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Présenté par :
MEO 3
EEM 3
EEE 5
MIA 6
MEC 7
HUM 8
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MEO:
EEM:
3
La plupart de nos recherches ont été effectuées sur le logiciel Granta
Edupack. Nous avons cherché parmi les plastiques POM (cf annexe 5) quel
matériau était le plus adapté en réalisant plusieurs graphiques et en entrant
des limites: minimum 50 kJ/m^2 pour la résilience, une dureté Vickers
minimale de 18HV. Nous avons aussi sélectionné les matériaux opaques et
résistants aux UVs.
Une fois ces limites entrées, seuls 3 POM (cf annexe 6)sont susceptibles d’être
utilisés comme matériau de remplacement des pieds du drone. On réalisera
plusieurs graphiques afin de trouver le matériau le plus léger (cf annexe 7), le plus
résistant aux chocs (cf annexe 8), le meilleur rapport qualité/prix (cf annexe 9) etc… Au
final, le POM (homopolymer, UV stabilized) s’est démarqué car il n’est pas le
plus cher et ses capacités sont meilleures.
Le gaz est effectué en augmentant la vitesse des quatre rotors pour monter
ou en la diminuant pour descendre. Le bilan de force pour la montée est:
m*g < F1 + F2 + F3 + F4 cf annexe 11
Avec m la masse, g la constante gravitationnelle et F les forces de poussée
des hélices numérotées 1;2;3;4. Ces forces de poussée proviennent de
l’écoulement de l’air sur les hélices en rotation.
La force de poussée des 4 hélices réunies doit être plus importante que le
poids, afin de permettre au drone de décoller.
4
Le tangage s’effectue en augmentant la vitesse des rotors de derrière et en
diminuant celle des rotors de devant pour faire avancer le drone. Inversement,
on augmentera la vitesse des rotors de devant et on diminuera celle des
rotors de derrière pour la faire reculer. Le bilan de force est le suivant:
m*g < F1 + F2 + F3 + F4 cf annexe 12
On notera que la force de poussée de deux des rotors sera supérieure à la
force de poussée des deux autres rotors, dépendant de si le drone avance ou
recule, contrairement à la montée/descente ou la force de poussée des quatre
rotors est égale.
EEE:
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servis d’un capteur à effet Hall, il détecte et mesure la présence de champs
magnétiques, le capteur génère une tension à mesurer et donne un signal
lorsqu'un champ magnétique traverse le matériau.
petit et minuscule mais néanmoins solide et très sensible, il en existe 4 types:
analogique, rotatif à effet Hall, linéaire à effet Hall, numérique à effet Hall.
Pour l'expérience, nous avons mis en place un modèle qui est le suivant
cf annexe 15
Nous avons par la suite récupéré la tension et l’angle des deux moteurs,
quand un ventilateur tourne plus vite, l'autre se met à tourner moins vite afin
de stabiliser le bras.
MIA:
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Nous devions développer une application android ou ios qui envoie ses
coordonnées GPS à chaque fois que celles-ci changent sur le serveur
op-dev.icam.fr, le drone récupère alors les coordonnées et s’y rend.
cf annexe 18
cf annexe 19
https://op-dev.icam.fr/~icam/recordLocation.php?fileName=david_fasani.txt&lat=47.69966&lon=-3.8478
8&action=go
MEC :
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travail exercé sur le bras a lieu sur l’axe vertical. Pour fiabiliser ce bras, il suffit
donc d'améliorer sa résistance aux forces verticales.
Pour ce faire nous avons utilisé la propriété du moment quadratique, qui
permet de calculer la résistance à la déformation d’une section. Lors de nos
recherches pour créer un drone rentrant dans une boîte A4 nous avons
décidé de faire un drone aux bras télescopique en forme de rectangles. La
formule pour calculer le moment quadratique d’une section rectangulaire est :
I= b*h3 / 12.
Tout d’abord nous avons calculé le moment quadratique du bras d’origine qui
possède une hauteur de 4,5cm et une base de 3,5cm ce qui nous donne
donc un moment de 26,58cm4. Nous avons également calculé la masse du
bras du drone grâce à la formule L*b*h*ρ avec une longueur de 24cm et une
masse volumique du matériau de 1,15g/cm3, ce qui nous donne une masse
d’origine de 434,7g. Nous savons donc que nous avons un moment de
26,58cm4 pour une masse de 434,7g.
Lorsque l’on observe la formule du moment quadratique, on remarque que la
hauteur a un impact important sur le moment quadratique du bras. Nous
avons donc décidé d’augmenter la hauteur de 5mm tout en diminuant
légèrement la base du bras de 2mm, afin de ne pas trop augmenter la masse
de celui-ci. On obtient donc un bras de 5cm de hauteur et 3,3cm de base
pour un moment de 34,38cm4 et pour une masse de 455,4g. On obtient donc
une augmentation du moment quadratique de 7,8cm4 pour une augmentation
de la masse de seulement 20,7g.
Nous avons également dû créer un support permettant de fixer une caméra
au drone tout en gardant en tête la contrainte de poids. Nous avons donc
essayé de faire une pièce avec le moins de matière possible. Pour ce faire
nous avons donc désigné une pièce s’emboitant parfaitement dans le châssis
du drone.
cf annexe 21
cf annexe 22
HUM:
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les cibles, mais également le fait que derrière un écran, les actions que l’on
peut commettre avec un drone sont moins lourdes psychologiquement, des
barrières se brisent et cela peut amener à des exactions/ bavures. En effet,
faire la guerre à des milliers de kilomètres du théâtre de l’opération pourrait
banaliser le fait de tuer. Selon l’auteur David Grossman, les dommages
psychiatriques rencontrés après le meurtre est proportionnelle à la distance à
laquelle on est de la personne. Un combattant aux corps à corps souffrira plus
après la guerre qu’un pilote qui n'a même pas vu ses victimes.
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Annexe
annexe 1:
annexe 2:
10
annexe 3:
annexe 4:
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les airs
FC1 Être Programmation Arduino 1
autonome
lorsque
l’utilisateur
le désire
FC2 Prise de Caméra Support de 2
vidéo embarquée caméra
annexe 5:
annexe 6:
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annexe 7:
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annexe 8:
annexe 9:
annexe 10:
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annexe 11:
annexe 12:
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annexe 13:
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annexe 14:
annexe 15:
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annexe 16:
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annexe 17:
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annexe 18 :
Programme créé pour l’envoi des coordonnées
annexe 19 :
Affichage des coordonnées sur le téléphone
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annexe 20:
annexe 21:
cf annexe 22:
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