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Réalisé par :
AKCHICHE Yassine
Encadré par :
M. EL Magri
Remerciement
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Remerciements..................................................................................................................2
Liste des figures.................................................................................................................4
TP1 : Simulation du modèle de Park de la Machine Synchrone à Rotor Bobiné……………5
TP2 : Détermination des paramètres de la MAS……………………………………………………….12
TP3 : Identification des paramètres de la machine synchrone à aimant permanant
«MSAP» …………………………………………………………………………………………………………………23
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I. Introduction
I. Travails effectués
-Nous avons simulé le modèle de la machine MSRB autopilotée en boucle ouverte qui a
les caractéristiques suivantes :
-Les paramètres nécessaires du modèle de la MSRB sont indiqués dans le tableau suivant :
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Après avoir définit les différents paramètres de la MSRB et en se référant aux équations
du modèle diphasé de la MSRB dans le repère ‘’dq’’et à l’aide de la transformation de
Park direct et inverse, on réalise un modèle sous forme de blocs en utilisant
l’environnement Simulink/Matlab :
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Nous avons modélisé notre modèle de la MSRB en respectant les équations différentielles
précédentes, sur Matlab/Simulink comme suivant :
-La vitesse
Le courant isq
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Nous avons interconnecté les blocs constituent le modèle de notre machine Synchrone
dans le repère dq dont les entrées sont : le couple de la charge TL, les tensions statorique
vsd,vsq et la tension rotorique vf ;les sortie sont : la vitesse de rotation omega, les
courants statorique isq et isd, le courant rotorique if.
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-Pour passer de modèle dq au modèle abc, nous avons mise en place la transformation de
Park et celle de Park inverse qui nous permettent, respectivement, de transférer facilement
le repère abc fixe de trois axes abc à un repère dq tournant de deux axes dq et l’autre elle
nous permet de faire l’inverse.
-L’intérêt principale de cette transformation est de rendre le modèle triphasé plus simple
et d’obtenir des grandeurs (tensions, courants, flux) continues et indépendantes de la
position.
La transformation de Park direct :
-Les expressions de transformation de Park direct, qui nous permet de passer de repère
abc au repère dq, sont indiqué dans les deux fonctions suivantes :
-Les expressions de transformation de Park direct, qui nous permet de passer de repère
dq tournant au repère abc fixe, sont indiqué dans les trois fonctions suivantes
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-Pour compléter l’interconnexion des Blocs, il faut raccorder les sorties du Bloc Park
Direct aux entrées de la machine MSRB et raccorder les sorties de cette machine aux
entrées de Bloc Park Inverse comme suivant :
2. Autopilotage
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L’onduleur triphasé
Avec
-Pour délivrer les signaux de différentes grandeurs de notre machine nous avons prendre
en considération les valeurs des différents paramètres indiqués avant.
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Interprétation
I. Conclusion
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I. Introduction
L’objectif de ce TP est de déterminer les paramètres mécaniques et électriques de la
machine asynchrone en réalisant respectivement l’essai préliminaire, essai à vide, essai
de ralentissement, l’essai de démarrage progressif et l’essai à rotor bloqué.
Pour déterminer le nombre de paires de pôle il faut connaitre la vitesse nominale et celle
de synchronisme comme illustré dans la relation suivante : 𝑝 = 𝜔𝑠 ⁄Ω𝑠 avec :
✓ La vitesse de synchronise est 1500tr/min.
On a considéré le modèle d’état d’un moteur asynchrone triphasé qui est représenté par
un schéma équivalent à une seule phase comme illustré dans la figure au-dessous pour
déterminer les paramètres électriques de la machine.
Figure 10:la schéma équivalent par phase vu du stator d'un moteur asynchrone triphasé
Avec :
✓ Vs : la tension statorique d’une phase ;
✓ Rs : la résistance statorique ;
✓ R : la résistance de l’enroulement rotorique ramenée au stator ;
✓ N : l’inductance magnétique ;
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a. Essai à vide
On a appliqué une tension triphasée équilibrée à vide pour prendre les mesures
suivantes :
V0 I0 P0 Cos(phi)
-Dans l’essai à vide, la puissance absorbée est la somme des pertes fer, joules et les pertes
mécaniques comme illustré dans la relation suivante :
𝑃0 = 𝑃𝑗𝑟 + 𝑃𝑚𝑒𝑐 + 𝑃𝑓𝑒𝑟
✓ Les pertes joules statoriques :
𝑃𝑗𝑟 = 3 ∗ 𝑅𝑠 ∗ 𝐼0
𝐴𝑁 : 𝑃𝑗𝑟 = 65.23𝑊
𝑃𝑚𝑒𝑐 = 54.129𝑊
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3𝑉0 2
𝑅𝑢 =
𝑃0 − 3 × 𝑅𝑠 × 𝐼 2 0 − 𝐹Ω0 2 + 𝑇𝑑 × Ω0
Ru=5332 Ω
L’inductance statorique Ls :
3𝑉 2 0
Ls=
𝜔𝑠 ×𝑄0
Ls=1.4H
b. Essai de ralentissement
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𝐝𝛀
On a : 𝐉 = −𝐅𝛀 − 𝑻𝒔𝒆𝒄 avec 𝑻𝒔𝒆𝒄 : le couple quand la machine commence à
𝐝𝐭
tourner.
𝑭 𝑻𝒔𝒆𝒄
Les paramètres qu’on doit déterminer sont : et :
𝑱 𝐹
𝒕𝟏 𝑻𝒔𝒆𝒄 𝛀𝟎
Avec : 𝝉𝒎 = − 𝛀𝟐 −𝛀𝟏 𝒆𝒕 = 𝒕𝒔
𝐥 𝐧( ) 𝑭
𝛀𝟏 −𝛀𝟎 𝒆𝒕𝒎 −𝟏
𝑻𝒔𝒆𝒄
D’après la figure ci – dessus on trouve les paramètres suivants 𝝉𝒎 𝒆𝒕 𝑭
𝒕𝟏 𝑻𝒔𝒆𝒄 𝛀𝟎 tr
𝝉𝒎 = − 𝛀𝟐 −𝛀𝟏 = 3.05 s et 𝑭
= 𝒕𝒔 = 1216 min = 127rad/s
𝐥 𝐧( ) 𝒆𝒕𝒎 −𝟏
𝛀𝟏 −𝛀𝟎
-On conclut que cet essai n’est pas suffisant pour déterminer 3 inconnues (F, J, Tsec) par
deux équations. Donc, il faudra faire un autre essai pour compléter les paramètres
mécaniques de la machine, c’est l’essai de démarrage progressif.
-Essai de démarrage progressif permet de déterminer le couple Tsec c’est pour ce but là
on a considéré la machine dans son état de repos puis on a augmenté la tension de stator
jusqu’à ce que le rotor commence à peine de tourner où la vitesse du moteur est encore
𝑃𝑎𝑠
quasi nulle. Enfin, on a abouti au résultat suivant : 𝑇𝑠𝑒𝑐 = 𝑝 avec :
𝜔𝑠
Pas 10.7W
Vas 18,71V
Ias 0.95
Cos(phi) 0.604
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𝐹
AN: J= = 7.2 ∗ 10-4 𝑁𝑚/𝑟𝑎𝑑.
𝜏𝑚
-On conclut que l’essai de démarrage progressif permet de récupérer les paramètres
mécaniques suivantes :
Tsec=Td F 𝑱
0.0878Nm 0.001778Nm.s/rad 7.2*10-4 Nm/rad
du stator afin d’avoir un courant statorique égal à ceux nominal. Dans ce cas le glissement
g=1 ce qui influe sur l’impédance secondaire qui devient plus faible % au dipôle de
magnétisation. On considère le circuit suivant :
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𝐿𝑠+𝑁
✓ La constante du temps rotorique : Tr= 𝑅
AN : Tr=0.68s
𝑁
✓ Le paramètre ꭤ: ꭤ =𝑁+𝐿𝑠
AN : ꭤ =0.0476
ꭤ×𝐿𝑠 2
✓ L’inductance rotorique Lr (à condition de Lr=Msr) : Lr= 𝑁
AN : Lr=1.1H
𝑅×𝐿𝑟 2
✓ La résistance Rr : Rr= 𝐿𝑠 2
AN : Rr=1.62 ohm
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III. Conclusion
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Objectif de TP
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-Le nombre de pair des pôles permet de définir le période mécanique à laquelle le
champ statorique tournante trouve sa valeur maximale, le nombre de pair des pôles
aussi correspondant nombre des polarite magnétiques, définissant le rapport de
vitesse des grandeurs statoriques et les grandeurs rotoriques.
𝜔
P= Ω𝑠
➢ Avec
𝜔𝑠 ∶ La pulsation de rotation des grandeurs statoriques en rad/s.
Ω : vitesse de rotation de rotor en rad/s
1.3.1 Guide ;
Remarque ;
-Généralement le nombre de pair des pôles est inscrit dans la plaque signalétique de
moteur.
Le courant I<Is=0.35A
-On marque la 1 er position stable de rotor pour laquelle le champ tournant statorique
est maximal et on aligne le rotor sur un tour complète et on détermine manuellement le
nombre des positions stables correspondant au nombre des paire des pôles.
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Méthode A ;
𝐹 = 75 ℎ𝑧 → 𝑉 = 231,5
-la formule de calcul de résistance qui varie d’une manière linière avec la température
selon la loi suivante :
R=𝑅0 (1 + 𝛼∆𝑇)
-𝑅0 : la résistance des enroulements statoriques est masure a la température de référence
qui corresponde à température de 𝑇0 = 40℃ pour le cas de notre moteur.
𝛼 = 0.004 𝐾 −1
∆𝑇 = 𝑇 − 𝑇0
-les inductances 𝐿𝑑 et 𝐿𝑞 sont les paramètres essentiels pour définir le taux de saillance
d’une machine synchrone, Dans ce type de machine, l'inducteur présente une anisotropie
magnétique (pôles saillants), et dans la plupart des configurations, contrairement aux
machines Classiques, la valeur de l'inductance transversale (axe interpolaire) 𝐿𝑞 est
supérieure à celle de l'inductance longitudinale (axe polaire) 𝐿𝑑.
-il en résulte que, pour ces machines, l'effet de saillance peut être négligé et la réaction
d'induit est très faible : pas de couple pulsatoire dû à la variation de réluctance et peu de
risque de démagnétisation des aimants.
-en pratique la saturation magnétique peut se produire lorsque le courant augmente, et
on sait que le courant quadratique qu’est le courant responsable de magnétisation de
circuit, la plupart d’Energie réactif absorbée est due au composante quadratique, la
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valeur est diminuée un peu avec le courant par rapport au l’inductance sur l’axe direct
qui reste fixe.
Mesure pratiques
- Afin de mesurer les inductances synchrones on doit aligner le rotor de son position
initiale et d’étudier la réponse en courant dans les enroulements statoriques en utilisant
un oscilloscope numérique, on doit maintenir une condition de courant triphasée
équilibré, initialement on doit aligner le rotor a la position 𝜃𝑒 = 0°.
-Alors lorsque le rotor est aligné sur la phase A la réponse en courant correspondant à
une exponentielle.
-la phase A est connecte au potentiel positif <+>.
-les phases B et C sont mises à la masse <–>.
-la mesure de l’inductance généralement pris en régime linéaire.
-on bloque le rotor.
-on applique un échelon de tension négatif .la phase A est mis à la terre <-> et les
phases B et C sont connectée à la borne positive.
-le courant ne doit pas dépasser 10% de courant nominal.
• -Finalement 𝐿𝑑 = 𝐿𝑞 = 0.017𝐻
II. Conclusion :
-Ce TP nous a permis d’appréhender les technique expérimentale nécessaire pour
déterminer les paramètres électrique d’une machine synchrone a aimant permanant qui
seront par la suite nécessaire pour élaborer la loi de commande de courant et de vitesse
et le dimensionnement des régulateur pour assurer son contrôle vectoriel.
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