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Des sorties sont régulièrement proposées pour permettre aux conducteurs d'accéder à d'autres
routes ou à une aire de repos.
Une définition internationale du concept d'autoroute a été définie lors de la convention de Vienne
sur la circulation routière notamment suivie par de nombreux pays européens, mais certains pays
non signataires peuvent avoir une conception différente, basée sur des définitions plus locales,
notamment en Amérique du Nord, en Océanie et en Asie.
Dans certains pays, les appellations voie rapide et voie express (ou semi-autoroute en Suisse)
semblent plutôt réservées au réseau routier traditionnel, partiellement mis aux normes
autoroutières (élargissement de voies, chaussées séparées et déviations d’agglomérations) et
partiellement non mis aux normes. L'existence de voie rapide ou de voie express peut parfois
être une étape intermédiaire et longue pour passer d'un réseau traditionnel à un réseau
autoroutier.
• elle comporte deux chaussées à sens unique, séparées par un terre-plein central (TPC) ou une
double glissière de sécurité, ce qui rend très improbables les chocs frontaux ;
• chaque chaussée comporte une ou plusieurs voies de circulation, ainsi qu'une bande d'arrêt
d'urgence (BAU) sur le côté extérieur de celle-ci, laquelle est en général également bordée par
une glissière de sécurité ou un terre-plein et qui permet de s'arrêter en cas d'urgence sans
gêner la circulation. Sur certaines portions réduites, la BAU est inexistante : la vitesse limite est
alors abaissée.
Une autoroute peut être équipée de bornes d'appel d'urgence : elles sont disposées tous les
2 000 mètres (en France). Leur utilisation permet aux secours de localiser rapidement l'appelant, ce
qui permet à l'usager, en cas de problème mécanique, de demander de l'assistance grâce à ces
bornes. Une autoroute ne comporte généralement aucun croisement à niveau, donc l'accès et la
sortie se font par des bretelles dont le tracé est tangentiel à celui de la chaussée, appelées « voies
d'insertion » ou de « décélération », et qui permettent au véhicule entrant d'adopter la vitesse du flux
de circulation pour pouvoir mieux s'y intégrer (tout en cédant la priorité aux véhicules circulant sur
l'autoroute) ; les croisements entre autoroutes et avec le réseau routier ordinaire se font par des
échangeurs6.
Cette infrastructure permet de rouler à des vitesses moyennes nettement plus élevées que celles
permises sur les routes normales tout en conservant un niveau de sécurité acceptable.
L'autoroute constitue un monde clos au sens propre (délimité par des clôtures) et dispose de
services aux automobilistes : station-service, aires de
Les études préliminaires ont été réalisées en 1983. Elles ont porté sur le choix du couloir du tracé,
les prévisions du trafic, l’évolution des indicateurs économiques et les différentes incidences du
projet, elles ont donné lieu, au cours de leur réalisation, à de nombreuses concertations et ont abouti
au choix du couloir, approuvé en Conseil des Ministres au mois de juin 1987.
Les études d'avant projet sommaires (APS) sur environ 1 100 km entre Annaba et Tlemcen ont été
engagées en 1988 et terminées en 19942.
Le financement du projet par les pouvoirs publics dans un contexte d'endettement est très
compliqué. Durant les années 1990 et 2000, les premiers tronçons sont financés par des prêts
étrangers.
Avec le retour des équilibres et la bonne santé des finances publiques, le président Abdelaziz
Bouteflika décide en février 2005, près d'un an après sa réélection de financer l'intégralité des
tronçons restants par le trésor public, contre l'avis de son ministre des finances 14.
Le 25 juillet 2005, un décret exécutif est publié pour déclarer d'utilité publique l'opération portant
réalisation de l'autoroute Est-Ouest sur l'ensemble de son tracé 15.
Le réseau autoroutier algérien est exploité par l'Algérienne des autoroutes (ADA). Pour le moment,
l'ensemble du réseau autoroutier algérien est sans péage. Les gares de péages sont en voie de
finalisation et le lancement du péage autoroutier est prévu pour début 2021 1. La vitesse maximale
autorisée sur l'ensemble du réseau est de 120 km/h.
• A Autoroute Nord-Sud : Médéa - Boughezoul[modifier | modifier le
code]
Autoroute Nord-Sud près de Médéa
• Pénétrantes[modifier | modifier le code]
P 4 Oran - Oued Tlélat
• 2011 : Pénétrante 4 : Autoroute Est-Ouest - Oran : 30 km ( en cours d'extension vers le port
d'Oran).
2018 : 31 km
• En projet[modifier | modifier le code]
• A0 Autoroute des Hauts Plateaux[modifier | modifier le code]
• Pénétrantes[modifier | modifier le code]
P 1 Ghazaouet - Maghnia
• Le premier tronçon de 43 km, qui reliera la ville de Mascara à l'Autoroute Est-Ouest au niveau
de l'échangeur de Sig (Wilaya de Mascara), est en travaux depuis 2014.
• Elle reliera la ville de Ténès à l'Autoroute Est-Ouest au niveau de l'échangeur de la Z.I. d'Oued
Sly (Wilaya de Chlef).
• Longueur du tracé : 54 km.
• Le nombre de voies sera de 2x3.
• Les travaux ont débuté depuis janvier 2015 pour la première tranche de 22 km17.
• Á l'étude[modifier | modifier le code]
Azazga - Azeffoun
• Longueur du tracé : 28 km.
• Le nombre de voies sera de 2x3.
• Les travaux devraient être entamés courant 2015.
• Longueur du tracé : 160 km.
2e Rocade d'Oran
• Béni Ain Témouchent – Hammam Bou Hadjar – Ain Larbraa – Tamazougha – El Hamoul
70 km 2 × 2 voies ( en construction).
• Rocades[modifier | modifier le code]
Rocades d'Alger
Rocades d'Oran
Rocades d'Annaba
Rocades de Constantine
Rocades de Batna
• 1997/2009 : Batna - Ain yagout de 40 km
• 2002/2010 : Batna - Aïn Touta - Elkantara de 60 km
• 2010/2011 : Batna - Ain djasser de 60 km
• Autoroute Est-Ouest
Autoroute est-ouest
Historique
Ouverture
En construction depuis 2006
Caractéristiques
Longueur
1 216 km
Direction
est/ouest
Extrémité Est
Frontière algéro-tunisienne
Extrémité
Villes
principales
Constantine, Sétif,Bordj Bou Arreridj,Bouira, Alger, Blida, Médéa, Aïn Defla, Chlef, Sidi Bel Abbes, Tlemcen
Réseau
Agence nationale des autoroutes
modifier
À la fin des années 1960, des études de planification ont mis en évidence la nécessité
d’une liaison autoroutière traversant la frange nord du pays d’est en ouest 1.
Avec 11,4 milliards de dollars, c'est un des plus grands projets de travaux publics de
l'histoire2.
L'autoroute Est-Ouest et les principales agglomérations de plus de 100 000 habitants du nord du pays.
• Sommaire
• 1Historique
• 1.1Années 1990, financement compliqué
• 1.2.1Lancement et attribution
• 1.2.2Bureaux d'études
• 2Chronologie
• 2.1Tronçons livrés
• 2.1.1A 2 : Alger - Constantine
• 2.2En travaux
• 2.2.1A 2 : Annaba - El Tarf
• 3Échangeurs et aires
• 4Ouvrages d'art
• 5Sources
• 6Notes et références
• 7Annexes
• 7.1Articles connexes
• 7.2Lien externe
• Historique
Le projet d'autoroute reliant les grandes villes du nord est envisagé dès les années
1970 par le ministère du plan. Par la suite, les différents schémas directeurs routiers
nationaux (1975-1995 et 1995-2015) vont l'inclure dans leurs projections.
Les études préliminaires ont été réalisées en 1983. Elles ont porté sur le choix du
couloir du tracé, les prévisions du trafic, l’évolution des indicateurs économiques et les
différentes incidences du projet, elles ont donné lieu, au cours de leur réalisation, à de
nombreuses concertations et ont abouti au choix du couloir, approuvé en Conseil des
Ministres au mois de juin 1987.
Le 25 juillet 2005, un décret exécutif est publié pour déclarer d'utilité publique
l'opération portant réalisation de l'autoroute Est-Ouest sur l'ensemble de son tracé 17.
• Lancement et attribution[modifier | modifier le code]L'appel
d'offres international limité, sur la base d'un cahier des charges précis, pour le projet de
l'autoroute Est-Ouest fut lancé le 23 juillet 2005. Plusieurs réponses furent enregistrées
(américaine, française, allemande et portugaise). C'est finalement deux consortiums qui
ont été sélectionnés : le chinois CITIC-CRCC et le japonais COJAAL. Les résultats
furent annoncés le 15 avril 2006 et les contrats de réalisation signés le 18 septembre
2006.
• Bureaux d'études
Les missions de contrôle et de suivi du projet est passée par un autre appel d'offres qui
a vu la sélection :
• Chronologie
Tunnel (2015).
Les tronçons ouest et centre, réalisés par le groupement chinois CITIC-CRCC, ont été
livrés à la circulation, mais les travaux ne seront pas achevés avant 2016 sur la section
est, réalisés par le groupement japonais Cojaal. Des problèmes techniques ainsi que
l'incapacité de Cojaal à réaliser ce type d'infrastructures pourraient expliquer ce retard.
Un scandale de corruption avait déjà éclaboussé le projet en 2010 et la qualité des
travaux réalisés par CITIC-CRCC ne serait pas conforme aux normes internationales et
des travaux de réfection ont déjà été nécessaires 18.
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