Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
[Sous-titre du document]
/04/2023
Dr KATUMBE BINENE
ARIEL INSTITUTE /KINSHASA
DIRECTION DR NGOY K
DR KABANGU K
Anatomie et physiologie du limbe
I. Anatomie
Le limbe est défini comme une frontière circulaire qui sépare la cornée de la sclère recouverte de la
conjonctive
I.1Anatomie descriptive
Frontière : Le limbe est défini comme une frontière circulaire qui separe la cornée de la sclère
recouverte de la conjonctive ;
I.1.1Types de limbe
Veineuse : du plexus étagé vers les veines conjonctivales, puis se drainent dans les vortiqueuses
Des branches profondes issues des lymphatiques radiaires. Les réseaux nasal et temporal sont
drainés respectivement dans les ganglions sous- maxillaires et prétragiens puis gangion parotidien
Innervation : lieu de passage de 44 branches de nerfs sensitives ciliaires se dirigeant vers la cornée
de façon radiaire
Fibroblastes
mélanocytes
Cellules immunocompétentes innées et adaptatives
Matrice extracellulaires
Structures orienté radiaire ment large de 0.5mm et long de 2-4mm, lieu de résidence des
cellules souches limbiques
Microenvironnement qui maintient l’état indifférencié des cellules souches
Protège contre les agressions externes (facteurs de differrenciation, apoptose)
Présence d’autres cellules souches ; Les cellules souches stromales (localisé dans la partie limbiques
du stroma cornéen en étroite relation avec les cellules souches limbiques)
Deux théories
Théorie de X, Y, Z de Thoft :
Propose que les cellules souches limbiques(LSC) donnent naissance à une cellule souche fille
(autorenouvèlement) et une cellule d’amplification transitoire (doté d’un pouvoir mitotique fort)
migre de façon centripète le long de la couche basale ; vont proliférer et migrent cette fois de
façon verticale vers la superficie et desquament ; selon un turn over de 7-15j.
Théorie 2 de Mayo : renouvellement verticales vertical à partir des cellules souches situés
dans la couche basale de l’épithélium cornéen alors que les cellules souches limbiques sont
inactives et n’interviennent qu’en cas de lésion de l’épithélium cornéen