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CM- enjeux géographiques de la construction européenne

Dissertation,
INTRODUCTION-
Plus ou moins d’Europe ?
Selon évolution de la build européenne, processus continu sur un demi-siècle fin 50
d’approfondissement des pouvoirs donnés aux institutions euro, en considérant que cet
approfondissement renforce le poids de l’E dans la géopolitique mondiale. Par rapport à ce trend il y
a pour chaque état membre des contestations sur ce poids jugé trop important des institut° et par
corrélation des critiques sur l’affaiblissement des états nations. Cf. parti po qui conteste avec le trop
d’E. Pour certains de l’Est/central peut aller jusqu’à une remise en cause du droit communautaire à
celui des état-nations. Principe de subsidiarité. Présence de courant où le droit national doit primer
sur le communautaire, EN doivent être instances décisionnelles. Même logique que pour
l’appréhension de la migration. Construction via un processus de transfert de pouvoir des EN vers
une instances supranationale, doit-on le continuer, ou revenir dessus cf. partis souverainistes.
La situation paradoxale de l’Europe dans le monde aujourd’hui : affaiblie… et renforcée
Place dans la géopo-éco etc. dans le monde. Un acteur significatif, peut peser dans la géopo
mondiale, (il se fout de nous là). Se voit dans les échanges mondiaux, conflit géopo, auj conflit
eurasiatique, avec l’enjeu de savoir si Europe peut peser dans ce conflit. Certains assimile retour des
empires Russie/chine, la position paradoxale de l’Europe face à ces grandes puissances, faiblesses,
pour position commune entre 27 complexe avec les intérêts divergents. Question des procédures
nécessaire, la recherche de consensus. Fonctionne fondamentalement sur le principe démocratique
(valeur clé). Europe veut montrer cet attachement dans ses positions (dimension qui la renforce, d’où
le paradoxe). Le droit communautaire apparait comme le garant de ces valeurs.

CHAPITRE 1- l’identité européenne face à la diversité


La notion de diversité à différentes dimensions (situations, peuplement, régimes po, il y a depuis la
fondation de l’UE, un attachement des peuples qui composent espace européen à une forme
d’identité européenne. En premier la question des limites géographiques pour l’E.
Section 1. quelles limites géographiques pour l’Europe ?
I- Un objet géographique on identifiable ?
D’un point de vue strictement géographique, voir plus large avec la tectonique des plaques avec la
répartitions terrestre, l’E est une vaste péninsule qui se situe à l’extrémité occidentale d’un bloc,
grande plaque terrestre appelé eurasiatique. Le continent européen est un très petit continent, qui
ne recouvre que 8% des terres émergées de la planète, moins que le continent américain à 30%,
Afrique plus de 20% et le reste. Très ouverte sur espaces maritimes, marquant en quelque sorte les
frontières, la plus grande partie de ce continent. Espace qui est marqué par un climat tempéré, avec
quelque extrêmes dans le Nord et Sud, propice depuis plusieurs siècles à une agriculture assez
diversifiée et une production agricole relativement abondante que d’autres parties du monde. Aussi
continent caractérisé par des espaces de moyenne montagne, assez bien irrigué, fourni. Frontières
bien marquées par les limites maritimes, il y a depuis longtemps une interrogation sur la limite à l’Est
précisément entre grandes parties du bloc eurasiatique. Limite à l’origine de l’étymologie « Europe »,
thèses qui insiste sur l’origine phénicienne du terme en opposant précisément dans leurs langues la
partie de l’espace situé à l’Ouest ou le soleil se couche et l’Est, Europe sentait une contraction des
deux termes pour nommer le couchant et levant avec « Ereb » et « Assou ». Seconde origine, le mot
E dans le grec ancien serait contraction de deux mots, avec large (qui s’étend) et regarder en face
(œil), donnerait E, nom aussi donné à une princesse grecque (là c’est trop). Dans fond E renvoie idée
doit distinguer espace situé géographiquement par rapport à l’Asie. si on s’intéresse à l’antiquité
grecque, la conscience à une appartenance à l’E au sens étymologique du terme, dépend de
l’opposition entre E et Asie. Dans la littérature souvent fait référence à ce positionnement
géographique, volonté appartenance à une civilisation.
Question des limites posées à plusieurs reprises, historie de l’espace européen marqué par une
évolution des limites. Extension empire romain, des limites. Au moment de la construction avec GDG,
construire espace européen qui irait de l’Atlantique à l’Oural, considère dans ces limites avec espaces
maritimes et montagneux que s’identifierait espace européen. Fin du XVIII considéré par star de
Russie frontière passage Europe-Asie. Ici logique artificielle, rien ne dit que le franchissement donne
le passage à l’un ou autre. La géo européenne considère au XX qu’autre limite possible de l’espace
européen est constituée par le Caucase, qui traverse plusieurs pays. Présence de représentation
artificielle, histoire po récente en montre, ex du cas l’URSS, commence à ST Pétersbourg, question tj
sous-jacente avec la RUSSIE qui développe idée étranger proche au-delà des frontières qui doit être
contrôle, strictement encadré par Vladimir. Les NU ont réorganisé la classification des pays, de
manière curieuse autre découpage artificiel, ont identifié 4 groupes de pays au sein de l’E :
- Septentrionale avec les pays baltes, du Nord, Scandinavie, îles britanniques
- Occidentale,
- Orientale, groupe hétérogène avec, classiquement dit centraux, Pologne, Hongrie,
République tchèque, Biélorussie, Russie.
- Méridionale, Sud avec ne plus les Balkans
Le reste est rangé dans le bloc asiatique
II- Un ensemble à géométrie variable
Dans l’histoire de l’E comme dans la réalité de l’UE actuelle, l’espace d’influence européenne s’est
étendu au-delà des limites du continent européen, voir du bloc eurasiatique. Phénomène qui a
marqué l’E avec les conquêtes de territoires, font parties de l’histoire de l’E. les déplacements de
populations, terre de migration, dans la suite de conquêtes menées. Même encore auj, des
européens, au-delà du continent européen. La FOM appartiennent à l’UE. Ici l’E à travers ses
territoires est présente ! Peut ajouter un élément pour l’UE, avec l’empire soviétique, pas prise en
considération de l’E, juste le territoire soviet, la dislocation de l’empire a par ricochet amené à une
évolution des frontières de l’UE vers l’Est, via intégration progressive d’un certain nombre de pays
issus. Puis rétractation récente avec le BRITAN-EXIT. Dans les documents officiels pas de mention de
l’imite spatiale de l’UE, ne cesse de s’agrandir et susceptible de le faire.
Section 2. les fondements de l’identité européenne
I- Les multiples diversités constitutives de l’européanité
Européanité : terme fréquent, proche de celui d’identité européenne mais qui permet de regrouper
un certains nombre de dimensions importantes, la question de la civilisation, des langues, religions et
de la structuration politique. Européanité toutes ces dimensions, avec le sentiment d’appartenir à
une même entité/espace à travers différentes dimensions évoquées. Sur le temps long depuis
antiquité, ce qui ressort auj est une très grande diversité, langues qui se sont imposés, peuplement,
religion etc. à la fois sa force et sa faiblesse (notamment avec la revendication d’une idtt nationale).
Europe/européanité induirait un brassage.
Le peuplement de l’espace européen : depuis plusieurs millénaire avec apparition de l’être humain
sur la terre, ce que l’on observe es que le peuplement de l’espace européen est le résultat d’une
diffusion, de population venant du continent africain et venant fondamentalement de la partie
orientale du bloc eurasiatique. Va légitimer une hypothèse plus ou moins admise, jamais réellement
vérifiée avec une origine indoeuropéenne, pratiquement commune à toute les pop de l’espace
européen.

S’inscrit mouvement de diffusion passant par l’Afrique avec configuration géographique différentes
d’auj. traverse les espaces pour arriver auj à la matérialité Europe. Idée d’une ligne hypothèse
indoeuropéenne -> moment d’occupation européen avec un peuple commun localisé précisément de
l’Inde à l’Europe, renvoi idée que finalement présence de racines communes à tous les peuples qui
au fil des siècles ont peuplés l’espace eu. Basée sur hypothèses linguistiques qui mettent en avant le
fait de la présence de similitudes proximité entre différentes langues parlées dans l’espace, proxi
grammaticales qui renvoi à l’idée d’une origine d’un peuple originel. Formellement pas de traces
réelles. Au-delà de cette potentielle origine commune, ce qui est sûr est qu’au fil des siècles, espace
européen marqué par brassage de population avec différents types de peuplements donc différentes
civilisations in fine. Logique de cohérence peuple/culture.
Pour les nommer : 1er type ancien avec les peuples qui vont constituer le monde grecque avec la
civilisation Hellène, vaste monde grec qui va occuper sur le temps long, peuple important du point de
vu fondation européen. Diffusé l’urbanisation, les citées souvent état, aussi lieu symbolique fort avec
la méditerranée comme espace majeur symbolique de l’Europe.
2ème avec les celtes, période longue entre le 8ème avant notre ère et 3-4 après, occupation
géographique relativement large (de certains pays d’Europe centrale, passant la GB, All avec la aussi
une langue/culture pratique attaché à ces peuples). Une littérature à l’image de cette civilisation.
Héritage et influence littéraire (big up merlin l’enchanteur).
Les germains, période relativement longue, à partir du VI avant notre ère et pendant un nombre de
siècle imptt après. Les barbares, influence large avec le Nord et les Scandinaves, All, Est avec
territoire allant jusqu’à l’Ukraine. Influence culturelle forte. Donnera lieu à un certain nombre
« d’invasions », incise dans l’Europe occidentale.
Civilisation romaine, occupe place civi Hellène, loin à l’Est, pour partie rivage Afrique du Nord
Plusieurs groupes de peuplement qui ont traversés espaces européen, ayant pleinement participé à
ce brassage avec incursions, rencontres permanentes. Auj peut parler de mouvement continu
d’acculturation. En // donne un brassage des langues, e grec ancien longtemps ancienne langue
imptt, pas que monde méditerranéen. Continu d’être parlé dans l’empire romain d’orient, constitué
début de notre ère dans une partie plutôt sud orientale de l’Europe, qui deviendra l’empire ottoman.
La deuxième langue imptt est le latin surtout partie occidentale de l’empire romain, influence
extrêmement forte, issu langue europ. Contribué diffusion large en tant que langue avec la q°
politique et l’empire romain, la religion catholique. Les langues d’origine germanique qui recouvre la
civilisation germanique, allemand, néerlandais, anglais. Les langues slaves dans la partie centrale. À
ça ‘ajoute quelque autre plus isolées qui ont eu des espaces d’utilisation plus restreint, quelques
exemple caractéristiques avec le basque, indépendante, le finois. Particularité forte avec le latin, va
au fil des siècles avec la domination du christianisme la principale langue de diffusion.
La question de la diversité religieuse, de ce point de vue la moins prononcé de q=peuples et langues,
voit dans l’histoire longue depuis notre ère, religion chrétienne qui s’inscrit contrairement antiquité
grecque forme de monothéisme. Domination au fondement de l’identité, doit être relativisée sous
deux aspects, sous la religion même présence de multiples citions, avec des schismes. Des le 4ème
siècle présence dans l’empire ro entre partie orientale et occidentale. Correspond à un schisme
religieux entre occident qui reconnait l’influence de l’autorité papale, un chef au dessus du pouvoir
po. Orientale, symbolisé à travers la chrétienté orthodoxe, chef de l’Empire chef de l’Eglise. Autre
grande citions avec le 16ème et ce que l’on a appelé les réformes, l’église protestante etc. va avoir
une partie de l’Europe plus adhérer à ces réformes et cette tendance protestante de la chrétienté.
Symbolique de l’Europe du Nord. À cette diversité intra-chrétienté, diversité religions qui à certains
moment de l’espace européen influences plus ou moins fortes, ex islam. Brassage religieux.
Doit ajouter une 4ème dimension avec la diversité politique. Structuration qui repose bcp sur le
monde grecque composé de citée tat. En termes de représentation commence réellement avec
empire romain présence de ce que l’on appel la tentation de l’Empire. Structuration po de l’espace
européen en grande partie alimenté par la build d’empire, romain avec vaste rayonnement géo.
Autre élément fondateur disparition empire romain d’occident. Va en quelque sorte laisser la place à
des structures politiques, communautés politiques plus ou moins indépendantes entre elles au moins
jusqu’au 9ème siècle, sacre de Charlemagne en 800, période de deuxième tentation de l’Empire,
correspond à une amplification de l’influence de la religion chrétienne. Étalement d’un empire vers
l’est avec les conquêtes carolingiennes. À la dislocation de cet empire effectif milieu 9ème siècle,
mise en place progressive dans la partie occidentale une nouvelle structuration politique sur ruines
de l’empire carolingiens avec la féodalité. L’Europe de l’Ouest va se structurer de manière forte sur
cette féodalité. À partir de la citions entre partie occidentale sur le modèle des féodalité puis
monarchies à partir du 13-14ème, orientale et plus sud présence d’un maintien d’une forme de
structuration politique sous la forme d’un empire. Développement du Saint Empire Germanique. À la
dislocation de cet empire au milieu du 9ème siècle, va avoir une scission très nette entre partie
occidentale, féodalité monarchie état nation pour occident, pour l’orient avec la Russie modèle de
maintient long jusqu’au 19ème voire début XX d’une structure politique sous forme d’Empire.
Éclatement dernier empire avec 14-18. Empire ottoman avec Constantinople. Pour la partie
occidentale, histoire féodalité/monarchie marquée par une succession de conflits. Précisément dans
cette partie sous effets de ces conflits, est née en Europe la diplomatie, comme art de négocier la
paix. Date de 1648 traité de Westphalie qui reconnait la souveraineté des états sur leurs territoires.
certains présente ce traité comme naissance de l’état-nation. Fait que l’Eu occi est un ensemble
d’état dont reco les frontières avec à l’intérieur une souveraineté nationale. À partir de la succession
de traités qui n’empêche pas les conflits. De manière progressive dans la partie occidentale du
modèle de démocratie avec retrait progressif des monarchies.

II- Ce qui relie les européens entre eux : culture, libéralisme, valeurs…
Présence d’une culture commune au-delà des différences linguistiques de peuples/culturelles,
quelque chose qui apparait comme héritage commun, dont on peut tracer des étapes
fortes/marquantes. La renaissance, mouvement culturel qui a touché une bonne partie de l’Europe
depuis frontière occidentale avec le RU, jusqu’à frontières Europe centrale. Mvmt culturel et
artistique apparait à partir du 13-14ème, correspond à la dernière partie de la féodalité, peuple en
Europe occi sorte de la féodalité pour s’inscrire dans une optique monarchique avec institutions mo
avec influence. En appuie sur la redécouverte de la culture de l’antiquité grecque, genre philo.
Correspond à une nouveauté/évolution marquante, avec les grands peintres de l’espace européen.
Soit renouveau culturel après longue période avec art et culture contrainte par influence chrétienne.
Correspond aussi à un mvmt caractérisé de philo avec l’humanisme, progressif attachement à
l’indépendance, autonomie de ce que l’on appel l’Homme. Il devient centre de réflexion. Second
moment au cœur de la culture européenne avec le mouvement des Lumières au 17-18, un
prolongement de l’Humanisme, ici émancipation de l’Homme plus par rapport à la religion mais
pvr/p° po. Affirmation dans ouvrages être humain doit être libéré de toutes formes de contraintes
po. Deux formes d’émancipation. Va se cristalliser avec la laïcité. Culture aussi par architecture les
arts, dimensions imptt de la culture europ. Autre dimensions imptt avec le monde scientifique,
nourrit de la constitution des sciences de manière imptt. Peut mettre en évidence que la culture
Europe fait autour d’un discours scientifique au moment de la renaissance, surtout au 15-16, avec
grands savants qui incarne naissance des sciences, Nicolas Copernic, Galilée, Isaac Newton. À
l’origine en partie de la conception occidentale de la nature. Place des mathématiques. Corrélation
forte émergence de ce discours et évolution artistique, avec math, modification des courants.
Peinture. Avec eux passe d’une doctrine géocentrique à héliocentrique. Apparition des universités.
Attachement à la notion de rationalité avec Descartes. Participe à l’émancipation de l’individu face au
pvr politique, les sciences comme la culture et art vont science moyen d’aller au-delà tutelle politique
c’est à l’individu à travers droit et affirmation liberté de décider la structuration po dans laquelle veut
vivre. Ref aux valeurs, réunie en définitive les européens à travers cette évolution de la culture.
Donne réunion des pays membres : respect de la dignité humaine, direct résultat de l’humanisme,
liberté, démocratie, état de droit, égalité, droits de l’Homme. Justice/solidarité, tolérance. Donne la
fixation des limites que les états membres n’ont pas le droit de dépasser. Peut être en droit à des
sanctions, via le statut de tribunaux.
Lieux symboliques, culturels, artistiques, au sein de l’Europe. Ces lieux sont visités pcq ce sont des
symboles de l’Europe, ex : les capitales, il existe une vision commune/partagée du symbole.

III- L’Europe, terre de naissance du capitalisme extractivistes


Éléments antérieurs à l’émergence du Kisme : peut rappeler que dans l’Antiquité, dans le monde
grec, il y a un dév du commerce. Le monde grec est un monde qui pratique très largement le
commerce à travers le monde (pas que dans son terr), et c’est un monde où il y a des marchés (=
lieux de rencontre entre l’offre et la demande), mais qui fonctionnent différemment que les marchés
actuels. Il existe une tutelle qui est relativement forte sur le fonctionnement des marchés. POLANYI
La subsistance de l’H, décrit le fonctionnement des marchés grecs et dans le monde.
Le dév éco caractérisé par un essor de la prod, du commerce etc. commence à se manifester à partir
du Xe siècle, avec l’aug de la productivité agricole, associée de + en + à une croissance démo.
Jusque fin XIXe, début XXe, le continent européen est le + peuplé. Ce dév éco va emprunter un axe
assez caractérisé, celui qui va depuis la Méditerranée jusqu’aux Flandres. Lieux de transit
commercial très fort. Correspond à l’émergence de grands ports, d’où partiront des flux
commerciaux très importants. Impulse l’aug de la prod et du commerce.
A partir du Xe, scission entre la partie Occidentale, qui va bénéf de cet axe central
(Méditerranée/Flandres), s’appuyant sur des réseaux commerciaux alimentés par cet axe, ex : le dév
de la ligue Hanséatique, arc qui se dév sur la façade Ouest de la France. Et la partie Orientale, à l’Est,
de manière accentuée + on va à l’Est, on a une éco qui va rester très limitée dans ses dév, avec une
prod agri qui va stagner et une industrialisation qui sera limitée. La partie Occidentale bénéficie d’un
dév éco. Le servage (la forte dépendance d’une partie de la pop aux grands seigneurs etc.) se dév
jusqu’au XIIe, il va être progressivement contesté… A partir XIIe, déclin du servage (dans la partie
Occidentale). Dans la partie Orientale, servage jusqu’au XVIIIe. La productivité agri est l’une des cond
très fortes du dév de l’industrie, pour l’industrie on a besoin de main d’œuvre, il faut que les éco
soient libérées de la contrainte de la prod agricole. Explique que la révo indus se soit dév dans la
partie Occidentale bien avant la partie Orientale (une des raisons). Une autre raison est l’évo des
structures po, avec l’avènement des états-nation à l’Ouest, alors qu’à l’Est restaient des Empires…
L’Europe apparait bien comme le berceau du Kisme et de l’industrialisation.
La constitution des états-nation est le cadre po qui a permis le dév du Kisme. Intérêts po de la nation
et les intérêts éco d’une part de la pop, la classe dirigeante : la bourgeoisie. A l’Est, on a un pouvoir
autocratique qui s’appuie principalement sur les grands seigneurs féodaux, les grands proprios
terriens qui n’ont pas d’intérêt éco au dév de l’industrie.
La présence de matières 1ères permet le dév du Kisme industriel -> il se dév d’abord grâce au
charbon, aux ressources minières. Pendant des années, l’Europe occidentale est largement pourvue
dans ses sources d’énergie, ses matières 1ères etc. « Kisme extractiviste » => auj, les critiques
auxquelles on assiste envers le Kisme et ses impacts env, elles s’appuient sur 2 points :
- le Kisme est fondé sur la croissance éco et l’idéologie du progrès, avec une vision linéaire
du progrès (+ on avance, + on progresse)
- le Kisme repose sur l’extraction de matières 1ères, toujours croissante, le Kisme est
foncièrement extractivistes.
Autre dimension du Kisme extractivistes : l’affirmation des droits de l’indiv, le libéralisme, s’est fondé
à partir du XVIIe, sur la reco du droit de propriété. Mais aussi, cette idée de droit de propriété s’est
appuyée sur le fait que la propriété pouvait être légitimée par le fait que c’est l’H qui travaille la
terre, la fait progresser, qui est légitimé dans sa propriété, son droit à la posséder. C’est là-dessus
que le Kisme va s’appuyer. CHARBONIER a travaillé là-dessus, ouvrage Abondance et liberté. Les
européens, à travers le libéralisme éco et au nom du progrès, vont bafouer ce droit de propriété aux
pop qu’ils vont coloniser. Les grandes nations du XIXe vont s’engager dans des conquêtes coloniales
au nom de l’idéologie éco, du progrès indispensable, de l’évangélisation etc. Elles vont y extraire les
matières 1ères, les ressources alimentaires etc. C’est l’extraction nécessaire pour faire fonctionner le
Kisme, avoir des minerais, cela va légitimer l’appropriation des terres dans d’autres parties du
monde. L’argument souvent avancé au moment des conquêtes est que les pop autochtones n’ont
aucun sens du progrès, elles ne savent pas mettre en valeur leurs terres, donc les Occidentaux qui
ont connaissance de ces cond de progrès sont légitimes de s’approprier ces terres.
Pour l’industrie Occidentale, il faut extraire. En ce sens, le Kisme est et restera extractivistes. Mais
aussi pcq dans son histoire et d’une certaine manière encore auj, le Kisme a extrait en provoquant
des inégalités, en s’appropriant de manière illégitime un certain nombre de terres.
Ce débat sur l’identité européenne se manifeste aussi à travers la question de la souveraineté, les
frontières à travers lesquelles l’entité po exerce son influence. On a une succession d’Empires, de
conflits, avant la constitution des états-nation, ce qui rend difficile une identité européenne.
L’identité européenne restera tjrs bcp + floue que la souveraineté nationale, bcp – importante que
cette identité nationale. Cette identité européenne est également à prendre en compte.
CHAPITRE 2- l’Europe depuis 1945
Section 1. les principales étapes de la construction européenne
I- Ancienneté et diversité des projets d’unification européenne
L’UE est une vieille idée, au lendemain de la 2 nde GM. On pourrait la faire remonter à la constitution
des Empires, dans les conquérants de ces empires il faut unifier l’Europe (mais pas vraiment de la
même manière). Il y a une 1 ère formulation de ce projet qui date mi XVIIe, par un Français, le duc de
SULLY, c’est un ministre des Finances. Il a proposé l’union des Etats européens et même un conseil
général de l’Europe. Mi XVIIe c’est le traité de Westphalie, la diplomatie prend de l’importance donc
cette idée s’inscrit dans cette logique. C’est donc une idée ancienne. Régulièrement à partir de là, des
H po vont remettre en avant une union de ces Etats ou une partie d’entre eux. KANT a mis en avant
la nécessité d’une union de l’espace européen. Au XXe, avant la 2 nde GM (dans l’entre-deux guerre),
des intellectuels vont défendre l’idée d’un projet européen. Ça ne s’est jamais concrétisé avant la fin
de la 2nde GM mais l’idée à émergé tôt.
C’est au lendemain de la 2nde GM et à partir de ce traumatisme qu’à constitué ce conflit mondial, que
le projet de construction européenne va prendre son essor, à partir de la réconciliation franco-
allemande, ayant constitué un élément essentiel de l’après 2 nde GM. On s’interroge sur quelle forme
po doit prendre cette construction européenne. Cette volonté de construction européenne s’appuie
sur le constat d’une scission entre la partie orientale de l’Europe et la partie occidentale. La partie
orientale va passer sous l’égide soviétique, elle va intégrer le bloc communiste. La guerre froide est
en place, elle a précisément constitué un élément influençant la volonté des Etats de l’Europe
Occidentale de se réunir. L’OTAN est créé en 1949. Le pacte de Varsovie scellant l’intégration d’un
nombre de pays d’Europe centrale dans le bloc communiste date de 1955, pacte signé entre l’URSS
et des pays comme la Roumanie, la Hongrie, d’engagement réciproque. L’URSS viendra en aide à ces
pays si ceux-ci sont attaqués ou autre. De base, ça a une dimension militaire mais assez vite, une
dimension éco se joue aussi. Ce pacte arrive à un moment où il n’y a pas d’institutions européennes
concrétisant la construction de l’UE.
II- La difficile construction d’une coopération européenne à partir de 50
La construction européenne à la base, ce sont des figures qui ont porté cette UE. Le terme UE qui
caractérise l’Europe des 27, ce terme ne date en réalité que de 1993. Avant, on ne parlait pas d’UE.
Apparaît avec le traité de Maastricht de 1993. Si j’écris UE et que c’est avant 1993, en vérité ça ne
s’appelait pas UE.
Les grandes figures sont mtnt appelées pères fondateurs. En France, MONNET et SCHUMAN sont les
principales figures. En All de l’Ouest, ADENAUER. La 1ère formalisation de l’UE se marque avec
l’établissement de la communauté économique du charbon et de l’acier, la CECA, créée en 1951.
1ère fois que le terme de communauté est utilisé, il va rester un terme de référence pdt longtemps.
Comme on est au début des années 50, le charbon est encore une source d’énergie principale pour
l’industrie ou même les ménages. Cette communauté réuni 6 pays, les pays fondateurs de la
communauté européenne : la France, la Rép fédérale d’All (RFA), l’Italie, et le BENELUX (Belgique,
Luxembourg et Pays-Bas). 1ère étape essentielle, avec la création d’une institution qui a un statut
supra national. Dans les domaines du charbon et de l’acier, cette communauté dispose de pv supra
nationaux. En 1951, est créé une assemblée composée de parlementaires et également une cour de
justice.
Au fil des ans la CECA a disparu, en revanche l’assemblée et la cour de justice existent tjrs.
L’assemblée a pris le nom de parlement européen en 1979. Le rôle principal de la CECA était d’avoir
une gestion communautaire du charbon et de l’acier.
1957 : cette idée de communauté est élargie avec la communauté économique européenne avec le
traité de Rome en 1957 qui institue la CEE. Les champs de compétence de la CEE sont bcp + larges,
touchent bcp d’autres secteurs. Mais d’une certaine manière, diminution des pouvoirs pcq la CEE n’a
jamais été supra nationale. La CEE dépend des Etats membres. Il y a eu un débat entre 1951 et 57
pour savoir quels pouvoirs donner aux institutions européennes. Les traités fixent des objectifs en
matière de construction européenne. Le traité de Rome fixe comme objectif à 10 ans de la réalisation
d’un marché commun, càd une union douanière (donc une libre circulation des marchandises (de
certains secteurs) dans l’espace européen et une libéralisation des échanges, avec une adaptation de
la législation de ces secteurs dans les pays). On a un rapprochement progressif des législations des
pays dans les secteurs concernés. On a un horizon de marché commun.
À partir de 70’s, construction européenne sur la base d’une élargissement. Les étapes de
l’élargissement :
- 1973, 3 pays entrent : RU, Irlande et le Danemark.
- 1981 : ajout de la Grèce, Europe des 10. La Grèce en 1981 est un pays très pauvre, très en retard de dév et c’est un pays
qui sort d’une dictature po, militaire. Ce qui a justifié son intégration c’est le fait que l’unification européenne avait
comme objectif de stabiliser la démocratie. Pour lui donner un ancrage pérenne, on a accéléré l’intégration de la Grèce
dans cet espace européen unifié.
- 1986 : l’Espagne et le Portugal, quasiment dans la même situation que la Grèce, sont intégrés. Ils sont très peu
industrialisés, leur PIB est tiré par l’agriculture et ils sortent d’une dictature. Le but est de les amener vers un dév et
évidemment l’objectif po aussi.

Les années 80 marquent un changement par rapport aux intégration précédentes, pcq dans les 70’s
les pays avaient des niv de vie proches des pays fondateurs. Là dans les 80’s, les écarts de situation
sont très forts entre les pays. Ces pays qui bénéficieront des aides européennes pdt certaines
années.
1995 : intégration de l’Autriche, la Finlande et la Suède. Ils ont des niv de dév qui se rapprochent de
ceux des pays fondateurs.
L’élargissement est progressif, à des petits groupes de pays. L’étape suivante est celle qui suit la
chute de l’URSS. Chute du mur de Berlin 1989, réunification all. Va s’en suivre une longue période de
débats au sein de l’UE pour décider d’une po à avoir envers les anciens pays de l’URSS. Ils
connaissent une situation éco très dégradée, ils dépendaient des échanges avec l’URSS, la pop est
globalement assez pauvre. Le résultat de cette période est l’intégration de ces pays dans l’UE. C’est
fait en 3 temps : en 2004  intégration des pays baltes : Estonie, Lettonie, Lituanie, puis l’intégration
de la Hongrie, la Pologne, la Rép Tchèque, Slovaquie, Slovénie. S’y ajoutent 2 pays : Chypre et Malte.
Ensuite 2007  ajout de la Roumanie et de la Bulgarie. Fini en 2013  intégration de la Croatie, UE à
28 à l’époque. 27 depuis le Brexit.
Via un noyau dur avec 6 pays fondateurs, le traité de Rome est présenté comme le premier traité
fondateur de la communauté européenne, crée un acteur central avec la commission européenne.
Donne autre institution avec le conseil des chefs d’états, crée aussi une cour de justice (instaure id
droit communautaire européen, précisément le rôle de cette cours). Traité qui va servir de référence
avec complément de pts jusqu’à 1992 avec Maastricht, second traité fondateur.

Idée de difficulté, entre pays mbrs initialement peu nombreux avec qd mm divergences fortes sur
questions centrales, allant jusqu’à crises fortes.
- Agriculture :
La q° du fi de la PAC, sur plusieurs pts, qui devait payer et bénef de cette po, France à ce moment là
plus gros pays producteur agri avec les fi apporté par le plan Marshall. La mise en place d’une
approche supranationale sur le modèle de ce qui était imaginé avec la CECA.
- L’approche à adopter (supranationalité) :
Commission infra supra, conseil chef d’état intergouvernemental. Traité de 57 fonde et laisses-en
l’état le pb de savoir si doit tendre vers une supranationalité
- Monétaire :
Chaque pays à sa propre monnaie mais en // les échanges éco entre ces pays se sont accrus, avec le
marché C, limitation des contrôles au frontière imaginé des la fin 60’s. donne la mise en place en 68
d’une union douanière (tarif douanier à l’extérieur unique). Échanges avec monnaies ≠donc taux de
changes à des prix fixés par le marché. Pb est que précisément la valeur de ces monnaies fluctue et
se crée des distorsions notamment entre la situation éco des pays en interne. + contexte
international avec marché fi abandonnent progressivement le système de convertibilité fixe, soit
forte fluctuation des particularités avec concu forte monétaire entre pays membres. Leurs monnaies
vont évoluer de manière forte et donc crée ce que l’on appel des distorsions de concurrence. Elle va
exister jusqu’à fin monnaies nationales en particulier la France, RFA qui va aug en lien avec la
compétitivité. Donne écarts imptt qui se creuses avec tensions étatiques, accusations de mener
politiques concurrentielles. En grande partie de type de conflit à amené à une volonté de mettre en
place une monnaie unique (crise et choc mo). Création de mécanisme dans les 70’s pour réguler ces
conflits/crises. En 72 le serpent monétaire européen et 78 le système monétaire européen. Deux
mécanismes fixaient des plafonds d’évolution des monnaies et des planchers, ne pouvait évoluer au-
delà des taux fixés (penser au serpent). À ce moment la création d’une monnaie européenne l’écu
fictive/bancaire.

Intégration du RU, position spé qui accrue les pb.

III- Le renforcement de l’intégration politico-économique à partir de 80


Autre période engagée depuis intégration qui marque une étape imptt, clé du contexte. 80’s :
décennie avec éco mondiale qui évolue vers la globalisation. Suite aux tensions évoquées, prise de
conscience dans les pays membres de l’UE dans cadre de l’élargissement qui s’accélère avec
conscience de devoir allez plus loin en particulier avec 86 et la signature de l’Acte Unique Européen,
ayant pour objectif est d’assurer un grande marché intérieur, soit espace sans frontière qui garantie
la libre circulation des marchandises/personnes/services et capitaux. Voit au-delà du modèle
initialement présent. Également dans cet acte la volonté de commencer à mettre en place des po
pub communes non présentes auparavant, explicite idée d’une nécessaire po commune et aller vers
un objectif centrale dans le fonctionnement de l’Europe avec la cohésion économique et sociale.
Désormais avec cet acte l’un des objectifs est d’éviter d’avoir des inégalités trop fortes entre pays
membres. D’où idée de cohésion éco et sociale. Dans les 2000 ajout de la dimension territoriale.
Apparait aussi projet d’une monnaie unique (étape +). Personnage clé Jacques DELORS. + 1985 et
premiers accords de Schengen qui ne concerne que 5 pays en dehors de l’Italie. Puis élargissement
avec l’actuel espace Schengen pour signifier ensemble de pays où plus contrôle. Autre élément
imptt : l’entrée des personnes immigrées sur le sol européen sur le pays d’arrivé. Retrouve
motivation dans intégration progressive des pays de l’Est. Fixe la date à 92 pour le marché européen,
par la suite échéance floue mais notifiée début 2000 pour l’euro.
Une Europe à géométrie variable à l’intérieure de l’UE avec des groupes de pays ≠, trois groupes (p
mbrs de l’UE, pays mbrs de Schengen, pays mbrs de la Zone Euro).
Pour intégration critères. 1er : Inquiétude stabilité institutions démocratiques, garantie des droits de
l’H, respect des minorités et indépendance de la justice. 2 ème : (plus difficile pour ex-Est), existence
d’une éco marché libérale, avec libre concurrence, respect droit de propriété individuel. 3 ème :
intégration des acquis communautaires (le droit com). Admission définitive dans UE, adhésion
validée par ensemble des pays mbrs. Suppose un traité d’adhésion.
Étape suivante est un traité de Maastricht en 92, entrée en vi 93, imptt à trois titres. Crée UE,
substitution à la communauté europ. Une conséquence imptt : crée une citoyenneté européenne.
Doit raccrocher cette citoyenneté à une élection devenue fondamentale à partir de 70 avec le
parlement européen. Seconde dimension imptt : répartition des po publiques appelée l’archi en trois
piliers, abandonné traité de Lisbonne. Idée que dans les PP menées par les pays mbrs trois
catégories ; le pilier communautaire (po dans lesquelles logique commu mise en place) relatif à la po
étrangère et sécu commune (logique intergouv, à partir d’échanges entre gouv), pilier relatif aux
affaires dites intérieures et de justice (immigration, droit asile, contrôles aux frontières, coop
judiciaire).
Dernière dim imptt lancement d’une échéance def pour la mise en place de l’euro avec 2002,
définition des critères de convergences pour les pays souhaitent use euro. Mise en place de ce que le
traité à appelé UEM, espace caractérisé par un marché intérieur et une monnaie unique.
Cf. voir tableau des critères de convergence.
Conversion end eux phases :
- jusqu’en 98 identification des pays intégrant la zone, 11. = pays qualifiés
- candidatures après faites au fil de l’eau. Auj 19 pays, plus micro-états.
La question des traités :
Deux grandes cata de traités dans la construction europé1. À compléter
- Traités institutionnels : touchent le cadre institu du fonctio de l’UE (compétences institu,
pvrs, règles de vote, le dernier en 2007. Puis ajustements. 2005 constitution européenne,
soumise au vote des pays mbrs et quelques pays l’ont rejetée n’a jamais vu le jours. Traité de
Lisbonne reprend éléments de la constitu, reste traité principal dans le fonctio institu.
- Traités d’adhésion : obligatoire ou accept candidature donc pays en question peut intégrer,
avant traité accepté par le parlement.

Deux critères fondamentaux mm que ceux imposés pour la rentrée : interdiction d’un déficit publiq
supérieur à 3% du PIB. (annuel). Repose sur le Pacte de Stabilité et de Croissance

Section 2. institutions et prise de décision dans l’Europe actuelle


À compléter
Réglementé par des traités institutionnels, différents d’adhésion. Ratification par la population des
pays (Parlement français ou referendum). Ex 2004 et traité constitution européenne, majorité de
NON. Juste traité de Lisbonne en 2007 sur le fonctionnement de l’UE, reprend des éléments de la
constitution. Seul consultation avec Maastricht 92.
I- Les institutions européennes
À compléter
Fonctionnement de l’UE, 7 grandes institutions ; compétences/pvrs propres
- Le conseil européen : réunie chefs d’états et gouvernements, les 27x2, et élie un président (à
la fois animer les réunions et représenter à l’étranger les chefs d’états membres de l’UE).
Objectifs : orientation de politique générale, conseil où se dessine les grandes orientations à
donner/impulser à l’UE. Pas décisions. Charles Michel.
- Commission européenne : principale, siège à Bruxelles, dispose d’une administration,
composé d’un commissaire par état mm, avec un domaine de compétences, au sein desquels
est élu un ou une présidente, Ursula Von der Leyen, partie populaire européen libéral.
Certains domaines seuls compétences notamment concurrence entre entreprises (respect de
la libre concu). Quasi monopole de proposition de lois à l’échelle UE.
- Le parlement E : titre de P depuis les 60’s peut voter que depuis 79. 751 députés, diminué
avec le Brexit, 73 britanniques répartis entre redistribution à certains pays (27 Fr), les plus
gros en pop, 46 autres en réserve dans éventualité d’une nouvelle adhésion. Présence d’un
président, avant était David Sassoli, auj maltaise Roberta Metsola. Présence de 4 grands
groupes parti conservateur de droite PPU, les socio-démocrate, libéraux appelé renew,
écologistes. Aussi des souverainistes, extrêmes droites. Pvr de codécision.
- Conseil de l’UE : réuni les ministres des gouv des pays mm par domaines de compétences. Ex
pour affaires éco et financière avec les ministres de l’éco et finances des pays mm, réunion
nécessaire pour question éco. Pvr de codécision, aucune loi européenne ne peut être
entérinée sans son accord.
- La cour de justice de l’UE : comprend 27 mm, juges, nommés par chaque états mm, mission
de faire respecter le droit européen. Ensemble de la législation, imposé à tous les états,
primauté sur toutes les législations des pays mm. Le droit national ne peut allez contre
l’euro. Installé à Luxembourg.
- La BCE : Francfort, composée des 19 gouverneurs des banques centrales de la zone euro.
Gérer la politique monétaire avec la quantité de monnaie en circulation, vérifier les niveaux
inflations etc. seconde : le suivi du taux de change sur les marchés étrangers (po de change),
- La cour des comptes : examine les dépendances engagées par les institutions souvent
commission sont légales, use à leurs fins. Selon le budget européen.
En // de ces institutions, présence de comités sans statut d’institution mais qui ont une existence et
participent à l a vie europ. Le comité des régions (représentants des différentes régions de l’espace
de l’UE, représentants des échelons infrarégionaux). Ici pvr consultatif, avis sur q° de po touchant aux
régions et échelons admi inférieurs). Le comité économique et social europ, (réunion de
représentants de la vie socio-éco, avec syndicat de L, chambres de co, autres acteurs de la so civile).
Présence d’institutions européenne qui englobent d’autres pays que ceux de l’UE, doit différencier
pays. Conseil de l’Europe, la cour européenne des DH. Regroupe 47 ays dont 27,
À compléter

II- Mécanismes de prise de décision et contrôle juridictionnel


Comment qu’ça marche ???
Les principes de fonctionnement th en vigueur datent de 2007, traité de Lisbonne du fonction etc.
Fonctio de l’UE sur des principes, deux principaux structurant, socle du fonctionnement de l’UE,
principe d’attribution des compétences, déf préalablement pour le bon fonctionnement les
compétences des différentes institutions, principe central de subsidiarité (quand institution a une
compétence doit exercer que s’il est admi que l’objectif visé sera mieux atteint au niv
communautaire que de chaque et mm. Mise en œuvre complexe, indique que certes compétences
mais en mm temps ces institutions peuvent sauf cas exceptionnel, peuvent choisir de déléguer ces
compétences à des échelons inférieurs, ex régionaux, si considère que ces à ce niv la que objectifs
mieux atteints.
Compétences exclusives :
Les règles de concurrence entre les entreprises sont les mêmes au sein du grand marché constitué
par les pays membres de l’UE. Aucun ne peut dire que dans sont territoire la concu va ê régulée. Mm
logique pour la po commerciale commune, soit traité commerciaux signer entre UE et pays étranger,
quand ils sont signés et ratifiés par ensemble des pays membres, s’impose même manière à tous les
états, personnes ne peut changer de disposition. Si doit ê modifié, revoir close seul UE et commission
peut le faire. La po monétaire pour les pays membres de la zone euro, po imposée par le niveau
européen, notamment BCE qui a compétence, aucun état ne peut se soustraire.
Seconde catégorie de compétences partagées :
Présence de compétences qui vont se répartir entre UE, particulier la commission comme principale
institution et état membres. Ici que s’exerce le principe de subsidiarité, logique de partage,
illustration avec la cohésion économique et sociale + territoriale, c’est-à-dire lutte contre inégalités
entre grandes régions de l’UE. Soit compétences de l’UE et états déterm dans application de
dispositifs. Se voit pour agri et pêche, énergie, doit se plier à des règlements européen, de la
compétence de chaque état membre. Environnement, règlement qui s’imposent pour ensemble des
pays membres, édicté dans le cadre de la procédure législative, po envir nationales.
Trois compétences d’appuie :
Considérer que dans ces domaines les états membres qui disposent de prérogatives principales et UE
peut intervenir éventuellement à la dde des états en appui. Ce qui est admis dans ce principe est que
les états gardent pour essentiel les prérogatives. Vrai pour la po industrielle. Vrai pour ce qui est de la
culture, po relève de chaque état m. vrai pour le tourisme avec po nationale. Ce qui touche à
l’éducation et la jeunesse, la santé.
Principe dans les traités fixation de ces trois catégories, règles du jeu, états ne peuvent pas prendre
d’initiatives à partir de là.
De manière générale, mécanisme regroupé sous l’intitulé de la méthode communautaire. Réunion
des procédures par lesquelles s’il y a prise de décision. Repose sur 4 dimensions composantes :
- Le monopole de la commission eu dans l’initiative des textes ; formellement dans procédure
seule commission peut proposer un texte au vote. Doit nuancer, peut avoir possibilité autre
acteurs d’obliger la commission à déposer un texte.
- Le vote à la majorité qualifiée dans les deux conseils, d’une part le conseil européen et le
conseil de l’ue. Ici dans ces conseils décision pas à la majorité mais selon seuil, en occurrence
deux seuils minimum pour qu’il y a vote au sein du conseil : en nb d’état et en termes de %
de population représenté. Dans le conseil UE a besoin au moins de 55% des étatsm
représentant au moins 65% de la pop de l’UE pour que le vote soit adopté. Doit ê remplit
simultanément. Ici permet une forme d’équilibre. Règle en vigueur depuis le traité de
Lisbonne. Sauf cas particulier pour lesquels règle unanimité en vigueur, au sien du conseil
européen ou UE, tous les états soient d’accord. (po étrangère, fiscalité) modification dde
unanimité mais complexe. Mais évolution UE avec tendance à
l’harmonisation/rapprochement des taux de l’UE. Vrai pour la fixation du budget de l’UE.
Dernier domaine imptt avec unanimité est l’adhésion d’un nouveau pays.
- Pvr de codécision du parlement européen avec le conseil de l’UE (cf. schéma) logique de
l’aboutissement d’un texte législatif. Une fois le texte déposé va suivre une procédure.
Document passe ne plusieurs lecture, si parlement vote non texte définitivement rejeté. Si le
texte est adopté en état il est définitivement adopté. Si nécessaire d’une lecture
supplémentaire, procédure de conciliation
Dans le schéma icone de comité et agence européenne à chaque étape avec tentative
d’influence : soit en // de la codécision présence de lobbys qui ont le droit d’intervenir
auprès des députés, soit possibilité d’agir.
Précision que la procédure peut déboucher sur trois types de textes : le règlement avec une
portée générale (plusieurs acteurs simultané) doit ê retranscrit sans modification dans
législation nationale), aussi les directives doivent ê transposées mais possibilité d’adaptation
dans la législation nationale. Marge de manœuvre selon les situations, peut introduire des
modifications doit ê validé par la cours de justice européenne. Puis une décision, application
directe sans adaptation possible, décision qui concerne un secteur en particulier.
La transposition/application à l’échelle des pays peut prendre plusieurs années.
Commission européenne peut adopter actes exécution pour voir bonne application, idée que
citoyen s peut contester légalité des actes auprès de la cours de justice européenne.
Le contrôle juridictionnel, soit une instance chargée de vérifier la légalité des actes pris par
cette procédure législative ordinaire.
Le droit communautaire, soit le code juridique imposé à tous les états membres, composé des
directives et décisions élaborés par UE. Droit C, obligatoirement appliqué au pays m directement ou
transposition, devient prioritaire par rapport au droit nationale de chaque état. Si pas conforme à un
état, il devrait modifier sa constitution. État ne peut adopter un décret ou loi s’il est contraire au
droit communautaire

Voit importance des étapes de la construction européenne, doit insister sur le fil constructeur avec la
méthode des petits pas, en effet UE pas construite en 1 jour ne nombre de pays membres,
institutions, législation. Appelé à se poursuivre, ne peut considérer que l’UE auj est en situation
définitive. Doit rappeler attachement profond au fonctionnement démocratique, super état constitué
construit sur mis en place procédure démocratiques, parlementaires qui participent au vote.

CHAPITRE 3- enjeux de la consolidation de l’UE

Section 1 – enjeux économiques

Se pose compte tenu de l’évolution des structures éco au sien UE depuis la construction. Europe éco
construite dans le cadre de la construction européenne, progressivement UE a construit un grand
marché intérieur avec frontières communes, vis-à-vis des pays extérieurs. Caractérisé
fondamentalement par la libre circulation des marchandises capitaux sans contrôles aux frontières,
ce qui a permis un accroissement fort des échanges. Cette Europe éco elle s’est construite en
opposition jusqu’au 90 à un bloc communiste constitué de l’URSS et pays satellites. Soit pays
adhérents au capitalisme. A fait le choix d’une intégration tj plus forte avec une monnaie unique. En
revanche ce qui est imptt d’un pt de vu historique à la chute du mur, la dislocation URSS et pacte de
Varsovie. Un certain nb d’éco d’Europe de l’Est progressivement intégré dans l’Europe éco et UE.
Aboutissement élargissement Europe éco. Répercutions fortes sur fonctionnement de l’Europe éco.
I- L’Europe éco : diversité des capitalisme et situations socio-éco.
Rappel présence d’une europe éco unifiée mais il n’empêche pas la diversité des situations, pas
uniformité des structures. En particulier construction européenne depuis 57 et au fur et à mesure
des adhésion successives, a reposé sur un double constat, d’abord le fait qu’il y ai un minimum de
structures communes au sein de chaque états membres, en particulier quand on a accepté pays de
l’est, dit au préalable mise en place de marchés avec libre concurrence, structures privées qui vont
reposer sur un capital privé. En // à ces structures communes acceptations de structures éco avec
inégalités plus ou moins grandes. Le fait que le revenu moyen en Espagne inférieur à la France. UE
mettre éléments pour réduire inégalités, réduire les écarts entre revenus moyen des habitants etc. ici
vient de la concurrence. Idée qui au cœur de la philosophie européenne, au dur et à mesure du
développement, adhésion, le revenu moyen par habitant va aug. L’intégration va mener à une forme
d’harmonisation des situations sociaux économiques.
L’espace éco de l’UE même unifié reste hétérogène avec grande diversité de situation socio-éco, doit
penser aux réalités diverses. Clés de lecture :
Laurent Caroué, approche par grands ensemble territoriaux selon localisation géographique :
- Identification de l’Europe du NO, (pays scandinave, ensemble britannique) ensemble plus
vieux industrialisé, partie la plus imptt du PIB européen et prod industrielle, X plus forte. Part
IDE s’installant en EUROPE est la plus forte. Secteurs de HT sont plus présents. Localisation
de bourses. Places portuaires, spécialisation industrielle vers le tertiaire supérieur.
Modernité politique et sociale avec une tradition démocratique historique ancienne, un état
providence
- Europe du Sud ; péninsules médi au sens large, caractère récent de l’industrialisation, éco
dépendante des délocalisations réalisées par l’industrie des pays du NO. La production
agricole avec évolution importante depuis l’intégration dans l’UE, devenu productiviste et
exportatrice. Contrairement situation salariat agricole encore très important, part du
tourisme balnéaire, tradition démo et sociale récente. Intégration UE comme moyen de
stabilisation de la démocratique, en conséquence faiblesse de la protection sociale/état
providence, pauvreté encore très forte jusqu’aux 90. Le PIB par habitant.
- Europe centrale et orientale, peut aussi inclure une partie des état balkaniques. D’un pt de
vu politique, a subit plusieurs recompositions territoriale depuis la PGM : 3 grandes étapes ->
la PGM et dislocation des deux grands empire austro-hongrois et la Prusse et EO,
modification profonde de cet espace. Fin SGM et reconstitution d’un vaste ensemble avec
URSS et ses satellites. Les 90’s dislocation de l’URSS et accession à l’indépendance complète
de pays en Europe centrale/orientale. Pays qui ont subis l’influence politique et éco de
l’URSS. En particulier une spécialisation industrielle tournée vers l’industrie lourde à partir
des 1950, localisée à proximité des sources de MP, plutôt bien doté. À partir des 90 et
ouverture de cet espace à l’éco de marché tradi, espace devenu un espace bénéficiaire de la
Division européenne du L, comme les Sud avant. Nombre croissance de délocalisation d’ent
indus du NO vers l’Europe centrale avec nb croissant de délo. Pologne/Hongrie/Roumanie.
Veut dire comme pour les Sud spécialisation dans une industrie bas de gamme,
électroménager/automobile, peu sur industrie de HT. Faiblesse de la tertiarisation
notamment supérieurs. Contrairement aux autres parties, aggravation marquée des
inégalités sociaux économique à la suite de l’ouverture à la libre concurrence, capitalisme.
Plus une protection sociale qui reste faible pendant plusieurs décennies.
Ce que l’on observe fin XX début XXI, déplacement géographique des flux à partir des 80,
considérable aug entre NO et Sud avec délocalisations, produits agri, et à la bascule
déplacement géographique des flux du NO vers centrale avec multiplication des
investissements dont Allemagne.
Types de capitalisme
1er type : Dépend du rôle de l’état dans l’économie, varie en fonction des pays en particulier dans la
dimension sociale. Peut aussi mettre en avant le rapport entre industrie et tertiaire comme critère de
distinction, évocation du mode de gestion de l’économie en particulier des partenaires sociaux qui
peut varier d’un pays à un autre, poids des syndicats, fédérations de producteurs. Au sein de l’UE
peut identifier un capitalisme nordique (suède Danemark, Finlande etc.), spécialisé dès les 90 dans
secteurs de pointe, HT, le tertiaire. Action signification de l’état en particulier en protection sociale,
pays connus pour le poids des dépenses pub imptt avec modèle social mis en avant depuis plusieurs
décennies encore auj qui sert de référence avec la flexisécurité (politique sociale cherche a la
flexibilité de l’emploi, faire évoluer l’emploi, pour une sécurité des parcours avec des politiques
d’investissement imptt menées par les états. Financement aussi apportés par les entreprises, soit au
sens de souplesse de l’emploi et sécurisation des parcours avec des capacités de passage d’un emploi
à un autre). Chômage reste inférieur aux pays du continent européen. Attache intérêt à l’innovation
technologique et sociale. Plus phénomène qui caractérise le nordique avec po spécifiques en matière
d’intégration des contraintes environnementales. En avance pour les PP, intégration. A pour
conséquences de l’imposition qui reste élevé par rapport à d’autres parties de l’espace européen.
Second type : dit germanique, Allemagne, Autriche, et Benelux. Une forte prégnance de la base
industrielle, activité quelle soit classique ou de pointe avec bassin prégnants dans le PIB. En appuie
sur l’activité industrielle. Seconde caractéristique : existence de ce que l’on appel une économie
duale, marquée par une forte opposition, sur le modèle britannique. Entre d’un côté un secteur qui
offre des emplois stables, bien rémunérés. Et autre partie avec des emplois plus précaires, souvent à
temps partiel. Prégnance des syndicat et poids de l’état plus faible qu’autre partie de l’UE.
Troisième type : capitalisme britannique, capitalisme libéral qui s’est considérablement
désindustrialisé en abandonnant des pans entier de l’industrie notamment classique. Capitalisme
financier de tertiaire supérieur. A fondé son attractivité sur des compétences importantes
notamment d’un pt de vu financier, multiplication des acteurs avec attractivités sur spécialisation, et
de arguments/éléments en termes d’imposition très faibles. Soit espace britannique particulièrement
attractif pour l’optimisation fiscale. Particulièrement vrai pour la république d’Irlande qui au sein de
l’UE a les taux d’imposition les plus faibles. Aussi vrai des pays bas, à cheval entre germanique et
britannique. Caractérisé par une législation sociale extrêmement réduite peu de charges sociales
mais par contre cout niveaux de protection sociale faible. Insertion dans la mondialisation structurée
autour de cette spécialisation. Veut dire dépendant du reste du monde, en particulier de l’UE. En
appuie sur l’UE et son appartenance en ce qui concerne la production industrielle et agricole, soit
secteur où elle est fortement dépendante.
4ème : capitalisme français, synthèse, compilation des formes, nordique d’un pt de vu de la protection
sociale, dépendances pub se rapproche de ce capitalisme avec référence de la flexisécurité depuis
début 2010. Tente de maintenir rune spécialisation dans l’industrie et le tertiaire mais moins fort que
l’Allemagne et le capitalisme britannique. Poids de l’agro-industrie qui reste imptt, mise en place de
cogestion avec syndicats sans y parvenir. Médit avec une industrialisation qui reste plus faible que
dans le germanique, britannique avec un capitalisme peu orienté vers les secteurs de pointe et avec
un tissus industriel pour l’essentiel constitué de PME. Europe centrale : issue de la dislocation de
l’URSS, convertie dans la dislocation des structures étatiques avec les états en Urss et satellite
jouaient un rôle imptt dans l’économie en particulier pt de vu de la redistribution des salaires etc. ici
complétement démantelé ici construction libéralisation complète des marchés et forte réduction
intervention de l’état avec démantèlement des filets sociaux. Poids agriculture fort avec progressive
industrialisation et vient concurrencer auj les pays agricoles de l’europe de l’ouest et du sud. Pour le
moment reste d’un pnt de vu insertion éco modnaile reste industrie classique notamment atelier de
farbiquation étranger.
Lecture par région et importance dans les échanges économiques (opposition entre les centrales et
périphériques)
Finalement de manière transversale dans ce vaste espaces présence situations inégalitaires entre
régions, toute pas dev au même niveau. Rapidement : les régions métropolitaines (articulée autour
d’une métropole dominante avec la région parisienne, centrale en termes de PIB et autres grandes
métropoles Bruxelles, Francfort, importance des emplois dans le tertiaires supérieur, les populations
avec niveaux de vie les plus élevées -> dite centrales là ou le PIB par habitant est le plus fort.
Contributrice aux politiques de redistribution, où prélèvement servent po pou reste territoire, soit
plus urbanisés. Mais n’empêche pas dans ces régions des espaces de pauvreté très marqués).
Les régions centrales mais non métropolitaines, certaines caractérisée par une industrie assez dev,
dans lequels pas forcément une métropole au sens capitale du terme ex de la Ruhr. Certaines région
agricole très intensive et fortement exportatrice, cas
Les régions où industrialisation est plus faible, essentiellement périphérique, dépendante des
investissements effectués par les entreprises des pays riches, Italie du sud, centrale, Grèce, régions
souvent caractérisée par uen forte dépendance au tourisme, ex Grèce, Croatie.
Régins périphériques avec base industrielle faible, agri qui reste peu productiviste, avec finalement
une dépendance aux dépenses publiques qui reste forte.

Ici peut observer la distinction entre régions centrales, celle pour raison ou une autre occupe une
place centrale dans la croissance éco et région périphérique qui vivent pour une large part des
transferts publiques.
II- Quelques enjeux économiques majeurs

En considérant la diversité, difficulté à identifier une stratégie commune/partagée par l’ensemble des
pays et permettrait appuierait un constat partagé de solutions. Ces enjeux sont à la fois révélateurs
au moins dans le discours d’une volonté d’une stratégie commune, ce que l‘on a observée est encore
difficile de construire cette stratégie. Avec le début de la q° des enjeux, évocation des PP. amène à un
ts de débat : pour les mener présence d’un budget européen qui est mis à disposition des institutions
européennes pour mener des po et répondre à des enjeux. Sur le même mode que les budgets des
états-nations. Montant annuel fixé pour plusieurs années 5-6 ans, actuellement de 170 milliards par
ans. Ce qui fait environ en rapport 300 € par hab, en // le budget annuel dela France est de plus de
400 milliards. Les fonds proprement européens sont donc relativement modestes comte tenu de
l’ampleur des po à mettre en œuvre sur le sol européen. Soit 1% du PIB européen, plus pour les
nationaux. Dans ce budget présence de deux postes qui occupent plus de la moitié de ce budget avec
l’agriculture avec la PAC, et la cohésion sociale (lutte inégalités régionales). Contrairement à ce qu’il
se passe pour États-nations le déficit publique est rigoureusement interdit (constitution et traités).
veut dire contraintes fi fortes sur les possibilités d’actions. Les dépenses en poursuivant cette
réflexion sont les sommes engagées dans le cadre des PP et des dispositifs particuliers propres au
fonctionnement de l’UE. Et les recettes sont des recettes qui viennent soit des cotisations versées par
les états membres et aussi des ressources collectées directement par l’UE sans transiter par l’état
membres avec les droits de douanes ou taxes. Soir différence entre contribution et retour comme ça
que se réalise une progressive harmonisation des situations. Apporte des avantages positifs, dans
certains secteurs que les pays riche pourraient avoir du mal à financer à cause de politique. Ex
agriculture, dans ce secteur France un des pays les plus bénéficieraient de la PAC. Pas les moyens si
elle n’était pas seule en dehors de l’UE.
Aussi des stratégies de croissance sur plusieurs année avec développement économique. 2010-2020.
Stratégies pour la croissance éco depuis 2000 ; objectifs :
- Inscrire pays membres de l’UE dans objectif poursuite de la croissance économique,
considérait tous les pays membres comme devant être portés par cette croissance.
- Développer l’effort d’investissement en matière de recherche, en considérant que dans les
domaines clés, l’économie de la connaissance, UE en retard par rapport aux États-Unis et de
la Chine.
- Contribuer à l’augmentation du taux d’emploi, soit nombre d’individu d’une classe d’âge
ayant un emploi sur le nombre total d’individu en âge de travailler. En particulier le taux
d’emploi pour les femmes.
À partir de 2010 ajout d’une dimension environnementale avec objectif de lutte contre le RC et DD.
À partir de là enjeu éco imptt auxquels confronté UE. Les grandes puissances économiques avec des
guerres commerciales qui tendent à prendre des importances croissantes, en effet passage d’une
mondialisation heureuse à plus nuancée voir conflictuelle de la mondialisation depuis plus de dix ans.
Premier enjeu est de se positionner dans cette évolution de la mondialisation qui tend à se
symboliser autour de cette idée de guerre commerciale. Ici idée que la mondialisation en jeu depuis
les 1980 a contribuée à un accroissement de l’interdépendance au niv commercial et production avec
les grandes puissances commerciales de la planète. Depuis quelques années, amène les pays à
considérer cette interdépendance comme trop forte, concrétisée avec dépendance trop importante
et ce que ‘l’on appel une perte de souveraineté dans certains secteurs stratégiques. Signifie échelle
UE prise de conscience que le renforcement du CI depuis 80 entraînait des conséquences pouvant
aussi ê négative. Ce qui a entraîné des conséquences à la fois échelle de l’UE (avec les po) et en
interne (au sein des pays de l’UE situations de dépendances à l’égard des grandes puissances
commerciales pas toutes les mêmes, échanges avec les puissances commerciales). Ce qui est mis en
avant est le cas de l’All, l’une des puissance éco de l’UE qui a le plus bâti sa croissance sur les
échanges avec chine et EU et avec autre puissances commerciales. À ce titre plus dépendante
qu’autres européens. parle de dépendance problématique et pose la question de comment la
réduire. S’ajoute encore la présence il y a peu les pays de l’Europe de l’Est des pays au sein desquels
la Chine réalise de gros investissements, installent filiale de grands groupes et les utilisent pour
ensuite commercer avec pays du reste de l’UE. (l’une des formes d’intérêt aux grandes puissances).
Question de la relocalisation, q° de la possibilité dans la contexte de mondialisation, la viabilité.
Question de la signification à l’échelle européenne. Dans quel pays, alors que dans cet espace sont
présent des écarts de coûts de prod important. Troisième enjeu est la question énergétique,
manifestée sous différents aspects, question de l’approvisionnement énergétique et production
d’électricité. La BG Vient de choix passés, avant productrice de gaz et pétrole sous le fait de la concu
progressif abandon. Concentration de l’approvisionnement de source donc de pays producteur,
permet de minimiser les coûts, vient des limites et la question auj du contexte avec la Russie et le
plus gros fournisseur auj qui est la Russie. Pour certains plus. Privilégie la concentration de l’Europe
sur ce pays, alors présence autres solutions. Situation qui ne garantie pas une
autonomie/indépendance complète, que seul les renouvelables garantiraient. Nucléaire ne garantie
pas à moyen terme. Importance pour la transition énergétique de la sobriété et la réduction de la
conso. La question des infrastructures lourdes et en termes de financement et durée de construction.
Permet une fixation durable dans le temps. Ex des gazoduc de la baltique Nord Stream.
4ème enjeu : les conséquences du Britan Exit, acté 31 décembre 2020 après des négociations difficiles
en apparence l’accord final scellé a réglé tous les problèmes. Mais deux questions restent en suspens
car source de conflit. La question irlandaise et la pêche. Irlande île coupée en deux, 2/3 indépendante
face à la couronne la République d’Irlande et le reste au Nord Irlande du Nord membre du RU, avec
une question intrinsèque à l’histoire po de l’Irlande avec la q° de la frontière entre les deux.
Économiquement avant le BREXIT peu de pb particulier car île avec certaine libre circulation, pb avec
une partie de l’Irlande sortie de l’UE et le reste dans l’UE, signifie rétablissement d’une frontière
économique entre les deux. Pour les négociations pas q° que marchandises puissent circuler
librement entre les deux. Retient le fait de considérer que l’on donne une forme de statut à l’Irlande
du Nord en créant simplement des droits de douane dans les ports d’Irlande du Nord et autorisant du
même coût une libre circulation des marchandises enter Irlande du Nord et le reste. Mais question
de la perceptions des pro et anti couronne. Légitime en 2021 une résurgence de conflit à la frontière
entre les deux Irlande selon les partis extrémistes avec conflits de guerre civile.
Autre problématique majeure en tant que conséquence du BREXIT avec la pêche, négociations
difficile et à part du reste. Les pêcheurs européens réalisent une bonne partie de leurs pêche dans les
eaux britanniques, à l’inverse une grande partie de la pêche est X vers l’UE. Premier espace
consommateur de poisson britannique. Plus 90% des pêcheurs britanniques ont votés pour le BREXIT
car considéraient que l’UE a progressivement tuée une grande partie de l’industrie, a pesé pour les
négociations et l’accord. Retrouver le contrôle sur ses ressources halieutiques. Au dernier moment
accord a été trouvé, était le dernier point de désaccord, a consisté à dire maintien encore quelque
années le droits pour européen de pêcher dans els eaux britanniques mais la part réservée va
diminuer au fil des ans. Enjeu de savoir jusqu’à quand va tenir cet accord. Soit donne des licences de
pêches pour choisir à travers qui avait le droit de continuer à pêcher dans les eaux britanniques.
Les pêcheurs européens et une part de leurs pêches dans les eaux, soit ambitieux/attractifs donc
avec des politiques dans le domaine notamment éco particulièrement contraignantes. Rejoint la
question de l’énergie avec la décarbonisation de l’énergie consommée. Présence d’un plan européen
pour le dev de l’économie circulaire.
Présence de gros écarts en termes de revenus par habitants, encore des écarts substantiels entre
Europe de l’Ouest et du Sud. Poursuite de la convergence entre pays membres, ce qui fait objet de la
po de cohésion économique et sociale, soit environ 40% du budget de l’UE. Importance d l’autre
indicateur du salaire minimum qui n’est pas une obligation. Enjeu de convergence qui a aussi des
conséquences sur les délocalisations intra-européenne, vient des niveaux de revenus plus faible donc
des coûts, soit ici donnerait une réduction progressive des opé de délocalisation. Importance de la
possibilité de l’harmonisation fiscale de mettre ne place des filiales avec des taux d’impositions plus
faibles. Question de quelle agriculture en UE est désirée. Réflexion en cours au sein de l’UE pour
intégrer une nouvelle dimension à la neutralité carbone, avec le carbone M, celui qui arrive sur le sol
par M sur le sol de l’UE dans le cadre du marche international. Logique de calcul, lorsqu’il importe
calcul le coût et en parallèle calcul une taxe qui renchéri le prix de la truc M. soit va détourner conso
de la marchandise.

Section 2 – enjeux sociaux


Quelle Europe sociale ?
Revient souvent mais pas d’harmonisation, vient d’une raison fondamentale, cf. distinction entre les
trois catégories de domaines et la politique sociale qui relève du domaine qui est normalement des
politiques nationales. L’UE n’a pas les moyens d’imposer une législation commune dans ce domaine.
Continent européen vieillissant au sens géographique, situation alarmante, soit veut dire qu’en
regardant depuis le début du XXI, deux grandes tendances à l’œuvre e symétrique d’une certaine
manière avec un déclin régulier des populations et catégories : les 0-18 ans et les 15-64ans. Présence
de 4 actifs pour un citoyen retraité au début du siècle, à l’horizon 2050 selon les tendances devrait
être autour de 2 actifs pour un citoyen retraité. Vient de plusieurs facteurs : aug régulière de
l’espérance de vie à la naissance, elle est clairement la partie de la planète où espérance de vie à
augmenté le plus, en partie via législation sociale très protectrice notamment à l’égard des risques
sociaux. La réduction régulière depuis les 80-70 du taux de fécondité au sein de l’UE. Le taux de
fécondité en moyenne à l’échelle de l’Ue est de 1,5 enfants par femme. Europe du NO ne va pas du
tout avec 1,3 enfants par femmes, situation difficile, deux pays se détache avec les taux le plus
élevés : rep d’Irlande, la France. deux raisons à ces faiblesses, de moins en moins d’actifs pour
financer les retraites à l’échelle de l’UE en nombre plus imptt, soit le poids que va devoir supporter
dans les décennies chaque actifs pour fi les retraites aug, mécanisme inévitable. Pour une grande
partie des pays membres de l’UE l’accroissement démographique est de plus en plus assuré par le
solde migratoire et de moins en moins par le solde naturel.

Les classes sociales en Europe : faire le lien avec ce qui a été évoqué en section une et dans le
premier paragraphe, idée au sein de l’espace européen une diversité des capitalismes, sous effet de
la division du travail, une répartition de la population active en termes de classe sociale. Alexis SPIRE
les classes sociales en Europe, étude intéressante 2017, les classes sociales se répartissent de
manière hétérogène dans les pays membres de l’UE et aussi un découpage intéressant de ce point de
vue, idée fausse d’une répartition homogène, soit espace encore marqué par une répartition
spécifiques des classes sociales. Ici définit trois grandes classes sociales, peut être contestables sous
certains aspects : les catégories populaires soient les ouvriers, petits indépendants soit agri et
artisans et employés faiblement qualifiés. Seconde classe moyenne, revenu supérieur aux 20% des
plus pauvres et inférieur u 20% des plus riches, soit 60% des revenus distribués à l’échelle de l’UE.
Troisième classes supérieures, 20%des plus riches avec métiers associés au tertiaire supérieur, la
finance. À l’échelle de l’UE les classes populaires représentent 43% des actifs occupés, le moyennes
38% et supérieures 19%. Doit préciser cette répartition de ces différentes catégories en fonction du
poids qu’elle occupe en fonction du poids des pays dans l’UE. Dans els pays d’Europe de l’Est et
Europe du Sud, le poids des classes populaires dans la pop active est supérieur à la moyenne
européenne. Une part des classes moyennes supérieures à la moyenne européen, à l’inverse en
Europe de l’Est et partie des Sud la part de la classe moyenne dans la pop active est inférieure à la
moyenne européenne. Pour les supérieures ont a aussi en Europe du NO une part de ces classes plus
imptt que la moyenne européenne. Question dans les années à venir assistera à une délocalisation
des emplois supérieurs vers les pays d’Europe de l’Est au fur et à mesure de la convergence entre ces
pays. La Hongrie a un fonctionnement, question de institutions des pays ici réel enjeu démocratique
avec une bonne entente entre démocratique européen et nationale, q de ceux qui acceptent
l’articulation Ouest et Sud et ceux d l’Est qui la rép tchèque qui critique le poids trop imptt de la
démocratie à l’échelle européenne.

Section 3 – question démocratique

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