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USTHB
MASTER 1 Structure
Section A Grp A12
Réalisée Par :
❖ REFAZINE Islem 161731083670
❖ GHAZLI Naim Idir 171731044009
❖ BENYAHIA Ikram 171731044102
❖ ANGUEL Fatma 181831089358
❖ BELGHENOU Abdelkader 171731092092
❖ BENSALEM Imene 161731063155
❖ EL FATI Abdessamed 171731070924
❖ BOUZIANE Zakaria 171731096756
Introduction :
Afin de savoir :
-Préparer un Béton.
-Déterminer ses propriétés à l’état frais et à l’état durci.
[- 2 -]
Analyse granulométrique par voie sèche
Introduction:
Les granulats utilisés dans le domaine de génie civil sont des matériaux roulés ou concassés
d’origine naturelle ou artificielle, de dimension compris entre 0 et 80 mm ils ne sont
généralement pas constitués par des éléments de taille égale mais par ensemble de grains dont
les tailles variées répartissent entre deux limites : la plus petite (d) et la plus grande (D)
dimension en mm.
L’analyse granulométrique s’intéresse la détermination de la dimension des grains et la
granularité concerne la distribution dimensionnelle des grains d’un granulat.
[- 3 -]
I. But de l’essai :
L’essai consiste à classer les différents grains constituant l’échantillon en utilisant une
série de tamis emboités les uns sur les autres dont les dimensions des ouvertures sont
décroissantes du haut vers le bas. Le matériau analysé est introduit dans la partie
supérieure de la série de tamis et le classement des grains s’obtient par vibration de la
colonne de tamis.
L’analyse granulométrique permet donc de déterminer la grosseur et les pourcentages
pondéraux respectifs des différentes familles de grains constituant l’échantillon.
I. Appareillage nécessaire :
[- 4 -]
Les dimensions normatives des tamis sont sériées dans le tableau :
Les tamis sont emboités de haut en bas de la maille la plus grande (D)
à la maille la plus petite (d).
3) Mode opératoire :
Pour effectuer notre essai on procède comme suit :
[- 5 -]
❖ Places le tamis correspondant à la grande maille (D) sur un fond de tamis qui servira à
recueillir le passant « tamisât ».
❖ Peser nos granulats secs : « sables et graviers en Kg ».
❖ Verser l’échantillon, en plusieurs fractions pour éviter de surcharger le tamis.
❖ Vibrer les tamis pour faire passer l’échantillon « vibration par tamiseuse électrique
pour le sable, et manuelle pour le gravier ».
❖ Poursuivre l’opération à l’aide d’une brosse ou pinceau pour accélérer le passage des
grains à travers le tamis.
❖ Arrêter lorsqu’aucun grain ne passe.
❖ Peser le refus de chaque tamis et le contenu du fond.
❖ Faire les calculs du pourcentage de refus cumulés.
Tamisage manuel
Tamiseuse électrique
[- 6 -]
III. Résultat du tamisage :
Sable fin0/3(2Kg)
Module Ouverture Refus partiel Refus Refus Tamisas
cumulés cumulés
Tamis Tamis Au tamis (g) Rn (g) cumulés % 100-Refus %
(mm)
39 6,300 4 4 0,2 99,8
38 5,000 0 4 0,2 99,8
35 2,500 10 14 0,7 99,3
32 1,250 30 44 2,2 97,79
29 0,630 91 135 6,75 93,25
26 0,315 416 551 17,1 74,45
23 0,160 1338 1889 94,45 5,55
20 0,080 99 1988 99,4 0,6
Fond 3 1991 / /
[- 7 -]
Gravier3/8(2Kg)
Module Ouverture Refus partiel Refus Refus Tamisas
cumulés cumulés
Tamis Tamis Au tamis (g) Rn (g) cumulés % 100-Refus %
(mm)
41 10,00 2 2 0,1 99,9
39 6,300 405 407 20,35 79,65
38 5,000 658 1065 53,25 46,75
36 3,150 753 1818 83,25 16,75
35 2,500 153 1971 98,55 1,45
Fond 29 2000 100 0
Gravier 8/15(4Kg)
Module Ouverture Refus partiel Refus Refus Tamisas
cumulés cumulés
Tamis Tamis Au tamis (g) Rn (g) cumulés % 100-Refus %
(mm)
44 20 13 13 0,325 99,675
43 16,00 65 78 1,95 98,05
41 10,00 3696 3774 94,35 5,65
40 8 180 3954 98,85 1,15
39 6,300 37 3991 99,775 0,225
Fond 9 4000 100 0
[- 8 -]
Gravier 15/25 (6 Kg)
Module Ouverture Refus partiel Refus Refus Tamisas
cumulés cumulés
Tamis Tamis Au tamis (g) Rn (g) cumulés % 100-Refus %
(mm)
45 25 34 34 0,56 99,42
44 20 2948 2982,8 49,71 50,29
43 16,00 2239 5221,8 87,03 12,97
41 10,00 778 5999,8 99,99 0,01
Fond 1 6000 100 0
Remarque :
• Plus le module de finesse est petit plus le sable est fin.
• Un bon sable doit avoir un 𝑴𝒇 compris entre 1.8 est 3.2
[- 9 -]
Ouverture Tamisas 43% Tamisas 57 Le melange
tamis (g) cumulés S1 cumulés %S2 %S2 43%S1+57%S2
%S1
6,300 99,85 42,94 99,8 56,9 99,8
5,000 99,85 42,94 99,8 56,9 99,8
2,500 78,85 33,91 99,3 56,6 90,4
1,250 43,15 18,55 97,8 55,7 74,3
0,630 23,05 9,912 93,25 53,2 63,1
0,315 11,5 4,9 74,45 42,4 47,3
0,160 3,65 1,6 5,55 3,2 4,8
0,080 1,85 0,8 0,6 0,4 1,2
𝑀𝑓2 < 𝑀𝑓 < 𝑀𝑓1
Courbe granulométrique :
[- 10 -]
Analyse Granulométrique
100
80
Tamisas cumulés %
Sable gros
60
Sable fin
Sable
Gravier 3/8
Gravier 8/15
40
Gravier 15/25
20
0
0.08 0.8 8 80
Tamis (mm)
[- 11 -]
Methode de composition Dreux Gorisse
Introduction:
L’étude de la composition d’un béton, consiste à définir le mélange optimal des
différents granulats dont on dispose ainsi que le dosage en ciment et en eau afin de réaliser
un béton de meilleurs caractéristique recherché tant à l’état frais qu’à l’état durcis.
Il existe différentes méthodes de composition on site : Bolomey, Fuller, Faury,
Lezzy, Dreux Gorisse….
Nous nous limiterons dans notre TP à l’application de la méthode de Dreux-
Gorisse qui a pour objectif de déterminer en fonction des critères de maniabilité et
de résistance définis la nature et les quantités de matériaux nécessaires à la
confection d’un mètre cube de béton (eau E, ciment C, sable S, gravillon g et
gravier G en kg/m3).
Cette méthode se base sur plusieurs paramètres
1. Nature de l’ouvrage :
2. Résistance souhaitée :
La résistance minimale σ’ atteinte à 28 jours est fixée, étant donné qu’elle est liée à la
résistance moyenne σ’28 par :
σ’n= 26 MPA (donnée)
d’où ;
σ’28=30 MPA
[- 12 -]
3. Consistance désire :
Elle est fonction de la nature de l’ouvrage (plus ou moins massifs ou plus ou
moins ferraillé), de la difficulté du bétonnage, des moyens de serrage, etc…, elle
peut se définir en général parla plasticité désirée mesurée par affaissement au cône
d’ABRAMS comme indiqué le tableau suivant :
Tableau1: Consistance
On prendre :
• Plasticité : plastique
• Serrage : vibration courante
• Affaissement : 8 cm
[- 13 -]
Caractéristique de la pièce à bétonner Granulat D (tamis)
Roule Concasse
Tableau2. : Evaluation de D.
[- 14 -]
I. Détermination des dosages en ciment :
Avant d’aboutir au dosage en ciment on évalue le rapport C/E qui est le rapport entre la
quantité de ciment et celle de l’eau, ce rapport se déduit à partir de la formule de BOLOMEY
σ’28=G .σ’c. (C/E-0.5)……………….(1)
σ’28= 1.15 σ’n….………………………(2)
Où:
▪ σ’28 : Résistance moyennes en bars à 28 j
▪ σ’c : classe vraie du ciment en bars à 28j. Ce que l’on désigne par la classe vraie de
ciment est la résistance vraie, alors que sa dénomination, CEM I42.5 veut dire que la
résistance minimale de ce ciment est supérieure à 425 bars.
Tableau 4 : Valeur de G
On prendre :
Qualité des granulats : Bonne courante et on a Dmax=25mm nous somme donc dans la
deuxième colonne 25mm< D <40mm
G=0.50
𝝈’𝟐𝟖
De la formule (1) on a donc : C/E= + 𝟎. 𝟓
𝑮. 𝝈’𝒄
[- 15 -]
AN:
𝑪 𝟐𝟗𝟎 𝐶
= + 𝟎. 𝟓 =1.91
𝑬 𝟎.𝟓𝟎×𝟒𝟐𝟓 𝐸
Figure 01
C= 394.44 kg
Détermination de Cmin :
En aucun cas le dosage en ciment ne doit être inférieur au dosage minimum qui est en
fonction du milieu de l’ouvrage ou à celui qui est demandé par le calculateur ou préconiser
pour un emploi particulier
[- 16 -]
Milieu Dosage minimum en ciment Application numérique
d’exposition de pour 1 m3 de béton [kg/m3]
l’ouvrage
Remarque :Notre béton est bon même dans le milieu non agressif.
• Correction en % sur le dosage en eau en fonction de D :
Aucune correction
394.4
C/E=1.91⇒ E= =206.5m3
1.91
E=206.5 m3
[- 17 -]
II. Détermination de la courbe granulométrique de référence
Dans la méthode de DREUX GORISSE on détermine d’abord la courbe granulométrique à
l’échelle semi-logarithmique qui s’approche d’une courbe granulométrique de référence.
• Cette courbe est composée de deux demi-droite qui se rencontrent au point A désigne
par terme point de brisure. A remarque que le ciment n’est pas inclus dans cette
courbe.
• Le point B:
𝑋𝐵 = 𝟐𝟓𝒎𝒎
Dmax=25mm
𝑌𝐵 = 𝟏𝟎𝟎%
• Le point A:
X1 + X 2
si D ≥ 20mm XA = = 11.25 mm
2
𝑌𝐴 = 50 − √𝐷 + 𝑘 = 43,42
K : terme correction qui dépend du dosage en ciment, de l’efficacité de vibration et de la
forme du granulat (roulé ou concassé)
K=K’ +Ks +Kp
44.44 × −2
400-350=50 -2X= = −1.76d’où K= -1.76
50
399.4-350=44.44 X
[- 18 -]
Analyse Granulométrique
100
80 B
Tamisas cumulés %
60 Sable
Gravier 3/8
Gravier 8/15
Gravier 15/25
40 ref
A
20
0
0.08 0.8 8 80
Tamis (mm)
[- 19 -]
Analyse Granulométrique
95%
100
80
Tamisas cumulés %
Sable
60
Gravier 3/8
Gravier 8/15
40
Gravier 15/25
courbe de reference
20
5%
0
0.08 0.8 8 80
Tamis (mm)
. L’intersection des droites ainsi tracées avec la droite brisée de Dreux permet, par
prolongement sur l’axe des ordonnées, de déterminer les pourcentages en volumes absolus de
chaque matériau.
[- 20 -]
Analyse Granulométrique
100
80
Tamisas cumulés %
60 Sable
Gravier 3/8
Gravier 8/15
Gravier 15/25
courbe de reference
40
20
0
0.08 0.8 8 80
Tamis (mm)
-Sable = 28%
-Gravier 3/8 = 42-28= 14%
-Gravier 8/15 = 66-42 = 24%
-Gravier 15/25 = 100-66 = 34%
[- 21 -]
❖ Détermination des volumes des granulats
A partir des proportion obtenus il nous reste à déterminer les qualité à prendre.
Pour cela on utilise la valeur du coefficient de compacité de Dreux -Gorisse noté
𝑽𝑺 +𝑽𝑮𝟏 +𝑽𝑮𝟐 +⋯+𝑽𝑮𝒏 +𝑽𝒄𝒊𝒎𝒆𝒏𝒕
ɣ= / avec : 𝑽𝒕𝒐𝒕𝒂𝒍 =1m3=1000L
𝑽𝒕𝒐𝒕𝒂𝒍
𝟒𝟒𝟎
𝒗𝒄 = = 𝟏𝟐𝟕. 𝟐𝟒𝒍 = 𝟎. 𝟏𝟐𝟕𝒎𝟑
𝟑. 𝟏
Calcul du valeur de ɣ :
Consistanc Serrage D=5 D=10 D=12.5 D=20 D=31.5 D=50 D=80
e
Piquage 0.750 0.780 0.795 0.805 0.810 0.815 0.820
Molle Vibration faible 0.755 0.785 0.800 0.810 0.815 0.820 0.825
Vibration normale 0.760 0.790 0.805 0.815 0.820 0.815 0.830
Piquage 0.760 0.790 0.805 0.815 0.820 0.825 0.830
Plastique Vibration faible 0.765 0.795 0.810 0.820 0.825 0.830 0.835
Vibration normale 0.770 0.800 0.815 0.825 0.830 0.835 0.840
Vibration puissance 0.775 0.805 0.820 0.830 0.835 0.840 0.845
Vibration faible 0.775 0.805 0.820 0.830 0.835 0.840 0.845
Ferme Vibration normale 0.780 0.810 0.825 0.835 0.840 0845 0.850
Vibration puissance 0.785 0.815 0.830 0.840 0.845 0.850 0.855
Remarque :
Ces valeurs sont convenables pour des granulats roulés, sinon nous conviendrait de diminuer
les valeurs de ɣ de :
0.01 pour le sable roulés et gravier concassé.
0.03 pour les granulats légers le sable et gravier concassé
[- 22 -]
𝒄−𝟑𝟓𝟎
pour C ≠ 350 kg/m3
𝟓𝟎𝟎𝟎
Vagregats=1000×0.817−394.4=689.9 𝑚3
3.1
[- 23 -]
Dans notre TP, lors de la gâche on a utilisé les quantités suivantes (les valeurs du G1):
[- 24 -]
REALISATION D’UNE GACHEE D’ESSAI EN
LABORATOIRE
I. But de l’essai
Grace aux calculs préalablement fait pour une gâchées de béton prévu pour un mètre cube,
nous allons réaliser plusieurs éprouvettes dz tester leur résistance.
Pour cela il nous faut 6 éprouvettes cubiques « 03 sans adjuvant et 03 avec adjuvant » et 3
éprouvettes cylindriques sans adjuvant.
Aiguille vibrante
[- 25 -]
Malaxeur
Éprouvette
Adjuvant
[- 26 -]
V. Déroulement de l’essai : Le 30-11-2021
➢ Nous Pesons les différents matériaux à l’aide d’une balance.
➢ Nettoyer et humidifier le malaxeur.
➢ On verse le gravier et le sable dans le malaxeur.
➢ On Malaxe pendant +30 s.
➢ On Ajoute ensuite tout le ciment.
➢ On Malaxe à sec les granulats avec le ciment.
➢ Après on ajoute toute l’eau pendant que le malaxeur continue de tourner.
➢ On Continue à malaxer jusqu’à ce que le béton paraisse homogène.
➢ A l’aide d’une truelle nous essayons d’atteindre les parois du malaxeur là où se trouve le
ciment non hydraté, et répéter l’opération jusqu'à ce que tout le ciment soit mélangé.
➢ On remplit les moules préalablement huilés à l’aide d’un pinceau et a l’aide d’une truelle
on arase et on lisse la surface.
➢ On introduit une aiguille vibrante dans les différents moules qui a pour objet de favoriser
l’arrangement des grains et diminuer les vides d’air.
➢ Encore une fois une lisse les surfaces à l’aide d’une truelle.
➢ Ces éprouvettes sont maintenues ensuite dans les moules pendant 24 h.
[- 27 -]
❖ Remplir les éprouvette a l’aide d’une truelle.
Le 01-12-2021
➢ Après 24h on décoffre notre éprouvettes, et mettre dans l’eau pendant 15 jours
pour évité les fissurations.
[- 28 -]
VI. Résultat:
Apres le démoulage, les éprouvettes sont pesées et conservées dans l’eau à 20 C jusqu’à l’âge
de l’essai.
[- 29 -]
ESSAI D’AFFAISSEMNT AU CONE
D’ABRAMS :
I. Objet :
L’essai d’affaissement au cône d’Abrams aussi connu sous le nom de « slump-test », consiste
à déterminer l’ouvrabilité du béton.
C’est l’essai le plus couramment utilisé car il est très simple à mettre en œuvre.
L’essai peut être réalisé aussi bien au laboratoire que sur chantier.
Il s’agit de constater l’affaissement d’un cône de béton sous l’effet de son propre
poids. Plus cet affaissement sera grand et plus le béton sera réputé fluide.
L’équipement se compose de :
➢ Moule tronconique métallique sans fond de 300 mm de haut,
200 mm de diamètre en sa partie inferieure et de 100 mm en
sa partie supérieure (volume 5,5 L) ;
➢ Plaque d’appui rigide et plate ;
➢ Tige de piquage de 16 mm de diamètre
et de 600 mm de longueur ;
➢ Portique de mesure avec une règle
graduée de 0 à 300 mm ;
➢ Entonnoir, pouvant se fixer sur le cône ;
➢ Main écope
[- 30 -]
Immédiatement après avoir retiré le moule, l’affaissement est mesure
par différence entre la hauteur du moule et le point le plus haut du béton affaisse
Retiré le moule
[- 31 -]
V. Résultat:
L’affaissement peut prendre différentes formes :
-Après l'ajout de super-plastifiant l'affaissement trouvé est 21 cmdonc c'est un béton : fluide,
très humide et à maniabilité élevée.
[- 32 -]
Essai de compression et traction des éprouvettes
cylindriques et cubiques
INTRODUCTION:
La résistance d'un béton est une notion toute relative et elle dépend de la méthode d'essai
utilisée (comprenant la forme des éprouvettes).
Les essais mécaniques sont des essais qui ont pour but de déterminer la résistance spécifique
du béton durci après décoffrage que ça soit des éprouvettes cubiques ou bien cylindriques.
On retrouve des essais non destructifs (sons dégradation du béton) et des essais destructifs.
Posées dans l’eau dont leur Age est de 14 jours (pour avoir la résistance à 28j on fera une
interpolation à l’aide de formules mathématiques)
[- 33 -]
b) on place les éprouvettes dans l’appareil :
❖ 2eme exemple
Bien sur ces différences entre les 2 graphes
❖ 1 er exemple :
Est due au changement de la vitesse….
[- 34 -]
➢ On fait exactement la même chose avec
Les éprouvettes cylindriques
[- 35 -]
Comme ceci sur l’appareil de fendage :
CONCLUSION :
On note bien que les gros agrégats sont plongés tout au fond du cylindre sous l’effet de la
gravité et les agrégats fins restent plutôt en surface. Et la résistance du béton à la traction est
de l’ordre
1/10 de sa résistance à la compression c’est pour ça qu’on considère que le béton ne travaille
pas à traction
[- 36 -]
6/-essais non destructifs
➢ But de l’essai :
Ces essais non destructifs sont appelés essai au scléromètre et essai ultrason, le
premier nous permet d’obtenir rapidement la résistance du béton et le second
d’apprécier la qualité du béton d’un ouvrage sans procéder dans les deux cas à des
prélèvements de béton durci par carottage
➢ L'essai au scléromètre:
[- 37 -]
7/-résistance des éprouvettes :
Comme notre béton n’a pas atteint les 28j (dans notre cas on est a 14J) alors on procède avec
la formule suivante pour avoir fc28 :
4,76+0,83 𝐽
Fc28 = Fcj
𝐽
[- 38 -]
Conclusion :
La réalisation d'un béton passe par plusieurs étapes afin d'aboutir a un béton
avec des caractéristiques bien définit on utilisé la méthode de Druex-gorisse
mais aucune erreur n’est autorisée c'est pour cela que parfois une correction
s'impose sur la détermination des composants du béton pour avoir une gâchée la
plus exacte possible afin d'avoir un béton utilisable sur chantier ou sur le
marché.
On a constaté aussi qu’un seul essai n’est pas suffisant pour donner une bonne
formule du béton avec un poids volumique il faut alors corriger les quantités
des matériaux pour un mètre cube du béton et refaire des gâchées jusqu'à ce que
le résultat soit plus dans la norme . Aprés durcissement le béton subira plusieurs
essais destructifs est non destructif pour vérifier les exigences des conditions de
résistance d'un béton.
[- 39 -]