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MÉCANIQUE
I. LA NOTION DE FORCE
1. Rappel de la notion de force
2. Objet tiré à l’aide d’un fil
3. L’utilisation du dynamomètre
4. Caractéristique d’une force
II. LE POIDS D’UN CORPS
1. Équilibre d’un solide sou mis à deux forces
2. Le poids d’un corps
III- LA MASSE D’UN CORPS
1. Définition
2. Relation entre le poids et la masse
3. Représentation graphique P : f (m)
IV- LA POUSSE D’ARCHIMEDE
1. Équilibre d’un solide sou mis à trois forces
2. La valeur de la poussée d’Archimède
3. La masse volumique
4. Mesure du poids du liquide déplacé
5. Principe d’Archimède
6. Théorème d’Archimède
7. Les facteurs qui influent la poussée d’Archimède
V- LES CORPS FLOTTANTS
VI- LE TRAVAIL ET LA PUISSANCE
1. Force constante
2. Travail de la force constante
3. Le travail du poids
4. La notion de puissances
ELECTRICITE
LES CONDUCTEUR OHMIQUE
1. Description d’un conducteur ohmique
2. Caractéristique d’un conducteur ohmique
3. Loi d’Ohm
4. La résistance d’un conducteur ohmique
5. Le rhéostat
6. La puissance et l’énergie électrique
OPTIQUE
1. La réflexion de la lumière
2. La réfraction de la lumière
3. Analyse et synthèse de la lumière blanche
CHIMIE
RAPPEL
A. Atome
B. Molécule
C. La mole
D. La masse molaire
E. Le volume molaire d’un gaz
QUELQUE REACTION CHIMIQUE
A. Notion de réaction chimique
B. Réaction entre le fer et le soufre
C. Combustions vive et lente du fer
D. Combustion du butane
E. La combustion du butane
LA SOLUTION AQUEUES
A. Rappels : solvant, soluté, solution
B. Concentrations massique et molaire
SOLUTION DE CHLORURE DE SODIUM, D’ACIDE CHLORHYDRIQUE ET DE
SOUDE : CONCENTRATION MOLAIRE EN ESPÈCE IONIQUE
A. Solution de chlorure de sodium
B. Solution d’acide chlorhydrique
C. Solution de soude
D. Concentration molaire en espèce ionique
RÉACTION ENTRE LA SOLUTION D’HYDROXYDE DE SODIUM (SOUDE) ET LES
IONS : Cu2+, Fe2+, Fe3+ et Zn2+
A. Réaction entre la solution de soude et l’ion Cu2+ (dans une solution de sulfate
de cuivre)
B. Réaction entre la solution de soude et l’ion Fe 2+ (dans une solution de sulfate
de fer II)
C. Réaction entre une solution d’hydroxyde de sodium et l’ion Fe 3+ (dans une
solution de sulfate de fer III)
D. Réaction entre la solution d’hydroxyde de sodium et l’ion Zn2+ (dans la solution
de sulfate de zinc)
MECANIQUE
I- LA NOTION DE FORCE
1. Rappel de la notion de force
1.1. Observation dans la vie courante
- Un bœuf tire une charrette.
- Des hommes poussent une voiture.
- Une bouteille est cassée par un marteau.
1.2. Interprétations
- L’effet de la force appliquée par le bœuf, les hommes entraine un mouvement de déplacement de la
charrette et de la voiture.
- L’effet de la force appliquée par le marteau entraine une modification de la bouteille
1.3. Conclusion
On appelle force toute cause capable de produire un mouvement de déplacement d’un corps,
une modification (ou déformation), une modification de sa trajectoire (de son mouvement).
A B
g
AB : déplacement
2.1. Observation
2.2. Interprétation
2.3. Conclusion
3. L’utilisation du dynamomètre
3.1. Dynamomètre
Anneau
Corps
Ressort
On tire à l’aide d’un fil une boite de craie à l’extrémité du fil on accroche un dynamomètre.
D.A A B
0,2N
1.1. Observation
- La boite de craie se déplace.
- L’index du dynamomètre indique 0,2N.
1.2. Interprétation
- La boite de craie est sou mise à la force de traction de la main.
- Il fait une force 0,2N pour déplacer la boite de craie.
1.3. Conclusion
- La force permet de déplacer la boite de craie
- L’unité de l’intensité de la force est le Newton de symbole N.
4. Caractéristique d’une force
Une force est caractérisée :
- Un point d’application (c’est le point sur lequel s’exerce la force, c’est le point d’attache de l’objet ou
point de contact).
- Une direction (soit horizontale ou verticale).
- Un sens (indiqué par la flèche)
- Une intensité (l’intensité est la longueur du vecteur force, calculer à l’aide d’une échelle).
𝐴𝑝𝑝𝑙𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛
𝑅𝑒𝑝𝑟é𝑠𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟
𝑃+𝑇=𝑂
P–T=O
P=T
𝑷
Caractéristique
Point du corps La tension du fil 𝑻
- Direction : Verticale - Direction : Verticale
- Sens : Vers le bas - Sens : Vers le bas
- Point d’application : centre de gravité G - Point d’application: le point d’hache (le point A)
Condition d’équilibre
Un solide sou mis à deux est en équilibre si les deux force son opposées.
Potence
Observation :
- Le poids se tend verticalement (sous l’action
du poids de la pierre
- La direction prise par le fil est la direction du
poids
Conclusion :
- La direction du poids est verticale
Expérience 2 :
On coupe le fil.
Potence Fil
Observation :
- Le morceau de pierre tombe et effectue un
mouvement de « Chute libre »
𝑷
Conclusion :
- Le poids est toujours dirigé vers le bas et s’applique
au centre de gravité.
2.3. L’intensité du poids :
Le poids est une force, il est exprimé en Newton (N) et l’intensité se mesure avec un dynamomètre.
- Direction : Verticale
- Sens : Vers le bas
- Point d’application : centre de gravité G
- L’intensité : La longueur du vecteur (calculer à l’aide d’une échelle)
TAF : Travail A
𝑷
Calculer et comparer le rapport
𝒎
- En en lieu donne le poids d’un corps et la masse sont proportionnels.
𝑷
𝒎
=g g : est appelé l’intensité de la pesanteur
g: est exprimé N/KG
𝑷
𝒈 = 𝒎 d’où P = m.g
Représentation graphique
1cm représente 1N
5
4
3 La nature de la courbe P= f(m) est une
2 droite passant par l’origine.
1
0
0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 m(kg)
IV- LA POUSSEE D’ARCHIMEDE On appelle poussée d’Archimède la force qu’un
fluide (liquide ou gaz) exerce sur un corps qui y
1. Equilibre d’un solide sou mis à trois forces est partiellement ou totalement immergé.
Expérience
Dynamomètre supérieur
(S)
𝐹 𝑃
Dynamomètre inferieur
Observation
On peut écrire :
𝑃+𝐹+ 𝑇= 𝑂
P+ F+ T= O
D’où T = P + F
𝐹 𝐹
𝐹 = 2𝑁
𝑃 (fig 1) (fig 1)
𝐹
Observation :
- Le dynamomètre indique le poids dans l’eau ou poids réel P (fig 1)
- Le dynamomètre indique le poids apparent ou poids dans l’eau F qui est inferieur du poids réel (F<P)
Interprétation
La diminution du poids indiquée le dynamomètre d’une poussée ascendante exercée par l’eau notée F est
appelée : poussée d’Archimède.
Conclusion
La poussée d’Archimède est un force verticale est égale à la différence entre le poids réel et le poids apparent.
F=P-F
2.2. La masse volumique
𝒎
a=
𝑽
Le volume du liquide versé est aussi le volume du solide immergé. C’est égale aussi le volume du liquide
déplacé.
Principe d’Archimède
Le volume du solide immergé est égal au volume du liquide déplacé.
VS = VL
Calculons de poids liquide déplacé
PS = mL .g
𝒎
aL = d’où mL = aL . 𝑽𝑳 Ou PL = aL . 𝑽𝑳 . 𝒈
𝑽𝑳
PL = aL. 𝑽𝑳 . 𝒈
V- THEOREME D’ARCHIMEDE
Tout corps plongé dans un liquide en équilibre subit de la par du liquide poussée verticale dirige vers
le haut qui est égale au poids du liquide déplace.
Observation :
® 𝑭
La brille acier, tombe au fond du récipient la brille, son pound est plus
𝑷 grand que la poussée d’Archimède (fig1).
Conclusion :
(fig1)
Un corps homogéne coule si P>F
Expérience : un morceau de bois sec de forme cylindrique plonge complètement dans l’eau, (schéma)
Observation :
Le morceau de bois remonte vers la surface de l’eau son poids est alors inférieur à la poussée d’Archimède
(fig2) P<F
𝑭
𝑭 𝑷
𝑷
(fig 2) (fig 3)
Lorsque le morceau de bois arrive a la surface de l’eau. Le volume de l’eau déplacée diminue et la
poussée d’Archimède devient égale au poids du morceau de bois lorsqu’il se flotte (fig3)
Conclusion : un corps homogène flotte P=F (condition d’équilibre d’un corps flottant)
Condition d’équilibre d’un corps flottant
Lorsqu’un corps flottant est en équilibre à la surface d’un liquide, le poids du liquide déplacé la partie
homogène est égale au poids du corps
un corps va couler : P>F
P=mg et F=aL vL G
𝐦s
On sait que = aS = d’où ms= as vs
𝐯s
P=mg et F=aL vL g
P>F
as vs g = aL vL g =>as >aL un corps va couler
un objet homogène couler si sa masse volumique du liquide dans le quelle est plonge
un corps remonte à la surface de l’eau si P<F
mg < aL vL g
aS vS<aL vL g avec vS=vL
aS<aL le corps remonte à la surface du liquide
un corps flotte si P=F
as = aL
La densité d’un corps par rapport à l’eau
On appelle densité d’un corps par rapport à l’eau le quotient de la masse volumique as par la masse
volumique de l’eau as
𝐚𝐬
d’=
𝐚𝐥
Application
Exprimer la densité de fer on donne a fer=7,8g/cm3
al=1g /cm3
a Fer
d fer = = 7,81=7,8 d Fer =7,8
𝑎L
Remarque
La densité n’a pas d’unité
Le voleur de la masse volumique
Récapitulation
Un corps va couler si :
P>F
as > a
ds = 1
Un corps remonte à la surface de l’eau si P > F
Un corps flotte si
P>F
as > aL
ds > 1
un corps flotte si
P=F
as = aL
ds = 1
1- FORCE CONSTANCE
Un e force est dite constante si sa direction, son sens et son intensité ne varie pas au cours du temps.
2- TRAVAIL D’UNE FORCE CONSTANTE
On admet :
Le travail d’une force constante dont le point d’application se déplace sur sa droite d’action est égal en
valeur absolue du produit de son intensité et la longueur du déplacement.
W = F. l
W = le travail est exprimé en Joule (J)
F= force constante exprimée en N
l = longueur du déplacement exprimée en mètre (m)
1er cas
- Le signe de travail est positif W > 0
Si la force et le déplacement ont de même sens on dit qui le travail et moteur.
2e cas
- Le signe de travail est négatif W <0
Si la force et le déplacement on sens contraire, on dit que le travail est résistant.
Le travail du poids
Le travail du poids est le travail effectué par le poids d’un corps. Le travail du poids est indépendant du chemin
suivit et il dépend seulement différence d’altitude entre le point de dépend et le point d’arrive du centre
gravité.
Avec P = mg
W (P) = Ph
W (P) = mgh h : hauteur
Application
On lace un corps homogène S de masse = 270g vers le haut à partir d’un point se trouve à une hauteur
h=5m. Le corps (S) n’est alors soumis qu’à son poids.
On prend g = 10N/kg
3- LA NOTION DE PUISSANCE
Définition :
On appelle puissance mécanique d’une machine le travail qu’elle effectué par unité de temps :
Expression de la puissance
Unité :
𝑊
𝑃= P= est exprimée en watt (w)
𝑡 W= est exprimée en Joule (J)
T= est exprimée en en seconde (s)
Autre unité :
1C.V =736w
Remarque :
𝑊 Avec w=Fl
𝑃=
𝑡
P
𝑃=
Fl
𝑡
l
=Fx𝑡=Fxv => P = F.v
Application
Une automobile roule à la vitesse constante de 72 km/h sur une route horizontale.
Calculer la puissance développée par le moteur sachant que la force de traction a comme intensité
800N
Remarque
En relation avec puissance le travail est exprimé en watt-heur (wh). Le watt-heur par un moteur de
puissance 1w pendant 1h de temps.
1wh = 36.000J
ELECTRICITE
I. LES CONDUCTEUR OHMIQUE
I+ G
A
U = f(I)
1cm =>0,1A
Ces trois résistances peuvent remplacer par une seule résistance appelée : la résistance du résistor
équivalent (résistance équivalant).
𝐼+ -G
I1 I2 I3
R1 R2 R3
U1 U2 U3
D’où Re = R1 + R2 + R3
Application
Trois résistors R1, R2 et R3 sont identiques de valeur commune 47Ω
Calculer la résistance du résistor équivalente à leur montage en série.
4.2. Résistance montées en dérivation
Considérons deux résistances R1et R2 montées en dérivation.
I+ -G
D’après loi d’Ohm :
Loi des l’intensité : I = I1 + I2
I
I1 U = ReI d’où I = 𝑅 (Loi des nœuds)
𝑒
R1 U
U1 = R1I1 d’où I1 = 𝑅 1 I = I1 + I2
1
U1
U 𝑈 U1 U2
U2 = R2I2 d’où I2 = 𝑅 2 = +
I2 R2 2 R e 𝑅1 𝑅2
U2
Loi de la tension :
U = U1 = U2
𝑈 U1 U
Re
= 𝑅1
+ 𝑅2
2 1 1 1 𝑅 ×𝑅
=𝑅 +𝑅 Où R e = 𝑅1 + 𝑅2
𝑈 1 1 Re 1 2 1 2
Re
=𝑈 𝑅1
+𝑅
2
1 1 1 𝑅 𝑅 𝑅 +𝑅
Re
= 𝑅 + 𝑅 = 𝑅2+ 𝑅1
1 2 1× 2
=> R1 e
= 𝑅2 × 𝑅1
1 2
1(𝑅1 × 𝑅2 ) = R e = (𝑅2 + 𝑅1 )
𝑅1 × 𝑅2
Re =
𝑅1 + 𝑅2
Application
Curseur
Rh
P= UI
Unité
- La lampe qui consomme la plus grande puissance fournit les plus grands éclairants.
- La puissance apparait donc comme la grandeur traduisant la performance d’un appareil
- Un récepteur électrique est caractérisé par sa tension et sa puissance.
3. L’ENERGIE ELECTRIQUE
L’énergie électrique consommée par un appareil dépend de sa puissance P et de la durée t de passage du courant
électrique.
On sait que
𝑤
𝑃= D’où w=Pt avec w=E (E énergie)
𝑡
(J)
(s)
E= Pt (w)
E = UIt
(v) (A)
Remarque
E : est exprimée en watt-heur (Wh) 1wh = 3600J
P : est exprimée en watt (w)
t : est exprimée en heure (h) 1Kwt = 1000Wh = 3.600.000J
Application
Deux lampe L1 (6V ; 0,1A) et L2 (6V ; 0,3A) sont alimentées sous une tension de 6V.
Manivelle
Aimant
DALA DELB
Bobine
En faisan tourner par une manivelle un barreau aimant l’une de face d’une bobine, il apparait aux alternative.
Symbol
P1
220V S1
6V
S2
P2
P1
P2
Transformateur normalise
L’alternateur comporte une partir fine : (la stator) et une partie mobile (le rotor)
2.4. Le transport d’électricité
Pour assure un meilleur rendement le transport d’électricité se fait sous haute tension.
L’électricité est distribuée aux utilisateurs sous des tensions plus basse 220V appelé tension de secteur.
Cette tension est alternative et change des signes dans un rythme très rapide.
La ligne de secteur de la JIRAMA arrive au compteur de l’habitation est constitué de deux fils conducteur phase et
neutre.
- Ces deux fils ne jouent pas le même rôle cette ligne d’arrivées traverse successivement.
- Le compteur et le disjoncteur à ses bornes sont branchés en dérivation les lignes de distribution qui aliment
les différents appareils domotique.
2) Schéma d’une installation domotique L
f2
C D
C : Compteur
D : Disjoncteur f1 P
L : Lampe
f : fusible L
P : Prise
Prise de terre
3. Rôle du compteur
Sécurité
- Ne pas toucher un fil de phase.
- Il faut utiliser le gros fil
- Bien calibrer le disjoncteur
- Ne pas crée un court circuit (contact direct de fil de phase et neutre)
5. Calcule
a) Puissance maximales (P.max)
c) Énergie totale
Q=E
-----------------x-------------------------------x-------------------------------------x---------------------------------x-------------------------------
Lecture chaleur nominale d’une résistance manquée avec des anneaux couleur.
1er 2e 3e 4e
Bleu
R = 360 ∩ Marron
7300 ∩
73x102 = 7300 ∩
OPTIQUE
1. Phénomène de réflexion
On sait que les objets se reflètent dans un sulfate bien poli (métallise ou non) telle qu’un miroir, la
surface d’une nappe d’eau….
2. Le miroir plan
- On appelle miroir plan une surface bien polie, plane et réfléchissante.
- Si on en U ou un faisceau lumineux appelé faisceau incident sur miroir plan ; on voit partir un
autre faisceau lumineux appelé faisceau réfléchi dans une direction bien défini
Ce revoie de la lumière dans une direction privilégiée est appelé phénomène de réflexion
Remarque
La réflexion de la lumière est le changement de direction subit par un rayon lumineux lorsqu’il
rencontre une surface bien polie.
3. Schéma de la réflexion de la lumière
S
N
𝑖 𝑟
(m)
I
SI = rayon incident
I = Point d’incidence
IN = Normale
𝑆𝐼𝑁 = 𝑖 = 𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒 𝑖𝑛𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑐𝑒
N𝑖𝑅 = 𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑟é𝑓𝑙𝑒𝑥𝑖𝑜𝑛
4. Image d’un objet dans un miroir
a) Image de deux objets
A A’
B J (M) J’ B’
b) Observation
On dispose en AB et A’ B’ deux bougies de même hauteur symétrique par rapport au miroir
plan (M) vertical. L’expérience montre alors que si on allume la bougie AB, l’autre vu à travers le
miroir semble d’allumer aussi.
C’est donc que les rayons issus d’un point A de l’objet qui entre dans l’œil après être réfléchi
sur un miroir plan (M) ; semble venir du point A’ symétrique de A par apport à ce miroir plan l’œil
voit un point lumineux, on dit que A’ est l’image virtuelle du point A.
𝑖 𝑟
I (m)
1er Loi
Le rayon réfléchi et le rayon incident se trouvent dans un même plan d’incidence.
2e Loi
L’angle d’incidence est égal à l’angle réfléchi
mes 𝒊 = mes 𝒓
Quelques définitions
Milieux 1 I
Surface de séparation
Milieux 2
Rayon réfracté
IR
Le rayon incident SI qui se propage dans le milieu (1) rencontre la surface de séparation au point
d’incidence I. il donne dans le milieu (2) un rayon réfracté IR.
On trace le normale N’ IN à la surface de séparation.
Le plan d’incidence (P) défini par le rayon incidence et la normale à la surface de séparation deux
milieux transparents. L’angle de réfraction est l’angle 𝑟 du rayon réfracté avec la normale N’IN.
60°
I
CHIMIE
RAPPEL
A- Atome
1. Définition
La matière est formée à partir de particules infiniment petites appelées atomes.
2 Description
Un atome est constitué d’un noyau, autour duquel se déplacent des électrons.
a- Le noyau
Le noyau est formé de neutrons électriquement neutres et de protons chargés
positives. La charge électrique d’un proton est +1,60.10-19C (C est le symbole du coulomb,
unité de quantité d’électricité).
b- Les électrons
Un électron est chargé négativement dont la charge électrique est : -1,6.10-19C.
Remarque
La charge électrique négative portée par les électrons est égale à la charge
électrique positive des protons donc l’atome est électriquement neutre. La charge totale
de l’atome est nulle
3 Symbole et Numéro atomique d’un atome (Z)
Chaque atome possède un nombre d’électrons égal au nombre de protons noté Z. Ce
nombre s’appelle numéro atomique de l’atome.
Remarques
Tous les électrons sont identiques, quel que soit l’atome auquel ils appartiennent,
son symbole est e-
A chaque valeur du numéro atomique Z correspond un type donné d’atome.
On représente un atome par son symbole.
1. Définition
Une molécule est formée de deux ou plusieurs atomes liés entre eux
Une molécule est représentée par sa formule chimique.
2. Exemples
Molécule de dihydrogène : H2
Molécule d’eau de formule chimique : H2O
Molécule de dioxyde de carbone : CO2
3 Ion
1- Définitions
Un ion est un atome ou groupes ayant gagné ou perdu un ou plusieurs électrons
donc porteurs de charges électriques. On distingue deux sortes d’ions :
Ion chargé positivement appelé cation. Il provient d’un atome ou groupe d’atomes
qui a perdu un ou plusieurs électrons.
Ion chargé négativement appelé anion. Il provient d’un atome ou groupe d’atomes
qui a gagné un ou plusieurs électrons.
2- Formules de quelques ions
Anions Cations
Ion chlorure : Cl-
Ion hydrogen: H+
Ion oxygène : O2-
Ion sodium: Na+
Ion sulfate : SO 42-
Ion fer: Fe2+
Ion Nitrate : NO3-
Ion cuivre: Cu2+
Ion carbonate: CO 32-
Ion calcium : Ca2+
Ion hydroxyde: OH-
Ion hydronium : H3O+
Ion permanganate: MnO 4-
Remarques
Les ions Fe2+ ; O2- ; H+ sont des ions monoatomiques.
Les ions MnO4-, SO42-, H3O+, sont des ions polyatomiques.
Le nombre d’atomes formant la molécule est appelé l’atomicité :
Exemple molécule H2O
2 constituants : H et O
Atomicité = 3 ;soit 2 Hydrogène et 1 Oxygène
C. La mole
1. Le nombre d’Avogadro
La masse d’un atome (ou d’une molécule ou d’un ion) est extrêmement petite. Il est
impossible de faire des expériences quantitatives de chimie à l’échelle atomique. Les
chimistes prennent alors un nombre d’atomes bien déterminé. Ce nombre, noté N A
s’appelle nombre d’Avogadro.
NA 6,02.1023 mol1
2. La mole
Une mole de particules est la quantité de matière formée par NA 6, 02.1023
particules.
Exemples
Une mole d’atomes de cuivre est un groupe de NA 6,02.1023 atomes de cuivre.
Une mole d’atomes de sodium est un groupe de NA 6,02.1023 atomes de sodium.
Une mole de molécules de dihydrogène est un groupe de NA 6,02.1023 molécules
de H2.
Une mole de molécules H2O est un groupe de NA 6,02.1023 molécules H2O .
D. La masse molaire
1. Définition
La masse molaire M d’une entité élémentaire est la masse d’une mole de cette entité
élémentaire ou la masse de 6,02.1023 entités élémentaires. Elle s’exprime en g.mol-1.
2. Masse molaire atomique
La masse molaire atomique est la masse d’une mole d’atomes c’est-à-dire la masse
23
de 6,02.10 atomes.
Exemples
23
Masse molaire atomique d’hydrogène : M(H) :1g.mol-1 = masse de 6,02.10 atomes
d’hydrogène.
23
Masse molaire atomique d’oxygène : M(O)= 16 g.mol-1 = masse de 6,02.10 atomes
d’oxygène.
23
Masse molaire atomique du souffre : M(S) = 32g.mol-1 = masse de 6,02.10 atomes de
souffre.
Masse molaire atomique (masse atomique) de quelques atomes
Masse d’une mole d’atomes
Nom de l’atome Symbole
(masse atomique) en g.mol-1
Hydrogène H 1
Carbone C 12
Azote N 14
Oxygène O 16
Sodium Na 23
Aluminium Al 27
Souffre S 32
Chlore Cl 35,5
Fer Fe 56
Cuivre Cu 64
Zinc Zn 65
Argent Ag 108
Or Au 197
Mercure Hg 200,6
Plomb Pb 207
3. Masse molaire moléculaire
La masse molaire moléculaire est la masse d’une mole de molécules c’est-à-dire la
masse de 6,02.1023 molécules.
Exemples : masse molaire moléculaire de l’eau
M(H20) = 2 x M(H) + 1 x M(O)
= 2 (1g.mol-1) + 1(16g.mol-1)
M(H2O) = 18 g.mol-1
4. Masse molaire ionique
La masse molaire ionique est la masse d’une mole d’ions c’est-à-dire la masse
6,02.1023 ions.
1. Définition
Le volume molaire d’un gaz est le volume occupé par une mole de ce gaz (c’est-à-
dire par 6,02.1023 molécules de ce gaz).
2. Volume molaire dans les conditions normales de température et de pression.
(CNTP)
Le volume molaire d’un gaz dépend de la température et de la pression
atmosphérique.
Les conditions normales de température et de pression. (CNTP) :
Température « normale » θ= 0°C
Pression « normale » P = 1,013.105Pa
Dans les CNTP ; le volume molaire d’un gaz est de 22,4L.
V 22,4L.mol1
Il est voisin de 24L à la température ordinaire de 20°C est sous la pression habituelle de
1atm (= 1,013.105Pa)
1. Définitions
La réaction chimique est une transformation au cours de laquelle, des corps
disparaissent et d’autres nouveaux corps apparaissent.
Les corps qui disparaissent s’appellent REACTIFS.
Les corps qui apparaissent s’appellent PRODUITS.
2. Exemple : Combustion du carbone
Ecriture bilan de la réaction :
Carbone + Dioxygène → Dioxyde de carbone (gaz carbonique)
Equation bilan de la réaction :
C + O2 → C02
B. Réaction entre le fer et le soufre
1 Mise en évidence
a) Expérience
On brûle le mélange de limaille de fer et du soufre avec la flamme du bec Bunsen.
Expérience
b) Résultats
L’incandescence se propage
On obtient un solide noir grisâtre poreux et friable, non attiré par un aimant. Ce solide
est appelé sulfure de fer
c) Interprétation
Le produit obtenu (le solide noir) ne renferme plus de fer. C’est un nouveau corps
d) Conclusion
La réaction entre le fer sur le soufre donne le sulfure de fer de formule FeS.
2 Bilan de cette réaction
Ecriture-bilan
Fer + Soufre → Sulfure de fer
Equation bilan
Fe + S → FeS
1 mole de fer 1 mole de soufre 1 mole de sulfure de fer
Remarque
Le fer et le soufre disparaissent : ils sont les réactifs de cette réaction
chimique. Le sulfure de fer apparaît, il en est le produit
L’équation bilan doit être équilibrée
Exercice résolu
On fait réagir du fer sur du soufre pour obtenir du sulfure de fer.
1) Ecrire l’équation bilan de la réaction
2) Si on fait agir 56g de fer sur 35g de soufre,
a. Quelle sera le réactif en excès ?
b. Que deviendra l’excédent de ce réactif ?
c. Calculer la masse de sulfure de fer obtenu.
d. Calculer le nombre de moles de sulfure de fer obtenu.
e. Calculer le nombre de molécules du produit obtenu.
On donne : MFe = 56g.mol-1 ; MS =32g.mol-1 ; N A = 6,023.1023 mol-1.
Solution
1) Equation bilan : Fe + S → FeS
2)
a. d’après cette équation bilan, pour obtenir 1 mol de FeS, 56g de fer et
32g de soufre seulement ont réagi.
Par conséquent, si on mélange 56g de fer avec 35g de soufre, le réactif
excédent est le soufre.
b. Deux cas peuvent se produire pour l’excédent de ce réactif :
1er cas : si la combustion continue, le soufre réagit avec le dioxygène de l’air pour
donner du gaz SO2.
2ème cas : si la combustion d’arrête, le soufre en excès reste à l’état pur.
c. Masse du sulfure de fer obtenu :
m = 56 +32 = 88g
d. Nombre de moles de sulfure de fer obtenu :
La masse molaire moléculaire du sulfure de fer est 88g.mol-1,
Or on a obtenu m = 88g de FeS, cette mole de molécules contient
1 x 6,023.1023 molécules de FeS
Remarque:
Pour obtenir une mole d’oxyde magnétique, il faut brûler 3 moles du fer dans 2 moles
dioxygène
2.1. Expérience
D. Combustion du butane
1. Hydrocarbure
1.1. Définition
Un hydrocarbure est un composé moléculaire formé uniquement d’atomes
d’hydrogène et de carbone.
On trouve les hydrocarbures dans l’état solide (paraffine), liquides (Essence, gazole,
kérosène, …) ou gazeux (butane).
1.2. Alcanes
Les alcanes sont des hydrocarbures c’est-à-dire des composés moléculaires formés
d’atomes de carbone et d’hydrogène.
La formule générale des alcanes est : C nH2n+2
n=1 CH4 : méthane
n=2 C2H6 : éthane
n=3 C3H8 : propane
n=4 C4H10 : butane
E. La combustion du butane
1. Expérience
2. Résultat et interprétation
L’eau de chaux est troublée : le verre contient du dioxyde de carbone (gaz
carbonique)
Le gaz butane réagit avec le dioxygène de l’air pour donner le dioxyde de carbone
(CO2) et de l’eau (H2O).
3. Bilan de la réaction
Ecriture – bilan
butane + dioxygène → dioxyde de carbone + eau
Equation- bilan
2C 4H10 + 13O2 → 8CO2 + 10H2O
2 moles 13 moles 8 moles 10 moles
4. Conclusion
La combustion complète des alcanes donnent de l’eau et du gaz carbonique selon
l’équation – bilan :
2CnH2n 2 3n 1 O2 2n CO2 2n 2 H2O
Remarque :
Lorsque la combustion est incomplète il y a une formation de monoxyde de carbone
(CO) et de carbone (C).
LA SOLUTION AQUEUES
1.1. Définitions
Le solvant est un liquide qui dissout
Le soluté est un corps qu’on dissout dans le solvant
La solution est un mélange homogène obtenu d’un solvant et d’un soluté
1.2. Remarque
Lorsque le solvant est l’eau donc la solution est dite aqueuse
1.3. Exemple : le thé sucré
Le solvant : eau
Le soluté : thé en poudre, sucre
La solution : thé sucré
NaCl Na Cl : solution aqueuse de chlorure de sodium
NaOH Na OH : solution aqueuse d’hydroxyde de sodium (soude)
HCl H Cl : solution aqueuse d’acide chlorhydrique
H2SO4 2H SO42 : solution aqueuse d’acide sulfurique
1. La concentration massique
La concentration massique Cma est la masse de soluté dissout dans un litre de
solution donnée par la formule :
Cma g.L1
m( g )
V ( L)
2. La concentration molaire d’une solution
La concentration molaire d’une solution notée C mo ou [A] est le nombre mole (la
quantité) de soluté dissout dans un litre de solution donnée par la formule.
Cmo mol.L1
n(mol )
V (l )
3. Relation entre la concentration molaire et concentration massique
Cma Cmo M
Cma
Cmo
M
Avec
n : nombre de mole de soluté
V : volume de la solution
M : masse molaire de soluté
m : masse de soluté
4. Exemple
On donne 8g de NaOH dans 250cm3.
La concentration massique :
m m 8 g
Cma avec
V 250cm 0, 25l
3
V
8
Cma 32
0, 25
C ma = 32g / l
La concentration molaire :
C Cma 32 g / l
Cmo ma avec
M M NaOH 40 g / mol
32
Cmo 0,8
40
C mo = 0,8mol / l
SOLUTION DE CHLORURE DE SODIUM, D’ACIDE CHLORHYDRIQUE
ET DE SOUDE : CONCENTRATION MOLAIRE EN ESPÈCE IONIQUE
Le chlorure d’hydrogène gazeux dissout dans l’eau laisse libérer les ions H + et Cl-
L’équation de dissolution dans l’eau est :
HCl eau
H Cl
C. Solution de soude
Les cristaux de soude dissouts dans l’eau donnent une solution d’hydroxyde de
sodium qui est constituée des ions Na + et OH-
NaOH eau
Na OH
1. Définition
La concentration molaire en espèce ionique est la quantité d’ions de cette espèce
contenue dans un litre de solution.
2. Exemple
Si on cherche la concentration molaire en ions Na + et ions Cl- sachant la
concentration molaire de la solution NaCl :
NaCl eau
Na Cl
D’après l’équation bilan
On a donc
NaCl Na Cl
Pour la solution d’acide chlorhydrique et pour la solution soude, on procède de la même
manière
HCl H Cl
NaOH Na OH
Pour la solution d’acide sulfurique H2SO4 d’équation bilan :
eau
SO42
H2SO4 2 H SO 4 2
RÉACTION ENTRE LA SOLUTION D’HYDROXYDE DE SODIUM
(SOUDE) ET LES IONS : Cu 2+, Fe2+, Fe3+ et Zn2+
A. Réaction entre la solution de soude et l’ion Cu2+ (dans une solution de sulfate de
cuivre)
1. Équation ionique
2 Na OH Cu2 SO24 Cu OH2 2Na SO24
Hydroxy de
Hydroxyde de Sulfate de cuivre Sulfate de
sodium cuivre (précipité sodium
bleu)
2. Équation globale
2NaOH CuSO4 Cu OH2 NaSO4
1. Équation ionique
2 Na OH Fe 2 SO24 Fe OH2 2Na SO24
Hydroxy de
Hydroxyde de Fer II Sulfate de
Sulfate de Fer II
sodium (précipité sodium
vert)
2. Équation globale
2NaOH FeSO4 Fe OH2 NaSO4
1. Équation ionique
6 Na OH 2Fe3 3SO24 Fe OH3 3 2Na SO24
Hydroxy de
Fer III Sulfate de
Hydroxyde Sulfate de Fer III (précipité sodium
rouille)
2. Équation globale
6NaOH Fe2 SO4 3 2Fe OH3 3Na2SO4
D. Réaction entre la solution d’hydroxyde de sodium et l’ion Zn 2+(dans la solution de
sulfate de zinc)
1. Équation ionique
4 Na OH Zn2 SO24 Zn OH2 2Na SO 24
Hydroxy de
Hydroxyde de Zinc Sulfate de
Sulfate de Zinc (précipité sodium
sodium
blanc)
2. Équation globale
2NaOH ZnSO4 Zn OH2 Na2SO4
PHYSIQUE CHIMIE 1 - BEPC 2018
SUJETS
B. On réalise la réaction entre une solution d’acide chlorhydrique et le métal Zinc. On obtient une solution de
chlorure de zinc et de dihydrogène.
1) Comment identifie-t-on le dihydrogène ?
2) On a obtenu 2,24 de dihydrogène, calculer le nombre de mole de ce gaz.
1
On donne : Volume molaire de gaz : Vm 22, 4l.mol
1) Un rayon lumineux issu d’une source ponctuelle S arrive sur un miroir plan (M) en un point I
(voir figure).
CORRIGE
B. On réalise la réaction entre une solution d’acide chlorhydrique et le métal Zinc. On obtient
une solution de chlorure de zinc et de dihydrogène.
1) Le dihydrogène : lorsqu’on enflamme le dihydrogène en présence d’air ou de l’oxygène, il se
produit une explosion et de l’eau.
2) On a obtenu 2,24 de dihydrogène, donc on a 0,1 mol de gaz.
MECANIQUE
3) Le solide (S) est plongé dans un liquide de masse volumique 0,8g.cm -3. Il flotte.
Le volume du liquide déplacé : 125cm3
ELECTRICITE
OPTIQUE
1) a. Le plan d’incidence est défini par le rayon incident et la perpendiculaire (la normale) à la
surface au point d’incidence du rayon.
b. L’angle d’incidence : 55°
2) Un objet, éclairé en lumière blanche, est coloré en rouge et blanc. Vues à travers un filtre
bleu, ces deux couleurs deviennent magenta et bleue.
PHYSIQUE CHIMIE 2
SUJETS
On dispose d’un solide (S) homogène de masse 80g et de volume V inconnu, et d’une éprouvette
graduée contenant déjà 250ml d’eau. Le solide (S) est plongé dans l’éprouvette et le niveau de l’eau
monte à 280 ml
1) a. Quel est le volume du solide (S) ?
b. Quelle est la valeur de la poussée d’Archimède exercée par l’eau sur le solide ?
2) L’eau est ensuite remplacée par un liquide de masse volumique a= 0,7g.cm-3. Le solide (S),
suspendu à un dynamomètre, est immergé dans ce liquide.
a. Quelle est l’indication sur le dynamomètre ?
b. Si on coupe le fil qui le retient au dynamomètre, le solide (S) coule au fond de
l’éprouvette. Justifier.
On donne : intensité de la pesanteur g = 10N.kg -1
masse volumique de l’eau = 1g.cm-3
1) Un rayon lumineux issu d’une source ponctuelle S arrive sur un miroir plan (M) en un point I
(voir figure).
CORRIGE
MECANIQUE
On dispose d’un solide (S) homogène de masse 80g et de volume V inconnu, et d’une éprouvette
graduée contenant déjà 250ml d’eau. Le solide (S) est plongé dans l’éprouvette et le niveau de l’eau
monte à 280 ml.
1) a. Le volume de (S) : 30cm3
b. F aeau .V .g ; F = 0,3N
2) L’eau est ensuite remplacée par un liquide de masse volumique a 0,7 g.cm3 . Le solide
(S), suspendu à un dynamomètre, est immergé dans ce liquide.
a. L’indication sur le dynamomètre : 0,21 N
b. Le solide (S) coule au fond de l’éprouvette : P > F.
ELECTRICITE
OPTIQUE
1) Un rayon lumineux issu d’une source ponctuelle S arrive sur un miroir plan (M) en un point I
a. Un miroir plan : une surface plane qui réfléchit les rayons lumineux.
b. La mesure de l’angle d’incidence : 60°
c. C’est une image virtuelle S’.
2) a. Un tissu est composé de trois couleurs : le blanc, le rouge et le vert. Eclairé par une lumière
bleue, il change complètement d’aspect : le blanc est devenu bleu, le rouge devient magenta
et le vert cyan.
b. A la lumière jaune, les nouvelles couleurs sont : jaune, magenta, bleue.
PHYSIQUE CHIMIE 3
SUJETS
B) La combustion complète de 2,4 l de méthane forme 2,4 l de dioxyde de carbone et 3,6g d’eau.
1) Ecrire l’équation-bilan de la réaction.
2) Calculer le volume de dioxyde de carbone formé si 4,8g d’eau se sont formés.
3) Quel est dans ce cas le volume de l’eau formée (masse volumique de l’eau = 1g.cm-3).....
On donne M(C) = 12g.mol-1 ; M(O) = 16g.mol-1 ; M(H) = 1g.mol-1
Cinq résistors sont montés en série aux bornes d’un générateur délivrant une tension de 6V. Chaque
résister a une valeur commune R = 10
1) Faire le schéma du montage.
2) Calculer la résistance équivalente à l’ensemble des résistors.
3) Quelle est la tension aux bornes du premier résistor ajouté au deuxième ?
4) Les trois derniers résistors sont maintenant montés en dérivation. Quelle sera alors la valeur
de la résistance équivalente à l’ensemble des 5 résistors ?
1) On superpose un filtre vert et un filtre rouge pour observer une page blanche. Quel est le
résultat ?
2) Un écran blanc E est éclairé par deux sources ponctuelles distinctes Sr et Sv émettant des
faisceaux rouges et verts. Quelle est la couleur de l’écran ?
CORRIGE
MECANIQUE
ELECTRICITE
Cinq résistors sont montés en série aux bornes d’un générateur délivrant une tension de 6V. Chaque
résister a une valeur commune R = 10 .
1) le schéma du montage.
OPTIQUE
1) On superpose un filtre vert et un filtre rouge pour observer une page blanche. On a une page
jaune.
2) Un écran blanc E est éclairé par deux sources ponctuelles distinctes Sr et Sv émettant des
faisceaux rouges et verts. L’écran présente 3 couleurs : rouge, jaune, vert.
PHYSIQUE CHIMIE 4
SUJETS
B. On réalise la réaction entre une solution d’acide chlorhydrique et 3,25g de grenailles de Zinc.
1) Quels sont les produits obtenus ? Comment reconnait-on le gaz ?
2) Calculer le volume de gaz obtenu.
On donne : Volume molaire de gaz : Vm = 22,4 l.mol-1 ; M(Zn) = 65g. mol-1
1) Un rayon lumineux issu d’une source ponctuelle S arrive sur un miroir plan (M) en un point
I (voir figure).
CORRIGE
A. L’éthane est un gaz inflammable, de formule C 2H6, incolore et inodore, utilisé comme
combustible. On brûle complètement 1,5g d’éthane avec du dioxygène. On obtient de l’eau et
du CO2.
1) Le gaz CO2 trouble l’eau de chaux.
2) 2C2H6 + 7O2 4CO2 + 6H2O
3) Il faut 3,92 l de dioxygène.
B. On réalise la réaction entre une solution d’acide chlorhydrique et 3,25g de grenailles de Zinc.
1) On obtient du chlorure de zinc et du dihydrogène.
- Si on enflamme le dihydrogène, il se produit une petite détonation donnant une flamme
bleue.
2) Le volume du dihydrogène obtenu V = 1,12 .
MECANIQUE
ELECTRICITE
1) IL = 0,4A
2) L’intensité du courant électrique qui traverse le résistor R 1 ; IRI = 0,6A
3) La valeur de la résistance du résistor R2 = 7,5
4) ER1 = 1 620J et ER2 = 360J. Au total ER1 + R2 = 1 980J
OPTIQUE
1) a.
B. La formation de la rouille est une oxydation lente du fer. Le produit de cette réaction est
l’oxyde ferrique hydraté.
1) Définir « oxydation ».
2) Décrire la formation de la rouille.
3) 32,3g de plaque de fer ont été laissés à l’air libre. La plaque subit petit à petit le
phénomène de corrosion.
a. Ecrire l’équation-bilan de la formation de l’oxyde ferrique.
b. Quel volume de dioxygène sera nécessaire détruire complètement la plaque de fer ?
On donne : Volume molaire de gaz : Vm = 22,4 l.mol-1 ;
M(Fe) = 56 g.mol-1 ;
M(O) = 16 g.mol-1
Un faisceau lumineux issu d’une source S arrive sur un miroir-plan M (voir figure).
1) Reproduire le schéma et compléter par : rayons incidents, rayons réfléchis, angles
d’incidence, angles de réflexion, normale.
2) Quelle sera alors la valeur des angles de réflexions si les angles d’incidence valent 30° ?
Figure
CORRIGE
B. La formation de la rouille est une oxydation lente du fer. Le produit de cette réaction est
l’oxyde ferrique hydraté.
1) « Oxydation » : C’est la combinaison du dioxygène avec un corps simple.
2) La formation de la rouille : A froid, en présence d’eau ou d’humidité de l’atmosphère, le
dioxygène de l’air agit lentement sur le fer. Le métal est détruit progressivement.
3) 32,3g de plaque de fer ont été laissés à l’air libre. La plaque subit petit à petit le
phénomène de corrosion.
a) 4Fe + 3O2 2Fe2O3
b) Le volume de dioxygène nécessaire : 9,69 l.
MECANIQUE
ELECTRICITE
2) U2 = 2,25V
3) La puissance minimale des résistors Pm = 0,405W
OPTIQUE
1.
2. La valeur des angles de réflexions = valeur des angles d’incidence = 30°