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Préparé par
C) L’INTERNET
Les techniques généralement utilisées sont aussi les genres journalistiques qui servent à forger
l’information; elles sont au nombre de (4) quatre:
a. l’interview;
b. le reportage ;
c. le compte-rendu;
d. l’enquête.
QUI? QUOI?
OU? QUAND?
POURQUOI?
COMMENT?
CHUTE
VALEUR DE PERTINENCE
VALEUR PROBABILISTE
VALEUR D’ENJEU
C) LE REPORTAGE : Genre majeur, il est l’instrument -roi du correspondant- parlons alors du
« reporter », mot anglais emprunté au français « rapporteur » (certains puristes vont jusqu’à écrire
« reporteur »). Il s’agit bien de rapporter ce qui a été capté, vu, entendu, et pourquoi pas senti, touché
et goûté.
D) L’INTERVIEW : C’est le genre rédactionnel par excellence, l’outil premier et celui qu’on pratique
sans (toujours) le savoir. En effet, du matin au soir, le journaliste se doit de questionner: “Qu’est ce qui
s’est passé? Quand cela est-il arrivé? Comment le feu a-t-il pris? Comment l’inondation est-elle
survenue? Qui a appelé les secours? Combien de personnes sont sinistrées, sont sans abri? Pourquoi
y avait-il un bidon à essence dans la pièce? » On retrouve là les fameuses questions de référence.
NOTATIONS: les lieux, les gens, les attitudes et IDEES HORS SUJET à ne pas laisser
détails significatifs, n° de téléphone, etc. échapper
A chaque situation de terrain correspond un type d’entretien. L’entretien directif L’entretien semi -directif
Cette trichotomie (non-directif, directif et semi- directif) répond a des besoins pédagogiques; car dans la
réalité, nous faisons une combinaison du non-directif et du directif pour aboutir à du semi- directif qui
reste la forme d’entretien que nous utilisons quotidiennement dans la vie courante.
ASPECTS REDACTIONNELS
3 L’INFORMATION
a) Valeur de pertinence Loi de proximité (valeur de pertinence): Valeur probabiliste Valeur d’enjeu
Le style de l’information: Témoin: actif ou sélectif CORRESPONDANT Actif Sélectif
B) LA STRUCTURE D’UNE DEPECHE
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« Combien, qui, quoi, comment, où, quand, pourquoi » : plusieurs fois par jour, nous (nous) posons ces
questions pour en savoir davantage. En journalisme, ces questions se posent obligatoirement pour tous
les sujets traités et doivent absolument trouver une réponse. Elles doivent devenir un réflexe, dès la
recherche d’information puis au cours de la rédaction de l’article.
Répondre aux 5 W (de l’anglais « What, Who, Where, When, Why » – en français, « Quoi Qui, Où,
Quand, Pourquoi ») dans chaque article de presse constitue une règle fondamentale et impérative du
journalisme.
Règles d’or
Il ne peut pas y avoir de compromis sur les quatre premiers W. Le lecteur, le téléspectateur, l’auditeur a
besoin de repères : où et quand cela s’est-il passé, qui est concerné, que s’est-il passé.
Dire le plus clairement possible en quoi consiste l’action.
Exemple : « Il y aurait des désaccords au sein de l’équipe dirigeante » est une mauvaise
information. « Pierre et Jean se disputent la présidence » est une meilleure information.
Toujours identifier le sujet de l’action.
Exemple : « La rentrée des classes a été repoussée » est une mauvaise information. « Le
ministre de l’Éducation repousse la rentrée des classes » est une information plus claire.
Toujours dire précisément où se passe l’évènement que l’on relate.
Toujours dire avec précision quand s’est passé l’évènement que l’on relate.
Si l’on ne dispose pas de ces renseignements, il faut tout faire pour les rechercher. Une information n’a
de valeur que si la réponse à ces quatre questions fondamentales est donnée. Un journaliste ne devrait
jamais donner une nouvelle qui ne les comporte pas. Cette règle s’applique à tout et peut aider, voir
guider, la construction de l’article.
Il peut arriver que l’on doive rédiger un article sans connaître la réponse au cinquième W, le «
Why (Pourquoi) » ou le « How (Comment) «Une démarche plus poussée de recherche et d’analyse de
l’information pourra néanmoins permettre de trouver une réponse.
« CQQCOQP »
« Combien, qui, quoi, comment, où, quand, pourquoi » : « CQQCOQP », un moyen mnémotechnique
pour les garder en tête.
Source.