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t-
:
n.-
7.5êrAê
PROMOTION : 1997
cKomonclaturo
6
D Diamètre du tubage m
De Diamètre équivalent m
ry Tension de cisaillement pa
pp Viscosité plastique pa.s
pa Viscosité apparente pds
Vm Vitesse moyenne m/s
p Masse volumique du laitier kÿm3
Pf pression de fracturation pa
f facteur de ùottemend N
NRe Nombre de Repolds
î Contrainte pa
Oüommnrc
NOMENCLATURE
INTRODUCTION
CHAPITREI:Lesciments
I-lHistorique........... 1
I-2 Définition du ciment 1
I-3 Constituants du ciment. .................. 1
I-4 Matières premières............... 2
I-5 Structure de la pâte du ciment ......... 7
I-6 Inlluence des paryrrètres physiques sur le ciment...... 9
I-7 Les ciments spéciaur . ..
i ...... 13
I-8 Les ciments salési......1.. ................. 16
CIIAPITRE II : Les additifs aux ciment
II-l Les additifs 20
II-2 Les accélérateurs............... 22
II-3 Les dispersants............... 23
II-4 Les allégeants.......... 24
CIIAPITRE III : La Cimentation
III-I Introduction..... 27
III-2 But de cimentation............ 27
III-3 Différenls ÿpes des cimentations.......... 28
Itr-4 Principâes, causes d'échec d'une cimentation 9s'8........... 28
m-5 Analysds des causes d'échec d'une cimentation 95Æ........ 30
CIIAPITRE fV:
La rhéologie du ciment
ry-l Définition de la rhéo1ogie............. 34
IV-2 Différent §pes des fluides 34
IV-3 Mesure des paramètres rhéologique.......... 36
IV-4Inüoduction atiiéeimes d'écoulement........... 37
CHAPITRE V : Resultas üt"interprétations
MODES OPERATOIRES
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
:lg
I
TT{TRODUGTÏArt{
-Choix d'un flüde de forage qui répond aux exigences imposées par la -
formation du point de vue 1sçhnique, et d'auüe part par un coût aussi bas que
possible;
r-1 HrsroRrQUE
tes débuts
connu, depuis plus d'un siècle, le ciment a une longue tustoire,
grasse obtenue par cuisson des
remontant aux eryptiens qui avaient découvert ta chaux
d'rme extinction du produit obtenu (pottr
roches cle calcaires à une températrue élevée suiüt
obtenir l'hydroxyde de catcium) ou la chatx
ce. sont les romains qui ontfait véritablement le ciment en y ajoutant
une matière
à une température nonnale
votcànique, les cendres volcanique tout en donnant un rnatériau
après sa prise résistant à I'eau'
et mélanger à ['eau durcissait par hydratation et devient
la construction de
c,est ce matériau qui est le premier liant hydrauüque, a servi à
nombreux monuments de l'éPoque .
C,estenlS24queJosEPHASPEDIN(AI.{GLETERRE)atrouvéetcomposéune
maüère de ciment (ciment portland) et de cela faire ta cuisson d'une poudre des roches
jusqu' avoir des carbonates de calcium et
carcaire et d,argile à des températures érevées
jusqu'à aujourd'hui avec plusieurs
l,évaporation de co2 puis broyér en' poudre, utilisé
modifica.tions et types-
Ilprésentel,uneouplusieursdespropriétéssuivantes:
avec l'eau des
- Des propriétés hydrauliques , c'est -à-dire qu'il forme par réaction .l'r.
['eau;
composés hydratés stables très peu solublqdans a
t
Chapitre I :les ciments
I. 4 -I CALCAIRES :
Les calcaires ( CaCO3 ) sont très répondus dans la nature, ils peuvent être de
dureté et de pureté convenable, ils proviennent du depôt de CaCOI contenu dens les
eaux de mères ou des laclprovoqués par de§ précipitatiqns çhimiques ou réalisé par
l'intermédiaire d'organisme ( mollusque , algues ). Certains de ces dépôt soumis à une
pression et une température ambianteront donné des calcaires telque le marbre, dont la
dureté est élevée .
)
(-hapitre I :les ciments
- Les argiles transportéegdisposées sous I'effet des mers, des cours d'eau des
glacierE et du venL
Ces matières premiéres principales peuvent contenir aussi des éléments mineurs
(auEes que les quatre orydes fondamentaux ) dont l'influence se manifeste sur la
marche de l'usine ou sur la quantité du ciment, ceru( que l'on rencontre le plus
isoUVêût sont: '.*
- La magnésie MgO
- Les sulfates et les chlorures alcalins
- Le soufre
a
- Cristallisation et refroidissement des minéraux du clinker .
3
Clhapilre I :les ciments
C do..'..'. .65
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A
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K §u ) t.:,
$t '.lq.,.
râ........:l: I
I-2.2 PRECIIAUFFAGE :
Pour entamer les réactions de clinkérisation ,les matières premières doivent être
préchauffée,on utilise une tour de préchauffage à cyclones, C'est une partie intégrante
de l'atelier de cuisson. le préchauffage se fait par échange entre les gaz chauds et la
matière cru qui sort de la tour de préchauffage et dans le four à 830"C , tandis que les :
gaz sortent entre 300 et 360 'C pour être utilisé dans le broyeur cru .
I.2.3C.CUISSON: .+
I
'sru;
La cuisson de la farine constitue la phase principale de la fabrication du
4
(' hcryt try--l : las cinrcnts
I.3 LE CLINKER :
On appelle clinker le produit tel qu'il sort du four après cuisson des matières
premières. C'est le clinker qui après broyage avec une addition de gypse ( SOr CazHz
O ) qui régularise la prise; dônnera le ciment tel qu'il est employé par utilisateurs .
I
C.S silicate tricalcique 3CaO SiOz
lr,
a
C.hapitre I :les ciments
a. REFROIDISSEMENT:
Le clinker sortant du four tombe dans le refroidisseur, cette appareil peut être
soit un cylindre rotatif analogue au four et placé sous celui-ci, soit une couronne de
cylindres fixés au four et tournant avec lui, soit une grifle en pente,composés de
b. [,E BROYAGE :
Le broyage de clinker au quel on ajoute 5o/o de rypse ou autre ajout est l'étape
réagir assez vite pour développer les propriétés physico-chimiques du ciment pour
cela il faut broyer très fin moins de 100 pm .
Le ciment est donc obtenu par une opération physique de broyage du clinker .
avec addition du g;pse, et éventuellement d'autres matières contienneirt donc les phases lr,
- le C+AF qui réagit avec une vitesse plus faible que le Ct A,ne peut être considéré comme
un produit inerte. Ce sont les oxydes de fer qu'il inclut qui conlërent au ciment
14 EYDRATATION DU CIMENT :
Mélangés à I'eaq les grains de ciment se dissolvent lentemenf les réactions
chimiques d'hydratation s€ proÔrisent entre ces constituants et l'eau ,aux interfaces cristal -
eau . Elle mettent en jeu plusicurs phénomènes physico - chimiques tels que l'adsorption, la
dissolution et Ia cristallisation .
L'adsorption réside dans Ia fixation des molécules d'eau au rÉseau des constituants par des
liaisons physiçes ou chimiques .
La dissolution résulte de la nrpture des liaisons ioniques d'un solide par l'action des forces
électrostatiques .
L^a cristallisation débute par 'une phase de gerrrination . L€s ions cn suspension
s'asse,mblent €n noyarD( stables, les germes cmissent alors par agglomération de couc*res
zuccessives d'ions sur l'interface cristal-suspension .
Ces phénomè,nes affectant différernment les constituants de cimeng ce qui conduit à
examiner plus particulièrement les réactions chimiques d'hydratæion de ces composants .
7
Clhapitre I :les cîments
hydrates déjà formee qü est consommée .Ce dernier processus d'hydratation est à
I'origine du phénomène d'auto dissociation de la matrice cimenterie .
a I'iszu des réactions d' hydratation de suspension de grains de ciment dans l'eaau s' est
lr,
a
I
Chapitre I :les ciments
I-6-1 Temperature:
Elle influe sur la composition des ciments hydratés, le temps de pompabilité
du laitier augmente avec l'augmentation;üe la tempeiature;
-Sru la résistance à la compressioryon remarque une réEogression on pense que ceci est
l-Ç2 Pression:
du contact eau-ciment
- Du rapport eau -Ciment : plus se rapport est élévé plus la prise est lente, inversement un
rapport faible tend à accélérer la prise.
- De la granulométrie : plus elle est frngplus vite se font les réactions d'hydratation
- Lapermeabilite du ciment.
I+3-b .INJECTABILITE:
On appele l'aptitude d'un laitier de ciment a remplire cotrectement I'annulaire en
Pour deplacer la boue il faut que le laitier ait un poids specifique et un seuill de ,lÇ,
,
cisaillement superieirr a ceux de la boue en écoulement sub-laminaire cette derniére
condition ne présente pas d'inconvanients, suivant le §rpe d'écoulment on peut gélifier le
latier pour augmenter le seuil de cisaillement ou eventuelement intercaler entre boue
10
et ciment un bouchon de ciment ayant un seuil de cisaillement éleve par contre dans le
cisaillement.
I-G3-c PERMEABILITE:
Elle doit être naturellement aussi faible que possible, si le ciment doit remplire
I.6-3.d ADHERANCE:
Un manque d'adhérence de la gaine de ciment à la roche au casing entaine un
dèfaut d'étanchèité. I n'ya à l'heur actuelle pas de moyen d'agire sur le laitier pour
controler I'adhérance du ciment, par conte des essais de laboratoire ont montrés que
lr,
I'adhérance:
a
1l
INFLUENCE DE CERTAINS PARAMETRES SUR LES CIMENTS
X.r
Vrrigtion dc la vlscoshê an tnlluencc du % d'eau sur le
fonstha du 96 deau tempr de prïse
lr,
a
CONCLUSIONS:
Les deux problemes majeurs que renconEe actuellement le petolier dans I'utilisation
du ciment sont:
L2
Chaoitre I :les cîments
L'étanchéité du cimentation est un problème qui n'a pas encore été résolu dans
tous les cas en supposent respectés toutes les règles, or pense qu'il peut y avoir
manque d'étanchéité soit par retrait du ciment au cours de la prise, soit par création
d'un micro-annulaire pff contraction du tubage, le retrait des ciments est un
phénoméne bien connue en travaux publics, les recherches qui on été condüts par ce
sujet ont pour but principal non d'assurer une expansion proprement dite, mais plutôt
une compensation du retrai! les conclusions que l'on peut tirer d'une étude peut être
valable dans cerains cas d'utilisation, et ne pas être dans d'autres cas. !'
L,a, contraction du tubage conduisent à la formation d'un micro-annulaire peut êüe due
à plusieurs causes :
- Changement d'une boue lourd utilisé pour la chasse du laitier par une boue légere
necessaire à lareprise du forage .
- Chaleur d'hydratation du ciment : lorsque le ciment fait prise, la chaleur dégagée par
le laitier fait délater Ie tubage, ce dernier se contracte par la suite, il se créie la')rs un
micro -annulaire.
Les additfs expansifs dont il est fait le plus souvent mention dans la littirature ,tL
t
contiennent sulfate, chaux et aluminate, les differentes formules et dosage conduisent
waisemblablement à la formation du sulfo-alminate tricalcique ou sel de condlot,
l3
Chapitre I :les ciments
d'autres sels peuvent être utilisé comme agents expansifs, certaines bases, chaux et
magnésie en particulier, ont été proposés mais leur emploi est dangereux car utilisés en 'u
I-7-1-b Utilisation:
- dans des puits de stockage sous terrain de gaz .
le probleme des ciments expansifs n'est pas encore résolu et des travaux sont
actuellement en cours dans les nombreuses sociétés afain de detenniner une meilleur
formulation.
Ces ciments sont expansifs, ce qui assure une meilleure liaison entre tubage et
t4
()hapilre I :les cîments
L'emploi de laitier de ciment thixoüope paseüitbien adopté aux probléme de pertes
dans des terrains fissurés .
- La thixofropie reduit les pertes car le laitier se gél dans les fissures .
- Malgré une viscosité supérieure à celle des ciment classiques, les pertes de charge
restent faibles du fait de sa mise en place à débit rédüt.
Les autres propriétes sont comparables à celle enregistrées sur les laitier classiques
l5
Chattitre I :les ciments
I-8 LES CIùIENTS SALES :[21
Les sels sont trés utilisés dans la cimentation des puits pour plusieurs raisons :
- Le sel est disponible (répondu) dans la nature et moins chére et quand le sel est
Addition de grande quanité de sel au ciment est nécéssaire lorsque on place le ciment
en face des formations salesou les formations sensibles d'eau .
Les eaux des chantiers se difter et doivent être tester au laboratoire pour être utilisé
localement. Les substances les plus importantes sont Cl -, SO4 -2, Ca*2, Mg+2 et
d'aufies composés organiques résultant de la décomposition des plantes.
Ces impurtées ont des éffets indiserable sur la performance des ciment portlands, tell
Tous les laboratoires des laitiers de ciments doivent être performer par un
échantillon des eaux laucaux utilisés coûlme eau:. de gachâge.
était la première methode pour achever l'expansion dans les ciments déstiné à la
cimentation des puits pétrolièrs.
t6
Chapitre I :les cimenls
Après la prise, l'expansion du ciment se fait a cause de Ia pression interne exercé par la
crystalization du sel entre les pores et les réactions de chlorosillicate.
t'
Les ciment salés sont largement utilisés pour amiliorer l'ahéderence aux formations
sensibles d'eau, les formations salés,NaCl estutiliséaunegrande concentrationde2Yo
jusqu'au saturation, les faibles concentrations preuvent l'accéleratior\ tanque les
concentrations élevées entrainnent une retardation moyenne.
Le sel est un addiüf exrémement varié, tout dépends de sa concenüation dans le laitier, le
,1",
t7
Chapitre I :les ciments
t8l
,JT,
18
Chapitre I :les ciments
tableau -2- le temps de pompabilité d'un laitier pur gachée a des proportions
croissantes de sel.
Classe D : ciment utilisé de (6000 à 10000) pieds c'est à dire à moyenne température
et pression , il existe en moyenne ou haute résistances aux sulfates
C la sse E: ciment utilisés de (10000 à 14000) pieds pour les fortes température et
pression est disponible en moyenne ou forte résistance aru( sulfate.
Classe F : utilisé (10000 à 16000) portland pour les très forts tempérahue et pression,
disponible en moyenne et fonte résistance aux sulfates.
Classe G : utilisé de (0 à 8000) pieds c'est un ciment de base' utilisé de (0 à 8000
pieds) sa prise peut ête améliorée ou retardée afin de courir une grande gamme de
profondeur et de température du puits. tr,
*
l9
€TTA:PTTRE IT L;es additift'eax ciments :
Les ciments ont des qualités qui les rendent indispensables dans les forages,
mais des qu'on veut les utiüser à une certaine profondeur, ils perdent beaucoup de leur
caractéristiques.
souvent des effets secondaires. süvant leur concentation influent sur d'auEes on
distingues:
l Accélerateurs:
- Chlorursde sodium
- Chlorurede calcium
- silicates solubles
2 Retardateurs:
3 Dispersants :
- Polyélectrolyte anionique
20
'::::::l::r ::::::i::iri::t:::t:;r::::::::::ii:i:::::::::::i:::::: r r:::::..::::::::::::i::.r:::i:l::r:::::::ri::::
4 Reducteur de filtrat :
{
- Polyméres cellulosique
- Polyméres hydrosoluble
5 Allégeants:
- perilite et gilsonite
6 Allourdissants:
- Barite, Hematite
2l
Chartitre II :les adcliti/ës arct c'iment.v
a) Chlorure de calcium :
ciment.
- **
le C3S: I'augmentation de C3S s 'intensifié en présence de Cl et Ca
b) chlorure de sodium :
NaCl joue un rôle d'un accélerateur à faible concentration c'est à dire <l0oÂ
BWOC et devient un retardateur quand sa concentration est >l0o BWOC
22
Chaoitre II :les uclditfes aux ciments
a) lignosulfonate de calcium:
Mélangé à sec au cimen! compatible avec toute les classesde ciment et la plus
part des additifs. la concentration normale varie entre (0,2 et 0,4) BWOC on générale
l'ajout de O,loÂde lignosulfonate augmante de temps de pompabilité de 30 minutes, les
retardateurs peuvent se présenter en liqüde ou en solide ainsi qu'à haute temperature
ou basse temperature.
Les dispersants sont utilisé pour réduire la üscosité du laitier dans le but
d'obtenire un profil d'ecoulment turbulent faciliant le déplacement du fluides de
charges, ce qui perrnette dans une certaine mesure de réduire les pertes de circulations,
penneffent une pompabilité plus grande alrx laitiers lourds-
Plusieurs ÿpes de dispersants sont utilisée dans le cimenq sont connues corlme
superplastifiants dans l'industrie de construction .
l-Les sulfonates sont plus connue, ils ont le pouvoir de dispersion élève', les plus
,tL
23
Chaoitre II :les additfes aux ciments
üavers les zones perrnéables, on aura alors; le volume du laitier se réduit et la densité
augmente
obtient des laitiers de densité normale comprise entre 1.78 et 2.08, il est donc parfois
nécessaire d'alléger les laitiers de ciment pour diminuer les pressions hydrostatiques
aux endroits des couches fragilecet éüter ainsi la fracturation, parconséquentles
allégeants permettent une addition supplémentaire d'eau au laitier, sans qu'il produise
une séparation exécessive du volume d'eau libre.
Enfin l'emploi d'rur caulis hydraulique de faible densité peut dans certains cas,
d'éüter soit un deuxieme étage de cimentation, soit une pérte de ciment dans la
forrration.
des laitiers de ciment ayant une densité voisine de 2,00 requiérent des pressions de
pompages élevées pow la mise en place; de plus ces laitiers imposent des pressions :i+
t
statiques et dynamiques importantes, non seulement sur la formation üaités, mais
également sur les autres formations avoisinantes, ces pressions peuvent entrainer une
déshydratation du laitier.
24
(.hapitre IL'les additi/ës aux ciments
a)Labentonite:
groupe des phyllites formés par conséquent par la superposition de feuillets. Les grains
de bentonite ont la faculté d'accroiEe l0 à 20 fois leur volume, en absordant 5 à 6 fois
leur poids d'eau les molécules d'eau venant se placer entre les feuillets dans les
Les bentonites ont une densite voisine de 2,65 elles sont en généralle
b) La pouzzolane :
volantes des centrales thenno-électriques certaines argiles cuites, scories ) ont une
masse spécifique variant de 2,16 à 2,8 kg/dm'. Co*posées de 90%o de silicapure, elles '.tL
sont aptes à fixer la chaux en présence d'eau pour former des composés ayant des I
température élévée.
25
Chapitre II :les additife.t aux ciments
3-Le ciment à la pouzzolane a une pérmeabilite réduite qui peut attaindre 0.00lmD.
Ces proprietes sont affecter a des degrés variers par le ÿpe de pouzzolane,
c) attapulgite:
l'attapulgite est une argile de base de magnesium, elle n'est pas affecter par I'eau
saleé , ou le calcitrm dans le cximent corrme la bentonite c'est un alégeant pour les
ciments a grande concentrations de sel, la qualité de l'attapulgite varie comme la
bentonite, mais seulement elle ne réduit pas la pérte de filtra, elle a une composition
çhimique de (MgAl5, SiOzz (OH)a;4H2O) ,
CONCLUSION:
Dans les conditions pratiques du puit et de pompage, les additifs chimiques
peuvent amiliorer certaines caracteristiques rhéologiques, ils offient également plus de
chances à la réüssite de la cimentation d'une colonne.
26
Ç$rLl{T&E:IIi;:'; I.A CIMENTATION
III-1 INTRODUCTION: [U
a) cimentations primaires :
21
c'haoitre III la cimentation
b) cimentations complementaires :
C'est une opération qui se fait après la cimentation primaire, tellque pose de
bouchons de ciment soit pour passer à une auüe zone de production soit pour
abandonner un trou.
C'est la mise en oeuwe des ciments autour des tubages. Exemple c'est la
cimentation du tubage 13 3/8
b) cimentation à double étages :
aible pression.
si les hauteurs d,annulaire à cimenter ssnf importantes.
si deux ÿpes de laitier déferent doivent être mise en place.
2R
chartirre III la cimenlation
. Remarque:
Plusieurs causes qui peuvent être résolu car il suffit de contrôler et vérifier avec
précision :
Exemple:
l- chasse subordante : cet échec est causé par des ereurs :
b- des bouchons défectuerÜ), car ce dernierjoue un rôle important pour une bonne
t'
.séparation pour qu'il éüte toute contarnination du laitier et la non cimentation du
sabot.
Remèdes:
. Vérificatioo des calculs théoriques,
r Contrôle I'état des pompes et leurs rendement .
accélérateurs ou retardateurs .
29
chapitre III la cimentotion
volume de déblais imporhnt dans l'espace annulaire se qui implique une pression
hydrostatique dans l'espace annulaire importante qui nécessite une pression de
reufouleme6 importante .
Il est évident qu'um laitier à faible seuil de cïsaillement ne déplacera pas une boue
gelée même a une contrainte, la pénéfration du laitier dans la boue comme les doigts
dans un gants ( phénomène du channeling ) .
b) type de boue :
,$,
t
La boue à I'huile émulsionnée déposent sur les parois du trou un cake résistant
3n
chapitre lll la cimentatiln
Un mauvais centrage de la colonne dans le découvert qui repose sur les parois
du Eou, la boue sera emprisonner et difficile à l'évacuer lo portion sera occupée par
la boue au lieu du ciment .
Ciment
Ciment
'.tL
cave mal
netoyé de boue
3l
chapitre ill la cimentation
Une distribution du sel donne naissance à un film d'eau salée qui empêche
l'adhérence du ciment aux parois .
Ciment L Lr
L uui
couche de sel
{l-L
L
lrti
Film H2O Salée LLL L
lr- L L
:L L
l-Temps de pompabilite :
C'est le temps qui s'écoule ente le moment ou le ciment est gâché et le moment
ou le ciment atteint une viscosité de 100 cp (UC) .
.1",
-N B : Réellement dans le sondage au delà de 70 (US) le laitier n'est plus pompable .
t
a2
chapitre III la cimentation
o Les additifs :
2 -Temperature:
Si elle augmente + 1 Le temps de pompabilité diminue (filfrat )
2Larhéologie diminue (VP ) .
Résistance à la compression :
4 - Influence de la pression :
L'étude de laitier en fonction de la variation de la pression utilisée au cours de
33
CHAPITR TV LA RIIEOLOGIE DU CIMEM
TV.I LA RHEOLOGIB :
2 -I FLTIIDE NEWTONIEN :
Se sont des fluides caractérisés e,n général, par des courbes J'écoulement du
ÿpe ci contre :
OU t: Fu.T .........................( I ).
: Fa. dv/dr
r : Contrainte (:h/100 f l.
pu: Viscosité . rp).
. T(s'1)
FIG N":M I : Fluide NEWTONIEN
'.tL
3{
Chapitre IV la rheologie du ciment
T: Tc * Fp . T.............. ......(2)
: T"* po* dv
dr
ôo: rcr représente le seül minimal des celui ci comrace à s'écouler .
dr
T(s-')
FIG N' : Yl2: Fluide non NEWTONIEN
35
Chapire IV la rheologie du ciment
( Cylindre tournant )
(Cylindre fixe )
36
Chapitre IV la rheologie du ciment
C : r.F(r) (3)
expérience.
Deux modelés qui répond aux déplacement des fluides dans les cimentation du
sondage pétrolier voir fig 4 précedente .
37
Chapine IV la rheologie du cirnent
boue
csq
95lr
Ciment
,en écoulement .
isub laminairel
d- Pose du bouchon.
1-2- Inconvénient d'un écoulement sublaminaire :
t
risque du prise avant ile le placer
Dans ce cas en peut le prolonger à l'aide des retardateurs mais il y a une certain
répugnance
38
Chapitre IV la rheologie du ciment
2 - Les retardateurs sont également des fluidifiants et dans presque tous les cas
d'utilisation on est obligélde recouriraux laitiersvisqueux de tète pour obtenir un
contraste de gels initiaux suffrsant .
3 - L'effet des rases communicant qui peut influer sur le lenteur a une ütesse
supérieure , à celle de 27,5 m /mn. On peut d'user le retour sur l'annulaire (expor
chock manifold ) .
IV - 4 - 2- Ecoulement laminaire :
par contre elle est nulle pour la couche au contact des parois intermédiaires , la forme
boue
i+
t
39
Chapitre IV la rheologie du ciment
IV - 4 - 3 Ecoulement turbulent :
Le profile de ütesse est rompu et l'écoulement est caractérisée par une foule
de petit tourbillons répartis dans toute la masse liquide :
3-lo Avantage:
a- Gain du temps V en ( ,t/r* ) .
Conclusion:
Le turbulent est plus efficace que le Éublaminairel
Cgct
96le
J+
t
FIG N" IV 7 Profil d'écoulement turbulent
40
Chapitre IV la rheologie du ciment
Conclusion : on s'oriente vers deux types d'écoulements qui sont opposeés ( sub-
laminaire et turbtrlenf) leurs choix dépond desconditionsdu forage .
VI - 5 THEORIE DE DEPLACEMENT :
Pour déplacer la boue il faut que le seuil de cisaillement du laitier soit inférieur
a celle de la boue, on remarque que la figure N" IV - 8 plus la déférence de densité
entre la boue et le laitier augmente plus on a un bon rendement ceci théoriquement
reste valide, mais en pratique il y' a des confraintes qü peuvent causer plusieurs
phénomènes non souhaitable :
§a i
e6
Y,
\o
6Â
,20
xE
ê(J
, .q
"aé.
Oo
3o
c6
9(,
ô
Ditlérence de densité
(densirê ciment ' densilê boue)
4l
Chapitre IV la rheologie du ciment
lV - 5 - 2 -l la pression dynamique :
(6)
PD= IPUi +IPCi
Di : La densite du fluide .
REMARQUE :
Les deus fluides ( la boue de forage et Ie laitier ) sont des fluides du ÿpe
42
d'un laiüer allégé préparer à
Pour améliorer les caractéristiques rhéologiques
et I'attapulgite et d'autei
I'eau salée saturé, on a utilisé deux allégeants; lapovzzolane
additifs .
La nrocédure de travail :
de I'organigramme d'amélioration, on a effecfué
d.:
Tout en suivant la marche
tests sur :
cisaillement)
Les différents tests :
Test de filtrat
Test de rhéologique
43
OR 6ÀN I.6RÀ[IME D'ÀMEI.I
44
ô
t
I
_'l I
i
t-
Ê
I
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Ii
.T
I
I
L
.l'
45
)ilAPJjTZVI : RESU LTATS ET INTERPRETATIONS
Yv ( lb / 100 ft*"2
R2 = 0,9566
i' 20
o
o
-o Yv
;1s I
:.
ô-
o
Éto
Vp
R2 = 0,976
12u
r-A TENEUR EN ATTAPULGITE ( BWOC )
suite :
D,apês le grapne r on pzutinrerpreter les résultats comme
que'l,augmàntation de teneur de l,attapulgite dans le ciment fait :
46
' RESUITATS ET INTÉEPRETATTONS
TABLEAUN"2:INFLUENCEOE.POUTI:OT.ANESURI.AVISCOSITEETLE
TAUX DE CTSAILLEMENT
R2 = 0,924
§l
Lo
o
o
.o
=q
dt
o
o
'&t
ô,
a
47
: RESIJLTATS E7 INTERPRETAT'ON§
90
80
70
60
a(Jl
url 50
Él
ml
=l 40
=l
<t R2 = 0,9974
UJI
30
20
10
0
10 20
o/oDozz( BWOC )
48
LES CONDITIONS D'ESSAIS
-f
=52"c ;dl =1,58
^25
o
.!)
0)
E20
=
.u
-1s
o)
Bz = o.sgg.Z
49
Chaoitre V: RESULTATS ET INTERPRETAT/OIVS
t60
1,aO
R2=1
1â)
N
o
q Rc2
ræ
C)
É.
^(\ m
T
E
o @
(,)
!z
o
É. 40 R2 = 0,9643
50
: RES:LTATS Er NTEryIEETATTONS
TABLEAU§L.influencedel'attapulgitesurlarésistance
à la comPression
R2=0,
a
c{
I Rc2
I
E
o
o)
Y
§l
()
É-
o
É R2=0,
Rc1
1,5
o/o ATTAP
;&,
t,
a
5l
V : RESTJLTATS EI INTER?EETATIONS
TABLEAUN"TINFLUENCEDURAPPoRTPoTao/ATTAPSURLAVISCoSITE
PI.ASTIQUE
14
R2 = 0,9242
12
10
a
o
o
o
10 20 30 40
52
IPOTZOIANE SUR
TABLEAU N"8 INFLUENCE DU RAPPORT AfiAPULGITE
LA VISCOSITE PI-ASTIQUE
12
10
e
.!) 6
À
2 4
% ATTAPI(1Oo/oPOZZ)
o/o
'e 25o/o POZZ el2'5 attapPe
par des ajouts de PFLE
r
reiresente une valeur optimal qui rest amlioré
r de filtrat) et PDISL (dispersant)
,&,
i,
ù
53
^-^^:,.^ I' t.trC' il TATS, FT INTERPRETATIONS
Yv(h/100ft2 6
TABEAUN'gINFLUENoEDURAPPoRTPozzoIJNEATTAPULGITESURLE
TAUX DE CISATLLMENT
12
o o
10
R2 = 0,9182
I
N
+
+
rtr
o
o
!FO
-o
0 10 20 30 40
54
2 ,..,.3 4
o/^ATIAI{ I,\U,l-l,t** 1
5 I 21
vffimÉ12r 3
TABLEAUI0INFLUENCEDUMPPoRTATTAPULGITEPoUzzoLANESURI'-A
PLASTTQUE
VISCOSITE
25
R2 = 0,9794
20
i1s
o
o
r
-o
-10
i.
12r
RAPPORT ATTAP I POUZZOL t
55
. RESULTATS ET INTERPRETATIONS
%FFle 1
45 79,5
34,5 40,5
ÿp,(cp,,)',, 135
285 240 141
laux dê,,filtiâtiÔnllggt
I
o
(,
tL Tf
t t.o
o R2 = o,g5t t
(-)
TL
1m
Vp
R2 = 0,9933
I 06 0,8 1 1,2
o/o PFLE
t
I
du PDISL'
a t,ày" et à faire varier la concentration
:
j*,
rt
ù
56
L
L
Chapitre V : RESULTATS ET INTERPRETATIONS
I
L yô.:PDISt, ',, ,;::,1.::.::
1,,,,.,.,,';.,,.'1;i,,,,. 6
,l
L I
16
'
," I
o
L t Or
Lt .o
t4
tt 3. I
.T
' .t'
?
I
0 ';
9
0 0,5 1
% (PDTSL)
-i *-
;Ôâns te ta6teau 1!, on remarque que même si te potst fait üariei ia üistoiitê- T
I (réduire), cette variation esl négligeable. Par conlre I'addition de ce dernier produil I
I
)-È,
n
a
57
L
('lttutitrt l' ;lirr'.§t / 7- I'lS 1'-t l.\''l'l'-1ll'ttl';l''177(/\'S
L
É
L allège ordinaire,
Afin de comparer les résultats obfenus, paraport à un laitier
on a procède à des essais sur la bentonite :
L
. test de rhéologie.
L o test de filtrat.
58
Chaoitre V : RESULTAIS Ef NTERPRETA7.ONS
oZo
Oentonite (BWOC
2) à24n
160
R2=0,
140
120
§t
t
t 100
E
o
t7)
Y
ôt
80
() Rc2
()
60
É
40
R2=1
Rc1
20
0 ]-
o 10 20
O/O
BENTO (BWOC )
59
' RESULTATS ET t NTESIRETATIONS
350
300
o Tf
o
I 2oo ô
c
E
o
:o 1so R2 = 0,946
t-
i
100
Vp
o
50
R2 = 0,9347
0 o/" PfLE
0 0,5 1,5
itier PréParé à la
O*aA
bentonitetoléredesval'eurssimilairepourlarésistanceàla
paraport au laitier préparés à
compression et taux de filtrat reduit
|,eausaléetàlabasedelapouzzolaneetl.attapulgite
,t+,
60
CH-:lPt'l'RE l'' : Ilésultats et interprélaliotls
D'après les résultats obtenus , on peut résumé que les laitiers préparé à25oÂ
potrzrolan e et z.syoattapulgite dans le milieu salée saturée, tolère des caractéristiques É
médiocres.
l4l cc
L'ajout de PFLEentre l.25yoet1.syo(Bwoc)réduitletauxdefiltratjusqu'à
après 30 mn de Pression.
jusqu'à 3.lb/100 ft'?.
Le pDISL réduit le taux de cisaillement,
de 25"/o
Ainsi tout en comparent à la bentonite, le laitier pouzzolanique
aux résultats
pouzzolan e et 2.5 attapulgite avec les uâditift, reste avantageux ; suite
I
obtenue
t Remarttue : l,ajout de pDAL (anti mousse) est nécessaire jusqu'à 0.60Â (6Vt) pour
I
réduire la mousse du laiüer.
6t
rI
t- Chapitre l" : RESULTATS E''YEOP^'^''ONt
Tableau de comParai§on
62,
CIL4PITRE V : Résultals el inlerprëtations
'u
pour examiner les résultats obtenues on choisi le laitier qui a la composition suivante:
- Les compositions du laitier alléger : 25 YoPozz , 2.5 % Attap , 1.5 0ÂPFLF', I % PDAL '
1.5 o/o Pdisl .
On à effectuée ces tests sur viscosi'nÈtre de couette , selon les normes API, de type :
FAll35 .
90
EO
70
60
lrc50
40
30
20
10
0
63
CH":IPITRIi ÿ' : Résultats et inlerprétalions
du puit MD 483
pour les calculs d,ecoulement on a pris comme exemple les donnes
'
I - Détemination du modèle :
(9)
La contrainte de cisaillement = t=0.01065.*Fn
- Le gardient de ütesse + Y : I .7023 .*0n.............."( l0 )
Vp: kî0.01065 =
vp= 9.35 r' 10{
1.7023
Vp=9.35 * 10{ * Lb * f sec/ft2
+ Fy=Fn-K*0n
FY: 49 '5 - 0'15 * 300 : 4'5
, Ny=4.5*0.01106=0.0477 (lb/ft'z )
IY = 4.77 ( lb /100 ft'z ) '
VP = 44'8 cP '
tÿ=4"17 (lb/100Ft')'
,J+,
tr,'c'(3ooo) =
# * @I t
^frv,
61
CH-lPITRF- l/ : Résultats et interprétalions
L/c300=5.03ît I sec
| tr(D:-DÎ)vc
oc=13.476 4
Oc = 25.27&PM
Ph-- P* + Po,
Pn = 913.l3Psi
v= 13.476
4Q v: 2o.l t ft/sec
iro: - ü» (
Calcule du nombre de Reynolds
l
928.p.V.De
N/1, = NRe= 2061.24
w *sT(D, - D,) !
0.12Hplt .Ql'.voÎ
Pco = Pcs:5l.21psi
(D, - Dr)'(D, - D, )'''
65
0tU e/?{ S'l tU E f% I R/4/ t
s
fl o*pte tenu des differents résultats obtenus on peut conclure que l'utilisation de la
(--''rt
pouzzolane et de l'attapulgite dans un laitier préparé à partir d'ture eau Salée sahué
Dans le but de réussir les cimentations dans des cas pareils (cimentation de 958 à
Hassi Messaoud), on recommande de développer un laitier allégé à partir de la pouzzolane
et de I'attapulgite ainsi que d'autres additifs et qui répondra arur exigences sorüaitées.
Un tel laitier a en effet répondu à la majorité de ces critères même s'il reste quelques
lacunes à combler tels que le. temps de pompabilité et nous rccommandons de continuer les
essais dand le futur pour son amélioration .
Le rapport qualité-prix doit être également pris en considération lors de la préparation d'rur
tel laitier tout en tenant compte des conséquences d'un tel laitier sur la duée de 1ie des
puirs et des différentes pouvant être rencontrées lors de son exploitation.
l
,!,r,
66
Modes Opératoires
2) Placer le couvercle sur son siège dans Ie récipient par un léger mouvement tournant.
S'assurer qur: fu laitier s'échappe par le lrou percé dans le couvercle.
3) Ir4ettre sc,n doigt sur le trou du couvetcle. enlever I'excèdent de laitier sur la .,urface
l) Placer un échantillon de laitier agité récemment dans le récipient prévu à cet effet et
t
immerger le rotor exactement jusqu'à la ligne de repère.
2) Faire tourner le rotor à 600 trlmn. Attendre que I'aiguille se stabilise (ce temps est fonction
t
des caractéristiques de laitier) . Noter la lecture à 600 trlmn.
3) Passer à 300 trlmn et attendre que I'aiguille se stabilise. Noter la lecture à 300 trlmn.
l
4) La üscosité plastique en centipoises (cpo) est égale à la diffërence entre les lectures à 600 et
t
à 300 trlmn, le seuil de cisaillement en litres par 100 pieds-carres est égal à,la différence entre
'.tL
I
Les mesures de résistance de gel se font de la l'açon suivante :
3) Agitcr à nouveau le laitier à 300tr/rnn penrlant l0 nrn. La lecture niaximale à 3tr/mn donne
-,§fodiË:
*-*
-.4{
,!lr,
Figure -l-
3) I\lesure du tilux de filtratiort
La procéclure opératoire de I'essai de liltration est la suivante :
Assembler les parties du filtre-presse après les avoir nettoyées et séchées au moyen
de
I )
papier dc filtration sec.
È--
§
G
ffi;. J
ffi @Y
,t r,
Figrrre -2-
.l) I\tesure de la rtisistance à la cotn;rressiort
Pour savoir le pouvoir résistant d'un laitier de ciment on aftàire à préparer le laitier selon les
normes AP[.
- Après la période sn fait sortir les cubes des cellules et les placer dans la presse.
- En fait presser les cubes et on indique la valeur sur Ie manomètre.
La presse et les cellules et la chambre curie est montrer sur la (figure -3-).
Figure -3-
t
I
ffiLM.Ufr{ME 1
les fluids Plastique binghamiens :
Les équations d'écoulernent pour
I/ = o.ol tLoe
sub-larninaire v =o§rt!-»
w FP
4Q
,or=;6çrr,
3vDe
ovD ry(D,- D,)
NRe=- w+----;;-
tp*î
pr =ZfPLv'
Pr=ry De
,,--.à/R"
16
r22s t- * * P(D, -
D-rYrY
I/c(2000) --
l00o
o, l*
I * t"*K vc(2000)=
æ;o;L*
1837 , o(D,- - Dr)'tY
=6 aryw*
Eæ
I- rr_ a'
1500[ Izc(3000) tnp' 7349
/c(3000) =
»lw*
4Q
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4Q t'm=;@s
ftDz
ovD 0.8165(D, - D' )
NRe=-p ,^rRe=Dv-
'tl
2foLv2
PI=-2 fLl,lz
D :
,,
=
o.8l6s(D,
u,
- 4)
I = 0.057(N Re)-o'z
/ = 0.057(NRe)-'1
I
I
t
I
i+
t
6
.
land, Texas,:.7478 p 7.01 @,
[u - ERIK B . Nelson « Well cenrenting », Sugar
(leeO ).
PARIS Vol
« Formulaire du foreur » , GINOtJX75',737
[2f - Gilles GABLODE
2,(1989).
A-P-I , o 1989
l7l- << »»
'