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Emballage et conditionnement M2 Microbiologie et contrôle de qualité

ÉTIQUETAGE ET MODE DE PRÉSENTATION

Quand on regarde bien un emballage, on y voit un patchwork d’informations de nature et


d’origine diverses. L’emballage est le support de diffusion principal des informations utiles au
consommateur quand il choisit un produit dans le rayon, au moment de l’achat.
L'étiquette d'un produit alimentaire est un moyen important et direct de promotion du produit
et de transmission de l'information sur le produit, du vendeur au consommateur. C'est l'un des
principaux moyens pour les consommateurs de faire la distinction entre les différents aliments
et entre les différentes marques de commerce et de faire un choix éclairé à l'achat. La vente
des denrées alimentaires est encadrée par des règles strictes d'étiquetage afin d’informer au
mieux le consommateur sur les produits qu’il est susceptible d’acheter puis de consommer.
1- But de l'étiquetage des aliments : L'étiquette a trois fonctions principales :
a) Fournir des renseignements de base sur le produit, dont : le nom usuel ; la liste des
ingrédients ; la quantité nette ; la date limite de conservation ; le nom et l'adresse du
fabricant, du marchand ou de l'importateur ; la catégorie/qualité et le pays d'origine,
b) Fournir des renseignements sur les aspects santé, sécurité et nutritionnel du produit :
renseignements sur l’allergène ; le profil nutritionnel précisant par exemple la quantité de
matières grasses, de protéines, de glucides, de vitamines et de minéraux par portion
déterminée (dans le tableau de la valeur nutritive), et de l'information visant
particulièrement les consommateurs qui suivent des régimes alimentaires spéciaux ; les
directives sur l'entreposage et la manutention, entre autres.
c) Servir d'outil pour la commercialisation, la promotion et la publicité visant à : Accroître
les ventes du produit au moyen de vignettes, de renseignements promotionnels et
d'allégations telles que faible en gras, sans cholestérol, riche en fibres, produit du Canada,
naturel, biologique, sans agent de conservation, etc.
2- Les règles et mentions légales pour l’étiquetage en Algérie

L’étiquetage des produits (information du consommateur) est un droit consacré par la loi
relative à la protection du consommateur et à la répression des fraudes. Conformément aux
dispositions de la loi n° 09-03 du 25 février 2009 relative à la protection du consommateur et
à la répression des fraudes notamment son article 3 (JO n° 15/2009),

« L’étiquetage est toutes mentions, écritures, indications, marques, labels, images, illustration
ou signes se rapportant à un bien, figurant sur tout emballage, document, écriteau, étiquette,

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fiche, carte, bague ou collerette accompagnant ou se référant à un produit, quel que soit la
forme ou le support l’accompagnant, indépendamment du mode d’apposition ».

En outre, l’étiquetage est défini par le décret exécutif relatif à l’étiquetage et la présentation
des denrées alimentaires comme suit : « tout texte écrit ou imprimé ou toute représentation
graphique qui figure sur l’étiquette, accompagne le produit ou est placé à proximité de celui-ci
pour en promouvoir la vente ».

3-Les informations de base obligatoires sur le produit alimentaire :

Chaque emballage présente une sorte de carte d’identité du produit qu’il contient. Toutes les
denrées préemballées doivent comporter un étiquetage. Sous réserves des mentions exigées
par des textes réglementaires spécifiques relatifs à certaines denrées alimentaires ainsi que,
des exceptions prévues par le décret exécutif relatif à l’étiquetage et la présentation des
denrées alimentaires, les mentions obligatoires que doit comporter l’étiquette d’une denrée
alimentaire sont énumérées ci-après :

o La dénomination de vente : C’est la dénomination officielle du produit. Elle doit être


la plus précise possible. Elle indique la nature de l’aliment contenu dans l’emballage.
Elle est souvent accompagnée ou non d’une dénomination de fantaisie (commerciale),

cette dernière, n’est pas obligatoire.


o La liste des ingrédients : Un grand nombre d’aliments commercialisés associent
plusieurs ingrédients au cours de leur fabrication. Ces ingrédients doivent
obligatoirement être listés par ordre décroissant de quantités ajoutées. Les ingrédients
sont toutes substances ou tous produits, y compris les arômes, les additifs alimentaires
ou même les ingrédients composés eux-mêmes d’ingrédients.
Cette liste signale en particulier : Les allergènes : les ingrédients qui provoquent des
allergies (arachides, produits laitiers, céréales, produits de la mer, fruits secs, soja,
sulfites…) ou des intolérances (lactose, gluten…) doivent être mis en évidence dans la
liste des ingrédients par une impression qui permet de les distinguer au premier coup
d’œil : en gras, en couleur… les additifs alimentaires : Dans la liste des ingrédients,
ils sont désignés par le nom de leur catégorie de fonction, suivi de leur nom propre ou
de leur code. Par exemple, acidifiant : acide citrique ou acidifiant : E330. Les
arômes : qui sont les substances qui apportent une saveur spécifique au produit. Ils
sont désignés soit sous le terme générique « arôme » ou avec plus de précision quand

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il est intéressant de mettre en valeur les saveurs du produit ou l’origine naturelle de ces
arômes. Par exemple : « arôme naturel de vanille ».
o L’entreprise responsable : Il est obligatoire d’indiquer le nom et les coordonnées de
l’entreprise responsable des informations qui figurent sur l’étiquette. Cela peut être le
fabricant ou l’entreprise pour laquelle les produits ont été fabriqués, par exemple le
distributeur. Ou bien l’importateur du produit, s’il est importé.
o La quantité nette : Cette mention indique la quantité de produit dans l’emballage.
Selon la nature solide ou liquide du produit, elle s’exprime en g, kg, L, cL,
mL… Cette mesure est particulièrement contrôlée afin de ne pas tromper le
consommateur.
Lorsqu’une denrée alimentaire solide est présentée dans un liquide de couverture qui
ne se consomme pas, le poids net égoutté de cette denrée alimentaire est également
indiqué.
o Le pays d’origine et/ou de provenance : Cette mention devient obligatoire si une
confusion est possible sur la véritable origine de la denrée.
o L’identification du lot de fabrication : L’indication du lot de fabrication permet de
regrouper un ensemble de denrées, selon un système établi par l’industriel, facilitant
ainsi l’identification des produits en cas de défaut, recherche, réclamation, etc. Ce
numéro doit être envoyé au fabricant en cas de question ou de réclamation.
o Le mode d’emploi et les précautions d’emploi : il doit être indiqué à un endroit
apparent de façon lisible et claire pour permettre un usage approprié du produit.
o Les dates de consommation des aliments et les conditions de conservation : les
dates de consommation indiquées sous la responsabilité du fabricant. Ils Indiquent la
période pendant laquelle le produit conserve ses propriétés spécifiques. Ils doivent
aussi préciser les conditions de conservation de la denrée alimentaire ;
-Date limite de consommation (DLC) ; Les aliments dits périssables et qui
peuvent devenir potentiellement dangereux du fait du développement de
microorganismes ont une date limite de consommation ou DLC. Elle est signalée par
la mention « à consommer jusqu’au jour/mois/année » sur chaque portion individuelle
préemballée. Au-delà de cette date :
Les aliments concernés sont impropres à la consommation car ils présentent
un caractère dangereux pour la santé (intoxication alimentaire). Il est interdit de les
commercialiser sous peine de sanctions.

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Cette date est accompagnée de la mention de la température de conservation requise et


n’est valable que si cette température est respectée.
-La date de durabilité minimale (DDM) ; Elle est apposée sur les denrées
alimentaires qui ne sont pas soumises à une DLC. La DDM est présentée sous la
forme « à consommer de préférence avant… ». (Jour, mois, année), ou « A
consommer de préférence avant fin … » (mois, année) ou (année).
La DDM concerne :
Les aliments peu périssables tels que les produits secs, stérilisés, lyophilisés et
déshydratés (gâteaux secs, boîtes de conserves), les produits non secs pouvant être
conservés très longtemps avant ouverture comme les purées, jus de fruits, sauces,
compotes. Après cette date, les produits sont encore sains, mais ils peuvent avoir
perdu certaines de leurs qualités gustatives.

Les conditions de conservation doivent accompagner la date. Souvent, elles indiquent la


température de conservation (par exemple : conserver entre 1 °C et 4 °C). Dans le cas d’une
DDM, cette mention est indiquée « en cas de besoin », afin de permettre d’assurer la
durabilité indiquée (par exemple : conserver au sec et à l’abri de la lumière).

Si les producteurs souhaitent ajouter des informations complémentaires aux mentions


légales, ils sont libres de le faire dans la mesure où ces informations n’induisent pas
le consommateur en erreur.

4- Quelques mentions spécifiques obligatoires liées à d’autres textes réglementaires :

- Les produits avec ou sans OGM : Les étiquettes des denrées alimentaires contenant des
organismes génétiquement modifiés (OGM) ou produites à partir d’OGM doivent
l’indiquer, excepté si leur teneur est inférieure à 0,9 %. Par exemple, il est possible
d’utiliser les mentions « maïs doux génétiquement modifié » ou « contient du maïs doux
génétiquement modifié » pour un produit il est possible de préciser la qualité d’un produit
ou d’un ingrédient sans OGM,
- Les produits biologiques : Les denrées végétales ou animales issues de l’agriculture
biologique sont produites selon des règles plus strictes que les autres produits dits
conventionnels. Elles peuvent se distinguer en utilisant les termes « bio », « biologique »,
« éco », etc.
- Les logos et indications liés à l’environnement ; Le plus souvent l’emballage est un
déchet. Afin de limiter leur incidence sur l’environnement, on cherche donc à favoriser
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leur recyclage. Ainsi, les indications de l’emballage doivent avant tout permettre à
l’utilisateur d’identifier facilement le caractère recyclable de l’emballage et surtout du
matériau utilisé. Face à ce casse-tête, les consommateurs ont besoin d’indications claires
pour faciliter les activités de tri indispensables aux filières de recyclage.
Le Tidyman Ce logo incite juste les consommateurs à jeter, dans une poubelle, les
emballages et conditionnements des produits après consommation.
Le Point vert est un label marquant l'adhésion à un système de contribution au recyclage
des déchets.

Fig 12 : Logo point vert et Tidy man


5-Les mentions facultatives :
En dehors des obligations réglementaires, il est possible d’ajouter sur l’emballage d’autres
mentions ou indications destinées à mettre en valeur les qualités du produit ou les pratiques
vertueuses de l’entreprise. Entrent dans cette catégorie ; la marque du produit, les conseils
d’utilisation, le code-barre, l’étiquetage nutritionnel, les allégations, les signes de
qualité et les mentions relatives à l’affichage environnemental.
Si l’usage de ces mentions est libre et facultatif, il est souvent encadré par des dispositions
réglementaires Dans tous les cas, et en dehors des cadres déjà fixés, l’obligation fondamentale
de l’entreprise est de ne pas tromper le consommateur : l’étiquetage, la présentation et la
publicité des denrées alimentaires ne doivent pas être de nature à induire l’acheteur en erreur
sur les caractéristiques et les propriétés de l’aliment.

5-1 Les signes de qualité : les labels et les appellations d’origine :

Dans les rayons de son supermarché, un consommateur a souvent du mal à choisir parmi un
grand nombre de produits qui semblent tous présenter les mêmes caractéristiques. Les signes
de qualité sont là pour lui indiquer les produits qui sont fabriqués de façon plus qualitative,
selon une charte de qualité. La qualité peut être fondée sur de nombreuses caractéristiques
liées à la production, l’origine, le savoir-faire…

Une liste des principaux signes de qualité présents sur les produits alimentaires est présentée
ci-dessous :
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 L’appellation d’origine contrôlée (AOC) et l’appellation d’origine protégée


(AOP) : elle garantit un lien étroit entre le produit et son terroir dans toutes les phases
de son élaboration.

 Le label rouge : il garantit, par l’application d’un cahier des charges préalablement
fixé, un produit de qualité supérieure à celle d’un produit courant similaire ;

 L’indication d’origine protégée (IGP) : elle garantit un lien fort entre les
caractéristiques d’un produit et le lieu géographique de sa production ou de sa
transformation.

 La spécialité traditionnelle garantie (STG): elle atteste qu’un produit alimentaire a


été fabriqué selon une recette considérée comme traditionnelle.

Fig 13 : les principaux signes de qualité présents sur les produits alimentaires

5-2 Les allégations :

Une allégation est une affirmation de l’entreprise, y compris sous la forme d’images,
d’éléments graphiques ou de symboles, qui met en avant une caractéristique particulière de
son produit.

Une entreprise essaiera toujours de mettre en avant des caractéristiques qui valorisent son
produit aux yeux des consommateurs, comme par exemple le type de fabrication (fabrication
à l’ancienne, traditionnelle…), ou l’origine d’un ingrédient (fabriqué avec du miel de
montagne…).

 Allégations générales : Ces allégations concernent essentiellement la nature de


l’aliment ou ses caractéristiques de fabrication : ✓ Nouveau ✓ Frais ✓ Pur ✓ Maison
✓ Artisanal ✓ A l’ancienne, traditionnel ✓ Fermier ✓ Sans colorant, sans additif
 Allégations nutritionnelles : Elles correspondent à toute allégation qui affirme, suggère
ou implique qu’une denrée alimentaire possède des propriétés nutritionnelles bénéfiques

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particulières ; des phrases qui mettent en valeur la présence de nutriments d’intérêt,


comme « riche en vitamine C », « faible teneur en graisses », « sans sucre ajouté » ou
« riche en fibres » ;
 Allégations de santé : correspondent à toute allégation qui affirme, suggère ou implique
l’existence d’une relation entre, d’une part, une catégorie de denrées alimentaires, une
denrée alimentaire ou l’un de ses composants et, d’autre part, la santé. Elles peuvent être
classées en différentes catégories :
Les allégations « fonctionnelles » décrivant ou mentionnant ; Le rôle d’un nutriment ou
d’une autre substance dans la croissance, dans le développement et dans les fonctions de
l’organisme, exemple : « vitamine B1 et métabolisme des glucides ». L’amaigrissement,
le contrôle du poids, la réduction de la sensation de faim, l’accentuation de la sensation de
satiété ou la réduction de la valeur énergétique du régime alimentaire. exemple : « effet
des fibres sur la satiété ».
Les allégations relatives à la réduction d’un risque de maladie, mentionnant la réduction
d’un facteur de risque de maladie Exemple : « réduit significativement le cholestérol ».
Les allégations se rapportant au développement et à la santé des enfants Exemple : « le
calcium est bon pour la croissance des enfants ».
Toute allégation nutritionnelle ou de santé figurant sur les emballages doit être vraie et
fondée sur des faits scientifiques.

5-3 L’étiquetage nutritionnel L’étiquetage nutritionnel concerne toutes les informations


apparaissant sur l’étiquette et relatives à la valeur énergétique et aux nutriments. Deux
niveaux d’indication sont possibles, le minimum étant le groupe I.

Si l’allégation nutritionnelle concerne les sucres, les acides gras saturés, les fibres
alimentaires ou le sodium, ou si le produit porte une allégation de santé, il est alors nécessaire
de donner les informations du groupe II. Lorsque la quantité d’acides gras polyinsaturés,
mono-insaturés ou le taux de cholestérol est indiquée, la quantité d’acides gras saturés doit
également être donnée ;

Groupe I

• Valeur énergétique (en kJ et kcal) ;


• Protéines, glucides, lipides (en g)

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Groupe II

• Valeur énergétique (en kJ et kcal) ;


• Protéines (en g) ;
• Glucides (en g) dont sucres (en g) ;
• Lipides (en g) dont acides gras saturés (en g) ;
• Fibres alimentaires (en g) ;
• Sodium (en g)
L’étiquetage nutritionnel, est facultatif sauf lorsqu’une allégation nutritionnelle ou de santé
est présente sur la denrée alimentaire, ou s’il y avait une adjonction de vitamines et minéraux.
Il était possible d’ajouter d’autres éléments sans qu’il soit obligatoire d’alléguer : amidon,
polyols, acides gras mono-insaturés, acides gras polyinsaturés, cholestérol, minéraux et
vitamines.

Lorsque la denrée alimentaire portait une allégation nutritionnelle ou de santé, l’étiquetage


nutritionnel devait obligatoirement se faire avec le groupe 2 et comporter les quantités des
nutriments allégués.

L’étiquetage nutritionnel devient obligatoire et s’appellera « déclaration nutritionnelle ».


Quelques denrées sont exemptées : les eaux minérales naturelles, les compléments
alimentaires, Et toutes les denrées énumérées dans l’annexe III Arrêté interministériel 19
octobre 2017.

La déclaration nutritionnelle se fera préférentiellement sous forme de tableau (ou si la place


manque en forme linéaire) et dans un même champ visuel.

- Les matières grasses comprennent ; les lipides totaux et les phospholipides,


- Les glucides regroupent tous les glucides assimilables par l’Homme ainsi que les
polyols,
- Les protéines sont calculées grâce à la formule : protéines = azote total x 6.25,
- Le sel est calculé grâce à la formule : sel = sodium x 2.5. Les exploitants peuvent
préciser, à proximité immédiate de la déclaration nutritionnelle, que « le sel est
exclusivement dû à la présence de sodium présent naturellement ».

L’énergie et les nutriments sont exprimés en g ou mL pour 100g ou 100 mL de denrée


alimentaire. Ils peuvent être présentés par portion et/ou unité de consommation seulement si :
la portion ou l’unité utilisée est quantifiée, la quantité de portions contenues dans l’emballage
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est indiquée, la portion ou l’unité utilisée est précisée à côté de la déclaration nutritionnelle.
L’utilisation de cette forme d’expression ne doit pas induire les consommateurs en erreur, la
portion ou l’unité utilisée doit être réaliste (habitude du consommateur) et comprise par le
consommateur.

Ils peuvent également être exprimés, en plus, en pourcentage par rapport aux Valeurs
nutritionnelles de référence (VNR), auquel cas, la mention « Apport de référence pour un
adulte-type (8400 kj/2000 kcal) » se trouvera à proximité.

Les vitamines et sels minéraux sont exprimés en mg ou µg pour 100g ou 100mL de denrée
alimentaire et en pourcentage par rapport aux Valeurs Nutritionnelles de Référence (VNR).

Figure 14 : tableau de déclaration nutritionnelle.

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