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par
J. GALHARAGUE et J. ROBERT
RESUME
1 • INTRODUCTI ON , 1
2 - DONNEES GENERALES .. „ ,. 3
4 - CONCLUSIONS 33
1 - INTRODUCTION
2 - DONNEES GENERALES
2.1 - Contraintes
a - D'URBANISME
puissent être considérées comme définitives, on peut admettre que les ou-
vertures de carrières ne seraient pas interdites en zones rurales.
b - BOIS ET FORETS
On a recensé :
2.3.1 -
2.4.1 -
grande que les granuláis classiques ; les emprunts sont donc recherchés
dans un périmètre tel que les distances de transport à la plateforme auto-
routière ne dépassent pas 1 km en ordre de grandeur et de façon à ce que
des scrapers ou des camions puissent accéder si possible au chantier par,
des pistes non publiques (suppression de nuisance sur voirie , carburant
détaxée ) . Ceci restreint les possibilités d'implantation en fonc-
tion de la possibilité de construire une piste sans ouvrage et commande
par ailleurs de placer les emprunts de façon régulière le long du tracé.
Cette situation échelonnée est limitée par le fait qu'un emprunt doit avoir
une taille suffisante pour que les opérations diverses avant, pendant et
après travaux ne soient pas multipliées. Toutes ces données technico-écono-
3
miques conduisent à rechercher des emprunts de 150 000 à 200 000 m au mini-
mum et selon un rapport optimum :
- taille de l'emprunt
- distance moyenne de transport.
On voit donc que les zones d'emprunt envisagées par Scetauroute ne sont pas
uniquement le résultat d'une prospection géotechnqiue et foncière, et que ces
implantations obéissent aussi à d'autres impératifs technico-économiques.
b - L'aménagement d'un emprunt peut être défini comme une opération de réin-
sertion du terrain exploité dans son environnement, la maîtrise du sol
étant assurée par la présence d'un propriétaire consentant (ou de deux
ou trois propriétaires si ce terrain a une certaine importance, mais dans
certaines conditions juridiques pour l'exploitation de la zone aménagée).
L'aménagement va entraîner des frais et la mise en oeuvre de technique dé-
passant celle de l'exploitant, et dont les charges devront être réparties
entre :
c
- Le réaménagement.Nous reprenons in extenso le texte de M . J . U Lascar
concernant ce point.
" C ' zt>t unz opt'iation ¿ ' appliquant à de¿ z¿pacti> im-
poKtanti, [paK&oi¿ plu¿izuKA czntainzh d ' kzctaKzi, ) c cnczKnant •
- soit acheter les terrains mais ce cas est très rr..'> pour
les raisors indiquées plus loin.
taire des terrains nécessaires aux emprunts car les acquisitions se font
dans certaines conditions juridiques et fiscales. Or, dans l'état actuel
des idées, ces terrains ne peuvent être expropriés au titre de l'utilité
publique que s'ils sont immédiatement adjacents aux emprises de l'auto-
route ; et encore n'est-il pas sûr que les enquêtes parcellaires aboutis-
sent favorablement pour de telles extensions d'emprises.
3.1 - NAUDY
3.2.1 - Salcevert-est
3.2.2 - Salcevert-échangeur
3.3 - NEGRET
3.4 - ESCATALENS
• Localisation de l'emprunt
• Site de l'emprunt
® Géologie du site
• Principe de l'exploitation
3.6 - MALIAURENS
3.7 - GANDALOU
4 - CONCLUSIONS
J. Robert J. Galharague
Ingénieur géologue ENSC Ingénieur géologue
Laboratoire régional de l'Équipement Service géologique régional
de Toulouse Midi-Pyrénées