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TECHNIQUES PARTICULIERES
(C.C.T.P.)
Objet du Marché :
Viabilisation d'un lotissement
Le Bourg
COMMUNE DE MONTS SUR GUESNES
SOMMAIRE
CHAPITRE I - INDICATIONS GENERALES ET DESCRIPTION DES OUVRAGES................................................ 4
ARTICLE I 1 – INDICATIONS GENERALES ................................................................................................................. 4
ARTICLE I 2 – DESCRIPTION DES TRAVAUX ............................................................................................................. 6
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I 1- 1 – Objet du Marché
Le présent Dossier Technique fixe, les conditions particulières d’exécution de travaux de VRD
pour l’aménagement d'un lotissement sur les communes de MONTS SUR GUESNES.
Situation: VIENNE
Coordonnateur SPS:
I 1- 3 – Notes particulières
Le présent Dossier Technique définit la consistance, le mode de mise en œuvre des ouvrages
à réaliser.
Les indications qui suivent, concernant les ouvrages à exécuter n’ont pas de caractère
limitatif.
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- L’Entrepreneur devra :
Exécuter dans les règles de l’art, tous les travaux nécessaires à l’achèvement
complet et conformes au C.C.T.P. et C.C.T.G., et notamment au fascicule 70, des instructions au
projet telles qu’elles sont définies par les plans du marché et les dispositions du présent C.C.T.P.
Ecoulement des eaux. L’écoulement des eaux dans les caniveaux et ouvrages
existants devra être maintenu en permanence ou suspendu pendant un temps ne dépassant pas
huit heures.
I 1- 4 – Reconnaissance
I 1- 4 –1 Reconnaissance des documents et des lieux
- Pris pleine connaissance des plans, pièces écrites et tous documents utiles à la réalisation
des travaux.
- Contrôlé toutes les indications des documents de consultation notamment celles données
par le descriptif quantitatif à titre indicatif, les plans et dessins.
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- Procédé à une visite détaillée du terrain et pris parfaitement connaissance de toutes les
conditions physiques et de toutes les sujétions relatives aux lieux de travaux, aux accès et aux
abords, à la topographie, à la nature des travaux ainsi qu’à l’organisation du fonctionnement du
chantier (moyens de communication et de transport, lieux d’extraction des matériaux,
éloignement des décharges publiques ou privées, etc.…).
I 1- 4 –2 Reconnaissance du sol
L’Entrepreneur pourra, s’il le désire et à son initiative et à sa charge, procéder à une
campagne de sondages complémentaires directement sur les lieux du chantier.
I 2- 1 - Généralités
Les ouvrages à réaliser sont définis avec précision dans les divers documents et plans joints
au présent C.C.T.P.
I 2- 2 – Travaux préalables
Les travaux préalables s’étendront sur l’emprise des travaux situés à l’intérieur de
l’opération et comprendront :
- la réalisation d’un constat d’huissier sur les bâtiments et clôtures bordant l’emprise des
travaux afin de sécuriser l’entreprise et les habitants.
- Procéder avec le coordonnateur SPS à la visite d’inspection commune et remettre le
PPSPS.
- l’amenée, l’installation du matériel de chantier (avec la remise en état des lieux lors du
repliement),
- l’implantation planimétrique et altimétrique des ouvrages à exécuter avec leur piquetage,
- le repérage des réseaux existants (Electricité, Télécoms, Gaz, AEP,…), - le nettoyage du
terrain et des talus par la destruction de tous les végétaux, abattage, dessouchage et
débroussaillage, ainsi que le ramassage des détritus,
- le transport en décharge public agrée de tous les produits provenant du nettoyage,
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- le décapage de la Terre Végétale sous l’emprise des voiries et espaces verts sur une
épaisseur moyenne de 0.30 (l’entreprise devra faire des sondages à ses frais, si elle le
souhaite, avant la remise des offres pour répondre en connaissance de cause) avec
étalage sur les parterres, végétalisations ou évacuation derrière la salle des fêtes avec
étalage soigné.
I 2- 3 – Terrassement
Les terrassements des voiries, bordures, réseaux (EU, EP, Télécom, AEP, électricité,….)
suivront les coupes transversales types et longitudinales joints au dossier. Les terrassements du
réseau seront réalisés d’aval en amont, sous la voirie existante avec sciage de la chaussée,
blindage des tranchées (si nécessaire). Si le terrain le permet, les matériaux seront mis en
remblai sous les voiries ou évacuation derrière la salle des fêtes de la commune, avec étalage
soigné, afin de rattraper les dénivelés, dans le cas contraire ils seront évacués à la décharge aux
frais de L’Entrepreneur.
Le remblaiement des tranchées sous la route départementale sera conforme aux
prescriptions du Conseil Général concernant les voies de 3ème catégorie.
I 2- 4 – Assainissement EU et EP
I 2- 4 -1 Caractéristiques du réseau
Les eaux pluviales seront collectées
- par des noues
- par les bordures T2-CS1, CC1
- par des avaloirs mises en place
Elles seront ainsi dirigées vers la partie de chaussée réservoir servant de puisard.
Les eaux usées des logements seront collectées en limite des parcelles, par des regard
tabourets de 315 mm de diamètre et une canalisation PVC ou PEHD type CR8 Ø 125, pour se
rejeter avec des culottes ou Té…dans la canalisation principale Ø 160 ou 200 en P.V.C. ou PEHD.
a - L’ensemble des travaux d’assainissement des eaux usées dont l’entrepreneur aura la charge
comprend :
- la fourniture et la pose de collecteurs enterrés P.V.C. Ø 125, 160 et Ø 200 pour
l’évacuation des eaux usées.
- la fourniture et la pose d’éléments préfabriqués en P.V.C ou PEHD reposant sur une
embase en béton de propreté pour :
- regard de visite EU circulaire Ø1000 en PEHD,
- boîte de branchement, tabouret PVC Ø315, lesté.
- la fourniture et pose de grilles et tampons pour regard ou ouvrages EU :
tampon fonte hydraulique 250KN 40x40 (avec écrit EU), tampon en fonte
hydraulique Ø850, verrouillables (pour les EU) et articulés, série lourde 400
KN
- la fourniture et la pose d’équipements de regards en acier galvanisé : échelons
et crosses pour regards.
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b - L’ensemble des travaux d’assainissement des eaux pluviales dont l’entrepreneur aura la charge
comprend :
- la fourniture et la pose de collecteurs enterrés P.V.C. ou béton Ø 200, 400, de drains
rigides Ø 100, pour l’évacuation des eaux pluviales.
- la réalisation d’une chaussée réservoir avec un remblai en 25/50.
- la fourniture et la pose d’éléments préfabriqués en béton ou coulé sur place reposant sur
une embase en béton de propreté pour :
- regard de visite EP circulaire Ø1000 en béton,
- la fourniture et pose de grilles et tampons pour regard ou ouvrages EU :
tampon fonte hydraulique 250KN, tampon en fonte hydraulique Ø850, non
verrouillables et articulés, série lourde 400 KN
- la fourniture et la réalisation de regards déshuileurs avec cloison syphoïde,
- la fourniture et la pose d’équipements de regards en acier galvanisé : échelons
et crosses pour regards.
Les regards reposeront sur un lit de béton de propreté. Les éléments suivants seront en béton
armé 350 kg/m3 .
I 2- 5 – Voirie
I 2-5-1 La chaussée
La voirie est passible d’un classement « SETRA » « Voirie à faible trafic ». Pendant les
travaux, les surcharges roulantes ne dépasseront pas 10kg/m² maximum.
Les passages sur-élevés seront réalisés pour obtenir une élévation de 10cm par rapport à la voirie
fini. Le corps du ralentisseur sera réalisé avec de la grave bitume 0/14. La pente des rampes
d’accès doit être au minimum de 5% sans dépasser 10%.
Celui à l’entrée du lotissement sur la route départementale doit permettre de maintenir
l’écoulement des eaux pluviales dans les caniveaux existants sur le côté opposé au lotissement.
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Soit :
- un géotextile,
- une couche d’assise en GNT A 0/60 dioritique sur 30 cm,
- une couche d’assise en GNT B dioritique 0/31.5 sur 10 cm,
- un béton compacté routier calcaire 0/10 sur 12 cm,
Soit une épaisseur globale d’environ 52 cm pour les trottoirs circulables.
I2- 6 - Bordures
Les bordures seront placées en rive de trottoirs, chaussées ou Espaces Verts suivant les
types comme défini sur les plans. Elles reposeront sur une fondation béton dosé à 250kg/m3.
I 2- 7 - Réseaux
I 2- 7 –1 Provenance et qualité des matériaux et fournitures
Sauf indication contraire du présent C.C.T.P., les matériaux et fournitures seront conformes
aux spécifications du C.C.T.G. et notamment du fascicule n°70. Tous les matériaux et les
fournitures seront soumis à l’agrément du Maître d’Œuvre.
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I 2- 7 –4 Butées et ancrages
Les pièces de raccords et les appareils soumis à des efforts seront ancrés ou butés par des
massifs en béton armé dosé à 250 kg/m3.
Il devra également signaler toute disposition qui semblerait ne pas être conforme aux règles
de l’Art et demander toutes explications à ce sujet.
I 2- 7 –5 Caractéristiques du réseau
Les réseaux télécoms, eau potable et électriques seront distribués sur toutes les parcelles.
L’alimentation du lotissement sera réalisée à partir des réseaux existants sur la R.D. n°24 ou la
RD n°46.
I 2- 8 – Postes de refoulement
Sans objet
I 2- 9 – espaces verts
L’entreprise interviendra essentiellement dans:
- La mise en œuvre de terre végétale à l’emplacement des espaces vert.
- L’engazonnement à l’emplacement des espaces verts.
- La plantation des arbres.
I 2- 10 – Mobilier urbain
L’entreprise interviendra essentiellement dans:
- La fourniture et la pose de panneau de signalétique en acacias traité, avec une gravure
qui sera définie par le maître d’ouvrage
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ARTICLE II 1 - PRELIMINAIRE
II 1- 1 - Généralité
Les provenances des matériaux et fournitures devront être soumises à l'agrément du Maître
d’œuvre dans un délai de 15 jours à compter de la notification du marché.
Les provenances, les qualités, les caractéristiques, les types, dimensions et poids, les
modalités d’essais, de marquages, de contrôle et de réception des matériaux et produits fabriqués
doivent être conformes aux normes homologuées ou réglementairement en vigueur.
L’Entrepreneur est réputé connaître ces normes.
Les installations électriques devront, en particulier, être conformes aux :
Prescriptions de la Régie
Normes NF C (en particulier NFC 11-201, 14-100, 15-100, 13-100 et 17-200, 71-100,
71-003,71-205)
Normes NF P (en particulier NFP 97-101, 97-401, 97-402, 97-403, 97-404, 97-407,
97-408, 97-409)
Normes UTE (en particulier UTE C 17-205)
L’arrêté technique interministériel
Décret de protection des travailleurs.
Spécifications techniques de Sorégies (CCTP en annexe).
L’ensemble des documents généraux est applicable sauf dérogations précisées au CCAP et
spécifications particulières du cahier des exigences techniques, du Plan Général de Coordination
et du Dossier d’Intervention Ultérieure sur les Ouvrages.
L’Entrepreneur devra se procurer, à ses frais, les documents, s’il ne les possède pas déjà, et
ne pourra en aucun cas invoquer l’ignorance de ceux-ci pour se dérober aux obligations qui y sont
contenues.
L’entreprise chargée des travaux devra remettre à Sorégies, avant tout début des
opérations :
• Un plan d’exécution en trois exemplaires pour approbation,
• Un dossier de demande d’Autorisation de Construire (article 49 ou 50 du
décret du 29 juillet 1927 modifié le 14/08/75)
L’entreprise chargée des travaux devra remettre à France Télécom, avant tout début
des opérations :
• Un plan d’exécution en un exemplaire pour approbation,
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L’entreprise chargée des travaux devra remettre au SIVEER, avant tout début des
opérations :
• Un plan d’exécution en un exemplaire pour approbation,
II 1- 2 – Espace Vert
Les frais inhérents à ce travail sont implicitement inclus dans l'offre de l'Entrepreneur
(fourniture terre végétale)
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ARTICLE II 2 - TERRASSEMENTS
II 2- 1 –2 Remblayage de tranchées
Les matériaux provenant des déblais pourront être réutilisés en remblais à la condition qu’ils
soient satisfaisants. Dans le cas contraire, le tout venant utilisé pour le remblayage de tranchées,
hors corps de chaussée, sera une grave dioritique ou calcaire 0/60 ou 0/31.5.
Ces matériaux doivent vérifier les prescriptions suivantes :
- Equivalent de sable (ES) ≥ 35,
- Coefficient Los Angeles (LA) ≤ 40,
Les matériaux provenant des déblais ne pourront pas être réutilisés en remblais sous les
routes départementales. Le tout venant utilisé pour le remblayage de tranchées, hors corps de
chaussée, sera une grave dioritique ou calcaire 0/80, 0/60 ou 0/31.5.
matériaux dont la nature ou l'état n'a pas été prévu dans les tableaux du Guide indiqué ci-dessus,
l'Entrepreneur doit respecter les conditions d'utilisation indiquées par le Maître d’Œuvre.
II 2- 2 - Géotextile anticontaminant
o Caractéristiques des géotextiles filtre pour tranchée drainante dans des sols fins :
Géotextile certifié ASQUAL
Performances Valeurs à spécifier
Résistance à la traction NF EN ISO 10 319 ≥ 12 kN/m
Déformation à l’effort de traction NF EN ISO 10 319 30 à 80 %
Poinçonnement statique NF G 38 019 ≥ 0,6 kN
Perforation dynamique NF EN 918 <25 mm
Perméabilité normale NF EN ISO 11 058 ≥ 0,05 m/s
Capacité drainante dans le plan NF EN ISO 12 958 ≥ 10 –6 m²/s
sous 20 kN/m²
Ouverture de filtration NF EN ISO 12 956 < 150 µm
ARTICLE II 3 – ASSAINISSEMENT
II 3- 1 - Sable alluvionnaire
Le sable alluvionnaire pour mortiers et bétons proviendra obligatoirement d'une exploitation
autorisée. L'équivalent de sable mesuré au piston sera supérieur à 80.
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II 3- 4 - Tuyaux en béton
Tous les tuyaux seront préfabriqués en usine conformes aux prescriptions des normes NP
16-341. Ils seront à collets, et à joint souple incorporé.
Ils seront en béton armé et d'une résistance à la rupture de 13 500 daN/m² (série 135A).
Avant mis en oeuvre, les tuyaux seront examines et réceptionnés par l’entreprise sous le
contrôle du Maître d’Œuvre. Les modes de fabrication, poids tolérances, caractéristiques de
tuyaux et la nature des revêtements devront satisfaire aux conditions du fascicule 70 du C.CT.G.
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Les tuyaux P.V.C seront équipés de joints à lèvres sertis dans chaque emboîture. Le
caoutchouc utilisé comme joint devra comporter au moins 60% de gomme pure naturelle, des
résines synthétiques et produits bitumineux qui devront conserver, dans le temps, leurs qualités
de souplesse, d’étanchéité et d’adhérence aux tuyaux. Ils seront insensibles aux acides dilués.
Placés pendant 10 jours dans une solution acide diluée à PH.3, le caoutchouc ne devra montrer
aucune altération appréciable. Des essais de vieillissement accélérés pourront être prescrits par
le Directeur des Travaux.
II 3- 6 – Ouvrages d’assainissement
Les différents ouvrages annexes seront :
- Ils seront en conformité à la marque NF de la norme NF P 16342.
- soit en éléments préfabriqués en béton provenant d’usines titulaires du label de qualité
ou soit coulée en place, soit en PE.
- Ils devront satisfaire aux prescriptions du fascicule 70 du CCTG.
- Ils seront conformes à la norme NF.EN. 124 et NF EN 476.
- Les tuyaux de drains routiers : conformes à la norme NF P 16-351 et à la norme NF EN
ISO 9969.
- Les grilles avaloirs seront choisis dans la classe C 250, selon la norme EN 124, et admis
à la marque NF.
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II 3- 8 – Station de refoulement
Sans objet
II 3- 11 Chaussée réservoir
Les drains employés seront en PVC ∅ 100 mm à fond plat ou équivalent conformément à la
norme NF P 16-351.
Les matériaux de remblais employés seront de la grave dioritique 25/50 sur le volume utile
(autour et sous les drains et sur une épaisseur de 30cm au-dessus des drains). Le matériau sera
soumis à l’accord du maître d’œuvre.
Le béton utilisé pour les ouvrages correspondra aux spécifications décrites ci-dessus.
Pour le trop plein (débit de fuite), une canalisation de diamètre 200 sera raccordée sur le
réseau pluvial existant de l’autre côté de la voie départementale. Une géogrille sera mise en bout
de cette canalisation dans le puisard. avec une maille de 1mm et de résistance à la traction
>= 6kN/m
II - 1 – Grillage avertisseur
Le dispositif avertisseur sera un grillage de protection placé dans les tranchées au-dessus
des câbles et des fourreaux. Il sera en PVC haute résistance, renforcé par deux feuillards
longitudinaux en polypropylène de couleur appropriée à la nature du réseau et de 0,40 m de
largeur :
AEP : Bleu
Gaz : Jaune
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II 4- 2 - Sable de protection
Le sable utilisé comme de protection sera du sable de carrière (sablon maigre). Il devra être
débarrassé de tout détritus ou matières organiques ou végétales. Il sera exempt de terre
végétale et d’argile. Sa teneur en matières organiques ne devra pas dépasser 0,2% sur le mélange
prêt à être répandu, eau comprise. Sa granulométrie devra être inférieure à 2mm.
L’indice de plasticité sera non mesurable. L'équivalent de sable mesuré au piston sera
supérieur ou égal à 35.
II 4-4 - Fourreaux
Les conduits et gaines pour les réseaux électriques et éclairages seront en polyéthylène
rouge conformes aux prescriptions de la norme NF.C 68-171.
Branchement: Ø 75
Eclairage Public: Ø 75
Les conduits et gaines pour les réseaux Télécoms seront en polychlorure de vinyle (P.V.C) de
Ø 42/45 ou Ø 25/28 conformes aux prescriptions de la norme NF.C 68-171.
Les fourreaux seront aiguillés à l’aide de fils en acier galvanisé de 3 mm minimum. Aux
traversées de chaussées, tous les fourreaux seront enrobés de béton maigre sur une hauteur de
20cm.
Afin d’éviter tout risque d’accident corporel par contact direct entre deux masses
métalliques, l’Entrepreneur devra s’assurer et prendre en charge les liaisons équipotentielles de
toutes masses métalliques existantes situées à portée de main des masses métalliques de son
installation (soit dans un rayon de 2m).
Les tiges de scellement seront en fer forgé et munies d’écrou, d’un contre écrou, d’une
rondelle de diamètre extérieur suffisant pour assurer un bon serrage. Toutes les pièces de
blocage internes et visseries seront inoxydables.
II5 - 6 - Lanternes
Ils devront être de classe II de type Micenas IJM avec fixation verticale sur mat droit de
chez 3e International ou similaire, devront répondre aux spécifications de la norme NF C 71-110,
sur les « appareils d’éclairage électrique », et avoir au minimum les spécifications suivantes :
Les données photométriques établies suivant les recommandations de
l’Association Française de l’Eclairage.
Les ampoules seront de 100W
II6 - 3 – Le réseau
Les fournitures seront conformes au fascicule 71 du CCTG et aux exigences du gestionnaire
du réseau (SIVEER).
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Les dispositifs ci-dessus pourront être remplacés dans certain cas, et sur ordre du maître
d’œuvre ou du gestionnaire du réseau par une bouche de lavage incongelable de 60 ou 40 mm
suivant indications du bordereau des prix.
Toutes ces plaquettes seront en fontes d’aluminium ou en bronze. Toutes autres formes et
couleurs de plaquettes ne seront pas prises en compte lors du règlement des travaux.
Pour chaque classe granulaire, la même et unique provenance doit être conservée pour
l'exécution de la totalité d'un même produit.
Toutefois, des granulats de plusieurs provenances peuvent être acceptés par le Maître
d’Œuvre si des études et essais préalables ont été effectués sur les granulats de chaque
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provenance et que l'Entrepreneur les a soumis à l'accord du Maître d’Œuvre. Les granulats d'une
même classe granulaire mais de provenances différentes sont alors stockés séparément.
Les fournitures sont soit titulaires du droit d’usage de la marque NF ou d’une marque
équivalente, soit caractérisées par des essais prouvant leur conformité aux normes et leur
régularité dans le temps.
Pour chaque classe granulaire, la même et unique provenance doit être conservée pour
l'exécution de la totalité d'un même produit.
Toutefois, des granulats de plusieurs provenances peuvent être acceptés par le maître
d’œuvre si des études et essais préalables ont été effectués sur les granulats de chaque
provenance et que l'entrepreneur les a soumis à l'accord du maître d'oeuvre. Les granulats d'une
même classe granulaire mais de provenance différentes sont alors stockés séparément.
Caractéristiques normalisées
Les caractéristiques minimales des granulats doivent être conformes aux spécifications des
normes NF EN 13242 et XP P 18-545. Le marché prévoit le recours à des codes avec
compensation entre LA et MDE, conformément à la norme XP P 18-545.
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Dans le cas présent, pour la GNT B2, les granulats seront : C III b.
Angularité du mélange
II 8 – 1-Granulats
- granulats pour enrobés : carrière dioritique de la Vienne ou des Deux-Sèvres,
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De plus, les caractéristiques minimales des granulats doivent être conformes aux
spécifications des normes NF EN 13 242, NF EN 13043 et XP P 18-545, à savoir :
Autres caractéristiques
Pour les enrobés de couche de roulement désignés ci-après, la valeur de PSV minimum est de
52.
II 8 – 2 Fillers d'apport
Nature et caractéristiques
Les caractéristiques des fines d'apport sont conformes à l’article 7.7.2 ou 8.8 de la norme
XP P 18.545.
Conditions de stockage
Les conditions de stockage sont précisées dans la norme NFP 98-150, article 4-3-2.
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II 8 – 3 Liants hydrocarbonés
Natures et caractéristiques
Les liants hydrocarbonés doivent être conformes aux spécifications des normes NF EN 12
591, NF T 65-000 et NF T 65-011.
Les liants modifiés ou hors norme sont soumis à l'accord du Maître d’Œuvre.
Les caractéristiques des liants en fonction de leur destination sont indiquées dans le tableau ci-
après :
Classe de bitume selon le trafic de la voie
ENROBES TO (PL/jour > 750) T1 et T2 ≤T3
Pour couche de surface ou de liaison
L’approvisionnement simultané par différentes raffineries est interdit pour une même classe
de bitume.
Pour les couches d'accrochage, le liant utilisé est une émulsion cationique à rupture rapide.
Elle sera au bitume modifié sur toutes les sections notifiées par le Maître d’Œuvre.
II 8 – 4 Dopes et additifs
L'Entrepreneur doit fournir une fiche technique de caractérisation des produits qu'il
propose d'utiliser.
II 8- 6 - Grave bitume
- La grave bitume 0/14 sera de classe 2 et conforme à la norme NF P 98.138.
- Le liant sera du bitume 35/50 ;
- Les granulats seront de catégorie D III.a et répondront à la norme XP P 18.545.
II 8- 7 - Béton bitumineux
- Le béton bitumineux 0/6 ou 0/10 semi-grenu sera conforme à la norme NF P 98.130.
- Le liant sera du bitume 35/50 .
- Les granulats seront de la catégorie B III.a selon la norme XP P 18.545.
- Dans le cas de liant modifié ou spécial, l'entreprise devra fournir l'avis technique de ce liant.
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II 9- 1 – Granulats
- granulats pour Béton Compacté Routier, béton désactivé: carrière calcaire non gélif
de la Vienne ou des Deux-Sèvres, Gironde
La qualité des granulats utilisés sera conforme à la Norme NFP 18-540, elle est
prépondérante pour la réussite de l’aspect. Ils devront résister au gel et au polissage sous l’effet
de la circulation prévue. La couleur sera choisie en fonction de l’aspect visuel voulu.
Caractéristiques de base
- Caractéristiques intrinsèque des gravillons : D à C
- Caractéristiques de fabrication des gravillons : CAT III
- Caractéristiques de fabrication des sables : CAT b
- Sensibilité au gel (G) : 8.7
- Couleur : blanc
II 9- 2 – Liants Hydrauliques
Les liants utilisés doivent être conformes à la norme des liants hydrauliques routiers (LSR)
15-301 et sera de couleur très claire .
II 9- 3 – Les mélanges
Le Béton Compacté Routier sera fabriqué en centrale à Grave ciment (ou centrale à béton).
Pour ces Bétons, l'entreprise fournira les études de formulation attestant de la conformité
aux normes et aux performances mécaniques suivant les produits demandés au présent C.C.T.P.
Ces études en laboratoire sont à la charge de L’Entrepreneur.
- Le délai de maniabilité de ce béton doit être compatible avec les conditions de réalisation
du chantier
- La teneur en eau sera celle correspondant à l’optimum Proctor modifié, avec une tolérance
de 0,5% de part et d’autre.
- La fabrication du béton 0/4, 0/6, 0/10, 0/14, 0/20, sera faite en centrale à grave ou à
béton continue installée soit dans la carrière de production des granulats, soit sur une aire
aménagée appartenant à L’Entrepreneur.
- La teneur en eau sera déterminée par le Laboratoire en fonction des conditions
atmosphériques.
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- Cas général
Les produits proviennent d'une fabrication faisant l'objet du droit d'usage de la marque NF
ou d'une certification de produit reconnue équivalente.
La marque NF garantit la conformité des produits à la norme NF P 98.302. Elle s'applique
quelle que soit la nature des bétons, y compris les produits pour lesquels un aspect particulier est
recherché (ex : traitement des faces vues).
Seuls les profils figurant dans la norme NF P 98.302 peuvent bénéficier de la marque NF, à
l'exception des modèles l1 et l4. La norme définit également les classes de résistance applicables
(classes A, B et C) sur les produits.
- Cas particulier
Exceptionnellement, il peut être fait appel à des productions non titulaires du droit d'usage
de la marque NF (sous réserve du respect des conditions définies page suivante).
. Marquage
Le marquage est appliqué directement sur les produits en face non vue. Il comprend les
indications suivantes :
- identification de l'usine productrice,
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CCTP
Le marquage doit être appliqué sur au moins 10 % des produits constituant la fourniture sous
réserve que chaque charge unitaire (palette) comporte au moins une marque complète apposée sur
un produit.
. Aspect
L'aspect des bordures et caniveaux doit être conforme aux spécifications de la norme NF P
98.302.
Le marché peut fixer des spécifications complémentaires à la norme concernant l'aspect du
parement (couleur et traitement de surface) et dans ce cas, le marché précisera les conditions de
réception correspondantes.
Cette annexe précise les conditions d'essais permettant d'apprécier la conformité d'une
fourniture donnée à la norme NF P 98.302 :
- choix du laboratoire extérieur,
- échantillonnage,
- vérification des caractéristiques géométriques,
- vérification de la résistance à la flexion,
- vérification de la résistance à l'écaillage si nécessaire.
L’Entrepreneur devra faire connaître au Maître d’Œuvre la ou les pépinières qu’il choisit
pour la fourniture des plants dans les 10 jours qui suivent la notification du marché.
De plus, les formes et taille des végétaux à fournir sont précisées ci-dessous. Aucune
modification ne pourra être faite sans accord express du Maître d’Œuvre.
Les formes des végétaux utilisés dans ce projet sont extraites de la norme AFNOR.
• Arbustes (touffes)
Plantes caduques ou persistantes présentant un ensemble d’au moins 8 branches pour
une hauteur de 60/80 cm.
Les végétaux demandés doivent avoir été cultivés en pleine terre si possible et
présenter le nombre minimal de branches précise. Ces branches doivent prendre
naissance à un niveau inférieur à la moitié de la hauteur minimale de chaque classe.
Les touffes seront cultivées en pot de 14 cm de diamètre minimum (3 litres) ou d’une
dimension en rapport avec celle des arbustes.
• Jeunes plants
Végétal résultant de semis, marcotte, bouture, éclat ou greffe ayant deux ans de
culture. Nombre de branches : 3 à 5. Plantés en godets.
L’Entrepreneur devra s’y conformer. Elles constituent une partie de la norme AFNOR. Le
Maître d’Œuvre se réserve le droit de refuser un végétal s’il n’est pas conforme à ces
spécifications et aux autres spécifications de cette norme.
Le choix de végétaux se fera en visite et réception des végétaux après déchargement et
acceptation par le Maître d’Œuvre .
Une attention toute particulière sera apportée par le Maître d’Œuvre à l’aspect des arbres
tiges destinés aux plantations d’alignement ou isolés. Leur hauteur de tronc sous les premières
branches, la silhouette du houppier, devront être rigoureusement identiques.
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CCTP
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CCTP
II 11– 6 – Tuteurs
Les colliers des tuteurs seront en matières textiles avec attache en lanière souple de chez
Elastos ou similaire. Les colliers ne devront provoquer de blessures et pouvoir suivre la croissance
de l’arbre. Les colliers en fil de fer sont à proscrire.
Les tuteurs sont en châtaigniers ou robinier (faux acacia), un par arbre de type 10/12 placé
coté vents dominants.
Ces tuteurs pour les arbres tiges auront une hauteur de 2 mètres hors sol (enfoncement de
1 mètre). Leur diamètre ne sera pas inférieur à 0,07 mètre.
II 11– 8 – Drainage
Les plantes vivaces et arbustes seront plantés sur gravillons alluvionnaires de
granulométries 10/20 et proviendront de carrières locales.
II 11– 9 – Paillage
Un feutre biodégradable sera posé : isomat pour les arbustes, isoplan en dalles pour les
arbres de chez ISOROY ou équivalent au niveau grammage au m².
II 11– 11 – Mulch
Mise en place, sur une épaisseur de 5 cm, sur l’ensemble des plantations de plantes vivaces
et plantes de bruyère dans les parterres, sur le sol préalablement ameubli. Les écorces de pin
calibrées seront des copeaux moyens 24/40 mm non poussiéreux, livrées en vrac, ou tout autre
produit de compostage présentant des qualités similaires. Elles devront correspondre à la norme
française NF U 44-551.
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CCTP
Performance exigée
Produits de marquage Rétro réfléchissants NF2 :
- Rétro réflexion RL >= 150 mcd
- Coeff de luminance Qd >= 100 mcd
- Adhérence SRT >= 45
SRT >= 55 pour marquages spéciaux
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CCTP
33
CCTP
L’Entrepreneur aura à vérifier dans les dix (10) jours, les implantations et les cotes de
nivellement indiquées sur les plans (servant de plan de piquetage). Les erreurs d’implantations ou
écarts de nivellement seront signalés par L’Entrepreneur et les rectifications seront opérées
contradictoirement avec le Directeur des Travaux. L’Entrepreneur est ensuite responsable des
erreurs de tracé, de nivellement qui surviendraient dans le cours des travaux. L’Entrepreneur
exécutera à ses frais le piquetage secondaire et les implantations de tous les ouvrages prévus au
marché.
34
CCTP
35
CCTP
Il sera responsable :
- de tous les éboulements qui pourraient survenir,
- de tous les dommages consécutifs à l’exécution des travaux, en particulier, des dégâts que
subiraient les constructions voisines et les canalisations de toutes sortes.
- des accidents qui pourraient arriver sur les voies publiques et chemins de desserte quel qu’en
soit le motif, même occasionnés par des éboulements d’eaux superficielles ou d’eaux
souterraines dont il doit assurer l’écoulement.
Les fonds de fouille seront soigneusement dressés suivant les pentes à donner aux
canalisations. L’Entrepreneur préparera l’assise des canalisations de manière à établir la purge des
points durs et des terrains impropres en remplaçant les vides avec un matériau graveleux 0/50
soigneusement compacté en couche. Les terrassements présenteront obligatoirement des niches
pour les collets des canalisations afin d’éviter les ruptures transversales et les pertes
d’étanchéités. Le compactage du fond de tranché n’est pas indispensable, sauf en cas de
décompactage du sol en place lors du creusement. En outre, le fond de la tranchée doit être
débarrassé de tout bloc de nature à endommager le réseau à mettre en œuvre.
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CCTP
1 canalisation
Ø + 0,6m Ø + 0,8m Ø + 1,0m
Ø<= 600 mm
1 canalisation
Ø + 0,8m Ø + 1,0m Ø + 1,2m
Ø>= 600 mm
2 canalisation
Ø1+Ø2+0,9m Ø1+Ø2+1,1m Ø1+Ø2+1,3m
Ø1 et Ø2
Plates-formes et talus
Si des purges sont nécessaires, les excavations sont à exécuter jusqu'à la profondeur fixée
par le Maître d’œuvre ; la cote théorique des déblais est rattrapée par apport de matériaux
soumis à l'approbation du Maître d’œuvre, elles seront remblayées par des matériaux d'apport de
type B, C ou D (norme NF P 11-300 et GTR 92).
Les tolérances d'exécution des profils et des talus sont les suivantes :
- profil de la plate-forme support de chaussée : plus ou moins 2 centimètres
(+ ou - 2 cm).
- profil arase terrassement (sous couche de forme) : plus ou moins 3 centimètres
(+ ou - 3 cm).
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CCTP
Le Maître d’œuvre se réserve le droit d’interrompre les travaux après la mise en œuvre de
chaque couche de remblai pour en vérifier la qualité. Des essais, notamment destiner à vérifier la
densité des matériaux de remblai, pourront alors être réalisés. Ils seront à la charge du Maître
d’Ouvrage, sauf en cas de malfaçon, où ils seraient à la charge de L’Entrepreneur sans qu’il puisse
en résulter un surcoût pour le Maître d’ouvrage.
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CCTP
Le matériel de compactage sera choisi afin d'atteindre l’objectif de portance sans porter
préjudice aux canalisations mises en places. L’attention de L’Entrepreneur est attirée sur le fait
que le compactage ou le passage d’engins lourd directement à l’aplomb de la canalisation est
proscrit tant que la hauteur de remblai au-dessus du conduit est inférieure à 1m.
Dans tous les cas, si la génératrice supérieur de la canalisation a une couverture inférieure à
80cm, le remblai sera en béton prix inclus dans celui de la pose de la conduite.
Pendant l’exécution des travaux. L’Entrepreneur est tenu d’assurer les moyens d’évacuation
des eaux comme prévu au C.CA.G. et aux différents fascicules du C.CT.G. Il est spécifié que les
épuisements font partie de l’entreprise et que L’Entrepreneur doit sous sa responsabilité, assurer
la protection du chantier contre les eaux de toute nature et de toute origine. Il devra, le cas
échéant, se conformer aux prescriptions qui lui seront notifiées à cet égard par le Maître
d’œuvre.
L'Entrepreneur doit maintenir en cours de travaux une pente transversale sur la surface des
parties remblayées et exécuter en temps utile les différents dispositifs provisoires ou définitifs
de collecte et d'évacuation des eaux superficielles (banquettes, bourrelets, saignées, descentes
d'eau, fossés, etc. ...).
Il sera responsable des conséquences des perturbations qu’il apporterait dans le régime de
l’écoulement des eaux de surface et des eaux profondes. Il assurera également, sous sa
responsabilité, l’évacuation des eaux de toutes origines depuis les chantiers jusqu’aux exutoires
existants ou à aménager, où elles pourront être reçues. Ces obligations comprennent la
construction et l’entretien du matériel de pompage, y compris les pièces de rechange, la
fourniture de l’énergie, la main d’œuvre d’exploitation et de surveillance, la remise en état des
39
CCTP
lieux, etc. de telle façon que tous les ouvrages décrits dans le présent C.C.T.P. soient exécutés à
sec.
En cas de pluie, les eaux de ruissellement provenant des terrassements seront collectées
dans des bassins de décantation avant leurs rejets dans le milieu naturel.
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CCTP
Les regards de visite préfabriqués seront utilisés jusqu’à une profondeur de 4 mètres,
l’emploi de cunettes préfabriquées pourra être admis. La liaison canalisations-regard de visite se
fera par l’intermédiaire d’une manchette à joints souples incorporée dans les parties coulées en
place (about mâle ou femelle du tuyau).
Les éléments préfabriqués constituant les cheminées des regards seront en plus du joint
normal de pose, jointoyés au mortier de ciment additionné de résine. Les cadres des tampons
seront scellés au mortier sur le dernier élément préfabriqué ou sur les maçonneries. Ils porteront
sur tout le pourtour. Le scellement des échelles dans les regards devra se faire avec un mortier
aux résines.
De même que pour toute reprise sur le dessus des radiers, des cunettes et des parois qui
s’avéreraient nécessaire, le rattrapage sera effectué à l’aide de mortier de ciment additionné de
résine.
Tout essai révélant des fuites entraînera la réfection des joints défectueux, le
remplacement des tuyaux défectueux et un nouvel essai jusqu’à ce que soit obtenue l’étanchéité.
Les essais à l’eau porteront sur 10% de la largeur totale du réseau sauf en cas de mauvais
résultats répétés où ils porteront sur la longueur totale des canalisations mises en œuvre. Ils
donneront lieu à l’établissement d’un procès verbal par le Maître d’œuvre.
41
CCTP
Les défauts feront systématiquement l’objet d’une photo. Ils seront caractérisés
conformément au guide paru dans le supplément n°10 bis de la revue « Techniques Sciences et
Méthodes » publié par l’AGHTM
Le procès verbal donnera par tronçon testé les observations faites par l’Entreprise de
contrôle (y compris lorsque le réseau est jugé bon).
Le rapport d’inspection devra comporter :
• Le schéma du réseau,
• Par tronçon testé, le repérage par rapport au schéma (RV n° à RV n° ),
la longueur du tronçon, son diamètre, le sens de l’écoulement, le sens de l’inspection, la
nature de canalisations. Chaque constatation (défaut, branchement, …) sera positionnée par
rapport à l’abscisse du regard de départ,
• La caractérisation de tous les défauts constatés accompagnée du cliché du défaut,
• Une photo pour chaque branchement,
• Une photo au moins pour chaque tronçon inspecté même si celui-ci ne présente pas
d’anomalie.
• Une synthèse des observations avec rappel des défauts et évaluation de leur
importance en relation avec les résultats des essais d’étanchéité.
Toute inspection révélant des fuites entraînera la réfection des joints défectueux, le
remplacement des tuyaux défectueux et un nouveau passage jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de défaut
visuel.
Pour le contrôle d’un ouvrage ayant subi une reprise, une présentation du/des test(s) sera
fournie de façon analogue.
La cassette complète du passage caméra sera fournie en un exemplaire.
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CCTP
béton
géotextile
drain
Une bande de béton sera mise en œuvre au-dessus des drains. Les drains rigides seront
posés avec une pente maximale de 0,5%.
Un géotextile sera mis en place tout autour du puisard.
Sur toute la longueur de cet ouvrage, la chaussée présentera un profil en travers en toit,
avec des bordures T2-CS1.
III 8- 1 -Terrassement
III 8- 1 – 1 -Ouverture des tranchées
Il est précisé, dans le cas de tranchées communes que, les distances minimum réglementaire
entre les câbles et les autres réseaux seront celles indiquées ci-après :
- canalisation d’eau (branchement) : >= 20 cm
- fourreaux télécoms (branchement) : >= 20 cm
- plantations : >= 1.50m de l’axe
- assainissement : >= 20 cm
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CCTP
III.8 – 4 -Avertisseur
Le dispositif avertisseur sera mis en place, conformément à l’arrêté interministériel du 26
mai 1978, à 10cm minimums au-dessus des câbles ou fourreaux.
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CCTP
Les ciments pour la confection de massifs d’ancrage des candélabres devront être des
ciments au laitier type CLK 45 ou équivalent dosé à 350 kg/m3. Ils devront être coulés en pleine
fouille, le béton étant soigneusement vibré dans la masse.
Les dimensions des massifs seront de la responsabilité de L’Entrepreneur qui fournira au
Maître d’œuvre les notes de calcul 15 jours avant la mise en œuvre.
Les mâts seront fixés à leur massif par l’intermédiaire de 4 tiges de scellement en fer
forgé. Ces tiges devront être noyées dans le massif lors de sa confection, leur écartement étant
maintenu grâce à un gabarit spécial confectionné par L’Entrepreneur.
III.8 – 6 - Robinets-vanne
Les robinets-vanne seront posés dans des regards quand leur groupement (à un nœud de
conduites) sera égal ou supérieur à 3. Dans les autres cas, ils seront posés en tranchée sur des
massifs en béton décrit ci-dessus.
III.8 – 7 - Regards
Les regards sont les mêmes que ceux utilisés pour l’assainissement, de diamètre intérieur
1,00 m. Les tampons des regards seront adaptés à l’environnement, notamment en ce qui concerne
leur résistance mécanique (cf l’article sur l’assainissement).
Les éléments de canalisations joignant entre eux les robinets-vanne, placés dans les regards
seront obligatoirement en acier afin de limiter au maximum l’encombrement des appareils.
Les pièces spéciales que le Maître d’Œuvre estimerait inutiles ou qui conduiraient à un
surdimensionnement des regards ne serait pas réglées à L’Entrepreneur.
Les massifs de protection en béton des têtes de bouches à clé devront avoir un poids
suffisant (30 à 40 kg) pour assurer une grande stabilité de l’ouvrage.
Ils seront réalisés en béton type BCN32, classe d’environnement 3, dosé au minimum à 330
kg de ciment CPA-CEMI ou CPJ-CEMII. Ils seront, de préférence, préfabriqués et dans ce cas
devront être soumis à l’agrément du Maître d’Œuvre.
III.8 – 8 - Branchements
Les branchements seront réalisés par le SIVEER. L’entreprise devra réaliser les
terrassements et le remblaiement des tranchées. Le terrassement pour les citerneaux est
compris dans le prix du mètre linéaire de tranchée.
III.8 – 9 - Robinets
Pour les tubes plastique P.V.C, les robinets de prise en charge ou d’arrêt seront à brides
avec contre brides et joint de sécurité.
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CCTP
Les robinets d’arrêt avant compteur devront également comporter le même dispositif de
raccord pour tube plastique avec bague de raidissement. Les robinets seront présentés à
l’agrément du Maître d’Œuvre.
Les plaques indicatrices de vannes et robinets seront mis en place à la demande du
gestionnaire de réseau. Elles seront fixées aux maisons ; murs de clôtures ou sur des bornes
spéciales.
L’Entrepreneur déterminera les coordonnées rectangulaires de la bouche à clé de la vanne ou
du robinet par rapport au centre de la plaque indicatrice et les fera graver au poinçon sur cette
dernière.
Les plaquettes ne pourront être fixées que par vis laiton ou acier cadmié.
L’Entrepreneur devra veiller à la solidité des scellements. Les poteaux d’incendie seront
numérotés : les numéros seront fournis par le gestionnaire du réseau.
III.8 – 10 -Essais
III-8- 10 – 1 -Electricité
Avant et après la mise des câbles, l’entrepreneur devra procéder aux essais de
conductibilité des câbles en vue de vérifier que ceux-ci n’ont pas été endommagés. Les câbles
devront avoir subi tous les essais prévus par les normes et par les documents fournis par
Sorégies. Ces essais seront transmis à Sorégies ainsi que le nom du fournisseur des câbles.
III-8- 10 – 2 -Eclairage
L’Entrepreneur procèdera, à sa charge et en présence du Maître d’œuvre et de Sorégies,
aux contrôles suivant :
Avant la mise en service
• Sur le réseau de terre :
- relevé des valeurs ohmiques des liaisons équipotentielles entre candélabres et masses
métalliques extérieures au réseau mais accessibles depuis le réseau
• Sur le réseau BT :
- relevé des isolements du réseau BT
• Sur les candélabres :
- Vérification du matériel mise en œuvre conformément au cahier des charges.
Après la mise en service (photométrie)
• Réglage des sources lumineuses
• Relevé des valeurs d’éclairement
III-8- 10 – 3 -Télécoms
Il appartiendra à l’entreprise de demander la réception des ouvrages en présence des
représentants de l’Administration et du Maître d’œuvre. Le contrôle portera sur les points
suivants :
- fourniture des plans de récolement
- respect des caractéristiques des ouvrages
- respect des normes de durabilité des ouvrages
- l’aiguillage des fourreaux
- les masques d’arrivée dans les boites de branchement
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CCTP
Après leur pose en tranchée, les canalisations seront éprouvées à une pression
supérieure de 50 % à la pression statiques d’exploitation sans être inférieure à 10 bars.
La durée de l’épreuve sera d’une heure. Si la conduite a résisté durant 1 heure à la pression
d’épreuve, celle-ci sera réduite à la pression statique d’exploitation jusqu’à ce que le remblai ait
atteint 0,60m, après compactage, au-dessus de la génératrice supérieure de la canalisation. Le
manomètre ne devrait pas baisser durant tout ce temps.
Après avoir été éprouvés et avoir fait l’objet des lavages prescrits dans le CCTG, les
conduites seront obligatoirement soumises à un traitement de stérilisation ou permanganate de
potassium. Cette opération sera effectuée conformément aux instructions contenues dans la
publication n° 54.613.S du journal officiel intitulées « Instructions générales relatives aux eaux
d’alimentation ».
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CCTP
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CCTP
Le niveau 1 est autorisé dans le cas ou les fractions granulaires sèches sont issues de
l'installation de criblage - concassage.
• L'entrepreneur est tenu d'avoir en permanence sur le chantier une citerne à eau.
• Condition météorologique.
- La mise en oeuvre est interdite sous pluie forte et persistante.
- Pour les graves non traitées de type B, le répandage des mélanges est arrêté lorsque la
température au démarrage du chantier est inférieure à 1° C.
Sans objet
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CCTP
L'atelier de mise en œuvre est relié à la centrale d'enrobage par liaison téléphonique.
La température de mise en œuvre sera conforme aux indications des normes produites
correspondantes. Le béton bitumineux ou grave-bitume qui serait approvisionné sur le chantier à
une température inférieure aux prescriptions sera rebuté et non rémunéré.
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CCTP
Les raccordements définitifs à la voirie existante sont réalisés par engravures biaises par
rapport à l’axe longitudinal de la chaussée.
Ces dernières sont dimensionnées de façon qu’il n’y ait pas de changement brusque dans le
profil en long de la chaussée.
Les raccordements aux voiries latérales et affluentes sont également réalisés par
engravure.
Les raccordements sont réalisés selon les schémas et les prescriptions ci-après :
Vue en
Plan
15°
15°
15°
Coupe en long
e
L
l
La longueur d'application longitudinale L est telle que L/e soit supérieur à 100.
III 12 – 6 - Compactage
L’Entrepreneur proposera au Maître d’œuvre la composition du ou des ateliers types de
compactage qu’il propose de mettre en œuvre.
Les modalités de compactage, dont l'atelier sera composé de cylindres vibrants et de
compacteurs à pneus, seront déterminées en fonction du type d’enrobé répandu
L’entreprise devra obligatoirement, lors des premières applications, être assistée par le
fournisseur de matériau qui lui indiquera la démarche à suivre pour la mise en œuvre.
51
CCTP
III 13 – 4 - Compactage
L’Entrepreneur proposera au Maître d’œuvre la composition du ou des ateliers types de
compactage qu’il propose de mettre en œuvre.
Les modalités de compactage, dont l'atelier sera composé de cylindres vibrants sera
compacté et vibré à 98% de l’OPM.
Pour obtenir une surface sans marquage il est préférable de terminer le compactage aux
pneus, les vibrations sont minimisées pour éviter l’éclatement des granulats et les remontées de
fines.
Les Réservations seront réalisées par coffrage ou sciage, le prix de la prestation est
compris dans le coût global.
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CCTP
53
CCTP
Dans le cas d'un épaulement ou d'un solin, la hauteur "h" est au moins égale à la moitié de
celle de la bordure mise en œuvre. Le béton ou le mortier doit être le même que celui utilisé pour
la pose.
réfection de la chaussée
La réfection de chaussée le long des bordures doit être identique à la chaussée existante ou
si la chaussée n’a pas de structure en GNT B. Celle ci est incluse dans le prix de pose des
bordures.
Réception
Les tolérances maximales en altitude et en alignement ne doivent pas dépasser ± 2 cm par
rapport au projet.
Les écarts en tête de bordure, en tête de caniveau et sur le fil d'eau, mesurés à la règle de
3 m, ne doivent pas dépasser 0,5 cm.
Mise en service
Un délai de sept jours minimal est nécessaire entre la pose des éléments franchissables et
l'ouverture à la circulation y compris celle de chantier.
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CCTP
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CCTP
plus meuble et la plus fine. Cette terre sera mise en place à la main en tassant modérément et en
maintenant le plant droit. La flèche des arbres de haut jet devra toujours être conservée.
Le tassement de la terre autour des racines devra être suffisant, les plants devront
résister à l’arrachage effectué avec la main en saisissant l’extrémité de la tige ou de la touffe.
Elles seront réalisées avant ou après le terrassement de la voirie suivant choix du Maître
d’œuvre.
Ce travail comprend l’apport de terreau mécaniquement, en assurant le mélange et
l’égalisation manuel du terreau avec la terre végétal apportée.
• Tuteurage
Fourniture en tuteurs en châtaigniers écorcés de 3,00m de hauteur avec le pied affûté et
traité contre le pourrissement.
Fourniture de colliers des tuteurs en matière textile avec attache en lanière souple de chez
Elastos ou similaire.
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CCTP
III 19- 7 – Mise en place de terre végétale et terre de bruyère, préparation des pelouses
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CCTP
Ce travail devra de préférence se faire par temps sec, il ne sera pas accepté de manutention
de terre mouillée.
Délai de préavis par l'Entrepreneur, de l'approvisionnement des plants sur chantier: deux
jours Les opérations de vérification font l'objet d'un procès-verbal ou d'un rapport de chantier.
Vérification des plants après plantation
Comme il a été vu, la vérification a lieu sur le chantier et fait l'objet d'un procès-verbal ou
d'un rapport de chantier, elle est répétée autant que nécessaire jusqu'à acceptation de la totalité
des plants par le Maître d'ouvrage.
Le comptage sera fait par le Maître d'ouvrage, soit en procédant par sections
intermédiaires complètes, soit pour la totalité du chantier en fin de travaux, cela à la demande de
L'Entrepreneur.
Précautions à prendre entre l'arrachage et la plantation :'
Lorsque le délai entre l'arrachage et la plantation excède 24 heures pour les végétaux à
racines nues, et 48 heures pour ceux en motte ou paniers, la mise en jauge est obligatoire.
Préparation des végétaux avant plantation
L'habillage des racines et parties aériennes se fera, sauf contre indications spécifiques,
immédiatement avant la plantation, en respectant la forme naturelle des sujets. Les flèches des
arbres-tiges ou baliveaux destinés à former des plantations régulières ne seront jamais
raccourcies. Les racines de tous les jeunes plants seront taillées sévèrement avant la plantation.
elles présenteront une longueur maximum à partir du collet de 0,10 m (10 centimètres). Tout
végétal, jeune plant ou autre dont les racines seront retombées dans le trou de plantation sera
aussitôt retiré. Le Maître d'ouvrage se réserve le droit de vérifier ce fait à chaque moment,
même au cours de l'exécution de l'entretien.
Tout végétal présentant des racines recourbées vers le haut sera au constat de reprise
considéré comme mort ou mourant.
Plantation
Prescriptions générales
Conformément à l'article 1.3.3.1. du fascicule 35 du C.C.T.G., l'Entrepreneur est entièrement
responsable de la bonne venue des végétaux plantés par lui dont le délai de garantie est de un an,
à compter du constat d'achèvement des travaux de reprise des végétaux, fixée au mois de juillet
suivant la plantation. Les plantes manquantes, mutilées, dépérissant notoirement ou non conformes
au marché seront assimilées aux plantes mortes et remplacées gratuitement au titre de la
garantie de reprise incluse dans le prix de plantation du présent marché. Les travaux seront
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CCTP
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Les dispositions du décret n° 69-380 du 18 Avril 1969 posent le principe que les bruits des
chantiers ne doivent pas causer une gêne excessive pour le voisinage. Les matériels employés
devront être conformes aux prescriptions édictées par les arrêtés du 11 Avril 1972 du Ministère
de la Protection de la Nature et de l'Environnement.
Après achèvement des travaux, mais avant les opérations préalables à la réception,
l'Entrepreneur nettoiera le chantier de tous les matériaux en excédant qui seront enlevés ; les
détritus de toute nature seront emportés à la décharge; les matériaux roulants, tels que
granulats n'ayant pas fait prise, seront balayés, ramassés et mis en dépôt ou évacués à la
décharge.
Pour des raisons de sécurité routière, l'entreprise sera tenue de nettoyer à ses frais les
voies publiques empruntées par ses engins.
Ce nettoyage sera réalisé en tant que de besoin et au minimum une fois par semaine.
Pendant le délai de garantie, l'Entrepreneur devra exécuter, en temps utile et à ses frais,
les réparations relatives à toute dégradation.
ARTICLE III.27 - CIRCULATION DES ENGINS AU-DESSUS DES CANALISATIONS PENDANT LA DUREE DU CHANTIER
Aucun camion ou véhicule de chantier ne sera autorisé à circuler sur les canalisations tant
que celles-ci n'auront pas été recouvertes par une couche de sable ou de terre soigneusement
compactée dont l'épaisseur, fonction de la nature de la canalisation et des engins sera définie par
l'entrepreneur et soumise à l'agrément du Maître d’œuvre. L'entrepreneur pourra également et à
ses frais, proposer des solutions de protection par des dallages ou platelages.
L'entrepreneur sera responsable de toutes dégradations occasionnées aux canalisations et
devra remplacer à ses frais celles qui seraient détériorées ou écrasées.
62
CCTP
Les frais qui en résulteront feront partie des faux frais de l'entreprise.
Quand un déblai pourra intéresser les lignes souterraines ou l'assiette de poteaux de ligne
(transports de force, éclairage, Télécoms, lignes à grande et moyenne distances) ou encore des
conduites d'eau, de gaz ou d'égout, etc. ... l'entrepreneur se conformera sous sa responsabilité
aux prescriptions qu'il aura provoquées de la part des administrations ou des sociétés exploitant
ou contrôlant ces lignes ou conduites.
L'entrepreneur prendra toutes les dispositions utiles pour qu'aucun dommage ne soit causé
aux câbles, canalisations ou conduites de toutes sortes rencontrées pendant l'exécution des
travaux et pour que tous les risques sécuritaires soient pris en compte.
Il est précisé qu'il devra éventuellement prendre toutes les mesures nécessaires
o pour le soutien de ces câbles, canalisations et conduites, étant entendu qu'en aucun
cas les dispositifs adoptés pour réaliser ces soutiens ne prendront appui sur les
étrésillons des étaiements ou blindages des fouilles.
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CCTP
o Pour l’isolation des câbles aériens nus dont la proximité des engins de chantier
pourrait engendrer des problèmes sécuritaires.
L'entrepreneur ne sera pas admis à présenter de réclamation de quelque nature que ce soit
du fait que le tracé ou l'emplacement imposé pour les ouvrages l'obligerait à prendre ces mesures
sur quelque longueur qu'elles puissent s'étendre.
Il restera entièrement responsable des dommages qui pourraient être causés par lui-même
ou ses agents.
Il est rappelé que les travaux doivent être considérés comme susceptibles de présenter des
dangers (immédiats ou à terme) pour ceux qui y participent ou de causer des dommages aux
ouvrages de distribution de gaz s'ils ont lieu en tout ou partie à moins de 2 mètres augmentés
d'un mètre par mètre d'excavation dudit ouvrage. Cette distance est doublée dans les terrains de
faible cohésion. Elle est portée à 30 mètres en cas d'utilisation d'explosifs.
L'entrepreneur sera tenu d'appliquer les mesures qui lui seront indiquées par cet agent pour
assurer la sécurité des canalisations ; les prescriptions édictées à ce sujet font l'objet d'une
notice dont un exemplaire pourra être remis au responsable du chantier.
Toutefois, en cas d'accident sur ses ouvrages, exigeant une réparation immédiate, le
permissionnaire sera dispensé de se conformer au délai de huit jours, à charge par lui d'aviser le
service à l'adresse ci-dessus dans un délai de vingt quatre heures. Dans ce dernier cas, si une
canalisation est intéressée ou mise à découvert au cours des travaux, la fouille ne sera comblée
qu'après l'accord de l'agence du service GDF.
Il est précisé que le passage ou la présence de l'agent du service GDF ne saurait en aucun
cas dégager la responsabilité de l'entrepreneur si, malgré les recommandations faites, des
détériorations étaient occasionnées aux canalisations de gaz.
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CCTP
Ligne aérienne :
Lors de l'exécution des travaux, l'entrepreneur doit s'assurer qu'aucun exécutant ne sera
susceptible de s'approcher lui-même ou d'approcher par l'une quelconque de leurs parties tous
objets, matériels ou appareils tels que : outils, échafaudages et ouvrages accessoires, matériels
et matériaux manutentionnés, engins agréés, appareils divers, moyens de transport, à une distance
dangereuse des pièces conductrices nues, normalement sous tension et notamment à une distance
inférieure à :
- 3 mètres pour les installations électriques et notamment pour les lignes aériennes dont
la tension nominale est inférieure à 50 000 volts ;
- 5 mètres pour les installations électriques et notamment pour les lignes aériennes dont
la tension nominale est supérieure à 50 000 volts.
Il doit être tenu compte pour déterminer les distances nominales qu'il convient de respecter
par rapport aux pièces conductrices nues normalement sous tension, d'une part de tous les
mouvements possibles des pièces conductrices nues sous tension de l'installation électrique
notamment de la ligne aérienne et d'autre part de tous les mouvements, déplacements,
balancements, fouettements (notamment en cas de rupture d'un organe) ou chute possible des
engins utilisés pour les travaux ou opérations envisagés. Dans le cas contraire, l’entreprise devra
isoler le câble (à ses frais) afin d’éviter tout problème de sécurité.
Conducteurs souterrains :
Les travaux doivent être considérés comme susceptibles de présenter des dangers pour
ceux qui y participent, s'ils ont lieu en tout ou partie à moins de 1,50 mètres d'une installation
électrique souterraine et notamment d'une ligne électrique souterraine.
A ,
le
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