Vous êtes sur la page 1sur 16

REPUBLIQUE DU CAMEROUN REPUBLIC OF CAMEROON

Paix - Travail - Patrie Peace – Work – Fatherland


********** **********
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT MINISTRY OF HIGHER EDUCATION
SUPERIEUR *********
********** UNIVERSITY OF MAROUA
UNIVERSITE DE MAROUA **********
********** NATIONAL ADVANCED SCHOOL OF
ECOLE NATIONALE SUPERIEURE MINES AND PETROLEUM INDUSTRIE
DES MINES ET DES INDUSTRIES *********
PETROLIERES DEPARTEMENT OF RAFINING AND
********* PETROCHEMICAL
DEPARTEMENT RAFFINAGE ET
PETROCHIMIE

TRAVAIL PERSONNEL DE L’ETUDIANT

UNITE D’ENSEIGNEMENT : TRANSPPORT, STOCKAGE, ECONOMIE ET


GESTION DES PRODUITS PETROLIERS ET GAZIERS

FILIERE : Raffinage et Pétrochimie

GROUPE 6

THEME :

PRODUCTION, TRANSPORT, ET
STOCKAGE DES GAZ DES SCHISTES
Rédigé par :

NOMS ET PRENOMS : MATRICULES :

 LEWE YETENDJE JEAN-HERVE 21A533EM


 MBANG BAD GEORGES DESTER 19A322FM
 MBELE MEDJANG JORDANE 19A190FM
 NANKIA DOUANLA CYRILLE 19A193FM
 NGNOUPAYE FOLA LAURETTE SANDRA 19A195FM

Encadreur : Dr ISSA

ANNEE ACADEMIQUE 2022-2023


INTRODUCTION.................................................................................................................... 3
I. HISTORIQUES ................................................................................................................ 4
II. METHODES DE PRODUCTION .................................................................................. 4
II.1 La fracturation hydraulique .................................................................................... 4
II.2 Le forage horizontal ou dévié ................................................................................... 5
III. MODE DE TRANSPORT ............................................................................................ 8
III.1 TRANSPORT TERRESTRE ................................................................................... 8
III.1.1 Les gazoducs ....................................................................................................... 8
III.2 Transport maritime du gaz de schiste ..................................................................... 8
IV. TECHNIQUES DE STOCKAGE ................................................................................ 9
IV.1 Stockage en cavité...................................................................................................... 9
IV.2 Réservoirs tubulaires ou sphériques...................................................................... 10
IV.3 Unité flottante de stockage et de regazéification(FSRU) ..................................... 10
V. Etude comparative des gaz ............................................................................................ 10
VI. PRODUCTION DE GAZ DE SCHISTE (Afrique du Sud/ Canada) .................... 10
VII. IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX ...................................................................... 11
VII.1 Contamination des eaux souterraine : ................................................................... 11
VII.2 Contamination de sol .............................................................................................. 11
VII.3 Consommation d’eau .............................................................................................. 11
VII.4 Les eaux usées .......................................................................................................... 12
VII.5 Pollution de l’air ...................................................................................................... 12
VII.6 Bruits ........................................................................................................................ 12
VII.7 Solution aux problèmes environnementaux .......................................................... 13
VII.7.1 Solutions pour la contamination d’eau .......................................................... 13
VII.7.2 Solution pour la contamination du sol ........................................................... 13
VII.7.3 La réduction du bruit ...................................................................................... 14
CONCLUSION ...................................................................................................................... 15
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES............................................................................. 16
INTRODUCTION
Le gaz de schiste, également appelé gaz de roche mère, est un gaz naturel contenu dans
les roches marneuses ou argileuses riche en matières organiques, roche pouvant posséder une
structure litée de schiste. Leur exploitation n’étant pas facile du fait de sa position dans la roche
mère. Toutefois, grâce aux avancées technologiques en matière d’exploration et d’exploitation
d’énergies fossiles, il est aujourd’hui possible d’extraire, de façon rentable, les réservoirs non
conventionnels de gaz. Fort de ce constat, il sera alors question pour nous de présenter les
différentes techniques de production de ce type de gaz, les modes de transport et de stockage
ainsi que l’impact environnemental lié à l’exploitation de ce gaz et nous proposerons quelques
solutions pouvant remédier à cela. Une étude comparative a été également faite entre
l’exploitation du gaz de schiste en Afrique du Sud et au Canada.
I. HISTORIQUES
Le premier puit de gaz à usage commercial a été foré aux Etats-Unis dans l’Etat de
New-York en 1821 ; bien des années avant le fameux puit de pétrole d’edwin Drake. Il
s’agissait déjà d’un puit destiné à l’exploitation du gaz de schiste. Par la suite, la production
modeste s’est fait à parti des gisements schisteux fracturés et enfouit à faible profondeur (plus
particulièrement dans les Apalaches et dans le bassin du michigan). Les volumes de gaz de
schiste exploités aux Etats-Unis sont toutes fois restés longtemps anecdotiques. Ils ne
représentaient qu’une goutte d’eau dans un océan de gaz naturel extrait des réservoirs
conventionnels constitués par des grés ou du calcaire. bien que l’existence de formations
schisteuses soit connus depuis des années, aux quatre coins du monde, la plupart de ces sites
ne sont pas pour l’instant considérés comme des gisements potentiels de gaz naturel
commercialisable, car ils ne sont pas assez perméables pour permettre un écoulement suffisant
de matières vers un forage.

Longtemps, les exemples relativement peu nombreux d’extractions commerciaux de


gaz de schiste ont concerné des installations tirant partie de l’existence de fractures naturelles
dans la roche. Si le potentiel du gaz de schiste est vu d’un autre œil depuis quelques années ce
n’est par ce que de nouvelles réserves ont été découvertes ou que les estimations passées ont
été revu à la hausse, mais plutôt par ce que de nouvelles technologies permettant d’augmenter
la perméabilité de la roche et donc la productivité des puits à été développés. Nombreux sont
ceux d’ailleurs qui considèrent que l’enjeu se situe d’avantage aux niveau de l’exploitation de
la ressource que de celui de l’exploration.

II. METHODES DE PRODUCTION


Faiblement concentré et piégé dans les roches imperméables, le gaz est difficile à
extraire. La remontée du gaz vers la surface nécessite d’être stimulée.

II.1 La fracturation hydraulique


Solidement coincé dans la roche, le gaz ne peut pas remonter à la surface. Il faut alors
briser la roche, afin de libérer le gaz et lui assurer une meilleure circulation dans le sous-sol
avant de remonter à la surface grâce aux puits. La fracturation permet de maintenir les fissures
ouvertes et d’augmenter la perméabilité des roches. Elle peut être réalisée avec des injections
d’eau, du sable et des produits chimiques des sous hautes pressions (eau additivée) : on parle
alors de fracturation hydraulique. Des explosifs peuvent parfois être utilisés localement pour
créer des orifices dans le tubing. La fracturation des roches ne se fait toutefois que par la
pression hydraulique.

Tableau : Les additifs chimiques utilisés dans la fracturation

II.2 Le forage horizontal ou dévié


Emprisonné dans les couches souterraines horizontales, le gaz de schiste ne peut être
extrait grâce à un puits vertical comme c’est le cas pour les gaz conventionnels. En traversant
dans le sens de la longueur la roche, le forage horizontal dit « dirigé » permet d’extraire
d’importantes quantités à l’aide d’une tête de forage rotative capable d’incliner
progressivement l’axe de forage. Ce type de forage permet d’élargir la couverture d’extraction
sans déplacer les équipements de forages et d’augmenter la surface en contact avec le
gisement

A part les deux méthodes les plus utilisées il existe également les méthodes alternatives :

 La fracturation pneumatique consiste à injecter de l’air comprimé dans la roche mère


pour la désintégrer par ondes de chocs. L’utilisation de l’eau est donc complètement
éliminée et remplacée par l’air. Le problème principal reste l’utilisation des produits
chimiques ;
 La fracturation exothermique non hydraulique (ou fracturation sèche) injecte de
l’hélium liquide, des oxydes de métaux et des pierres ponces dans le puits. Les oxydes
de métaux forment, entre eux, des réactions exothermiques. L’hélium se transforme en
forme gazeuse sous la chaleur des réactions exothermiques, multipliant le volume par
757 et fissurant la roche. Les pierres ponces renforcent les fissures afin que le gaz de
schiste puisse s’échapper. Les larges quantités d’hélium utilisées dans cette technique
limitent l’application car c’est un gaz rare et onéreux.
 La technique utilisant du dioxyde de carbone injecté dans le sol sous forme
supercritique (en phase liquide) et récupéré sous forme gazeuse, est déjà utilisée dans
l’État du Wyoming grâce au réseau de pipelines CO2, qui rend cette technique
économiquement viable. La construction de nouveaux réseaux et la séparation du CO2
du gaz de schiste ajoutent des coûts supplémentaires qui entravent la diffusion de cette
technique.
Tableau : Les étapes considérées de la production du gaz de schiste.
III. MODE DE TRANSPORT
Le transport du gaz consiste à l’acheminer depuis la zone d’extraction jusqu’à la
zone de consommation afin d’alimenter les réseaux de distribution. Le réseau de transport du
gaz est souvent comparé à une autoroute car il est constitué de grands axes alors que les réseaux
de distribution sont composés d'axes plus courts acheminant le gaz directement chez le
consommateur.

Il existe deux moyens complémentaires pour transporter le gaz efficacement :

III.1 TRANSPORT TERRESTRE


III.1.1 Les gazoducs

Ils sont le moyen de transport du gaz le plus utilisé car ils sont fiables et rentables. Des
tubes d’acier sont soudés pour former une canalisation pouvant atteindre plus de 3 000
kilomètres de long. Le diamètre de ces tubes varie entre 50 centimètres et un mètre.

Lorsque le gaz est sous pression, il occupe moins de volume et circule plus vite : il peut
atteindre une vitesse de 40 km/h dans les gazoducs. Pour garantir une vitesse optimum et éviter
les déperditions énergétiques, des stations de compressions sont installées à intervalles
réguliers le long du gazoduc (tous les 100 à 200 km). La pression est fixée entre 16 et 100 bars.

Des systèmes de surveillance et des compteurs sont installés le long du réseau pour
contrôler en permanence le débit de gaz. Ils donnent des informations sur le niveau de la
demande et, en cas de fuite ou d’accident, préviennent en temps réel les équipes de
maintenance. Le gazoduc est protégé contre la corrosion. Des postes de livraison sont
également répartis le long du gazoduc afin de distribuer le gaz aux différents réseaux de
distribution.

Pour des raisons de sécurité et d’environnement, les gazoducs sont le plus souvent
enterrés. Cependant, dans les régions désertiques ou lorsque le sol est gelé (ex : pergélisol), le
gazoduc est installé à même le sol. Les gazoducs sous-marins sont posés au fond de l’océan.

III.2 Transport maritime du gaz de schiste

Considéré comme une alternative aux gazoducs lorsque ceux-ci sont trop coûteux ou
pratiquement inconstructibles, la liquéfaction du gaz permet d’acheminer sur de longues
distances et de le stocker. A pression atmosphérique et à une température d'environ -161°C, le
gaz se condense (sous forme liquide) et le volume du gaz est réduit 600 fois (contre, par
exemple, seulement 100 fois dans le cas d’un transport par gazoduc à une pression de 100 bars).
Cela permet de transporter de plus grandes quantités plus facilement. Le gaz liquéfié est
quasiment du méthane pur car l’oxygène, le dioxyde de carbone et les éléments sulfurés sont
extraits dans les usines de liquéfaction.

Le gaz de schiste liquéfié est transporté à bord de navires géants spécialement conçus
pour cet usage, appelés méthaniers. Les navires dits « Q-Max » sont les plus gros méthaniers
en activité : ils mesurent 345 mètres de long, 54 mètres de largeur et ont une capacité de 266
000 m3. Ces bateaux doivent être isolés thermiquement pour maintenir le gaz à l’état liquide
en évitant les déperditions énergétiques.

Une fois à destination, ces navires ne peuvent pas être amarrés sur les côtes. Ils
déchargent leur cargaison sur un terminal méthanier qui est une installation de réception du gaz
liquéfié de schiste. Ce dernier est regazéifié avant d’être acheminé par conduites depuis le
terminal jusqu’aux réseaux de distribution.

IV. TECHNIQUES DE STOCKAGE


Du point de vue technique, il y a plusieurs possibilités pour stocker le gaz en petites ou
en plus grandes quantités.

IV.1 Stockage en cavité

Contrairement au stockage en couche poreuse et aquifère, le stockage en cavité a lieu


dans des réservoirs creusés artificiellement. Les cavités salines sont creusées dans d’épaisses
couches de sel. Elles sont obtenues en injectant de l’eau qui dissout progressivement une partie
du sel, extrait sous forme de saumure. Les cavités rocheuses sont creusées artificiellement dans
la roche. Par rapport aux réservoirs en couche poreuse, les capacités de stockage sont faibles.
En revanche, le nombre de cycles de production stockage pouvant être réalisés chaque année
est plus élevé (1 à 4) ce qui rend ce type de stockage plus flexible que le celui en couche poreuse
et donc adapté au stockage commercial et stratégique. Le stockage en cavités convient pour
l’équilibrage hebdomadaire et mensuel et pour fournir de l’énergie de réglage. La construction
et l’utilisation de telles solutions de stockage dépendent également des conditions géologiques
locales.
IV.2 Réservoirs tubulaires ou sphériques

Les réservoirs tubulaires sont constitués de tubes d’acier enfouis dans le sol qui, en
raison de leur volume réduit et limité, sont utilisés pour couvrir les pics quotidiens. Les
réservoirs sphériques en surface ont la même utilité. Leur utilisation est donc principalement
commerciale.

IV.3 Unité flottante de stockage et de regazéification(FSRU)


Pour augmenter les capacités de stockage de gaz naturel, les pays disposant d’un
accès à la mer peuvent utiliser des unités flottantes de stockage et de regazéification (FSRU,
pour Floating Storage and Regasification Unit). Ces unités flottantes servent à stocker le gaz
naturel liquide et à le regazéifier. L’Allemagne en a loué quatre au printemps 2022. Il en existe
48 dans le monde. Leur capacité varie entre 10 et 14 milliards de m³.

V. Etude comparative des gaz

Gaz de schiste Gaz naturel


Non conventionnel Conventionnel
Composé essentiellement du méthane Composé méthane, propane, butane etc.
Fracturation hydraulique (Forage Forage vertical
horizontal)
Roche mère Roche réservoir

VI. PRODUCTION DE GAZ DE SCHISTE (Afrique du Sud/ Canada)

Caractéristiques Afrique du Sud Canada


Réserves estimées 13 800 milliards de m 3 11 000 milliards de m 3
Fracturation hydraulique Autorisée sous réserve Autorisée
Exploration / Exploitation : Moratoire levé en Suspendue L’exploitation des
gaz non conventionnel septembre 2012 Le gaz de schiste est pour
moratoire sur l'attribution de l’instant suspendue au Québec
licences d'exploitation des de par la mobilisation des
réserves de gaz de schiste a collectifs citoyens et dans
été levé en Afrique du sud le l’attente d’études
10 septembre 2012. Il avait environnementales
été imposé en 2011 dans indépendantes. Le changement
l'attente des résultats d'une de parti au Québec en
étude sur les effets septembre 2012 devrait
environnementaux de la conduire prochainement à la
technique d'extraction. Les mise en place d’un moratoire
forages seront dorénavant sur l’exploitation des gaz de
autorisés pour permettre schiste.
l’évaluation du gisement,
mais la fracturation
hydraulique ne sera
autorisée que si les questions
environnementales sont
résolues.

VII. IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX


A partir de la littérature et les études réaliser sur les gaz de schiste, nous nous
sommes rendu compte que celui-ci a des néfastes sur l’environnement.

VII.1 Contamination des eaux souterraine :


Trois types de polluants peuvent être considérés

 Les additifs chimiques utilisés pour la fracturation hydraulique


 Les hydrocarbures de roche-mère
 Les substances présentes dans la roche-mère

VII.2 Contamination de sol


Ces événements sont les déversements dans lequel une substance de forage a été
renversée sur une surface autre que l'eau. Ces déversements ont souvent eu lieu sur l'aire de
forage lui-même. Le type le plus commun de fluide déversé était le carburant diesel. D'autres
liquides déversés boue de forage inclus, fluide de fracturation, les eaux usées

VII.3 Consommation d’eau


La fracturation hydraulique requiert de grandes quantités d’eau. Un consensus de
toutes les parties s’opère sur les quantités utilisées : de 10 000 à 20 000 m 3 (AEA, 2012) d’eau
par forage. Cette quantité représente 4 à 8 piscines (olympiques) ou la consommation annuelle
de 300 à 600 individus.

VII.4 Les eaux usées


Les eaux de fracking qui remontent (flow back) sont stockées dans des bassins de
décantation à ciel ouvert, à proximité ou sur le site même. Ces bassins sont des bacs doubles
rétention et le site est lui-même revêtu d’une double membrane imperméable. Les eaux de
forages qui remontent sont stockées sur site ou exportées hors du site pour être traitées ou
simplement stockées. Ces eaux peuvent contenir des « éléments chimiques résidents » (métaux
lourds et/ou éléments radioactifs naturellement présents dans les couches cibles qui remontent
avec les boues de forage) (AEA, 2012) ce qui pose par ailleurs des problèmes d’émissions de
volatils.

VII.5 Pollution de l’air


Il existe plusieurs sources potentielles d'émissions atmosphériques des opérations
de fracturation hydraulique, y compris le dégagement gazeux de méthane à partir de reflux
avant que le puits est mis en production, les émissions provenant des moteurs de la circulation
des camions et diesel utilisés dans les équipements de forage et de la poussière provenant de
l'utilisation de chemins de terre

VII.6 Bruits
Les sources de bruits sont les mouvements de camions pendant les phases d'un puits
de construction et de développement, ces bruits sont temporaires et le bruit émis par les
machine et les pompes. Ces mouvements peuvent être réduits par l'utilisation de pipelines
temporaires pour le transport de l'eau

Représente les impacts environnement associe à la production de gaz de schiste


Figure : Présentation schématique des différents impacts environnementaux

VII.7 Solution aux problèmes environnementaux


VII.7.1 Solutions pour la contamination d’eau
 Traitement des eaux usées ;
 Etude des différents paramètres pouvant avoir impacte sur les navires transportant du
gaz (étude de la météo, les courants marins, etc.)

VII.7.2 Solution pour la contamination du sol


 Il existe toutefois des moyens de limiter l’emprise au sol, en implantant notamment de
multiples drains à partir de la même plateforme en surface.
VII.7.3 La réduction du bruit
En fonction de l’évaluation des risques, il faudra mettre en place les mesures
nécessaires pour empêche où contrôler l’exposition au bruit et enfin réaliser un suivi régulier
de l’efficacité des mesures.

Le programme de mesure comportera par ordre d’importance les éléments suivants :

 L’élimination des sources de bruits ;


 Le contrôle du bruit a sa source ;
 Les mesures de contrôles collective destiné à modifier l’organisation de travail et
l’aménagement de l’espace de travail, y compris en marquant et en limitant l’accès aux
zones de travails dans lesquels les travailleurs sont susceptibles d’être exposé à des
niveaux sonore supérieur à 85 dB ;
 L’introduction des équipements de protection individuel.
CONCLUSION
Au cours des dernières décennies, le gaz de schiste s’est vu accordé une certaine
importante par des états particuliers. N’excluant pas son aspect non conventionnel qui rend sa
production légèrement compliquée, des techniques adaptées ont été élaborées à savoir la
fracturation hydraulique, le forage horizontal et bien d’autres afin de permettre un meilleur
rendement. Il est à noter que ce gaz est pratiquement similaire au gaz naturel car ils ont les
mêmes techniques de transport (terrestre, maritime) et de stockage à savoir : stockage en cavité,
unité de regazéification, il présente néanmoins d’énormes difficultés au niveau
environnemental de par sa pollution de l’eau et les risques sismiques auxquels la population
est exposée sans compter la pollution de l’air conduisant à la dégradation de l’environnement.
Pour pallier à ces difficultés, des solutions ont été évoquées afin d’éviter certains désastres ;
c’est ainsi qu’une étude comparative a été réalisé dans le but de présenter les gains de deux
grands états producteurs de gaz de schiste et ceci nous amène donc à nous interroger sur les
raisons de son taux d’exploitation faible par les autres états.
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
 http://www.mirova.com/Content/Documents/Mirova/publications/Etude_Gaz_de_schi
ste_ Mirova_fin.pdf
 https://www.usherbrooke.ca/environnement/fileadmin/sites/environnement/documents
/Ess ais2011/Fall_M__12-07-2011_.pdf
 http ://www.wattco.com/fr/2020/12/chauffe-reservoirs-stockage-gaz-schiste/
 http://www.fracfocus.org/sites/default/files/publications/water_management_in_the_
marcellus.pdf
 http://www.academie-sciences.fr/activite/rapport/avis151113.pdf
 Bdessusgazdeschiste_afd-dtn142.pdf
 http://www.connaissancedesenergies.org/fiche-pedagogique/gaz-de-schiste

Vous aimerez peut-être aussi