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CODE DE LE ROUTE

PROGRAMME COURS CODE


1)Définition et notion de Base
CHAPITRE I : SIGNALISATION VERTICALE

I. Les panneaux

II. Les balises

CHAPITRE II : SIGNALISATION HORIZONTALE


I. Marquage au sol axial et transversal
II. Marquage au sol sur autoroute et concernant le stationnement

CHAPITRE III : LES FEUX DE VEHICULE


I. Les feux de position

II. Les feux de croisement

III. Les feux de route

IV. Les feux de brouillard en Avant

V. Les feux de brouillard en Arrière


Les feux de brouillard sont comme leur nom l’indique des types de phares spécialement
conçus pour assurer une meilleure expérience de conduite aux usagers lorsque ceux-ci roulent
sous des conditions climatiques difficiles et notamment en cas de brouillard de fortes pluies ou
de fortes chutes de neige.

CHAPITRE IV : L’ARRET ET LE STATIONNEMENT


I. Définitions

II. Les Panneaux et le Marquage au sol

CHAPITRE V : LE DEPASSEMENT
I. Généralités

II. Les conditions de dépassement

CHAPITRE VI : LES REGLES DE PRIORITES

I. Règles générales

II. La présence des agents de sécurité, des feux tricolores et des panneaux de
priorité

CHAPITRE VII : sujets (sujet de test)

EXAMENT BLANC ET REVISION


Comment obtenir son permis de conduire
Le permis de conduire est obligatoire pour tout conducteur de véhicule motorisé de
plus de 125 cm3. En effet, il existe plusieurs catégories qui sont définies selon le poids
du véhicule et le nombre de passagers. Pour l’obtenir, il faut passer par l’examen du
Code de la route et celui de la conduite. Comment passer son permis de conduire au
Sénégal ? Nous faisons le point dans cet article.
Passer son permis de conduire au Sénégal : s’inscrire à une auto-école
La première chose à faire est de s’inscrire dans une auto-école, qui en principe
s’occupe de tous. Cette dernière sera chargée de votre formation sur le plan théorique
et pratique. Mais bien avant il faudra remplir les conditions suivantes :
 Être âgé de 18 ans pour le permis de catégorie B (léger)
 Avoir 25 ans pour les permis de type C (lourd). D(transport)
Les documents à fournir :
 4 photos d’identité
 Un certificat médical (pour la vision)
 Un certificat de résidence datant d’au moins 3 mois (faite à DAKAR)
 Une photocopie légalisée de passeport ou carte d’identité nationale
Les tarifs
Les tarifs dépendent de l’auto-école. Mais en général, ils sont fixés entre 100 000
FCFA et 250 000 F CFA payable en plusieurs fois. Pour les étudiants, il existe des tarifs
privilégiés qui tournent autour de 90 000 F CFA.
Passer son permis de conduire au Sénégal : l’apprentissage dans les auto écoles
Une fois inscrit, l’apprentissage commence avec des cours théoriques sur le code de
la route. Ils durent généralement 21 jours avec 2 h ou 3 h d’apprentissage par semaine.
Le programme est destiné à préparer le futur conducteur au respect des normes et
règles du code de la route.
Une fois acquis, le moniteur d’auto-école prend rendez-vous auprès de l’organisme
chargé de faire passer l’examen. Les candidats au fameux sésame doivent mémoriser
le code de la route. L’examen dure environ 15 mn et vous avez le choix entre l’écrit et
l’oral. Le candidat aura à répondre autour de 25 questions du code de la route. Les
candidats retenus passeront par la suite l’examen de la conduite.
Concernant les cours de conduite, le candidat sera encadré par un moniteur durant 15
à 20 jours. Puis, il passe l’examen qui est généralement axé sur la maîtrise de la
conduite et le créneau.
Où se passe l’examen de conduite au Sénégal ?
Les examens sont organisés par un département du ministère des transports.
S’agissant de la région de Dakar les évaluations théoriques se font au Front de terre
près de la gendarmerie et les examens pratiques au niveau du stade Léopold Sédar
Senghor.
Une fois l’examen validé, le candidat recevra son permis de conduite dans un délai de
21 jours.

1) DÉFINITION DU CODE DE LA ROUTE


Le code de la route est l'ensemble des lois et règlements relatifs à l'utilisation des voies
publiques (trottoirs, chaussées, autoroutes, etc.) par les piétons, cyclistes, utilisateurs de
deux-roues à moteur, automobilistes, routiers, etc.

1. Le non-respect des dispositions du code de la route expose le contrevenant, à des sanctions


de divers niveaux selon la gravité de l'infraction, allant du rappel à l'ordre, à l'amende ou à
la peine de prison.
2. Qu’entend-on par "voie publique" ?

3. Les parties de la voie publique.

Il existe une différence entre voie publique et lieu public :


2.1. Voie publique
• Partie située entre deux rangées de maisons, jardins privés non compris,
• Partie située entre deux limites de propriétés, habituellement les bords des
fossés.
2.2. Rue
• Voie publique en agglomération ou bordée en tout ou en partie d'immeubles,
donnant accès à des activités riveraines et caractérisée par le partage de
l'espace entre les différents usagers,
• Les voiries situées dans une zone 30 ou dans une zone résidentielle sont des
rues.
2.3. Chaussée
• Partie revêtue de matériaux en dur aménagée pour la circulation des
véhicules en général. Toute voie revêtue de matériaux en dur constitue donc
une chaussée, même si le matériau est du gravier ou de la cendrée
2.4. Bande de circulation
• Toute partie d'une chaussée divisée, dans le sens longitudinal, par une ou
plusieurs lignes blanches continues ou discontinues.

2.5. Piste cyclable


• partie de la voie publique réservée à la circulation des bicyclettes et des
cyclomoteurs à deux roues de classe A,

• la piste cyclable ne fait pas partie de la chaussée,

• la piste cyclable est indiquée par les signaux D7, D9 ou des marques routières.

2.6.Trottoir
• partie de la voie publique en saillie ou non par rapport à la chaussée, spécifiquement aménagée
pour la circulation des piétons, revêtue de matériaux en dur et dont la séparation avec les autres
parties de la voie publique est clairement identifiable par tous les usagers,

• le fait que le trottoir en saillie traverse la chaussée ne modifie pas l'affectation de celui-ci.

2.7.Accotement de plain-pied
• espace compris entre la chaussée et un fossé, un talus, des limites de propriétés, distinct du
trottoir et de la piste cyclable, situé au même niveau que la chaussée, généralement revêtu d'un
matériau meuble et difficilement praticable pour les piétons.

2.8.Accotement en saillie
• espace surélevé par rapport au niveau de la chaussée, distinct du trottoir et de la piste cyclable,
compris entre la chaussée et un fossé, un talus ou des limites de propriétés, généralement revêtu
d'un matériau meuble et difficilement praticable pour les piétons.

2.9.Terre-plein
2.10. • aménagement implanté longitudinalement pour séparer les chaussées, à
l'exception des marquages routiers.
2.11. Îlot directionnel
• aménagement situé sur la chaussée, destiné à canaliser la circulation des véhicules et constitué
soit par un marquage, soit par une surélévation de la chaussée, soit par la combinaison des deux.

2.12. Carrefour
• lieu de rencontre de deux ou plusieurs voies publiques,

• il peut avoir toutes sortes de formes : en +, en T, en Y, en K.

2.13. Place
• tout espace ouvert où aboutissent une ou plusieurs voies publiques, dans lequel la disposition
des lieux permet d'y organiser la circulation et d'autres activités de manière conjointe,

• la place est une voie publique distincte de celles qui y aboutissent.

2.14. Rond-Point
• voirie où la circulation s'effectue dans un seul sens autour d'un dispositif central matérialisé,
signalé par des signaux D5 et dont les voies d'accès sont pourvues des signaux B1 ou B5.

2.15. Sentier
• voie publique étroite qui ne permet que la circulation de piétons et de véhicules n'exigeant pas
un espace plus large que celui nécessaire aux piétons, par exemple des bicyclettes, des
cyclomoteurs et motocyclettes à deux roues.

2.16. Chemin de terre


• voie publique plus large qu'un sentier, mais qui n'est pas aménagée pour la circulation des
véhicules en général, parce qu'elle n'est pas revêtue de matériaux en dur,

• le chemin de terre conserve sa nature s'il ne présente l'aspect d'une chaussée qu'à sa jonction
avec une autre voie publique.

2.15 Passage à niveau

• le croisement total ou partiel d'une voie publique par une ou plusieurs voies ferrées établies
en dehors de la chaussée.

2.17. Site spécial franchissable


• partie de la voie publique réservée à la circulation des transports en commun, par le signal
F18, des marquages « Bus ou Tram » sur le site et des lignes continues de part et d’autre. Il ne
fait pas partie de la chaussée.

2.18. Zone résidentielle ou zone de rencontre


• une ou plusieurs voies publiques aménagées dont les accès sont indiqués par les signaux F12a
et les sorties par les signaux F12b,

• la zone résidentielle est celle dans laquelle la fonction d'habitat est prépondérante,

• la zone de rencontre est une zone dont les caractéristiques sont similaires à celles de la zone
résidentielle, mais où les activités peuvent être étendues à l'artisanat, au commerce, au tourisme,
à l'enseignement et aux activités récréatives.

2.19. Zone 30
• voie publique dont le début et la fin sont délimités par des signaux F4a et F4b.

2.20. Agglomération
• espace qui comprend des immeubles bâtis et dont les accès et les sorties sont indiqués par les
signaux F1 et F3.

2.21. Autoroute
• voie publique dont le commencement ou l'accès est indiqué par le signal F5 et dont la fin est
indiquée par le signal F7.

2.22. Route pour automobiles


• voie publique dont le commencement est indiqué par le signal F9 et dont la fin est indiquée
par le signal F11.
2.23. Chemin réservé à la circulation des piétons, cyclistes et cavaliers
• voie publique dont le commencement est indiqué par le signal F99a ou F99b et dont la fin est
indiquée par le signal F101a ou F101b.

2.24. Zone piétonne


• une ou plusieurs voies publiques dont l'accès est indiqué par le signal F103 et dont la sortie
est indiquée par le signal F105.

2.25. Rue réservée au jeu


• voie publique qui est temporairement et à certaines heures pourvues à ses accès de barrières
sur lesquelles est apposé le signal C3 complété par un panneau additionnel portant la mention
"rue réservée au jeu".

Abords d’école

• zone constituée d'une ou de plusieurs voies publiques, ou parties de voie publique, incluant
un accès à une école et dont le début et la fin sont délimités par des signaux F4a et F4b,

• le signal A23 est associé au signal F4a.


2.26. Circulation locale
• voie publique uniquement accessible :

- aux véhicules des riverains de cette rue et aux visiteurs,

- aux véhicules de livraison et d'entretien

- aux véhicules prioritaires, aux cyclistes et aux cavaliers.

 Voie publique :
 Toutes les voies mises à la disposition des usagers de la route, également les voies
privées,
 Toutes les voies qui ont l’aspect d’une voie publique.
 Terrain public :
 Terrain librement accessible au public (parking grande surface).
 Terrain non public :
 Accessible à un nombre déterminé de personnes (parking privé payant, terrain
de football clôturé).

Pourquoi cette différence entre voie publique et lieu public ?

En principe, le code de la route s'applique uniquement à la voie publique.

Sur les lieux publics, il n'y a pas de poursuites pénales pour les infractions de circulation, mais
bien pour :

• la conduite sous influence,

• le délit de fuite,

• l'assurance
NB : TOUTE VOIE PUBLIQUE EST UN LIEU PUBLIC

4. NOTIONS DE BASE
5. Qu'est-ce que le code de la route ?
 Il régit la manière dont un usager de la route doit se comporter sur une voie publique et
l’usage de celle-ci.
 Il définit les droits et les devoirs des usagers.
 Il détermine comment assurer une circulation sûre et fluide.
6. Qui sont les usagers de la route ?
Toute personne qui utilise la voie publique.

7. Qui est considéré comme un piéton ?


 Quiconque se déplace à pied.
 Assimilés aux piétons :
o Toute personne qui conduit à la main une brouette, une Voiture d'enfant, un caddie ou
un autre véhicule sans moteur,
o Toute personne qui conduit à la main une bicyclette ou un cyclomoteur à deux roues.
o Les utilisateurs d’engins de déplacements lorsqu’ils roulent à l’allure du pas.
8. Qui est considéré comme un conducteur ?
Toute personne qui assure la direction d'un véhicule ou qui guide ou garde des animaux de trait,
de charge, de monture ou des bestiaux.

Chapitre I. SIGNALISATION VERTICALE

On distingue deux types de signalisation verticale : il s’agit des Panneaux et Balises

I. PANNEAUX

On distingue en principe quatre types de panneaux :

 Panneaux de danger : forme triangulaire, fond blanc et bordure rouge

 Panneaux d’obligation : forme ronde, fond bleu et bordure blanche


 Panneaux d’interdiction : forme ronde, fond blanc et bordure rouge

 Panneaux d’indication : forme carrée ou rectangle

• Fond bleu (indication utile)


• Fond blanc (indication diverses : installations ou aménagements comme
restaurant, aires de jeux, station de carburant...)

Définition de panneaux

Ils désignent à la fois le dispositif (un poteau) sur lequel sont implantés un signal routier et le
signal proprement dit. Ils sont placés à côté des routes c’est à dire sur les trottoirs ou
accotements.

A. Les panneaux de danger

Dans les panneaux du code de la route, les panneaux de signalisation de danger sont ceux de
forme triangulaire, au fond blanc et de bordure rouge.
Chaque panneau annonce un danger précis à l’aide d’un symbole noir, en fonction du risque
présent sur la route. Vous les trouvez dans les zones à risques, comme le panneau de carrefour
à sens giratoire, ou le panneau de passage à niveau...

NB : En agglomération, chaque conducteur doit ralentir quand il arrive 50 mètres avant le


panneau routier. Hors-agglomération, cette distance préventive passe à 150 mètres.

Les panneaux de danger permettent aux conducteurs d’anticiper le danger à venir, donc de
ralentir et de maintenir leur vigilance.

Les panneaux de danger sont implantés avant la zone dangereuse à :

• 50 mètres en agglomération (en ville)


• 150 mètres hors agglomération

NB : Les panneaux double sens de circulation sont une exception à cette règle
C’est pourquoi on les appelle les panneaux de danger ou des panneaux d’annonce. C’est à dire
les panneaux vous annonce un danger. C’est avant le danger de 0 à 50 mètres en agglomération
et 150 mètres en hors agglomération

Maintenant on va étudier les panneaux de danger de manière détaillée :

1. Virage à droite

2. Virage à gauche

3. Succession de virages, le 1er est à droite et le second peut être à gauche mais aussi à droite

4. Succession de virages, le 1er est à gauche et le second peut être à droite mais aussi à gauche
5. Cassis ou dos d’âne

6. Ralentisseur

7. Chaussée rétrécie

8. Chaussée rétrécie par la droite

9. Chaussé rétrécie par la gauche

10. Chaussée particulièrement glissante

11. Pont mobile

12. Passage à niveau avec barrières à fonctionnement manuel

13. Passage à niveau sans barrière, ni demi-barrière

14. Traversée de voies de tramways


15. Endroit fréquenté par les enfants

16. Passage pour piéton - signal d’annonce

17. Danger pour lequel il n’existe pas de symbole correspondant

18. Et 19. Passage d’animaux domestiques

20. Passage d’animaux sauvages (cerfs, sangliers, renards...)

21. Passage de cavaliers


22. Descente dangereuse (10 %, c’est descendre de 10 m tous les 100 m parcourus)

23. Annonce de feux tricolores

24. Circulation dans les 2 sens à partir du panneau

25. Risque de chute de pierres ou présence de pierres tombées sur la route

26. Débouché sur un quai ou une berge

27. Débouché de cyclistes venant de DROITE ou de GAUCHE

28. Traversée d’une aire de danger aérien

29. Risque de fort vent latéral


30. Carrefour à sens giratoire avec priorité aux usagers circulant sur l’anneau

31. "cédez-le-passage" aux véhicules débouchant de la ou des routes situées à sa droite

32. Intersection avec une route dont les usagers doivent céder le passage (priorité temporaire
pour ceux qui circulent tout droit)

33. Annonce de nappes de brouillard ou de fumée épaisse

B. Panneaux d’obligation

Définition :

Les panneaux d’obligation font partie des éléments de la voirie appartenant à la signalisation
verticale. Dans le Code de la route, ils sont destinés à obliger les usagers à respecter certaines
prescriptions et certaines règles à partir du panneau ou devant celui-ci.

Ces panneaux peuvent donc indiquer non seulement une direction que l'usager devra suivre,
mais aussi une vitesse minimum à respecter, ou encore une voie obligatoire pour certains
types d'usagers.
Les panneaux de fin d’obligation

9. Fin de piste ou bande cyclables réservée aux cycles à 2 ou 3 roues

10. Fin de chemin obligatoire pour les piétons

11. Fin de chemin obligatoire pour les cavaliers

12. Fin de vitesse minimale obligatoire

13. Les chaînes à neige ne sont plus obligatoires

14. Fin de voie réservée aux véhicules des services réguliers de transport en commun

15. Fin de voie réservée aux trams

16. Fin d’obligation selon inscription

C. Les Panneaux d’interdiction


Les panneaux de fin d’interdiction
36. Fin de toutes les interdictions précédemment signalées et imposées aux véhicules

37. Fin de limitation de vitesse à 70 km/h

38. Fin d’interdiction de dépasser

39. Fin d’interdiction de dépasser pour les véhicules de transport de marchandises dont le PTAC
est > à 3,5 t

40. Fin d’interdiction de l’emploi des avertisseurs sonores

41. Fin d’interdiction aux skieurs


42. Accès interdit aux troupeaux

 Les panneaux de sortie de zone :

Liste des panneaux de sortie de zone.

9. Sortie de zone

10. Sortie de zone à stationnement unilatéral à alternance semi-mensuelle

11. et 12. Sortie de zone à stationnement de durée limitée avec contrôle par un disque de
stationnement

13. Sortie de zone à stationnement payant

14. Et 15. Sortie de zone à stationnement unilatéral à alternance semi-mensuelle et à durée


limitée contrôlée par disque.
16. Sortie de zone à 30 km/h s’appliquant sur les rues adjacentes

D. Panneaux d’indication

Définition :

Les panneaux d’indication font partie des éléments de la voirie appartenant à la signalisation
verticale. Leur objectif principal est de porter à la connaissance de l’ensemble des usagers
circulant le long des voies des informations utiles dans le cadre de leur trajet, notamment en
termes de sécurité et de confort.

On a deux catégories de panneaux d’indication


 Indications utiles : forme carré ou rectangle, fond bleu ou blanc
 Indications diverses appelées services : installations ou aménagements comme
restaurant, aires de jeux, station de carburant...

PANNEAUX INDICATIONS UTILES


LES PANNEAUX INDICATIONS DIVERSES
II. LES BALISES

Définition

Des balises de signalisation sont mises en place le long des voies composant le réseau routier
afin de guider les usagers, ou pour leur faire part d'un risque clairement défini. Cet aménagement
routier est réalisé de manière à ce que la signalisation d’un itinéraire donné soit communiquée
de façon totalement homogène.

Les agents de la circulation routière qui permet la bonne marche des balises : feux et panneaux.

Ils se regroupent dans un ensemble appeler un réseau routier.

Ils sont en rapport directe avec la police et les sapeurs-pompiers.


LES BALISES
Chapitre II. LA SIGNALISATION HORIZONTALE

Définition

La signalisation aussi appelée Marquage au sol est l'ensemble des indications peintes et
dessinées au sol. Elle comprend les lignes, les flèches, les indications de voies spécialisées et
quelques marquages spécifiques. Tous ces marquages au sol permettent d'identifier les
différentes parties de la route et de savoir où vous devez rouler et où vous ne devez pas rouler.

Nommé aussi signalisation horizontale, le terme “marquage au sol” comprend l’ensemble des
informations visuelles qui sont apposées directement sur la chaussée. Ce marquage, qu’il est
essentiel de connaître pour passer le code de la route, peut être présent en agglomération ou sur
les routes, mais également être permanent ou temporaire.

LE MARQUAGE AU SOL
Chapitre III. LES FEUX DU VÉHICULE

On a plusieurs feux au niveau de la voiture mais on va étudier seulement les Feux de position,
Feux de croisement, Feux de route, Feux de brouillard en avant et Feux de brouillard en
arrière.

I. Les feux de position (ou « veilleuses »)

Ils vous permettent uniquement d’être vu à 150 m des autres usagers, mais pas de mieux voir.
Vous devez les allumer dès que la luminosité décline légèrement.

En ville, ils peuvent suffire si la visibilité est suffisante.

Attention : il est interdit de circuler sans feux la nuit, même en ville.

Les feux de position permettent aux autres voitures de vous voire à 150m.

II. Les feux de croisement (ou « codes »)

Ils permettent à la fois d’être vu par les autres usagers et de mieux voir la route à 30 mètres. Ils
peuvent être utilisés en toutes circonstances la nuit et doivent être utilisés le jour s’il pleut, s’il
neige ou s’il y a du brouillard.

Sur une chaussée non éclairée, ils remplacent les feux de route lorsque vous croisez d’autres
véhicules, pour éviter d’éblouir leur conducteur.

III. Les feux de route (ou « pleins phares »)

Ils vous permettent de voir à au moins 100 mètres. Très éblouissants, ils sont utilisés la nuit,
lorsque la route n’est pas éclairée et qu’aucune voiture ne roule en sens inverse.
Si c’est le cas, repassez en feux de croisement afin de ne pas éblouir les autres conducteurs.

IV. Les feux de brouillard avant

Ils sont utilisés en complément des feux de croisement, en cas de forte pluie, de brouillard ou
de chute de neige. Ils peuvent également être employés pour éclairer une route étroite et
sinueuse.

V. Les feux de brouillard arrièrent

Très éblouissants, ils ne peuvent être utilisés qu’en cas de brouillard ou de chute de neige, mais
jamais sous la pluie.

Les Différents Types de Feux d'une Voiture


MIS À JOUR LE 23 MARS 2023 • 7 MIN DE LECTURE

Tous les véhicules à moteur doivent être équipés de feux d’éclairage. Les feux de
voiture permettent à la fois de mieux voir et d’être vu, ainsi sont-ils positionnés à
l’avant et à l’arrière du véhicule. Il est important de bien savoir les utiliser pour la
sécurité du conducteur ainsi que pour celle des autres usagers.
Voici les différents feux de voiture abordés :
1. Feux de position
2. Feux de croisement
3. Feux de route
4. Feux de brouillard avant
5. Feux de brouillard arrière
6. Feux de stop
7. Feux de recul
8. Feux clignotants
9. Feux de détresse
10. Feux diurnes
11. Feux adaptatifs et feux d’angle
12. Feux de gabarit
13. Catadioptres rouges
14. L’éclairage des vélos et motos

Les différents feux de voiture


Les quadricycles motorisés (voiture, camion, camionnette, camping-car…) sont les
véhicules avec le plus grand nombre de feux différents. Chacun d’entre eux a un
usage particulier et doit être utilisé à bon escient.

Une mauvaise utilisation peut représenter un réel danger dans certaines situations très
précises. C’est pourquoi il existe plusieurs infractions sanctionnant l’utilisation
abusive des feux et le manque d’éclairage. Regardons tout cela ensemble.

1. Feux de position

Les feux de position ou “veilleuses” sont les feux les plus faibles. Ils vous permettent
d’être vu par les autres usagers, mais pas de mieux voir. Ils sont visibles à une
distance de 150 mètres.
Ils sont au nombre de 4 :

 Deux feux de position blancs à l’avant


 Deux feux de position arrière rouges
Ils peuvent être allumés la journée lorsque la visibilité s’affaiblit légèrement (petite
pluie, temps maussade, léger brouillard) ou à la tombée de la nuit, même lorsque
l’usager circule sur une chaussée éclairée. Sur le tableau de bord, les feux de
position sont représentés par le symbole d’une ampoule verte.
Utiliser les feux de position seuls peut être insuffisant lorsque la visibilité est
vraiment compromise, car ils ne permettent pas d’éclairer la chaussée. Enfin, les
veilleuses peuvent servir de feux de stationnement lorsque vous stationnez sur la
chaussée hors agglomération, la nuit, au lever du jour ou lorsque la visibilité est
insuffisante.

2. Feux de croisement

Les feux de croisement, aussi appelés “codes”, sont les feux les plus utilisés en
voiture. Ils permettent d’être vu et de mieux voir la route sur une portée de 30
mètres. Ils doivent être de couleur blanche ou jaune.
Les feux de croisement peuvent être utilisés en agglomération, sur route ou sur
autoroute, de nuit et de jour lorsque les conditions météorologiques (pluie, neige ou
brouillard) réduisent fortement la visibilité. Ils sont les feux les plus adaptés par
temps de pluie.
L’éclairage des feux de croisement est orienté vers le sol et éclaire plus loin du
côté droit, ce qui permet de croiser d’autres véhicules sans éblouir les conducteurs,
d’où leur nom. L’angle des feux est réglable, pour s’adapter au chargement du
véhicule notamment.
Les feux de croisement se situent à l’avant du véhicule et sont représentés sur le
tableau de bord par un symbole de phare vert qui émet des rayons vers la gauche
(vers le bas).

3. Feux de route

Les feux de route permettent de voir jusqu’à au moins 100 mètres. Ils doivent être
utilisés de nuit uniquement lorsque la chaussée n’est pas éclairée et qu’aucune voiture
n’arrive en sens inverse, car ils sont très éblouissants.
Si un usager circule en sens inverse, il est obligatoire de repasser en feux de
croisement pour ne pas l’éblouir. Si la route est sinueuse, ils peuvent être complétés
des feux de brouillard.
Les "appels de phare" sont utilisés pour communiquer avec les autres usagers
lorsque le klaxon n’est pas recommandé.
Les feux de route se situent uniquement à l’avant du véhicule et sont représentés sur
le tableau de bord par le symbole d’un phare bleu qui émet des rayons
perpendiculaires au phare.

4. Feux de brouillard avant

Les feux de brouillard avant sont généralement utilisés en cas de fortes intempéries
(pluie, brouillard, neige), mais peuvent également l’être en complément des feux de
route sur une route sinueuse et non éclairée. La lumière qu’ils émettent est très
dispersée donc leur faisceau est large.
Sur le tableau de bord, ils sont représentés par un symbole vert similaire à celui des
feux de croisement sauf que les rayons lumineux sont traversés par une vague
verticale.S

5. Feux de brouillard arrière

Le feu de brouillard arrière est très lumineux et sert à être vu en cas d’extrêmes
intempéries telles que le brouillard ou la chute de neige. En revanche, il est
strictement interdit de l’utiliser en cas de fortes pluies sous risque d’éblouir les
conducteurs derrière vous.
Sur le tableau de bord, il est représenté par un symbole orange avec un faisceau
lumineux dirigé vers la droite et coupé par une vague verticale.

6. Feux de stop
Les feux de stop sont situés à l’arrière du véhicule, car ils servent à prévenir les
usagers suivants du ralentissement du véhicule. Ils s’allument automatiquement
lorsque le conducteur appuie sur la pédale de frein. Ils émettent une lumière rouge.

7. Feux de recul
Les feux de recul indiquent aux usagers que le véhicule recule. Il permet aussi
d’éclairer la zone dans laquelle il s’apprête à reculer.
Ils sont activés automatiquement lorsque la marche arrière est enclenchée. Selon les
modèles de véhicule, ils sont au nombre d’un ou de deux.

8. Feux clignotants
Les feux clignotants servent à avertir les autres usagers de l’intention de changer de
direction ou de se déporter vers la droite ou vers la gauche. Ils doivent être utilisés à
chaque changement de direction.
On les active à l’aide de la manette (ou commodo) utilisée pour allumer les feux
d’éclairage, à gauche du volant. Sur le tableau de bord, ils sont représentés par
des flèches pointant vers la droite et vers la gauche.

9. Feux de détresse

Les feux de détresse, les “warning”, servent à signaler une situation anormale ou
dangereuse. Ils doivent absolument être allumés en cas d’ennui mécanique ou de
panne.
Si vous êtes arrêtés sur la bande d’arrêt d’urgence ou sur la chaussée, ils doivent rester
allumés. Sur le tableau de bord, ils sont représentés par un double triangle rouge.

10. Feux diurnes


Les feux diurnes ou feux de jour, sont utilisés la journée pour être vus par les autres
usagers. Ils sont allumés en continue, ce qui permet aux usagers d'anticiper les
changements de luminosité soudains : tunnel, passage en forêt, etc. Ils sont situés à
l’avant du véhicule. Leur utilisation est facultative, même si tous les véhicules neufs
doivent en être équipés depuis 2012.

11. Feux adaptatifs (système d’éclairage avant


adaptatif) et feux d’angles
Les feux adaptatifs, sont intégrés dans les projecteurs des feux de route et de
croisement à l’avant du véhicule. C’est un système de sécurité active qui améliore
la visibilité sur la chaussée de nuit et lorsque l’éclairage public est insuffisant.
Le système rend ces phares « intelligents » en leur permettant d’orienter leurs
faisceaux selon la direction que prend le volant et d’agrandir l’angle de vision
d’éclairage. Des capteurs de niveau permettent également de corriger l’inclinaison
des feux vers le haut ou vers le bas.

Les feux d’angles améliore la visibilité dans les virages. Ils s’allument
automatiquement lorsque les feux de croisement ou les feux de route sont allumés, si
l’usager circule à moins de 40 km/h et que le clignotant est activé. Ils améliorent
l’éclairage du côté où le véhicule tourne.
Les feux d’angles et les feux adaptatifs sont des feux facultatifs uniquement présents
sur certains modèles de véhicules.

12. Feux de gabarit


Les feux de gabarit ou feux d’encombrement sont des feux obligatoires pour les
véhicules larges, remorques et semi-remorques lorsqu’ils dépassent les 2,10 m de
largeur. Ils font office de feux de position arrière en rendant visibles les extrémités
du véhicule. Les autres usagers de la route peuvent ainsi évaluer leur gabarit.

13. Catadioptres rouges


Les catadioptres rouges sont des dispositifs rétro-réfléchissants fixés à l’avant, sur
les côtés ou à l’arrière des véhicules. Ils permettent d’être repéré en réfléchissant la
lumière des feux des autres véhicules.
Ils sont beaucoup moins visibles que les veilleuses. Il est important de les garder
propres afin qu’ils reflètent au mieux la lumière.

14. L’éclairage des vélos et motos


Pour les cyclomoteurs mis en circulation depuis 2004, l’allumage des feux est
obligatoire de jour comme de nuit.
Pour les motos, l’allumage des feux est obligatoire pour les motos de plus de 125 cm3
et qui sont mises en circulation depuis le 1er janvier 1965 ainsi que toutes les autres
motos mises en circulation après le 1er janvier 1988.

En cas de non-respect de l’allumage du ou des feux de jour, les conducteurs de


motos ou de cyclomoteurs encourent une amende de 35 euros.
En vélo aussi il est important de voir et d’être vu. C’est la raison pour laquelle les
vélos doivent être équipés de feux avant blancs et arrière rouges, ainsi que
de catadioptres, sur les pédales et à l’arrière.
De plus, en cas de circulation hors agglomération la nuit, le cycliste est obligé de
porter un gilet rétro-réfléchissant. Il est conseillé de le porter en ville lorsque la
visibilité est réduite.
Chapitre IV. L’ARRÊT ET STATIONNEMENT

a) Définitions

L’arrêt est défini comme une « immobilisation momentanée d’un véhicule sur une route
durant le temps nécessaire pour permettre la montée ou la descente de personnes, le
chargement ou le déchargement du véhicule, le conducteur restant aux commandes de celui-ci
ou à proximité pour pouvoir, le cas échéant, le déplacer. »

Le stationnement est donc une « immobilisation d’un véhicule sur la route hors des
circonstances caractérisant l’arrêt ».

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la différence entre arrêt et stationnement ne tient
pas à la durée, mais plutôt au type d’immobilisation.

Comme vous l’avez dit : l’arrêt c’est l’immobilisation temporaire et le stationnement c’est
l’immobilisation définitive du véhicule.

9. Qu’entend-on par « arrêt » ?


Véhicule immobilisé pendant le temps nécessaire pour l'embarquement ou le débarquement de
personnes ou de choses.

10. Qu’entend-on par « stationnement » ?


Véhicule immobilisé au-delà du temps nécessaire pour l'embarquement ou le débarquement de
personnes ou de choses.

11. Qu’entend-on par « véhicule immobilisé » ?


On vise, par cette formule, des véhicules stoppés dans leur mouvement devant des feux ou des
files, par exemple (contrairement à l'arrêt et au stationnement, la situation n'est pas
volontaire).

b) Les panneaux d’arret et stationnement


c) Zone d’interdiction arrêt et stationnement :
- Intersection
- Virage
- Sommet de côte (montagnes)
- Au niveau d’un passage à niveau
- Sur les trottoirs
- Sur les passages piétons
- Sur les voies réservées aux cycles, bus, taxi ou véhicules
lents
- En double file (avec ligne continue)
- Sur les ponts ou dans les tunnels
- A proximité d'une ligne continue
- Sur les bandes d'arrêt d'urgence
- Si le véhicule masque la signalisation ou les feux
- A côté d'une bouche à incendie
- Sur un emplacement d'arrêt d'urgence
1. Arrêt et stationnement.
1.1 Introduction.
C’est surtout dans les villes que l’on doit faire face à des problèmes de stationnement. Toutes les places
sont généralement déjà occupées. Afin que la circulation puisse se dérouler de la manière la plus fluide
possible ainsi que pour favoriser la sécurité, le stationnement est réglementé.
1.2. Véhicule à l’arrêt, en stationnement et immobilisé.
• À l’arrêt : véhicule immobilisé pendant le temps requis pour l’embarquement ou le
débarquement de personnes ou de choses.
• En stationnement : véhicule immobilisé au-delà du temps requis pour l’embarquement
ou le débarquement de personnes ou de choses.
• Véhicule immobilisé : on parle également de véhicule arrêté, immobilisé, par exemple
devant un signal lumineux de circulation. La situation est différente de l’arrêt et du stationnement
car elle n’est pas volontaire.
1.3. Où l’arrêt et le stationnement sont-ils autorisés ?
A. Les vehicles
a) À droite par rapport au sens de la marche
...Sauf chaussée à sens unique
… sauf dans les zones de rencontres et les zones
résidentielles

b) Hors de la chaussée F19


• Sur l’accotement de plain-pied.
• En dehors des agglomérations, sur tous les accotements. ATTENTION : laisser minimum 1,5 m
de largeur à la disposition des piétons du côté extérieur de la voie publique ! • S’il est impossible de
faire autrement:
- en partie sur la chaussée, en partie sur l’accotement, - sur la chaussée.
c) Si totalement ou partiellement sur la chaussée
• Parallèlement au bord de la chaussée.
• A la plus grande distance possible de l’axe de la chaussée.
• En une seule file.
Exception : Les motocyclettes sans side-car ou remorque peuvent toutefois stationner
perpendiculairement sur le côté de la chaussée pour autant qu’elles ne dépassent pas le marquage de
stationnement indiqué.
B. Bicyclettes et cyclomoteurs à deux roues ∗ En dehors de la chaussée et des zones de stationnement
(ne peuvent pas constituer une gêne ou ne peuvent pas rendre la circulation des autre usagers
dangereuse).
∗ au endroits signalés par un signal P muni d’un panneau additionnel M1 ou M8 (logo vélo et logo vélo et
vélo et cyclomoteur)
C. Motocyclettes:
Les motocyclettes peuvent être rangées hors de la chaussée et des zones de stationnement de telle manière
qu’elles ne gênent pas ou ne rendent pas dangereuse la circulation des autres usagers.
1.4. Où l’arrêt et le stationnement sont-ils interdits ?
a) Règle générale
Il est interdit de mettre un véhicule à l’arrêt ou en stationnement à tout endroit où il est susceptible de
constituer un danger pour les autres usagers ou de les gêner sans nécessité.
Trait zone continues

Arrêt et stationnement interdit

Comme à proximité d’une ligne continue avec trait blancs sur la chaussée.

Trait gone discontinues

Possibilité d’arrêt mais stationnement interdit


Chapitre V. LE DÉPASSEMENT

Définition :

Un dépassement est le fait de rouler pendant un instant, en général relativement court, à


côté d’un autre usager de la chaussée (véhicule ou non, c'est-à-dire animal ou piéton ou
engin à roues ; ou tout groupe constitué de plusieurs de ces usagers) à une vitesse
supérieure à la sienne dans le but de le précéder.

I. Généralités
Le code de la route indique que les dépassements s’effectuent généralement par la gauche. Il

est possible de dépasser par la droite :

- Un usager (véhicule, moto, vélo) qui veut tourner à gauche avec signalement (clignotant) ;

- Lorsque la circulation est en file ininterrompue comme dans les bouchons par exemple ;

- Lorsqu’on est dans une voie à 2 ou plusieurs files comme la vdn ou autoroute.

II. Les conditions pour dépasser

1. Bonne visibilité

La visibilité doit être suffisante.

Dans une route à double sens à deux voies, il faut au minimum 500 m de visibilité quand je
roule à 90 km/h. Il faut à la fois voir en face donc ne pas trop coller le véhicule de devant et
savoir s'il est possible de se rabattre après le dépassement.

Les vérifications visuelles avant un dépassement.


Pour pouvoir dépasser un autre véhicule en toute sécurité, les usagers de la route doivent réaliser
une série de vérifications visuelles.

Ces différentes vérifications doivent leur permettre de s'assurer qu'ils ne représenteront pas

Un danger pour eux-mêmes ou pour les autres conducteurs lorsqu'ils réaliseront leur
dépassement.

2. Absence d’interdiction

Les interdictions de dépassement


Les dépassements peuvent être interdits dans différentes situations clairement énoncées par le
code de la route, et qui pourraient représenter un risque pour le conducteur ou les autres
usagers.

Le dépassement est interdit :

- Par la droite
- Dans les lignes continue, dissuasion, d’avertissement et mixte (si on est à côté de la ligne
continue)

- Au niveau des panneaux d’interdiction de dépasser


- Dans une intersection
- Dans un virage
- Au sommet de côte
- Dans une montagne
- Au niveau d’un passage à niveau (si la barrière n’est pas levée)
- Sur les passages piétons
- Sur les ponts ou dans les tunnels (en cas d’une seule file de circulation)
- À proximité d'une ligne continue
- Sur les bandes d'arrêt d'urgence

3. Absence d’obstacles

- Obstacle devant : un usager en face


- Obstacle derrière (regarder bien les rétroviseurs) : un usager derrière qui est en action ou qui
a l’intention de dépasser.

4. Marquer votre intention : signaler


Toujours avant d’effectuer un changement de voies il faut signaler votre direction. C’est une
obligation.

5. Accélération : + 20 km/h minimum

Il faut avoir une réserve de vitesse suffisante sans dépasser les limitations de vitesse ; L’écart
de vitesse entre ma voiture et celle que je veux doubler est de + 20 km/h minimum

VI. Distance latérale de sécurité :

- 1 m en agglomération (ville) - 1.5 en hors agglomération

VII. Rabattement : retourner au niveau de la voie qui est plus à droite

Un dépassement se termine toujours par un rabattement. Pour effectuer un rabattement, il faut


signaler et voir si vous avez bien dépassé le véhicule en contrôlant les rétroviseurs.
Hors agglomération avec des obstacles permanant

Indiscipline routière
Chapitre VI. RÈGLES DE PRIORITÉ

La priorité n’est pas un droit absolu. Lors du franchissement d’une intersection ou rond-point
l’usager doit :

- Ralentir en contrôlant son rétroviseur intérieur

- Observer les autres usagers afin de déterminer leur intension

On doit toujours respecter les règles de priorité de passage en fonction des panneaux, feux ou
agents

I. Règles Générales :

Dans une intersection la priorité appartient aux véhicules venant de droite c’est-à-dire la priorité
est à droite.

Dans un rond-point la priorité appartient aux véhicules venant de gauche c’est-à-dire on a


priorité à gauche.

Ce pendant cette règle est valable quand on a absence d’agents de sécurités de feux et de
panneaux.

II. La présence d’Agent de Sécurité, feux tricolores et panneaux de priorité :


Les agents priment sur les feux et les panneaux. Les feux priment sur les panneaux.

- Agents de Sécurités : je passe si l’agent est au profil. Je m’arrête si l’agent est en face ou à
dos.

- Les feux tricolores : je passe au vert et je m’arrête au jaune et au rouge. Mais je ralentis en
feux jaune clignotant.

-Les panneaux de priorités : dans un rond-point ou intersection avec absence d’agents de


sécurités de feux, on doit suivre les indications données par les panneaux

2 Stop
3

2
3

1
1
1
1
Savoir retenir

Priorité dans un rond-point en forme (T)


Ici la priorité appartient au véhicules venant de gauche.

Un piéton présent sur la chaussée est prioritaire car un piéton est vulnérable sur une bande
circulable.
La règle de priorité dans les intersections en forme (K) et en forme (T) ou (Y).

Ici la priorité appartient au véhicules venant de droite.


L’image numéro 8 est un cas particulier d’une interdiction de dépassement dans un virage mais
également ou le véhicule est à proximité d’une ligne continue.
FIN DE PROGRAMME DE COURS DE CODE DE LA ROUTE
NIASSE : 77 274 60 62
Comptable7847@gmail.com

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