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r~i .
Rapport du B . R . G M .
I - DOMAINES D'APPLICATION .. 35
1.1 - L'utilisation de l'énergie géothermale des aquifères de
moyenne température (30 - 50°C) pour le chauffage logements
et la production d'eau chaude sanitaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
1.2 - L'exploitation géothermique des aquifères de moyenne tem-
pérature dans l'agriculture . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37
1.3 - La géothermie dans l'industrie .. 37
1.3.1 - Ma/ické. à count texme. 37
1.3.2 - MaAcké. à Long teAjme. 38
1.4 - Les stockages de chaleur en aquifère de moyenne profondeur . 39
1.4.7 - Principaux. &yi,thnej> dz ¿tockage. en aqu¿{e.K.e. . . . . . . . . 39
1.4.2 - PKÁ.ncipa¿z6 tiiaLÍ&ation¿ e.xpé.K.ime.ntaJ'.eA ou indui-
tKÁ.e.l¿e¿> du stockage, de. chaJLe.uK. en aquiete. 42
1.4. S - JntzKPj:, de-ó aquife.fi<¿6 de. mouznne. -t-mpe/LaXuAe.
[30 à 40°C) poux le. étockage. t>oute.KhJXÎn . . . . . . . . . . . . 44
1.4.4 - Mcuichi dej> ¿tockageJ> de. ch.aZe.un. en aquLfeJio, de.
moyenne. pno£onde,ùn ' . . . . . 44
II - CONCEPTION DES INSTALLATIONS DE SURFACE .-. 46
11.1 - Le transport de l'eau géothermale 47
II.1.1 - ka£eju.e£ utLLLbabX.e. poun ¿e. tnjxnÂpont . . . . . . . . . . . . 48
II. 7 . 2 - CalofiA.guge.age. de¿> ca.wxLÍAa£Lovií> ............'...... 52
11.2 - Les échangeurs de chaleur 54
II .2.1 - le. cko¿x du mate.KA.auy. 55
II. 2. 2 - Conce-p-tíon de¿> echange.uA¿ ........................ 56
11.3 - Pompes à chaleur ., 59
11.4 - Schémas généraux de raccordement des PAC en géothermie .... 65
11.5 - Les émetteurs de calories . _,.,..... 68
II. 5. 7 - LeJ> pKA.nci.paux ¿yt>£meA d' mÍA¿¿on de.
dañó ¿e. ckau^fagz dej> ¿ocaux 68
II. 5. 2 - ln^iue.nce. dti ¿y&tmej> i.nte.Aie.u>u> de.' chauffage, . . . 69
II - ETUDE THERMIQUE 91
11.1 - Hypohtèses sur les dimensions des terrains 91
11.2 - Puissance nécessaire 91
11.3 - Puissance disponible 91
11.4 - Consommations 92
I - CARACTERISTIQUES DE LA RESSOURCE 97
1.1 - Caractéristiques du forage „ 97
1.7.7 - Lote, de. ¿a xia¿Áj>at¿on 97
I. 7. 2 - Evolution de. V ouvfiagt de. 1958 à 1981 97
7.7.3 - Vonné.eJ> fieJ.atA.veJ> au pompage, d'eJiAcu. K.e\aZÁj>e. en
mam> 1981 pan VEHSG 98
1.2 - Aanlyse de la ressource disponible 98
ï. 2.1 - Etat du koxage. KÍxxZJUi e.n 1958 98
1.2.2 - R&ó-iouAce mobiZi&abte. à panMji d1 un nouve.au (.ofuxge. 99
1.2.3 - Coupe, géologique. pK.iv-idlonne.lln 100
7.2.4 - Coupe, te.ckru.quz pn.é.v-uionnelle. d'un Rouage, d'ex-
plon.atA.on de. 680 m aux gnej> vo^gitm, 101
II - ETUDE THERMIQUE 104
11.1 - Besoins 104
II. 7.7 - ?uÁj>¿>anc.e. appeJLíe. 104
II. 7. 2 - ConAommat¿on¿> 104
II. 1.3 - Puliiance. 104
11.2 - Adaptation à la géothermie 104
II .3 - PAC Electrique . . 106
II.4 - PAC Thermique ...., 106
II. 5 - Modifications au réseau de surface 106
II.6 - Bilan d'exploitation 109
71.5. J - Pompe, à ckalejat motean. ¿te.cJAA.que. ............ 109
11.6.2 - Pompe, à ckatejuA rnotzuA tkeAmique. .............. 109
11.6.3 - hoAoivu, non couveAtA pcoi ia gèotheAmle. 109
III - INVESTISSEMENTS 111
III.1 - Investissements sous-sol 111
III .2 - Investissement surface 111
III. 2.1 -'Pompe, à ckale.uAmote.uA 'eJLzc.tAA.quCL Ill
III.2.2 - Vompe. à ckattuA à mote.uK. th.eAmA.que. 1.11
IV - COUTS D'EXPLOITATION ........... .... 112
IV. 1 - Chauffage actuel . .. .. 112
IV.2 - Chauffage avec pompes à chaleur moteur électrique ...... 112
IV.3 - Chauffage avec pompes à chaleur à moteur thermique ..... 112
IV.4 - Coûts P2 et P3 112
IV. 5 - Besoins en eau potable 113
IÊT
ALBIEN : productivité importante (25 EOCENE : généralement à température ALSACE : les ressources géothermiques
à 40° C) souvent bien connu, inférieure à 50° C. Bonne à basse température sont
fait l'objet d'une exploita- productivité. Aquifère étendu pratiquement inexistantes.
tion rigoureuse. Eau douce. et relativement bien connu
Puits unique éventuellement exploité aux forages géother-
possible. miques de TOULOUSE.
NEOCOMIEN : productivité importante PALEOCENE DANIEN : la température est LIMAGNE : la productivité du réservoir du
la température peut dépas- généralement supérieure à STAMPIEN est très incertaine.
ser 40° C. Eau douce ; 50° C et cet aquifère est
puits unique possible. mal connu.
LUSITANIEN : productivité intéres- CRETACE SUPERIEUR : cet aquifère est BASSIN MEDITERRANEEN : Quelques ressour-
sante mais mal connue. La exploité à BORDEAUX (sables) ces à basse température semblent
DAX et MONT DE'r'MARSANCdolomies exister. La géologie est complexe I
température peut dépasser
karstifiées) et constitue Ln
60° C au Centre du Bassin. et les aquifères sont mal connus.
Eau de salinité faible. un des principaux objectifs Risque élevé. , - I
1977 TOUX ST CRICQ (32) Eocè ne Puits unique 42° C Chauffage de serres
1978 PEZENAS (34) Jurassique Ancien forage 38° C Chauffage d ' u n e piscine
pétrolier
1978 TARBES (65) Eocène 42° C Abandonné
1982 PESSAC SAIGE (33) Turonien C é n . Puits unique 48° C 870*TEP économisées/an
1983 CHATEAUROUX (36) Trias Puits unique 32° C forage réalisé début 83
- Travaux géophysiques
Ainsi, quand la position structurale des réservoirs n'est
pas connue avec une précision suffisante, des travaux de géophysique peuvent
être effectués ; ils peuvent préciser la profondeur du réservoir et sa structure
mais en aucun cas ses caractéristiques de productivité.
- Forage d'exploration
II est possible de réaliser des forages de reconnaissance
en petit diamètre permettant une reconnaissance géologique (épaisseur de
la couverture, nature des formations, datation des terrains) et la mise
en évidence d'une ressource aquifère (lithologie du réservoir, épaisseur,
nature du fluide géothermal,...). La réalisation d'un essai de productivité
et la mesure de la température du fluide géothermal donnent ainsi une
parfaite connaissance de la ressource. Le coût de réalisation de ce type de
forage est inférieur à celui d'un forage de production classique. L'annexe 1
présente quelques éléments sur la conception de ce type de forages.
Ainsi en cas d'échec, ce type d'ouvrage offre une économie
par rapport à un forage classique. En cas de succès il représente par contre
un surcoût non négligeable, car contrairement à une idée répandue, la
transformation du forage de reconnaissance en forage de production est
généralement exclue.
Une telle approche est préférable au'" coup par coup" notamment
au niveau des entreprises qui s'équiperont d'autant mieux qu'elles auront la
certitude de faire toute une série de forages ce qui permettrait d'abaisser
encore les coûts.
Exemple :
2 .
175-
1,25-
0,75-
0,5 -
0,25-
z
m
% Succès estimes
- 13 -
. Puits unique
Les eaux des aquifères de basse température sont, contrairement
à la plupart des réservoirs géothermiques profonds, généralement peu minéralisées
voir douces ; il est ainsi souvent envisageable de réaliser des exploitations
en puits unique et parfois même réutiliser les eaux pour l'alimentation en eau
potable ou des besoins industriels (ex. : projet de Bruyères le Chatel - Néocomien)
La réalisation d'une station a puits unique permet de faire
une économie importante (un seul forage à réaliser) lors de l'investissement
et donc une rentabilisation plus facile.
(*) Celles-ci seront étudiés plus en détail lors des études de préfaisabilité
qui constituent la dernière partie de cette étude
- 14 -
. Doublet
Lorsqu'il n'est pas possible de rejeter l'eau géothermale
en surface après son passage dans l'échangeur de chaleur il faut la
réinjecter. Ce type d'exploitation n'est accompagné d'aucun rejet en surface
et n1entraine pas de chute de pression dans le réservoir ce qui permet
d'exploiter plus intensément les ressources géothermiques.
Par contre les investissements sont environ deux fois plus
élevés que pour un puits unique, et les coûts d'exploitation augmentés
du fait du fonctionnement d'une pompe de réinjection.
- Plateforme de forage
Les machines adaptées au forage de puits destinées au
captage des aquifères de basse température sont de puissance moyenne
(60 à 80 T au crochet pour un ouvrage vertical de l'ordre de 1 000 à
1 200 mètres de profondeur) et de taille réduite. Aussi les plateformes
à aménager seront de taille plus limitée :
a) une surface de 80 x 100 m est nécessaire pour des
forages au Dogger à 1 800 mètres ;
b) une surface de 60 x 80 m suffira pour le forage d'un
puits de 1 200 mètres de profondeur (projet au Lusitanien
à SOISSONS) ;
c) une surface de 50 x 60 m pourrait suffire au forage de
puits à l'Albien en région parisienne (700 mètres).
- Diagraphies
Celles-ci peuvent être réparties en deux catégories :
. les diagraphies de contrôle de forage (mesure de la
géométrie du sondage, contrôle de la qualité des cimen-
tations) ;
. les diagraphies géologiques : on mesure quelques paramètres
physiques des morts terrains dans le but de se repérer par
rapport à la géologie.; on mesure certains paramètres de
réservoir (porosité, argilosité, pression de gisement,
température, identification des niveaux producteurs...).
- Completion
Le mise en place d'une completion de réservoir, dont
les fonctions essentielles sont la stabilisation des parois du réservoir
(ce qui permet d'empêcher les venues de sables dans le puits et dans
les matériels de pompage et d'éviter les colmatages par les particules
argileuses par exemple)etl'amélioration de la qualité du captage par
l'augmentation du rayon hydraulique du puits est nécessaire pour le
captage des aquifères qui ne présentent pas de cohésion et mérite d'être
particulièrement soignée.
- La régie
Le maitre d'ouvrage consulte sur la base d'un avant-projet
(APS ou APD) généralement établi par le maitre d'oeuvre et choisit les
entreprises susceptibles d'exécuter les travaux. Les travaux se
déroulent ensuite sous le contrôle du maitre d'oeuvre qui a préalablement
établi un cahier des charges très précis (STD-PEO)*.* La rémunération des
entreprises se fait selon l'application des prix unitaires contractuels
aux quantités réellement exécutées.
- Le métré intégral
La maitre d'ouvrage consulte sur la base d'un avant-projet
généralement établi par un maitre d'oeuvre et choisit les entreprises
susceptibles d'exécuter les travaux. L'entreprise de forage choisie
dans ce cas assure la maitrise du chantier et est rémunérée sur la base
des prix forfaitaires sur lesquels elle s'était engagée dans la réponse
à l'appel d'offre. L'entreprise assume dans ce cas une partie des risques.
- Solutions mixtes
Entre les deux extrêmes que constituent le métré intégral
et la régie, des solutions intermédiaires nombreuses ont été pratiquées.
Citons :
. forage au métré jusqu'au toit du réservoir, forage du
réservoir et essai en régie(forage du réservoir en régie
préférable afin d'éviter tout conflit entre entrepreneur
et maitre d'oeuvre ; ce dernier pourrait en effet reporter
sur l'entreprise la responsabilité d'essai médiocre en lui
reprochant un colmatage par exemple) ;
. forage au métré avec une clause permettant le passage en régie
quand se produisent des pertes de boues dépassant un certain
débit.
1/ . 2 . 1 . Le-4 pKó.¿z\iQjnznt¿
USAGE RESTITUTION
V . 2 . 2 . LQJ>
(*) Notons que L'article 7 de L'arrêté du 13 mai 1975 indique que Le renfouis-
sement ou réinjection forée ou gravitaire dans Leur gite de prélèvement
des eaux souterraines ayant subi uniquement un transfert de chaleur est
exempté de la demande d'autorisation de rejet.
- 25 -
Rejets en mer
les redevances d'assainissement sont calculées sur les volumes d'eaux estimés
forfaitairement ou effectivement prélevés par les usagers sur les
distributions publiques ou toute autre source (art. 4 du décret) ;
Rejets en mer
ANNEXE 1
Cas sans perte dans les terrains de surface Cas avec pertes dans les terrains de
surface
0m
CENOMANIEN 600m.
AOUIFERE
F.4"'/4 F.4" •/«
. F 17"/, T 13 F ÍVi F S% T 5
Chambre de
300
350
F 8 Vi T 7 F 6%T 5
7S0 yy 750
Cimentât ion sabot Cimçntotion
800 800 ' 800 sabot
A noter, et ceci est valable pour les deux contextes, que dans
des terrains vraiment difficiles, la pose d'un tubage API 5" dans un trou
6"1/4 peut être problématique voire dangereuse. Il serait donc préférable de
forer en 7"7/8 ce qui nécessiterait un tube 9"5/8 en surface (forage 12"1/4) .
Les coûts s'en ressentiraient évidemment.
I - DOMAINES D'APPLICATION
ALBIEN
BASSIN PARISIEN TRIAS DOGGER LUSITANIEN NEOCOMIEN TOTAL :
Picardie 12 6 18 :
Lorraine 30 30 :
Haute Normandie 7 7 :
Centre 20 20 :
CRETACE CRETACE
: BASSIN AQUITAIN TRIAS LIAS JURAS. INF. SUP. EOCENE TOTAL :
: Aquitaine 50 51 :
:• Poitou Charente 1 1 :
: Midi Pyrennées 22 32 34
- LES MALTERIES
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- 38 -
- LES BRASSERIES
- LES CONSERVERIES
- LE TEXTILE
Conclusion
- L'INDUSTRIE MINERALE
- LA PISCICULTURE ET L'AQUACULTURE
Ces secteurs ont des rendements beaucoup plus élevés lorsque les
productions sont faites en eau chaude. La géothermie est ainsi
susceptible d'y trouver une utilisation très bien adaptée. Le
développement, qui peut être très important, sera lié au
développement propre de ce type de production.
sa?
ompe d'injection
pompe d'exhaure
forage
FIG.1 : Stockage a l'aide d'un seul forage (puits unique) FIG.2 : Evolution de la température de production
utilisé successivement pour l'injection en été (stockage) d'un système par puits unique.(cas d'une température
et le pompage en hiver (chauffage) Ce système sous-entendir constante) 6 B =température initiale du gisement,
la disponibilité d'une alimentation en eau et la possibilité de rejet 6¡=température d'injection.
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en mois (depuis
18 24
débuf ir jectton?
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(B) 35
FIG.3: Stockage par doublet a balayage. M
Schema de principe. V 11
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injection en hiv pompage en hiver n «o.
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pompage en ete , injection en ete M
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FIG.6 : Stockage a l'aide de deux forages : H G . 7 : Système avec puits chaud et puits froid
système a puits chaud et puits froid Evolution de la température aux puits.
stock froid stock chaud
( température initiale du gisement: 28°C )
- 40 -
Le dispositif comporte :
Les utilisations
- nature de la ressource
- nature des besoins
- un réseau de distribution
L'amiante-ciment et la corrosion
Joint UNTVTT
ANNtAJJ DEWJO-EJTE •
MANCHON
TALON DE BUTEE
Joint GI3AULT
- 52 -
Les constituants
a) le tube
Ce procédé peut être mis en oeuvre sur les tubes en acier noir,
acier galvanisé, en inox, en PVC, en résines armées.
b) l'isolant
c) le revêtement
Ces trois éléments sont lubrifiés par une graisse compatible qui
garde dans le temps toutes ses propriétés entre - 10°C et + 110°C.
Cette graisse permet aux éléments d'être parfaitement indépendants les
uns des autres.
ENVELOPPE PVC
LUBRIFIANT
ISOLANT
LUBRIFIANT
TUBE
- 53 -
WZZZYZZZWZZZZZZZZZZZZ/A
150 1S0
100
4O0-2D
- 54 -
40
35
30
25
25
10
20 10 60 80 100 120
Température de fonctionnement en °C.
a) le titane
b) l'acier inoxydable
c) L'acier revêtu
Par contre :
d) 1'acier
e) Autres matériaux
Des orifices percés dans le coin des plaques sont disposés de façon
à ce que les deux fluides qui vont assurer l'échange de chaleur
circulent alternativement dans les espaces inter-plaques, le milieu
chaud réchauffant le milieu froid.
- nitrile - néoprène
- butyl - styrène
- viton
- à tubes rectilignes.
. Principe
. 1'evaporation,
. la compression,
. la condensation,
. la détente.
. le butane,
. 1'isobutane.
Emission de calorie
[source chaude)
î
Compenseur
K
I
Compresseur C
Moteur
- > 0- Détendeur
t
l
I
1
Source froide Circuit effectué par
le fluide caloporteur
Evaporation
Etat liquide
Etat gazeux
t01
absorption de calories
(source froide]
Pm = 0,3 P
Peal = x Pm.
Peal = — Pm = 0,5 P.
170 thermies
. AIR - AIR
. EAU - AIR
- d'un puits
- de la mer
- d'origine géothermique.
. EAU - EAU
. SOL - AIR
- géologie locale
échangeur
CYCLE DE CHAUFFAGE
échappement
—I 1 Jcompresseur
moteur
thermique
Vdétendeur
. AIR - EAU
PAC
VoubteX.
- 66 -
Variante série
•î
Ec
ro.
'SERIE *
Variante parallèle
- 67 -
variante série :
Variante parallèle :
" Rappelons deux points : dans tout les cas, plus la température de
retour est faible meilleur est le gain thermique.
0 100
P. JxiO'
débit forage
- 71 -
. Radiateurs : 70/50
. Plancher : 55/40
Les essais ont fourni des résultats dans l'ensemble très positifs,
à condition de respecter des températures de circulation de l'eau
relativement basses et variables selon les cultures. On peut atteindre
des températures de retour inférieures à 20°C.
. Réchauffement de 1'air
111 - Qy§LQUES_SCHEMAS_DE_PRINCIPE_D;INSTALLATIONS_GEOTHERMIQUES_DE_TRES
BASSE ENERGIE
Les pages qui suivent montrent les principaux systèmes qui sont
utilisés dans le cas de chauffage à très basse température.
A) ; Vannes d'isolement
(ß) : Poches è thermomètre
soupape de sécurité
+ manomètre
- 76 -
de ville / (-"-^
upape de sécurité I J
¡on I
- 77 -
A ENERGIE TOTALE
BIUTILISATION
rejet
Chauffage
St o I ion
d» Eau ri f r o t d i r
Echangeur
defernsation non
conte min««
nir Cuisine
Sanitaire
Eaux.
•au chaud«
sanitai'e
sau potable
FORAGE
¡Egout
600
- 79 -
OlOlf
Esponsión
70°C
__ PRODUCTION PRODUCTION
DE CALORIES DE FRIGORIES
(chauffage) ~ (réfrigération)
AQUIFERE N AaUlFERE
ETUDE Dh CAS
ii existe à l'heure actuelle 7 exploitations géothermales
de "Basse Température". Deux sont situées dans l'Ile de France, deux dans
l'Aquitaine, une en Picardie, une en Champagne et une dans le Centre.
(*) Cette comparaison doit être accompagnée d'une remarque sur La forme des
travaux de base. En effet» Les documents de base dont nous avons tiré ces
4 synthèses étaient d'une part, deux études de faisabiLité menées à Leur
terme (projets Charente et Lorraine) et d'autre part» deux préétudes
sommaines (projets Languedoc, Nord).
Les bureaux d'études qui ont réaLisés chaque étude thermique, ont appLiqué
eux Les "recettes" que Leur a donné L'expérience qui Leur est propre.
(**) II ne devrait pas y avoir de problème de réinjection en particulier parce
que Le débit exploité est très en deçà du potentiel maximum du puits.
- 82 -
Au chapitre de la surface
PREMIER CAS
RESUME
Ce projet est basé sur l'exploitation du réservoir du
calcaire carbonifère mis en évidence par les forages belges voisins.
1/ Caractéristiques de la ressource :
(m ) (m ) (m )
0 • !7
Zb Sables fins arquee« a niveaux tuftaces LANUtNIfcN
26 - 8
itNUNItN 1 Aquitère à
50 Craies; quelques silex
TURONIfN SUP 1 protéger
75 -58
TURONIEN Mû Y
70 M a r n e s argileuses ( Oièves")
INF CEhOMANE
145 -128
60 Grès vert
205 -168
Schistes et grès
passée de Laure vers 255 / 2 6 0 m
Schistes et grès
assise de F î m e s WESTPMALIEN
425
820 -803
850 30 Phtanites
f
Calcaire
Formation
CARBONIFERE à capter
horizon karstifié ( ? )
1200 -1183
i
-S-SE- -N-NW-
.g
. too
1-Í00 i
>
OD
MOM
ci
.ti
1500
f
CD
- 87 -
COUPE DE FORAGE
_ Om
F 12"1/4 T 9"5/
-850 U
F 8"1/2
_/2OOm
F : diamctre Je tompe
FICHE DE SYNTHESE
IMPLANTATION1
Coordonnées :
Cote sol :
Observations
STRUCTURE DU RESERVOIR
CARACTERISTIQUES DU RESERVOIR
CARACTERISTIQUES DU FLUIDE
CARACTERISTIQUES D'EXPLOITATION
•
= ' 'J I T :• F' F' o D ;J c T l <• i rJ
- S I M PL E T -
il H f ' B O N I F E F E
... 1 =; M i
- - V
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F' F-PE'E. S I O N E U T E T E D E F V I
'"' D E E: IT D ' E Y. F' L 0 I TfiT I 0
T T P H H î M I S î I '.,' I T E S
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I" 6 -II
0 D E B I T EN n",H
F1 IJ I :=: S fi N C E DE L R P 0 MP E
D E P R 0 D U C T I û N E H V I L 0 l-J ñ T T S
F' 0 U R DES T F: fi N S H I S S I V I ~ E I L E
T=10
T = 55
0 M ? -- H T = i o ei. D H r C v.' ME T
10 û 15 0 209 2 50
- 91 -
II - ETUDE THERMIQUE
A = 25° C
débit Q = 200 m3/h (K coeff. Thermie/h + Kw)
P = Q x A x K
= 200 x 25 x 1,163 = 5 815 KW
11 x 3
soit 16 parcelles.
16 parcelles 11 parcelles
II.4. CONSOMMATIONS
16 parcelles 11 parcelles
16 parcelles 11 parcelles
Rejets dans le cas d'une pompe à chaleur, les rejets dans le milieu
naturel pourront se faire à 13° C ; sans pompe à chaleur, elle serait
à 25° C.
16 parcelles 11 parcelles
16 parcelles 11 parcelles
11 215 KF 10 715 KF
16 parcelles 11 parcelles
P2 Sous-Sol 80 80
Surface 50 50
Divers
Assurance (S.A.F. géothermie) 5 5
Taxe de rejet* - -
16 parcelles 11 parcelles
DEUXIEME CAS
RESUME
Le Trias, qui est déjà exploité par un puits vétusté pour ali-
menter en eau industrielle la Caserne dont il s'agit ici, pourrait servir
de source froide à un groupe de pompes à chaleur pour assurer le chauffage
des casernements ( équivalents logements).
¡/ Caractéristiques de la ressource :
Objectif Trias
Profondeur du sabot 617 m
Profondeur totale du forage 659 m
Température 33°7
Débits d'exploitation 50 ou 100 m3/h
Sa I in¡té < 1 g/1
- CARACTERISTIQUES DE LA RESSOURCE
1 - FORAGE
2 - EQUIPEMENT
marnes à êvaporites
du Keuper
366
dolomie de la Lettenkohle,
marnes, calcaires et
dolomies du Muschelkalk
526
532 n a m e s du Muschelkalk
grès à Voltzia
_ 600 605 couches intermédiaires
forage 8" 1/2
tubage crépine 160/ 150 grès vosgiens et Conglomérat
principal
_ 680
- 103 -
Figure 2
0 r e m i 11 o n
C h o u ffage
Stal ion
de
Eau refroidi»
Echangeur
diferrîsation non
conte rninés
Cuisine
San ita ire
Eaux
tau c h a u d e
sanita ire U5MS
eau potable
NOUVEAU
FORAGE
Ego ut
600
6 8O m £Ü
- 104 -
- ETUDE THERMIQUE
1.1. - BESOINS
Elles ont été de 824,3 m3 de fyel pour l'année 1979, soit 713 tonnes
de fuel ou 8 556 MWh, se répartissant ainsi : 7 308 MWh pour le chauffage et
1 246 MWh pour l'eau chaude sanitaire.
On peut estimer la consommation théorique nécessaire pour assurer
le chauffage seul en considérant :
- rendement de la chaudière : 80 /£ ;
11.1.3. - Pu i ssance
NANCY (54)
CASERNE K L E B E R -5000
Température d'équilibre à 0° C
300 _ -3000
-2000
-1000
-10 10
- 106 -
M . 4 . - PAC THERMIQUE
f{f-r:l
.- £ -- * l_ . - - - _- - - •-- -• . - t. - " . ~ —
•—r*T-rr^-- c •
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h *__ _ -
_
L . ._--L -— 4
- 108 -
Tableau 1
POMPE A CHALEUR MOTEUR ELECTRIQUE
COUVERTURE A 0° C
Température Coefficient
Puissance absorbée Puissance restituée
extérieure de performance
18° C 0 0 0
COUVERTURE A + 5° C
a) Economie en FOD
a) Economie en_F0D
b) Consommât!on_KWh gaz
-15
ciuperature
-14 -10 -8 -6 -4 -2 0 +2 +4 +6 +8 + 10 + 12 , +14 + 16
.uerieuru
-12
l>r de jour 0 2 2+3 3+4 5+5 6+7 8+8 9+10 11 + 12 13+14 15+16 17+15 14+12 7+5 4+2 + 2
•>r de jours Ü 2 5 7 10 13 16 19 23 27 31 32 26 12 8
»Lai
< m dominât i on en IA928 37320 52248 74640 97032 119424 129276 141588 148716 15 11 80 108864 72508 26136 12518
.j. li
(électricité)
- OTT -
oiisomiiution
untie 1 le 1 86 378 Kw. h
d'électricité
3=
CD
>
er
M
- Ill -
I I I - INVESTISSEMENTS
IV - COUTS D'EXPLOITATION
IV.4. - COUTS P2 ET P3
P 2 = 153 KF
P 3 = 205 KF
P2 135 KF
P3 181 KF
V - INDICATEURS ECONOMIQUES
TROISIEME CAS
CHAUFFAGE DOMESTIQUE A PARTIR V UN PUITS UNIQUE EN CHARENTE
RESUME
1/ Caractéristiques de la ressource :
I - RESSOURCES GEOTHERMIQUES
I .1 . - ETUDE GEOLOGIQUE
SW
TOO
1500
SYNCLINAL DE SAINTES
( C : Santonien
) 3-4
1 2 5 Km CRETACE ( C ; Coniacien-Turonien
70
m
: Cénomanien
- 118 -
I . 2 . 4 . Hydrogéochimie
IMPLANTATION
Coordonnées :
Cote sol :
Observations
STRUCTURE DU RESERVOIR
Hauteur utile : 35 m ± 5
Hauteur totale : 50 m 50 m
Observations :
CARACTERISTIQUES DU RESERVOIR
Porosité :
Niveau piézométrique :
Observations :
CARACTERISTIQUES DU FLUIDE
Observations :
- 123 -
- ETUDE THERMIQUE
+ COSEC
16640 212 - - 809
+ Centre sociaux
TOTAL EN SORTIE
CHAUDIERE 24532
TOTAL SUR PCI 29288
II.3. - PRODUCTION E . C . S .
EN SORTIE CHAUFFERIE
Température
Extérieure °C - 5° C 0.0 5.00 10 15 16° C - ETE
CUMUL
Puissance appelée
Maxi -
Chauffage (Kw) 11 974 9 253 6 531 3 810 1 089 544 -> 0
Puissance appelée
E.C.S . ( Kw ) 0 0 0 0 0 0
73
m
EXTRAITS SORTIES ORDINATEUR
SIMULATION DES CONSOMMATIONS ET PUISSANCES
EN SORTIE CHAUFFERIE
Température CUMUL
Extérieure ° C - 5° C 0.0 5.0 10 15 CUMUL ETE JOUR/NUIT
Ni
Maxi puissance appelée
chauffage (Kw) 10 886 8 164 5 443 2 721 0 - -
Puissance appelée
E.C.S. (Kw) 606 606 606 606 606 - -
Besoins cumulés
(Mwh) (p.c.S.) 93.1 1 023.7 3 282.3 6 366 7 498.4 8 444.4 24 624.8
O
JO
c
—It
r+
CD
- 128 -
Le fonctionnement sera :
- P.AX. électriques : 1 ou 2 groupes selon les températures extérieures :
. entre - 5° C et 3° C : 2 groupes en séries parallèles
. entre 3° C et 12° C : 2 groupes en séries inversées
. de 12° C à 13° C : 1 groupe
PRINCIPE EE DISTRIBUnCN
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- 131 -
Tetnp_érature_sorties_évap_orateurs :
. PAC électriques Î mini 7.7° C
. PAC thermiques : mini 6 . 3 ° C
Temp_érature_sorties_condenseurs :
. PAC électriques : maxi 72° C
. PAC thermiques : maxi 72° C
Puissance au condenseurs :
. PAC électriques : mini 2 100 KW
maxi 4 420 KW
. PAC thermiques : mini 1 370 KW
(seules) maxi 4 714 KW
. Puissance disponible sur échangeurs thermiques, moteurs et gaz
échappement
KK • - . . ,„,_ ...1.
mini 380 KV.
maxi 2 107 K w
. Energie consommée pour le fonctionnement des PAC :
Energie électrique (PAC électriques) : 3 780 MWh/an
Energie consommée sur PCI pour les
PAC thermiques : 10 050 MWh/an
. Energie électrique consommée par les pompes (géothermales et
circulation : 1 097 MWh/an
L'ensemble des couvertures de jour par échange direct sans PAC et par
PAC électrique et thermique est représenté dans la figure 9.
P.A.C. MOTEUR ELECTRIQUE 2 GROUPES
APPORT EN ENERGIE PAC + ECHANGE DIRECT Y COMPRIS ECS + ENERGIE MECANIQUE = 18 920 Mwh/an
dont : - échange direct + PAC : 15 180 Mwh/an
- apport récupération énergie mécanique : 3 740 Mwh/an)
Temp . °c - 5 -1 4 7 9 11 13
Ext.
MOD J_inv. _L _L JL _L
m
P tw 1932 6487 2107 6816 2042 6737 1978 6692 156O 5266 978 3500 380 1750
62 55 50 45 40 35
T
ec
•c 62 55 50 45 40 , 35 32
62 55 50 45 40
Apport en énergie (PAC + Echange Direct y compriB ECS + Energie mécanique + récupération thermique) 22100 Uwh/an
100
75 ._
Couverture = PAC thermiques + échange direct
50
Couverture échangeur géothermal seul
25
CD
•7}
Puissance utile
Puissance condenseur PAC
P (%) I ._ Température fluide de chauffage
4«— —.— Température réseau géothermique
Eer ie I Série
1O0 Parallèle inversée
90 —I
80
70 1
60 I
50 _J
40
30
20
10
i i i i i i i i
-5 -3 -1 +1 +3 +5 +7 +9 +11 +13 +15 +17 Temp. Ext. °C
- 137 -
FIGURE 11
PAC THERMIQUES
P (%)
T (°C Série inversée
\
\
\
\
\
1C
I I 1 1 1 1
-5 -3 -1 +1 +3 +5 +7 +9 +11 +13 +15 +17 Tem. Ext.(°C)
Puissance utile %
100
75 I
Couverture = PAC thermiques + échange direct
00
I
25
70
m
11 I - ETUDE ECONOMIQUE
1. - COUTS D'INVESTISSEMENTS
Z = 2 152 KF
P2 : matériel 200 KF
personnel 150 KF 440 KF
gestion assurance 90 KF
I I I . 3 . 1 . Recettes géothermiques
COUTS D'INVESTISSEMENTS
ESTIMATIONS
L'hôpital ayant une consommation de 5 475 Kth PCI soit 988 KF.
La couverture par la géothermie est de 89,7 % (on considère en première
approximation que la proportion couverte est identique sur le gaz et le
fuel).
III.3.2. Subventions
Soit 5 890 K F .
QUATRIEME CAS
RESUME
1/ Caractéristiques de la ressource :
1.2.1. Productivité
1.2.2. Température
1.2.3. Salinité
Ü F o r a g e pétrolier
-j.^- Forage g^otheimique éventuel 1
COUPE GEOLOGIQUE
Echelle 1/100 000
N.W.
I
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NEOCOMIEN Calcaires et calcaires m a r n e u x
PLIOCENE ¡: :
- Argiles
Figure 3
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Cxleairs grij i b«ig» foncé à. fia«» iit«r=«ls.tiaaj
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- 150 -
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1213 — —
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2012
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- 151 -
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L -
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K A T = » lai^ré» solrltra i nivsai^t d» calíais-»
GRN-
gris—a:^r^, »t di celcair» •.'.—II—J . » ^ T -
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TH -
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/ V V i. int»r=aJ.atl=. d'ar^il* île ¿e v
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7 -~i
- 153 - Figure 4
100 !S0
0-!-
so
Tempéra ture en °C
o T h e r m o m é trie
1 COO-i
2CC0-
3C00-
•11
E
c
Ht
¿ooo-i
Figure 5
- 15 LOCALITE : Fioure 6
RESSOURCES GEOTHERMIQUES
CHAUFFAGE DE SERRE EN LANGUEDOC -
ROUSSILLON
IMPLANTATION
Coordonnées ;
Cote sol :
Observations
STRUCTURE DU RESERVOIR
Hauteur utile :
Hauteur totale :
Observations :
CARACTERISTIQUES DU RESERVOIR
Karst
Porosité :
Q = 150 mVh ± 50
Perméabilité :
Observations :
CARACTERISTIQUES DU FLUIDE
Observations :
- 156 -
200 x 4 000 = 800 000 kWh /an = 800 mWh /an, soit environ
e e
200 TEP/an
Température de l'eau
en °C
70
-L,
Si
65-
Utilisation pour
60- le chauffage par
thermos iphon
55-
45
40-j H
35- Utilisation pour
le chauffage par
30-
paillaçes radiants
25
aérothermes
20-1
O
- 160 -
Figure 8
PUISSANCE A??£"_I£_PAR_LES_SER5.E5
S 10 15 20 J3 25
FORAGE DE BRUYERE-LE-CHATEL
La faible minéralisation
espérée (0,5 g/1) permet d'en-
visager le rejet de l'eau
géothermale dans le "rué"
-cours d'eau qui passe à
proximité- et même son utili-
s
1 °,I e
I
I .- 1 ° I 'rT'
o, r
II i ^ r ° i --
I p I
pi
sation comme eau industrielle
et potable.
Implantation du chantier
On a retenu un programme de
forage comportant un tubage
de production en 9 M 5/8, afin
• •. *x- • -x" / - ° x - * = -tf- .'. x , * '. x •
de pouvoir mettre en place
des crépines de diamètre
x
<;. • '.•."• x ; • ' . • * • ' . ' ; * . : • «" • ."
•••.XV ••.*.•'•' x;.• . x ; . - . x ' J - ' - . x . «30-APTo
- . x " . ' . ; x . ' - . ' x ' ' . '.'":'•.'*.'•'.' x. x."-.' • . ' x \ ' # / x". .*•' x '.'• * x -. * • x • /
8 / 2
La granulométrie des sables
qui ont été carottés, s'étant
révéléed'une extrême finesse,
on a dû, après élargissage du
I . I
1J1
Sü puits, mettre en oeuvre un
massif de gravier filtrant en
amont des crépines.