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REPUBLIQUE DU CAMEROUN

REPUBLIC OF CAMEROON
Paix – Travail – Patrie
********
Peace – Work – Fatherland
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT
********
SUPERIEUR
MINISTRY OF HIGHER EDUCATION
********
********
UNIVERSITE DE MAROUA
THE UNIVERSITY OF MAROUA
********
********
ECOLE NATIONALE SUPERIEURE
NATIONAL ADVANCED SCHOOL OF
DES MINES ET DES INDUSTRIES
MINES AND PETROLEUM
PETROLIERES
INDUSTRIES
********
********
DEPARTEMENT DE RAFFINAGE
DEPARTMENT OF REFINING AND
ET PETROCHIMIE
PETROCHEMESSTRY

TRAVAIL PERSONNEL DE L’ETUDIANT

RPC/ IC 4

UE : TRANSPORT ET STOCKAGE DES HYDROCARBURES

THEME: TRANSPORT ROUTIER ET FERROVIAIRE DU PETROLE BRUT


ET DES PRODUITS PETROLIERS

Groupe 1

NOMS MATRICULES

AWALOU BOUBA 19A181FM

AGOUME EFOUBA NDZIE ALBANDE D.C 19A177FM

ATANGANA THOMAS DANIEL 19A309FM

ACHO NONGA GRACE 19A176FM

ABDOUL-KADER MOUSSA 19A307FM

Examinateur : Dr. ISSA SALI

Année Académique 2022/2023


0
Table des matières

INTRODUCTION....................................................................................................................... 2
I. LE TRANSPORT FERROVIAIRE ............................................................................................. 3
1. Le wagon-citerne ....................................................................................................................... 3
2. Le poste de chargement/déchargement ................................................................................... 4
3. La réception et le déchargement : cas du diisocyanate de toluène ............................................ 5
3.1. Réception ...................................................................................................................... 5
3.2. Identification des raccords ............................................................................................ 5
3.3. Contrôle ........................................................................................................................ 6
3.4 Méthodes de déchargement ............................................................................................ 6
3.5. Préparation pour le retour ............................................................................................ 7
II. LE TRANSPORT ROUTIER .................................................................................................. 8
1. Le camion-citerne ...................................................................................................................... 8
2. Le chargement et le dépotage ................................................................................................... 9
2.1. Le chargement ................................................................................................................... 9
2.2. Le dépotage ...................................................................................................................... 10
III. MESURES DE SECCURITE ................................................................................................. 11
IV. COMPARAISON DES TRANSPORTS ROUTIER ET FERROVIAIRE......................... 14
CONCLUSION ......................................................................................................................... 15
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ................................................................................... 16

1
INTRODUCTION
Le pétrole brut, à une époque où on lui cherche activement un successeur, reste la source
d’énergie la plus utilisée dans le monde. Depuis les puits de pétrole aux produits finis mis à la
disposition des consommateurs, l’Homme a su au fil des années améliorer la qualité du transport
du brut et des produits pétroliers afin de satisfaire les exigences des marchés notamment en
termes de délais. Si le pipeline est aujourd’hui le moyen de transport terrestre favori du pétrole,
le train (à l’aide de wagons-citernes) et le camion-citerne restent des modes de transport encore
sollicités pour le pétrole brut et les produits pétroliers. Ces deux derniers modes de transport
constituant l’objet de ce travail, son objectif étant la comparaison des deux types de transport,
sa quintessence est donc une caractérisation des transports routier et ferroviaire tout en
ressortissant leurs points forts ainsi que leurs défauts respectifs tant au niveau technique,
sécuritaire, qu’environnemental.

2
I. LE TRANSPORT FERROVIAIRE

Aujourd’hui, le réseau oléoduc n’est pas suffisant pour transporter l’ensemble du


pétrole produit. On fait donc appel à des wagons-citernes qui longent parfois les oléoducs,
formant ainsi un « pipeline virtuel et mobile » [1].

1. Le wagon-citerne

Les wagons-citernes, pour les gaz de pétrole liquéfiés de couleur blanche, se distinguent
par une bande orange longitudinale. Leur capacité nominale peut atteindre 110 m3 (voir 120
m3).

Figure 1 : Représentation d’un wagon-citerne

Figure 2 : Résumé des équipements d’un wagon-citerne (pour le gaz)

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Les équipements de suivi de niveau sont les suivants :

• Jauge de niveau ;
• Jauge point haut permettant le contrôle du ciel gazeux, souvent complétée par un
manomètre et un thermomètre ;
• Mesure de température [2].

On distingue trois types de wagon-citerne :

✓ Les wagons-citernes ordinaires qui sont destinés au transport des produits pétroliers
ne nécessitant pas de grandes mesures à prendre.
✓ Les wagons-citernes munis de réchauffeurs qui sont destinés au transport des fiouls
lourds.
✓ Les wagons-citernes munis de réchauffeurs et de calorifuge qui sont destinés pour le
transport des bitumes et des lubrifiants [3].

2. Le poste de chargement/déchargement

Les obturateurs sont doublés sur les tubulures sortie wagon-citerne par une vanne manuelle
et, sur les bras de chargement/déchargement par un clapet de rupture et une vanne pneumatique
de sécurité.

Figure 3 : Poste de chargement/déchargement


4
Les deux obturateurs de sécurité en phase liquide et en phase gaz sont dans la plupart des
cas, des clapets de type GESTRA dont le mécanisme de fermeture est associé à un ridoir
pneumatique. Le ridoir est accroché au rail, le levier est placé en position ouverte, l’arrivée d’air
est ouverte assurant la retenue du ridoir. Le décrochage du ridoir entraine la fermeture des
obturateurs [2].

3. La réception et le déchargement : cas du diisocyanate de toluène

3.1. Réception
On vérifie que le numéro effectif du wagon (par ex., ABCX1234) correspond à celui
exigé. Des wagons ayant des numéros similaires peuvent contenir des produits totalement
différents. La plupart des wagons portent des scellés et des étiquettes permettant d’identifier le
produit contenu et d’assurer l'intégrité du wagon pendant le transport. Vérifier le numéro du
scellé et de l’étiquette en les comparant au bordereau de livraison [4].

3.2. Identification des raccords


Les équipements du wagon-citerne sont identifiés pour éviter des erreurs de
raccordement. Dans certains cas, l’expéditeur pourra identifier les équipements par des couleurs
avec leur identification. Dans d’autres cas, les équipements pourront être identifiés par une
étiquette [4].

Figure 4 : (b)-raccords de déchargement sur un


wagon-citerne ordinaire servant au transport du
TDI
Figure 4 : (a)-un système de couleurs utilisé
par certains fournisseurs de TDI.

5
3.3. Contrôle
Vérifier visuellement l'existence et le bon état des dispositifs de sécurité (échelles, mains
courantes et poignées) et des plaques de danger. Vérifier visuellement l'existence et le bon état
des dispositifs de fermeture (vannes, joints, couvercles de trappes d'accès et chaînes sur
bouchons et capuchons). Signaler les non-conformités éventuelles à l’expéditeur [4].

3.4 Méthodes de déchargement


Pour le déchargement des wagons-citernes contenant du TDI, on fait en général appel
aux méthodes suivantes :

• Soutirage sous pression ;

• Soutirage par pompage avec pression d'assistance ;

• Soutirage par pompage avec intercommunication des espaces libres.

Indépendamment de la méthode employée, l'important est d'éviter une dépression dans la


citerne de livraison, d'éviter une surpression dans le réservoir de destination, et d'éviter le
dégagement de vapeurs de TDI provenant du réservoir de destination.

Figure 5 : Soutirage sous pression d'un wagon-citerne


Cette méthode fait appel à de l’air sec ou de l’azote
pour l'expulsion sous pression du wagon-citerne vers
le réservoir de destination. Les wagons-citernes étant
équipés d'une soupape de surpression tarée entre 75
et 165 lb / po2 manométrique, la pression de
déchargement ne doit pas dépasser cette valeur. Les
fournisseurs recommandent en général des valeurs
comprises entre 15 et 25 lb / po2 manométrique.
Même pendant un déchargement normal, il pourra
être nécessaire de traiter des dégagements de gaz
provenant du réservoir de destination.

Figure 6 : Soutirage par pompage d'un wagon-


citerne avec pression d'assistance Cette méthode
utilise la pompe du destinataire pour transférer le
produit dans le réservoir de destination. Un faible
volume d’azote ou d’air sec sous pression est
ajouté à la citerne pour remplacer le liquide évacué
par pompage. Même pendant un déchargement
normal, il pourra être nécessaire de traiter des
6dégagements de gaz provenant du réservoir de
destination.
Figure 7 : Soutirage par pompage d'un wagon-
citerne avec intercommunication des espaces libres
Cette méthode utilise la pompe du destinataire pour
transférer le produit dans le réservoir de
destination. Les espaces libres des deux citernes
sont mis en communication, de sorte que leurs
pressions internes restent constantes pendant
l'opération.

Il est recommandé que la personne chargée du déchargement du wagon-citerne respecte


les réglementations et procédures de son employeur pour assurer la sécurité du transfert [4].

3.5. Préparation pour le retour


Les consignes ci-après s’appliquent à tous les wagons, vides ou non. Après la dépose
des flexibles du wagon-citerne, vérifier une dernière fois les vannes, les instruments, le presse-
étoupe de la tige de vanne intérieure, ainsi que les bouchons, pour éviter les fuites. Par exemple,
serrer les bouchons du manomètre et du puits thermométrique contre leurs joints toriques.
Mettre du ruban au téflon sur les filetages de tous les bouchons et raccords ayant été retirés, et
les serrer avec un levier, une clé ou un autre outil approprié. Fermer et verrouiller le couvercle
de la trappe d'accès supérieure et vérifier la présence de tous les panneaux de danger. (49 CFR
§ 173.31). S’assurer que le wagon repart avec une pression interne (5 lb / po2 manométrique
minimum) positive d’azote ou d’air sec [4].

Figure 8 : le bon emploi de l’outil correct


pour serrer le bouchon.

Les wagons-citernes servant au transport du pétrole brut ou des produits pétroliers


doivent obligatoirement être conformes aux obligations de conception et de fabrication relatives
au transport de produits dangereux. Comme les citernes de transport routier, les citernes

7
réservées au transport ferroviaire sont soumises à la règlementation des équipements sous
pression.

II. LE TRANSPORT ROUTIER


1. Le camion-citerne

Le transport routier s’effectue par le camion-citerne, ici le matériel routier peut être
classé en deux catégories :

• Les gros porteurs : constitués d’un tracteur et d’une semi-remorque, la quantité de


produits transportée est inférieure à 22 tonnes. Certaines semi-remorques utilisées pour
la livraison en clientèle « Gros vrac » sont munis d’équipements de transfert et de
comptage (pompe, compteur, flexibles)
• Les petits porteurs : constitués le plus souvent par des camions citernes ; la quantité
transportée est inférieure à 10 tonnes et destinée à la clientèle « petit vrac ». Ils sont tous
équipés d’équipements de transfert et de comptage [5].

Figure 9 : Equipements d’un camion-citerne

Selon la taille du camion-citerne (gros porteur ou petit porteur) il peut exister des différences
entre les équipements.

Equipements des réservoirs citernes

• Jauge rotative
• Jauge point haut permettant le contrôle du ciel gazeux, souvent complète par un
nanomètre et un thermomètre
• Contacteur niveau haut relié par câble au poste de chargement, si le niveau haut est
atteint, l’automatisme de chargement arrête le remplissage de la citerne

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• Les remorques équipés d’un circuit de distribution

Les camions citernes sont généralement caractérisés par une longue cuve (ou citerne)
d’acier inoxydable placée à l’arrière de la cabine, parfois sur une remorque articulée, avec une
apparence similaire aux wagons-citernes des trains, constituée d’un cylindre et de deux
extrémités hémisphériques. Les cuves peuvent être de différents types suivant la cargaison à
contenir : pressurisée, réfrigérée ou isolée, divisée en plusieurs compartiments, résistante à
l’acide, conçue pour transporter des produits alimentaires et munies d’une ou plusieurs
ouvertures trous d’homme. La variation de la capacité typique d’un transporteur d’essence se
situe entre 14 et 35 m3 par cuve, bien que l’on trouve de petits camions de 10 m3 ou parfois
moins utilisés pour la vidange de fosses septiques, et d’autres de moins de 4 m3 pour le transport
du GPL sous pression.

2. Le chargement et le dépotage
2.1.Le chargement

• Pesage du camion
• Mise en place du camion (aligner pour un bon accès de livraison)
• Eteindre le moteur
• Mettre les EPI (gants, casque, masque à gaz, combinaison, botte…)
• Poser les calles des pneus
• Relier les câbles de mise à terre pour une liaison équipotentielle entre le camion-
citerne et les installations fixes
• Vider les compartiments en ouvrant un à un les vannes de pompage
• Se rendre chez le représentant du site pour vérifier la correspondance des documents
de livraison, les grades et la quantité demandée.
• Pour monter au-dessus de la citerne, il faut
• Porter les harnais de sécurité
• Ouvrir le trou d’homme
• Relier le flexible du dépôt vers le trou d’homme
• Régler le tableau de pompage en faisant entrer la capacité demandée
• Ouvrir la vanne de chargement
• Après le chargement, il faut toujours :
• Ranger le flexible

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• Jauger le creux de la citerne
• Etiqueter le trou d’homme E1 et la vanne relative à cette à cette compartiment E2
• Vérification de la fermeture des trous
• Enlever le câble reliant le camion et le dépôt
• Retourner vers la cabine de contrôle pour le pointage et la récupération du BE
• Enlever les calles
• Départ du camion [6].

2.2. Le dépotage
• Couper le moteur
• Poser les calles (2 calles au moins, l’un a l’avant tandis que l’autre à l’arrière)
Appuyer sur le bouton d’arrêt batterie
• Mettre les EPI
• Positionner les câbles de mise à terre pour une liaison équipotentielle entre le camion-
citerne et les ’installations fixe
• Mettre les balises d’arrêt autour du camion
• Poser devant et au dos le panneau défense de fumer
• Poser l’extincteur près du camion
• Donner le bon de livraison pour permettre au gérant de la station-service de bien
vérifier et pointer
Quand il faut monter sur la citerne, nous devons :
• Elever la rambarde Enlever l’étiquette E1
• Ouvrir le trou d’homme
• Jauger le creux de la citerne par un sabre de jaugeage

Après la descente de la citerne


• Voir l’étiquette E2 de la vanne en se référant à celle d’E1
• Enlever cette étiquette avec une pince en bronze
• Vérifier la cuve de réservoir du SS
• Ouvrir la vanne de la citerne
• Prendre un échantillon dans un seau en aluminium relié à un câble équipotentiel du
camion
• Faire un test sur la teneur en eau du produit en ajoutant de la patte à eau

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• Déterminer la densité et la température du produit par le thermodensimètre

Si le résultat est conforme à la norme :


• Ouvrir la vanne de la citerne et celui et celle du réservoir
• Positionner le flexible
• Ouvrir la pompe Suivre le versement du produit vu de dessus (au trou d’homme)

Si le résultat est non conforme à la norme :


• Refaire le test
• Signaler le problème au gérant de la station-service et à la société
• Renvoyer le produit au dépôt [6].

III. MESURES DE SECCURITE

Figure 10 : Les matériels


pour les transports de
matières dangereuses en
vrac et en colis

La classification des marchandises dangereuses repose pour chaque classe sur la définition de
critères objectifs de classement. Elle est assortie d'une nomenclature numérique. Chaque
produit s'identifie par 2 numéros : Un numéro d'identification du danger et un numéro ONU
pour chaque matière. Le numéro de danger indique la classe dont relève le produit, la nature et
l'intensité du ou des risques présentés :

Exemple :

336 signifie :

3 - matière de la classe 3 (liquide inflammable)

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33 - matière liquide très inflammable

336 - matière liquide très inflammable et toxique

Le numéro ONU provient des recommandations de l'ONU.

Tous les produits transportés sont définis par la réglementation des matières dangereuses
et sont repérés sur le véhicule par des panneaux orange, à l'avant et à l'arrière, avec le numéro
d'identification du danger et le numéro ONU du produit transporté, ainsi que des plaques
étiquettes symbolisant le ou les risques du ou des produits transportés [7].

Figure 11 : Identification d’un camion-citerne transportant des produits dangereux

Figure12 : Classes de produits dangereux

Pour renforcer la sécurité, une réglementation spécifique s'applique sur la circulation, la vitesse,
le stationnement.

Figure 13 : Mesures
de sécurités lors du
transport de
produits dangereux
Quelques mesures de sécurité

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Quelques mesures
• Avant départ
➢ Avoir en sa possession un certificat de formation en transport des matières
dangereuses
➢ Avoir en sa possession les documents d’expédition.
➢ Vérifier si les indications de danger de matières dangereuses sont bien en place.
➢ Connaître les procédures à suivre en cas d’accident.
➢ Prendre soin de se reposer au moins 8 heures.
➢ Effectuer une vérification visuelle et auditive de certains éléments accessibles du
véhicule ou de l’ensemble des véhicules avant chaque départ.
➢ Vérifier l’arrimage du chargement.
➢ S’assurer que le chargement respecte les normes de charges et dimensions.

• Pendant le transport
➢ S’abstenir totalement de fumer au cours du transport de matières inflammables.
➢ Adopter un style de conduite plus sécuritaire dans le cas des camions-citernes.
➢ Adapter sa conduite aux conditions routières.
➢ Respecter les limites de vitesse.
➢ Respecter les distances de freinage.
➢ Vérifier l’arrimage du chargement et l’état des pneus régulièrement.
➢ Respecter les heures de conduite et de travail.
➢ Éviter de consommer de l’alcool ou des drogues.

Figure 14 : Exemple de fiche de


procédure de chargement de
produits liquides dangereux.

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Figure 15 : Exemples de listes de contrôle pour le déchargement d’un wagon-citerne

IV. COMPARAISON DES TRANSPORTS ROUTIER ET


FERROVIAIRE

Bien que ces deux types soient utilisés pour le transport pétrolier, ils diffèrent sur de
nombreux points. Notons que le transport par camions-citernes et plus généralement utilisé pour
les produits finis contrairement au transport ferroviaire qui est utilisé aussi bien pour le brut que
pour les produits finis.

Transport routier Transport ferroviaire

- Livraison à temps réel - Incertitude quant aux dates de départ et


- Plus polluant d’arrivée
- Délai de transit plus court suivant les - Economique pour les longues distances
destinateurs - Idéal pour les gros volumes et longues
- Risque pour la sécurité routière dû au distances
nombre de camion sur les routes - Sécurité des marchandises transportées
- Livraison porte-à-porte sans ruptures - Diminution de la pollution
de charge - S’adapte à la demande en ajoutant si
besoin des wagons supplémentaires
- Accidents spectaculaires bien que rares

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CONCLUSION
Les transports routier et ferroviaire sont des éléments importants de l’activité pétrolière.
Ils sont encadrés par des spécificité techniques et des règlementations pour l’acheminement en
toute sécurité des bruts et des produits pétroliers des lieux de production aux destinataires.
Sachant qu’en plus de ces deux types de transport on distingue le transport par pipeline
(oléoduc) et le transport par navire, une question pourrait nous venir naturellement à l’esprit :
quel mode de transport est le mieux adapté à quelles situations ?

15
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
[1] Quelles sont les solutions pour transporter le pétrole par voie terrestre ? Transport Econo
Nord [en ligne, consulté le 07 avril 2023 à 10h08] disponible à l’adresse :
http:\\www.econonord.com

[2] Chargement et déchargement| PDF| soupape| gaz naturel liquéfié, Scribd [en ligne, consulté
le 07 avril 2023 à 10h31] disponible à l’adresse : http:\\www.scribd.com

[3] Dr AKE, cours stockage, distribution et transport des hydrocarbures (STDH) [en ligne,
consulté le 07 avril 2023 à 02h38] disponible à l’adresse : http:\\fr.slideshare.net

[4] Instructions pour la réception et le déchargement du TDI, American Chemistry Council,


center for the polyurethanes insdustry, octobre 2014

[5] Support de cours 3e année Géni Mécanique Pétrolier et Gazier (GMPG) option Transport et
Stockage (TSP) de l’Ecole Nationale Supérieure des Mines et des Industries Pétrolières
(ENSMIP), Kaele (extrême-nord Cameroun) 2022/2023

[6] Le transport et stockage des hydrocarbures, TASINKOU NEGOUE Gael Brice, université
d’Antananarivo, école supérieure polytechnique d’Antananarivo, mention ingénierie pétrolière
parcours : pétrochimie, mémoire de fin d'études en vue de l'obtention de licence, Promotion
2015 – 2016

[7] ATDM, transport routier des matières dangereuses : dangereux par définition, encadré par
une règlementation, sécurisé par une profession, paris le 15 avril 2006

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