ONDES ET PARTICULES

ONDES ET PARTICULES
ONDES ET PARTICULES
A. Les ondes électromagnétiques
A.1 Les rayonnements dans l’univers

▶ Quizz Les rayonnements dans l’univers

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A. Les ondes électromagnétiques
A.2 Absorption des rayonnements dans l’atmosphère

▶ Quizz Absorption des rayonnements dans l’atmosphère

ONDES ET PARTICULES
A. Les ondes électromagnétiques
A.3 Sources de rayonnement fabriquées par l’homme

Rayonnements γ et X (< 10 nm) : éléments fissiles,

transitions électroniques vers des couches profondes,
accélération de particules chargées (freinage sur des cibles
dans les tubes, courbure dans les synchrotrons ...)
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A. Les ondes électromagnétiques
A.3 Sources de rayonnement fabriquées par l’homme

Rayonnements γ et X (< 10 nm) : éléments fissiles,

transitions électroniques vers des couches profondes,
accélération de particules chargées (freinage sur des cibles
dans les tubes, courbure dans les synchrotrons ...)
Rayonnements UV [10 nm; 400 nm] : lampes à vapeur de
mercure. Une décharge électrique excite les électrons du Hg
qui, en se réorganisant, produisent des UV.
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A. Les ondes électromagnétiques
A.3 Sources de rayonnement fabriquées par l’homme

Rayonnements γ et X (< 10 nm) : éléments fissiles,

transitions électroniques vers des couches profondes,
accélération de particules chargées (freinage sur des cibles
dans les tubes, courbure dans les synchrotrons ...)
Rayonnements UV [10 nm; 400 nm] : lampes à vapeur de
mercure. Une décharge électrique excite les électrons du Hg
qui, en se réorganisant, produisent des UV.
Rayonnement IR [0,8 µm; 1 mm] : tout corps chauffé jusqu’à
3500 K environ a un maximum d’émission dans l’IR, del.
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A. Les ondes électromagnétiques
A.3 Sources de rayonnement fabriquées par l’homme

Rayonnements γ et X (< 10 nm) : éléments fissiles,

transitions électroniques vers des couches profondes,
accélération de particules chargées (freinage sur des cibles
dans les tubes, courbure dans les synchrotrons ...)
Rayonnements UV [10 nm; 400 nm] : lampes à vapeur de
mercure. Une décharge électrique excite les électrons du Hg
qui, en se réorganisant, produisent des UV.
Rayonnement IR [0,8 µm; 1 mm] : tout corps chauffé jusqu’à
3500 K environ a un maximum d’émission dans l’IR, del.
Rayonnement radio (> 1 m): circuits électriques
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B. Ondes mécanique dans la matière
B.1 La houle

▶ Quizz La houle
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B. Ondes mécanique dans la matière
B.2 Les ondes sismiques

On distingue les ondes P et les ondes S :

ONDES ET PARTICULES
B. Ondes mécanique dans la matière
B.2 Les ondes sismiques

On distingue les ondes P et les ondes S :

- les ondes P (primaires) appelées aussi ondes de compression ou
ondes longitudinales. Le déplacement qui accompagne leur
passage se fait par des dilatations et des compressions
successives parallèles à la direction de propagation de l’onde.
ONDES ET PARTICULES
B. Ondes mécanique dans la matière
B.2 Les ondes sismiques

On distingue les ondes P et les ondes S :

- les ondes P (primaires) appelées aussi ondes de compression ou
ondes longitudinales. Le déplacement qui accompagne leur
passage se fait par des dilatations et des compressions
successives parallèles à la direction de propagation de l’onde.
- les ondes S (secondaires) appelées aussi ondes de cisaillement
ou ondes transversales. À leur passage, les mouvements
s’effectuent perpendiculairement au sens de propagation de
l’onde. Ces ondes ne se propagent pas dans les milieux liquides.
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B. Ondes mécanique dans la matière
B.2 Les ondes sismiques

La magnitude d’un séı̈sme mesure le logarithme de l’amplitude

maximale obtenue sur un sismogramme. Elle est donc fonction
du sismographe employé et il existe plusieurs définitions de la
magnitude, la plus connue étant celle de Richter.
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B. Ondes mécanique dans la matière
B.2 Les ondes sismiques

La magnitude d’un séı̈sme mesure le logarithme de l’amplitude

maximale obtenue sur un sismogramme. Elle est donc fonction
du sismographe employé et il existe plusieurs définitions de la
magnitude, la plus connue étant celle de Richter.

▶ Tableau échelle de Richter

ONDES ET PARTICULES
B. Ondes mécanique dans la matière
B.3 Les ondes sonores

Les ondes sonores sont des ondes longitudinales de

compression-dilatation. Leur célérité dépend du milieu dans
lequel elles se propagent. Dans l’air, elle est de l’ordre de 340
m/s.
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B. Ondes mécanique dans la matière
B.3 Les ondes sonores

Les ondes sonores sont des ondes longitudinales de

compression-dilatation. Leur célérité dépend du milieu dans
lequel elles se propagent. Dans l’air, elle est de l’ordre de 340
m/s.
Les fréquences audibles vont de 20 Hz à 20 kHz. Au delà on
parle d’ultrason.
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B. Ondes mécanique dans la matière
B.3 Les ondes sonores

Les ondes sonores sont des ondes longitudinales de

compression-dilatation. Leur célérité dépend du milieu dans
lequel elles se propagent. Dans l’air, elle est de l’ordre de 340
m/s.
Les fréquences audibles vont de 20 Hz à 20 kHz. Au delà on
parle d’ultrason.
L’intensité acoustique est la puissance transportée par une
onde sonore dans une direction donnée, par unité de surface
perpendiculairement à cette direction : I = P/S =< pv > p
étant la surpression accoustique et v la vitesse acoustique ( =
vitesse du son).
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B. Ondes mécanique dans la matière
B.3 Les ondes sonores

Les ondes sonores sont des ondes longitudinales de

compression-dilatation. Leur célérité dépend du milieu dans
lequel elles se propagent. Dans l’air, elle est de l’ordre de 340
m/s.
Les fréquences audibles vont de 20 Hz à 20 kHz. Au delà on
parle d’ultrason.
L’intensité acoustique est la puissance transportée par une
onde sonore dans une direction donnée, par unité de surface
perpendiculairement à cette direction : I = P/S =< pv > p
étant la surpression accoustique et v la vitesse acoustique ( =
vitesse du son).
On définit le niveau d’intensité acoustique (ou niveau sonore)
par ( )
I
L = 10 log
I0
I0 = 10 −12 2
W/m est le seuil d’audibilité (à 1 kHz). L
s’exprime en dB. Voir fig. 14 p.14