TP mécanique de sols 2019/2020

Département Génie Civil

Travaux pratiques

Mécanique des sols

MECANIQUE DES SOLS

(Limite d’Atterberg- essai Proctor)

Réaliser par :
Fahem Wissal

Arfa Emna

Hnana Ichrak

Zekri Sahar

Amri Wael

Encadré par :
Mr.Hamrouni Fakher

Classe : GCV2.1 G1

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Essai PROCTOR

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1. Introduction :
Le « compactage » est le procédé le plus économique toujours utilisé dans la construction
routier pour améliorer la densité sèche du sol. Le compactage est une réduction
pratiquement instantanée du volume du sol dû à la réduction des vides d’air. L’étude du
compactage s ‘effectue à l’aide d’un damage normalisé connu sous le nom de « l’essai
Proctor ».

2. But de l’essai :
L'essai Proctor, est un essai géotechnique qui permet de déterminer la teneur en
eau nécessaire pour obtenir la densité sèche maximale d'un sol granulaire par compactage
à énergie fixe (dame de poids et dimensions normés).
L’essai Proctor a pour but de connaître la réaction d’un sol au compactage en fonction de
sa teneur en eau et de déterminer sa densité sèche optimum. Il sert de référence pour les
objectifs de compactages.
il existe deux types d’essais, le Proctor Normal réservé aux couches de forme et de
remblais, et le Proctor Modifié utilisé pour les couches d’assise.

L’essai Proctor peut être réalisé avec deux énergies de compactage différentes. Selon
l’énergie fournie, il s’agit de :

 L’essai Proctor Normal (PN) ou l’énergie de compactage est modérée, il est

recommandé pour le compactage de volumes de sol importants (corps de remblais,
digues, etc. …) soumis notamment à l’action de la pesanteur et éventuellement à des
charges modérées.
 L’essai Proctor Modifié (PM) ou l’énergie de compactage est élevée, il est
recommandé pour le compactage et la mise en place du sol de fondation et des
matériaux constituant la structure d’une chaussée ou d’une piste d’aérodrome. Ce type
d’ouvrage est sollicité notamment par des charges importantes.

Le compactage du sol (ou du matériau) est fait dans un moule cylindrique de dimensions
normalisées. Dans le cas de l’essai Proctor normal de sol (ou du matériau) soumis au
compactage doit passer entièrement à travers le tamis d’ouverture 5 mm. Pour l’essai
modifié la dimension maximale des grains est de 20mm.

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3. Appareillage :
L’appareillage est constitué des éléments suivants :
 Un moule Proctor qui est constitué d’un cylindre métallique de diamètre intérieur égal à
101.2 mm et de hauteur à 116.4 mm ;
 Un moule C.B.R qui est constitué d’un cylindre métallique de diamètre intérieur égal à
152 mm et de hauteur égale à 152 mm ;
 Deux dames normalisées, l’une est utilisée pour l’essai Proctor Normal et l’autre pour
l’essai Proctor modifié, elles comportent un mouton cylindrique guidé par une tige à
l’intérieur d’un fourreau, leurs caractéristiques guidées par une tige à l’intérieur d’un
fourreau, leurs caractéristiques sont les suivantes :
 La dame Proctor Normal (PN) est constituée d’un mouton, de masse
égale à 2490g dont la hauteur de chute est de 305mm ;
 La dame Proctor modifié (PM) est constituée d’un mouton, de masse
égale à 4535 g dont la hauteur de chute est de 457 mm ;
 Une règle à araser (une lame métallique) de dimensions 3 cm x 20 cm (d’épaisseur 5 mm)
biseautée sur l’un de ses cotés ;
 Deux tamis d’ouvertures 20 mm et 5 mm ;
 Une éprouvette graduée pour la mesure de la quantité d’eau à ajouter lors du compactage ;
 Une étuve munie d’un thermostat ;
 Des outils pour le malaxage et le démoulage ;
 Des tares pour les prises des échantillons en vue de déterminer la teneur en eau ;
Deux balances dont les précisions sont respectivement égales à 5 g et 0.01 g

Balance Dame proctor normal Moule proctor

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Etuve éprouvette gradué Régle araser

4. Caractéristiques des essais de compactage :

Dans le cas de l’essai Proctor Normal de compactage du sol est fait en trois couches. Dans
le cas de l’essai Proctor Modifié le compactage du sol est fait en cinq couches. Les
caractéristiques des essais de compactage sont récapitulées dans le tableau suivant :

Caractéristiques de Moule
Type de l’essai Moule CBR
l’essai Proctor
- Masse de la dame 2.480 kg 2.480 kg
- Hauteur de chute 305 mm 305 mm
Proctor normal - Nombre de couches 3 3
(PN) - Nombre de coups par
25 55
couche
- Masse de la dame 4.535 kg 4.535 kg
- Hauteur de chute 457 mm 457 mm
Proctor modifié - Nombre de couches 5 5
- Nombre de coups par
(PM) 25 55
couche

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5. Mode opératoire :
 Préparation de l’échantillon: La réalisation de la couche nécessitera au moins 5 essais .
On effectue, ainsi, au total cinq compactages successifs en faisant augmenter à chaque
fois la teneur en eau du matériau.
 Avant le premier compactage on détermine la masse du moule de l’embase à vide (sans la
hausse).
 Diviser la mélange en 3 prises presque égaux.
L’opération de compactage nécessite les étapes suivantes :
 Adapter la hausse au moule, ensuite placer au fond du moule un rond de papier filtre
pour y éviter l’adhésion du sol.
 Compacter la première couche, après compactage de chaque couche il faut scarifier le
sol (ou le matériau) compacté pour éviter la formation de stratification entre deux
couches compactées successivement.
 Lorsque le compactage est terminé, retirer la hausse et vérifier que le niveau du sol
dépasse suffisamment le niveau supérieur du moule. Si cette condition n’est pas
remplie, on doit recommencer le compactage.
 Araser doucement le sol à l’aide de la lame métallique biseautée en commençant du
centre vers l’extérieur du moule ; ne jamais araser d’un seul coup l’échantillon pour ne
pas arracher éventuellement le matériau par plaques.
 Après avoir nettoyé les parois extérieures, peser le moule rempli de sol compacté.
 Afin de déterminer la teneur en eau réelle du sol compacté prélever avec la spatule
deux échantillons, le premier est prélevé de la partie supérieure de l’échantillon
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compacté et le deuxième de la partie inférieure (après avoir retourné le moule et

enlevé l’embase). La masse du prélèvement est de 100 g environ. Placer chaque
prélèvement dans une tare pesée à l’avance, puis la mette à l’étuve avec une référence.
 Démouler et pulvériser à nouveau le sol (ou le matériau) puis recommencer les six
opérations décrites ci-dessus avec les teneurs en eau croissantes en ajoutant à chaque
fois une quantité d’eau correspondant environ à un ajout pour la teneur en eau de 2 %.

6. Calculs et présentation des résultats :

- La teneur en eau de chaque échantillon prélevé (ω)

[(Mh - Ms) / Ms] = Teneur en eau (W%)

- Le poids volumique du sol humide

[(Mr - Mv) / V] = ɣh (g/cm3)

- Le poids volumique du sol sec.

[ɣh / (1+ W] = ɣh (g/cm3)

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- Le degré de saturation Sr exprimé en pourcentage est déterminé à partir de la formule

suivante :

Sr = ω / [100 ρ ω (1/ ρd - 1/ ρs) %]

Et après l’essai Proctor normal (PN) on obtient le tableau suivant :

Essai 1 2 3 4 5
ω (%) 6 8 10 12 14
M vide (g) 3390 3390 3390 3390 3390
M remplie (g) 5200 5360 5450 5395 5340
M sol ( g) 1810 1970 2060 2005 1950
volume 974 974 974 974 974
Ɣh 1.858 2.022 2.114 2.058 2.002
ω 6.7 9 11 12.9 14.9
Ɣd 1.743 1.855 1.905 1.823 1.742

- On trace ensuite la courbe, le plus près que possible des points expérimentaux. La
teneur en eau optimale et le poids volumique du sol maximal sont respectivement
l’abscisse et l’ordonnée du point sommet de la courbe Proctor avec laquelle on peut
représenter la courbe de saturation du sol (Sr = 100 %).

ESSAI PROCTOR NORMAL

1.95
1.905
1.9
1.855
1.85 1.823
Axis Title

1.8
1.743 1.742
1.75
1.7
1.65
6.7 9 11 12.9 14.9
teneur en eau
-
7. Interprétation et Conclusion :
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D’après l’allure de la courbe la teneur en eau optimale obtenue, correspondant à

max 3
γ d =1.905 g /cm ;

Donc ω opt =11%

Cette valeur est approximative. Donc, plus le nombre d’essais augmente plus le résultat est
optimal. Toutes ces valeurs sont approximatives à cause des erreurs :

- Lecture des poids.

- Le nombre des coups.
- L’énergie n’est pas constante.
- L’ajout d’eau.
- La perte des grains du sable.

8. Proctor modifié avec moule CBR :

- Cet essai se fait par l’appareil de Presse DE compression.

Essai Proctor Modifié

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Mesure 1

Masse d’eau ajoutée (%) 12

Masse totale humide (g) 15210

Masse du moule (g) 10910

Masse du sol humide (g) 4300

Volume de moule (L) 2103

Masse volumique humide 2.000

(g/cm3)

Masse volumique séche (g/cm3) 1.75

Teneur en eau corrigée (%) 13.4

Avec - P1 : charge de pénétration de 2.5mm

- P2 : charge de pénétration de 5 mm

ρh = 4300/2103=2.04

Ɣd = 2.04/(1+0.12) = 1.82

Charge (2.5 mm) P1= 6.558 KN

Charge (5 mm) P2= 7.402 KN

CBR= 100 *(P1/7 ; P2/105)

CBR = 100*(6.558 /13.35 ; 7.402 /20) = 49.679%

9. Résultat obtenu par la machine de Presse DE compression :

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I I
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10.Classification du sol selon CBR :

CBR <= 3 circulation impossible

3 < CBR<=6 limons plastiques, argiles

6 < CBR<=10 sol déformable

10 < CBR<=20 peu déformable

20 <= CBR<=50 très peu déformable

On a CBR = 49.679 alors on peut dire le sol est tres peu déformable.

11. Conclusion

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Sur les chantiers de stabilisation, on exige, en général, des densités sèches égales à 90 % ou à
95 % de la densité sèche maximum Déterminée à l’essai Proctor ; d’où l’importance d’avoir
au moment du Compactage une teneur en eau très voisine de la teneur en eau optimum.
Cette Condition est souvent difficile à remplir, ce qui limite les possibilités de stabilisation
des sols : en périodes de pluie, la teneur en eau du sol naturel est généralement supérieure à la
teneur optimum, il faut aérer le sol pour le faire sécher ou attendre une période plus sèche. En
période sèche les apports d’eau sont importants (la teneur en eau optimum varie entre 6 et
12% selon la nature du sol et l’engin de compactage utilisé.).

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1. Introduction:

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Les limites d’Atterberg sont des paramètres géotechniques destinés à identifier un sol et à
caractériser son état.
L’essai réalisé avec le pénétromètre à cône consiste à mesurer l’enfoncement d’un cône de
masse normalisé dans le sol remanié et de faire des essais à différentes teneur en eau.

2. But de l’essai:

L'Essai laboratoire Limites d’Atterberg permet de prévoir le comportement des sols pendant
les opérations de terrassement, en particulier sous l’action de la teneur en eau, il se fait
uniquement sur les éléments fins du sol (caractériser les sols fins).

Ces valeurs de teneurs en eau permettent de caractériser également les différents états
des sols : liquide, plastique et solide de ces matériaux.

 État liquide à teneur en eau élevée.

Le sol se comporte comme un liquide. Sa résistance au cisaillement est nulle et il se répand

lorsqu'on le déverse. Les grains du sol sont pratiquement séparés par I ‘eau

 État plastique :

Le sol est stable naturellement mais, dès qu'un effort lui est appliqué, il est le siège de
déformations importantes, en grande partie non réversibles sans variation notable de volume
et sans apparition de fissures.

 État solide :

Le sol a le comportement d'un solide, l'application d'un effort n'entraîne que de faibles
déformations. Le passage à l'état solide s'effectue au départ avec réduction du volume ou
retrait, puis à volume constant donc sans retrait.
Les limites d'Atterberg comprennent :

 la limite de liquidité WL
 la limite de plasticité WP

 La limite de liquidité (WL) caractérise la transition entre un état plastique et un état

liquide. C'est la teneur en eau pondérale, exprimée en pourcentage, au-dessus de
laquelle le sol s'écoule comme un liquide visqueux sous l'influence de son propre
poids.

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M humides−M sec
 Formule de la teneur en eau pondérale : ω %= ×100
M sec

W −℘
Il=
Ip

 La limite de plasticité (wP ) caractérise la transition entre un état solide et un état

plastique. Cette limite indique la teneur en eau pondérale, en pourcentage, optimale
pour travailler un sol et favoriser le compactage.

Ip = ωL - ωp

3. Appareillage :

La détermination des limites d’Atterberg se pratique sur la fraction du sol appelée mortier qui
regroupe les particules qui passent à travers le tamis d’ouverture 0.4 mm. Le tamisage est fait
par voie humide. Le sol est ensuite séché à une température inférieure ou égale à 60°C jusqu’à
un état pâteux prêt pour la réalisation de l’essai. Pour assurer son homogénéité, l’échantillon
soumis à l’essai doit être malaxé à l’aide d’une spatule sur une plaque en marbre.

L’appareillage est constitué des éléments suivants :

 Appareil de casagrande
 Balance
 Etuve ventilé
 Planche à roulets
 Capsules en verre
 Spatules

L’appareil de Casagrande balance

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Etuve ventilé

4. Mode opératoire :

Il comporte deux étapes : la détermination de la limite de liquidité et la détermination de la

limite de plasticité.

 Détermination de la limite de liquidité ωL à l’aide de l’appareil de Casagrande.

 Détermination de la limite de plasticité ωp par formation de rouleaux ou boudins.

 Détermination de la limite de liquidité ωL :

- Régler la hauteur de la chute de la coupelle à 10 mm à l’aide de la cale de l’outil à
rainurer.
- Malaxer le mortier sur un marbre à l’aide d’une spatule pour obtenir une pâte bien
homogène.

- Placer la pâte, dont la masse est estimée de 70 g (mais sans recourir à une pesée),
dans la coupelle propre et sèche avec la spatule en plusieurs couches

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- Rainurer le sol au centre de la coupelle perpendiculairement à la surface de la

coupelle.

- Fixer la coupelle sur la sole puis la soumettre à une série de chocs à la cadence
régulière de deux coups par seconde.
- Noter le nombre de coups N lorsque les deux parties symétriquement de la rainure
se rejoignent sur une longueur de 1 cm appréciée à l’œil nu ; la fermeture de la
rainure a lieu par affaissement et non par glissement de la pâte sur le fond de la
coupelle. Le nombre de coups N doit être situé dans l’intervalle :
15 ≤ N1 < 20 ; 20 ≤ N2 < 25 ; 25 ≤ N3 < 30 ; 30 ≤ N4 < 35
- Prélever à l’aide de la spatule un échantillon à l’endroit de la pâte affaissée.

- Peser immédiatement l’échantillon (tare vide pesée à l’avance) et le mettre à

l’étuve jusqu’à dessiccation complète (à la température 105°) pour la
détermination de sa teneur en eau.

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 Détermination de la limite de plasticité ωp :

- Le matériau est roulé sous la forme d'un petit rouleau plein (ou boudin) d'environ 3
mm de diamètre. Ce boudin est progressivement asséché en frottant le matériau
entre la plaque de marbre et un patin poreux (souvent en bois).

- la teneur en eau diminuant le boudin se casse à la teneur en eau correspondant à la

limite de plasticité : les morceaux de boudin sont alors immédiatement pesés.

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5. Résultats des essais :

Essai WL WP
Nombre de coups 15 21 28 32

N° de la tare (gr) 39 5 29 6 32 38

Masse de la tare (gr) 3.83 5.93 3.78 3.74 4.1 4.3

Masse total humide

16.6 20.78 13.32 19.08 6.06 8.21
(gr)
Masse de sol humide
12.77 14.85 9.34 15.34 1.96 3.91
(gr)
Masse total du sol
14.19 18.25 11.44 16.58 5.82 7.77
sec (gr)

Masse de sol sec (gr) 10.36 12.32 7.66 12.84 1.72 3.42

Teneur en eau (% ) 23.26 20.53 21.93 19.47 13.95 14.32

Après détermination des teneurs en eau correspondant aux nombres de coups N 1, N2, N3 et N4
on trace la courbe semi logarithmique ω = f (log N)

Par définition la limite de liquidité est la teneur en eau à laquelle on obtient une fermeture de
la rainure, environ sur 1 cm de longueur, pour N= 25 coups.

Chart Title
35
32
30
28
25
20 21
15 15
10
5
0
23.26 20.53 21.93 19.47
Axis Title

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Et d’après la figure on obtient ωL = 21.33%

D’après les résultats expérimentaux on a eu :

ωp =ω = [(ωt+sh - ωt+ss) / (ωt+ss - ωt)] * 100

ωp = 14.14 %
6. Classification d’un sol:

L'indice de plasticité mesure l'étendue de la plage de teneur en eau dans laquelle le sol se
trouve à l'état plastique. Suivant la valeur de leur indice de plasticité, les sols peuvent se
classer comme suit :

Indice de plasticité Degré de plasticité

Non plastique (l’essai perd sa signification

0 < Ip < 5
dans cette zone de valeurs)

5 < Ip < 15 Moyennement plastique

15 < Ip < 40 Plastique
Ip > 40 Très plastique

Ip = ωL – ω p =21.33-14.14=7.19 %

On a obtenu après à partir du tableau de plasticité que notre sol soit une argile moyennement
plastique.

1. Conclusion :
Les limites d’Atteberg permettent de classer les sols selon son indice de plasticité. Les
renseignements trouvés permettant à l’ingénieur d’identifier les sols et par conséquent se faire
une idée de leur comportement.

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