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Concours de l
A toute ma famille
en christ
La loi du 11 Mars 1957 n’autorisant , aux termes des alinéas 2 et 3 de l’ article 41, d’une part que les « copies ou
reproductions strictement réservées à l’usage privée du copiste et non destinée à une utilisation collective collective » et
d’autre part, que les analyses et courtes citations dans un but d’exemple et d’illustration « toute représentation ou
reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayant cause est
illicite ».Cette reproduction ou représentation constituerait une contrefaçon sanctionnée par le code pénal.
AVANT – PROPOS
Les exercices et les problèmes développés, montrent chacun des artifices qu’on risque
de rencontrer dans un problème. Les solutions sont développées d’une manière dense, mais
complète. Quand plusieurs méthodes de résolution de tout ou partie d’un exercice sont
possibles, elles sont indiquées.
Cet ouvrage rédigé par des élèves enseignants de l’ENSET, donne à l’élève
suffisamment d’éléments et d’astuces pour braver ledit concours. C’est en toute sûreté que
nous le mettons entre les mains de son lecteur et sommes disposés à d’éventuelles remarques
et suggestions. Il doit connaître le succès bien mérité, nous lui souhaitons de tout cœur.
REMERCIEMENTS
TABLE DE MATIERES
I. (04 points) Le quart d’une population a été vaccinée contre une maladie contagieuse.
Au cours d’une épidémie, on constate qu’il y a parmi les malades un vacciné pour
quatre non vaccinés. On sait de plus qu’au cours de cette épidémie, il y avait un
malade sur douze parmi les vaccinés. Quelle est la probabilité de tomber malade pour
un individu non vacciné ? le vaccin est-il efficace ?
1 1
II. (06 points) a) Montrer que ∀𝑥𝑥 > 0, < 𝑙𝑙𝑙𝑙(1 + 𝑥𝑥) − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥) <
1+𝑥𝑥 𝑥𝑥
1 1 1
b) En déduire que pour tout 𝑛𝑛 ≥ 1, 𝑙𝑙𝑙𝑙(1 + 𝑛𝑛) < 1 + + + ⋯ + < 1 + 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑛𝑛)
2 3 𝑛𝑛
1 1 1
c)On pose 𝑈𝑈𝑛𝑛 = 1 + + + ⋯ + − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑛𝑛). 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀 𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞 𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 (𝑈𝑈𝑛𝑛 )𝑛𝑛∈𝑁𝑁 est
2 3 𝑛𝑛
1
𝑥𝑥 − 1 + 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ≤ 1
III. (10 points) Soit la fonction f définie sur R par : 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = � 𝑥𝑥
1 − (𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙)2 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 > 1
a) i) (01 points) Démontrer que f est continue et dérivable en 1
ii) (02 points) Calculer les limites aux bornes de son ensemble de définition et
préciser les branches infinies de la courbe représentative de f.
iii) (02 points) Etudier les variations de f. démonter que le point d’abscisse 0 est
un point d’inflexion de la courbe représentative de f.
iv) (01 points) Tracer cette courbe dans le plan muni d’un repère orthonormé
(o,i,j).
b) soit la restriction de h à l’intervalle ]1, +∞[
i) (02 points) Démontrer que h réalise une bijection de ]1, +∞[ sur un intervalle
que l’on précisera
ii) (02 points) en déduire que h admet une réciproque h-1 dont on précisera le
sens de variation. Tracer la courbe représentative de h-1.
a) (01 point) Vérifier graphiquement que (E) admet trois racines réelles.
b) (02 point) Montrer que u et v sont deux nombres tels que : 𝑢𝑢3 + 𝑣𝑣 3 = 4 et 𝑢𝑢𝑢𝑢 = 5
alors : 𝑢𝑢 + 𝑣𝑣 est solution de (E)
c) (01 point) Montrer que 𝑢𝑢3 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑣𝑣 3 sont solutions de : 𝑥𝑥 2 − 4𝑥𝑥 + 125 = 0. Cette équation
admet-elle des solutions dans ℝ? Résoudre cette équationdansℂ.
d)(02 point) Calculer (2 + 𝑖𝑖)3 et (2 − 𝑖𝑖)3 .En déduire les solutions de (E).
II- (04 points) Soient 𝐴𝐴1 et 𝐴𝐴2 deux ensemble de boules. On suppose que 𝐴𝐴1 contient 75%
de boules blanches et que 𝐴𝐴2 en contient 50%. On suppose en outre que 𝐴𝐴1 contient trois fois
plus de boules que 𝐴𝐴2 . On place toutes les boules de 𝐴𝐴1 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝐴𝐴2 dans une même urne.On tire
une boule au hasard.On constate qu’elle est blanche. Quelle est la probabilité qu’elle
provienne de 𝐴𝐴1 ? de 𝐴𝐴2 ?
1
𝑥𝑥 − 1 + 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ≤ 1
III-(10points) Soit la fonction f définie sur R par : 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = � 𝑥𝑥
1 − (𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙)2 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 > 1
(02 points) en déduire que h admet une réciproque h-1 dont on précisera le sens de variation.
Tracer la courbe représentative de h-1.
EPREUVE DE MATHEMATIQUES
EXERCICE I :(3pts)
Les deux questions de cet exercice sont indépendantes et on donnera les réponses
sous forme de fractions.
Une urne contient 6 boules bleues, 3 boules rouges et 2 boules vertes indiscernables au
toucher.
b) On appelle X la variable aléatoire qui à tout tirage de trois boules associe le nombre
de boules bleues tirées. Etablir la loi de probabilité de X (1.5 pts). Calculer l’espérance
mathématique de X (0.5 pts)
Quelle est la valeur minimale de k pour que la probabilité de ne tirer que les boules
bleues soit au moins mille fois plus grande que la probabilité de ne tirer que les boules
rouges ?
EXERCICE II :(5pts)
1. a- Soit 1 le barycentre du système de points pondérés (A, 1), (B, 1), (C,-1), (D, 1)
Exprimer ������⃗
𝐼𝐼𝐼𝐼1 en fonction de �����⃗
𝐶𝐶𝐶𝐶
b- soit G2 le barycentre du système de points pondérés (A, 1), (B, 1), (D, 2). Exprimer
������⃑
𝐼𝐼𝐺𝐺2 en fonction de ����⃗
𝐼𝐼𝐼𝐼 . En déduire la position de G2 par rapport aux points I et D.
�������⃗
b) déterminer en fonction de m, les réels a et b tels que m𝐼𝐼𝐺𝐺 �����⃗ ����⃗
𝑚𝑚 =a𝐼𝐼𝐼𝐼 +b𝐼𝐼𝐼𝐼
�������⃗
c) vérifier que 𝑚𝑚𝐽𝐽𝐺𝐺 𝑚𝑚 est égal à un vecteur constant, que l’on précisera
1
Soit f l’application de C1 dans ℂ par f(z)= et soit T l’application de P1 dans P qui au
𝑧𝑧−1
ordonnée y
a) Quelle est l’affixe z de m ? b) Soit Z=f(z) Exprimer Z en fonction de y
b) Soit M d’affixe Z et B d’affixe -1 calculer B M ; en déduire que le point M
appartient à un cercle (G) dont on donnera une équation cartésienne
1+𝑥𝑥
Soit 𝜑𝜑 l’application de [−1,1[ dans IR définie par 𝜑𝜑(x) = �
1−𝑥𝑥
EXERCICE IV :(5pts)
𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥 2 +1)
B- Soit f l’application définie sur [0, +∞[ par f(x)=
𝑥𝑥
𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 > 0 ,f(0) = 0 et soit (C)
d’abscisse 0
2-a- Calculer f’(x) et donner la relation liant f’(x) et g(x) pour x>0
2𝛼𝛼
b- soit 𝛼𝛼 >1 le réel défini à la question A.2-a Etablir que f(𝛼𝛼)=
𝛼𝛼²+1
EXERCICE 1
EXERCICE 2 :
𝑍𝑍+2
1- On considère le nombre complexe W= , Z≠4
𝑍𝑍−4
EXERCICE 3 :
1- Un fabriquant de tôle reçoit une commande d’une boîte cylindrique (type boîte de
conserve) d’un volume V (en 𝑚𝑚3 ). Il veut déterminer le rayon et la hauteur de ce
cylindre de façon que la surface de tôle à utiliser soit la plus petite possible. On
désigne par x le rayon de ce cylindre et par h sa hauteur, mesurés en mètre.
L’épaisseur de la tôle est supposée négligeable.
a) Exprimer V en fonction de x et h puis l’aire S(x) de la tôle à utiliser.
b) Déterminer les valeurs possibles de x puis calculer la dérivée et les limites de S(x)
c) En déduire que l’ensemble des couples (x, h) pour que la surface de la tôle soit
minimum est une droite d’équation h=ax où a est à préciser
2- On considère le triangle rectangle ABC, rectangle en A tel que AB=x ; AC=y et dont
le périmètre P est constant.
𝑃𝑃(𝑃𝑃−2𝑥𝑥)
a) Exprimer P en fonction de x et y et en déduire que 𝑦𝑦 =
2(𝑃𝑃−𝑥𝑥)
𝑃𝑃(2−√2)
b) Montrer que l‘aire de ce triangle est maximum pour x=y= .
2
EXERCICE 4 :
𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥
Soit 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = une fonction donnée.
1+𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 𝑥𝑥
1- Montrer que le domaine d’étude de cette fonction peut se ramener à [0, 𝜋𝜋[.
2- Calculer 𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) et préciser son signe dans le domaine d’étude.
3- Montrer que la courbe de f admet une branche infinie que l’on précisera.
4- Etablir le tableau de variation de f et l’équation de la tangente au point x=0
5- Tracer la courbe de f dans l’intervalle [−2𝜋𝜋, 2𝜋𝜋]
𝜆𝜆
6- a) calculer ∫0 𝑓𝑓(𝑥𝑥)𝑑𝑑𝑑𝑑, 0≤ 𝜆𝜆 ≤ 𝜋𝜋
b) En déduire que l’aire délimitée par la courbe de f et les droites d’équations y=0,
x=0, x= 𝜋𝜋 est infinie.
EPREUVE DE MATHEMATIQUES
EXERCICE I :(5pts)
Une urne contient trois boules vertes portant le numéro 0, deux rouges portant le numéro
5 et une boule noire portant le numéro (a est un entier naturel non nul , différent de 5 et de
10 ). Toutes les boules indiscernables au toucher.
Un joueur tire simultanément trois boules de l’urne.
1) Quelle est la probabilité pour qu’il tire :
a) trois boules de la même couleur ;
b) trois boules de couleurs différentes ;
c)deux boules et deux seulement de même couleur.
2) le joueur reçoit , en francs, la somme des numéros marqués sur les boules tirées.
Les gains possibles du joueur sont donc : 0 ; 10 ;5+a ;10+a ; a
EXERCICE II :(5pts)
b) Ecrire les solutions Z1 et Z2 de cette équation sous forme exponentielle (Z1 sera la
solution dont la partie imaginaire est positive).
1
𝑍𝑍′ = où 𝑧𝑧 est le conjugé de Z.
𝑍𝑍
c)Montrer que pour tout point M distinct de O, les points O,M et M’ sont alignés et que
��������⃗
𝑂𝑂𝑂𝑂. ��������⃗
𝑂𝑂𝑀𝑀′ = 1
1
3 a) Montrons que : |𝑍𝑍 − 2| = 2 <=> � − 𝑍𝑍′� = |𝑍𝑍′|
2
Soit M un point de ( ∁ ) distinct de O. Montrer que M’ est situé sur une droite (D) que
l’on caractérisera. Placer C et (D) sur la figure.
PROBLEME (10pts)
PARTIE A
1-
a) Déterminer les limites de f à −∞ et +∞.
b) Montrer que pour tout réel x, f(x)= -x+ Log (1+𝑒𝑒 𝑥𝑥 )
c) En Déduire que la courbe représentative 𝒞𝒞 de f admet à -∞ une asymptote oblique
notée (d) , on donnera l’équation
PARTIE B
𝒕𝒕𝟐𝟐
Soit g et h les fonctions définies sur [0; +∞[ par g(t)=Log(1+t)-t et h(t)=Log(1+t)-t+
2
3. En déduire que pour tout réel x, 𝑒𝑒 −𝑥𝑥 - 𝑒𝑒 −2𝑥𝑥 ≤ f(x) ≤ 𝑒𝑒 −𝑥𝑥 (1)
PARTIE C
PARTIE D
1 1
𝑈𝑈1 = 1+ et 𝑈𝑈𝑛𝑛+1 =�1 + � 𝑈𝑈𝑛𝑛 , pour tout entier naturel non nul.
𝑒𝑒 𝑒𝑒 (𝑛𝑛+1)
1. Démontre par récurrence que pour tout entier naturel n non nul 𝑈𝑈𝑛𝑛 > 0 .
2. soit (𝑉𝑉𝑛𝑛 )𝑛𝑛 𝜖𝜖 𝐼𝐼𝐼𝐼∗ ,la suite définie par 𝑉𝑉𝑛𝑛 = Log(𝑈𝑈𝑛𝑛 ) pour tout entier naturel n non nul
.
a) Montrer par récurrence que pour tout entier naturel n non nul ;
𝑉𝑉𝑛𝑛 = f(1) + f(2) + ……………………+ f(n) (2)
c) à l’aide des relations (1) et (2), Montrer que pour tout entier naturel n non nul,
𝑆𝑆𝑛𝑛 - 𝑇𝑇𝑛𝑛 /2 ≤ 𝑉𝑉𝑛𝑛 ≤ 𝑆𝑆𝑛𝑛
d) Montrer que la suite (𝑉𝑉𝑛𝑛 )𝑛𝑛 𝜖𝜖 𝐼𝐼𝐼𝐼∗ est majorée et qu’elle converge.
2𝑒𝑒+1 1
e) Prouver que ≤ 𝑉𝑉𝑛𝑛 ≤
2(𝑒𝑒 2 −1) 𝑒𝑒−1
1 1 1 1 1 1
𝑢𝑢1 = , 𝑢𝑢2= + , 𝑢𝑢𝑛𝑛 = + +……………+
2 3 4 𝑛𝑛+1 𝑛𝑛+2 𝑛𝑛+𝑛𝑛
1
𝑣𝑣𝑛𝑛 = 𝑢𝑢𝑛𝑛 + , ∀ n > 0
𝑛𝑛
Z 3 − (4 + i ) Z 2 + (3 + 4i ) Z − 3i =
0 (ζ )
1. (1pt) Montrer que i est solution de (ζ )
2. (2pts) déterminer les nombres réels a, b, et c tels que
Z 3 − (4 + i ) Z 2 + (3 + 4i )=
Z − 3i (Z-i)(cZ2 + bZ + c)
3. (1+1pt) En déduire les solutions de (ζ ) et les placer dans un repère
orthonormé.
III (9pts) FONCTION : On considère la fonction suivante numérique définie par :
EPREUVE DE MATHEMATIQUES
EXERCICE I :(5pts)
Dans un jury de baccalauréat, on a relevé les notes obtenues par 200 candidats en
mathématique (X) et en biologie (Y). Les résultats sont présentés dans un tableau. On a
regroupé les notes en trois sous ensembles, [0,8[, [8,12[et [12,20]. On choisit un élève
au hasard.
3) Sachant qu’un élève a obtenu une note strictement inferieure à 8 en biologie, quelle est
la probabilité qu’elle soit supérieur ou égale à 12 en mathématique ?
EXERCICE II : (10pts)
Les buts du problème sont l’étude de la fonction f définie sur l’intervalle ]0,+∞[ par
𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑒𝑒 2𝑥𝑥 −1)
f(x)= puis la recherche de primitives de cette fonction .
𝑒𝑒 𝑥𝑥
Partie A :
𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥²−1)
2- soit 𝜑𝜑 la fonction définie sur l’intervalle] 1 ; +∞[ par 𝜑𝜑 (x)=
𝑥𝑥
2-c. montrer que 𝜑𝜑 est croissante sur l’intervalle ]1,√𝛼𝛼[ et décroissante sur l’intervalle
] √𝛼𝛼,+∞ [.
Partie B :
Etude la fonction f
2√𝛼𝛼
3. Montrer que, pour tout x de ] 0, + ∞[, f(x)≤
𝛼𝛼−1
Partie C :
Recherche de primitives de f.
𝑒𝑒 𝑥𝑥 𝑒𝑒 𝑥𝑥
1. Vérifier que f est solution de l’équation différentielle y’+y= -
𝑒𝑒 𝑥𝑥 −1 𝑒𝑒 𝑥𝑥 +1
𝑒𝑒 𝑥𝑥 𝑒𝑒 𝑥𝑥
2. On pose h(x) = -
𝑒𝑒 𝑥𝑥 −1 𝑒𝑒 𝑥𝑥 +1
𝜋𝜋
������⃗ �����⃗
(𝑂𝑂𝑂𝑂, 𝑂𝑂𝑂𝑂)≡ [mod2𝜋𝜋] et Q milieu de [OB].
3
OKA ?
Préciser la nature du quadrilatère OQAK. Placer les points A,B,Q et K dans le
plan .
Exercice I : (9pts)
Le plan est muni du repère orthonormé (O, 𝚤𝚤⃗ ,𝚥𝚥⃗ ) (unité 3cm). On considère la fonction
numérique f définie par : f(x) = ln(x2-2x + 2)
On note (C) sa courbe représentative dans (O, 𝚤𝚤⃗ ,𝚥𝚥⃗ )
Partie I
1) Justifie que , pour x réel , x2-2x + 2> 0
2) Déterminer la fonction dérivée f’ de f et étudier le sens de variation de f sur IR
3) Déterminer les limites de f en +∞ 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑒𝑒𝑒𝑒 − ∞
4) Représenter (C) et la droite (∆) d’équation y= x. On montrera que la droite
d’équation x=1 est un axe de symétrie de (C) et on placera les points d’abscisses 0
et 2 ainsi que les tangentes à la courbe en ces points.
Partie II
On s’interesse à l’intersection de (C) et de (∆) .on pose pour tout réel x , 𝜑𝜑(x) = f(x) –x
1) Déterminer la fonction dérivée 𝜑𝜑′𝑑𝑑𝑑𝑑 𝜑𝜑. En déduire que 𝜑𝜑 est strictement
décroissante sur IR
2) Déterminer la limite de 𝜑𝜑 en −∞
3) Montrer que pour tout réel x strictement positif ,
2 2
ln(x) ln(1−x+ 2 )
φ(x)= x�2 + x
− 1�
x x
En déduire la limite de 𝜑𝜑 en +∞
4) Montrer que la droite (∆) coupe la courbe (C) en un point d’abscisse 𝛼𝛼 vérifiant
0.3< 𝛼𝛼<0.4
Exercice II : (7pts)
Soit BOD un triangle isocèle en O .
On pose OB = OD = R
Soit (C) l’ensemble des points M du plan telles que :
Rédigé par ASSE BIENVENU Page 27
BORD BLEU
montrer que
�����⃗.𝐹𝐹𝐹𝐹
4)- Démontrer que 𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ = FM2 – AM2 ; 𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗.𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗ = OF2 – R2 et 𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗.𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗ =𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗ .𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗ . soit
I,J,K,L les milieu respectifs de [𝐴𝐴𝐴𝐴], [𝐷𝐷𝐷𝐷] , [𝐵𝐵𝐵𝐵] et [𝐴𝐴𝐴𝐴] .(IF) coupe (CD) en Q, (KF)
coupe (AD) en R, (JF) coupe (AB) en R , (JF) coupe (AB) en P, (LF) coupe (BC) en S
5) démontrer que la médiane (IF) du triangle AFD est la hauteur du triangle CFD
6) démontrer que ILJK est un rectangle
ExerciceIII : (4pts)
Z et z’ sont deux complexes et on pose 𝜑𝜑( Z,Z’) = Z𝑍𝑍’ + 𝑍𝑍Z’. Le plan est muni du repère
orthonormé direct ( O, 𝑢𝑢
�⃗ , 𝑣𝑣⃗ )
π 2π
1. calculer 𝜑𝜑(i,3) , 𝜑𝜑(1+2i,-2+i) ; 𝜑𝜑(2+i,-3+2i ) et 𝜑𝜑(ei6 , ei 3 ) .Montrer que pour tout
couple (z,z’) le nombre 𝜑𝜑( Z,Z’) est réel .
Calculer 𝜑𝜑( Z,Z’) en fonction de x,y, x’, y’ .déterminer l’ensemble D des points M d’affixe
Z tel que 𝜑𝜑(𝑧𝑧, 1 − 𝑖𝑖)=2√2
3. On pose Z= r𝑒𝑒 𝑖𝑖𝑖𝑖 et Z’ = r’𝑒𝑒 𝑖𝑖𝑖𝑖′ avec 𝜃𝜃 et 𝜃𝜃 ′ réels et r,r’ réels positifs . calculer 𝜑𝜑( Z,Z’)
en fonction de r,r’ et 𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐( 𝜃𝜃 − 𝜃𝜃′) . Exprimer 𝜑𝜑( Z,Z’) en fonction de r. Déterminer
l’ensemble des points M d’affixe z tels que 𝜑𝜑( Z,Z)= 2
Exercice I (7pts)
1
On considère la suite (Un) définie par : U0=∫0 √1 − 𝑥𝑥 dx et
1
Un = ∫0 𝑥𝑥 𝑛𝑛 √1 − 𝑥𝑥 dx si n 𝜖𝜖 IN*
3) Déduisez– en la limite de Un
4) calculer U0
5) A l’aide d’une intégration par parties, Etablissez pour tout n entier positif non nul
la relation : (2n +3)Un =2nUn-1 6) Montrez que
22𝑛𝑛+2 𝑛𝑛!(𝑛𝑛+1)!
pour tout entier positif non nul , on a : Un = (2𝑛𝑛+3)!
Exercice II (7pts)
𝜋𝜋 𝜋𝜋
Soit 𝜑𝜑 la fonction définie sur l’intervalle �0, � par : 𝜑𝜑(𝑥𝑥)= x – tanx
4 4
𝜋𝜋
1- a) Montrez que la fonction 𝜑𝜑 est dérivable sur �0, � et qu’il existe un unique réel
4
𝜋𝜋
α 𝜖𝜖 �0, � tel que 𝜑𝜑′ (𝛼𝛼) = 0
4
𝜋𝜋
b) étudiez les variations de 𝜑𝜑 sur �0, �
4
a) calculez 𝛪𝛪 1 et 𝛪𝛪 2
𝜋𝜋
b) Utilisez le n°1 pour Montrer que, pour tout n 𝜖𝜖 IN* ,on a : 𝛪𝛪 n ≤
4(𝑛𝑛+1)
3-a) soit U une fonction dérivable sur R . montrez que la fonction V , définie sur
𝜋𝜋
�0, � par V(x) = U(tanx) est dérivable. exprimer sa dérivée à l’aide de celle de U.
4
𝜋𝜋
b) pour tout entier n ≥ 3, calculez ∫04 ((𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡)n-2 +(tanx)n) dx .déduisez- en : In=- In-2
1
+ pour tout n ≥ 3
𝑛𝑛−1
1 1 1 1 1
Vk = 1- + - +…….+ -
2 3 4 2𝑘𝑘−1 2𝑘𝑘
1 1
In = In-4 + -
𝑛𝑛−1 𝑛𝑛−3
1
b) montrez que pour tout entier k≥ 1 on a alors I4k+1 =I1 - Vk
2
c) Montrez que (Vk ) converge vers une limite, que vous précisez .
Exercice III(6pts)
Partie I : ABCD est carré.ABJ et CDK sont des triangles équilatéraux tels que J est à
l’intérieur du carré et K à l’extérieur.
�������⃗, 𝐷𝐷𝐷𝐷
1) Déterminer une mesure de l’angle (𝐷𝐷𝐷𝐷 ����⃗
�����⃗ , 𝐷𝐷𝐷𝐷
2) Déterminer une mesure de l’angle 𝐷𝐷𝐷𝐷 ������⃗ )
3) Démontrer que les points D,J et K sont alignés.
Exercice 1
Soit :
n’ : le nombre de vaccinés
On cherche la probabilité de tomber malade pour un individu non vacciné. Soit P cette
probabilité
On a : m1 + m2 = m et n1 + m1 = n’
1
Le quart de la population a été vacciné → 𝑛𝑛′ = 𝑛𝑛
4
𝑚𝑚1 + 𝑚𝑚2 = 𝑚𝑚 1
� → 𝑚𝑚1 + 4𝑚𝑚1 = 𝑚𝑚 → 𝑚𝑚1 = 𝑚𝑚 (𝑎𝑎)
4𝑚𝑚1 = 𝑚𝑚2 5
1 1 5 1
(𝑎𝑎) 𝑒𝑒𝑒𝑒 (𝑏𝑏) → 𝑛𝑛′ = 𝑚𝑚 → 𝑚𝑚 = 𝑛𝑛′ Or 𝑛𝑛′ = 𝑛𝑛
13 5 13 4
5 1 5
→ 𝑚𝑚 =
13
× 𝑛𝑛
4
⇒ 𝑚𝑚 = 52 𝑛𝑛 (𝑐𝑐)
1 4 1
(𝑐𝑐) 𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑 (𝑎𝑎) ⇒ 𝑚𝑚1 = 52 𝑛𝑛 ⇒ 𝑚𝑚2 = 52 𝑛𝑛 ⇒ 𝑚𝑚2 = 13 𝑛𝑛
le vaccin est efficace si parmi les individus vaccinés, le nombre de vaccinés malade (𝑚𝑚1 ) est
inférieure au nombre de vaccinés non malade (𝑛𝑛1 )ou encore la probabilité de tomber malade
pour un individu vacciné est inférieure à la probabilité de tomber malade pour un individu
non vacciné.
1
Le nombre de malade vaccinés est 𝑚𝑚1 = 𝑛𝑛′
13
12
Le nombre de malade non vaccinés est 𝑛𝑛1 = 𝑛𝑛′
13
EXERCICE 2
1 1
a) Montrons que ∀𝑥𝑥 > 0 , < 𝑙𝑙𝑙𝑙(1 + 𝑥𝑥) − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥) <
1+𝑥𝑥 𝑥𝑥
1+𝑥𝑥 1 1+𝑥𝑥 1
Posons ℎ(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙 � �− 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙 � �−
𝑥𝑥 𝑥𝑥+1 𝑥𝑥 𝑥𝑥
1 + 𝑥𝑥 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 �𝑙𝑙𝑙𝑙 � �− �
𝑥𝑥→0+ 𝑥𝑥→0+ 𝑥𝑥 𝑥𝑥
1 1
1 𝑙𝑙𝑙𝑙�1+𝑥𝑥� 𝑙𝑙𝑙𝑙�1+𝑥𝑥� 𝑙𝑙𝑙𝑙(1+𝑋𝑋)
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 � 1 − 1� = − ∞ (En effet 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 � 1 �= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 � �=
𝑥𝑥→0+ 𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑥𝑥→0+ 𝑥𝑥
𝑋𝑋→+∞ 𝑋𝑋
1 1
𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑋𝑋+𝑙𝑙𝑙𝑙�1+𝑋𝑋� 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑋𝑋) 𝑙𝑙𝑙𝑙�1+𝑋𝑋�
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 � � = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 � + �= 0
𝑋𝑋→+∞ 𝑋𝑋 𝑋𝑋→+∞ 𝑋𝑋 𝑋𝑋
𝟏𝟏+𝒙𝒙 𝟏𝟏
𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍 𝒈𝒈(𝒙𝒙) = 𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍 (𝒍𝒍𝒍𝒍 � � − ) = 𝟎𝟎
𝒙𝒙→+∞ 𝒙𝒙→+∞ 𝒙𝒙 𝒙𝒙
1
∀𝑥𝑥 > 0, 𝑔𝑔′(𝑥𝑥) = , ⇒ ∀𝑥𝑥 > 0, 𝑔𝑔′(𝑥𝑥) > 0
𝑥𝑥 2 (1+𝑥𝑥)
Tableau de variation de g
1 1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ℎ(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 �𝑙𝑙𝑙𝑙 �1 + � − �
𝑥𝑥→0+ 𝑥𝑥→0+ 𝑥𝑥 𝑥𝑥 + 1
1
1 �1 + � 1
= lim �ln 𝑥𝑥 − � = +∞
𝑥𝑥→0+ 𝑥𝑥 1 1
+1
𝑥𝑥 𝑥𝑥
lim ℎ(𝑥𝑥) = 0
𝑥𝑥→+∞
−1�
𝑥𝑥 2 1 −1 1 1 1 1 −1
∀𝑥𝑥 > 0, ℎ′ (𝑥𝑥) = + (1+𝑥𝑥)2 = + (1+𝑥𝑥)2 ⟹ ℎ′(𝑥𝑥) = (1+𝑥𝑥) �− + (1+𝑥𝑥)� =
1+1�𝑥𝑥 𝑥𝑥(1+𝑥𝑥) 𝑥𝑥 𝑥𝑥(1+𝑥𝑥)2
𝑥𝑥 0 +∞
ℎ′(𝑥𝑥) +
+∞
ℎ(𝑥𝑥)
0
TABLEAU DE VARIATION DE h
1 1
Par conséquent, ∀𝑥𝑥 > 0, < ln(1 + 𝑥𝑥) − ln(𝑥𝑥) <
1 + 𝑥𝑥 𝑥𝑥
1 1 1
b) Déduisons que ∀𝑛𝑛 ≥ 1, 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑛𝑛 + 1) < 1 + + + ⋯ + < 1 + 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑛𝑛)
2 3 𝑛𝑛
1 1
On a ∀𝑥𝑥 > 0, < 𝑙𝑙𝑙𝑙(1 + 𝑥𝑥) − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥) < (*)
1+𝑥𝑥 𝑥𝑥
1 1
Soit 𝐾𝐾 𝜖𝜖 𝛮𝛮 ⋆ , d’après (*) : < 𝑙𝑙𝑙𝑙(1 + 𝐾𝐾) − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝐾𝐾) <
1+𝐾𝐾 𝐾𝐾
𝑛𝑛−1 𝑛𝑛−1
1 1
< 𝑙𝑙𝑙𝑙(1 + 𝐾𝐾) − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝐾𝐾) ⟹ � < � 𝑙𝑙𝑙𝑙(1 + 𝐾𝐾) − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝐾𝐾)
1 + 𝐾𝐾 1 + 𝐾𝐾
𝐾𝐾=1 𝐾𝐾=1
1 1 1 1
Or ∑𝑛𝑛−1
𝐾𝐾=1 = 1 + + + ⋯+ et ∑𝑛𝑛−1
𝐾𝐾=1 𝑙𝑙𝑙𝑙(1 + 𝐾𝐾) − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝐾𝐾) = (𝑙𝑙𝑙𝑙(2) + 𝑙𝑙𝑙𝑙(3)
1+𝐾𝐾 2 3 𝑛𝑛
1 1
𝑙𝑙𝑙𝑙(1 + 𝐾𝐾) − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝐾𝐾) < ⟹ ∑𝑛𝑛𝐾𝐾=1 𝑙𝑙𝑙𝑙(1 + 𝐾𝐾) − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝐾𝐾) < ∑𝑛𝑛𝐾𝐾=1 or
𝐾𝐾 𝐾𝐾
1 1 1 1
Et ∑𝑛𝑛𝐾𝐾=1 =1 + + + ⋯ +
𝐾𝐾 2 3 𝑛𝑛
1 1 1
c) On pose 𝑈𝑈𝑛𝑛 = 1 + + + ⋯ + − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑛𝑛)
2 3 𝑛𝑛
1
Or d’après a), ∀𝑥𝑥 > 0, < 𝑙𝑙𝑙𝑙(1 + 𝑥𝑥) − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥) ⟹ ∀𝑛𝑛 𝜖𝜖 𝛮𝛮 ⋆
1+𝑥𝑥
1 1
< 𝑙𝑙𝑙𝑙(1 + 𝑛𝑛) − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑛𝑛) ⟹ 0< < 𝑙𝑙𝑙𝑙(1 + 𝑛𝑛) − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑛𝑛) ∀𝑛𝑛 𝜖𝜖 𝛮𝛮 ⋆
1+𝑛𝑛 1+𝑛𝑛
1 1 1
D’où 0 < 1 + + + ⋯ + − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑛𝑛) ∀𝑛𝑛 𝜖𝜖 𝛮𝛮 ⋆
2 3 𝑛𝑛
Puisque (𝑈𝑈𝑛𝑛 )𝑛𝑛𝑛𝑛𝑁𝑁⋆ est minorée et décroissante, alors (𝑈𝑈𝑛𝑛 )𝑛𝑛𝑛𝑛𝑁𝑁⋆ est convergente.
EXERCICE III
1
𝑥𝑥 − 1 + 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ≤ 1
Soit f définie par f(x) = � 𝑥𝑥
2
1 − (𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿) 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 > 1
1 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
f(1) = 1-1 + =1 ; 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙+ 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = ( 1 − (𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿)2 )=1 ;
1 𝑥𝑥⟶1 𝑥𝑥 ⟶ 1+
1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙− 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙−( 𝑥𝑥 − 1 + ) =1
𝑥𝑥⟶1 𝑥𝑥⟶1 𝑥𝑥
• Dérivabilité de f en 1
𝑓𝑓(𝑥𝑥)−𝑓𝑓(1) 𝑓𝑓(𝑥𝑥)−𝑓𝑓(1)
f est dérivable en 1 si 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙+ = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙− 𝜖𝜖 IR
𝑥𝑥⟶1 𝑥𝑥−1 𝑥𝑥⟶1 𝑥𝑥−1
𝑓𝑓(𝑥𝑥)−𝑓𝑓(1) 𝑓𝑓(𝑥𝑥)−𝑓𝑓(1)
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙+ = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙− =0 ⇒ f dérivable en 1
𝑥𝑥⟶1 𝑥𝑥−1 𝑥𝑥⟶1 𝑥𝑥−1
f(x)
D’où lim =0
x⟶+∞ x
à la courbe de f au voisinage de −∞
1
1− 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ≤ 1
𝑥𝑥 2
∀ x 𝜖𝜖 Df , f’(x) = � 1
− 𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 > 1
𝑥𝑥
Tableau de variation de f
X −∞ -1 0 1 +∞
f’(x) + 0 - - o -
f(x) -3 +∞
1
-∞ -∞ -∞
2
f’’(x) = 0 ⟺ (𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿 − 1) = 0 ⇒ (𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿 − 1) = 0 ⇒ x= e
𝑥𝑥 2
x 1 e +∞
f’’(x) - 0 +
on observe que e annule f’’ en changeant de signe , il s’ensuit donc que le point
d’abscisse e est un point d’inflexion à la courbe de f
1
𝑥𝑥 − 1 + =0
𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 + 1 = 0
f(x) = 0 ⟺ � 𝑥𝑥 ⟺ � ⇒ x=e ou x=e-1 ⇒ x=e (car x>1 )
1 − (𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿) = 02 1 − (𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿)2 = 0
Courbes de f et de h-1
x −∞ 1
(h-1)’(x) -
(h-1)(x) +∞
1
La courbe de h-1 se déduit de celle de h dans ]1, +∞[ par symétrie par rapport à la
première bissectrice. (Voir figure)
Exercice I
• Tableau de variation de f
X −∞ −√5 √5 +∞
f’(x) + 0 - 0 +
10√5-4 +∞
f(x) −∞ -10 √5 -4
D’après le tableau de variation de f, on observe que f coupe 3 fois l ‘axe des abscisses. D’ou
l’équation f(x)=o admet 3 solutions réelles appartenant respectivement aux intervalles
b) Montrons que si u et v sont deux nombres tels que : 𝑢𝑢3 + 𝑣𝑣 3 = 4 et 𝑢𝑢𝑢𝑢 = 5 alors
: 𝑢𝑢 + 𝑣𝑣 est solution de (E).
Supposons : 𝑢𝑢3 + 𝑣𝑣 3 = 4 et 𝑢𝑢𝑢𝑢 = 5 et montrons que 𝑢𝑢 + 𝑣𝑣 est solution de (E).
Il suffit de montrer que (u+v)3 -15(u+v) -4 =0
=( u3 + v3 ) + (3uv -15)(u+v) -4
=4 + (3x5 -15)(u+v) -4 =0 car 𝑢𝑢3 + 𝑣𝑣 3 = 4 et 𝑢𝑢𝑢𝑢 = 5
D’où u+v solution de (E) si 𝑢𝑢3 + 𝑣𝑣 3 = 4 et 𝑢𝑢𝑢𝑢 = 5
c) Montrons u3 et v3 sont solutions de 𝑥𝑥 2 − 4𝑥𝑥 + 125 = 0
𝑢𝑢 𝟑𝟑
+ 𝑣𝑣 3
= 4 𝑢𝑢𝟑𝟑 + 𝑣𝑣 3 = 4 (1)
� ⇔� 3 3 (1) dans (2) ⟹ 𝑣𝑣 𝟑𝟑 (4 − 𝑣𝑣 3 ) = 125
𝑢𝑢𝑢𝑢 = 5 𝑢𝑢 𝑣𝑣 = 125 (2)
𝜌𝜌𝟑𝟑 = 1 𝜌𝜌 = 1
en posant z=𝜌𝜌𝑒𝑒 𝑖𝑖𝑖𝑖 , z3 = 1 ⟹ � ⟹� 2
3𝜃𝜃 ≡ 0[2𝜋𝜋] 𝜃𝜃 = 𝑘𝑘𝑘𝑘
3
1 √3 1 √3
⟹z0=1 ; z1=- + i ; z2=- - i
2 2 2 2
𝑢𝑢𝑘𝑘 1 √3 √3 1
Zk = ⟹ u0= 2-i ; u1= (2-i)x(- + i ) =-1 + + i( + √3 ) ;
2−𝑖𝑖 2 2 2 2
1 √3 √3 1
u2= (2-i)x(- - i ) =-1 - + i( - √3 )
2 2 2 2
𝑣𝑣𝑘𝑘 1 √3 √3 1
Zk = ⟹ v0= 2+i ; v1= (2+i)x(- + i ) =-1 - + i(- + √3 ) ;
2+𝑖𝑖 2 2 2 2
1 √3 √3 1
v2= (2+i)x(- - i ) =-1 + - i( + √3 )
2 2 2 2
les solutions de (E) sont les ui + vj tel que ui3 + vj3 = 4 et uivj=5
�4, −2 + √3 , −2 − √3�
Exercice II
Soit n1= card (𝐴𝐴1 ) et 𝑛𝑛2 =card( 𝐴𝐴2 )
𝑏𝑏1 :nombre de boule blanches de 𝐴𝐴1
𝑏𝑏2 :nombre de boule blanches de 𝐴𝐴2
𝟕𝟕𝟕𝟕 𝟑𝟑
𝐴𝐴1 Contient 75% de boule blanches ⇔ 𝑏𝑏1 = 𝑛𝑛1 = 𝑛𝑛1
100 𝟒𝟒
𝟓𝟓𝟓𝟓 𝟏𝟏
𝐴𝐴2 Contient 50% de boule blanches ⇔ 𝑏𝑏2 = 𝒏𝒏𝟐𝟐 = 𝒏𝒏𝟐𝟐
𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏 𝟐𝟐
EXERCICEIII
1
𝑥𝑥 − 1 + 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ≤ 1
Soit f définie par f(x) = � 𝑥𝑥
2
1 − (𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿) 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 > 1
1 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
f(1) = 1-1 + =1 ; 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙+ 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = ( 1 − (𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿)2 )=1 ;
1 𝑥𝑥⟶1 𝑥𝑥 ⟶ 1+
1
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙− 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙−( 𝑥𝑥 − 1 + ) =1
𝑥𝑥⟶1 𝑥𝑥⟶1 𝑥𝑥
• Dérivabilité de f en 1
𝑓𝑓(𝑥𝑥)−𝑓𝑓(1) 𝑓𝑓(𝑥𝑥)−𝑓𝑓(1)
f est dérivable en 1 si 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙+ = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙− 𝜖𝜖 IR
𝑥𝑥⟶1 𝑥𝑥−1 𝑥𝑥⟶1 𝑥𝑥−1
𝑓𝑓(𝑥𝑥)−𝑓𝑓(1) 𝑓𝑓(𝑥𝑥)−𝑓𝑓(1)
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙+ = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙− = 0 ⇒ f dérivable en 1
𝑥𝑥⟶1 𝑥𝑥−1 𝑥𝑥⟶1 𝑥𝑥−1
𝐟𝐟(𝐱𝐱)
D’où 𝐥𝐥𝐥𝐥𝐥𝐥 =0
𝐱𝐱⟶+∞ 𝐱𝐱
à la courbe de f au voisinage de −∞
iii- Etude des variations de f
1
1− 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 ≤ 1
𝑥𝑥 2
∀ x 𝜖𝜖 Df , f’(x) = � 1
− 𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 > 1
𝑥𝑥
Tableau de variation de f
x −∞ -1 0 1 +∞
f’(x) + 0 - - o -
f(x) -3 +∞
1
-∞ -∞ -∞
2
f’’(x) = 0 ⟺ (𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿 − 1) = 0 ⇒ (𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿 − 1) = 0 ⇒ x= e
𝑥𝑥 2
x 1 e +∞
f’’(x) - 0 +
on observe que e annule f’’ en changeant de signe , il s’ensuit donc que le point d’abscisse
e est un point d’inflexion à la courbe de f
1
𝑥𝑥 − 1 + =0
𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 + 1 = 0
f(x) = 0 ⟺ � 𝑥𝑥⟺ � 2 ⇒ x=e ou x=e-1 ⇒ x=e (car x>1 )
1 − (𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿) = 0 2 1 − (𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿𝐿) = 0
COURBES DE f ET DE h-1
x −∞ 1
(h-1)’(x) -
(h-1)(x) +∞
La courbe de h-1 se déduit de celle de h dans ]1, +∞[ par par symétrie par rapport à la
première bissectrice. (Voir figure)
EXERCICE I :
Une urne contient 6 boules bleues, 3 boules rouges et 2 boules vertes indiscernables au
toucher.
𝟏𝟏𝟏𝟏
P ( E1)=
𝟓𝟓𝟓𝟓
6!
𝐶𝐶63 +𝐶𝐶33 +1 7
𝑃𝑃 (𝐸𝐸2 ) = = 3!×3!
= ⟹ 𝟕𝟕
3
𝐶𝐶11 11!
3!×8!
55 P ( E2)=
𝟓𝟓𝟓𝟓
2
P (X= 0) =
3 2 1 1 2 33
= 𝐶𝐶3 +𝐶𝐶3 𝐶𝐶2 +𝐶𝐶3 𝐶𝐶2 = 1+3×2+3×1
P (X= 0) 3 ×6 d’où
𝐶𝐶11 11×10×9
Exercice II :
1.
a) G1=bar {(A, 1), (B, 1), (C,-1), (D, 1)}
Exprimons ������⃗
𝐼𝐼𝐼𝐼1 en fonction de �����⃗
𝐶𝐶𝐶𝐶
G1=bar{(A,1),(B,1),(C,-1),(D,1)}
�⎯�+ �⎯� −�� +�⎯� =→
𝐺𝐺1 𝐴𝐴 𝐺𝐺1 𝐵𝐵 𝐺𝐺1 𝐶𝐶 𝐺𝐺1 𝐷𝐷 0
→+ →=→
𝐼𝐼𝐼𝐼 𝐼𝐼𝐼𝐼 0
2 �� +→+ → =→
𝐺𝐺1 𝐼𝐼 𝐶𝐶𝐶𝐶 𝐼𝐼𝐼𝐼 0
2 �� +��=→
𝐺𝐺1 𝐼𝐼 𝐶𝐶𝐶𝐶 0
𝟏𝟏
�� = (�� )
𝑰𝑰𝑰𝑰𝟏𝟏 𝟐𝟐 𝑪𝑪𝑪𝑪
b) soit G2=bar {(A, 1), (B, 1), (D, 2)} exprimons �� en fonction de →
𝑰𝑰𝑰𝑰𝟐𝟐 𝐼𝐼𝐼𝐼
4 �� +→+ →+2 → =→
𝐺𝐺2 𝐼𝐼 𝐼𝐼𝐼𝐼 𝐼𝐼𝐼𝐼 𝐼𝐼𝐼𝐼 0
𝟏𝟏
�� =𝟐𝟐 (�� )
𝑰𝑰𝑰𝑰𝟐𝟐 𝑰𝑰𝑰𝑰
c) exprimons �� en fonction de →
𝑱𝑱𝑱𝑱𝟏𝟏 𝑪𝑪𝑪𝑪
2 �� + 2 →− ��− → + �� + �� =→ or �� = −→
𝐺𝐺1 𝐽𝐽 𝐽𝐽𝐽𝐽 𝐺𝐺1 𝐽𝐽 𝐽𝐽𝐽𝐽 𝐺𝐺1 𝐽𝐽 𝐽𝐽𝐽𝐽 0 𝐽𝐽𝐽𝐽 𝐽𝐽𝐽𝐽
2 �� + 2 →−2 → =→
𝐺𝐺1 𝐽𝐽 𝐽𝐽𝐽𝐽 𝐽𝐽𝐽𝐽 0
2 �� + 2 →−2 → −2 → =→
𝐺𝐺1 𝐽𝐽 𝐽𝐽𝐽𝐽 𝐽𝐽𝐽𝐽 𝐼𝐼𝐼𝐼 0
��= →
𝐺𝐺1 𝐽𝐽 𝐼𝐼𝐼𝐼
��= →
𝐽𝐽𝐽𝐽1 𝐶𝐶𝐶𝐶
𝟏𝟏
2-1 ��-��= (��-��)
𝑰𝑰𝑰𝑰𝟐𝟐 𝑰𝑰𝑰𝑰𝟏𝟏 𝟐𝟐 𝑰𝑰𝑰𝑰 𝑪𝑪𝑪𝑪
𝟏𝟏
�⎯⎯�=𝟐𝟐 → or →=��
𝑮𝑮𝟏𝟏 𝑮𝑮𝟐𝟐 𝑰𝑰𝑰𝑰 𝑰𝑰𝑰𝑰 𝐺𝐺1 𝐽𝐽
𝟏𝟏
�⎯⎯�=𝟐𝟐 ��
𝑮𝑮𝟏𝟏 𝑮𝑮𝟐𝟐 𝐺𝐺1 𝐽𝐽
𝟏𝟏 𝟏𝟏
�⎯⎯�=𝟐𝟐 �⎯⎯� + 𝟐𝟐 ��
𝑮𝑮𝟏𝟏 𝑮𝑮𝟐𝟐 𝑮𝑮𝟏𝟏 𝑮𝑮𝟐𝟐 𝐺𝐺2 𝐽𝐽
𝟏𝟏 𝟏𝟏
�⎯⎯� − 𝟐𝟐 �⎯⎯� = 𝟐𝟐 ��
𝑮𝑮𝟏𝟏 𝑮𝑮𝟐𝟐 𝑮𝑮𝟏𝟏 𝑮𝑮𝟐𝟐 𝐺𝐺2 𝐽𝐽
�⎯⎯� = ��
𝑮𝑮𝟏𝟏 𝑮𝑮𝟐𝟐 𝐺𝐺2 𝐽𝐽
1
𝐴𝐴𝐴𝐴𝑚𝑚 =2+𝑚𝑚−2+𝑚𝑚 ��� + (𝑚𝑚 − 2) �� + 𝑚𝑚 ���
𝐴𝐴𝐴𝐴 𝐴𝐴𝐴𝐴 𝐴𝐴𝐴𝐴
1
= ��� + (𝑚𝑚 − 2) �� + 𝑚𝑚 ���
2𝑚𝑚 𝐴𝐴𝐴𝐴 𝐴𝐴𝐴𝐴 𝐴𝐴𝐴𝐴
��������⃗=a𝑰𝑰𝑰𝑰
b) déterminons en fonction de m, les réels a et b tels que m𝐼𝐼𝐼𝐼𝑚𝑚 �����⃗+b𝑰𝑰𝑰𝑰
�����⃗
I C D
𝐺𝐺𝑚𝑚 =
m 2-m m
D’où 𝐺𝐺𝑚𝑚 appartient au plan fixe (P) formé des points I,C et D.
�⎯⎯�= − → −→
𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚 𝐼𝐼𝐼𝐼 𝐽𝐽𝐽𝐽
Vecteur constant.
d) déduisons l’ensemble F des points 𝐺𝐺𝑚𝑚 du plan P lorsque m décrit E
On a : m�⎯�=→ or d’après 1 .c) ��=→ d’où �⎯�= ��
𝐽𝐽𝐽𝐽𝑚𝑚 𝐶𝐶𝐶𝐶 𝐽𝐽𝐽𝐽1 𝐶𝐶𝐶𝐶 𝐽𝐽𝐽𝐽𝑚𝑚 𝐽𝐽𝐽𝐽1
1
∀ m ∈ E, �⎯�= ��
𝐽𝐽𝐽𝐽𝑚𝑚 𝑚𝑚 𝐽𝐽𝐽𝐽1
Par conséquent, quand m décrit E, alors 𝐺𝐺𝑚𝑚 décrit la droite passant par J et 𝐺𝐺1
F=(𝐽𝐽𝐽𝐽1 ) où (𝐽𝐽𝐽𝐽1 ) est la droite ayant �� pour vecteur directeur.
𝐽𝐽𝐽𝐽1
Soit f : C1 ⟶ ℂ et T : P1 ⟶ P
1
Z ⟼ m(z) ⟼M(Z) tel que Z=f(z)
𝑧𝑧−1
1 √3
L’expression algébrique de Z0 est : Z0= - i
4 12
1 √3 √3 √3 1 √3 −𝑖𝑖𝜋𝜋
|𝑍𝑍0 |=
12
√3 + 9 = 6
⇒ Z0 = (
6 2
− 𝑖𝑖 ) =
2 6
𝑒𝑒 6
√3 −𝑖𝑖𝜋𝜋
L’expression exponentielle de Z0 est : Z0 = 𝑒𝑒 6
6
1−√5 1+√5
z1= 𝑒𝑒 −𝑖𝑖π et z2 = 𝑒𝑒 𝑖𝑖0
les formes exponentielles de z1 et z2 sont : 2 2
1 arg(Z) = - arg(z-1)
arg(Z) = arg( ) ⇒
𝑧𝑧−1
d’où E= z= x ; x 𝜖𝜖 IR
f) Déterminons l’ensemble F des points m tels que T(m) appartienne à la droite
(O,v)
T(m) 𝜖𝜖(O,v) ⇒ Re(f(z)) = 0
Re(f(z)) = 0 ⇒ X=0 ⇒ x=1
D’où F est la droite d’ équation : x=1
1
4. On considère la droite (D) d’équation x=
2
BM = 1
1+𝑥𝑥
soit 𝜑𝜑 l’application de [−1,1[ dans IR définie par 𝜑𝜑(x) = �
1−𝑥𝑥
𝜑𝜑 est dérivable sur ]−1,1[ comme produit et composée de fonctions dérivables sur
1
]−1,1[ ( ces fonctions sont : x↦ ; x↦ 1+x et x↦ √𝑥𝑥 )
1−𝑥𝑥
1+𝑥𝑥
(1−𝑥𝑥)′ 1 1
∀ x 𝜖𝜖 ]−1,1[ , 𝜑𝜑’(x) = = =
1+𝑥𝑥
2�1−𝑥𝑥
1+𝑥𝑥
(1−𝑥𝑥)2 �1−𝑥𝑥 √1+𝑥𝑥
Tableau de variation de f
x -1 0
1
𝜑𝜑’(x +
)
+∞
𝜑𝜑(x) 1
0
1 𝑥𝑥−1−𝑖𝑖√1−𝑥𝑥 2 1 1 1+𝑥𝑥
M=T(m) ⇔ 𝑋𝑋 + 𝑖𝑖𝑖𝑖 = = = - -i �
𝑥𝑥 + 𝑖𝑖√1−𝑥𝑥 2 −1 (𝑥𝑥−1)2 + (1−𝑥𝑥 2 ) 2 2 1−𝑥𝑥
1
X=-
D’où 2
1 1 1+𝑥𝑥
M est un point de coordonnées (- , - � ) ; x 𝜖𝜖[−1,1[
2 2 1−𝑥𝑥
1 1+𝑥𝑥
D’après le tableau de variation de , - � 𝜖𝜖[−∞, 0[
2 1−𝑥𝑥
1
Donc M appartient à la demi droite d’équation x= - situé dans le demi plan P-
2
1
Y= - 𝜑𝜑(x)
𝛽𝛽) expression de Y en fonction de 𝜑𝜑(x) : 2
1
T(𝛾𝛾) est la demi droite d’équation x= - situé dans le demi plan P-
2
Exercice IV :
=-∞
b) dérivée et tableau de variation de g
4𝑥𝑥(𝑥𝑥 2 +1)−2𝑥𝑥(2𝑥𝑥 2 ) 2𝑥𝑥
∀ x ∈ [0, +∞[ , g’(x)= −
(𝑥𝑥 2 +1)² 𝑥𝑥 2 +1
−2𝑥𝑥−2𝑥𝑥 3
g’(x)= (𝑥𝑥 2 +1)²
2𝑥𝑥(1−𝑥𝑥 2 )
∀ x ∈ [0, +∞[ g’(x)= (𝑥𝑥 2+1)²
𝑔𝑔(𝑥𝑥)
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 =?
+∞ 𝑥𝑥
g(1)=1-ln2>0, g(2)=-0,00943<0
1+2
Posons C1= =1,5 g(C1)=0,205>0 => x0 ∈ ] C1,2[
2
3) signe de g sur ℝ+
𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥 2 +1)
B. soit f définie sur [0, +∞[ par f(x)=� 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 > 0 et © la courbe
𝑥𝑥
𝑂𝑂 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 = 0
représentative de f dans (o, → ,→)
𝑖𝑖 𝑗𝑗
𝑓𝑓(𝑥𝑥)−𝑓𝑓(0)
1-a) calculons 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
𝑥𝑥→0 𝑥𝑥
2𝑥𝑥²
−𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥 2 +1)
𝑥𝑥²+1
𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 > 0
f’(𝑥𝑥)=� 𝑥𝑥²
𝑓𝑓(𝑥𝑥)−𝑓𝑓(0)
𝑓𝑓 ′ (𝑂𝑂) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 =1
𝑥𝑥→0 𝑥𝑥
1 2𝑥𝑥 2 2
f’(x)=�𝑥𝑥² [𝑥𝑥 2 +1 − 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥 + 1)] 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 > 0
𝑂𝑂 𝑠𝑠𝑠𝑠 𝑥𝑥 = 0
𝑔𝑔(𝑥𝑥)
pour x>0, f’(x)=
𝑥𝑥²
2𝛼𝛼²
𝑙𝑙𝑙𝑙(𝛼𝛼 2 + 1)= 𝛼𝛼²+1
𝟐𝟐𝟐𝟐
C’est-à-dire f(𝛼𝛼) =
𝜶𝜶²+𝟏𝟏
c) tableau de variation de f
or d’après 3 on a :
C’est-à-dire
∀ 𝑥𝑥 ∈ ]0, 𝛼𝛼[ , 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) > 0
� et f’(𝛼𝛼)=0
∀ 𝑥𝑥 ∈ ]𝛼𝛼, +∞[ , 𝑓𝑓′(𝑥𝑥) < 0
x O 𝜶𝜶 +∞
f’(x) + -
f(x) 2𝛼𝛼
𝛼𝛼²+1
0
0
Traçons la courbe de f :
2𝛼𝛼
Prenons 𝛼𝛼=1,875 => = 0,83
𝛼𝛼²+1
Durée 4h
EXERCICE 1 :
x −∞ 0 1 +∞
x − O + +
lnx − O +
|lnx| + O +
x|lnx| + O +
2. Tableau de variation de g
La fonction g est dérivable sur 𝐷𝐷𝑔𝑔 comme composé de la fonction logarithme et de la
fonction 𝒙𝒙|𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍|, toutes dérivables sur 𝐷𝐷𝑔𝑔 et on a :
′ (𝑥𝑥)
(𝑥𝑥|𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙|)′
𝑔𝑔 =
𝑥𝑥|𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙|
• Pour 𝑥𝑥 ∈ ]0, 1[, lnx < 0 ⟹ |𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙| = −𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
(−𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥)′ 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙+1 𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍+𝟏𝟏
D’où 𝑔𝑔′ (𝑥𝑥) = = ⟹ 𝒈𝒈′ (𝒙𝒙) =
−𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥 𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥 𝒙𝒙𝒙𝒙𝒙𝒙𝒙𝒙
x 0 1⁄𝑒𝑒 1 +∞
Lnx+1 - O + +
Xlnx - - O +
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 + 1 + O - +
𝑔𝑔(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥𝑥
x 0 1⁄𝑒𝑒 1 +∞
𝑔𝑔′ (𝑥𝑥) + O − +
-1 +∞
g(x)
−∞ −∞ −∞
On sait que les extrema sont les points qui annulent la dérivée. On pose donc
1 (lnx)2 −α
fα′ (x) = 0 ⟹ � (lnx)2 � =0
x
⟹ (lnx)2 = α (1)
𝑝𝑝𝑝𝑝𝑝𝑝 𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟𝑟 𝑑𝑑𝑑𝑑 (1) 𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑 𝑙𝑙′ é𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞𝑞 𝑑𝑑𝑑𝑑 fα (x), 𝑜𝑜𝑜𝑜 𝑎𝑎:
(𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙)2
Y= 𝑓𝑓𝛼𝛼 (𝛼𝛼) = ln(𝑥𝑥(𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙)2 ) +
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
2)
= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 + ln(|𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙| + 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
= 2𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 + 2𝑙𝑙𝑙𝑙|𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙|
= 2ln(𝑥𝑥|𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙|)
= 2𝑔𝑔(𝑥𝑥)
On voit donc que les extrema de 𝑓𝑓𝛼𝛼 appartiennent à la courbe d’équation y=2g(x).
b) Les extrema sont nuls ⟹ y=2g(x)=0
⟹ g(x)=0
Vu la réponse à la question 3, il existe une valeur de α pour laquelle ces extrema sont nuls.
D’où 𝑥𝑥1 =e ; 𝑥𝑥2 =𝑒𝑒 −1 . il reste donc à déterminer l’ordonné de chacun de ces points
EXERCICE 2 :
𝑧𝑧+2
1- Soit, le nombre complexe W= où z≠4
𝑧𝑧−4
(𝑥𝑥+2)(𝑥𝑥−4)+𝑦𝑦 2 +𝑖𝑖𝑖𝑖(𝑥𝑥−4−𝑥𝑥−2)
=
(𝑥𝑥−4)2 +𝑦𝑦2
(𝑥𝑥+2)(𝑥𝑥−4)+𝑦𝑦 2 −6𝑖𝑖𝑖𝑖
=
(𝑥𝑥−4)2 +𝑦𝑦 2
(𝒙𝒙+𝟐𝟐)(𝒙𝒙−𝟒𝟒)+𝒚𝒚𝟐𝟐 −𝟔𝟔𝟔𝟔𝟔𝟔
Donc W=
(𝒙𝒙−𝟒𝟒)𝟐𝟐 +𝒚𝒚𝟐𝟐
W est imaginaire pur si sa partie réelle est nulle, ie (𝑥𝑥 + 2)(𝑥𝑥 − 4) + 𝑦𝑦 2 = 0 en développant
cette relation, il vient tout simplement que
(𝑥𝑥 − 1)2 + 𝑦𝑦 2 = 32 . Donc l’ensemble E’’ cherchée est le cercle de centre I(1,0) et
de rayon r =3.
Représentation de E’’
-2 3 Z≠ 4
-1 1 2
𝝅𝝅
−∞ -2 -1 0 x
-3
c) Montrons que l’image par t de E est le domaine plan délimité par un demi-
cercle.
Désignons par E’ limage par t de E
On sait que E’ est l’ensemble des point M’(Z’) image par t de M(Z). Caractérisons
donc M’
On a : Z=x+iy ⟹ Z’= 𝑒𝑒 𝑍𝑍 = 𝑒𝑒 𝑥𝑥 𝑒𝑒 𝑖𝑖𝑖𝑖 ⟹ |𝑍𝑍′| = 𝑒𝑒 𝑥𝑥 et 𝐴𝐴𝐴𝐴𝐴𝐴(𝑍𝑍 ′ ) = 𝑦𝑦
Or dans E 𝑥𝑥 < 0 ⟹ 𝑒𝑒 𝑥𝑥 < 1 ⟹ |𝑍𝑍′| < 1
Conclusion :
E’ = {𝑴𝑴′ (𝒁𝒁′ )/ |𝑍𝑍 ′ | < 1 𝑒𝑒𝑒𝑒 𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨(𝒁𝒁′ ) = 𝒚𝒚 ∈ [𝟎𝟎; 𝝅𝝅]} de là on voit
aisément que E’ est un demi-cercle centré à l’origine de rayon r = |𝑍𝑍′| et situé au
dessus de l’axe des abscisses
Représentation de E’
Y’
E’
0 X’
EXERCICE 3 :
1- a) Expression de V en fonction de x et h
On sait que : V=surface de base × hauteur
⟹ 𝑽𝑽 = 𝝅𝝅𝒙𝒙𝟐𝟐 𝒉𝒉
Expression de S(x)
𝑆𝑆𝐿𝐿 = 2𝜋𝜋𝜋𝜋ℎ et 𝑆𝑆𝑏𝑏 = 𝜋𝜋𝑥𝑥 2 il vient donc que : S(x)= 2𝜋𝜋𝜋𝜋ℎ + 2𝜋𝜋𝑥𝑥 2
Or compte tenu du volume V qui est fixe ie supposé être constant dans tous les cas,(car fixé
2𝜋𝜋𝑥𝑥 2 ℎ 𝑉𝑉
dès la commande) on a : S(x)= + 2𝜋𝜋𝑥𝑥 2 = 2 + 2𝜋𝜋𝑥𝑥 2
𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑽𝑽
D’où S(x)= 𝟐𝟐 + 𝟐𝟐𝝅𝝅𝒙𝒙𝟐𝟐
𝒙𝒙
2-
�𝐱𝐱 𝟐𝟐 + 𝐲𝐲 𝟐𝟐
y
A x B
𝑷𝑷(𝑷𝑷−𝟐𝟐𝟐𝟐)
Déduisons que y=
𝟐𝟐(𝑷𝑷−𝒙𝒙)
= 𝑦𝑦 2 − 𝑥𝑥 2 + 2𝑦𝑦�𝑥𝑥 2 + 𝑦𝑦 2 + 𝑥𝑥 2 + 𝑦𝑦 2
=2𝑦𝑦 2 + 2𝑦𝑦�𝑥𝑥 2 + 𝑦𝑦 2
=2𝑦𝑦(𝑦𝑦 + �𝑥𝑥 2 + 𝑦𝑦 2 )
𝑷𝑷(𝟐𝟐−√𝟐𝟐)
b) Montrons que l’aire du triangle est maximum pour x=y=
𝟐𝟐
𝑏𝑏𝑏𝑏𝑏𝑏𝑏𝑏×ℎ𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎𝑎
Désignons par A l’aire de ce triangle. On a donc : 𝐴𝐴 = soit
2
𝑝𝑝(2−√2) 𝑝𝑝(2+√2)
𝐴𝐴′ (𝑥𝑥) = 0 ⟹ 2𝑥𝑥 2 − 4𝑝𝑝𝑝𝑝 + 𝑃𝑃2 = 0 ⟹ 𝑥𝑥1 = et 𝑥𝑥2 =
2 2
𝑝𝑝(2−√2) 𝑝𝑝(2+√2)
𝑦𝑦1 = et 𝑦𝑦2 =
2 2
𝒑𝒑(𝟐𝟐−√𝟐𝟐)
On voit donc que l’aire du triangle est maximum pour 𝒙𝒙𝟏𝟏 = 𝒚𝒚𝟏𝟏
𝟐𝟐
EXERCICE 4 :
sin 𝑥𝑥
Soit f la fonction 𝑓𝑓(𝑥𝑥) =
1+cos 𝑥𝑥
1- Montrons que le domaine d’étude de cette fonction peut se ramener à [0, 𝝅𝝅[
Rappelons que 𝐷𝐷𝑓𝑓 = ℝ \ ({2𝑘𝑘 + 1}𝜋𝜋) où k ∈ ℤ
𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬(𝒙𝒙+𝟐𝟐𝟐𝟐) 𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬 𝒙𝒙
On a : f(x+2𝝅𝝅)= = = f(x) la fonction f est donc périodique de
𝟏𝟏+𝐜𝐜𝐜𝐜𝐜𝐜(𝒙𝒙+𝟐𝟐𝟐𝟐) 𝟏𝟏+𝐜𝐜𝐜𝐜𝐜𝐜 𝒙𝒙
période T=2𝜋𝜋 donc son domaine d’étude peut se limiter à l’intervalle ]-𝜋𝜋, 𝜋𝜋[
De plus ∀ 𝑥𝑥 ∈ 𝐷𝐷𝑓𝑓 , −𝑥𝑥 ∈ 𝐷𝐷𝑓𝑓 et f(-x)=-f(x) la fonction f est donc impaire l’on peut
donc ramener son domaine d’étude sur [0, 𝜋𝜋[
𝟏𝟏
𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑 𝒇𝒇′ (𝒙𝒙) =
𝟏𝟏 + 𝐜𝐜𝐜𝐜𝐜𝐜 𝒙𝒙
Signe de 𝒇𝒇′ (𝒙𝒙)
On sait que : ∀𝑥𝑥 ∈ [0, 𝜋𝜋[ −1 < cos 𝑥𝑥
⟹ 0 < 1 + cos 𝑥𝑥
1
⟹ 0<
1+cos 𝑥𝑥
On en déduit que ∀ 𝑥𝑥 ∈ [0, 𝜋𝜋[ 𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) > 0 la fonction f est donc croissante sur
[0, 𝜋𝜋[
x 0 𝜋𝜋
𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥) +
+∞
f(x)
0
1
Elle est sous la forme : y=𝑓𝑓 ′ (0)(𝑥𝑥 − 0) + 𝑓𝑓(0) avec 𝑓𝑓 ′ (0) = et f(0)=0
2
𝟏𝟏
Il vient donc que : 𝒚𝒚 = 𝒙𝒙
𝟐𝟐
5- Tracé de la courbe de f
𝝀𝝀
6- a) calcul de l’intégrale ∫𝟎𝟎 𝒇𝒇(𝒙𝒙)𝒅𝒅𝒅𝒅
𝜆𝜆
On a : ∫0 𝑓𝑓(𝑥𝑥)𝑑𝑑𝑑𝑑 = [−𝑙𝑙𝑙𝑙|1 + cos 𝑥𝑥|]0𝜆𝜆 = −𝑙𝑙𝑙𝑙|1 + cos 𝜆𝜆| + 𝑙𝑙𝑙𝑙2
EXERCICE 1 :
Une urne contient : 3 boules vertes numérotées 0, 2 boules numérotées 5, 1 boule noire
portant le numéro a Є N*\ {5,10} boules indiscernables au toucher => équiprobabilité.
La seul façon de tiré 3 boules de même couleur dans l’urne est de choisir les 3 boules
vertes (du ) nombre de cas favorables = 𝐶𝐶33
𝐶𝐶33 1
𝑃𝑃(𝐴𝐴) = 3 =
𝐶𝐶6 20
b) Trois boules de couleur différentes
Soit B : l’événement «tire 3 boules de couleur différentes de l’urne »
𝐶𝐶31 𝑥𝑥𝐶𝐶21 𝑥𝑥𝐶𝐶11 3𝑥𝑥2𝑥𝑥1 3
𝑃𝑃(𝐵𝐵) = = =
𝐶𝐶63 20 10
c) Deux boules et deux seulement de même couleur
Soit C l’évènement « tiré deux boules et deux boules seulement de même couleur dans
l’urne »
𝐶𝐶32 𝑥𝑥𝐶𝐶21 + 𝐶𝐶32 𝑥𝑥𝐶𝐶11 + 𝐶𝐶22 𝑥𝑥𝐶𝐶31 + 𝐶𝐶22 𝑥𝑥𝐶𝐶11
𝑃𝑃(𝐶𝐶) =
𝐶𝐶63
1) Le joueur reçoit en francs, la somme des numéros marqués sur les boules tirées.
Les gains possibles sont : 0 ;5 ;10 ;5+a ;10+a ;a
a) Soit X la variable aléatoire égale au gain du joueur,
𝐶𝐶33 1
𝑃𝑃(𝑋𝑋 = 0) = =
𝐶𝐶63 20
𝐶𝐶22 𝑥𝑥𝐶𝐶11 1
𝑃𝑃(𝑋𝑋 = 10 + 𝑎𝑎) = =
𝐶𝐶63 20
𝐶𝐶32 𝑥𝑥𝐶𝐶11 3
𝑃𝑃(𝑋𝑋 = 𝑎𝑎) = =
𝐶𝐶63 20
1 6 3 3 6
E(X)=∑6𝑖𝑖=1 𝑥𝑥 i P(X = xi ) =0× +5× + 10 × + 𝑎𝑎 × + (5 + 𝑎𝑎) × +
20 20 20 20 20
1 30+30+3𝑎𝑎+30+6𝑎𝑎+10+𝑎𝑎 100+10𝑎𝑎
(10 + 𝑎𝑎) × = =
20 20 20
𝑎𝑎
E(X) = 5 +
2
c) Calcul de a pour E(X)=10
EXERCICE2 :
−(−4)+4𝑖𝑖 −(−4)−4𝑖𝑖
⇒ 𝑍𝑍1 = = 2 + 2𝑖𝑖 et 𝑍𝑍2 = = 2 − 2𝑖𝑖 d’où 𝑆𝑆 =
2 2
{2 + 2𝑖𝑖; 2 − 2𝑖𝑖}
√2 √2 𝑖𝑖𝜋𝜋�
Z1= 2 + 2i = 2( 1 + i ) = 2√2 � + � = 2√2𝑒𝑒 4
2 2
√2 √2 −𝑖𝑖𝜋𝜋�
Z2 = 2 – 2i = 2( 1 – i ) = 2√2 � − � = 2√2𝑒𝑒 4
2 2
𝑖𝑖𝑖𝑖� −𝑖𝑖𝑖𝑖�
Z1= 2√2𝑒𝑒 4 ; Z2= 2√2𝑒𝑒 4
A(Z1) , B(Z2)
1 1 2+2𝑖𝑖 1
𝑓𝑓(𝑧𝑧𝐴𝐴) = = = (2−2𝑖𝑖)(2+2𝑖𝑖) = (1 + 𝑖𝑖) = ZA’
𝑧𝑧𝐴𝐴 2−2𝑖𝑖 4
1 1 2−2𝑖𝑖 1
𝑓𝑓(𝑍𝑍𝐵𝐵) = = = (2+2𝑖𝑖)(2−2𝑖𝑖) = (1 − 𝑖𝑖) = ZB’
𝑧𝑧𝐵𝐵 2+2𝑖𝑖 4
b) Voir figure 1:
c) Montrons que quelque soit M ≠ O(0 ;0), O,M et M’ sont alignés et ��������⃗
𝑂𝑂𝑂𝑂. ��������⃗
𝑂𝑂𝑀𝑀′ = 1
𝑍𝑍𝑀𝑀− 𝑍𝑍0
������⃗ �����⃗
O,M et M’alignes mes(𝐴𝐴𝐴𝐴, 𝐴𝐴𝐴𝐴 )≡ 0[𝜋𝜋] ou 𝜖𝜖 IR*
𝑍𝑍𝑀𝑀′− 𝑍𝑍0
𝑍𝑍𝑀𝑀− 𝑍𝑍0
Montrons que 𝜖𝜖 ℝ∗
𝑍𝑍𝑀𝑀′ − 𝑍𝑍0
𝑍𝑍𝑀𝑀 − 𝑍𝑍0 𝑍𝑍 − 0
= = 𝑍𝑍. 𝑍𝑍 = ‖𝑍𝑍‖2 𝜖𝜖 ℝ∗
′
𝑍𝑍𝑀𝑀 − 𝑍𝑍0 1
− 0
𝑍𝑍
Car Z 𝜖𝜖 ℂ* d’où O,M et M’ sont alignés.
��������⃗
𝑂𝑂𝑂𝑂. ��������⃗
𝑂𝑂𝑀𝑀′ = (ZM – ZO)(ZM’ – ZO)
𝑥𝑥
1 𝑥𝑥 𝑦𝑦
ZM=𝑥𝑥 + 𝑖𝑖𝑖𝑖 = �𝑦𝑦𝑥𝑥 � => ZM’ =
2 +𝑦𝑦2
= 2 + 𝑖𝑖 ⇒ M’�𝑥𝑥 𝑦𝑦 �
𝑥𝑥−𝑖𝑖𝑖𝑖 𝑥𝑥 2 +𝑦𝑦 𝑥𝑥 2 +𝑦𝑦2
𝑥𝑥2 +𝑦𝑦2
𝑥𝑥
𝑥𝑥 𝑥𝑥 2 + 𝑦𝑦 2 𝑥𝑥 2 𝑦𝑦 2
��������⃗ ��������⃗
′
𝑂𝑂𝑂𝑂. 𝑂𝑂𝑀𝑀 = � � . � 𝑦𝑦 � = 2 + =1
𝑦𝑦 𝑥𝑥 + 𝑦𝑦 2 𝑥𝑥 2 + 𝑦𝑦 2
𝑥𝑥 2 + 𝑦𝑦 2
d’où ��������⃗
𝑂𝑂𝑂𝑂. ��������⃗
𝑂𝑂𝑀𝑀′ = 1
1
3)-a) Montrons que |𝑍𝑍 − 2| = 2 ⇔ � − 𝑍𝑍′� = |𝑍𝑍′|
2
1 1 1 1
� − 𝑍𝑍′� = |𝑍𝑍′| ⇔ � − � = � �
2 2 𝑍𝑍 𝑧𝑧
1 1
�𝑍𝑍�. �2 − 𝑍𝑍� = 1 ⇔ �𝑍𝑍 − 2� = 2 or �𝑍𝑍 − 2� = |𝑥𝑥 − 2 −
1
Par conséquent |𝑍𝑍 − 2| = 2 ⇔ � − 𝑍𝑍′� = |𝑍𝑍′|
2
1
D’après a) |𝑍𝑍 − 2| = 2 ⇔ � − 𝑍𝑍′� = |𝑍𝑍′|
2
1 1
� − 𝑍𝑍′� = |𝑍𝑍′| ⇔ � − 𝑥𝑥 ′ − 𝑖𝑖𝑖𝑖′� = |𝑥𝑥 ′ + 𝑖𝑖𝑖𝑖′|
2 2
1 1
⇔ �( − 𝑥𝑥′)2 + 𝑦𝑦′2 =�𝑥𝑥′2 + 𝑦𝑦′2 <=> x’ =
2 4
1
𝑑𝑑′ ou M’ 𝜖𝜖 ( 𝐷𝐷 ) : x= (voir figure1)
4
(1-i)
1
M’ appartient a la droite ( 𝐷𝐷 ) : x= privée des points A’ et B’ d’affixe
4
𝑍𝑍𝐴𝐴′ et 𝑍𝑍𝐵𝐵′
Voir Figure1
Problème
PARTIE A
1-
𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥) 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥)
a) Déterminons 𝑒𝑒𝑒𝑒
𝑥𝑥 → −∞ 𝑥𝑥 → +∞
X -∞ f(0) = log2
+∞ f’(0) = -0.5
f’(x) - 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥)
=0 ⇒ (D’) : y=0
𝑥𝑥 → +∞
f(x) +∞
est asymptote horizontale
à(C)
PARTIE B
Soit g et h les fonctions définies sur [0; +∞[ par g(t)=Log(1+t)-t et h(t)=Log(1+t)-t+
𝒕𝒕𝟐𝟐
2
g est dérivable sur[0; +∞[ comme somme et composée fonctions dérivables sur
[0; +∞[ ( les fonctions : t↦Log(t) et t↦1+t )
1 −𝑡𝑡
∀ t ∈ [0; +∞[ , g ‘(t) = -1 =
1+𝑡𝑡 1+𝑡𝑡
𝒕𝒕𝟐𝟐
2) Montrons que ∀ t ∈ IR+ , t- ≤ Log(1+t) ≤ t
2
d’où
𝐭𝐭 𝟐𝟐
∀ t ∈ IR+ , t- ≤ Log(1+t) ≤ t
𝟐𝟐
𝒕𝒕𝟐𝟐
D’après 2) ∀ t ∈ IR+ , t- ≤ Log(1+t) ≤ t
2
Par conséquent
Partie C
1
1−(𝑎𝑎)𝑛𝑛
An = ; n ∈ IN*
𝑎𝑎−1
1
1−(𝑒𝑒)𝑛𝑛
Sn = alors
𝑒𝑒−1
𝟏𝟏
𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍 𝑺𝑺𝒏𝒏 =
𝒏𝒏⟶+∞ 𝒆𝒆−𝟏𝟏
1
1 1− 2𝑛𝑛
𝑇𝑇𝑛𝑛 = ∑𝑛𝑛𝑘𝑘=1( 2)k = 𝑒𝑒
donc
𝑒𝑒 𝑒𝑒 2 −1
𝟏𝟏
𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍𝒍 𝑻𝑻𝒏𝒏 =
𝒏𝒏⟶+∞ 𝒆𝒆𝟐𝟐 −𝟏𝟏
Partie D
1
𝑉𝑉𝑛𝑛+1 = Log(𝑈𝑈𝑛𝑛+1 ) or 𝑈𝑈𝑛𝑛+1 =�1 + � 𝑈𝑈𝑛𝑛 ⇒
𝑒𝑒 (𝑛𝑛+1)
1 1
𝑉𝑉𝑛𝑛+1 = Log(𝑈𝑈𝑛𝑛+1 ) = Log�1 + � + Log𝑈𝑈𝑛𝑛 = Log�1 + � + 𝑉𝑉𝑛𝑛
𝑒𝑒 (𝑛𝑛+1) 𝑒𝑒 (𝑛𝑛+1)
1
= Log�1 + � + f(1) + f(2) + ……+ f(n)
𝑒𝑒 (𝑛𝑛+1)
∑𝑛𝑛𝑘𝑘=1 𝑓𝑓(𝑘𝑘)=𝑉𝑉𝑛𝑛
(a) et (b) ⇒
1 2𝑒𝑒+1
D’après d) on a déjà 𝑉𝑉𝑛𝑛 ≤ il reste à montrer que ≤ 𝑉𝑉𝑛𝑛
𝑒𝑒−1 2(𝑒𝑒 2 −1)
2𝑒𝑒+1 2𝑒𝑒+1
𝑜𝑜𝑜𝑜 ≤ Log(1+ 𝑒𝑒 −1 ) = 𝑉𝑉1 ≤ 𝑉𝑉𝑛𝑛 d’où ≤ 𝑉𝑉𝑛𝑛
2(𝑒𝑒 2 −1) 2(𝑒𝑒 2 −1)
𝟐𝟐𝟐𝟐+𝟏𝟏 𝟏𝟏
𝑜𝑜𝑜𝑜 a donc :
≤ 𝑽𝑽𝒏𝒏 ≤
𝟐𝟐(𝒆𝒆𝟐𝟐 −𝟏𝟏) 𝒆𝒆−𝟏𝟏
2𝑒𝑒+1 1 2𝑒𝑒+1 1
2𝑒𝑒+1 1
≤ 𝑉𝑉𝑛𝑛 ≤ ⇔ 𝑒𝑒 2(𝑒𝑒2−1) ≤ 𝑒𝑒 𝑉𝑉𝑛𝑛 ≤ 𝑒𝑒 𝑒𝑒−1 ⇔ 𝑒𝑒 2(𝑒𝑒2−1) ≤ 𝑈𝑈𝑛𝑛 ≤ 𝑒𝑒 𝑒𝑒−1
2(𝑒𝑒 2 −1) 𝑒𝑒−1
Exercice 1
1 1 1 1 1 1
u1 = ; u 2 = + ; u n = + +......+
2 3 4 n+1 n+2 n+n
1
v=
n un + n >0
n
1 1 1 1 1 1 1
𝑢𝑢𝑛𝑛+1 - 𝑢𝑢𝑛𝑛 = + + + +………………..+ + -( +
𝑛𝑛+1+1 𝑛𝑛+1+2 𝑛𝑛+1+3 𝑛𝑛+1+4 𝑛𝑛+1+𝑛𝑛 𝑛𝑛+1+𝑛𝑛+1 𝑛𝑛+1
1 1
+………..+ )
𝑛𝑛+2 𝑛𝑛+𝑛𝑛
1 1 1 1 1 1 1 1 1
= + + +…………….+ + + -( + +……….+ )
𝑛𝑛+2 𝑛𝑛+3 𝑛𝑛+4 𝑛𝑛+1+𝑛𝑛−1 𝑛𝑛+1+𝑛𝑛 𝑛𝑛+1+𝑛𝑛+1 𝑛𝑛+1 𝑛𝑛+2 𝑛𝑛+𝑛𝑛
1 1 1
=- + +
𝑛𝑛+1 𝑛𝑛+1+𝑛𝑛 (𝑛𝑛+1)+(𝑛𝑛+1)
1 1 1 1 1 1
=- + + = - + =
𝑛𝑛+1 2𝑛𝑛+1 2𝑛𝑛+2 2(𝑛𝑛+1) 2𝑛𝑛+1 2(𝑛𝑛+1)(2𝑛𝑛+1)
1
= >0
2(𝑛𝑛+1)(2𝑛𝑛+1)
1 1
𝑣𝑣𝑛𝑛+1 -𝑣𝑣𝑛𝑛 =𝑢𝑢𝑛𝑛+1 + - 𝑢𝑢𝑛𝑛 -
𝑛𝑛+1 𝑛𝑛
1 1
=(𝑢𝑢𝑛𝑛+1 -𝑢𝑢𝑛𝑛 )+ -
𝑛𝑛+1 𝑛𝑛
1 1
= -
2(𝑛𝑛+1)(2𝑛𝑛+1) 𝑛𝑛(𝑛𝑛+1)
1 1 −3𝑛𝑛−2
= [ ]= <0
𝑛𝑛+1 2𝑛𝑛(2𝑛𝑛+1) 2𝑛𝑛(𝑛𝑛+1)(2𝑛𝑛+1)
1 1
𝑢𝑢𝑛𝑛 − 𝑣𝑣𝑛𝑛 = - ⟹ 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 (𝑢𝑢𝑛𝑛 − 𝑣𝑣𝑛𝑛 ) = 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 − =0
𝑛𝑛 𝑛𝑛⟶+∞ 𝑛𝑛⟶+∞ 𝑛𝑛
Les suites (𝑢𝑢𝑛𝑛 ) et (𝑣𝑣𝑛𝑛 ) sont convergentes car adjencentes en effet ∀ 𝑢𝑢𝑛𝑛 ≤
1 1 1
( + +……………+ )=1
𝑛𝑛 𝑛𝑛 𝑛𝑛
∀ 𝑛𝑛 ∈N, 𝑢𝑢𝑛𝑛 ≤1
(𝑢𝑢𝑛𝑛 )𝑛𝑛∈𝑁𝑁 est croissante et majorée par 1 alors ( 𝑢𝑢𝑛𝑛 )𝑛𝑛∈𝑁𝑁 est convergente par conséquent 𝑣𝑣𝑛𝑛
l’est aussi car 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 (𝑢𝑢𝑛𝑛 )= 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 ( 𝑣𝑣𝑛𝑛 )
𝑛𝑛⟶+∞ 𝑛𝑛⟶+∞
EXERCICE II
Z 3 − (4 + i) Z 2 + (3 + 4i) Z − 3i =
0 (ζ )
i 3 − (4 + i )i 2 + (3 + 4i )i − 3i =
0
i 3 − (4 + i )i 2 + (3 + 4i )i − 3i = -i+4+i+3i-4-3i=0
D’où i est solution de l’équation (ζ )
2. Déterminons les réels a, b et c tels que
Z 3 − (4 + i)Z 2 + (3 + 4i)=
Z − 3i (Z-i)(aZ2 + bZ + c)
(Z-i)(aZ2 + bZ + c) = az 3 + bz 2 + cz − iaz 2 − ibz − ic
3
= az + (b − ia ) z 2 + (c − ib) z − ic
Par identification, on a
𝑎𝑎 = 1 𝑎𝑎 = 1
� 𝑏𝑏 − 𝑖𝑖𝑖𝑖 = −4 − 𝑖𝑖 et -ic= -3i ⇔ �𝑏𝑏 = −4
𝑐𝑐 − 𝑖𝑖𝑖𝑖 = 3 + 4𝑖𝑖 𝑐𝑐 = 3
on a donc
Z 3 − (4 + i ) Z 2 + (3 + 4i ) Z − 3i =
(z-i)(z-1)(z-3)
Les solutions de l’équation (ζ ) sont : {𝒛𝒛𝟎𝟎 = 𝒊𝒊 ; 𝒛𝒛𝟏𝟏 =1 ; 𝒛𝒛𝟐𝟐 = 𝟑𝟑}
Exercice III
f(x)= x+ ln(1+exp(-2x))
ln(1 + e −2 x )
= lim x(1 + )
x →−∞ x
ln e −2 x ln(e 2 x + 1)
= lim x(1 + + )
x →−∞ x x
ln(e 2 x + 1)
= lim x(1 − 2 + ) =+∞
x →−∞ x
= lim f ( x) = +∞
x →−∞
lim f ( x ) = +∞
x →−∞
' −2e −2 x 1 + e −2 x − 2e −2 x
f ( x) = 1 + =
1 + e −2 x 1 + e −2 x
' 1 − e −2 x
f ( x) =
1 + e −2 x
' −2e −2 x 1 + e −2 x − 2e −2 x
f ( x) = 1 + =
1 + e −2 x 1 + e −2 x
' 1 − e −2 x
f ( x) =
1 + e −2 x
f ( x ) ' = 0 ⇔ 1 − e −2 x = 0
x=0
f ⇒ f(0)=ln2
∀x ∈ ]−∞, 0[ , f ' ( x ) < 0
∀x ∈ ]−0, ∞[ , f ' ( x ) > 0
X -∞ 0 +∞
𝑓𝑓 ′ (x) - +
f(x) -∞ +∞
ln2
3. Asymptotes éventuelles :
f ( x) x + ln(1 + e −2 x )
lim = lim
x →+∞ x x →+∞ x
ln(1 + e −2 x )
= lim (1 + )=
1
x →+∞ x
−2 x
lim ( f ( x) =
− x) lim ln(1 + e= ) 0
x →+∞ x →+∞
= ln(1 + e −2 x ) + 2 x
=ln(1 +e2X)
∀ x<0, f(x) >y d’où la courbe est au dessus de l’asymptote au voisinage de -∞
Ln2 x
-1 0 1
Courbe représentative de f
5. Résolution graphique de l’équation f(x) =m
pour m ∈ ]-∞, ln2[, l’équation f(x) = m n’a pas de solution,
Pour m =2, l’équation f(x) = m a une solution unique : x0 =0,
pour m ∈ ]ln2 ; ∞[, l’équation f(x) = m a deux solutions distinctes, une positive et
l’autre négative.
EXERCICE I:
1
P (X≥12 et Y<8)=
50
=
5
=
1
P (X≥12 et Y<8)=
200 20 4 4
1/4 1 1
P(B/A)=
1/2 2
= P(B/A)=
2
4) Vérifions si les notes obtenues en mathématiques et en biologie sont indépendantes
I.e. 𝑃𝑃(𝑋𝑋 ∩ 𝑌𝑌)= P(X) × P(Y)
20 1
Pour x ∈ [0,8[ et Y ∈ [0,8[ , 𝑃𝑃(𝑋𝑋 ∩ 𝑌𝑌)= = =0 ,1
200 10
40 100 1 1
P (X<8) × P (Y<8)= × = × =0,1
200 200 5 2
18 9
Pour x ∈ [0,8[ et Y ∈ [8,12[ , 𝑃𝑃(𝑋𝑋 ∩ 𝑌𝑌)= =
200 100
40 90 1 9 9
P (X<8) × P (8≤Y<12)= × = × =
200 200 5 20 100
EXERCICE II:
∀x∈]1,+∞[, g’(x)=1-ln(x-1)
x 1 e+1 +∞
g’(x) + -
D’où 1-ln(x-1) >0 x ∈]1,e+1[,
x→ +∞
g(e+1) = 2(e+1) – elne = e+2
x 1 e+1 +∞
g’(x) + 0 -
e+2
g(x)
2 -∞
1.e) Montrons que l’équation g(x) =0 a une solution unique notée 𝛼𝛼, dans l’intervalle
[e+1,e3+1] et étudions le signe de g(x) sur chacun des intervalles ]1, 𝛼𝛼[ et ] 𝛼𝛼, +∞[
g(x) est continue et décroissante sur [e+1, +∞[ et de plus g(e+1) = e+2 >o ; g(e3+1) =
2(e3+1)-(e3)lne3
g(e3+1)=2e3+2-3e3= -e3+2<0
g(𝛼𝛼) =0
x 1 e+1 𝛼𝛼
g’(x)
+ 0 -
g(x) e+2
0
2 -∞
D’après le tableau de variation de g ; g(x)>0 sur]1, 𝛼𝛼 [ et g(x) <0 sur ]𝛼𝛼,+ ∞[
𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥²−1)
2 – soit 𝜑𝜑 definie sur ]1 ;∞[ par 𝜑𝜑 (x)=
𝑥𝑥
d’où
lim 𝜑𝜑 (x) =-∞
𝑥𝑥→1+
D’ où
lim 𝜑𝜑 (x) =0
𝑥𝑥→+∞
2-b) calculons 𝜑𝜑′(𝑥𝑥) puis montrons que 𝜑𝜑′(𝑥𝑥) est du signe de g(x²) sur l’intervalle ]
1,+∞[
2𝑥𝑥 2𝑥𝑥²
�𝑥𝑥²−1�𝑥𝑥−𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥 2 −1) �𝑥𝑥²−1�−𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥 2 −1) 2𝑥𝑥²−(𝑥𝑥²−1)𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥 2 −1)
𝜑𝜑′(𝑥𝑥)= = = ∀ x ∈ ] 1,+∞[
𝑥𝑥² 𝑥𝑥² 𝑥𝑥²(𝑥𝑥²−1)
g(x²)= 2x²-(x²-1)ln(x²-1)
𝑔𝑔(𝑥𝑥 2 )
𝜑𝜑′(𝑥𝑥) = , ∀ x ∈ ] 1,+∞[
𝑥𝑥²(𝑥𝑥 2 −1)
∀ x ∈ ] 1,+∞[ , x²-1>0
2-c) montrons que 𝜑𝜑 est croissante sur ]1,√𝛼𝛼[ et décroissante sur ] √𝛼𝛼,+∞ [
𝑔𝑔(𝛼𝛼)
𝜑𝜑′�√𝛼𝛼�= =0 car 𝑔𝑔(𝛼𝛼)=0
𝛼𝛼(𝛼𝛼−1)
D’où 𝜑𝜑′�√𝛼𝛼�=0
PARTIE B : Etude de f
2) Déduisons
a) La limite 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥)
𝑥𝑥→0
𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑋𝑋 2 −1)
=𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝜑𝜑(𝑋𝑋) =𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 =-∞ d’après 2-a
𝑋𝑋→1 𝑋𝑋→1 𝑋𝑋
b) 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑓𝑓(𝑥𝑥)
𝑥𝑥→+∞
=𝑒𝑒 𝑥𝑥 × 𝜑𝜑′(𝑒𝑒 𝑥𝑥 )
∀ x ∈ ] 0, + ∞[, 𝑒𝑒 𝑥𝑥 ∈ ] 1, + ∞[
f’(x)=0 => 𝑒𝑒 𝑥𝑥 × 𝜑𝜑′(𝑒𝑒 𝑥𝑥 )=0 => 𝜑𝜑′(𝑒𝑒 𝑥𝑥 )=0 =>𝑒𝑒 𝑥𝑥 =√𝛼𝛼 (d’après 2b)
=> x=𝑙𝑙𝑙𝑙√𝛼𝛼
x 0 𝑙𝑙𝑙𝑙√𝛼𝛼 +∞
f’(x) + 0 -
𝑙𝑙𝑙𝑙(𝛼𝛼−1)
√𝛼𝛼
f(x)
-∞ 0
2√𝛼𝛼
3) Montrons que sur x ∈ ] 0, + ∞[, f(x)≤
𝛼𝛼−1
𝑙𝑙𝑙𝑙(𝛼𝛼−1)
f(𝑙𝑙𝑙𝑙√𝛼𝛼) est le maximum de f(x) c’est-à-dire ∀ x ∈ ] 0, + ∞[, f(x)=
√𝛼𝛼
2 𝛼𝛼
D’après 1-e) g(𝛼𝛼)=0 => 2 𝛼𝛼= (𝛼𝛼 − 1) 𝑙𝑙𝑙𝑙(𝛼𝛼 − 1) ⇒ =𝑙𝑙𝑙𝑙(𝛼𝛼 − 1)
𝛼𝛼−1
5) Representation graphique de f
𝑒𝑒 𝑥𝑥 𝑒𝑒 𝑥𝑥 2𝑒𝑒 2𝑥𝑥
or - = d’où f(x) est solution de l’équation 1
𝑒𝑒 𝑥𝑥 −1 𝑒𝑒 𝑥𝑥 +1 𝑒𝑒 2𝑥𝑥 −1
𝑒𝑒 𝑥𝑥 𝑒𝑒 𝑥𝑥
on pose h(x)= -
𝑒𝑒 𝑥𝑥 −1 𝑒𝑒 𝑥𝑥 +1
𝑒𝑒 𝑥𝑥 −1
D’où x ∈ ] 0, + ∞[, H(x)= 𝑙𝑙𝑙𝑙( )
𝑒𝑒 𝑥𝑥 +1
EXERCICE III:
Déduisons l’affixe q de Q
𝑏𝑏
Q milieu de [OB] ⇔q= ⇔q=2+𝒊𝒊√𝟑𝟑
2
−𝟕𝟕𝟕𝟕√𝟑𝟑
=
21
𝒁𝒁𝒌𝒌 −𝒂𝒂 −𝒊𝒊√𝟑𝟑 𝑍𝑍𝑘𝑘 −𝑎𝑎 𝒁𝒁𝒌𝒌 −𝒂𝒂
= ⇒ Re( )=0 ⇒ est imaginaire pur
𝒁𝒁𝒌𝒌 𝟑𝟑 𝑍𝑍𝑘𝑘 𝒁𝒁𝒌𝒌
𝑍𝑍𝑘𝑘 𝑍𝑍𝑘𝑘 √3
=− =− 𝑖𝑖
𝑎𝑎−𝑍𝑍𝑘𝑘 𝑍𝑍𝑘𝑘 −𝑎𝑎 3
𝒁𝒁𝒌𝒌 √3 3𝜋𝜋 𝜋𝜋
arg( )=arg(− 𝑖𝑖)≡ [mod2𝜋𝜋]=− d’où le triangle OKA est rectangle en K
𝑎𝑎−𝑍𝑍𝑘𝑘 3 2 2
3𝜋𝜋 𝜋𝜋
�������⃗ ������⃗
mes(𝐾𝐾𝐾𝐾, 𝐾𝐾𝐾𝐾)= [mod2𝜋𝜋]=−
2 2
�−𝟑𝟑+𝟐𝟐𝟐𝟐√𝟑𝟑�(2−𝑖𝑖√3)
=
4+3
−6+3√𝟑𝟑𝒊𝒊+𝟒𝟒𝟒𝟒√3+6
=
7
= 𝒊𝒊√𝟑𝟑
𝑞𝑞−𝑎𝑎 𝜋𝜋
arg( ) = [mod2𝜋𝜋]
𝑞𝑞 2
Figure2
2𝑎𝑎 2
4. Soit c d’affixe c= , c= (5 − 𝑖𝑖 √3)
3 3
𝑍𝑍𝑘𝑘 −𝑏𝑏
Calculons
𝑍𝑍𝑘𝑘−𝑐𝑐
𝑍𝑍𝑘𝑘 −𝑏𝑏
=3 �������⃗ ������⃗
=> mes(𝐾𝐾𝐾𝐾, 𝐾𝐾𝐾𝐾)≡0[2𝜋𝜋]
𝑍𝑍𝑘𝑘−𝑐𝑐
EXERCICE I
le plan est muni du repère orthonormé (O, 𝚤𝚤⃗ ,𝚥𝚥⃗ )
f(x) = ln(x2-2x + 2) et (C) la courbe représentative de f dans (O, 𝚤𝚤⃗ ,𝚥𝚥⃗ )
Partie I
5) Justifions que quelque soit x € IR, x2-2x + 2> 0
x2-2x + 2 = (x+ 1)2 -1 + 2 = (x+ 1)2+1
D’où x2-2x + 2 est la somme de deux carrés, donc strictement positif
6) Fonction dérivée f’ de f et étude du sens de variation de f sur IR,
Df = IR = ]−∞, +∞[
2(𝑥𝑥−1)
∀ x 𝜖𝜖 IR, 𝑓𝑓’(𝑥𝑥) =
𝑥𝑥 2 −2𝑥𝑥+2
8) Tableau de variation de f
x −∞ 1 +∞
f’(x) - 0 +
f(x) +∞ −∞
Partie II
∀ x 𝜖𝜖 IR, 𝜑𝜑(x) = f(x) –x
1) Calculons la dérivée 𝜑𝜑′ de 𝜑𝜑
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BORD BLEU
2(𝑥𝑥−1) ((𝑥𝑥−1)2 −2(𝑥𝑥−1)+ 1)
∀ x 𝜖𝜖 IR φ'(x) = f’(x) -1 = -1=−
𝑥𝑥 2 −2𝑥𝑥+2 𝑥𝑥 2 −2𝑥𝑥+2
(𝑥𝑥−2)2
∀ x 𝜖𝜖 IR 𝜑𝜑′(𝑥𝑥) = −
𝑥𝑥 2 −2𝑥𝑥+2
D’ où 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝜑𝜑(𝑥𝑥)= +∞
𝑥𝑥→−∞
2 2
𝑙𝑙𝑙𝑙(𝑥𝑥) 𝑙𝑙𝑙𝑙(1−𝑥𝑥+ 2 )
3) Montrons que ∀ x >0 , 𝜑𝜑(𝑥𝑥) = 𝑥𝑥 �2 + 𝑥𝑥
− 1�
𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝟐𝟐 𝟐𝟐
𝐥𝐥𝐥𝐥(𝐱𝐱) 𝐥𝐥𝐥𝐥(𝟏𝟏− + 𝟐𝟐 )
D’où ∀ x >0 , 𝝋𝝋(𝒙𝒙)= x�𝟐𝟐
𝒙𝒙 𝒙𝒙
+ − 𝟏𝟏�
𝒙𝒙 𝒙𝒙
D’ ou
lim 𝜑𝜑(𝑥𝑥)= −∞
𝑥𝑥→+∞
4) Montrons que (∆) coupe (C) en x=𝛼𝛼 avec 0.3< 𝛼𝛼<0.4 avec (∆) :y = x
(∆) coupe (C) si la courbe de 𝜑𝜑 coupe l’axe des abscisses
Déterminons le sens de variation de 𝜑𝜑
x −∞ 2 +∞
𝜑𝜑’(x) - 0 -
𝜑𝜑 (x) +∞
Ln2 -2
−∞
D’ après le tableau de de variation de 𝜑𝜑 on observe que 𝜑𝜑 coupe l’axe des
abscisses une seule fois en x0 dans l’intervalle ]−∞, 2[
Montrons que 0.3 < x0 <0.4
𝜑𝜑(0.3)= 𝑙𝑙𝑙𝑙(0.32 − 2(0.3) + 2) − 0.3 = 0.0987 > 0
𝜑𝜑(0.4)= 𝑙𝑙𝑙𝑙(0.42 − 2(0.4) + 2) − 0.4 = -0.0925 < 0
On 𝜑𝜑(0.3)* 𝜑𝜑(0.4) < 0 et 𝜑𝜑 continue et strictement monotone sur IR
c-a-d x0 𝜖𝜖 ]0.3, 0.4[ D’où 𝛼𝛼 = x0
Exercice II
Soit BOD un triangle isocele en O .
On pose OB = OD = R
Soit (C) l’ensemble des points M du plan telles que :
������⃗ ������⃗ - ������⃗
𝑀𝑀𝑀𝑀.(2𝑂𝑂𝑂𝑂 𝐵𝐵𝐵𝐵 ) = 0
1)- Démontrons que (C) est le cercle de centre o et de rayon R
������⃗ ������⃗ - ������⃗
𝑀𝑀𝑀𝑀.(2𝑂𝑂𝑂𝑂 ������⃗+𝑂𝑂𝑂𝑂
𝐵𝐵𝐵𝐵 ) = 0 ↔ (𝑀𝑀𝑀𝑀 �����⃗).(2𝑂𝑂𝑂𝑂
������⃗ – 𝐵𝐵𝑂𝑂
�����⃗ +𝑂𝑂𝑂𝑂
������⃗) = 0
�����⃗-𝑂𝑂𝑂𝑂
↔ (𝑂𝑂𝑂𝑂 ������⃗).(𝑂𝑂𝑂𝑂
������⃗ +𝑂𝑂𝑂𝑂
�����⃗) = 0
↔ OB2 – OM2 = 0 ↔ OM = OB
�����⃗ + 𝐺𝐺𝐺𝐺
G=bar{(𝐴𝐴, 1); (𝐵𝐵, 1); (𝐶𝐶, 1); (𝐷𝐷, 1)} ↔ 𝐺𝐺𝐺𝐺 �����⃗ +𝐺𝐺𝐺𝐺
�����⃗ +𝐺𝐺𝐺𝐺
�����⃗ = 0
�⃗ (*)
������⃗ +𝑀𝑀𝑀𝑀
M milieu de [𝐴𝐴𝐴𝐴] ↔ 𝑀𝑀𝑀𝑀 ������⃗ = 0
�⃗ ; N milieu de [𝐵𝐵𝐵𝐵] ↔ ������⃗
𝑁𝑁𝑁𝑁 +𝑁𝑁𝑁𝑁 �⃗
������⃗ = 0
(*)↔ ������⃗
𝐺𝐺𝐺𝐺 + ������⃗ ������⃗ +𝑀𝑀𝑀𝑀
𝑀𝑀𝑀𝑀 +𝐺𝐺𝐺𝐺 ������⃗ + ������⃗
𝐺𝐺𝐺𝐺 + ������⃗ ������⃗ +𝑁𝑁𝑁𝑁
𝑁𝑁𝑁𝑁 +𝐺𝐺𝐺𝐺 ������⃗ = �0⃗
������⃗ + ������⃗
↔ 2𝐺𝐺𝐺𝐺 ������⃗ +2𝐺𝐺𝐺𝐺
𝑀𝑀𝑀𝑀 +𝑀𝑀𝑀𝑀 ������⃗ + ������⃗ ������⃗ = �⃗
𝑁𝑁𝑁𝑁+𝑁𝑁𝑁𝑁 0 ↔ ������⃗
𝐺𝐺𝐺𝐺 + ������⃗
𝐺𝐺𝐺𝐺 = �⃗
0
D’ou �����⃗
𝑂𝑂𝑂𝑂 + �����⃗ �⃗ ; donc G milieu de [𝑂𝑂𝑂𝑂]
𝐹𝐹𝐹𝐹 = 0
������⃗ +𝑀𝑀𝑀𝑀
𝑀𝑀𝑀𝑀 ������⃗ = 0
�⃗ ↔ 𝑀𝑀𝑀𝑀 �����⃗ + 𝑀𝑀𝑀𝑀
������⃗ +𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ = �0⃗
������⃗ +𝐹𝐹𝐹𝐹
1
𝐹𝐹𝐹𝐹 = ( �����⃗
↔ ������⃗ �����⃗ ) ↔ FM2 = 1 ( FA2 + FC2 + 2𝐹𝐹𝐹𝐹
𝐹𝐹𝐹𝐹 +𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗.𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗ ) (**)
2 4
�����⃗
𝐴𝐴𝐴𝐴 = �����⃗ �����⃗ → AC2 = FA2 + FC2 - 2𝐹𝐹𝐹𝐹
𝐴𝐴𝐴𝐴 +𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗.𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗ ↔ -AC2+ FA2 + FC2 =2𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗.𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗
�����⃗.𝐹𝐹𝐹𝐹
En remplaçant 2𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ dans (**) par -AC2+ FA2 + FC2 on obtient :
1
2FM2 + AC2 = FA2 + FC2
2
1 1 1 1
FM2 = ( FA2 + FC2 + FA2 + FC2 -AC2 ) = FA2 + FC2 - AC2 ↔
4 2 2 4
1
Déduisons que FA2 + FB2 + FC2 + FD2 = 2(FN2 + FM2 ) + (AC2 + BD2 )
2
������⃗ ������⃗ = �⃗
𝑁𝑁𝑁𝑁 +𝑁𝑁𝑁𝑁 0 ↔ �����⃗ �����⃗ + 𝑁𝑁𝑁𝑁
𝑁𝑁𝑁𝑁 +𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ +𝐹𝐹𝐹𝐹 �⃗ ↔ 2𝑁𝑁𝑁𝑁
�����⃗ = 0 �����⃗ +𝐹𝐹𝐹𝐹 𝐹𝐹𝐹𝐹 = �⃗
�����⃗ + �����⃗ 0↔
1
�����⃗ .𝐹𝐹𝐹𝐹
NF2= ( FB2 + FD2 + 2𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ )
4
������⃗
𝐵𝐵𝐵𝐵 = �����⃗ �����⃗ → BD2 = BF2 + FD2 - 2𝐹𝐹𝐹𝐹
𝐵𝐵𝐵𝐵 +𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ .𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗ → -BD2 +BF2+ FD2 =2𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗ .𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗
1 1
=2FM2 + AC2 +2FN2 + BD2
2 2
1
Donc FA2 + FB2 + FC2 + FD2 = 2(FN2 + FM2 ) + (AC2 + BD2 )
2
1
On : FA2 + FB2 + FC2 + FD2 = 2(FN2 + FM2 ) + (AC2 + BD2 )
2
1 1
= 2FM2 + BD2 + 2FN2 + AC2
2 2
1 1
=2ON2 + (2BN)2 +2FN2 + AC2 car ON = FM
2 2
1
=2(ON2+BN2 ) +2FN2+ (2AM)2
2
=2R2+ 2OA2
=4 R2 car R = OA
D’ou
FA2 + FB2 + FC2 + FD2 =4R2
4)- Démontrons que �����⃗ �����⃗ = FM2 – AM2 ; �����⃗
𝐹𝐹𝐹𝐹.𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ = OF2 – R2 et �����⃗
𝐹𝐹𝐹𝐹.𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ =𝐹𝐹𝐹𝐹
𝐹𝐹𝐹𝐹.𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ .𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗
�����⃗.𝐹𝐹𝐹𝐹
-Montrons que 𝐹𝐹𝐴𝐴 �����⃗ = FM2 – AM2
�����⃗ �����⃗ =( ������⃗
𝐹𝐹𝐹𝐹.𝐹𝐹𝐹𝐹 ������⃗ ) ( 𝐹𝐹𝐹𝐹
𝐹𝐹𝐹𝐹 +𝑀𝑀𝑀𝑀 ������⃗ )
������⃗ +𝑀𝑀𝑀𝑀
𝐹𝐹𝐹𝐹 - ������⃗
=( ������⃗ 𝑀𝑀𝑀𝑀 ) ( ������⃗ ������⃗ ) car ������⃗
𝐹𝐹𝐹𝐹 +𝐴𝐴𝐴𝐴 𝑀𝑀𝑀𝑀 = ������⃗
𝐴𝐴𝐴𝐴
= FM2 – AM2 d’où
�����⃗.𝐹𝐹𝐹𝐹
𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ = FM2 – AM2
�����⃗ .𝐹𝐹𝐹𝐹
D’ où 2𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ = 2OF2 - 2ON2-2(R2 - ON2 )=2(OF2- R2)
�����⃗ �����⃗ = OF2 – R2 →
𝐹𝐹𝐹𝐹.𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗ �����⃗.𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗ = 𝐹𝐹𝐹𝐹
𝐹𝐹𝐹𝐹 .𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗
Figure2
5) démontrons que la médiane (IF) du triangle AFD est la hauteur du triangle CFD
Figure3
�����⃗ ,
Montrer que FQ est la hauteur du triangle CFD revient encore à montrer que mes(𝑄𝑄𝑄𝑄
�����⃗ ) = 90° (par définition de la hauteur d’un triangle).
𝑄𝑄𝑄𝑄
�����⃗ , 𝑄𝑄𝑄𝑄
On va montrer que mes(𝑄𝑄𝑄𝑄 �����⃗ ) = 90°
𝐵𝐵𝐵𝐵 , �����⃗
Posons : mes(, �����⃗ �����⃗ , �����⃗
𝐵𝐵𝐵𝐵) = 𝛼𝛼1 ; mes(𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ , �����⃗
𝐹𝐹𝐹𝐹) = 𝛼𝛼2 ; mes(𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ , �����⃗
𝐹𝐹𝐹𝐹 ) =𝛼𝛼3 ; mes(𝐶𝐶𝐶𝐶 𝐶𝐶𝐶𝐶 ) =
𝛼𝛼4 �����⃗ , �����⃗
mes(𝐷𝐷𝐷𝐷 𝐷𝐷𝐷𝐷 ) = 𝛼𝛼5 ( confère figures 3 et 2 ).
�����⃗ , 𝐹𝐹𝐹𝐹
(IF) médiane du triangle AFD ⇒ 𝛼𝛼1 = mes(𝐹𝐹𝐹𝐹 ����⃗ ) = 𝛼𝛼3 (**)( car mes(𝐹𝐹𝐹𝐹
�����⃗ , 𝐹𝐹𝐹𝐹
����⃗ ) et 𝛼𝛼3
�����⃗ , �����⃗
sont des angles opposés ). mes(𝐹𝐹𝐹𝐹 𝐹𝐹𝐹𝐹 ) = 90° ⇒ 𝛼𝛼2+ 𝛼𝛼3 = 90° ⇒ 𝛼𝛼2= 90° − 𝛼𝛼3 (***)
Les relations (*),(**) et (***) ⇒ 𝛼𝛼2= 90° − 𝛼𝛼4 ⇒ 𝛼𝛼2 + 𝛼𝛼4 = 90°
�����⃗ , 𝑄𝑄𝑄𝑄
Dans le triangle FCQ on a : 𝛼𝛼2 + 𝛼𝛼4 + mes(𝑄𝑄𝑄𝑄 �����⃗ ) =180°
�����⃗ , �����⃗
⇒ mes(𝑄𝑄𝑄𝑄 𝑄𝑄𝑄𝑄 ) =180° - ( 𝛼𝛼2 + 𝛼𝛼4) or
���⃗ = 𝐾𝐾𝐾𝐾
Il suffit de montrer que 𝐼𝐼𝐼𝐼 ����⃗ ����⃗= 𝐿𝐿𝐿𝐿
, 𝐼𝐼𝐼𝐼 ���⃗ et 𝐽𝐽𝐽𝐽
����⃗ . 𝐿𝐿𝐿𝐿
���⃗ = 0 ou 𝐼𝐼𝐼𝐼
����⃗.𝐾𝐾𝐾𝐾
����⃗ = 0
𝐽𝐽𝐽𝐽 + ����⃗
����⃗ 𝐽𝐽𝐽𝐽 = �⃗
0 (2) ; (2) – (3) → ����⃗ 𝐵𝐵𝐵𝐵 + ����⃗
𝐽𝐽𝐽𝐽 + ������⃗ 𝐽𝐽𝐽𝐽 + �����⃗
𝐶𝐶𝐶𝐶 = �⃗
0 → ����⃗
𝐽𝐽𝐽𝐽 + ������⃗
𝐵𝐵𝐵𝐵
=�����⃗
𝐾𝐾𝐾𝐾
1 1
𝐾𝐾𝐾𝐾 �����⃗ = 0
������⃗ + 𝐾𝐾𝐾𝐾 �⃗ (3) ; or 𝐽𝐽𝐽𝐽 𝐵𝐵𝐵𝐵 = �����⃗
����⃗ + ������⃗ 𝐶𝐶𝐶𝐶 + �����⃗ = 1 ������⃗
𝐵𝐵𝐵𝐵 𝐵𝐵𝐵𝐵
2 2 2
�����⃗ + 𝐿𝐿𝐿𝐿
𝐿𝐿𝐿𝐿 �⃗ (4) ;
�����⃗ = 0 d’ou 2�����⃗
𝐾𝐾𝐾𝐾 = ������⃗
𝐵𝐵𝐵𝐵
1 1 1 1
𝐼𝐼𝐼𝐼 + �����⃗
(1) → ���⃗ 𝐿𝐿𝐿𝐿 + ����⃗ �⃗ → ���⃗
𝐼𝐼𝐼𝐼 = 0 𝐵𝐵𝐵𝐵 = �⃗
𝐼𝐼𝐼𝐼 + ������⃗ 0 car �����⃗ 𝐼𝐼𝐼𝐼 = �����⃗
𝐿𝐿𝐿𝐿 + ����⃗ 𝐷𝐷𝐷𝐷 + �����⃗
𝐴𝐴𝐴𝐴 = ������⃗
𝐷𝐷𝐷𝐷
2 2 2 2
→ ���⃗ 𝐾𝐾𝐾𝐾 = �⃗
𝐼𝐼𝐼𝐼 - �����⃗ 0 car 2�����⃗
𝐾𝐾𝐾𝐾 = ������⃗
𝐵𝐵𝐵𝐵
���⃗ = �����⃗
𝐼𝐼𝐼𝐼 𝐾𝐾𝐾𝐾
���⃗ = �����⃗
𝐼𝐼𝐼𝐼 ����⃗ + 𝐾𝐾𝐾𝐾
𝐾𝐾𝐾𝐾 → 𝐼𝐼𝐼𝐼 �����⃗ = 𝐾𝐾𝐾𝐾
�����⃗ + 𝐿𝐿𝐿𝐿
���⃗ →
����⃗
𝐼𝐼𝐼𝐼 = ���⃗
𝐿𝐿𝐿𝐿
* Montrons que ����⃗ ����⃗ = 0
𝐼𝐼𝐼𝐼.𝐾𝐾𝐾𝐾
����⃗ =1 𝐴𝐴𝐴𝐴
𝐼𝐼𝐼𝐼 ����⃗ =1 ������⃗
�����⃗ et 𝐾𝐾𝐾𝐾 ����⃗ +𝐵𝐵𝐵𝐵
𝐵𝐵𝐵𝐵 ; en éffet (1) – (3) → 𝐼𝐼𝐼𝐼 ����⃗ + ����⃗
������⃗ + 𝐼𝐼𝐼𝐼 �⃗
𝐶𝐶𝐶𝐶 = 0
2 2
1 1 1 1
→ 𝐼𝐼𝐼𝐼 ����⃗ + ����⃗
����⃗ +𝐼𝐼𝐼𝐼 𝐼𝐼𝐼𝐼 + ����⃗
𝐶𝐶𝐶𝐶 = �0⃗ or ����⃗ 𝐶𝐶𝐶𝐶 = �����⃗
𝐵𝐵𝐵𝐵 + �����⃗
𝐶𝐶𝐶𝐶 = �����⃗
𝐶𝐶𝐶𝐶 𝐾𝐾𝐾𝐾 = �����⃗
→ ����⃗ 𝐶𝐶𝐶𝐶
2 2 2 2
�����⃗ + �����⃗
G=bar{(𝐴𝐴, 1); (𝐵𝐵, 1); (𝐶𝐶, 1); (𝐷𝐷, 1)} ↔ 𝐺𝐺𝐺𝐺 �����⃗ +𝐺𝐺𝐺𝐺
𝐺𝐺𝐺𝐺 +𝐺𝐺𝐺𝐺 �����⃗ = �0⃗
→ ����⃗
𝐺𝐺𝐺𝐺 + ����⃗
𝐼𝐼𝐼𝐼 + ����⃗ ����⃗ + 𝐽𝐽𝐽𝐽
𝐼𝐼𝐼𝐼 + 2𝐺𝐺𝐺𝐺 ����⃗ + ����⃗
𝐽𝐽𝐽𝐽 = �0⃗ → �������⃗ ����⃗ = �0⃗ →
2𝐺𝐺𝐺𝐺 + 2𝐺𝐺𝐺𝐺 ����⃗
𝐺𝐺𝐺𝐺 + ����⃗
𝐺𝐺𝐺𝐺 = �0⃗
�����⃗
𝐺𝐺𝐺𝐺 + �����⃗ �����⃗ +𝐺𝐺𝐺𝐺
𝐺𝐺𝐺𝐺 +𝐺𝐺𝐺𝐺 �����⃗ = �0⃗ ↔ 𝐺𝐺𝐺𝐺
�����⃗ + �����⃗ �����⃗ +𝐿𝐿𝐿𝐿
𝐿𝐿𝐿𝐿 +𝐺𝐺𝐺𝐺 �����⃗ + �����⃗
𝐺𝐺𝐺𝐺 + ������⃗ �����⃗ +𝐾𝐾𝐾𝐾
𝐾𝐾𝐾𝐾 +𝐺𝐺𝐺𝐺 �����⃗ = �0⃗
→ �����⃗ + 𝐺𝐺𝐺𝐺
�����⃗ = 0
�⃗
𝐺𝐺𝐺𝐺
8) Démontrons que I, J ,K ,L , Q, R , S et P appartiennent à (C’) de centre G
1
9) Démontrons que le rayon de (C’) est √2𝑅𝑅2 + 𝑂𝑂𝑂𝑂 2
2
�����⃗ + �����⃗
FA2 = (𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ .𝐺𝐺𝐺𝐺
𝐺𝐺𝐺𝐺)2 = FG2 + GA2 + 2𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗
�����⃗ + �����⃗
FB2 = (𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ .𝐺𝐺𝐺𝐺
𝐺𝐺𝐺𝐺)2 = FG2 + GB2 + 2𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗
�����⃗ + �����⃗
FC2 = (𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ .𝐺𝐺𝐺𝐺
𝐺𝐺𝐺𝐺 )2 = FG2 + GC2 + 2𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗
�����⃗ + �����⃗
FD2 = (𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ .𝐺𝐺𝐺𝐺
𝐺𝐺𝐺𝐺)2 = FG2 + GD2 + 2𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗
�����⃗ (𝐺𝐺𝐺𝐺
4 FG2 + GA2 + GB2 + GC2 + GD2 + 2𝐹𝐹𝐹𝐹 �����⃗ +𝐺𝐺𝐺𝐺
�����⃗ + �����⃗
𝐺𝐺𝐺𝐺 + �����⃗
𝐺𝐺𝐺𝐺 ) = 4R2
����⃗ + 𝐼𝐼𝐼𝐼
GA2 = (𝐺𝐺𝐺𝐺 ����⃗)2 = GI2 + IA2 + 2𝐺𝐺𝐺𝐺
����⃗ .𝐼𝐼𝐼𝐼
����⃗
����⃗ + ����⃗
GB2 = (𝐺𝐺𝐺𝐺 ����⃗ .𝐼𝐼𝐼𝐼
𝐼𝐼𝐼𝐼)2 = GI2 + IB2 + 2𝐺𝐺𝐺𝐺 ����⃗
����⃗ + ����⃗
GC2 = (𝐺𝐺𝐺𝐺 ����⃗.𝐽𝐽𝐽𝐽
𝐽𝐽𝐽𝐽 )2 = GJ2 + JC2 + 2𝐺𝐺𝐺𝐺 ����⃗
����⃗ + 𝐽𝐽𝐽𝐽
GD2 = (𝐺𝐺𝐺𝐺 ����⃗.𝐽𝐽𝐽𝐽
����⃗ )2 = GD2 + JD2 + 2𝐺𝐺𝐺𝐺 ����⃗
����⃗ (𝐼𝐼𝐼𝐼
2 GI2 + 2𝐺𝐺𝐺𝐺 ����⃗ + 𝐼𝐼𝐼𝐼 ����⃗(𝐽𝐽𝐽𝐽
����⃗ ) + 2GJ2 +2𝐺𝐺𝐺𝐺 ����⃗ + 𝐽𝐽𝐽𝐽
����⃗ ) + IA2 + IB2+ JC2 + JD2 = 4R 2 - 𝑂𝑂𝑂𝑂 2
1 1 1 1 1
or GI = GJ , IA = AB et IB = AB , JC = CD et JD = CD , IA2 + IB2 = AB2 , JC2
2 2 2 2 2
1
+ JD2 = CD2
2
1
AB2 = AF2 + FB2 et CD2 = FC2 + FD2 c’est-a-dire JC2 + JD2 + IA2 + IB2= (AF2 + FB2 +
2
1
FC2 + FD2) = (4R2)
2
JC2 + JD2+2 GI2 + 2GJ2+ IA2 + IB2=4R2 - 𝑂𝑂𝑂𝑂 2 → 4GI2+ 2R2= 4R2- 𝑂𝑂𝑂𝑂 2
1
→ GI = √2𝑅𝑅2 + 𝑂𝑂𝑂𝑂 2
2
1
R’ = GI = GJ = √2𝑅𝑅2 + 𝑂𝑂𝑂𝑂 2
2
Donc
EXERCICE III
𝜑𝜑(i,3) =3i – 3i =0
′ ′
𝜑𝜑( Z,Z’)=rr’𝑒𝑒 𝑖𝑖(𝜃𝜃−𝜃𝜃 ) + rr’𝑒𝑒 −𝑖𝑖(𝜃𝜃−𝜃𝜃 ) = 2rr’cos (𝜃𝜃 − 𝜃𝜃 ′ ) 𝜖𝜖 ℝ
𝜑𝜑(𝑧𝑧, 1 − 𝑖𝑖)=2√2 ⟺ x-y =√2 d’ où (D) est la droite d’équation y=x -√2
D’ où
𝜑𝜑( Z,Z’)= 2rr’cos (𝜃𝜃 − 𝜃𝜃 ′ )
D’ où l’ensemble des points M d’affixe z tels que 𝜑𝜑( Z,Z’)= 2 est le cercle centré à
l’origine et de rayon 1
EXERCICE I
1
On considère la suite (Un ) définie par :U0=∫0 √1 − 𝑥𝑥 dx et Un =
1
∫0 𝑥𝑥 𝑛𝑛 √1 − 𝑥𝑥 dx si n 𝜖𝜖 IN*
D’où 0 ≤ Un+1 ≤ Un
𝑥𝑥 𝑛𝑛 𝑥𝑥 𝑛𝑛−1 (2𝑛𝑛−𝑥𝑥(2𝑛𝑛+1))
∀ x 𝜖𝜖 [0 , 1[ f’(x) = n𝑥𝑥 𝑛𝑛−1 √1 − 𝑥𝑥 - =
2√1−𝑥𝑥 2√1−𝑥𝑥
2𝑛𝑛
f’(x) = 0 ⟹ x0 = 𝜖𝜖 [0 , 1]
2𝑛𝑛+1
X 0 X0 1
f’n(x) + 0 -
fn(x) fn(x0)
0 0
b) Etablissons : Un ≤ fn(𝛼𝛼𝑛𝑛 )
D’ après a) , ∀ x 𝜖𝜖 [0 , 1] , fn (x) ≤ fn(𝛼𝛼𝑛𝑛 ) ⟹
1 1
∫0 𝑓𝑓𝑛𝑛 (𝑥𝑥) 𝑑𝑑𝑑𝑑 ≤ ∫0 𝑓𝑓𝑛𝑛 (𝛼𝛼𝑛𝑛 ) 𝑑𝑑𝑑𝑑 ⟹ Un ≤ fn(𝛼𝛼 n )
3) Déduisons – en la limite de Un
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BORD BLEU
D’où
d’où 2
U0=
3
3 3 1
2 2 2
Un = �− 𝑥𝑥 𝑛𝑛 (1 − 𝑥𝑥)2 �(1) - �− 𝑥𝑥 𝑛𝑛 (1 − 𝑥𝑥)2 �(0) + n∫0 𝑥𝑥 𝑛𝑛−1 (1 − 𝑥𝑥)√1 − 𝑥𝑥 dx
3 3 3
2 2
= nUn-1 - nUn ⟹ (2n +3)Un =2nUn-1
3 3
22𝑛𝑛+2 𝑛𝑛!(𝑛𝑛+1)!
6) Montrons par récurrence que ∀ n 𝜖𝜖 IN* , Un = (2𝑛𝑛+3)!
22𝑛𝑛+2 𝑛𝑛!(𝑛𝑛+1)!
Soit P(n) la proposition suivante : «Un = (2𝑛𝑛+3)!
, n 𝜖𝜖 IN*»
-montrons que la proposition est vraie au rang 1 , c’est –à-dire montrons que U1
24 2! 4
= (2+3)!
=
15
2 2 2 4
D’après la relation (2n +3)Un =2nUn-1 pour n=1 on a : U1= U0 = ∗ = d’où P(1)
5 5 3 15
vraie
- supposons que p(n) est vraie jusqu’ au rang n et montrons qu’elle reste vérifiée au
22𝑛𝑛+4 ( 𝑛𝑛+1)!(𝑛𝑛+2)!
rang n+1 ;c’est-a-dire montrons que Un+1 = (2𝑛𝑛+5)!
22𝑛𝑛+4 ( 𝑛𝑛+1)!(𝑛𝑛+2)!
(2𝑛𝑛+5)!
22𝑛𝑛+4 ( 𝑛𝑛+1)!(𝑛𝑛+2)!
D’où Un+1 = (2𝑛𝑛+5)!
. donc p(n+1) est vraie
22𝑛𝑛+2 𝑛𝑛!(𝑛𝑛+1)!
7) Par conséquent ∀ n 𝜖𝜖 IN* , Un = (2𝑛𝑛+3)!
EXERCICE II
𝜋𝜋 𝜋𝜋
Soit 𝜑𝜑 la fonction définie sur �0, � par 𝜑𝜑(𝑥𝑥)=x- tanx
4 4
𝜋𝜋 𝜋𝜋
1-a) Montrons que 𝜑𝜑 est dérivable sur �0, � et qu’il existe un unique α 𝜖𝜖 �0, �
4 4
′ (𝛼𝛼)
tel que 𝜑𝜑 =0
𝜋𝜋
𝜑𝜑 est continue et dérivable sur �0, � comme somme de fonctions dérivable
4
𝜋𝜋 𝜋𝜋 𝜋𝜋
sur �0, � (a savoir les fonctions x↦x et x↦- tanx ) ∀ x 𝜖𝜖 �0, � on a : 𝜑𝜑′ (𝑥𝑥) =1 -
4 4 4
𝜋𝜋
*(1+(tanx)2) et : 𝜑𝜑′ ′(𝑥𝑥) =
4
𝜋𝜋
− *2*(1+(tanx)2)*tanx
4
𝜋𝜋 𝜋𝜋
∀ x 𝜖𝜖 �0, � , : 𝜑𝜑′ ′(𝑥𝑥) < 0 ⇒ 𝜑𝜑′ (𝑥𝑥) est décroissante sur �0, �
4 4
𝜋𝜋 𝜋𝜋
On a donc 𝜑𝜑′ (𝑥𝑥) continue et décroissante sur �0, � et 𝜑𝜑′ (0) ∗ 𝜑𝜑′ � � <0 d’où d’après
4 4
𝜋𝜋
le théorème des valeurs intermédiaires il existe un unique α 𝜖𝜖 �0, � tel que 𝜑𝜑′ (𝛼𝛼) = 0
4
𝜋𝜋
b) les variations de 𝜑𝜑 sur �0, �
4
π
* tableau de variations de φ’ sur �0, �
4
φ ′(x)′ -
π
φ′ (x) 1-
4
0
π
1-
2
𝜋𝜋
et ∀ x 𝜖𝜖 �𝛼𝛼, � , : 𝜑𝜑′ (𝑥𝑥) ≤ 0 d’où le tableau de variation de : 𝜑𝜑 suivant
4
𝜋𝜋
x 0 𝛼𝛼
4
𝜑𝜑 ′ (𝑥𝑥) + 0 -
𝜑𝜑(𝑥𝑥) 𝜑𝜑(𝛼𝛼)
0 0
𝜋𝜋 4
1-C) Déduisons que ∀ x 𝜖𝜖 [0 , � , tanx ≤ 𝑥𝑥
4 𝜋𝜋
𝜋𝜋 𝜋𝜋 𝜋𝜋
∀ x 𝜖𝜖 [0 , � , 𝜑𝜑(x) ≥ 0 c’est-a-dire ∀ x 𝜖𝜖 [0 , � , x - tanx ≥ 0
4 4 4
𝜋𝜋 4
⟹ ∀ x 𝜖𝜖 [0 , � , tanx ≤ 𝑥𝑥
4 𝜋𝜋
𝜋𝜋
2) On considère la suite 𝛪𝛪 n = ∫04 (𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡)𝑛𝑛 𝑑𝑑𝑑𝑑
a) calculons 𝛪𝛪 1 et 𝛪𝛪 2
𝜋𝜋 𝜋𝜋
𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 𝜃𝜃 𝜋𝜋 1
𝛪𝛪 1= ∫04 (𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡) 𝑑𝑑𝑥𝑥 = ∫04 ( ) 𝑑𝑑𝑑𝑑 =-ln(cos( ))+ ln(cos(0)) = ln2 ; d’ ou
𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐 𝜃𝜃 4 2
1
Ι1= ln2
2
𝜋𝜋 𝜋𝜋 𝜋𝜋
𝜋𝜋
𝛪𝛪 2=∫04 (𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡)2 𝑑𝑑𝑑𝑑 =∫04 1 + (𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡)2 𝑑𝑑𝑑𝑑 -∫04 (1) 𝑑𝑑𝑑𝑑 = 1 + ; d’où
4
𝜋𝜋
Ι2= 1 +
4
𝜋𝜋 4 𝜋𝜋 4
d après 1-c) ∀ x 𝜖𝜖 �0, � , tanx ≤ x ⟹ ∀ x �0, �, (tanx)n ≤ ( )n (x)n
4 𝜋𝜋 4 𝜋𝜋
𝜋𝜋 𝜋𝜋
4 𝜋𝜋
⟹ ∫0 (𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡) ndx ≤( )n∫0 (𝑥𝑥 𝑛𝑛 )dx =
4 4 d’ où
𝜋𝜋 4(𝑛𝑛+1)
𝜋𝜋
∀ n 𝜖𝜖 N* on a In ≤
4(𝑛𝑛+1)
c)- calculons la limite de In
𝜋𝜋 𝜋𝜋
∀ x 𝜖𝜖 �0, � , (tanx)n ≥ 0 ⟹ 0 ≤ In ≤
4 4(𝑛𝑛+1)
𝜋𝜋
d’ où 0≤ 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝐼𝐼 n ≤ 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙
+∞ +∞ 4(𝑛𝑛+1)
𝜋𝜋
3-a) soit U une fonction dérivable sur R , montrons que V définie sur �0, � par
4
𝜋𝜋
V(x) est dérivable sur �0, � comme composée de deux fonctions
4
𝜋𝜋
dérivables sur �0, � et sur R
4
1
V’(x)= ( )U’(tanx)
(𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐)2
𝜋𝜋
b) ∀ n 𝜖𝜖 N* tel que n ≥ 3, calculons ∫04 ((𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡)n-2 +(tanx)n) dx
𝜋𝜋 𝜋𝜋
∫04 ((𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡)n-2 +(tanx)n) dx = ∫04 ((𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡)n-2(1 + (tanx)2) dx =
(𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡)𝑛𝑛−1 𝜋𝜋 (𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡)𝑛𝑛−1 1
[ ]( ) - [ ]( 0)= 𝜋𝜋
𝑛𝑛−1 4 𝑛𝑛−1 𝑛𝑛−1
1
∫0 ((𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡)n-2 +(tanx)n) dx = 𝑛𝑛−1
4
D ou ∀ n 𝜖𝜖 N* tel que n ≥ 3
1
montrons que ∀ n 𝜖𝜖 N* tel que n ≥ 3 on a , In-2 + In =
𝑛𝑛−1
𝜋𝜋 𝜋𝜋 𝜋𝜋
1
=∫04 ((𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡)n-2 +(tanx)n) dx = ∫04 ((𝑡𝑡𝑎𝑎𝑛𝑛𝑛𝑛)n-2 dx +∫04 ((𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡𝑡)ndx = In-2 + In
𝑛𝑛−1
D ou ∀ n 𝜖𝜖 N* tel que n ≥ 3
1 1 1 1 1
4) Soit (Vk )k 𝜖𝜖 N* tel que Vk = 1- + - + ……………………….+ -
2 3 4 2𝑘𝑘−1 2𝑘𝑘
1 1
a) déduisons de 3) que ∀ n 𝜖𝜖 N tel que n ≥ 5 on a , In = In-4 + - ∀ n≥ 3, In
𝑛𝑛−1 𝑛𝑛−3
1 1
=- In-2 + ⟹ ∀ n ≥ 5 In-2 =- In-4 + en remplaçant In-2 par son expression
𝑛𝑛−1 𝑛𝑛−3
1 1 1 1
In =- (- In-4 + )+ = In-4 + - ; D’ où le résultat cherché
𝑛𝑛−3 𝑛𝑛−1 𝑛𝑛−1 𝑛𝑛−3
1
b) montrons que ∀ k 𝜖𝜖 N* on a, I4k+1 =I1 - Vk
2
1
soit p(n) la proposition suivante : «I4n+1 =I1 - Vn , n 𝜖𝜖 N* »
2
1
montrons que p(1) est vraie c.-à-d. montrons que I5= I1 - V1
2
1 1 1 1 1
d’ après 4-a) on a : I5=I5-4 + - =I1 - (1- ) =I1- V1 d’ ou p(1) est vraie .
5−1 5−3 2 2 2
supposons que p(n) reste vérifiée jusqu’au rang n et montrons que p(n+1) reste
1
vraie ;C-a-d montrons que I4n+5 =I1 - Vn +1 I4n +5 =I4n+1
2
1 1
+ -
4𝑛𝑛+4 4𝑛𝑛+2
1 1 1 1
= I1 - Vn + - car I4n+1 = I1 - Vn (hypothèse de récurrence)
2 4𝑛𝑛+4 4𝑛𝑛+2 2
1 1 1 1
=I1 - ( Vn + - ) = I1 - Vn +1 d’ ou p(n+1) reste vérifiée
2 2𝑛𝑛+2 2𝑛𝑛+1 2
1
Par conséquent ∀ k 𝜖𝜖 N* on a, I4k+1 =I1 - Vk
2
1 1
on a : I4n+1 =I1 - Vn , ∀ n 𝜖𝜖 N* , alors 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝐼𝐼 4n+1 = I1 - 𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙𝑙 𝑉𝑉 n
2 +∞ 2
+∞
Exercice III
PartieII
(AG) est orthogonale aux droites (BC) et (BD) ; (BC) et (BD) étant deux droites
du Plan (BCD), 𝒂𝒂𝒂𝒂𝒂𝒂𝒂𝒂𝒂𝒂 (𝑨𝑨𝑨𝑨) 𝒆𝒆𝒆𝒆𝒕𝒕 𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐𝒐 𝒂𝒂𝒂𝒂 𝒑𝒑𝒑𝒑𝒑𝒑𝒑𝒑 (𝑩𝑩𝑩𝑩𝑩𝑩)
EXERCICE 1 5pts
Un diapason inscrit ses vibrations sur une plaque enfumée mobile. On mesure les longueurs
occupées sur la plaque par l’enregistrement de 5 vibrations consécutives et l’on trouve pour
ces longueurs : AB=13mm ; BC=29mm ; CD = 45mm ; DE=61mm ; EF=77mm
EXERCICE2 5pts
EXERCICE 3 : 5pts
une portion de circuit est constituée par une résistance R= 200Ω , une bobine d’
inductance L=0.5H et de résistance négligeable et un condensateur de capacité C= 2.10-6F
associés en série. On applique entre Q et b une tension UAB= U√2cos𝜔𝜔t
La tension efficace u est égale à 100V, i désigne l’intensité instantanée du courant dans le
circuit : i= I√2cos(𝜔𝜔t + 𝜑𝜑)
EXERCICE 4 5pts
On dispose d’une cellule photoélectrique dont la cathode photo émissive est caractérisée par
un seuil photoélectrique correspondant à la longueur d’onde 𝜆𝜆0= 0.684µm.
Données:
Masse de l’électron m= 9.10-31 Kg
Charge de l’électron q= -e= -1,6.10-19C
Célérité de la lumière dans le vide c= 3 x 108 m /s
Constante de Planck h= 6,62.10-34 j.s
EXERCICE1 : (8pts)
EXERCICE 2 (5pts)
EXERCICE 3 : (7pts)
EXERCICE I. 6.5pts
1- Faire un schéma sur lequel est représenté les forces exercées sur une particule.
1pt
2- En effectuant une analyse dimensionnelle, donner l’unité de f en fonction des unités
fondamentales. 1pt
3- En utilisant la troisième loi de Newton, montrer que l’équation différentielle relative
𝑑𝑑𝑑𝑑
à la vitesse de la particule est : + (𝑓𝑓/𝑚𝑚) v = g[(𝜌𝜌2 –
𝑑𝑑𝑑𝑑
EXERCICE II 6pts
A
En un point M se superposent deux mouvements d’équations horaires :
𝜋𝜋
X1 = 12cos(120𝜋𝜋t + )
3
Un disque plat homogène de rayon R = 15cm est suspendu par son centre O à un fil de
torsion de constante de torsion c. c est inversement proportionnel a la longueur l du fil.
𝜋𝜋
L’autre extrémité A est fixe. On écarte le disque d’un angle de sa position d’équilibre et
3
on l’abandonne sans vitesse initiale à t=0s .On constate que 20 oscillations ont une durée de
40s.
A
Rédigé par ASSE BIENVENU Page 136
x
L
BORD BLEU
EXERCICE IV 4pts
2-4-3 Quelle sont les longueurs d’onde des radiations complètement éteintes ?
1pt
Exercice 1
Partie A
On étudie la désintégration d’un échantillon contenant des atomes de vanadium 52. Soit
𝑁𝑁0 le nombre de noyaux à l’instant t.
t (mm) 0 1 2 3 4 5 6
n 1586 1257 1075 873 741 584 471
T (mm) 7 8 9 10 11 12 13
n 428 355 296 235 195 155 132
3) Démontrer que l’activité A peut s’écrire A=𝐴𝐴0 𝑒𝑒 −𝜆𝜆𝜆𝜆 où 𝐴𝐴0 est la valeur de
A à la date t=0.
4) Exprimer le logarithme de A en fonction de T ; où T est la période
radioactive.
5) Construire la courbe A=f(t) et déduire d’elle les valeurs de λ etT.
Application numérique
• Constante de Planck h=6.62 x10−34 J.S ;
• Vitesse de la lumière dans le vide C=3.108 m/s
• Valeur absolue de la charge de l’électron e=1,6. 10 -19C
• Masse de l’électron m=9. 10−31 kg
Exercice2
NB : Dans cet exercice , on néglige la résistance de l’air ainsi que les frottements.
Une voiture de masse m, abandonné sans vitesse initiale, glisse en translation le long de
la ligne de plus grande pente d’un plan incliné faisant un angle α avec l’horizontale
sous la seule action de son poids. Elle atteint le bas du plan incliné au bout de 15
secondes et poursuit son mouvement sur le plan horizontal de longueur L. Sachant
qu’au bout de ce plan horizontal existe un ravin de profondeur d.
Exercice 3 :
La figure ci-dessous donne la variation de la vitesse d’une moto avec le temps : sur
une route droite (o ;i).
3) Donner l’équation horaire et la trajectoire des protons dans le repère (o,𝚤𝚤⃗ , 𝚥𝚥⃗))
en fonction de U, 𝑈𝑈 ′ = |𝑉𝑉𝐴𝐴 – 𝑉𝑉𝐵𝐵 | , α et d. quelle est alors la nature de cette
trajectoire ?
4) Exprimer la tension U’ qui permet de réaliser la sortie en O’,et calculer sa
valeur numérique pour α=30° ; L=25m et d=10cm.
5) Dans le cas où la tension U’ est égale à la valeur précédente, déterminer à
quelle distance minimale du plateau supérieur passe le faisceau de protons.
𝐹𝐹⃗ h
A 𝛼𝛼
Figure4
Durant cette phase, on néglige toute les liaisons liées à l’air ainsi que le poids de la balle.
Au point A, la balle est immobile. Entre les points A et B, elle reste en contact avec le bâton.
La force F exercée par le bâton sur la balle, supposée constante, est représentée sur la figure
4.Le segment AB représentant la trajectoire de la balle est incliné d’un angle 𝛼𝛼 = 30° avec
l’horizontale.
1-1 Enoncer la deuxième loi de Newton et l’appliquer à la balle lors de son trajet entre A et
B. 0,5pt
1-2 Que peut- on- dire de la nature du mouvement de la balle entre A et B ? 0,5pt
2- La force F s’exerce pendant une durée ∆t = 0,11s. la balle part du point A sans vitesse
initiale et arrive en B avec une vitesse VB = 14m/s
2-2 Calculer la valeur de l’accélération du centre d’inertie de la balle entre les points A et
B. 0,5pt
3- En utilisant les résultats obtenus en 1-2, calculer l’intensité de la force exercée sur la
balle par la crosse.
L’hypothèse concernant le poids de la balle est-elle justifiée ? 0,5pt
Au point B, la balle quitte le bâton à la date t = 0s avec le vecteur vitesse VB contenu dans le
plan (xOz) ; c’est la deuxième phase du mouvement correspondant à la figure 3 de la
photographie. On néglige toutes les actions
liées à l’air. On étudie le mouvement du
centre d’inertie G de la balle dans le champ de pesanteur supposé uniforme.
Le système d’axes utilisé est représenté sur le schéma ci-dessous : l’axe Ox est horizontal
dirigé vers la droite et Oz est vertical et dirigé vers le haut. L’origine des axes est situé à la
verticale du point B telle que OB = h = 0,40m.
Z
Rédigé par ASSE BIENVENU Page 144
����⃗
𝑉𝑉 𝐵𝐵
BORD BLEU
Figure3
1- Trajectoire de la balle
1-1 Donner l’expression des coordonnées VBX et VBz du vecteur vitesse VB de la balle à
l’instant t = 0s, en fonction de VB et de 𝛼𝛼. 0,5pt
1-2 Donner l’expression des coordonnées XB et ZB du vecteur OB de la balle au point
B. 0,5pt
1-3 En appliquant la deuxième loi de Newton, donner les équations horaires du
vecteur accélération et du vecteur vitesse. 0,5pt
Montrer que la valeur VS de la vitesse de la balle au sommet S de la trajectoire est
VS = 12m/s. 0,5pt
2- La ligne de but est située à une distance d = 15m du point O. La hauteur du but est
L= 2,14m. On néglige le diamètre de la balle devant la hauteur du but.
2-1 Quelles conditions doivent satisfaire X et Z pour que le but soit marqué ?
0,5pt
2-2 Vérifier que ces conditions sont bien réalisées. 0,5pt
Le même tir est réalisé du milieu du terrain à une distance du but supérieure à 15m.
On rappelle les valeurs suivantes : OB = h = 0,40m ; VB = 14m/s ; vitesse au
sommet S de la trajectoire : VS = 12m/s
EXERCICE II
Un dipôle RLC, placé entre A et M est soumis à une tension sinusoïdale u fourni par un
générateur de basse fréquence (G.B.F). Il comprend une bobine d’inductance L réglable et de
résistance R1 = 14Ω, un condensateur de capacité C = 10𝝁𝝁F et une résistance r = 1Ω. Les
points A, B et M sont respectivement reliés à l’entrée YA , à l’entrée YB et à la borne ≪
𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚 ≫ d’un oscilloscope bi courbe en mode balayage.
Les oscillogrammes des voies AetB sont repérés sur l’écran par les lettres A et B.
1-3Calculer le déphasage de u par rapport à i. Le dipôle est –il inductif ou capacitif ? 0,5pt
A-2 On montre que la période de ce pendule est la même lorsqu’il oscille autour d’un axe
(∆2) situé de l’autre coté de G et à une distance a2 de G (𝑎𝑎2 ≠ 𝑎𝑎1 ).
𝐽𝐽𝐺𝐺
Montrer que 𝑎𝑎1 x𝑎𝑎2 = . 1pt
𝑚𝑚
A-3 Montrer que la longueur du pendule simple synchrone à ce pendule pesant est l=
𝑎𝑎2 + 𝑎𝑎1 1pt
L’équation différentielle d’un oscillateur repéré par sa position x sur un axe (ox) est :
a + 𝜔𝜔2 x = 0 avec a son accélération. La solution de cette équation différentielle peut
s’écrire sous la forme : x= x0cos(𝜔𝜔𝜔𝜔) +
(v0/𝜔𝜔)sin(𝜔𝜔𝜔𝜔) (1)
SESSION 2006
EXERCICE1
V0t
1
On a: AC = at2 + V0t
2
1
AD= a (t + θ) 2 + V0 (t + θ)
2
1
AE= a (t +2θ) 2 + V0 (t +2θ)
2
1 1 1
On a : DE= AE – AD ⟹ DE= a (t +2θ) 2 + V0 (t +2θ) -( a (t + θ) 2 + V0 (t + θ))= 2atθ
2 2 2
1
+ 3aθ2 + V0θ
2
1 1 1 1
On a : CD= AD – AC = a (t + θ) 2 + V0 (t + θ) -( at2 + V0t)= 2atθ + a θ2 + V0θ,
2 2 2 2
1 1 1 1 1
DE – CD = 2atθ + 3aθ2 + V0θ - 2atθ + a θ2 + V0θ = 2a θ2 = a θ2
2 2 2 2 2
La valeur de de r est :
𝐫𝐫 = 𝐚𝐚 𝜽𝜽𝟐𝟐 = 𝐁𝐁𝐁𝐁 − 𝐀𝐀𝐀𝐀 = 𝐂𝐂𝐂𝐂 – 𝐁𝐁𝐁𝐁 = 𝐃𝐃𝐃𝐃 − 𝐂𝐂𝐂𝐂 = 𝐄𝐄𝐄𝐄 – 𝐃𝐃𝐃𝐃 = 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏
Déterminons 𝜃𝜃
1 𝑡𝑡
Soit n le nombre d’oscillation effectuées dans le temps t = s, on aura 𝜃𝜃=
5 𝑛𝑛
1 1
⇒AM –KAB = a 𝜃𝜃2k2 - a𝜃𝜃2k or aθ2= r
2 2
1 1
⇒AM –KAB= rk2 - rk
2 2
1 1
On a AM = 4,5 , AB = 13 , r = 16 ⇒4,5 - 13k = × 16k2 - ×16k
2 2
⇒ 8 k2 +5k – 4,5 =0
∆ = 25 + 4 x 8 x 4,5 = 169
−5−13 −9 −5+13 1 1
K1= = , K2= = or puisque k >0 alors k=
16 8 16 2 2
1 1 t 𝐧𝐧
n= - k = 5 – 0,5 = 4,5 ; N= 𝑜𝑜𝑜𝑜 θ= ⇒ 𝐍𝐍 =
t 𝜃𝜃 n 𝐭𝐭
4.5
AN: N = 1 = 22.5 diapasons /s
�5
𝟏𝟏
D’ ou 𝑽𝑽𝟎𝟎 = 𝑵𝑵(𝑨𝑨𝑨𝑨 − 𝒓𝒓 )
𝟐𝟐
1
AN : V0 = 22,5 ( 13.10-3 - x 16.10-3) 𝐕𝐕𝟎𝟎 = 𝟏𝟏, 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏 𝐦𝐦/𝐬𝐬
2
V0 ≠ o alors le mouvement de la plaque n’est pas un mouvement de chute libre. Car pour
un mouvement de chute libre la vitesse initiale est nulle
Exercice 2
�⃗
k
⃗ȷ
⃗f
O x
𝚤𝚤⃗
Figure1
�⃗ +𝑓𝑓⃗ ������⃗
D’après le PFD, 𝑁𝑁 +𝐹𝐹 + 𝑃𝑃�⃗ = m𝑎𝑎⃗
Px = 0 Fx = Fcosθ
�P⃗ �Py = −mg �F⃗ � Fy = Fsinθ
PZ = 0 FZ = 0
d’où f = 43.3 N
1
AN: N = ( 10 × 10) − 50 × = 75N N = 75 N
2
𝑁𝑁 𝑁𝑁
tan𝛼𝛼 = ⇒ 𝛼𝛼= arctan ( ) ⇒ 𝛼𝛼= 60o
𝐹𝐹 𝐹𝐹
𝑁𝑁 𝑵𝑵 75×2
sin𝛼𝛼 = ⇒ 𝑹𝑹 = AN : 𝑅𝑅 = = 86,6 N d’où
𝑅𝑅 𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝐬𝜶𝜶 √3
𝐑𝐑 = 𝟖𝟖𝟖𝟖. 𝟔𝟔 𝐍𝐍
EXERCICE3
𝟏𝟏 𝟐𝟐
• ZAB =� 𝑹𝑹𝟐𝟐 + � 𝑳𝑳𝑳𝑳 − �
𝑪𝑪𝑪𝑪
𝐈𝐈
𝐋𝐋𝐈𝐈𝐦𝐦 𝛚𝛚− 𝐂𝐂𝐈𝐈 𝐦𝐦𝛚𝛚
tan𝝋𝝋 = 𝐦𝐦
𝐑𝐑𝐈𝐈𝐦𝐦
figure2
𝟏𝟏
𝑳𝑳𝑳𝑳− 𝑪𝑪𝑪𝑪 𝑹𝑹𝑰𝑰𝒎𝒎 𝑹𝑹
tan𝝋𝝋 = et cos𝝋𝝋 = 𝟐𝟐
⇒ cos𝝋𝝋 = 𝟐𝟐
𝑹𝑹 𝟏𝟏
𝑰𝑰𝒎𝒎 � 𝑹𝑹𝟐𝟐 +� 𝑳𝑳𝑳𝑳− 𝑪𝑪𝑪𝑪 � � 𝑹𝑹𝟐𝟐 +� 𝑳𝑳𝑳𝑳− 𝟏𝟏 �
𝑪𝑪𝑪𝑪
-Si la tension est en retard de phase sur la tension, 𝜑𝜑 (𝜑𝜑 < 0) alors on a la construction
suivante :
Figure3
𝟏𝟏
𝑳𝑳𝑳𝑳− 𝑪𝑪𝑪𝑪 𝑹𝑹
tan𝝋𝝋 = et cos𝝋𝝋 = 𝟐𝟐
𝑹𝑹
� 𝑹𝑹𝟐𝟐 +� 𝑳𝑳𝑳𝑳− 𝟏𝟏 �
𝑪𝑪𝑪𝑪
On a 𝝋𝝋 =0 figure4
3.2 Recherche de la Valeur 𝜔𝜔0 pour laquelle la valeur numérique de I est calculée
La valeur 𝜔𝜔0 sera obtenue à la résonnance d’intensité. Pour cette valeur ,u et i
sont en phase( 𝜑𝜑 =0 )
1
𝜔𝜔0 est telle que : 𝐿𝐿𝜔𝜔0 = ⇒ L𝐶𝐶𝜔𝜔0 2 = 1 ⇒
𝐶𝐶𝜔𝜔0
𝟏𝟏 𝟏𝟏
𝝎𝝎𝟎𝟎 = � =� = 103 rad /s
𝑳𝑳𝑳𝑳 𝟏𝟏𝟏𝟏−𝟔𝟔
1 𝑈𝑈 100
Pour 𝜔𝜔=𝜔𝜔0 calculons I : 𝐿𝐿𝜔𝜔0 = ⇒ U = RI ⇒ I = = = 0.5 A 𝐈𝐈 = 𝟎𝟎. 𝟓𝟓 𝐀𝐀
𝐶𝐶𝜔𝜔0 𝑅𝑅 200
EXERCICE 4
𝐶𝐶 ℎ𝑐𝑐 𝒉𝒉𝒄𝒄
W0= h𝜈𝜈 0 or 𝜈𝜈0 = ⇒W0= 𝐖𝐖𝟎𝟎 =
𝜆𝜆0 𝜆𝜆0 𝝀𝝀𝟎𝟎
4.2 calculons la vitesse des électrons arrivant à l’anode lorsque la cellule est éclairée
par une radiation de longueur d’onde 𝜆𝜆0 et une ddp de 45v
Les électrons qui arrivent à l’anode ont à la sortie de la cathode une vitesse maximale
Vmax
Ecrivons le théorème de l’énergie cinétique entre la cathode (C ) et l’anode ( A) pour un
électron :
1 𝟐𝟐𝟐𝟐𝐔𝐔𝟎𝟎
EC(A) - EC(B) = -e(Vc – VA) ⇒ 0 - m(Vmax)2= -eU0 ⇒ 𝐕𝐕𝐦𝐦𝐦𝐦𝐦𝐦 = �
2 𝐦𝐦
2x1.6x10−19 x45
AN : Vmax= �
9x10−31
Vmax= 4x106m/s
4.3.1 λ1 = 0.532µm, calculons la vitesse des électrons émis par la photo cathode
Soit E0 l’énergie minimale à apporter à l’électron pour qu’il puisse sauter et quitter le métal
𝒉𝒉𝒉𝒉 𝟏𝟏 𝟏𝟏
EC max= E1 - E0 = h (𝜈𝜈1 − 𝜈𝜈0 ) c-à-d. 𝐕𝐕𝐦𝐦𝐦𝐦𝐦𝐦 = �𝟐𝟐 ( − )
𝒎𝒎 𝝀𝝀 𝟏𝟏 𝝀𝝀𝟎𝟎
1 1 1 1
EC max = mV2max = h (𝜈𝜈1 − 𝜈𝜈0 ) ⇒ mV2max = hc ( − ) ⇒
2 2 𝜆𝜆1 𝜆𝜆0
1 1 𝐡𝐡 𝐜𝐜 𝟏𝟏 𝟏𝟏
ECmax=eU0=hc( − ) ⇒ 𝐔𝐔𝟎𝟎 = ( − )
𝜆𝜆1 𝜆𝜆0 𝐞𝐞 𝛌𝛌𝟏𝟏 𝛌𝛌𝟎𝟎
4.4
𝑛𝑛
4.4.1 r= = 0.2 0/0 ; P1= 1,65.10-5 W
𝑚𝑚
𝑁𝑁1
r= ⇒ 𝑵𝑵𝟏𝟏 = 𝐫𝐫 × 𝐍𝐍 𝑵𝑵𝟏𝟏 = r × N = 8,85.1010 électrons émis
𝑁𝑁
SESSION 2007
EXERCICE 1 (8pts)
-le référentiel utilisé est un référentiel terrestre, donc Galiléen considérons le repère (O,𝚤𝚤⃗
,𝚥𝚥⃗ ,𝑘𝑘�⃗) lié au point O fixe.
- les forces extérieures qui s’exercent sur la balle sont : la force 𝐹𝐹⃗ exercée sur le
véhicule, la réaction 𝑅𝑅�⃗ du sol sur le véhicule, le poids 𝑃𝑃�⃗ du véhicule.
⃗ȷ
⃗ȷ
⃗ı
𝚤𝚤⃗⃗ı
�⃗
k
Figure1
𝑽𝑽𝒇𝒇 𝟐𝟐
a=
𝟐𝟐𝟐𝟐
(120000/3600)2
AN : a = = 0.925 𝑚𝑚/s2 𝒂𝒂 = 𝟎𝟎. 𝟗𝟗𝟗𝟗𝟗𝟗 𝒎𝒎/𝒔𝒔𝟐𝟐
2𝑥𝑥600
V= 0.925t (m/s)
1
x(t) = a𝑡𝑡 2 + 𝑉𝑉0 t + 𝑥𝑥0 . 0n suppose que l’origine du repère est en O alors 𝑥𝑥0 =0
2
1
on obtient x(t) = a𝑡𝑡 2 ⟹
2
x(t)= 0.4625𝒕𝒕𝟐𝟐
3) Calculons numériquement F
Le référentiel étant Galiléen, appliquons le théorème du centre d’inertie au
véhicule :
∑ �������⃗
𝐹𝐹𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒 = M𝑎𝑎 ⃗ �⃗ �⃗
𝐺𝐺 ⟹ 𝐹𝐹 + 𝑅𝑅 + 𝑃𝑃 = M𝑎𝑎
����⃗ ����⃗
𝐺𝐺
D’après le théorème du centre d’inertie et en projectant sur les axes : F = M𝑎𝑎𝐺𝐺 ⟹ 𝑎𝑎𝐺𝐺 =
F/M
Figure2
𝑟𝑟−ℎ
W(𝑃𝑃�⃗) =𝑃𝑃�⃗. �����⃗
𝐵𝐵𝐵𝐵 =P.h or cos𝛼𝛼= ⟹ h= r(1-cos𝛼𝛼) d’ou
𝑟𝑟
��⃗)=-Pr(1-cos𝜶𝜶)
W(𝑷𝑷
1 1
W(𝑅𝑅�⃗)= 𝑅𝑅�⃗. �����⃗
𝐵𝐵𝐵𝐵 =0 alors on obtient : -Mgr(1-cos𝛼𝛼) = M𝑉𝑉(𝐶𝐶)2 - M𝑉𝑉(𝐵𝐵)2
2 2
Figure 3
- La réaction normale 𝑅𝑅�⃗n du plan incliné : elle est verticale dirigée du bas vers la
haut
- Le poids 𝑃𝑃�⃗ du véhicule : verticale dirigée du haut vers le bas et s’applique au
centre de gravité G du véhicule
- La force de frottement 𝑓𝑓⃗ parallèle au déplacement et s’oppose au déplacement du
véhicule
1 1
W(𝑅𝑅�⃗n) + W(𝑃𝑃�⃗) + W(𝑓𝑓⃗) = M𝑉𝑉𝑓𝑓 2 - M𝑉𝑉(𝐶𝐶)2 or 𝑉𝑉𝑓𝑓 = 0
2 2
𝐻𝐻
W(𝑃𝑃�⃗) =P.H or sin𝛼𝛼 = ⇒ H=dsin𝛼𝛼 ⇒ W(𝑃𝑃�⃗) = -Mgdsin𝛼𝛼 ; W(𝑅𝑅�⃗n) =0; W(𝑓𝑓⃗) =-fd
𝑑𝑑
𝟏𝟏 𝟏𝟏
d‘où f = � 𝑴𝑴𝑽𝑽(𝑪𝑪)𝟐𝟐 − 𝐌𝐌𝐌𝐌𝐌𝐌𝐌𝐌𝐌𝐌𝐌𝐌𝜶𝜶�
𝒅𝒅 𝟐𝟐
1 1
AN : F= � ∗ 1200 ∗ (32.316)2 − 1200 ∗ 9.8 ∗ 150𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠15°� ⇒
150 2
𝑭𝑭 = 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏. 𝟓𝟓𝟓𝟓𝟓𝟓𝑵𝑵
Exercice2: (5pts)
�����⃗
Masse du projectile : m ; Vitesse initiale : 𝑉𝑉 �����⃗
0 ; mes(Ox, 𝑉𝑉0 )= 𝛼𝛼
-le référentiel utilisé est un référentiel terrestre, donc Galiléen considérons le repère (O,𝚤𝚤⃗
,𝚥𝚥⃗ ,𝑘𝑘�⃗) lié au point O fixe. -Les forces exercées sur le
projectile sont :son poids ���⃗ ���⃗ = -𝜆𝜆𝑉𝑉
𝑃𝑃 et la force de frottement 𝐹𝐹 �⃗ avec 𝜆𝜆>0. On note g
l’intensité de la pesanteur.
Figure 4
𝝀𝝀
𝒙𝒙̈ = − 𝒙𝒙̇ (𝟏𝟏)
𝒎𝒎
⟹� 𝝀𝝀
𝒚𝒚̈ = − 𝒚𝒚̇ − 𝒈𝒈 (𝟐𝟐)
𝒎𝒎
𝜆𝜆
Résolution de l’équation (1) : l’équation caractéristique associée à (1) est : r2+ r =0
𝑚𝑚
𝜆𝜆
𝜆𝜆
r= 0 et r = − alors la solution de (1) est sous la forme : x(t) = A + B𝑒𝑒 −𝑚𝑚 𝑡𝑡 ou A
𝑚𝑚
𝝀𝝀
𝒎𝒎∗𝑽𝑽𝟎𝟎∗𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝜶𝜶
d’où x(t) = (1 - 𝒆𝒆−𝒎𝒎 𝒕𝒕 ) (3)
𝝀𝝀
résolution de l’équation (2) :la solution de (2) est la somme de la solution de l’équation
homogène associée à (2) et une solution particulière associée à (2) .l’ équation homogène
𝜆𝜆
associée à (2) est : 𝑦𝑦̈ + 𝑦𝑦̇ = 0 de même que (1), la solution de l’équation homogène
𝑚𝑚
𝝀𝝀
𝒎𝒎∗𝑽𝑽𝟎𝟎∗𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝜶𝜶
associée à (2) est : y1(t) = (1 - 𝒆𝒆−𝒎𝒎 𝒕𝒕 ) car à t= 0s , V0y=V0sin𝛼𝛼
𝝀𝝀
𝑚𝑚
= 𝑦𝑦̇ (t=0) une solution particulière de (2) est yp = - *g*t. D’où la solution générale de
𝜆𝜆
𝝀𝝀
𝒎𝒎∗𝑽𝑽𝟎𝟎∗𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝜶𝜶 −𝒎𝒎 𝒕𝒕 𝒎𝒎
(2) est : y(t) = (1 - 𝒆𝒆 ) - *g*t (4)
𝝀𝝀 𝝀𝝀
Équation de la trajectoire
𝑚𝑚 𝜆𝜆
(3) ⟹ t = - *Ln(1- *x ) en remplaçant t par son expression dans (4) on obtient :
𝜆𝜆 𝑚𝑚∗𝑉𝑉0∗𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝛼𝛼
𝜆𝜆 𝑚𝑚 𝜆𝜆
𝑚𝑚∗𝑉𝑉0∗𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝛼𝛼 𝑚𝑚 𝑚𝑚 𝜆𝜆
Z(x) = (1 - 𝑒𝑒 −𝑚𝑚∗− 𝜆𝜆 ∗𝐿𝐿𝐿𝐿(1− 𝑚𝑚∗𝑉𝑉0∗𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝛼𝛼∗𝑥𝑥 ) ) - *g*- *Ln(1- *x )
𝜆𝜆 𝜆𝜆 𝜆𝜆 𝑚𝑚∗𝑉𝑉0∗𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝑐𝛼𝛼
𝒎𝒎 𝝀𝝀
Par identification on obtient : K1 = tan𝜶𝜶 ; K2= ( )2g et K3=
𝝀𝝀 𝒎𝒎∗𝑽𝑽𝟎𝟎∗𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝜶𝜶
EXERCICE 3 :(7pts)
Figure5
0.4
AN : Imax = ⟹ Imax = 1.8*10-3 A
220
3 3 2𝜋𝜋 3𝜋𝜋
𝜑𝜑 = 𝜃𝜃*𝜔𝜔 or 𝜃𝜃 = 3*1.25*10-6 = T ⟹ 𝜑𝜑 = T* = d’où
20 20 𝑇𝑇 10
𝟑𝟑𝟑𝟑
𝝋𝝋 =
𝟏𝟏𝟏𝟏
𝟏𝟏 1
LC𝜔𝜔0 2 = 1 ⟹ 𝐋𝐋 = AN : L =
𝑪𝑪(𝟐𝟐𝟐𝟐𝐟𝐟𝟎𝟎 )𝟐𝟐 10∗10−6 (2∗𝜋𝜋∗55556)2
L = 8.21 x10-7H
SESSION 2008
EXERCICE1
Mélange homogène constitué : d’un liquide de masse volumique 𝜌𝜌1 = 103kg/m3 et des
particules solides (sphérique de rayon R=2x10-6 m)de masse volumique 𝜌𝜌2 = 1.5x103kg/m3
et de masse m=5x10-14kg
1) schéma
O
�⃗
π y
�F⃗
�⃗
P à t quelconque
-ma�⃗
figure1
Déterminons d’abord la dimension de la force : [𝑃𝑃] =[𝑚𝑚]x[𝑔𝑔] =MLT-2 alors [𝐹𝐹] = MLT-2
𝑑𝑑𝑑𝑑
3) Montrons en utilisant la troisième loi de Newton que :
𝑑𝑑𝑑𝑑
+(f/m)V =0
𝑑𝑑𝑑𝑑
L’équation régit par V est : +(f/m)V =0
𝑑𝑑𝑑𝑑
𝐟𝐟
𝐦𝐦𝐦𝐦
Donc
v= ((𝛒𝛒2- 𝛒𝛒1)/ 𝛒𝛒2)�𝟏𝟏 − 𝐞𝐞−𝐦𝐦𝐭𝐭 �
𝐟𝐟
d’où
𝐦𝐦𝐦𝐦
vlimite = 𝐥𝐥𝐥𝐥𝐥𝐥 𝐯𝐯(𝐭𝐭) = ((𝛒𝛒2- 𝛒𝛒1)/ 𝛒𝛒2)
𝐭𝐭 →+∞ 𝐟𝐟
5𝑥𝑥10−4 𝑥𝑥9.8
AN : vlimite = (1.5x103-103) = 5.26x109m/s
3.1𝑥𝑥10−13 𝑥𝑥1.5𝑥𝑥103
EXERCICEII
A
En un point M on superpose 2 mouvements d’équations horaires tel que
𝜋𝜋 𝜋𝜋
X1=12cos(120𝜋𝜋t + ) et X2=10cos(120𝜋𝜋t - )
3 6
|𝜑𝜑1 − 𝜑𝜑2 | 𝜋𝜋 𝜋𝜋 𝜋𝜋
𝜃𝜃 = or |𝜑𝜑1 − 𝜑𝜑2 | = � + � = et 𝜔𝜔 = 120𝜋𝜋 d’où
𝜔𝜔 3 6 2
𝟏𝟏
𝜽𝜽 = = 4.16x10-3s
𝟐𝟐𝟐𝟐𝟐𝟐
B-
Le disque peut osciller sans frottement autour de (∆1) ;on place en A la masse m = M/2
II-1 Montrons que le moment d’inertie de l’ensemble par rapport à (∆1) 5/4MR2
𝐽𝐽∆1 = 𝐽𝐽∆1 (1)+ 𝐽𝐽∆1 (2) où (1) désigne le disque et (2) désigne la masse ponctuelle au point A
1 3
𝐽𝐽∆1 (1) = JG + MO1O2 or JG= MR2 et O1O=R/2 alors 𝐽𝐽∆1 (1) = MR2
2 4
𝑀𝑀 1 3 1 5
𝐽𝐽∆1 (2) = O1A2 = MR2 alors 𝐽𝐽∆1 = MR2 + MR2 = MR2 d’où
2 2 4 2 4
𝟓𝟓
𝐉𝐉∆𝟏𝟏 = MR2
𝟒𝟒
𝑀𝑀
�����⃗ +
M0𝐺𝐺 �����⃗ =0
𝐴𝐴𝐴𝐴 �⃗ ⟹ ��������⃗
𝑂𝑂𝑂𝑂1 +𝑂𝑂 �������⃗ �������⃗ �������⃗ �⃗
1 𝐺𝐺 + 𝐴𝐴𝑂𝑂1 + 𝑂𝑂1 𝐺𝐺 =0 or O1O =R/2
2
𝑅𝑅�⃗
O1
𝜃𝜃
O �P⃗
A �⃗′
P
Figure2
Considérons le pendule pour une position 𝜃𝜃 quelconque les forces appliquées au pendule
dans le référentiel terrestre sont :
𝑅𝑅 ���⃗ )= -Mg𝑅𝑅sin𝜃𝜃 ; m∆1 (𝑅𝑅�⃗ )=0 car 𝑅𝑅�⃗ rencontre l’axe (∆1 )
m∆1 (𝑃𝑃�⃗ ) = -Mg sin𝜃𝜃 ; m∆1 (𝑃𝑃′
2 2
5
d’où l’équation différentielle : MgRsin𝜃𝜃 + MR2𝜃𝜃̈ = 0 les oscillations étant de faibles
4
𝑙𝑙
Pour le pendule simple la période est donnée par : T= 2𝜋𝜋� alors :
𝑔𝑔
𝟓𝟓
𝜋𝜋�
5𝑅𝑅 𝑙𝑙
= 2𝜋𝜋� ⟹ l= R
𝑔𝑔 𝑔𝑔 𝟒𝟒
II-4 On écarte le pendule de 60° de sa position d’équilibre et l’on abandonne sans vitesse
initiale. A 30° de l’autre coté de la position d’équilibre (s) se détache du disque (D)
Figure 3
1 1
• Entre B0 et B1 on a : WA’A(𝑃𝑃�⃗′) + WO’O(𝑃𝑃�⃗) = 𝐽𝐽∆1 (𝜃𝜃̇𝐵𝐵1 )2 - 𝐽𝐽∆1 (𝜃𝜃̇𝐵𝐵0 )2
2 2
𝑀𝑀 𝑅𝑅 1
WA’A(𝑃𝑃�⃗′)= gR(1-cos60°) ; WO’O(𝑃𝑃�⃗) = Mg (1-cos60°) ; 𝐽𝐽 (𝜃𝜃 ) ̇ 2
=0 (car le système
2 2 2 ∆1 𝐵𝐵0
�𝑔𝑔4(√3−1) 𝐠𝐠𝐠𝐠(√𝟑𝟑−𝟏𝟏)
5𝑅𝑅 𝛉𝛉̇𝐁𝐁𝟐𝟐 = �
𝟓𝟓𝟓𝟓
ExerciceIII
𝜋𝜋
à t=0s , 𝜃𝜃= 𝜃𝜃m = rad et 𝜃𝜃̇(t=0)= 𝜃𝜃̇0 = 0 rad/s ; 20oscillations ⟶ 40s
3
(disque)Position d’équilibre π
O
3
Figure 3
𝝅𝝅
𝝋𝝋 = rad d’où l’équation horaire du mouvement du disque est
𝟐𝟐
donnée par : 𝝅𝝅 𝐂𝐂 𝝅𝝅
𝛉𝛉(t)= sin(� 𝒕𝒕+ ) en rad
𝟑𝟑 𝐉𝐉∆ 𝟐𝟐
𝟒𝟒𝛑𝛑𝟐𝟐 𝐉𝐉
C=
𝐓𝐓𝟎𝟎 𝟐𝟐
3- le disque est maintenue à présent à 0A= x sur le fil et les extrémités A et A’ sont fixes.
disque L
L-x
A’
Figure4
Lorsque le disque est maintenue à présent à 0A= x sur le fil et les extrémités A et A’
sont fixes alors la constante de torsion devient C’ = C1 + C2 où C1 est la constante de
torsion du fil de longueur x =OA et C2 la constante de torsion de l’autre partie du fil de
longueur OA’ = L-x Puisque la constante de torsion est inversement proportionnelle à la
𝐽𝐽 𝐽𝐽 𝐽𝐽 1 1
T1 = 2𝜋𝜋� = 2𝜋𝜋�𝐶𝐶.𝐿𝐿 𝐶𝐶.𝐿𝐿 = 2𝜋𝜋� . �𝐿𝐿 𝐿𝐿 =T0. � 𝐿𝐿2
= (T0/L)�𝑥𝑥(𝐿𝐿 − 𝑥𝑥)
𝐶𝐶′ + 𝐶𝐶 +
𝑥𝑥 𝐿𝐿−𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝐿𝐿−𝑥𝑥 𝑥𝑥.(𝐿𝐿−𝑥𝑥)
𝑇𝑇 𝐿𝐿−2𝑥𝑥
T1’(x) = 0. ; T1’(x) = 0 ⇒ 𝐿𝐿 − 2𝑥𝑥 = 0 ⇒ x = L/2
𝐿𝐿 2�𝑥𝑥(𝐿𝐿−𝑥𝑥)
𝐿𝐿 𝐿𝐿
T1max = T1(x = L/2) = (T0/L)� (𝐿𝐿 − ) = T0/2 donc T1max = T0/2 =1s
2 2
EXERCICE IV
1- Calculons l’interfrange i
F1 M
a/2
a/2
F2 D
Figure5
𝛌𝛌 𝐃𝐃
i=
𝐚𝐚
(E)
F1 e0 M
F2
Figure6
On sait que n = C/V . soit d1 la marche de la lumière pour le chemin OF1M avant le
positionnement de la lame. Dans la lame la marche de la lumière est : ne0 ; la marche de
lumière dans l’air pour le chemin OF1M est : 𝑑𝑑1 − 𝑒𝑒0 . Alors la marche totale de la
lumière pour le chemin OF1M est : lame 𝑑𝑑1 − 𝑒𝑒0 + ne0 = 𝑑𝑑1 + (n-1)e0 (1).Soit d2 la
marche de la lumière pour le chemin OF2M .D’où d’après (1) la différence de marche
𝛿𝛿
P= pour la frange centrale on a : p= 0 c.-à-d.
𝜆𝜆
𝑎𝑎𝑎𝑎 𝑒𝑒0 𝐷𝐷
𝛿𝛿 = 0 ; 𝛿𝛿 = 0 ⟹ - (n-1)e0 =0 ⟹ x =(n-1)
𝐷𝐷 𝑎𝑎
𝒆𝒆𝟎𝟎 𝑫𝑫
Puisque (n-1) >0 alors la frange centrale se déplace de F2 vers F1
𝒂𝒂
𝑒𝑒0 𝐷𝐷
Pour la lame d’épaisseur e0 on aura un déplacement x0 =(n-1) + ki
𝑎𝑎
𝑒𝑒𝑒𝑒
Lorsque l’épaisseur devient e alors x0 =(n-1) en égalant les deux expressions du
𝑎𝑎
9𝑥𝑥0.56
AN : e-𝑒𝑒0 = donc e-𝒆𝒆𝟎𝟎 = 10.08µm
1.5−1
Le spectre présente des bandes sombres dégradées :on dit que c’est un spectre
cannelé ;on a donc sept cannelures représentant les sept lumières (violet , indigo, bleu,
vert , jaune ,orange et rouge )qui constituent la lumière blanche.
1 𝑎𝑎𝑎𝑎 𝒂𝒂𝒂𝒂
Alors k + = ⟹ 𝝀𝝀 = 𝟏𝟏
2 𝐷𝐷 𝑫𝑫(𝒌𝒌 + )
𝟐𝟐
⟹k 𝜖𝜖 {8, 9, 10, 11, 12, 13, 14} en remplaçant k par ses différentes valeurs dans la relation
𝑎𝑎𝑎𝑎
𝜆𝜆 = 1 on obtient : 𝝀𝝀𝟖𝟖 = 0.71µm ;
𝐷𝐷(𝑘𝑘 + 2)
𝝀𝝀𝟗𝟗 = 0.63µm ;
𝝀𝝀𝟏𝟏𝟏𝟏 = 0.57µm ;
𝝀𝝀𝟏𝟏𝟏𝟏 = 0.52µm ;
𝝀𝝀𝟏𝟏𝟏𝟏 = 0.48µm ;
𝝀𝝀𝟏𝟏𝟏𝟏 = 0.44µm ;
𝝀𝝀𝟏𝟏𝟏𝟏 = 0.41µm
SESSION 20O9
Exercice 1
PARTIE A
Partie B
On a 𝑨𝑨 = 𝑨𝑨𝟎𝟎 𝒆𝒆−𝝀𝝀𝝀𝝀
Figure1
Exercice 2
Figure2
�⃗
Le mouvement étant rectiligne uniforme on a : 𝑎𝑎⃗ = 0
D’après le théorème du centre d’inertie sachant que la voiture est sous la seule
influence de son poids on a : 𝑃𝑃�⃗ = m𝑎𝑎⃗ ↔ m𝑔𝑔⃗ =m𝑎𝑎⃗ ⇔ 𝑎𝑎⃗ = 𝑔𝑔⃗
𝑿𝑿 = 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏, 𝟓𝟓 𝒎𝒎
Exercice 3
t(s)
figure3
1) vitesse de la moto à l’instant t Є [0 ; 60]
- pour t0=0 s on a V0=0 m/s
-pour t1=10 s on a V1=10m/s
-pour t2=30 s on a V2=10m/s
- pour t3=35 s on a V3= 0m/s
-pour t4=40 s on a V4=-6m/s
-pour t5=50 s on a V5=-6m/s
-pour t6=60s on a V6=0m/s
2) la Position X de la moto à l’instant t Є [0 ; 60]
On va lié à chaque phase un nouveau repère dont l’origine est placé au début de la
phase.
• pour t=10s
Le mouvement étant rectiligne uniformément accéléré de 0 à 10s on a : X1
=0,5 at21 +V0t1 +X0 ⇔ V1 =at1 +V0 ⇔ a=(V1 –V0)/t1 or V0=0 et X0 =0
𝑽𝑽
⟹ 𝑿𝑿𝟏𝟏 = 𝟎𝟎. 𝟓𝟓( 𝟏𝟏 )𝒕𝒕𝟏𝟏 𝟐𝟐
𝒕𝒕𝟏𝟏
10
A.N : X1 = = 0.5( )102 ⟹ 𝑿𝑿𝟏𝟏 = 𝟓𝟓𝟓𝟓 𝒎𝒎
10
• pour t= 30s
Le mouvement est rectiligne uniforme entre 10s et 30s . on a :
X2=V2 (t2-t1) +X1 AN : X2=10 ×20 + 50 𝑿𝑿𝟐𝟐 = 𝟐𝟐𝟐𝟐𝟐𝟐 𝒎𝒎
• pour t=35s
Le mouvement est rectiligne uniformément décéléré entre 30s et 35s . On a :
X3= 0,5 a (t3 –t2)2+V2(t3 –t2) +X2 ⇔ V3=a(t3 –t2)+V2
⇔ 𝒂𝒂 = (𝑽𝑽𝟑𝟑 − 𝑽𝑽𝟐𝟐 )/(𝒕𝒕𝟑𝟑 − 𝒕𝒕𝟐𝟐 )
AN : 𝒂𝒂 = −𝟐𝟐 𝒎𝒎/𝒔𝒔𝟐𝟐
• pour t=40s
• pour t=50s
Le mouvement est rectiligne uniforme entre 40s et 50s .on a :
𝑿𝑿𝟓𝟓 = 𝑽𝑽𝟓𝟓 (𝒕𝒕𝟓𝟓 − 𝒕𝒕𝟒𝟒 ) + 𝑿𝑿𝟒𝟒 AN : X5=(6 ×10) +290
𝑿𝑿𝟓𝟓 = 𝟑𝟑𝟑𝟑𝟑𝟑 𝒎𝒎
• pour t=60s
Le mouvement est rectiligne uniformément décéléré on a :
X6=0,5a(t6-t5)2+V5(t6-t5) +X5 V6 =a(t6-t5) + V5
(𝑽𝑽𝟔𝟔 −𝑽𝑽𝟓𝟓 )
𝒂𝒂 = A.N: 𝒂𝒂 = −𝟎𝟎. 𝟔𝟔 𝒎𝒎/𝒔𝒔𝟐𝟐
(𝒕𝒕𝟔𝟔 −𝒕𝒕𝟓𝟓 )
Exercice 4 :
Figure3
Y=-0,5eU’X2/(V0sinα)2 m d +Xtanα
4) Expression de la tension U’
Sachant que en O’, Y=0 et X=L alors -0,5eU’L2/(V0sinα)2 m d +Ltanα =0
D’où U’=md(V0sinα)2 tanα/0,5eL ×2
U’=md(V0sinα)2 tanα/0,5eL ×2
U’=[1,67×10-27×10.10-2×(4,37.105×0,5)2×0,577]/0,5×1,6.10-19×25.10-2×2
𝑼𝑼’ = 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏
SESSION 2010
EXERCICE I
𝐹𝐹⃗
𝑘𝑘�⃗ α h
A 𝚤𝚤⃗ x
-la seule force extérieure qui s’exercent sur la balle est : la force 𝐹𝐹⃗ exercée par le
bâton sur la balle.
On néglige toutes les actions liées à l’air, ainsi que le poids de la balle.
T.C.I : Tout système de masse M soumis à des forces extérieures acquiert sous l’action de ces
forces une accélération ����⃗𝒂𝒂𝑮𝑮 qui est celle de son centre d’inertie G et telle que ∑ �������⃗
𝐹𝐹𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒 = M𝑎𝑎
����⃗
𝐺𝐺
𝑎𝑎𝑥𝑥𝑥𝑥= 𝐹𝐹𝐹𝐹𝐹𝐹𝐹𝐹𝐹𝐹
�𝑭𝑭⃗ 𝐹𝐹
⇒ M𝑎𝑎����⃗ ⃗
𝐺𝐺 = 𝐹𝐹 ⇒ 𝒂𝒂𝑮𝑮 =
����⃗ ⇒ 𝑎𝑎� = ⇒ � 𝑎𝑎 𝐹𝐹𝐹𝐹𝐹𝐹𝐹𝐹𝐹𝐹 𝑀𝑀
𝑴𝑴 𝑀𝑀 𝑧𝑧𝑧𝑧= 𝑀𝑀
�⃗
𝒅𝒅𝒗𝒗
�⃗=
𝒂𝒂
𝒅𝒅𝒅𝒅
𝑉𝑉𝐵𝐵
2-2- Calcul de la valeur de aG entre A et B aG =
∆𝑡𝑡
VB −VA
aG = or VA = 0 tB – tA = ∆t= 0,11s d’où
tB− tA
14
A.N : a = = 127,27 m⁄s2
0,11
a = 127,27 m⁄s 2
3- En utilisant les résultats obtenus en 1-2, calculons l’intensité de la force exercée sur la
balle par la frappe.
F = ma
A.N : F = 0,16 x 127,27 = 20,36 N
F = 20,36 N
Le poids de la balle est : P = mg AN : P = 0,16 x 9,8 = 1,568 N
P = 1,568 N
On a F ≈ 13𝑃𝑃 ⇒ P n’est pas négligeable devant F ; donc l’hypothèse concernant le poids
n’est pas vérifié.
B- Deuxième partie : mouvement libre de la balle.
-la seule force extérieure qui s’exercent sur la balle est : le poids 𝑃𝑃�⃗ exercé par le bâton
sur la balle.
1- Trajectoire de la balle
S ����⃗
VS
�⃗
k ����⃗
VB �P⃗
⃗ȷ B 𝛼𝛼
Figure2
On a : ∑ �������⃗
𝐹𝐹𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒 = M𝑎𝑎⃗ ⇒ 𝑎𝑎⃗ = 𝑔𝑔⃗ ⇒ 𝑥𝑥̈ = 0 et 𝑧𝑧̈ = -g et donc : 𝑥𝑥̇ = c1 et
𝑥𝑥̈ = 0 et 𝑦𝑦̈ = -g
Au sommet s de la trajectoire, le vecteur vitesse est parallèle à l’axe (O, 𝑥𝑥⃗) zs est la
flèche de la trajectoire .(voir figure2)
�⃗ = 𝑥𝑥̇ 𝚤𝚤⃗
Alors en s : 𝑉𝑉 ⇒ Vs = 𝑥𝑥̇ =VBCos𝛼𝛼
AN: Vs=14cos30°=12.12m/s d’où Vs ≈12m/s
1
𝑧𝑧̇ = -gt + VBSin𝛼𝛼 ⇒ z(t)= - gt2 + (VBSin𝛼𝛼)t + C3
2
1
à t=0 z=h ⇒ z(t)= - gt2 + (VBSin𝛼𝛼)t + h
2
𝑥𝑥
x(t) = (VBCos𝛼𝛼)t ⇒ t =
𝑉𝑉𝐵𝐵𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶
𝑥𝑥 1 𝑥𝑥 𝑥𝑥
en remplaçant t par dans Z(t) on obtient : z(t)= - g( )2 + (VBSin𝛼𝛼)( )+
𝑣𝑣𝐵𝐵 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 2 𝑣𝑣𝐵𝐵 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶 𝑣𝑣𝐵𝐵 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶
1 x
Z(x)= - g( )2 +xtan𝛼𝛼 + h
2 vB Cosα
2.
2.1) les conditions à satisfaire pour que le but soit marqué :pour que le but soit marqué
1 𝑑𝑑
il faut que à x=d on ait z<L soit - g( )2 +d(tan𝛼𝛼) + h < L
2 𝑣𝑣𝐵𝐵 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶
1 𝑑𝑑
Pour x=d = 15m, z= - g( )2 +d(tan𝛼𝛼) + h
2 𝑣𝑣𝐵𝐵 𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶𝐶
C- Etude énergétique
Le même tir est réalisé du milieu du terrain à une distance du but superieure à 15m
Données : OB = h = 0.40m ; 𝑣𝑣𝐵𝐵 = 14m/s ; 𝑣𝑣𝑠𝑠 = 12m/s
L’énergie potentielle de pesanteur Ep(0) est choisie nulle à l’altitude Z=0
1. Expression littérale de l’énergie potentielle de pesanteur Ep puis celle de EM de
la balle en fonction de g,m,v et z .
L’énergie potentielle en un point quelconque M d’altitude z est : 𝐸𝐸𝑃𝑃𝑃𝑃 =mgz (car
la balle est située au dessus de la référence )
Ep = mgz
1
L’énergie mécanique est : EM = EC + EP ⇒ EM= mgz + mv2
2
1
(Car EC = mv2 )
2
1
EM(B) = mgzB + mVB 2
2
3.1.
1
𝐸𝐸𝑀𝑀 (𝐵𝐵) = mg𝑧𝑧𝑀𝑀 + m𝑉𝑉𝑀𝑀 2 ;
2
Soit 𝐸𝐸𝐶𝐶𝐶𝐶 : lénergie cinétique au pont M et 𝐸𝐸𝐶𝐶𝐶𝐶 : l’énergie cinétique au point B; 𝐸𝐸𝑀𝑀 (𝑀𝑀) :
l’énergie mécanique en un point M quelconque .D’apres le théorème de l’énergie
cinétique : 𝐸𝐸𝐶𝐶𝐶𝐶 - 𝐸𝐸𝐶𝐶𝐶𝐶 = mg(−𝑧𝑧𝑀𝑀 + 𝑧𝑧𝐵𝐵 ) ⇒ 𝐸𝐸𝐶𝐶𝐶𝐶 = 𝐸𝐸𝐶𝐶𝐶𝐶 + mg(−𝑧𝑧𝑀𝑀 +
𝑧𝑧𝐵𝐵 ) ⇒ 𝐸𝐸𝑀𝑀 (𝑀𝑀) = mg𝑧𝑧𝑀𝑀 + (𝐸𝐸𝐶𝐶𝐶𝐶 + mg(−𝑧𝑧𝑀𝑀 + 𝑧𝑧𝐵𝐵 )) = mg𝑧𝑧𝐵𝐵 + 𝐸𝐸𝐶𝐶𝐶𝐶 = EM(B) ⇒
𝐸𝐸𝑀𝑀 (𝑀𝑀) = 𝐸𝐸𝑀𝑀 (𝐵𝐵)
Conclusion : On peut dire que l’énergie mécanique reste constante au cours du mouvement
3.2) Exprimons et calculons l’altitude maximale zmax que pourrait atteindre la balle au
point s dans ces conditions en fonction de EM, Vs , m et g
1
Puisque EM est constante alors EM= ECmax + EPmax = + m(vs)2 + mgzmax car vmax = vs d’où
2
1 1
AN: Zmax = (16.3 - 0.16x(12)2) = 3.048 m alors Zmax = 3.048 m
O.16x9.8 2
Données : le dipôle comprend, une bobine d’inductance L réglable et de résistance R1= 14𝛺𝛺,
un condensateur de capacité C= 10µF et une résistance r = 1 𝛺𝛺
Réglages de l’oscilloscope : sensibilité voie A : 2V/div ; sensibilité voie B : 0.1V/div ;
balayage : 2ms/div
UAmax = 6v
1𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑 ⟶ 0.1𝑣𝑣
-pour la voie B on lit : 𝑈𝑈𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚 ⟶ 2𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑 alors : � alors la
2𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑𝑑 ⟶ 𝑈𝑈𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚
tension maximale pour la voie B on a : 𝑈𝑈𝐵𝐵𝐵𝐵𝐵𝐵𝐵𝐵 = 2x0.1v ;
UBmax = 0.2v
UBmax
UBmax = rImax ⟹ Imax=
UBmax
Imax=
r r
Imax 0.2
Ieff = AN : Imax= ⟹ Imax = 0.2v
1
√2
AN : Ieff = 0.141 A
la tension u est avance de phase sur l’intensité i ; l’ effet de l’inductance emporte sur l’effet
de capacité ; le circuit est dit inductif
π et
i=0.2sin(0.166x103t- ) u=6 sin(0.166x103t)
3
1
ZAM =�(R + r)2 + (Lω − )2
Cω
1
⟹ Lω − =�−(R + r)2 + (ZAM )2
Cω
⟹ 1 1
L= ( + �−(R + r)2 + (ZAM )2 )
ω Cω
Rédigé par ASSE BIENVENU Page 193
BORD BLEU
1 1
AN : L = ( + �−(14 + 1)2 + (29.78)2 )
0.166x103 0.166x103 x10x10−6
L = 3.783 H
1 1 1
Lω − =0 Lω − =0 ⟹ ω = � alors
Cω Cω LC
1 1
AN f = � = 50.32 Hz f = 50.32 Hz
2π 1x10x10−6
Exercice III
a:
𝐽𝐽𝐺𝐺 + 𝑚𝑚(𝑎𝑎2 )2
T0 = 2𝜋𝜋� (2)
𝑚𝑚𝑚𝑚𝑎𝑎2
𝐽𝐽𝐺𝐺
Montrons que 𝑎𝑎1 x𝑎𝑎2 =
𝑚𝑚
𝐽𝐽𝐺𝐺 𝑎𝑎2 + 𝑚𝑚(𝑎𝑎1 )2 𝑎𝑎2 = 𝐽𝐽𝐺𝐺 𝑎𝑎1 + 𝑚𝑚(𝑎𝑎2 )2𝑎𝑎1 ⇒ 𝐽𝐽𝐺𝐺 (𝑎𝑎2 − 𝑎𝑎1 ) = 𝑚𝑚𝑎𝑎1 𝑥𝑥 𝑎𝑎2 (𝑎𝑎2 −
𝑎𝑎1 )
(𝑎𝑎2 ≠ 𝑎𝑎1 ) ⇒ (𝑎𝑎2 − 𝑎𝑎1 ) ≠ 0 ⇒ 𝐽𝐽𝐺𝐺 = 𝑚𝑚𝑎𝑎1 𝑥𝑥 𝑎𝑎2
Donc JG
𝑎𝑎1 x𝑎𝑎2 =
𝑚𝑚
A-3. Montrons que la longueur du pendule simple synchrone à ce pendule pesant est
l= 𝑎𝑎2 + 𝑎𝑎1 La période propre du pendule
𝑙𝑙 𝐽𝐽𝐺𝐺 + 𝑚𝑚(𝑎𝑎1 )2
simple est T0 = 2𝜋𝜋� .les deux pendules etant synchrones , on a : 2𝜋𝜋� =
𝑔𝑔 𝑚𝑚𝑚𝑚𝑎𝑎1
𝐽𝐽𝐺𝐺
𝑙𝑙 𝐽𝐽𝐺𝐺 + 𝑚𝑚(𝑎𝑎1 )2 𝑙𝑙 𝐽𝐽𝐺𝐺 + 𝑚𝑚(𝑎𝑎1 )2 +(𝑎𝑎1 )2 𝑎𝑎1 𝑥𝑥𝑥𝑥2 +(𝑎𝑎1 )2
2𝜋𝜋� ⇒� =� ⇒ l= = 𝑚𝑚
= car
𝑔𝑔 𝑚𝑚𝑚𝑚𝑎𝑎1 𝑔𝑔 𝑚𝑚𝑎𝑎1 𝑎𝑎1 𝑎𝑎1
𝑎𝑎1 x𝑎𝑎2 =
𝐽𝐽𝐺𝐺
D’où l= 𝑎𝑎2 + 𝑎𝑎1
𝑚𝑚
B-
L’équation différentielle d’un oscillateur et repéré par sa position x sur un axe (ox) est
donnée par (E) : a + 𝜔𝜔2 x = 0 avec a son accélération. La solution de (E ) peut s’écrire
sous la forme : x= x0cos(𝜔𝜔𝜔𝜔) + (v0/𝜔𝜔)sin(𝜔𝜔𝜔𝜔)
v x0
x= x0cos(𝜔𝜔𝜔𝜔) + (v0/𝜔𝜔)sin(𝜔𝜔𝜔𝜔) ⇒ x= (�(x0 )2 + ( 0)2 ) ( cos(𝜔𝜔𝜔𝜔) -
ω v
�(x0 )2 +( ω0 )2
v0
−
ω
sin(𝜔𝜔𝜔𝜔)) v
v
�(x0 )2 +( ω0 )2 x0 − ω0
Soit 𝜑𝜑 telque cos𝜑𝜑 = v
et sin𝜑𝜑 = v
alors
�(x0 )2 +( ω0 )2 �(x0 )2 +( ω0 )2
v v
x=�(x0 )2 + ( 0 )2 (cos𝜑𝜑cos(𝜔𝜔𝜔𝜔) - sin𝜑𝜑 sin(𝜔𝜔𝜔𝜔)) = �(x0 )2 + ( 0 )2 cos(𝜔𝜔𝜔𝜔 + 𝜑𝜑 )
ω ω
v
d’où X = �(x0 )2 + ( 0 )2 cos(𝜔𝜔𝜔𝜔 + 𝜑𝜑 )
ω
v0 v
− − 0�
sin𝜑𝜑 = ω
v Tan𝜑𝜑 = ω x0
�(x0 )2 +( ω0 )2
UNIVERSITE DE DOUALA
Durée : 3 heures
Si l’on demande aux managers de nos entreprises s’ils sont des menteurs, tous vont
débiterons à peu près la même réponse : « non chez nous, le baratin est proscrit. Nous
travaillons en totale transparence avec nos collaborateurs »
Les psychologues rectifient le tir. » Mais oui, bien sur qu’ils mentent, nos chefs
d’entreprise. Plus on monte dans la hiérarchie et plus on doit communiquer en interne. Et
qu’est-ce que la communication, sinon un tri des informations à donner ? »
Les dirigeants peuvent aussi et davantage que leurs collaborateurs se prévaloir d’un
nombre impressionnant de raisons objectives pour mentir. Telle que la confidentialité. Par
exemple.
En dehors de tout aspect légal, un patron doit bien souvent cacher ses intentions à ses
employés, lorsqu’il veut mener à bien un projet sensible. « Si en ce moment, j’étais entrain de
vendre mon entreprise ou de tenter un rapprochement avec un concurrent, je nierais en bloc
toute rumeur sur le sujet. C’est davantage à parler trop tôt et à trop de monde je mettrais mon
plan en péril. Dans l’absolu, j’aimerais pouvoir toujours travailler à livre ouvert avec les
hommes et les femmes à qui je demande une totale loyauté. Mais je sais aussi qu’il faut moins
de 48 heures pour qu’une nouvelle importante se retrouve colportée à l’extérieur de
l’entreprise. Ce n’est pas un reproche, juste une constatation ».
QUESTIONS
DUREE : 3 HEURES
Science et technique
UNIVERSITE DE DOUALA
Dans tous les collèges, il faut établir un gymnase ou lieu d’exercices pour les enfants.
Cet article si négligé est, selon moi, la partie la plus importante de l’éducation, non seulement
pour former des tempéraments robustes et saints, mais encore plus pour l’objet moral, qu’on
néglige, ou qu’on ne remplit que par un tas de préceptes pédantesque et vains qui sont autant
de paroles perdues : Je n’en dirai jamais assez que la bonne éducation doit être négative.
Empêchez les vices et naitre, vous aurez fait pour la vertu, le moyen en est de la dernière
facilité dans la bonne éducation physique. C’est toujours tenir les enfants en haleine non par
d’ennuyeuses études ou ils n’entendent rien et qu’ils prennent ben haine par cela qu’ils sont
forcés de rester en place, mais par des exercices qui leur plaisent.
On ne doit point, permettre qu’ils jouent séparément à leur fantaisie mais touts
ensemble et en public ; de manière qu’il y ait toujours un but commun auquel tous aspirent et
qui excite la conscience et l’émulation, (…) car il ne s’agit pas seulement ici de les occuper,
de leur former une constitution robuste de les rendre agiles et découples, mais de les
accoutumer de bonne heure à la règle, à l’égalité, à la fraternité, aux concurrences, à vivre
sous les yeux de leurs concitoyens et à désire : L’approbation publique.
1- QUESTIONS
a- « Un tas de préceptes pédantesques et vains ». Qu’est-ce qu’un précepte ? (1pt)
b- Que signifie dans cet exemple l’adjectif »vain » ? (0,5pt)
c- Quel est son sens dans les phrases suivantes :
- Il nourrit de vains espoirs ;(0,5pt)
- Cette discussion est vaine ;(0,5pt)
- Ne vous grisez pas de vaines paroles ;(0,5pt)
Rédigé par ASSE BIENVENU Page 201
BORD BLEU
UNIVERSITE DE DOUALA
Le racisme est une des manifestations les plus troublantes de la vaste révolution qui se
produit dans le monde. Au moment où notre civilisation industrielle pénètre sur tous les points
de la terre, arrachant les hommes de toutes couleurs à leurs anciennes traditions, une doctrine
à caractère faussement scientifique est invoquée pour refuser à ces mêmes hommes, privés de
leur héritage culturel, une participation entière aux avantages de la civilisation qui leur est
imposée. Il existe donc au sein de notre civilisation, une contradiction fatale : d’une part, elle
souhaite ou elle exige l’assimilation des autres cultures à des valeurs auxquelles elle attribue
une perfection indiscutable et d’autre part, elle ne se resoud pas à admettre que les deux tiers
de l’Humanité soient capables d’atteindre le but qu’elle leur propose.
COMPREHENSION DU TEXTE
2. Pourquoi l’auteur parle t’il de doctrine à caractère faussement scientifique? (1.5 pts).
QIII : A l’aide d’un ou de plusieurs exemples pertinents, dites comment se traduit le racisme
en Europe, en Amérique, en Asie, en Afrique (3 pts).
GRAMMAIRE
QIV : Repérez les différents connecteurs logiques du texte et justifiez leur rôle dans la logique
argumentaire de l’auteur. (3 pts).
ESSAI
QV : Expliquez et commentez la dernière phrase du texte : «il existe donc au sein de …le but
qu’elle leur propose (3 pts).
L’HOMME ET L’ORDINATEUR
D’autres machines vous montrent la vitesse à laquelle vous pouvez vous déplacer et
quel poids vous pouvez soulever. Celle-ci vous montre la qualité de votre réflexion dans
certains domaines. Elles feront volontiers tout ce que voudriez lui faire, et par là même
démontrera l’étendue de vos capacités. Mais puisqu’elle ne peut dépasser le point que vous
souhaitez lui voir atteindre, elle fera également la preuve de la force de votre vouloir. Ces
deux fonctions sont l’expression de limites. Une machine qui vous dit l’étendue possible de
votre savoir implique de même combien vous est inaccessible. Il est important de se voir
enseigner ce qui est hors de notre portée. Cela offre un sentiment de relativité, et constitue
donc la négation complète du romantisme. Pourtant, il ne s’agit pas non plus de froid
rationalisme du XVIII e siècle. L’ordinateur se contente de fournir un moyen de tracer une
démarcation entre ce qui est du domaine de la connaissance et ce qui ne l’est pas, entre la lune
et l’idée que l’homme s’en fait et les rêves qu’elle suscite en l’homme, et peut être que c’est
sur cette démarcation que les gens peuvent apprécier leur taille véritable.
lui-même pour que l’on suggère qu’une quelconque découverte à son sujet s’améliorera les
économies ou les gouvernements et ne parlerons pas de la nature humaine. Au premier
examen cependant, les effets culturels de ces machines sont prometteurs. Si souvent dans
l’histoire, homme fabrique régulièrement ce dont il a besoin. Dans (en) un autre, il a pu savoir
besoin de se définir plus clairement, il a pu éprouver un besoin d’humilité intellectuelle à ce
moment particulier, c’est peut- être un signe qu’il allait à nouveau échapper à tout contrôle et
en conséquence ces machines, dont il prétend avoir si peur, peuvent en fait être sa grâce
rédemptrice qu’il lui-même fabriquée. L’esprit est à la fois suffisamment habile et mystérieux
pour fonctionner ainsi.
QUESTIONS
1- Expliquez
- Manager : dirigeant gérant, personne en charge de la direction d’une entreprise,
chef d’entreprise;
- Prescrit : interdit, refuse, préludé;
- Rectifier le tir : dire le contraire, dire ce qui est juste, faire savoir ce qui est exact;
- Projet sensible : question de grande importance, projet qui demande de la
2- Les principales raisons qui poussent les manages à mentir sont notamment :
3- « Dans l’absolu, j’aimerais pouvoir toujours travailler à livre ouvert avec les hommes
a- l’emploi du conditionnel est justifié par le fait que le souhait est conditionné par
les circonstances et les enjeux. Il aurait agi autrement dans d’autres circonstances,
l’intention fait face à la réalité
b- Cela veut dire travailler dans la transparence en permettant aux autres sans
confidentialité d’avoir accès à ce que je fais, sans rien cacher.
c-
Tu prescris Tu as prescrit
Il a prescrit
Il prescrit
Nous avons prescrit
Nous prescrivons Vous avez prescrit
Vous prescrivez Ils ont prescrit
Je prescris
Je suis prescrit
Tu prescris Tu es prescrit
Dans notre société, pour une raison ou pour une autre, on dit souvent « toute vérité
n’est pas bon à dire » E principe, dire la vérité relève de l’intégrité, morale et de l’honnêteté.
Cela permet la transparence et la garantie de la bonne conduite dans la société. Cela permet
également de savoir dans la vie et d’éviter de causer du tort à autrui.
1- VOCABULAIRE
a- Un précepte est une règle de conduire, un enseignement
b- Dans cet exemple l’adjectif « vain » signifie inutile, infructueux, sans résultat
c- Sans résultat, qui ne se produira pas
- Sans issue, fatigante
- Inutiles, sans intérêts
- Insoucieux, indifférent
d- Qu’ils s’amusent à leur gré, sans tenir compte des autres et des règles du jeu.
e- Trouvons pour chacun des verbes de la colonne 1 le nom complément qui lui
convient dans la colonne2
1 2
Désavouer Une suggestion
Démentir Une nouvelle
Désapprouver Un droit
Décliner Une solution
Denier Une initiative
Déconseiller Un collaborateur
2- GRAMMAIRE
- Combattu –nui-sue
- Rappelle-épeliez
- Vu
- Dues
- Menacée
- Téléphoné-laissée
3- REFLEXION
a- L’éducation couvre plusieurs enseignements parmi lesquels l’éducation physique
bien que l’éducation physique permette la sauté physique et la relaxation de
l’esprit, les enseignements théoriques et intellectuels occupent une place de choix
pour les enfants.
Session de 2009
a)
Racisme : c’est le fait de rejeter les individus d’une race différente de la notre.
Assimilation des autres cultures : c’est le fait de s’approprier les pratiques et les
mœurs étrangères.
Avantage de la civilisation qui leur est imposée : gain partiel, civilisation obligée
aux uns sans tenir compte de ce qu’ils pourraient aussi gagner.
b)
2)
L’auteur parle de doctrine à caractère faussement scientifique parce que les praticiens de
la civilisation industrielle laissent croire à ceux de la civilisation traditionnelle que leur
pratique est révolu et scientifique pourtant c’est également une tradition .Ce sont des
traditions différentes d’un contexte à un autre.
QII
Tableau comparatif
Racisme tribalisme
International National
Nation Tribune
Etat Village
Race Ethnie
Appartenance raciale Appartenance tribale ou culturelle
Discrimination à tendance occidentale Discrimination à tendance africaine
On peut conclure que le racisme et le tribalisme invite l’individu à rejeter ceux qui
n’appartiennent pas à son groupe social. Cela entraine des clivages sociaux et ne permet pas
l’intégration sociale satisfaisante.
Conclusion :
En Europe, le racisme se traduit par la discrimination et le mépris des autres avec des
qualificatifs péjoratives tels que tels que homme de couleur, jaune…
En Amérique, le racisme se traduit par le rejet des noirs. C’est ainsi qu’on a des
quartiers ou vivent seulement les noirs et d’autres seulement des blancs. Il en est de
même avec ceux qu’ils appellent les jaunes et les rouges en termes de mépris.
En Afrique, le racisme se caractérise par le mépris des autres individus, bref on a
tendance à minimiser par exemple les Albinos. Plusieurs entreprises aujourd’hui
refusent d’employer les albinos car ils doutent de leur expertise. Également d’autres
pensent que les albinos sont des individus à part et méritent d’être tués dès la
naissance.
En Asie, le racisme se traduit par le sentiment des asiatiques de maitriser un certains
nombres de domaines et le refus de rendre leur culture facilement accessible. On
observe également une différence de traitement selon la race.
GRAMMAIRE
Il existe donc au sein de notre civilisation, une contradiction fatale : d’une part, elle
souhaite ou elle exige l’assimilation des autres cultures à des valeurs auxquelles elle attribue
une perfection indiscutable et d’autre part, elle ne se résout pas à admettre que les deux tiers
de l’humanité soient capables d’atteindre le but qu’elle leur propose.
Le 17ème siècle est marqué par la révolution industrielle. C’est à cette période que des
progrès se sont fait dans le domaine de la médecine, de l’industrie et des pratiques sociétales.
Or avant pour se soigner on utilisait les herbes médicinales. Pour cultiver la houe, la machette
étaient des outils appropriés mais cependant les gens mourraient et l’espérance de vie était
faible. Ces progrès qui relèvent des pratiques occidentales arrivent en Afrique où la
civilisation archaïque est entrée dans les mœurs .les occidentaux, considérant que leur
pratique est parfaite veulent l’imposer aux africains qui sont en position de contradiction
fatale.
1- Expliquez
Romantisme : caractère, comportemment d’une personne et rêveuse, ce qui a
trait au sentiment et à l’imagination qui prevaut sur la raison.
Rationalisme : Philosophie fondée sur la raison conformité à la raison à la
logique au bon sens
Enchantement : chacune sortilège émerveillement chose merveilleuse
Grace rédemptrice : Planche de salut rachat pour un nouveau départ, solution
au problème réponse à la préoccupation
2- Les principales raisons qui ont poussée l’homme à fabriquer l’ordinateur sont :
- L’appréciation de la qualité de sa réflexion dans certains domaines.
- La mesure de l’étendue des ses capacités
- Le besoin d’humilité intellectuelle
3-
a-
b- L’agrafeuse
c- Le scanner
4- RAM : Random Access Memory
ROM : Read Only Memory
5- Ils se sont montré les photos
- La banane que j’ai mangée était pourrie
- Les ordinateurs qui j’ai vu travaillés m’ont émerveillé
6- L’ordinateur en tant que machine peut susciter une préoccupation quant à son impact
sur l’homme. Il est clair que l’homme a fabriqué l’ordinateur pour l’aider dans son
travail et lui permette de mesurer ses capacités. Bien que la machine déshumanise et
vol généralement le travail de l’homme, je reste optimiste quant aux vertus de
l’ordinateur. En effet avec cet outil, l’homme affirme sur humilité et l’intention de
donner une nouvelle orientation à son travail et à son mode de pensée. Il s’agit aussi
pour l’homme de discipliner son travail.