Une sortie éducative avec la visite de deux fermes :

A la ferme de Vroncourt, on a pu observer des animaux :

vivipares ovipares
les truies les poules
les lapines les oies
les chèvres les canes
les brebis les pintades
les dindes

A la ferme de Courcelles, on a pu découvrir des animaux pas typiques de la région :

les alpagas.

Carte d’identité des alpagas chiliens

A) Famille : Ils font partie de la famille des camélidés comme le sont les chameaux,
les dromadaires et les lamas.
Ce sont donc des ruminants mais ils ont des canines sur la mâchoire
supérieure.

B) Taille : de 80 cm à 90 cm au garrot

C) Poids : environ 70 à 80 kg à l’âge adulte

D) Nourriture : Ils ne broutent que l’herbe.

Quand ils sont apeurés, pour se défendre, ils crachent des boulettes d’herbe non digérées
à leurs adversaires qu’ils font remonter de leur estomac.

E) Habitat : c’est le milieu naturel où vit l’animal

Ils vivent dans les montagnes froides et arides et ceux-ci, en particulier, vivaient dans la
Cordillère des Andes au Chili à plus de 4500 mètres.
C’est sur le continent d’Amérique du Sud. Là-bas, on les appelle les moutons des Incas,
habitants de la Cordillère des Andes.
Ils sont installés maintenant dans une ferme en Lorraine depuis juillet 1994.

F) Reproduction : C’est un animal mammifère vivipare. Ils peuvent se reproduire vers

l’âge de deux ou trois ans. La femelle garde son petit durant 360 jours dans son ventre.
C’est-à-dire une année de gestation.

G) Pourquoi l’élevage des alpagas :

Dans leur milieu naturel, on les élève pour leur viande et leur laine.
En Lorraine, on les élève pour leur laine, le tourisme et comme animal de compagnie.
Pour le travail de la laine, l’alpaga est un animal de choix. C’est un animal toujours très
lainé : sa toison recouvre tout le corps, de la tête (front) jusqu’en bas des pattes. Le poil
d’alpaga est mondialement connu. La couleur de sa robe varie selon les espèces : on peut
obtenir une vingtaine de coloris naturels allant du blanc au noir en passant par les tons
gris, beige et marron. On les tond tous les deux ans et on récupère ainsi 3,5 kg de laine
d’une très grande finesse avec lesquels on fabrique des vêtements de qualité et surtout
très chauds.