynamique si le vidage sera effectué
au format compressé ou non.
(Par exemple, si le processeur traitant l'incident ne peut pas affecter suffisamment
de processeurs pour effectuer la compression, le vidage ne sera pas compressé.
Un incident récurrent, tel qu'une réaction de panique durant le traitement d'un
vidage précédent, entraîne également un vidage au format non compressé.)
• Dans le cas d'un vidage sélectif qui exclut les pages inutilisées, le vidage devrait
prendre environ un tiers du temps nécessaire pour un vidage nom compressé sur
le même serveur. Cet intervalle inclut le temps nécessaire pour exécuter le
programme savecrash et écrire le vidage à son emplacement final sur le système
de fichiers HP-UX. Un vidage qui nécessitait trois heures auparavant est désormais
réduit à environ une heure.
Enregistrements partiels
Si les données de vidage mémoire résident partiellement sur des périphériques de
vidage dédiés et par ailleurs sur des périphériques également utilisés pour la pagination,
vous pouvez décider de n'enregistrer (dans le système de fichiers HP-UX) que les pages
susceptibles d'être concernées par le processus de pagination. Les pages figurant sur
les périphériques de vidage dédiés peuvent y demeurer. Si vous savez comment analyser
des vidages mémoire, il est même possible de le faire directement à partir des
périphériques de vidage dédiés grâce à un débogueur disposant d'une telle fonction.
Avant d'envoyer votre vidage mémoire à quelqu'un d'autre pour analyse, vous devez
déplacer les pages vidées depuis les périphériques de vidage dédiés vers le système
de fichiers HP-UX. Vous pouvez ensuite utiliser un outil tel que pax ou tar pour les
empaqueter pour expédition.
Exemple 3-5 Exemple d'incident durant les phases initiales du processus d'amorçage
Considérez un serveur ayant dix gigaoctets (10 Go) de mémoire physique. Si vous aviez
à effectuer une définition de cette configuration, avec des périphériques de vidage
comportant deux gigaoctets (2 Go) d'espace total dans le fichier noyau et un espace
disque supplémentaire de neuf gigaoctets (9 Go) dans le fichier /etc/fstab, vous
disposeriez de suffisamment d'espace pour enregistrer la totalité de l'image mémoire
(un vidage complet) correspondant au moment où le système fonctionnait.
Mais que se passe-t-il si l'incident se produit avant le traitement du fichier /etc/
fstab ? Seule la quantité d'espace de vidage déjà configurée sera disponible au moment
de l'incident, soit deux gigaoctets dans le cas présent.
S'il est essentiel pour vous de capturer chaque octet de mémoire dans tous les cas, y
compris durant les phases initiales du procesuss d'amorçage, vous devez utiliser
crashconf avec l'option -s (qui indique à crashconf de conserver les définitions
de périphériques de vidage d'un réamorçage à l'autre) afin de définir suffisamment
d'espace de vidage à l'avance. crashconf est la méthode préférée pour définir des
périphériques de vidage dans HP-UX 11i version 3.
Niveau de vidage
Vous utilisez cette section car l'espace disque est une ressource limitée sur votre serveur.
Il est évident que moins vous aurez de pages à vider, moins l'espace disque requis sera
important. Par conséquent, un vidage complet n'est pas recommandé, à moins que
7. L'analyse des données de vidage après un incident n'est pas une tâche aisée. Elle nécessite une
connaissance approfondie des structures internes de HP-UX et l'utilisation de débogueurs. Le processus
effectif d'analyse de ces données dépasse le cadre de ce document. Si vous avez besoin d'assistance
pour l'analyse des données de vidage, consultez votre représentant HP.
Fonctionnement normal
✘ Reprise
Fonctionnement normal
Vidage
Après avoir donné la possibilité à l'opérateur de prendre le contrôle du niveau de
vidage et que la période de dix secondes s'est écoulée, HP-UX écrit le contenu de la
mémoire physique sur les périphériques de vidage jusqu'à ce qu'une des conditions
suivantes soit remplie :
• L'ensemble des données de la mémoire a été vidé (si un vidage complet a été
configuré ou demandé par l'opérateur).
• L'ensemble des données des pages mémoire sélectionnées a été vidé (si un vidage
sélectif a été configuré ou demandé par l'opérateur).
• Les limites de l'espace du périphérique de vidage sont atteintes.
En fonction de la quantité de mémoire dont il faut assurer le vidage, et de plusieurs
autres facteurs, le processus peut prendre de quelques secondes à plusieurs heures.
Pendant le processus de vidage, différents messages d'état apparaissent sur la console
système pour en indiquer la progression.
Software Distributor
Software Distributor est une collection d'outils permettant d'effectuer l'installation, la
maintenance et la distribution d'applications et d'autres logiciels sur des serveurs
HP-UX. Il s'agit du format utilisé par HP pour distribuer HP-UX et de nombreuses
autres applications liées à HP-UX.
En plus d'être un format de distribution (qui peut résider par-dessus tar, cpio, ISO_9660,
HFS, VxFS et la plupart des autres méthodes de stockage de fichiers physiques), Software
Distributor assure la maintenance d'une base de données de produits installés qui contient
des informations sur les applications et les logiciels actuellement installés sur les
serveurs, des informations de version concernant ces logiciels, et d'autres attributs
importants relatifs aux logiciels installés. La base de données des produits installés est
utilisée par les utilitaires SD pour effectuer la maintenance des applications sur un
serveur.
Software Distributor est compatible multiserveur. Les packages logiciels (appelés dépôts
logiciels) peuvent être maintenus sur un serveur et utilisé par un autre serveur pour
installer les packages associés.
Système d'exploitation et logiciels (installation, modification et suppression) 121
La section « Software Distributor (SD) » (page 137) décrit les différents composants de
Software Distributor. Le document Software Distributor Administration Guide contient
une description complète de cette technologie.
REMARQUE : Pour pouvoir utiliser les services de mise en réseau, vous devez
configurer au moins une interface réseau sur votre serveur. Utilisez la commande
nwmgr pour configurer l'interface. Pour plus d'informations, voir la page de manuel
nwmgr(1M) et « Configuration d'une interface réseau » (page 148).
ssh ssh (Secure Shell) procure des connexions distantes beaucoup plus
sécurisées que le protocole rlogin. Il authentifie le serveur distant (et
permet au serveur distant d'authentifier votre serveur local) à l'aide du
Transferts de fichiers
Plusieurs protocoles sont disponibles sur HP-UX pour transférer des fichiers d'un
ordinateur à un autre. Selon le protocole utilisé, les fichiers peuvent être transférés
entre des systèmes HP-UX, entre un système HP-UX et un système Linux, ou entre un
système HP-UX et un système Microsoft Windows. En plus des protocoles suivants,
les applications et les programmes personnalisés peuvent transférer des fichiers à l'aide
de communications interprocessus (par le biais d'appels système) :
FTP FTP (File Transfer Protocol) est une norme ouverte pour le transfert de
fichiers entre ordinateurs. Les ordinateurs HP-UX, Linux et Microsoft
Windows prennent tous en charge les logiciels clients et serveurs ftp.
FTP est généralement utilisé en mode interactif. L'utilisateur établit une
connexion entre son système local (le client FTP) et le système distant
(exécutant un serveur FTP). Une fois la connexion établie, des fichiers
peuvent être transférés d'un ordinateur à l'autre dans les deux directions,
et la structure de répertoires de chaque ordinateur peut être traversée
(dans les limites de l'autorité d'accès de l'utilisateur) afin d'établir un
répertoire source et un répertoire de destination pour les transferts de
fichiers.
SSH FTP sftp (la commande HP-UX qui implémente le protocole de transfert de
fichiers SSH) utilise ssh pour fournir des transferts de fichiers plus
sécurisés que la commande ftp. Les fichiers sont chiffrés durant le transfert
et, avec certains clients FTP SSH, les opérations de système de fichiers
distantes sont également disponibles (par exemple, suppression d'un fichier
d'un système distant).
Accès Web
Le système d'exploitation HP-UX 11i version 3 inclut le serveur Web Tomcat utilisable
avec des sous-systèmes Web tels que System Management Homepage. Il est par
conséquent également disponible pour servir les pages Web que vous créez.
HP Systems Insight Gestion de groupes de Fourni avec HP-UX 11i version 3 ou disponible au
Manager (SIM) systèmes téléchargement à l'adresse : http://www.hp.com/go/
hpsim
Installations à froid
Le terme installation à froid fait référence à l'installation de logiciels système sur un
système nouveau (qui ne contient actuellement aucune image de HP-UX) ou existant
(qui contient une instance de HP-UX que vous souhaitez remplacer complètement)
grâce à la recréation complète du groupe de volumes racine, à la suppression des
données et du système d'exploitation existants sur ce volume, et à l'installation du
nouveau système d'exploitation et des logiciels et données spécifiés.
Vous pouvez choisir parmi deux méthodes d'installation à froid de HP-UX 11i v3 sur
un système pris en charge :
• Installation directe à partir du support DVD
• Création de dépôts sur des serveurs à l'aide de SD-UX ou Ignite-UX et installation
par le biais du réseau.
Ignite-UX
Ignite-UX permet aux administrateurs de système HP-UX d'effectuer des installations
et des déploiments système à grande échelle. Il permet également de créer et de réutiliser
des configurations système standard, d'archiver une configuration système standard
et d'utiliser cette archive pour répliquer des systèmes (ce qui accélère le processus), et
d'effectuer des personnalisations post-installation. Il propose en outre des modes
d'exploitation interactifs et sans assistance.
• Les sessions d'installation Ignite/UX pour plusieurs cibles peuvent être contrôlées
à partir d'un serveur unique dans un modèle réel client/serveur.
• Les installations peuvent avoir lieu à partir de plusieurs sources logicielles durant
une même session d'installation.
• Il est très facile de créer un système utilisable dès que la session d'installation est
terminée.
Pour plus de détails sur Ignite-UX, voir http://docs.hp.com/en/IUX.
Update-UX
La commande update-ux est l'outil qui permet de mettre à jour une version de HP-UX
vers une version plus récente (à condition que vous utilisiez un itinéraire de mise à
niveau pris en charge). Pour obtenir des détails sur les itinéraires de mise à niveau pris
en charge et des procédures de mise à jour générales, consultez la dernière version du
manuel HP-UX 11i v3 Installation and Update Guide. Pour plus de détails sur la commande
update-ux et ses options, voir la page de manuel update-ux(1M).
REMARQUE : ObAM est la technologie utilisée par SAM, l'ancien outil d'administration
de serveur unique.
Lorsque vous exécutez la commande /usr/sbin/sam ou /usr/sbin/smh et que la
variable d'environnement DISPLAY est définie, HP SMH s'ouvre dans le navigateur
Web par défaut. Si la variable d'environnement DISPLAY n'est pas définie, HP SMH
s'ouvre à l'aide de son interface de terminal.
Lors du premier démarrage, la version terminal de SMH affiche le menu principal, qui
est la passerelle vers ses zones fonctionnelles :
--------------------------------------------------------------------------------
x-Exit smh w-WebLaunch 1-Help
ENTER-Launch Functional Area v-SAM Log Viewer
Démarrez la zone fonctionnelle avec laquelle vous souhaitez travailler en tapant la
lettre affichée en regard de son entrée, dans le menu principal. Par exemple, tapez e
pour démarrer la zone fonctionnelle Resource Manager ou p pour démarrer la zone
fonctionnelle Printers and Plotters.
8. Bien que l'interface GUI de System Management Homepage ne soit pas une application native X
Window, HP SMH tente d'utiliser X Window pour ouvrir un navigateur sur un affichage X distant
lorsque vous utilisez l'élément de menu w à partir du menu principal.
IMPORTANT : Pour que l'accès Web à distance vers HP SMH soit possible, le serveur
Web du système que vous tentez d'administrer doit être en cours d'exécution. Par
défaut, cela signifie que HP-UX doit être au niveau d'exécution 3 ou supérieur. Pour
une discussion des niveaux d'exécution, voir « Niveaux d'exécution » (page 100).
Si vous tapez w dans la version TUI du menu principal de HP SMH, vous démarrez
l'interface Web HP SMH sur le serveur X-Window associé à votre variable
d'environnement DISPLAY.
Le lancement de l'interface Web HP SMH depuis l'interface de terminal HP SMH
provoque le démarrage d'un serveur Web sur le système que vous administrez (si
aucun serveur Web n'est en cours d'exécution) et démarre un navigateur Web pour
afficher la zone fonctionnelle (dans HP SMH) correspondant à la zone fonctionnelle
qui était sélectionnée dans la TUI lorsque vous avez tapé w.
Lorsque vous lancez l'interface GUI de HP SMH dans un navigateur, l'écran ci-dessus
s'affiche et requiert une authentification. Une fois la session ouverte, la version GUI de
HP SMH présente un menu légèrement différent de la version terminal.
Au lieu d'afficher les zones fonctionnelles de HP SMH comme premier écran (comme
dans la version terminal), la version graphique de HP SMH affiche d'abord un résumé
système indiquant l'état de santé général du matériel système et des liens vers d'autres
écrans d'état (par exemple Memory Utilization).
Quelques liens vers des zones fonctionnelles clés sont affichés sur la page d'accueil,
mais pour accéder à l'écran des zones fonctionnelles dans la version GUI de HP SMH,
vous devez cliquer sur l'élément de menu Tools situé dans la partie supérieure de
l'affichage.
La version graphique de HP System Management Homepage vous permet d'administrer
un serveur HP-UX depuis presque n'importe quel emplacement utilisant un navigateur
Web pris en charge. L'interface GUI de HP System Management Homepage fournit
également beaucoup plus d'outils (zones fonctionelles) que la version terminal.
HP System Management Homepage fournit une agrégation, un affichage et une
interaction avec une large gamme d'agents Web et autres logiciels de gestion système
Web HP, ce qui vous permet de contrôler étroitement la configuration et le
fonctionnement de presque tous les aspets d'un serveur HP-UX, y compris les suivants :
• Gestion des utilisateurs et des groupes
• Audit
• Gestion des volumes et des systèmes de fichiers
• Technologie de gestion des erreurs (recherche de messages d'erreur en ligne)
• Configuration du noyau
• Partitionnement
• Périphériques
• Imprimantes
Gestion de serveurs multiples à partir d'un point de contrôle unique avec HP SIM
Bien que HP Systems Insight Manager puisse être utilisé pour gérer un serveur HP-UX
unique, il est probablement préférable d'utiliser pour cela « HP System Management
Homepage (HP SMH) ».
HP Systems Insight Manager vous permet de gérer plusieurs serveurs, appelés systèmes
gérés à partir d'un serveur de gestion centralisée (CMS, Central Management Server).
Collectivement, le CMS et les systèmes gérés portent le nom de domaine de gestion. Le
CMS est également un système géré dans son propre domaine de gestion, et peut être
en même temps un système géré de domaines de gestion contrôlés à partir d'autres
CMS.
Le CMS est le serveur sur lequel réside le logiciel HP Systems Insight Manager, et vous
pouvez accéder à ce logiciel à partir de tout client réseau (tout ordinateur capable
d'accéder au CMS par le biais d'un navigateur Web (pour une interface utilisateur
graphique) ou par le biais de ssh (pour une interface utilisateur textuelle)). Les clients
réseau peuvent être des membres du domaine géré (mais cela n'est pas obligatoire).
Gestionnaire de partition
Le Gestionnaire de partition sert à configurer des nPartitions sur des serveurs basés
sur cellules. Il s'exécute en tant qu'espace de travail sur le portail HP System
Management Homepage (HP SMH). Vous pouvez le démarrer à partir du menu Tools
dans HP SMH ou à partir d'un navigateur Web pris en charge en entrant l'URL suivante :
http://nom_de_votre_système.nom_domaine:2301/parmgr
et en ouvrant une session. Lors du démarrage du Gestionnaire de partition à partir du
menu Tools de HP SMH, vous devez choisir l'un des éléments suivants dans la liste
d'outils de gestion de nPartitions :
• Afficher et gérer un Complexe, afin de gérer le Complexe dans lequel HP System
Management Homepage s'exécute.
• Afficher et gérer un Complexe distant, afin de vous connecter à une nPartition ou
un Complexe distant que vous souhaitez gérer.
Vous pouvez utiliser le Gestionnaire de partition pour effectuer les tâches suivantes :
• Reconfigurer des nPartitions
— Créer de nouvelles partitions
— Supprimer des partitions (afin de libérer des ressources pour d'autres usages)
— Ajouter des cartes de cellules à une partition
— Supprimer des cartes de cellules d'une partition
— Déplacer une carte de cellule d'une partition à une autre
• Contrôler l'alimentation de divers composants de serveur
— Armoires
— Châssis d'E/S
— Logements d'E/S 9
9. L'alimentation des logements d'E/S est généralement contrôlée durant une opération de remplacement
et d'ajout en ligne (OLRAD, Online Replacement and Addition).
Gestionnaires de volumes
Les volumes sont des conteneurs logiques qui ne sont pas restreints par les limites des
disques physiques sous-jacents sur lesquels ils résident. Pour les applications, les
systèmes de fichiers et les bases de données, les volumes semblent être des disques
physiques et sont traités comme tels. HP-UX peut utiliser les volumes comme espace
d'échange. Les volumes peuvent contenir :
• Des systèmes de fichiers
• De l'espace d'échange (pour les opérations de pagination)
• De l'espace de vidage (pour les opérations de vidage mémoire)
• Des copies miroirs d'autres volumes
• De l'espace disque brut géré par une application telle qu'un gestionnaire de base
de données
Les gestionnaires de volumes vous permettent de grouper des collections de stockage
physique (en général des lecteurs de disques) puis de diviser ces collections en entités
logiques nommées volumes logiques si vous utilisez HP Logical Volume Manager, ou
simplement volumes si vous utilisez Veritas Volume Manager.
HP-UX 11i version 3 prend en charge les gestionnaires de volumes suivants :
138 Outils d'administration système
LVM Logical Volume Manager, décrit dans le manuel Guide de l'administrateur système
HP-UX : Gestion des volumes logiques. LVM est le gestionnaire de volumes par
défaut pour HP-UX 11i.
VxVM VERITAS Volume Manager offre de nombreuses fonctionnalités, dont certaines
ne sont pas disponibles avec LVM ou MirrorDisk/UX (le produit compagnon
de LVM qui vous permet de mettre en miroir des données sur plusieurs disques
physiques).
La version de VxVM fournie avec HP-UX est une version de base contenant
un sous-ensemble des fonctionnalités offertes dans la version complète, qui
requiert une licence supplémentaire. Pour obtenir des informations complètes
sur les fonctionnalités incluses dans la version de base et dans la version
complète de VxVM, consultez le document VERITAS Volume Manager Releases
Notes correspondant à la version de VERITAS Volume Manager que vous
utilisez.
Les deux gestionnaires de volumes peuvent coexister sur un serveur. Chaque
gestionnaire de volumes assure le suivi des disques qu'il contrôle et tout disque physique
donné ne peut être contrôlé que par un gestionnaire à la fois. L'utilitaire vxvmconvert
peut convertir un groupe de volumes LVM en groupe de disques VxVM si vous
souhaitez migrer un disque de LVM vers VxVM pour une flexibilité de configuration
accrue.
10. Les fichiers spéciaux de périphériques hérités sont toujours pris en charge dans HP-UX 11i version 3
et peuvent être utilisés conjointement avec les fichiers spéciaux de périphériques persistants.
ASTUCE : Pour les utilisateurs ayant une connaissance de la mise en réseau sur les
versions précédentes de HP-UX, nous précisons que la commande nwmgr effectue les
fonctions précédemment assurées par les commandes (désormais désapprouvées) :
• lanadmin
• lanscan
• linkloop
Voir nwmgr(1M) pour plus de détails sur l'utilisation de la commande nwmgr et sur la
désapprobation des commandes lanadmin, lanscan et linkloop.
Pour plus d'informations sur ces tâches de base, voir le document HP-UX LAN
Administrator's Guide.
Il existe de nombreux documents de mise en réseau qui peuvent vous renseigner sur
les composants de mise en réseau spécifiques que vous souhaitez utiliser. Ces liens sur
docs.hp.com vous aideront à les trouver :
• Network and Systems Management
• I/O Cards and Networking Software
• Internet and Security Solutions
chemin Chemin d'accès physique individuel vers un périphérique de stockage de masse (généralement
d'accès un disque). Les chemins d'accès matériels lunpath sont composés d'une série d'adresses bus-nexus
matériel séparées par des barres obliques (/) menant à un adaptateur de bus hôte (HBA). Sous l'adaptateur
lunpath de bus hôte, des éléments d'adresses supplémentaires sont représentés au format hexadécimal.
Les premiers éléments représentent une adresse cible dépendant du transport. L'élément final
est une adresse LUN, qui est une représentation 64 bits de l'identificateur de LUN rapporté par
le périphérique cible.
Voir aussi chemin d'accès matériel LUN et fichier spécial de périphérique persistant.
chemin Chemin d'accès matériel virtuel qui représente le périphérique lui-même, et non le chemin d'accès
matériel LUN matériel à ce périphérique. Un chemin d'accès matériel LUN représente tous les chemins d'accès
physiques (« chemins d'accès matériels lunpath ») au LUN qu'il représente. Le premier élément
de chemin d'accès dans un chemin d'accès matériel LUN est 64000, suivi d'une adresse de bus
virtuel et d'un ID de LUN virtuel. Par exemple : 64000/0xfa00.0x22.
chemin matériel LUN virtualisé
Voir chemin matériel LUN.
classe File d'attente d'impression représentant un groupe d'une ou plusieurs imprimantes et traitée
d'imprimantes comme une destination d'impression unique. Les demandes d'impression soumises à une classe
d'imprimantes sont envoyées à l'une des imprimantes disponibles définies dans la classe. Le
149
Système de spoulage d'imprimante ligne détermine l'imprimante utilisée pour imprimer toute
demande d'impression présente dans la file d'attente.
cluster à Groupe de serveurs fonctionnant de manière coordonnée afin de créer une configuration qui
disponibilité permet à des services d'applications de continuer malgré une défaillance matérielle ou logicielle.
élevée
cluster à Il s'agit d'un cluster avec des nœuds situés dans différents centres de données séparés par une
distance certaine distance. Les clusters à distance étendue sont connectés par le biais d'un câble haut débit
étendue qui garantit l'accès réseau entre les nœuds tant que toutes les directives relatives à l'architecture
à tolérance de pannes sont respectées. La distance maximale entre les nœuds dans un cluster à
distance étendue est définie par les limites de la technologie de réplication de données et les
limites de mise en réseau.
cluster Il s'agit d'un groupe de clusters qui utilisent des réseaux routés ou des réseaux du service public
continental pour la réplication des données et la communication de cluster afin de prendre en charge le
basculement de package entre différents clusters dans différents centres de données. Les clusters
continentaux sont souvent situés dans différentes villes ou différents pays et peuvent s'étaler sur
des centaines, voire des milliers de kilomètres.
cluster de campus étendu
Voir cluster à distance étendue.
cluster Il s'agit d'un cluster réparti géographiquement dans les confins d'une zone métropolitaine exigeant
métropolitain des autorisations pour déposer du câblage pour des composants réseau et de réplication de
données redondants.
cœur Anciennement appelé « UC ». Unité de traitement individuelle sur une puce de processeur. Parfois
appelé « cœur de traitement ».
compartiments Les compartiments permettent d'isoler les composants du système. Lorsqu'ils sont configurés
correctement, ils peuvent assurer la sécurité de HP-UX, de ses processus et de ses ressources.
composants Composants (par exemple cœurs de traitement et mémoire) achetés à tarif réduit mais sans droits
iCAP d'exploitation. Ces composants peuvent être activés en cas de besoin, en achetant des droits
d'exploitation temporaires ou permanents.
composants sans droits d'exploitation
Voir composants iCAP.
Compteur Périphérique matériel et logiciel qui reçoit les informations d'utilisation PPU en provenance du
d'utilitaires logiciel PPU. Il est initialement installé et configuré par un représentant de support HP.
contrôle de contrôle de l'accès basé sur les rôles. Mécanisme HP-UX qui procure un accès à granularité élevée
l'accès basé aux ressources système, aux commandes et aux appels système. Les utilisateurs sont affectés à
sur les rôles des rôles et des privilèges d'accès sont accordés aux utilisateurs en fonction de leur rôle.
demandes Travail d'impression soumis au Système de spoulage d'imprimante ligne.
d'impression Voir aussi Système de spoolage d'imprimante ligne.
démon de Le démon de gestion d'événements (/usr/sbin/evmd) fait partie du sous-système Event Manager
gestion et fournit des services d'envoi et de notifications aux clients système et d'applications exécutés
d'événements sur le système local.
Voir aussi Event Manager (EVM) et la page de manuel evmd1M .
dépôt logiciel Structure de format SD-UX qui contient un ou plusieurs produits logiciels pouvant être installés
sur d'autres systèmes ou copiés vers d'autres dépôts.
destination File d'attente associée à une imprimante ou à une classe d'imprimantes. Une grande partie des
d'impression commandes du Système de spoulage d'imprimante ligne, et d'autres applications qui fournissent
150 Glossaire
des services d'impression, utilisent la destination d'impression pour identifier l'imprimante ou
le groupe d'imprimantes à affecter. Voir les pages de manuel lpadmin(1M) et lpalt(1M).
Voir aussi classe d'imprimantes, Système de spoulage d'imprimante ligne et files d'attente
d'impression.
disable L'une des quatre commandes qui contrôlent le flux des demandes d'impression à travers le Système
de spoulage d'imprimante ligne (utilitaire de spoulage). disable fait en sorte que l'utilitaire de
spoulage empêche les demandes d'impression de sortir d'une file d'attente d'impression , autrement
dit, elle empêche l'impression des demandes à partir d'une file d'attente.
Voir aussi accept, reject, enable .
domaine de Collection de ressources appelées systèmes gérés, qui ont été placées sous le contrôle de HP SIM.
gestion Chaque serveur de gestion centralisée (CMS) est responsable d'un domaine de gestion. Les
systèmes gérés peuvent appartenir à plusieurs domaines de gestion.
Voir aussi Central Management Server.
échange de Espace d'échange alloué dans un volume de disque ou une aprtition de disque dédié. L'échange
périphérique de périphérique ne fait pas partie d'une système de fichiers et n'est pas basé en mémoire. Il est
généralement plus rapide que l'échange de système de fichiers car il est plus direct (il n'est pas
obligé de traverser la couche de système de fichiers).
Voir aussi échange de système de fichiers et pseudo-échange .
échange de Espace d'échange qui réside dans un système de fichiers. L'échange de système de fichiers est
système de plus lent que l'échange de périphérique car le système de fichiers doit allouer l'espace de façon
fichiers à empêcher l'écrasement des fichiers. Cela ajoute une couche d'accès supplémentaire que le noyau
doit traverser pour écrire ou lire la mémoire paginée.
Voir aussi échange de périphérique et pseudo-échange .
échange Lorsqu'un processus est planifié, une quantité suffisante d'espace d'échange est généralement
différé réservée pour le cas où le processus devrait être paginé en dehors de la mémoire physique afin
de faire de la place pour d'autres processus en cours d'exéuction.
Bien souvent, l'espace d'échange est réservé mais jamais utilisé car le processus pour lequel il
était réservé n'a pas été paginé, ou seule une partie l'a été. Cela entraîne un gâchis de l'espace
d'échange. Lorsqu'il est activé, l'échange différé fait en sorte que l'espace d'échange soit réservé
au moment où le contenu de la mémoire pour un processus est réellement paginé, plutôt que lors de la
planification du processus, ce qui optimise l'utilisation de l'espace d'échange.
échange Espace d'échange chevauchant plusieurs périphériques physiques pour une plus grande efficacité
entrelacé d'écriture/lecture, semblable à l'entrelacement de disque.
Voir aussi entrelacement de disque.
échange Emplacement initial rendu disponible pour les opérations de pagination durant la séquence de
principal démarrage système. Défini à l'aide de la commande swapon. Voir la page de manuel swapon(1M).
Voir aussi échange secondaire.
échange HP-UX commence par paginer sur un seul périphérique (voir échange principal). Ainsi, un seul
secondaire périphérique est nécessaire lors de l'amorçage. Des zones d'échange supplémentaires, appelées
zones d'échange secondaire, peuvent être activées ultérieurement afin de procurer davantage
d'espace pour les opérations de pagination.
enable L'une des quatre commandes qui contrôlent le flux des demandes d'impression à travers le Système
de spoulage d'imprimante ligne (utilitaire de spoulage). enable fait en sorte que l'utilitaire de
spoulage autorise les demandes d'impression à sortir d'une file d'attente d'impression , autrement
dit, elle autorise leur impression.
Voir aussi accept, reject, disable .
151
ensemble de Groupe de cœurs, défini par la commande psrset (ou indirectement des produits de niveau
processeurs supérieur tels que Workload Manager - WLM), pour une utilisation en tant que domaine de
planification indépendant. L'ensemble de processeurs par défaut est constitué de tous les cœurs
sur le système (serveur ou partition).
entrelacement Méthode d'écriture sur un périphérique disque logique (par exemple un volume logique LVM
de disque ou un volume VxVM) composé de plusieurs périphériques physiques de telle sorte que des blocs
de données consécutifs (tels que des bits, des octets, des blocs ou des étendues) sont distribués
sur différents périphériques physiques. Cela peut accélérer l'accès aux périphériques logiques
car plusieurs blocs de données peuvent être écrits ou lus simultanément sur différents
périphériques physiques.
environnements d'exploitation
Les environnements d'exploitation sont des produits logiciels qui fournissent des configurations
HP-UX 11i spécifiques. Chaque environnement d'exploitation est composé de la fonctionnalité
HP-UX 11i "de base", des pilotes réseau les plus utilisés, et de certains produits logiciels
supplémentaires en couche (produits ISU). Il existe quatre environnements d'exploitation dans
HP-UX 11i version 3 :
• HP-UX 11i v3 Base Operating Environment – (BOE)
• HP-UX 11i v3 Virtual Server Operating Environment – (VS-OE)
• HP-UX 11i v3 High Availability Operating Environment – (HA-OE)
• HP-UX 11i v3 Data Center Operating Environment – (DC-OE)
étendue Bloc d'espace disque de taille fixe utilisé par Logical Volume Manager pour allouer de l'espace
dans un groupe de volumes. Les volumes logiques sont gérés comme une collection d'étendues,
et les étendues sont l'unité de mesure par laquelle les volumes logiques sont créés ou
redimensionnés.
événement Indication, fournie par un composant système ou une application, signalant que quelque chose
d'important s'est produit. Les événements sont mis à disposition de toute entité intéressée grâce
à leur envoi au sous-système Event Manager.
Voir aussi Event Manager (EVM).
Event Sous-système HP-UX qui fournit un mécanisme de publication et de récupération d'événements.
Manager Voir aussi événements et la page de manuel evm5 .
(EVM)
fichier spécial de périphérique persistant
Fichier de périphérique pour des périphériques de stockage de masse (généralement des disques),
qui est associé à un chemin d'accès matériel LUN, et qui prend donc en charge de manière
transparente l'adressage agile et le multichemin. Un fichier de périphérique persistant demeure
par conséquent inchangé si le LUN auquel il est associé est déplacé d'un adaptateur de bus hôte
à un autre, ou si un périphérique de stockage de masse subit une défaillance et est remplacé, ou
si un périphérique de stockage de masse est remplacé.
fichier spécial de périphérique périmé
Fichier spécial de périphérique qui n'est plus associé à un périphérique valide. Par exemple, un
fichier de périphérique associé à un périphérique qui a été supprimé d'un serveur.
fichiers Associés aux périphériques physiques et aux pseudo-périphériques, les fichiers spéciaux de
spéciaux de périphériques sont utilisés par le système d'exploitation et les applications pour lire et écrire sur
périphériques leurs périphériques associés.
Types de fichiers de périphériques :
152 Glossaire
• Fichiers spéciaux de périphériques hérités — style de fichier spécial de périphérique traditionnel,
qui dépend du chemin d'accès matériel. Chaque chemin d'accès à un périphérique a son
propre fichier spécial de péripéhrique. Tout déplacement d'un périphérique implique
l'utilisation d'un fichier spécial de péripéhrique différent pour l'accès au périphérique.
• Fichiers spéciaux de périphériques persistants — nouveau style de fichier spécial de périphérique
indépendant du chemin d'accès matériel. Étant donné l'indépendance envers le chemin
d'accès matériel, le déplacement d'un périphérique vers un chemin d'accès différent ne
nécessite pas l'utilisation d'un nouveau fichier spécial de périphérique, ni même la
modification du fichier actuel.
Accès aux fichiers de périphériques :
• Fichiers spéciaux en mode bloc — fichiers de périphériques associés à des périphériques en
mode bloc. Les périphériques en mode bloc transfèrent des données au moyen du mécanisme
de mise en mémoire tampon nomal du système.
• Fichiers spéciaux en mode caractère – fichiers de périphériques associés à des périphériques
en mode caractère, tels que les imprimantes, la plupart des terminaux et les modems. Les
périphériques en mode caractère transfèrent les données dans un flux non mis en mémoire
tampon.
groupe de (1) Un groupe de disques VxVM est conceptuellement similaire à un groupe de volumes LVM.
disques Il s'agit d'une collection de disques VM qui partagent une configuration commune.
(2) Une collection de disques qui partagent un rôle commun dans le fonctionnement d'une baie
de disques. Tous les disques de la baie seront membres de l'un des groupes de disques suivants :
un LUN, remplacement à chaud ou non affecté.
groupe de Collection de volumes physiques (disques physiques) utilisés par Logical Volume Manager. Les
volumes groupes de volumes peuvent être sous-divisés en volumes logiques (disques virtuels flexibles
pouvant contenir des systèmes de fichiers, de l'espace d'échange, ou pouvant être utilisés comme
périphériques de vidage ou pour l'accès aux disques bruts).
Voir aussi volume logique.
groupe de Groupe de volumes LVM qui contient le système de fichiers racine et le volume d'échange principal.
volumes Voir aussi système de fichiers racine et échange principal.
racine
groupes PRM Collection d'utilisateurs et d'applications regroupés, auxquels sont affectés une certaine quantité
de ressources de processeurs, de mémoire et de bande passante de disque.
153
HP SMH Principal outil d'administration de système unique à compter de HP-UX 11i version 3. HP SMH
(System prend en charge HP-UX, les versions de Linux prises en charge par HP, et les systèmes
Management d'exploitation Microsoft Windows.
Homepage)
iCAP (Instant Capacity) Groupe de technologies qui vous permettent d'activer/désactiver des composants
matériels « secondaires » préachetés, en ne payant que pour les ressources informatiques que
vous consommez réellement. Cela vous permet de gérer les demandes d'utilisation temporaires
de manière plus rentable.
ID LUN Élément final d'un chemin d'accès matériel LUN (0x3 dans l'exemple suivant) :
virtuel 64000/0xfa00/0x3
imprimante Imprimante connectée directement à une instance distante de HP-UX (« système »). Les demandes
distante d'impression envoyées à une imprimante distante doivent d'abord transiter par le réseau afin
d'atteindre le système distant. Le Système de spoulage d'imprimante ligne sur le système distant
gère ensuite l'impression des demandes comme s'il s'agissait de demandes locales.
Remarque : l'instance distante de HP-UX pourrait être sur le même serveur physique, par exemple
sur une autre nPartition.
154 Glossaire
niveau Configuration de processus système. Les processus créés par boot init sont affectés à un ou
d'exécution plusieurs niveaux d'exécution. Seuls les processus dont le niveau d'exécution correspond au
niveau d'exécution système actuel sont traités.
nœud racine Dans le chemin d'accès virtualisé à un périphérique (en vue agile), au lieu d'une série d'adresses
virtuel bus-nexus menant au HBA, le chemin d'accès contient un bus-nexus virtuel (avec une adresse de
64000). Ce bus-nexus virtuel porte le nom de « nœud racine virtuel ». Voici un exemple de chemin
d'accès matériel LUN (montrant le nœud racine virtuel) :
64000/0xfa00/0x3
nœuds (Serviceguard) Systèmes individuels dans un cluster Serviceguard. Les systèmes peuvent être
des serveurs autonomes ou des instances de HP-UX exécutées dans une partition sur un serveur.
(Mise en réseau) Instances individuelles de HP-UX (ou autres systèmes d'explotiation) sur un
réseau, chacune identifiée par son propre nom d'hôte et une ou plusieurs adresses IP.
(Arborescence de répertoires) Dans l'arborescence de répertoires HP-UX, chaque répertoire, fichier
ou liaison représente un nœud. De même, HP-UX assure le suivi des périphériques d'E/S à l'aide
d'une hiérarchie dans laquelle chaque composant d'un chemin d'accès matériel (quel que soit le
modèle d'adressage utilisé) représente un nœud de l'arborescence d'E/S.
noyau Noyau du système d'exploitation HP-UX. Composé de pilotes et autres modules de code, le noyau
contrôle de manière centralisée presque toutes les fonctions essentielles d'un système d'exploitation
(par exemple, gestion de la mémoire, communication entre le matériel et les logiciels, et
planification des processus).
nPartitions Disponibles sur les serveurs basés sur cellules, les nPartitions (également appelées partitions
matérielles) fournissent un isolement de système d'exploitation et électrique. En cas de blocage
de système d'exploitation ou de défaillance matérielle dans une nPartition ou sur un serveur, les
systèmes d'exploitation et le matériel des autres nPartitions sur le même serveur continuent de
fonctionner et ne sont pas affectés par la défaillance.
Voir aussi partitions virtuelles et invité Integrity VM.
numéro Partie d'un fichier spécial de périphérique qui détermine si le fichier est utilisé pour l'accès en
majeur mode bloc ou l'accès en mode caractère, et qui détermine également le pilote de périphérique à
utiliser lors de la communication avec le périphérique.
numéro Partie d'un fichier spécial de périphérique qui identifie l'emplacement de l'interface à laquelle un
mineur périphérique est raccordé et définit les caractéristiques dépendant du pilote. Ces informations
sont organisées par des affectations de bits spécifiques.
Voir aussi fichiers spéciaux de périphériques et numéro majeur.
objectif de Généralement un élément/objectif spécifique et mesurable dans le contexte d'un contrat de niveau
niveau de de service plus large.
service
OL* Prononcé « oh ell star ». Représente toutes les manipulations matérielles en ligne (le signe *
représente le caractère générique UNIX) :
• OLA = On-line ADD
• OLD = On-line DELETE
• OLR = On-line REPLACMENT
• OL* = Tous les éléments ci-dessus
paramètres Voir paramètres de noyau ajustables.
ajustables
paramètres de Variables du noyau qui régissent différentes fonctions du noyau (par exemple la quantité de
noyau processus qui peuvent exister simultanément ou la manière dont la mémoire physiques est allouée).
ajustables
155
En modifiant les valeurs de ces variables, vous pouvez influencer (« ajuster ») le comportement
du noyau.
partition Groupement de ressources de serveur dédié à une instance d'un système d'exploitation.
Voir aussi nPartition, partition virtuelle, invité Integrity VM.
partition Voir nPartitions.
physique
partition Partitionnement logiciel d'un serveur ou d'une nPartition dans lequel chaque partition virtuelle
virtuelle contient une instance d'un système d'exploitation. Bien qu'une nPartition puisse contenir plusieurs
partitions virtuelles, l'inverse n'est pas vraie ; une partition virtuelle ne peut pas chevaucher des
limites de nPartitions.
Voir aussi nPartitions.
partitionnement logiciel
Voir partitions virtuelles et machine virtuelle.
partitionnement matériel
Voir nPartitions.
pile de Il s'agit des différentes couches matérielles et logicielles qui composent les systèmes de stockage
stockage HP-UX. Les couches de la pile de stockage incluent :
• Les périphériques de stockage (disques, baies de disques, bibliothèques DLT, et ainsi de
suite)
• Les pilotes permetant d'accéder aux périphériques de stockage
• Les gestionnaires de volumes (par exemple LVM et VxVM)
• Les volumes logiques
• Les systèmes de fichiers (par exemple HFS et VxFS)
points de Répertoires dans l'arborescence de répertoires HP-UX, dans lesquels les systèmes de fichiers sont
montage attachés de manière logique. Lorsqu'il est monté, le répertoire qui est la racine de l'arborescence
de répertoires d'un système de fichiers est représenté par le répertoire HP-UX dans lequel il est
monté. Voir les pages de manuel mount(1M).
privilège à Autorisation d'effectuer une oépration de bas niveau spécifique (par exemple autorisation
granularité d'exécuter un appel système spécifique).
élevée
processeur Pièce physique de silicone (« puce ») contenant un ou plusieurs cœurs.
programme de Programme logiciel, utilisé lors de la séquence d'amorçage, qui permet de charger le noyau HP-UX
chargement à partir du disque et de démarrer son exécution.
pseudo-échange
Mémoire système utilisée pour l'espace d'échange, qui permet aux utilisateurs d'exécuter des
processus en mémoire sans allouer d'échange physique. Le pseudo-échange est contrôlé par le
paramètre de système d'exploitation swapmem_on, qui a par défaut la valeur 1 (autrmeent dit,
le pseudo-échange est activé).
pseudo-périphérique
Périphérique virtuel émulé par le système d'exploitation, qui ne correspond pas à un périphérique
physique. Voici quelques exemples de pseudo-périphériques dans HP-UX 11i version 3 :
/dev/null Reçoit et ignore toute entrée.
/dev/random Source de nombres aléatoires.
Il en existe beaucoup d'autres.
156 Glossaire
RAID Acronyme signifiant Redundant Array of Independent Disks. RAID définit différents moyens
(appelés niveaux RAID) de grouper des périphériques de stockage de masse afin d'obtenir une
redondance des données ou de meilleures performances de lecture/écriture.
reject L'une des quatre commandes qui contrôlent le flux des demandes d'impression à travers le Système
de spoulage d'imprimante ligne (utilitaire de spoulage). reject fait en sorte que l'utilitaire de
spoulage empêche l'ajout des demandes d'impression à une file d'attente.
Voir aussi accept, enable, disable .
répertoire Répertoire de niveau supérieur dans l'arborescence de répertoires HP-UX. Le répertoire racine
racine est représenté par le chemin d'accès « / ».
SAM (System Administration Manager)
Principal outil d'administration de système unique avant HP-UX 11i version 3. SAM prend en
charge uniquement le système d'exploitation HP-UX.
Voir aussi HP SMH (HP System Management Homepage).
scripts Script utilisé par le Système de spoulage d'imprimante ligne pour sortir les demandes d'impression
d'interface vers une imprimante. Lorsqu'il est défini dans le Système de spoulage d'imprimante ligne, un
d'imprimante script d'interface d'imprimante est créé en tant que copie d'un script de modèle d'imprimante.
Une fois créé, le script d'interface d'imprimante peut alors être personnalisé selon vos besoins.
scripts de Scripts (généralement fournis avec HP-UX ou par un fournisseur d'imprimante) utilisés comme
modèles modèles à partir desquels les scripts d'interfaces d'imprimantes sont créés lors de la configuration
d'imprimantes des imprimantes dans le Système de spoulage d'imprimante ligne.
serveur Anciennement nommé système ou ordinateur. Il s'agit de l'armoire physique contenant des cartes
de cellules, des processeurs, de la mémoire et des blocs d'alimentation.
Serviceguard Produit HP pour l'implémentation de clusters à disponibilité élevée, de manière autonome ou
avec d'autres produits afin de former des réseaux à tolérance de pannes.
Voir aussi clusters continentaux, clusters à distance étendue, clusters à disponibilité élevée et
clusters métropolitains.
simultanéité Capacité à vider en parallèle sur plusieurs périphériques, ce qui accélère les vidages mémoire et
de vidage raccourcit le temps d'arrêt du système.
spoulage à Spoulage vers des imprimantes qui sont définies dans le Système de spoulage d'imprimante ligne
distance (utilitaire de spoulage) d'un serveur ou d'une instance HP-UX différent. L'utilitaire de spoulage
local accepte les demandes d'impression et les soumet à l'utilitaire de spoulage distant en votre
nom. L'utilitaire de spoulage distant gère ensuite l'impression des demandes.
système Utilisé dans ce document sous deux acceptions :
1. Serveur ou sous-ensemble d'un serveur (par exemple une partition) exécutant
une copie indépendante de HP-UX.
2. Autre type d'ordinateur (par exemple un PC).
157
système de Système de fichiers contenant le répertoire racine. Il s'agit du premier système de fichiers monté
fichiers racine durant la séquence d'amorçage ; il contient les points de montage dans lesquels d'autres systèmes
de fichiers sont montés.
Voir aussi points de montage.
système de Sous-système HP-UX utilisé pour contrôler le flux d'impression afin :
spoolage • d'empêcher le mélange des sorties imprimées
d'imprimante • d'affecter un ordre de priorité aux travaux d'impression
ligne
• de contrôler qui peut utiliser des imprimantes spécifiques
• d'autoriser la maintenance d'imprimante
• de grouper des imprimantes afin de les associer à une file d'attente d'impression unique
(voir « classes d'imprimantes »)
systèmes Tout système géré par HP Systems Insight Manager, y compris les serveurs, PC de bureau et
gérés Remote Insight Boards.
threading Technique informatique parallèle utilisée par des applications et des systèmes d'exploitation afin
logiciel d'accroître les performances de traitement.
threading Technique matérielle utilisée dans les processeurs Itanium afin d'améliorer les performances de
matériel calcul d'un cœur. Les processeurs Itanium sont ceux utilisés dans les serveurs HP Integrity.
utilitaire de Voir système de spoolage d'imprimante ligne.
spoulage
vidage sélectif Vidage mémoire contenant uniquement certaines parties de mémoire sélectionnées. Les vidages
sélectifs utilisent moins d'espace disque et s'effectuent plus rapidement que les vidages complets.
Virtual Server Offre de virtualisation de serveur intégrée pour les serveurs HP-UX, Linux et Windows qui
Environment propose un environnement informatique flexible optimisant l'utilisation des ressources de serveur.
(VSE) L'environnement VSE est constitué d'une réserve de serveurs virtuels à dimension dynamique ;
chacun peut croître et diminuer en taille en fonction des objectifs de niveau de service et des
priorités commerciales. Pour plus d'informations, voir http://hp.com/go/vse.
Voir aussi objectif de niveau de service.
virtualisation
Technologies permettant d'utiliser vos ressources informatiques de manières indépendantes des
caractéristiques physiques de ces ressources. Par exemple, un volume logique peut chevaucher
plusieurs périphériques disques physiques.
volume Sous-division d'un groupe de volumes, un volume logique peut chevaucher plusieurs volumes
logique physiques ou représenter seulement une partie d'un volume physique.
La taille d'un volume logique est mesurée en unités appelées étendues. La taille des volumes
logiques peut être modifiée après leur création initiale. Les volumes logiques peuvent être étendus
et, si leur contenu le permet, réduits.
Une fois créés, les volumes logiques sont traités comme des partitions de disques. Ils peuvent
être utilisés pour des systèmes de fichiers, de l'espace d'échange, en tant que périphériques de
vidage ou pour l'accès aux disques bruts.
158 Glossaire
Vue Héritée Vue de l'arborescence des E/S utilisant des adresses de chemins d'accès matériels et des fichiers
spéciaux de périphériques hérités.
Voir aussi Vue Agile.
WBEM WBEM est un ensemble de technologies de gestion de norme Internet développé par la Distributed
(Web-Based Management Task Force (DMTF) afin d'unifier la gestion des environnements informatiques
Enterprise d'entreprise.
Management)
159
160
Index
chemins d'accès matériels SCSI-3, 75
A groupement d'imprimantes. Voir imprimante, 92
classes (imprimante), 92
accept, 94
classes de mémoire, 109
accès aux disques, distribution, 63
Clusters à distance étendue, 38, 41
accès aux fichiers
Clusters continentaux, 38, 41, 47
contrôle, 97
Clusters de campus étendus, 38, 41, 47
accès aux répertoires
Clusters métropolitains, 38, 41, 47
contrôle, 97
Clusters Serviceguard, 38, 47
accès non autorisé, prévention, 143
cœur, 22
accès Web, 123, 126
cœur de processeur. Voir cœur , 22
activation de l'espace d'échange, 83
combinaison de technologies de partitionnement, 45
addressage du stockage, 67
combinaison de technologies de virtualisation, 47
administration (de plusieurs systèmes) centralisée, 134
commandes
administration réseau
accept, 94
configuration d'une interface réseau, 148
ar, 122
outils, 147
cancel, 94
administration système, outils, 127
cmhaltcl, 40
adressage agile
cmhaltnode, 40
avantages, 71
cmruncl, 40
adresse de bus virtuelle, 76
cmrunnode, 40
adresse physique virtuelle, 76
cmviewcl, 40
ajout de modules de noyau, 49
cpio, 122
Ajout et remplacement en ligne
crashconf, 107, 111, 114, 116
cartes PCI, 145
crashutil, 116
allocation d'espace de vidage, 108
csh, 133
amorçage
disable, 94
systèmes d'exploitation multiples, 42
enable, 94
arrêt, 100
ftp, 46, 125
arrêts anormaux, 107
gzip, 122
audit, 98
icapmanage, 35
icapmodify, 35
B icapnotify, 35
baies de disques, 65 icapstatus, 35
bandes, 55 init, 105
base de données de produits installés, 121 iostat, 140
base de données utilisateur, 98 ksh, 133
blocages système, 25 lanadmin, 148
lanscan, 148
C ld, 122
C, shell, 133 linkloop, 148
cancel, 94 livedump, 120
cartes de cellules, 43 lp, 94
cartes PCI, 24 lpadmin, 94
remplacement en ligne, 145 lpalt, 94
chemins d'accès de répertoires, 50 lpfence, 94
chemins d'accès matériels lpmove, 94
formats, 75 lpsched, 94
hérités, 75 lpshut, 94
LUN, 76 lpstat, 94
SCSI-3, 75 netmgr, 123, 148
chemins d'accès matériels hérités, 75 parmgr, 136
chemins d'accès matériels LUN, 76 pax, 122
161
ping, 141 définition des périphériques de vidage, 114, 116
ppuconfig, 38 demande d'impression
psrset, 34 présentation, 87
rcp, 46, 125 priorité, 93
reject, 94 démarrage, 100
rlogin, 46 dépôts logiciels, 121
rlp, 89 désactivation de l'espace d'échange, 83
rlpdaemon, 89 destination d'impression, 93
sar, 140 disable, 94
savecrash, 112, 115, 116, 119 disponibilité élevée, 39
sd, 122, 137 disques optiques, 66
sftp, 125 distribution de l'accès aux disques, 63
sh, 133 DLT, 66
shar, 122 données, sauvegarder, 66, 67
shl, 133 durée de reprise du système, 110, 112
spb, 137 Dynamic Root Disk, 122
ssh, 46, 124
swacl, 137 E
swagentd, 137 échange de périphérique, 79
swask, 137 recommandations concernant la configuration, 84
swconfig, 137 échange de système de fichiers, 79, 80
swcopy, 137 recommandations concernant la configuration, 85
swinstall, 137 échange différé, 81
swjob, 137 échange principal, 81
swlist, 137 échange secondaire, 81
swmodify, 137 efficacité de l'accès aux données, 62
swpackage, 137 email, 123, 124
swreg, 137 émulation de terminal, 123, 124
swremove, 137 enable, 94
swverify, 137 enregistrements compressés, 112, 116
tar, 122 enregistrements non compressés, 112, 116
telnet, 46, 124 enregistrements partiels, 113, 116
top, 140 ensembles de processeurs, 33
tsm, 133 entrelacement de disque, 62
update-ux, 122, 128 Environnements d'exploitation , 21, 31
vmstat, 140 espace d'échange, 79, 112
who -r, 105 activation, 83
compartiments, 98 attribution de priorité, 85
compression de vidages, 111 définition, 84
Compteur d'utilitaires, 38 désactivation, 83
configuration d'une interface réseau, 148 échange de périphérique, 79, 84
connexions à distance, 123, 124 échange de système de fichiers, 79, 80, 85
rlogin, 46 échange différé, 81
ssh, 46 échange principal, 81
telnet, 46 échange secondaire, 81
contrôle d'accès, 97 entrelacement, 85
contrôle d'accès basé sur les rôles, 98 pseudo-échange, 79, 80
contrôle de l'accès aux répertoires et aux fichiers, 97 type, 79
cpio, 67 EVM (gestionnaire d'événements), 136
crash dumps
définition des périphériques de vidage, 114
crashconf, 107, 116 F
crashutil, 116 fbackup, 67
fichiers d'interfaces (imprimante), 87
fichiers de périphériques. Voir fichiers spéciaux de
D périphériques., 24
DDS, 66 fichiers spéciaux de périphérique hérités, 51
défaillance matérielle, protection contre, 145
162 Index
fichiers spéciaux de périphériques, 51, 69 arrêts anormaux, 107
anatomie, 69 cycle vidage/enregistrement, 107
commandes associées, 77 démarrage, 100, 106
équilibrage de la charge, 64 installation, 121
fichiers spéciaux en mode bloc, 51 interruption, 106
fichiers spéciaux en mode caractère, 51 modules de noyau, 49
formats de noms, 73 niveaux d'exécution, 100
hérités, 51, 86 noyau, 49
nouveau format, 24 outils de contrôle des performances, 140
persistants, 86 paramètres de noyau ajustables, 50
persistents, 51 principaux répertoires, 51
répertoires contenant, 73 réamorçage, 106
fichiers spéciaux de périphériques persistants, 145 répertoires, 51
fichiers spéciaux de périphériques persistents, 51 stockage, 55
fstab, 114 structure de répertoires, 50
FTP (File Transfer Protocol), 46 HP-UX 11i Release Notes, 25
FTP, client, 125 HTTP, 46, 125
ftp, commande, 125 Hypertext Transfer Protocol. Voir HTTP, 125
FTP, serveur, 125
I
G ID de LUN virtuel, 76
gestion d'HP-UX à l'échelle de l'entreprise, 135 ID utilisateur, 98
gestion de plusieurs instances d'HP-UX, 134 identificateur global, 51, 86
gestion des événements, 136 Ignite/UX, 122, 128
Gestionnaire de partition, 136 impression, 87
gestionnaires de volumes, 57 impression réseau, 90
comparaison de LVM et VxVM, 58 spoulage à distance, 89
LVM, 57, 58, 138 impression à distance, 89
sélection, 58 impression réseau, 90
VxVM, 57, 58, 138 imprimante
Global Workload Manager, 32 classes, 92
groupe de volumes racine, 139 distante, 92
groupes de volumes, 60 fichiers d'interfaces, 87, 90
groupes PRM, 31 fichiers de modèles, 90
gWLM, 32 files d'attente, 87
imprimante système par défaut, 93
H journalisation, 94
langage de commande, 91
HP Caliper, 140
locale, 92
HP GlancePlus, 140
noms, 92
HP JetDirect, 90
non-HP, 91
HP Open View Suite, 135
ordonnanceur, 87
HP SIM, 134
priorités, 93
domaine de gestion, 134
réseau, 92
serveur de gestion centralisée, 134
imprimante distante
systèmes gérés, 134
définition, 92
HP SMH, 128
imprimante locale
aperçu des actions, 132
interface de ligne de commande, 133 définition, 92
imprimante réseau
interface Web, connexion, 131
définition, 92
interface Web, démarrage, 130
imprimante système par défaut, 93
principales fonctionnalités, 132
imprimantes
HP System Management Homepage. Voir HP SMH, 128
types, 92
HP Systems Insight Manager. Voir HP SIM, 134
imprimantes PostScript, 91
HP-UX
incidents système, 107
amorçage, 106
activités de post-amorçage, 120
arrêt, 100, 106
besoins en espace disque, 115
163
enregistrements compressés, 116 volumes logiques, 60
enregistrements non compressése, 116 volumes physiques, 60
enregistrements partiels, 116
niveau de vidage, 115 M
options d'outrepassement pour l'opérateur, 117 machines virtuelles, 44
préparation, 108 matériel
qu'est-ce qui se produit durant un incident ?, 117 adressage des périphériques de stockage de masse, 75
réamorçage, 119 messagerie électronique. Voir email, 123
séquence de vidage, 118 Microsoft SMB, 126
traitement savecrash, 119
MirrorDisk/UX, 65, 143
vidage sélectif, 115 mise à jour d'HP-UX, 128
inittab, 100, 102 mise en cluster, 27
installation à froid, 127 mise en miroir de disques, 143
installation d'HP-UX, 121, 128 nombre de copies, 143
installation de logiciels, 121 performances, 64
installations de systèmes multiples, 128 mise en miroir des données, 65
Instant Capacity mise en réseau, 46
droits d'exploitation, 35 mode protégé, 98, 143
GiCAP, 34 mode standard, 98, 143
iCAP, 34 modes de fichiers, 97
TiCAP, 34 modes de répertoires, 97
Integrity Virtual Machines, 44 modification de logiciels installés, 121
Integrity VM, 44 modules
interface de ligne de commande pour HP SMH, 133 Voir modules de noyau, 49
iostat, 140 multichemin, 72
multichemin de périphérique, 64, 72
J redondance, 64
JBOD, 55
journaux N
imprimante, 94 netmgr, 123, 148
Network File System. Voir NFS, 126
K NFS, 55, 126
Korn, shell, 133 NFS (Networked File System), 46
niveau de vidage, 115
L aucun vidage, 110
vidage complet, 110
lanadmin, 148
vidage sélectif, 110
lanscan, 148
niveaux d'exécution, 100, 105
LDAP-UX, 96
niveaux d'exécution système, 105
lecteurs de disques, 55
niveaux RAID, 62
accès brut, 67
nœud racine virtuel, 76
linkloop, 148
nomenclature
LiveDump
chemins d'accès de répertoires, 50
vidages système sans incident, 120
serveur, 23
LiveDump, limitations, 121
nomenclature de serveur, 23
lp, 94
noms d'utilisateurs
lpadmin, 94
longueur, 24
lpalt, 94
noms de groupes
lpfence, 94
longueur, 24
lpmove, 94
noyau, 49
lpsched, 94
ajout de modules, 49
lpshut, 94
configuration, 49
lpstat, 94
modules, 49
lssf, 69
paramètres ajustables, 50
LVM
nswapdev, 84
groupes de volumes, 60
suppression de modules, 49
redimensionnement de volumes logiques, 61
164 Index
nPartitions, 43 périphériques
gestion avec parmgr, 136 adressage agile, 71
numéros majeurs, 69 adressage hérité, 71
numéros mineurs, 69 périphériques d'échange
double utilisation, 119
O périphériques de pagination, 112, 115
périphériques de stockage de masse
ObAM, 128
addressage, 51
objectif de niveau de service, 32
identificateur unique global, 51
objectifs de niveau de service, 135
identificateurs globaux, 86
OL*, 24
périphériques de stockage physiqu, 56
ordonnanceur d'imprimantes ligne, 87
périphériques de vidage, 112, 115
outils d'administration système, 127
définition, 114, 116
outils de ligne de commande, 133
double utilisation, 119
outils de contrôle des performances, 140, 142
perte de données, protection contre, 143
outils de gestion de serveurs multiples, 134
ping, 141
outils de gestion de serveurs uniques, 128
points de montage, 67
outils de ligne de commande pour l'administration système,
POSIX, shell, 133
133
PPU. Voir Pay per use., 37
outils pour l'installation d'HP-UX, 127
principaux répertoires, 51
outils pour la gestion des volumes, 139
priorité minimale (imprimante). Voir priorité d'imprimante, 93
outils pour la mise à jour d'HP-UX, 127
privilèges
à granularité élevée, 98
P privilèges (accès aux répertoires et aux fichiers), 97
pagination, 79 privilèges à granularité élevée, 98
paramètres ajustables PRM, 31
Voir paramètres de noyau ajustables, 50 Process Resource Manager. Voir PRM, 31
parmgr, 136 processeur, 22
Partitionnement programme de chargement, 49, 106
matériel, 43 Prospect, 140
matériel contre logiciel, 42 protection des données
types de, 42 outils, 142
partitionnement logiciel, 44 redondance, 64
fonctionnalités, 44 protocole de transfert de fichiers. Voir FTP, 125
partitions virtuelles, 44 PSETS, 33
types de, 44 pseudo-échange, 79, 80
vPars, 44 pseudo-périphériques, 51
partitionnement matériel
fonctionnalités, 43
pax, 67
R
RAID, 55, 65, 143
Pay per use, 37
RAID 0, 62
cœurs actifs, nombre de, 37
RAID 1, 65
Compteur d'utilitaires, 38
RAID 5, 62
pourcentage d'utilisation des cœurs, 37
RBAC. Voir contrôle d'accès basé sur les rôles, 98
PCL, 91
rc daemon, 102
performanced
rcp, 125
système de fichiers, 64
rcp (Remote Copy), 46
performances
application, 140 réamorçage de HP-UX, 106
redimensionnement de volumes logiques, 61
mesure avec HP Caliper, 140
redondance des données, 64
mesure avec HP GlancePlus, 140
Redundant Arrays of Independent Disks. Voir RAID, 143
mise en miroir de disques, 64
reject, 94
profil système, 140
Release Notes, 25
réseau, 141
remote copy. Voir rcp, 125
performances d'E/S, 62
répertoire
performances des applications, 142
/dev, 51
performances réseau, 141
/etc, 51
165
/home, 51 connexions à distance, 123
/opt, 51 email, 123
/sbin, 51 émulation de terminal, 123
/stand, 51, 114 systèmes de fichiers montés à distance, 123
/tmp, 51 transferts de fichiers, 123
/usr, 51 shar, 67
/usr/lib, 51 Shell Layer Manager, 133
/usr/sbin, 51 shells
/var, 51 C, 133
/var/tmp, 51 Korn, 133
répertoires, 51 POSIX, 133
fichiers spéciaux de périphériques, 73 scripts, 87
répertoires de demande, 87 shl, 133
rlogin (Remote Login), 46 simultanéité de vidage, 25, 111
rlp, 89 Software Distributor, 121
rlpdaemon, 89 Software Manager, 122
Software Package Builder, 137
S spb, 137
spoulage à distance, 89
SAM, 128
ssh (Secure Shell), 46, 124
Samba, 126
SSH FTP, 125
sar, 140
stockage, 55
sauvegardes, 143
addressage, 67
sauvegardes de données, 66
organisation, 56
sauvegardes système, 143
périphériques, 56
savecrash, 115, 116
pile, 138
scripts d'arrêt, 102
utilisations, 56
scripts de démarrage, 102
stockage de masse, 55
sd, 137
structure de répertoires, 50
Secure FTP, 125
superutilisateur, 98
sécurité, 97
support optique, 55
audit, 98
suppression de logiciels, 121
base de données utilisateur, 98
suppression de modules de noyau, 49
compartiments, 98
swacl, 137
contrôle d'accès basé sur les rôles, 98
swagentd, 137
mode protégé, 98
swapinfo, 84, 85
mode standard, 98
swapoff, 83
privilèges à granularité élevée, 98
swapon, 83
technologies de confinement, 98
swask, 137
séquence d'amorçage, 106
swconfig, 137
séquence d'arrêt, 106
swcopy, 137
séquence de vidage, 118
swinstall, 137
Server Message Block, protocole, 126
swjob, 137
serveur, 22
swlist, 137
serveur Web, 126
swmodify, 137
serveurs autonomes
swpackage, 137
technologies de virtualisation, 27
swreg, 137
Serviceguard, 39, 145
swremove, 137
messages de pulsation, 40
swverify, 137
nœuds
System Administration Manager. Voir SAM, 128
adoptifs, 39
System Management Homepage. Voir HP SMH, 128
principaux, 39
système, 22
packages
système de fichiers
basculement, 39
performances, 64
multi-nœud, 39
système de fichiers CDFS, 62
multi-nœud système, 39
système de fichiers FAT32, 62
services de mise en réseau, 123
système de fichiers HFS, 62
accès Web, 123
166 Index
système de fichiers racine, 50 terminologie, 44
mise en miroir, 65 telnet, 46, 124
système de fichiers UDF, 62 Terminal Session Manager, 133
système de fichiers VxFS, 62 threading logiciel, 22
Système de spoulage d'imprimante ligne, 87 threading matériel, 22
classes, 92 TOC. Voir transfert de contrôle, 121
commandes, 87, 94–96 Tomcat, serveur Web, 126
composants, 87 top, 140
groupes d'imprimantes (classes), 92 traitement savecrash, 119
imprimante système par défaut, 93 transfert de contrôle, 121
Intégration avec LDAP-UX, 96 transferts de fichiers, 123
schéma de raccordement, 87 transitions de niveau d'exécution, 102
spoulage à distance, 89 tsm, 133
système distant, 89 types de clusters, 40
système, incidents, 107
systèmes d'exploitation, 21 U
isolement électrique, 43 update-ux, 122, 128
isolement matériel, 43 utilitaire de spoulag
systèmes d'exploitation invités, 44 Voir Système de spoulage d'imprimante ligne, 87
systèmes de fichiers, 50, 61 utilitaire de spoulage LP
CDFS, 62 commandes, 87
échange vers, 85 demandes d'impression, 87
FAT32, 62 fichiers d'interfaces, 87
HFS, 62 files d'attente d'impression, 87
montés à distance, 126 présentation, 87
points de montage, 50 répertoires de demande, 87
pris en charge, 62 utilitaires
racine, 50 données, sauvegarder, 67
UDF, 62 utilitaires de sauvegarde, 67
VxFS, 62
systèmes de fichiers montés à distance, 123, 126
V
VERITAS Volume Manager, 57, 65
T groupes de disques, 60
tâches de gestion de volumes, 139 VERITAS Volume Manager. Voir VxVM, 138
tar, 67 vidage complet, 113
technologies d'amorçages multiples, 27 vidage sélectif, 113, 115
technologies d'équilibrage de la charge, 27 vidages, 107
technologies de confinement, 98 vidages compressés, 111
technologies de mise en cluster, 27 vidages mémoire, 107
Clusters à distance étendue, 38 configuration du système pour, 109
Clusters continentaux, 38 durée de reprise du système, 110
Clusters de campus étendus, 38 enregistrements compressés, 112
Clusters métropolitains, 38 enregistrements partiels, 113
Clusters Serviceguard, 38 intégrité des informations liées à l'incident, 113
technologies de mise en réseau, 27, 46 niveau de vidage, 110
FTP, 46 simultanéité de vidage, 111
HTTP, 46 vidages compressés, 111
NFS, 46 vidages simultanés, 111
rcp, 46 voir simultanéité de vidage, 25
rlogin, 46 virtualisation
ssh, 46 catégories, 27
telnet, 46 technologies, 27, 47
technologies de partitionnement, 27 technologies d'amorçages multiples, 27
combinaison, 45 technologies d'équilibrage de la charge, 27
comparaison, 44 technologies de mise en cluster, 27
isolation, 44 technologies de mise en réseau, 27, 46
limites de partitions, 44
167
technologies de partitionnement, 27
technologies de serveurs autonomes, 27
vmstat, 140
volumes logiques, 67
vPars, 44
vxdump, 67
VxVM, 65
Voir VERITAS Volume Manager, 57
volumes, 60
W
WLM, 32
Workload Manager. Voir WLM, 32
WWID
Voir identificateur global, 51
X
X Window, système, 128
xP/yC, 23
168 Index