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informations suivants avec une manière professionnel et bien résumé dans un seul texte :
- Le secteur qui en profitera le plus est celui des BTP (bâtiments et travaux publics), puisque
les différents projets viendront grossir les carnets de commande. La présence de grands
groupes nationaux dans ce secteur (TGCC, SGTM, Jetcontractors…) permettra de capter
cette plus-value et de la conserver sur le territoire national.
- Ces projets de construction ne concernent pas seulement les stades, mais également
l’infrastructure de transport. La priorité sera évidemment donnée à l’extension des lignes
TGV (Marrakech puis Agadir), ainsi que du reste du réseau ferroviaire et autoroutier. Dans
les cartons depuis plus de 40 ans, le tunnel reliant les deux rives du détroit de Gibraltar tient
là une occasion historique pour se concrétiser. Rabat et Madrid ont lancé une nouvelle
étape dans la relance du projet, dont le Comité mixte chargé du projet, composé entre
autres du ministre de l'Equipement et de l’Eau, Nizar Baraka, et de son homologue
espagnol, Raquel Sánchez, poursuit les consultations techniques pour concrétiser ce
chantier de manière optimale.
- le coût des stades : 17 milliards de DH
Revue à la hausse des coûts de construction et rénovation des stades (inflation,
modernisation des stades à construire, etc.)
Grand Stade de Casablanca : 6 milliards de DH
2 stades modulaires (Rabat et Marrakech) : 3 milliards de DH chacun
Rénovation des stades (Marrakech, Rabat, Tanger, Agadir et Fès) : 1 milliard de DH
chacun
Le coût des Centres d’entrainement : 8 milliards de DH
Rénovation totale des 61 centres existants
Construction de la moitié des nouveaux centres proposés
Estimation du coût total : aux alentours de 8 milliards de DH (tenant compte de la cherté
des matières de construction, de la modernisation des normes de construction, etc.)
Coût d’investissement dans les Transports et infrastructures : 17 milliards de DH
Infrastructure :
- Le secteur qui en profitera le plus est celui des BTP (bâtiments et travaux publics), puisque
les différents projets viendront grossir les carnets de commande. La présence de grands
groupes nationaux dans ce secteur (TGCC, SGTM, Jetcontractors…) permettra de capter
cette plus-value et de la conserver sur le territoire national.
- Ces projets de construction ne concernent pas seulement les stades, mais également
l’infrastructure de transport. La priorité sera évidemment donnée à l’extension des lignes
TGV (Marrakech puis Agadir), ainsi que du reste du réseau ferroviaire et autoroutier. Dans
les cartons depuis plus de 40 ans, le tunnel reliant les deux rives du détroit de Gibraltar tient
là une occasion historique pour se concrétiser. Rabat et Madrid ont lancé une nouvelle
étape dans la relance du projet, dont le Comité mixte chargé du projet, composé entre
autres du ministre de l'Equipement et de l’Eau, Nizar Baraka, et de son homologue
espagnol, Raquel Sánchez, poursuit les consultations techniques pour concrétiser ce
chantier de manière optimale.
- le coût des stades : 17 milliards de DH
Revue à la hausse des coûts de construction et rénovation des stades (inflation,
modernisation des stades à construire, etc.)
Grand Stade de Casablanca : 6 milliards de DH
2 stades modulaires (Rabat et Marrakech) : 3 milliards de DH chacun
Rénovation des stades (Marrakech, Rabat, Tanger, Agadir et Fès) : 1 milliard de DH
chacun
Le coût des Centres d’entrainement : 8 milliards de DH
Rénovation totale des 61 centres existants
Construction de la moitié des nouveaux centres proposés
Estimation du coût total : aux alentours de 8 milliards de DH (tenant compte de la cherté
des matières de construction, de la modernisation des normes de construction, etc.)
Coût d’investissement dans les Transports et infrastructures : 17 milliards de DH
Le développement du réseau de transport interne des villes hôtes (bus modernes, routes,
etc.)
Développement de la voie ferroviaire entre Casablanca et Marrakech
Coût d’organisation : 10 milliards de DH
Le coût organisationnel devrait être supporté par les 3 pays organisateurs. Une enveloppe
aux alentours de 3 milliards de dollars est envisageable
- Selon l’étude, le coût total de construction des stades et centres d’entrainement devrait être
supporté intégralement par l’État dans son budget sur l’horizon 2024-2030, pour un
montant de 25 milliards de dirhams.
- Le secteur des BTP sera le grand bénéficiaire de l’organisation de ce Mondial au Maroc,
estime Lahbabi. « Le Maroc va devoir construire de nouvelles infrastructures, que ce soit
des stades, des routes, des structures médicales ou des hôtels. C’est donc une bonne
nouvelle pour le secteur des BTP
-
Touristique :
- Le Tourisme : L’organisation de cette coupe du monde devrait impacter positivement
le secteur touristique marocain sur le court et moyen terme grâce à un flux de touristes
significatif pour l’année de l’organisation de la compétition et les années qui suivront ;
Une amélioration de l’offre hôtelière nationale pour atteindre les objectifs du secteur
touristique à moyen et long terme. Notons que 100.000 lits hôteliers supplémentaires
devraient être fournis pour répondre à la demande dans les villes hôtes. Les recettes
touristiques prévues sur l’année 2030 devraient s’élever à 120 milliards de DH.
- Pour tirer le meilleur parti de l’organisation du Mondial 2030 en termes de marketing,
Guedira juge qu’il faudra abriter soit le match d’ouverture, soit la finale : «Le vrai
challenge, c’est de pouvoir abriter le match d’ouverture ou la finale, parce qu’il y a un
marketing de territoire à faire sur l’un de ces deux matchs. Quand on voit la finale de
la Coupe du monde au Qatar, le nombre de clics sur les réseaux sociaux a dépassé les
3 milliards. C’est un chiffre énorme. Cliquer sur une image avec un tag du Maroc 3
milliards de fois, c’est encourager l’arrivée des touristes sur le marché marocain pour
les 10 ou 15 prochaines années», souligne l’expert. Pour abriter l’un des deux matchs,
il faut se préparer. Et de préciser que la ville qui va abriter la finale doit avoir 8.000
lits et un stade de plus de 80.000 spectateurs. D’où la nécessité d’accélérer la
construction du Grand Stade de Casablanca, conclut-il.
L'organisation de la Coupe du Monde 2030 au Maroc serait un moteur majeur
pour le développement des infrastructures du pays. Les investissements massifs
prévus pour la construction de stades modernes, l'expansion des réseaux de
transports et l'amélioration des installations connexes stimuleraient de manière
significative le secteur de la construction. Ces projets d'infrastructure
contribueraient non seulement à la création d'emplois temporaires et permanents,
mais également à l'optimisation des réseaux de transports, facilitant la mobilité
des citoyens, et le développement continu du tourisme sportif.