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N° 05
(Référence notice Power Line : Chapitre 5.3 et annexe K)
Résumé :
Cette procédure décrit les étapes de l’opération de back-up d’un projet PLS-CADD aboutissant à la création d’un
fichier « .bak ». Ce fichier, qui contient toutes les informations propres au projet, peut être facilement réinstallé sur un
autre poste au travers de l’opération de restauration.
Ce fichier est donc la réponse la plus appropriée à un besoin d’archivage, d’échange avec d’autres utilisateurs ou de
création d’une variante.
05 30/06/10
04 15/03/07 Assistant Réparation E. SIEZIEN
03 22/03/05 Option du back-up T. FAYET
02 24/07/03 Copies d’écran ADHENNIN
01 27/05/02 N.DAGOURY
nom Visa nom visa nom visa
ind date modifications
Rédacteur vérificateur approbateur
720090521.doc
1. PREAMBULE............................................................................................... 3
1.1. RECOMMANDATIONS.................................................................................................3
.................................................................................................3
1.2. INFORMATIONS..........................................................................................................3
..........................................................................................................3
1.3. ASSISTANCE INFORMATIQUE ET FONCTIONNELLE..................................................3
..................................................3
La présente procédure a donc pour objectif de guider l’utilisateur dans ses opérations de back-up et
restauration de back-up d’un projet PLS-CADD, ainsi que dans la création d’une variante de
modélisation.
1.1. RECOMMANDATIONS
Le recours à l’opération de back-up d’un projet doit être systématiquement utilisé dans les cas
suivants :
Archivage,
Duplication dans un autre répertoire,
Création d’une variante de modélisation (voir Chapitre 4),
Transmission à un autre utilisateur.
Il est formellement déconseillé de passer directement par l’explorateur Windows pour effectuer
une quelconque opération sur les fichiers liés au projet (renommer un des fichiers, renommer le
répertoire où le projet est stocké, déplacer les fichiers d’un répertoire à un autre …) sous peine de ne
plus être en mesure de pouvoir l’utiliser.
Par ailleurs, il est vivement recommandé de créer régulièrement des back-up de son projet,
surtout lorsque de nombreuses modifications interviennent, afin de pouvoir revenir sur une
sauvegarde précédente en cas de corruption de fichiers suite à une panne du réseau informatique par
exemple.
1.2. INFORMATIONS
Il est inutile d’effectuer un back-up des différents modèles de support utilisés au sein d’un projet PLS-
CADD avant de faire un back-up de celui-ci. En effet, l’opération de back-up sous PLS-CADD est
conçue pour inclure les modèles d’un projet directement dans le fichier « .bak ».
Pour tout problème informatique (hors exploitation matériel et logiciel) ou fonctionnelle dans le cadre
d’une étude de ligne sous PLS-CADD au sein de RTE ou pour le compte de RTE, le CNER en tant
que responsable de l’assistance et du maintien en conditions opérationnelles (MCO) pourra demandé
à l’utilisateur d’envoyer par messagerie le fichier « .bak » du projet pour lequel il a un souci afin de
pouvoir y répondre plus facilement si une solution ne peut être apportée par téléphone.
Comme les modèles de support ne sont pas obligatoirement affectés à toutes les variantes
d’implantation de ligne, il convient d’effectuer d’abord l’opération courante de suppression de variantes
inutiles avant celle concernant la suppression de modèles de support ; ceci afin de permettre ensuite
la suppression des modèles de support qui étaient affectés uniquement à des variantes d’implantation
de ligne qui viennent d’être supprimées.
Remarque : la distinction entre une variante d’implantation de ligne et une variante de modélisation de
ligne, qui elle nécessite le recours à une opération de back-up, est explicitée au chapitre 4.
Il faut penser à sauvegarder son projet à l’aide du menu Fichier / Enregistrer avant de lancer
l’opération de back-up bien qu’en cas d’oubli le message suivant apparaît :
A ce stade les dernières modifications apportées au projet ont été faites et enregistrées, il est donc
possible de lancer l’opération de back-up proprement dite à l’aide du menu Fichier / Sauvegarde
Back-up… qui débute par une boite de dialogue demandant de spécifier le nom du fichier « .bak » et
le répertoire où il doit être créé. Pour une meilleure traçabilité et identification, il est préférable de créer
le fichier « .bak » dans le répertoire où se situe le projet.
Après avoir saisi un nom et sélectionner un répertoire, il faut cliquer sur le bouton Enregistrer.
Remarque : le fait de cliquer sur le bouton Annuler permet d’annuler l’opération de back-up et de
revenir à PLS-CADD.
S’il existe déjà un autre fichier « .bak » portant le même nom dans le répertoire sélectionné, le
message d’avertissement suivant apparaîtra alors :
Lors d’une sauvegarde BACK-UP d’un projet, une dernière boite de dialogue apparaît alors pour
proposer des options à cocher :
d’abord pour inclure ou non de certains fichiers, dans la mesure où ceux-ci peuvent être
volumineux et non primordiaux au projet.
Ensuite pour compresser le fichier « .bak » et facilité le transfert du fichier.
Il est ainsi possible de ne pas inclure les fichiers d’image, les fichiers DXF, PRT et les MNT pour
diminuer la taille du fichier « .bak » final. Le fait de cocher les quatre cases proposées aura pour effet
de créer un back-up complet (impératif pour un archivage définitif). Pour la création d’une variante de
modélisation ou pour l’envoi à un autre utilisateur sur un problème de vérification mécanique par
exemple, il n’est pas forcément nécessaire d’inclure les images ou les MNT.
Remarques importantes :
L’option à cocher « transmettre le fichier back-up… » ne doit pas être utilisé par les GIMR car
cette fonction sert à POWERLINE pour le logiciel. Toute question doit être posée au CNER via le
messagerie dédiée ( RTE/CNER/PLS).
En ce qui concerne les images et les fichiers DXF, même si ceux-ci ne sont pas inclus dans le
fichier « .bak », PLS-CADD conserve un lien vers chacun d’entre eux (dans le fichier « .don »
inclus dans le fichier « .bak ») car ils sont en attachement au projet ; ainsi, lors d’une restauration
sur un poste de travail ayant accès au(x) répertoire(s) d’origine où les images et les fichiers DXF
sont stockés, il y aura toujours la possibilité de conserver les mêmes noms de répertoire et être en
mesure de visualiser ces fichiers. Cette façon de faire est à retenir dans le cas de la création de
variantes de modélisation car elle évite de dupliquer les fichiers images et DXF autant de fois qu’il
y a de variantes ; les images et les fichiers DXF doivent être placés dans un répertoire dédié et
partagé par toutes les variantes.
Un fichier MNT est régénérable à l’identique dans PLS-CADD, contrairement aux autres
fichiers qui sont des compléments extérieurs, à condition de conserver les options qui ont donné
lieu à sa création (boite de dialogue Créer la triangulation du terrain(TIN)) ; ainsi donc, en
dehors de l’archivage, il est conseillé de décocher chaque fois que c’est possible la case
correspondant aux MNT afin de diminuer la taille du fichier « .bak ».
Une fois le choix des fichiers à conserver ou non effectué, il faut cliquer sur le bouton OK pour lancer
l’opération de back-up ou sur le bouton Cancel pour l’interrompre.
A l’issue de l’opération de back-up, une fenêtre s’affiche pour informer du nombre de fichiers inclus
dans le fichier « .bak ».
Remarque : dans toutes les boites de dialogue qui jalonnent cette opération de restauration, le fait de
cliquer sur le bouton ‘Annuler’ lorsqu’il est présent, permet d’annuler l’opération de restauration en
cours et de revenir à PLS-CADD.
La première boite de dialogue qui s’ouvre, après avoir cliqué sur le menu Fichier / Restaurer la
Sauvegarde Back-up…, est là avant tout pour sélectionner le fichier « .bak » dont on veut restaurer
le projet. Mais elle permet également de créer , s’ils n’existent pas, le ou les répertoires de
restauration où seront placés les fichiers extraits du fichier « .bak », car il n’existe pas la possibilité de
le faire dans la suite de l’opération de restauration. Pour ce faire, il suffit de cliquer sur le bouton
après s’être positionné dans le répertoire qui doit contenir le ou les répertoires de restauration.
Note : A la fois pour accélérer l’opération de restauration mais aussi pour simplifier la localisation des
fichiers liés à un projet, il est plus simple d’opter pour une restauration dans un répertoire unique. Mais
rien n’empêche de recréer une arborescence de restauration pour organiser les fichiers restaurés
suivant leurs caractéristiques.
Au sein de la boite de dialogue présentée au chapitre précédent (figure 9), il faut sélectionner le fichier
« .bak » lié au projet à restaurer puis cliquer sur le bouton OK.
Après avoir sélectionné le fichier « .bak », la boite de dialogue ci-dessous apparaît. Elle a pour objet
de mémoriser s’il faut demander ou non une confirmation systématique de remplacement d’un fichier
existant déjà dans le répertoire de restauration par celui (même nom, même extension) provenant du
fichier « .bak ». Il est conseillé de cliquer sur le bouton Oui car cela permet une meilleure maîtrise des
fichiers restaurés alors qu’en cliquant sur le bouton Non, tout se passe de manière « cachée » et sans
garantie des fichiers conservés en cas d’homonymie.
Figure 11 : Liste des répertoires d’origine (Current directory) du fichier « .bak » et leur nouvelle
dénomination respective (New Directory)
Le bouton Quick Restore permet de réaliser une restauration rapide dans un répertoire avec
l’arborescence originelle de l’étude.
Le bouton Show File Names permet d’ouvrir une fenêtre donnant la liste complète de tous les fichiers
à restaurer contenus dans le fichier « .bak ». Avant de commencer la restauration proprement dite des
fichiers, il est intéressant de s’assurer qu’il n’y aura pas des fichiers de même nom dans des
répertoires d’origine différents. Car si tel était le cas et qu’il faille les restaurer dans le même
répertoire, il y aurait un conflit entre celui restauré en premier et le second.
Remarque très importante : pour le choix du ou des répertoires de restauration, il n’est pas possible
de sélectionner ceux placés dans le répertoire correspondant aux Données de Référence Nationale, à
savoir N:\PLS_DATA\REFERENCE pour RTE, car il est protégé en écriture ; ainsi, tout fichier à
restaurer se trouvant à l’origine dans un des sous-répertoires de N:\PLS_DATA\REFERENCE, devra
se voir spécifier obligatoirement un nouveau répertoire situé ailleurs (par exemple, N:\PLS_DATA\
PLS_CADD\UTILISATEUR 1\PROJET 5).
En cliquant sur le bouton placé dans la dernière cellule de la ligne correspondant au répertoire dont il
faut changer le nom (Select Directory), la boite de dialogue suivante apparaît permettant de
sélectionner un répertoire existant sur le poste de travail :
Si le choix de confirmation de remplacement d’un fichier a été fait précédemment (chapitre 3.3) et que
le fichier en cours de restauration correspond à un fichier existant, la boite de dialogue suivante
apparaît :
Dans ce genre de situation, s’il y a hésitation sur le choix à effectuer compte tenu des informations
affichées (date et heure des deux fichiers en conflit), il est préférable d’annuler (bouton Annuler)
l’opération de restauration et de la recommencer en vérifiant à nouveau que le ou les répertoires de
restauration sont bien vides et qu’il n’y a pas de doublons dans le fichier « .bak ».
Attention : si l’annulation n’intervient pas sur le premier fichier à restaurer, un certain nombre de
fichiers a donc été restauré ; il faut donc en tenir compte s’ils ne sont pas supprimés au travers de
l’explorateur Windows si l’opération de restauration est relancée en sélectionnant le ou les mêmes
répertoires de restauration.
Lorsque la sauvegarde d'un fichier back-up a été partielle (c'est à dire en n'intégrant pas certains
fichiers comme les images, les matériels…), PLS-CADD enregistre néanmoins la référence et le
chemin relatif de ces fichiers.
A l'ouverture du projet, PLS-CADD recherche ces fichiers absents du back-up.
S'il ne les trouve pas (parce qu'ils ont été déplacés ou supprimés), il ouvre l'Assistant Réparation pour
tenter de les retrouver.
Dans la suite de ce chapitre, le mot variante désignera donc une variante de modélisation. Pour créer
une variante d’un projet, le meilleur moyen consiste à dupliquer tous les fichiers liés à ce projet dans
un nouveau répertoire et avec un nouveau nom de projet pour ne pas les confondre. L’opération de
back-up répond parfaitement à ce besoin. Il faut par contre bien garder en mémoire que le nom
attribué au fichier « .bak » ne remplace en rien le nom du projet placé dans le back-up ce qui implique
d’enregistrer au préalable le projet initial sous un autre nom avant d’effectuer l’opération de back-up.
La procédure détaillée ci-après donne les différentes étapes à suivre pour créer une variante.
Ouvrir dans PLS-CADD, à l’aide du menu Fichier / Ouvrir, le projet dont il faut créer une variante.
Comme le nom donné à fichier « .bak » ne change en rien celui du projet et qu’il est préférable de
donner un nouveau nom à la variante pour la distinguer du projet initial, il suffit d’utiliser le menu
Fichier / Enregistrer Sous à la fois pour spécifier un nouveau nom de projet mais aussi et surtout de
spécifier un répertoire vide, quitte à le créer s’il n’existe pas.
Il ne reste plus qu’à lancer la restauration du fichier « .bak » créé à l’étape précédente en se référant
au chapitre 3.
Il faut récupérer tous les fichiers inclus dans le fichier « .bak » dans le nouveau répertoire créé à
l’étape 2. Comme ce répertoire n’est pas vide (il contient les fichiers créés par l’opération Fichier /
Enregistrer Sous), il faut absolument remplacer les fichiers présents par ceux restaurés car cela
garantie que le projet restauré utilise bien tous les fichiers restaurés dans son répertoire et non
certains fichiers du projet initial.