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Essais cherchant à améliorer

la qualité des filtres à sable

utilisés pour le traitement de

l’eau potable de la ville de

Dijon, en France.

Pr. M. AACHIB, EHTP


ESSAIS DE TRAÇAGE
 Direction de l’écoulement et vitesse moyenne réelle
Modèles tubes capillaires

Modèles fissures
Domaine d’application : 10-9 cm/s  K  10-3 cm/s
( P
(ou Perméamètre
é èt à paroii souple
l ou flflexible)
ibl )

Domaine d’application : 10-9 cm/s  K  10-3 cm/s


Essais en surface : Infiltromètre à double anneau ouvert
(sols de perméabilité moyenne : 10-6  K  10-3 cm/s)

Mise en place des anneaux


Liquéfaction due aux charges dynamiques

Liquéfaction due à un tremblement de terre – Niigata 1964 (Japon)

Pr. M. AACHIB, EHTP


Côté aval d ’un barrage Enceinte de palplanches
Zone critique Zone critique

bassin

Lignes
d ’écoulement

Phénomène de renard
Dans le cas général d’un écoulement souterrain (pas forcément ascendant) :
- vitesses élevées localement,
- entraînement des fines particules du sol,
- augmentation de la perméabilité locale,
- augmentation de la vitesse de filtration,
- entraînement de gros éléments,
- érosion progressive le long d’une ligne de courant.

Pr. M. AACHIB, EHTP


Pr. M. AACHIB, EHTP
L. Laloui
Pr. M. AACHIB, EHTP
Catastrophe de la vallée de l’Ourika en août 95
Exemple de dégâts des laves torrentielles dues à la crue du 17/08/1995
et du niveau
eau atte
atteintt pa
par ses dépôts : > 700
00 morts
o ts
(Source : agence du bassin hydraulique du Tensift).

Pr. M. AACHIB, EHTP


Pr. M. AACHIB, EHTP
Pr. M. AACHIB, EHTP
RABATTEMENTS DE NAPPES
PAR POINTES FILTRANTES

Pr. M. AACHIB, EHTP


Tensiomètre
h2
pc = m h2 -  h1
Surface
avec m =133.4 kN/m3 h1 du sol
Mercure
Eau m
Sable grossier: hc=2-5 (cm)
Bougie Sable moyen : 12-35
pc 1  r (hc si r ) poreuse S bl fi
Sable fin : 35-70
35 70
Silt : 70-150
pc=pa-p= -p Argile : 200-400
Zone non saturée
hc= pc  

Frange capillaire p=pa=0 hc z

Plan de référence: z=0 x Nappe


phréatique
Zone saturée
N
Nappe d’
d’eau souterraine
t i Piézomètre
= g=9.807 kN/m3 (-) 0 (+) (z)=p(z)  
Détermination de la courbe de rétention du sol () en laboratoire
Principe
1. Saturation préalable de l’échantillon
2. Désaturation progressive par le biais
d’une succion ou d’une pression constante
3. Une fois l’équilibre hydraulique atteint:
mesure de la teneur en eau
 couple
l dde valeurs
l ( ψi, θi)
4. Reprise des étapes 2 et 3 en augmentant
Tempe Cell : cellule de succion
la succion ou la pression appliquée ou de
d pression
i

Pr. M. AACHIB, EHTP


A retenir
 
Équation du mouvement : loi de Darcy V   K ( gradh )

V : vitesse de Darcy, K : tenseur de conductivité hydraulique (symétrique : Kij = Kji),


grad h : gradient hydraulique (= i )

kg p
K et h  z où k est le tenseur de perméabilité (intrinsèque)
 g

Si milieu homogène et isotrope : K = Cste

z1
Transmissivité : T   K dz T : tenseur de transmissivité
z0 b = z1 – z0 = Épaisseur de la nappe
Si milieu homogène et isotrope : K = Cste et T = K b
Boulance : ic =  ’/  =  ’/  avec  ’= sat -  : poids volumique déjaugé

Loi de Darcy en milieu non saturé : V = - K() grad h


p p
   c   0 ett h =  + z avec  = ()
()
 
Pr. M. AACHIB, EHTP

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